Petite? Ça dépend pour qui
Récit érotique écrit par Queuedusexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petite? Ça dépend pour qui
Deux jours après avoir fêté mes 25 ans avec mes amies, j’ai été « obligée » de les fêter avec ma famille… Et je suis presque déprimée. Je voudrais m’éclipser, partir de chez mes parents, me retrouver enfin dans mon appartement.
Ne vous imaginez pas que je ne les aime pas. Ils sont, la plupart du temps, adorables. Mes parents ont toujours été là pour moi et je m’entends très bien avec mes deux grandes sœurs, mes cousins et cousines… Là, mon problème c’est qu’étant la plus jeune de ma génération dans la famille, je suis la seule encore célibataire. Ce qui fait que tout au long de cet interminable dimanche après-midi, ils ont presque tous eu la bonne idée de me faire remarquer d’une manière ou d’une autre que je n’avais encore personne dans ma vie.
Oui, je suis seule, et alors ? Est-ce que j’y suis pour quelque chose moi ? Forcément un peu mais pour ma défense, je ne suis pas tombée que sur des mecs bien. J’en suis sûre.
Et puis, mon physique ne m’aide pas beaucoup.
Ce n’est pas que je suis moche mais je suis petite, vraiment petite. A 25 ans, je mesure 1,50m, juste ce qu’il faut de hanches et une taille fine. Ma poitrine, j’en suis fière mais je ne la mets pas trop en avant car avec ma petite taille, je vois le regard des quelques mecs qui tentent de me parler indubitablement dirigés vers mon décolleté et non vers mes yeux. Je n’aime pas beaucoup ça et les mecs le voient, sont gênés et me laissent rapidement seule.
Toute ma vie, j’ai eu droit à quelques railleries sur ma taille. Je n’y fais plus attention tant que ça mais pour ce qui est des hommes, je vois bien que ma taille n’attire pas particulièrement. Pour ne rien arranger, je suis peut-être un peu plus timide que la moyenne donc c’est très difficile pour moi de faire le premier pas ou même de répondre favorablement à un premier pas fait par quelqu’un d’autre.
J’ai bien eu quelques copains mais aucune relation vraiment sérieuse. Je dirais que c’était plus pour faire comme les copines mais les mecs ne me plaisaient pas réellement au point d’imaginer du long terme avec eux et clairement, ça leur convenait tout à fait.
Professionnellement, je travaille en tant que comptable dans une société de travaux publics. La quasi-totalité des contacts que j’ai en dehors de mes patrons et de quelques cadres, c’est par téléphone, donc difficile de faire des rencontres dans ce cadre aussi.
Ce fameux dimanche après-midi, quand j’ai enfin réussi à partir de la maison familiale de mon enfance, je me suis fait une promesse. Le premier mec qui me plaisait et que je pensais célibataire, je ferai tout pour le séduire, juste comme ça, pour voir ce que ça pouvait donner.
Plus facile à dire qu’à faire. Soit j’ai une exigence bien trop élevée, soit je n’ai pas de chance du tout.
Après 2 mois complètement infructueux, j’étais prête à abandonner ma quête. Heureusement, de nos jours, il existe des jouets très sympa pour palier à la présence d’un homme dans mon lit. Le sexe n’avait jamais été exceptionnel avec mes précédents petits amis mais au moins, j’adorais la sensation d’un corps chaud contre le mien pour m’endormir, ou le matin au réveil. Une présence masculine me manquait vraiment.
Savez-vous ce qu’il est difficile de faire aussi quand on est petite… Ses courses !!! Bien sûr, il y a toujours des personnes assez gentilles pour vous attraper les paquets en hauteur mais j’en suis vite venue à me contenter de ce qui est à portée de ma main.
Ce soir-là, j’avais décidé que j’allais oublier mon espoir de rencontrer quelqu’un rapidement et j’allais me payer un bon petit repas, une bonne bouteille.
Je flânais dans les rayons et une idée m’est venue. J’allais me faire une bruschetta. J’ai acheté les ingrédients et je me suis dirigée vers le rayon des bruschettas. Bien entendu, la marque que je souhaitais était tout en haut, juste hors d’atteinte.
Juste à ce moment, une voix masculine derrière moi m’a interpelé. Je n’étais jamais très longtemps à attendre. Il y avait toujours quelqu’un prêt à aider une pauvre petite femme au pied d’un rayon. Seulement, cette fois, ce n’était pas juste « Attendez, je vais vous aider »
- Je vous attrape ce que voulez mais en échange d’un service.
- Ah oui ? Quel service ?
Je me suis tournée et l’homme derrière moi devait faire presque 1.80m, large d’épaule. Evidemment, j’ai d’abord eu les yeux au niveau de son teeshirt impeccablement collé à de superbes pectoraux et des épaules larges et musclées. En levant les yeux, la peau de son cou m’a paru douce et attirante, rasée impeccablement. J’avais envie d’y poser les lèvres. Puis, j’ai découvert des yeux rieurs, bleus très clair, magnifiques.
- Je ne connais pas ce magasin et je cherche ce qu’il y a sur ma liste de course depuis un moment. Vous m’indiquez où je peux trouver un ou deux articles et je vous attrape le vôtre.
Son sourire était franc, engageant. J’ai décidé de le taquiner un peu.
- Ok, ça me va. Je ne vais quand même pas laisser un homme dans la mouise alors qu’il fait l’effort pour la première fois de faire les courses sans sa femme ou sa copine.
- OH ! Vous la jouez comme ça !
- Quoi ? Ce n’est pas vrai ?
- Eh bien non figurez-vous ! J’ai juste emménagé ici hier et je n’ai jamais eu l’habitude de venir dans cette chaîne de magasins mais c’est le plus proche de chez moi.
Il aurait pu ne pas apprécier ma remarque mais il m’a répondu en riant à moitié avant d’ajouter avec un petit truc bizarre dans le regard.
- D’ailleurs, c’est malheureusement parce que je n’ai personne que je suis obligé de faire mes courses moi-même. Sinon, vous imaginez bien que je lui aurais laissé cette tâche ingrate.
Cette fois, j’ai éclaté de rire avec lui.
Il m’a attrapé mon article et m’a tendu sa liste en me désignant deux articles. Je lui ai trouvé ses articles en peu de temps.
- Voilà, j’ai rempli ma part du contrat.
- Merci…
- Lucie ! Je m’appelle Lucie !
- Moi c’est Tom !
- Eh bien peut-être à une prochaine fois alors !
Il a semblé hésiter un peu mais a fini par me dire au revoir.
J’avais à peine tourné les talons que ma promesse de tout faire pour séduire le premier homme célibataire qui me plaisait m’est revenue en mémoire. Je n’allais pas me dégonfler cette fois !
- Tom, attendez !
- Oui ?
- J’ai autre chose à vous proposer.
Il souriait toujours et j’aurai pu me perdre dans ce sourire.
- Si vous n’avez rien de particulier à faire pour la fin de l’après-midi, je vous propose de vous aider à faire vos courses, et même, puisque vous venez d’arriver et que tout ne doit pas être parfaitement installé chez vous, de cuisiner pour vous ce soir chez moi.
- C’est très tentant mais je dois faire quoi pour vous en échange ? Rien n’est gratuit je suppose ?
- Non, en effet, j’ai acheté un luminaire pour mon appartement mais je ne me sens pas vraiment capable de l’installer et comme je suis petite, c’est encore moins facile.
Ses yeux ont comme scanné mon corps très rapidement et j’ai senti mes joues rosir.
- Je ne sais pas quand on peut définir quelqu’un de petit ! Je vous trouve parfaite moi. Et j’accepte avec plaisir.
J’ai cherché une trace de moquerie mais je n’en ai vu aucune. Il semblait vraiment sincère. Je sentais de plus en plus une chaleur se diffuser dans mon bas-ventre. Tom me plaisait, comme aucun autre avant lui.
On a déambulé dans le magasin en parlant, en faisant connaissance. La discussion était naturelle et joyeuse entre nous. A la sortie du magasin, on a échangé nos coordonnées et il m’a dit qu’il viendrait dès qu’il aurait rangé les courses chez lui, avec quelques outils.
Je suis rentrée rapidement chez moi pour faire le peu de ménage qui me restait. En rougissant, j’ai rapidement fait une douche et mis mes plus beaux sous-vêtements et une jupe légère avec un haut simple et confortable mais dont le décolleté était prononcé. J’espérais que ça ferait décontracté mais que ça me mettrait bien en valeur.
Tom est arrivé et m’a surpris en m’offrant un très joli petit bouquet de fleurs. Son regard m’a récompensé pour mes efforts en son absence. Il n’y avait rien de pervers mais clairement, il avait un peu de mal à ne pas jeter des coups d’œil vers ma poitrine.
Il s’est mis au travail pour mon luminaire et je le regardais travailler. Ses fesses moulées dans son jean étaient très belles et je devinais des jambes bien musclées. J’ai cru devoir aller changer de sous-vêtements quand il est monté sur l’escabeau. Il avait les bras en l’air et raccordait les câbles électriques.
Son teeshirt remontait naturellement, découvrant le bas de son ventre. Je voyais nettement ses abdos et une fine ligne de poils bruns se perdant dans son jean en partant de son nombril. Mon regard a suivi cette ligne et je n’ai pu m’empêcher de fixer son entrejambe, cherchant à savoir si ce que je croyais deviner sous le tissu était bien ce que je pensais. Le mot « paquet » m’est venu à l’esprit. Tom semblait gâté par la nature.
Après avoir terminé l’installation, on s’est installé pour un apéritif et j’ai ensuite été cuisiner. Tom était à côté de moi, à m’aider pour une chose ou une autre. On parlait, on riait.
J’ai rougi, entre gêne et plaisir quand sa main s’est posée naturellement sur ma taille alors qu’il passait à côté de moi. De temps en temps, je le voyais regarder mes lèvres, mes yeux… Mes courbes aussi. Jamais un mec ne m’avait regardé comme lui et j’aimais ça, mélange de désir, de retenue et… de tendresse il me semblait.
On a encore parlé pendant que les bruschettas doraient dans le four. Tom m’avait semblé un tout petit peu plus âgé que moi mais en fait, j’étais plus âgée de 6 mois. Sa maturité, son assurance, m’avaient trompé.
Je ne voulais pas que cette soirée se finisse mais avant que je m’en aperçoive, le café était fini. On s’est levé et il s’est dirigé vers la porte. Dans le petit couloir d’entrée de mon appartement, on était proches l’un de l’autre.
- Lucie, je te remercie. J’ai passé un après-midi et une soirée géniale. Je n’aurais jamais cru que je passerai d’aussi bons moment le dès lendemain de mon arrivée ici. C’est grâce à toi…
J’ai vu un regard sérieux d’un coup. Je me suis dit « il va y avoir un « mais ». J’ai encore du faire une connerie et il va me dire qu’il ne veut plus me revoir »
- Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
- Tu ne devrais pas faire ça !
- Faire quoi ?
- Tourner ta mèche de cheveux comme ça… Ou te mordiller la lèvre… Ou sourire…
- Pou… Pourquoi ?
- Parce que ça me donne trop envie de t’embrasser… Et plus encore…
Il s’est approché de moi. J’étais adossée contre le mur. Je ne suis même pas sûre que je respirais encore à ce moment-là. C’est d’ailleurs peut-être le manque d’oxygène au cerveau qui m’a fait agir comme je l’ai fait. J’ai saisi doucement le premier bouton de mon décolleté et je l’ai ouvert, puis le second. Ma poitrine tendait le tissu qui s’ouvrait au fur et à mesure sur mon soutien-gorge en dentelle rouge.
- Tu vas me tuer Lucie !
- Je… Je n’ai jamais fait ça… J’ai envie de toi depuis qu’on s’est rencontré dans le magasin.
- Moi aussi. Il a fallu que je me retienne de t’acheter un énorme bouquet de roses rouges. Je ne voulais pas te faire peur.
- Au moins, j’aurais su tout de suite qu’on était sur la même longueur d’onde.
Au moment où le dernier bouton de mon chemisier s’ouvrait, Tom s’est penché pour m’embrasser. L’une de ses mains est passée derrière ma nuque alors que l’autre se posait, chaude comme la braise, sur la peau nue de ma taille. Son pouce pressait légèrement au niveau de mes côtes. Je ressentais tout à un niveau érotique très élevé. On a tous les deux gémi de satisfaction quand nos lèvres sont entrées en contact.
Le baiser a été long, passionné et quand il a pris fin, on était presque essoufflés. Tom s’est redressé.
- Je suis désolée Tom, je suis petite, ce n’est pas agréable pour toi.
- Ne dis plus jamais ça !
Il m’a soulevé comme si je ne pesais rien et m’a plaqué au mur contre lui. Il m’a paru si fort, si puissant. Une bosse appuyait doucement sur mon sexe. Je me croyais excitée mais ce n’était rien par rapport à ce que j’ai connu ensuite, d’abord lorsque sa bouche est passée dans mon cou, depuis la base de mon cou jusqu’à mon oreille. Puis, ensuite, quand il m’a jetée sur le lit avant d’enlever un à un lentement ses vêtements.
J’ai seulement enlevé ma jupe car quand j’ai voulu enlever ma lingerie, il m’a fait comprendre de la laisser.
Tom était très, très bien foutu, magnifique même, carrément trop bien pour moi. Il était musclé de partout sans que ce soit « trop ». Je commençais à avoir un sérieux complexe en le regardant.
Mais si j’avais un petit doute sur mon pouvoir de séduction d’un homme comme lui, j’ai vite réalisé que Tom me trouvait au moins un peu désirable. Il bandait déjà très fort et j’avais la confirmation que le « paquet » était imposant.
Mais, plus que son érection, c’est son regard et ses caresses douces, quand il s’est allongé contre moi, qui m’ont convaincu qu’il avait très envie de moi.
- J’ai complètement craqué sur toi dans le rayon Lucie. J’étais en train de me demander ce que je pouvais inventer pour te parler encore, pour réussir à avoir ton numéro, quand tu m’as offert la solution. Je ne t’aurai pas laissé sortir du magasin sans te demander de me revoir.
En appui sur un coude, sa main libre passait sur tout mon corps. Sa bouche déposait des baisers. Mes gros seins pointaient vers le ciel, tendus, les tétons gonflés de désir. Je n’en pouvais plus. Je l’ai attiré à moi et il est passé entre mes jambes. On s’est embrassé de longues minutes sans stopper nos caresses, son gland juste à l’entrée de ma chatte.
Enfin, il a poussé. J’ai ouvert les jambes en grand et il s’est enfoncé en moi. J’ai poussé un cri étouffé par son baiser. Il était doux, tendre, passionné.
On s’est regardé dans les yeux et j’ai réalisé qu’il me faisait l’amour. Je crois que c’était la première fois qu’on me faisait réellement l’amour. Avant lui, c’était du sexe, avec quand même de la tendresse, mais juste du sexe.
J’ai commencé à le caresser partout, à l’embrasser partout, tout en gémissant de plaisir. Je bougeais le bassin et c’était moi qui l’attirais plus en moi. Il me laissait le prendre de plus en plus profondément. Il s’est redressé et le contact de son torse puissant me manquait déjà mais ses mains se sont posées sur mes seins d’abord, puis mes côtes, ma taille et mes hanches. Son gland était fiché tout au fond de moi.
Tom était magnifique comme ça. J’ai vu ses muscles se tendre et il a commencé des va et vient. Chaque mouvement me faisait gémir, feuler.
- Mon dieu TOM ! OOOOHHHH ! LA ! N’ARRETE PAS !!!!! OOOOHHHH !
Moi d’habitude plutôt discrète, j’exprimais fort mon plaisir, criait son nom encore et encore, et sa bouche n’était plus sur la mienne pour étouffer mes cris de plaisir.
- Jouis Lucie ! Putain c’est trop bon !
Parfois il se penchait sur moi et m’embrassait comme un fou en m’enlaçant, me faisant me sentir aimée, protégée. Puis, il se redressait et ses mains étaient partout sur moi, me tirant contre lui, son sexe pistonnant mon ventre. Je suis incapable de dire combien de fois j’ai joui, 3 ou 4 fois minimum, mais entre chaque orgasme, le plaisir retombait à peine.
Je l’ai attiré à moi et j’ai murmuré dans son oreille.
- Jouis Tom, Jouis en moi ! C’est bon ! Trop bon ! Tu me donnes tellement de plaisir. TOM ! OH MON DIEU !
Tom a joui en moi, ses bras autour de moi, ma tête dans le creux de son cou. J’étais au paradis. Rien de ce que j’avais pu vivre jusque-là n’égalait de près ou de loin ce que je ressentais à cet instant.
On est resté un bon moment comme ça, son sexe encore presque dur en moi, reprenant notre souffle. Mon esprit a commencé à vagabonder. Mon dieu, il allait se lever, s’habiller et partir, me laissant complètement brisée. Je venais de vivre un coup de foudre, j’en étais sûre. Son départ allait me faire mal comme jamais.
Il s’est allongé à côté de moi et m’a caressé, cajolé, embrassé. Mais j’étais tendue et il l’a senti.
- Lucie, ça va ?
- …
- Lucie, si tu me dis que tu veux que je parte, je comprendrais mais… Après ce que je viens de vire avec toi, je voudrais au moins que tu me promettes de me laisser te rappeler, d’accepter de sortir avec moi pour voir si ça pourrait marcher entre nous.
Je me suis jetée sur lui. Je l’ai serré contre moi, embrassé, des larmes me coulaient sur les joues.
- Je suis désolée Tom, Je veux que tu restes… Je…
- Quoi Lucie ? Dis-moi ! Qu’est-ce qui ne va pas ? J’ai fait quelque chose de mal ?
- Non, au contraire. J’ai juste eu peur que tu t’en ailles après... après m’avoir fait l’amour… Je n’ai jamais ressenti ça avec un autre et pendant un moment, je me suis dit que tu allais partir et que tu ne voudrais plus me revoir.
- Je t’ai donné cette impression ?
- Non ! Mais j’ai eu peur quand même ! Et j’ai très envie de voir si ça peut marcher entre nous…
- Je n’ai jamais ressenti ça non plus.
On s’est recouché après avoir fait une petite toilette et on a parlé un long moment avant de trouver le sommeil. J’étais calée dans le creux de son épaule quand je me suis réveillée. Ma jambe était repliée sur son ventre, mon bras sur son torse.
Je pense l’avoir réveillé en me collant encore plus contre lui, un soupir de bien être s’échappant de ma bouche. J’ai senti son bras m’enlacer et surtout, au bout de quelques instant, son sexe durcir contre mon mollet. La chaleur dans mon bas-ventre grandissait à nouveau. Tom était encore auprès de moi ce matin et je comptais bien en profiter.
J’ai commencé à déposer de petits baisers sur son épaule, à passer mes ongles sur son torse. Il a voulu se redresser pour me caresser.
- Non Tom ! Reste comme ça !
Il s’est remis sur le dos et je suis passée sur lui. Assise sur son ventre, je sentais son sexe gros et dur contre mes fesses et le bas de mon dos. J’ai toujours été petite par rapport à mes petits amis et si Tom n’était pas forcément le plus grand, il était de loin le plus musclé, le plus large et viril des amants que j’avais connus. Mais là, comme ça, sur lui, je ne me se sentais pas si petite que ça. Dans la lumière du petit matin qui filtrait par ses rideaux, je voyais qu’il admirait mon corps, qu’il aimait ce qu’il voyait.
J’ai bougé lascivement mon bassin, mis mes seins en valeur. J’ai un peu de hanche mais mon ventre est bien plat, ma taille plutôt fine. J’ai juste mis mes mains dans mes cheveux et mes seins son naturellement remontés avec les tétons qui pointaient vers le ciel.
- Tu es splendide Lucie !
J’ai continué à bouger un peu et Tom a placé ses mains sur ma taille, puis les a fait monter sur mes côtes. Je sentais sa force dans ses mains. Puis, il a pris mes seins en coupe, a pincé doucement mes tétons.
Mais ce que je voulais obtenir était fait. Il bandait comme un fou alors j’ai enlevé ses mains de mon corps.
- Interdiction de me toucher jusqu’à ce que je dise autrement.
Il a souri.
- Je n’ai jamais eu un homme aussi beau dans mon lit et ce matin, tu es à moi et je compte bien en profiter.
Je me suis penchée et je me suis faite la plus sensuelle possible. Mes lèvres et ma langue goutaient sa peau et mes ongles la frôlaient. Tom soupirait de désir, son bassin bougeait sous moi. Son cou, ses épaules et même ses biceps, ses pectoraux, ses abdos, j’ai tout embrassé.
Pendant ma descente, son sexe s’est trouvé tour à tour contre mon sexe, mon pubis, mon ventre, entre me seins aussi, ce qu’il a eu l’air d’apprécier particulièrement.
A genoux entre ses jambes, j’ai pris son sexe dans mes mains. Il était vraiment gros. J’ai tout de suite aimé lé sensation de puissance, puissance de son sexe, mais aussi puissance du désir que je lui inspirai. J’avais un pouvoir sur cette masse de chair.
J’ai branlé doucement, empoigné, caressé. Son gland était énorme, juste sous mes yeux, et je me demandais comment il avait pu être en moi quelques heures avant. J’ai sorti ma langue et commencé à m’occuper de lui, entièrement, depuis la base jusqu’au sommet. Tom râlait de plaisir, sa main caressait mes cheveux mais me laissait libre de mes caresses.
- Lucie, si tu n’arrêtes pas, je ne vais pas tenir. J’ai envie d’être en toi.
- Et si moi… je veux… continuer… voir si je peux… Vraiment te donner… du plaisir
- Crois-moi je suis bien placé pour… OOOOHHHH ! Savoir que je prends du plaisir. Viens sur moi.
- D’accord mais les règles restent les mêmes. Pas le droit de bouger.
- Mmmmh ! J’aime l’idée, tu peux en être sûre.
Je suis donc passée sur lui. J’ai pris appui sur ses pectoraux et n’ai même pas eu besoin de prendre son sexe en main pour le guider en moi. Il était dur comme la pierre, décollé de son ventre.
Je mouillais bien mais il était si gros !!!! J’ai pris mon temps pour m’empaler. Il frottait toutes les zones importantes en moi, délicieusement, d’autant plus que je maîtrisais complètement l’angle et la profondeur.
Tom était beau comme ça, les mains croisées derrière sa tête. Il me regardait en souriant. Son torse s’offrait à mes caresses, à mes ongles et son plaisir était évident.
- Continue à bouger comme ça Lucie. Tu es magnifique…
- Tu vas si loin en moi. OOOOHHHHHH !
Son gland venait de toucher un endroit si sensible, si… inconnu ! Je ne me reconnaissais pas. J’étais une furie, une tigresse. Je jouissais, stoppais mes mouvements pour reprendre mon souffle puis les reprenais jusqu’à l’orgasme suivant. Tom n’arrivait plus à ne pas me toucher et je m’en moquais. J’étais bien trop occupée avec mon plaisir.
J’ai vu son plaisir, son orgasme arriver et j’ai continué à bouger mes hanches en rythme jusqu’à ce qu’il ne puisse plus rien me donner, émerveillée par ses propres cris de jouissance.
- Tu es magique Lucie, parfaite.
- Tu n’es pas mal non plus…
- Hein ? seulement pas mal ?
Il m’a regardé et a vu mon sourire moqueur et a éclaté de rire. Tom était de loin le plus exceptionnel amant que j’ai connu. Mais pas seulement. J’étais bien dans ses bras, avant, pendant, et après l’acte.
- Comment… Comment c’est possible ?
- Quoi ?
- Que tu sois célibataire ? Que tu veuilles voir si ça peut marcher entre nous ?
- J’ai eu des petites amies mais je n’ai jamais eu l’impression que ça pourrait marcher sur le long terme. J’ai essayé d’être honnête avec elle et elles savaient que je serais amené à déménager.
- Tu as brisé des cœurs ?
- Malheureusement un ou deux mais ce n’était pas volontaire.
- Et moi, est-ce que tu vas briser le mien ?
- L’avenir nous le dira mais je vais te dire ce que je n’ai jamais dit à personne… Je suis bien avec toi. J’aime t’avoir dans mes bras. J’aime ta douceur et ton charme. J’ai l’impression que c’est possible entre nous.
- Ta réponse me plaît.
Un mois plus tard, Tom me présentait à sa famille et ses amis et emménageait chez moi. On passait tout notre temps chez l’un ou chez l’autre de toute façon.
Le sexe est exceptionnel et le reste de notre relation est tout aussi génial. Je suis amoureuse comme une folle et il me dit et me montre qu’il m’aime de plein de façons. Heureusement d’ailleurs car j’ai eu l’occasion de rencontrer deux de ses ex et c’étaient des canons de beauté, grandes et parfaites pour lui… Mais c’est moi qu’il aime…
Ne vous imaginez pas que je ne les aime pas. Ils sont, la plupart du temps, adorables. Mes parents ont toujours été là pour moi et je m’entends très bien avec mes deux grandes sœurs, mes cousins et cousines… Là, mon problème c’est qu’étant la plus jeune de ma génération dans la famille, je suis la seule encore célibataire. Ce qui fait que tout au long de cet interminable dimanche après-midi, ils ont presque tous eu la bonne idée de me faire remarquer d’une manière ou d’une autre que je n’avais encore personne dans ma vie.
Oui, je suis seule, et alors ? Est-ce que j’y suis pour quelque chose moi ? Forcément un peu mais pour ma défense, je ne suis pas tombée que sur des mecs bien. J’en suis sûre.
Et puis, mon physique ne m’aide pas beaucoup.
Ce n’est pas que je suis moche mais je suis petite, vraiment petite. A 25 ans, je mesure 1,50m, juste ce qu’il faut de hanches et une taille fine. Ma poitrine, j’en suis fière mais je ne la mets pas trop en avant car avec ma petite taille, je vois le regard des quelques mecs qui tentent de me parler indubitablement dirigés vers mon décolleté et non vers mes yeux. Je n’aime pas beaucoup ça et les mecs le voient, sont gênés et me laissent rapidement seule.
Toute ma vie, j’ai eu droit à quelques railleries sur ma taille. Je n’y fais plus attention tant que ça mais pour ce qui est des hommes, je vois bien que ma taille n’attire pas particulièrement. Pour ne rien arranger, je suis peut-être un peu plus timide que la moyenne donc c’est très difficile pour moi de faire le premier pas ou même de répondre favorablement à un premier pas fait par quelqu’un d’autre.
J’ai bien eu quelques copains mais aucune relation vraiment sérieuse. Je dirais que c’était plus pour faire comme les copines mais les mecs ne me plaisaient pas réellement au point d’imaginer du long terme avec eux et clairement, ça leur convenait tout à fait.
Professionnellement, je travaille en tant que comptable dans une société de travaux publics. La quasi-totalité des contacts que j’ai en dehors de mes patrons et de quelques cadres, c’est par téléphone, donc difficile de faire des rencontres dans ce cadre aussi.
Ce fameux dimanche après-midi, quand j’ai enfin réussi à partir de la maison familiale de mon enfance, je me suis fait une promesse. Le premier mec qui me plaisait et que je pensais célibataire, je ferai tout pour le séduire, juste comme ça, pour voir ce que ça pouvait donner.
Plus facile à dire qu’à faire. Soit j’ai une exigence bien trop élevée, soit je n’ai pas de chance du tout.
Après 2 mois complètement infructueux, j’étais prête à abandonner ma quête. Heureusement, de nos jours, il existe des jouets très sympa pour palier à la présence d’un homme dans mon lit. Le sexe n’avait jamais été exceptionnel avec mes précédents petits amis mais au moins, j’adorais la sensation d’un corps chaud contre le mien pour m’endormir, ou le matin au réveil. Une présence masculine me manquait vraiment.
Savez-vous ce qu’il est difficile de faire aussi quand on est petite… Ses courses !!! Bien sûr, il y a toujours des personnes assez gentilles pour vous attraper les paquets en hauteur mais j’en suis vite venue à me contenter de ce qui est à portée de ma main.
Ce soir-là, j’avais décidé que j’allais oublier mon espoir de rencontrer quelqu’un rapidement et j’allais me payer un bon petit repas, une bonne bouteille.
Je flânais dans les rayons et une idée m’est venue. J’allais me faire une bruschetta. J’ai acheté les ingrédients et je me suis dirigée vers le rayon des bruschettas. Bien entendu, la marque que je souhaitais était tout en haut, juste hors d’atteinte.
Juste à ce moment, une voix masculine derrière moi m’a interpelé. Je n’étais jamais très longtemps à attendre. Il y avait toujours quelqu’un prêt à aider une pauvre petite femme au pied d’un rayon. Seulement, cette fois, ce n’était pas juste « Attendez, je vais vous aider »
- Je vous attrape ce que voulez mais en échange d’un service.
- Ah oui ? Quel service ?
Je me suis tournée et l’homme derrière moi devait faire presque 1.80m, large d’épaule. Evidemment, j’ai d’abord eu les yeux au niveau de son teeshirt impeccablement collé à de superbes pectoraux et des épaules larges et musclées. En levant les yeux, la peau de son cou m’a paru douce et attirante, rasée impeccablement. J’avais envie d’y poser les lèvres. Puis, j’ai découvert des yeux rieurs, bleus très clair, magnifiques.
- Je ne connais pas ce magasin et je cherche ce qu’il y a sur ma liste de course depuis un moment. Vous m’indiquez où je peux trouver un ou deux articles et je vous attrape le vôtre.
Son sourire était franc, engageant. J’ai décidé de le taquiner un peu.
- Ok, ça me va. Je ne vais quand même pas laisser un homme dans la mouise alors qu’il fait l’effort pour la première fois de faire les courses sans sa femme ou sa copine.
- OH ! Vous la jouez comme ça !
- Quoi ? Ce n’est pas vrai ?
- Eh bien non figurez-vous ! J’ai juste emménagé ici hier et je n’ai jamais eu l’habitude de venir dans cette chaîne de magasins mais c’est le plus proche de chez moi.
Il aurait pu ne pas apprécier ma remarque mais il m’a répondu en riant à moitié avant d’ajouter avec un petit truc bizarre dans le regard.
- D’ailleurs, c’est malheureusement parce que je n’ai personne que je suis obligé de faire mes courses moi-même. Sinon, vous imaginez bien que je lui aurais laissé cette tâche ingrate.
Cette fois, j’ai éclaté de rire avec lui.
Il m’a attrapé mon article et m’a tendu sa liste en me désignant deux articles. Je lui ai trouvé ses articles en peu de temps.
- Voilà, j’ai rempli ma part du contrat.
- Merci…
- Lucie ! Je m’appelle Lucie !
- Moi c’est Tom !
- Eh bien peut-être à une prochaine fois alors !
Il a semblé hésiter un peu mais a fini par me dire au revoir.
J’avais à peine tourné les talons que ma promesse de tout faire pour séduire le premier homme célibataire qui me plaisait m’est revenue en mémoire. Je n’allais pas me dégonfler cette fois !
- Tom, attendez !
- Oui ?
- J’ai autre chose à vous proposer.
Il souriait toujours et j’aurai pu me perdre dans ce sourire.
- Si vous n’avez rien de particulier à faire pour la fin de l’après-midi, je vous propose de vous aider à faire vos courses, et même, puisque vous venez d’arriver et que tout ne doit pas être parfaitement installé chez vous, de cuisiner pour vous ce soir chez moi.
- C’est très tentant mais je dois faire quoi pour vous en échange ? Rien n’est gratuit je suppose ?
- Non, en effet, j’ai acheté un luminaire pour mon appartement mais je ne me sens pas vraiment capable de l’installer et comme je suis petite, c’est encore moins facile.
Ses yeux ont comme scanné mon corps très rapidement et j’ai senti mes joues rosir.
- Je ne sais pas quand on peut définir quelqu’un de petit ! Je vous trouve parfaite moi. Et j’accepte avec plaisir.
J’ai cherché une trace de moquerie mais je n’en ai vu aucune. Il semblait vraiment sincère. Je sentais de plus en plus une chaleur se diffuser dans mon bas-ventre. Tom me plaisait, comme aucun autre avant lui.
On a déambulé dans le magasin en parlant, en faisant connaissance. La discussion était naturelle et joyeuse entre nous. A la sortie du magasin, on a échangé nos coordonnées et il m’a dit qu’il viendrait dès qu’il aurait rangé les courses chez lui, avec quelques outils.
Je suis rentrée rapidement chez moi pour faire le peu de ménage qui me restait. En rougissant, j’ai rapidement fait une douche et mis mes plus beaux sous-vêtements et une jupe légère avec un haut simple et confortable mais dont le décolleté était prononcé. J’espérais que ça ferait décontracté mais que ça me mettrait bien en valeur.
Tom est arrivé et m’a surpris en m’offrant un très joli petit bouquet de fleurs. Son regard m’a récompensé pour mes efforts en son absence. Il n’y avait rien de pervers mais clairement, il avait un peu de mal à ne pas jeter des coups d’œil vers ma poitrine.
Il s’est mis au travail pour mon luminaire et je le regardais travailler. Ses fesses moulées dans son jean étaient très belles et je devinais des jambes bien musclées. J’ai cru devoir aller changer de sous-vêtements quand il est monté sur l’escabeau. Il avait les bras en l’air et raccordait les câbles électriques.
Son teeshirt remontait naturellement, découvrant le bas de son ventre. Je voyais nettement ses abdos et une fine ligne de poils bruns se perdant dans son jean en partant de son nombril. Mon regard a suivi cette ligne et je n’ai pu m’empêcher de fixer son entrejambe, cherchant à savoir si ce que je croyais deviner sous le tissu était bien ce que je pensais. Le mot « paquet » m’est venu à l’esprit. Tom semblait gâté par la nature.
Après avoir terminé l’installation, on s’est installé pour un apéritif et j’ai ensuite été cuisiner. Tom était à côté de moi, à m’aider pour une chose ou une autre. On parlait, on riait.
J’ai rougi, entre gêne et plaisir quand sa main s’est posée naturellement sur ma taille alors qu’il passait à côté de moi. De temps en temps, je le voyais regarder mes lèvres, mes yeux… Mes courbes aussi. Jamais un mec ne m’avait regardé comme lui et j’aimais ça, mélange de désir, de retenue et… de tendresse il me semblait.
On a encore parlé pendant que les bruschettas doraient dans le four. Tom m’avait semblé un tout petit peu plus âgé que moi mais en fait, j’étais plus âgée de 6 mois. Sa maturité, son assurance, m’avaient trompé.
Je ne voulais pas que cette soirée se finisse mais avant que je m’en aperçoive, le café était fini. On s’est levé et il s’est dirigé vers la porte. Dans le petit couloir d’entrée de mon appartement, on était proches l’un de l’autre.
- Lucie, je te remercie. J’ai passé un après-midi et une soirée géniale. Je n’aurais jamais cru que je passerai d’aussi bons moment le dès lendemain de mon arrivée ici. C’est grâce à toi…
J’ai vu un regard sérieux d’un coup. Je me suis dit « il va y avoir un « mais ». J’ai encore du faire une connerie et il va me dire qu’il ne veut plus me revoir »
- Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
- Tu ne devrais pas faire ça !
- Faire quoi ?
- Tourner ta mèche de cheveux comme ça… Ou te mordiller la lèvre… Ou sourire…
- Pou… Pourquoi ?
- Parce que ça me donne trop envie de t’embrasser… Et plus encore…
Il s’est approché de moi. J’étais adossée contre le mur. Je ne suis même pas sûre que je respirais encore à ce moment-là. C’est d’ailleurs peut-être le manque d’oxygène au cerveau qui m’a fait agir comme je l’ai fait. J’ai saisi doucement le premier bouton de mon décolleté et je l’ai ouvert, puis le second. Ma poitrine tendait le tissu qui s’ouvrait au fur et à mesure sur mon soutien-gorge en dentelle rouge.
- Tu vas me tuer Lucie !
- Je… Je n’ai jamais fait ça… J’ai envie de toi depuis qu’on s’est rencontré dans le magasin.
- Moi aussi. Il a fallu que je me retienne de t’acheter un énorme bouquet de roses rouges. Je ne voulais pas te faire peur.
- Au moins, j’aurais su tout de suite qu’on était sur la même longueur d’onde.
Au moment où le dernier bouton de mon chemisier s’ouvrait, Tom s’est penché pour m’embrasser. L’une de ses mains est passée derrière ma nuque alors que l’autre se posait, chaude comme la braise, sur la peau nue de ma taille. Son pouce pressait légèrement au niveau de mes côtes. Je ressentais tout à un niveau érotique très élevé. On a tous les deux gémi de satisfaction quand nos lèvres sont entrées en contact.
Le baiser a été long, passionné et quand il a pris fin, on était presque essoufflés. Tom s’est redressé.
- Je suis désolée Tom, je suis petite, ce n’est pas agréable pour toi.
- Ne dis plus jamais ça !
Il m’a soulevé comme si je ne pesais rien et m’a plaqué au mur contre lui. Il m’a paru si fort, si puissant. Une bosse appuyait doucement sur mon sexe. Je me croyais excitée mais ce n’était rien par rapport à ce que j’ai connu ensuite, d’abord lorsque sa bouche est passée dans mon cou, depuis la base de mon cou jusqu’à mon oreille. Puis, ensuite, quand il m’a jetée sur le lit avant d’enlever un à un lentement ses vêtements.
J’ai seulement enlevé ma jupe car quand j’ai voulu enlever ma lingerie, il m’a fait comprendre de la laisser.
Tom était très, très bien foutu, magnifique même, carrément trop bien pour moi. Il était musclé de partout sans que ce soit « trop ». Je commençais à avoir un sérieux complexe en le regardant.
Mais si j’avais un petit doute sur mon pouvoir de séduction d’un homme comme lui, j’ai vite réalisé que Tom me trouvait au moins un peu désirable. Il bandait déjà très fort et j’avais la confirmation que le « paquet » était imposant.
Mais, plus que son érection, c’est son regard et ses caresses douces, quand il s’est allongé contre moi, qui m’ont convaincu qu’il avait très envie de moi.
- J’ai complètement craqué sur toi dans le rayon Lucie. J’étais en train de me demander ce que je pouvais inventer pour te parler encore, pour réussir à avoir ton numéro, quand tu m’as offert la solution. Je ne t’aurai pas laissé sortir du magasin sans te demander de me revoir.
En appui sur un coude, sa main libre passait sur tout mon corps. Sa bouche déposait des baisers. Mes gros seins pointaient vers le ciel, tendus, les tétons gonflés de désir. Je n’en pouvais plus. Je l’ai attiré à moi et il est passé entre mes jambes. On s’est embrassé de longues minutes sans stopper nos caresses, son gland juste à l’entrée de ma chatte.
Enfin, il a poussé. J’ai ouvert les jambes en grand et il s’est enfoncé en moi. J’ai poussé un cri étouffé par son baiser. Il était doux, tendre, passionné.
On s’est regardé dans les yeux et j’ai réalisé qu’il me faisait l’amour. Je crois que c’était la première fois qu’on me faisait réellement l’amour. Avant lui, c’était du sexe, avec quand même de la tendresse, mais juste du sexe.
J’ai commencé à le caresser partout, à l’embrasser partout, tout en gémissant de plaisir. Je bougeais le bassin et c’était moi qui l’attirais plus en moi. Il me laissait le prendre de plus en plus profondément. Il s’est redressé et le contact de son torse puissant me manquait déjà mais ses mains se sont posées sur mes seins d’abord, puis mes côtes, ma taille et mes hanches. Son gland était fiché tout au fond de moi.
Tom était magnifique comme ça. J’ai vu ses muscles se tendre et il a commencé des va et vient. Chaque mouvement me faisait gémir, feuler.
- Mon dieu TOM ! OOOOHHHH ! LA ! N’ARRETE PAS !!!!! OOOOHHHH !
Moi d’habitude plutôt discrète, j’exprimais fort mon plaisir, criait son nom encore et encore, et sa bouche n’était plus sur la mienne pour étouffer mes cris de plaisir.
- Jouis Lucie ! Putain c’est trop bon !
Parfois il se penchait sur moi et m’embrassait comme un fou en m’enlaçant, me faisant me sentir aimée, protégée. Puis, il se redressait et ses mains étaient partout sur moi, me tirant contre lui, son sexe pistonnant mon ventre. Je suis incapable de dire combien de fois j’ai joui, 3 ou 4 fois minimum, mais entre chaque orgasme, le plaisir retombait à peine.
Je l’ai attiré à moi et j’ai murmuré dans son oreille.
- Jouis Tom, Jouis en moi ! C’est bon ! Trop bon ! Tu me donnes tellement de plaisir. TOM ! OH MON DIEU !
Tom a joui en moi, ses bras autour de moi, ma tête dans le creux de son cou. J’étais au paradis. Rien de ce que j’avais pu vivre jusque-là n’égalait de près ou de loin ce que je ressentais à cet instant.
On est resté un bon moment comme ça, son sexe encore presque dur en moi, reprenant notre souffle. Mon esprit a commencé à vagabonder. Mon dieu, il allait se lever, s’habiller et partir, me laissant complètement brisée. Je venais de vivre un coup de foudre, j’en étais sûre. Son départ allait me faire mal comme jamais.
Il s’est allongé à côté de moi et m’a caressé, cajolé, embrassé. Mais j’étais tendue et il l’a senti.
- Lucie, ça va ?
- …
- Lucie, si tu me dis que tu veux que je parte, je comprendrais mais… Après ce que je viens de vire avec toi, je voudrais au moins que tu me promettes de me laisser te rappeler, d’accepter de sortir avec moi pour voir si ça pourrait marcher entre nous.
Je me suis jetée sur lui. Je l’ai serré contre moi, embrassé, des larmes me coulaient sur les joues.
- Je suis désolée Tom, Je veux que tu restes… Je…
- Quoi Lucie ? Dis-moi ! Qu’est-ce qui ne va pas ? J’ai fait quelque chose de mal ?
- Non, au contraire. J’ai juste eu peur que tu t’en ailles après... après m’avoir fait l’amour… Je n’ai jamais ressenti ça avec un autre et pendant un moment, je me suis dit que tu allais partir et que tu ne voudrais plus me revoir.
- Je t’ai donné cette impression ?
- Non ! Mais j’ai eu peur quand même ! Et j’ai très envie de voir si ça peut marcher entre nous…
- Je n’ai jamais ressenti ça non plus.
On s’est recouché après avoir fait une petite toilette et on a parlé un long moment avant de trouver le sommeil. J’étais calée dans le creux de son épaule quand je me suis réveillée. Ma jambe était repliée sur son ventre, mon bras sur son torse.
Je pense l’avoir réveillé en me collant encore plus contre lui, un soupir de bien être s’échappant de ma bouche. J’ai senti son bras m’enlacer et surtout, au bout de quelques instant, son sexe durcir contre mon mollet. La chaleur dans mon bas-ventre grandissait à nouveau. Tom était encore auprès de moi ce matin et je comptais bien en profiter.
J’ai commencé à déposer de petits baisers sur son épaule, à passer mes ongles sur son torse. Il a voulu se redresser pour me caresser.
- Non Tom ! Reste comme ça !
Il s’est remis sur le dos et je suis passée sur lui. Assise sur son ventre, je sentais son sexe gros et dur contre mes fesses et le bas de mon dos. J’ai toujours été petite par rapport à mes petits amis et si Tom n’était pas forcément le plus grand, il était de loin le plus musclé, le plus large et viril des amants que j’avais connus. Mais là, comme ça, sur lui, je ne me se sentais pas si petite que ça. Dans la lumière du petit matin qui filtrait par ses rideaux, je voyais qu’il admirait mon corps, qu’il aimait ce qu’il voyait.
J’ai bougé lascivement mon bassin, mis mes seins en valeur. J’ai un peu de hanche mais mon ventre est bien plat, ma taille plutôt fine. J’ai juste mis mes mains dans mes cheveux et mes seins son naturellement remontés avec les tétons qui pointaient vers le ciel.
- Tu es splendide Lucie !
J’ai continué à bouger un peu et Tom a placé ses mains sur ma taille, puis les a fait monter sur mes côtes. Je sentais sa force dans ses mains. Puis, il a pris mes seins en coupe, a pincé doucement mes tétons.
Mais ce que je voulais obtenir était fait. Il bandait comme un fou alors j’ai enlevé ses mains de mon corps.
- Interdiction de me toucher jusqu’à ce que je dise autrement.
Il a souri.
- Je n’ai jamais eu un homme aussi beau dans mon lit et ce matin, tu es à moi et je compte bien en profiter.
Je me suis penchée et je me suis faite la plus sensuelle possible. Mes lèvres et ma langue goutaient sa peau et mes ongles la frôlaient. Tom soupirait de désir, son bassin bougeait sous moi. Son cou, ses épaules et même ses biceps, ses pectoraux, ses abdos, j’ai tout embrassé.
Pendant ma descente, son sexe s’est trouvé tour à tour contre mon sexe, mon pubis, mon ventre, entre me seins aussi, ce qu’il a eu l’air d’apprécier particulièrement.
A genoux entre ses jambes, j’ai pris son sexe dans mes mains. Il était vraiment gros. J’ai tout de suite aimé lé sensation de puissance, puissance de son sexe, mais aussi puissance du désir que je lui inspirai. J’avais un pouvoir sur cette masse de chair.
J’ai branlé doucement, empoigné, caressé. Son gland était énorme, juste sous mes yeux, et je me demandais comment il avait pu être en moi quelques heures avant. J’ai sorti ma langue et commencé à m’occuper de lui, entièrement, depuis la base jusqu’au sommet. Tom râlait de plaisir, sa main caressait mes cheveux mais me laissait libre de mes caresses.
- Lucie, si tu n’arrêtes pas, je ne vais pas tenir. J’ai envie d’être en toi.
- Et si moi… je veux… continuer… voir si je peux… Vraiment te donner… du plaisir
- Crois-moi je suis bien placé pour… OOOOHHHH ! Savoir que je prends du plaisir. Viens sur moi.
- D’accord mais les règles restent les mêmes. Pas le droit de bouger.
- Mmmmh ! J’aime l’idée, tu peux en être sûre.
Je suis donc passée sur lui. J’ai pris appui sur ses pectoraux et n’ai même pas eu besoin de prendre son sexe en main pour le guider en moi. Il était dur comme la pierre, décollé de son ventre.
Je mouillais bien mais il était si gros !!!! J’ai pris mon temps pour m’empaler. Il frottait toutes les zones importantes en moi, délicieusement, d’autant plus que je maîtrisais complètement l’angle et la profondeur.
Tom était beau comme ça, les mains croisées derrière sa tête. Il me regardait en souriant. Son torse s’offrait à mes caresses, à mes ongles et son plaisir était évident.
- Continue à bouger comme ça Lucie. Tu es magnifique…
- Tu vas si loin en moi. OOOOHHHHHH !
Son gland venait de toucher un endroit si sensible, si… inconnu ! Je ne me reconnaissais pas. J’étais une furie, une tigresse. Je jouissais, stoppais mes mouvements pour reprendre mon souffle puis les reprenais jusqu’à l’orgasme suivant. Tom n’arrivait plus à ne pas me toucher et je m’en moquais. J’étais bien trop occupée avec mon plaisir.
J’ai vu son plaisir, son orgasme arriver et j’ai continué à bouger mes hanches en rythme jusqu’à ce qu’il ne puisse plus rien me donner, émerveillée par ses propres cris de jouissance.
- Tu es magique Lucie, parfaite.
- Tu n’es pas mal non plus…
- Hein ? seulement pas mal ?
Il m’a regardé et a vu mon sourire moqueur et a éclaté de rire. Tom était de loin le plus exceptionnel amant que j’ai connu. Mais pas seulement. J’étais bien dans ses bras, avant, pendant, et après l’acte.
- Comment… Comment c’est possible ?
- Quoi ?
- Que tu sois célibataire ? Que tu veuilles voir si ça peut marcher entre nous ?
- J’ai eu des petites amies mais je n’ai jamais eu l’impression que ça pourrait marcher sur le long terme. J’ai essayé d’être honnête avec elle et elles savaient que je serais amené à déménager.
- Tu as brisé des cœurs ?
- Malheureusement un ou deux mais ce n’était pas volontaire.
- Et moi, est-ce que tu vas briser le mien ?
- L’avenir nous le dira mais je vais te dire ce que je n’ai jamais dit à personne… Je suis bien avec toi. J’aime t’avoir dans mes bras. J’aime ta douceur et ton charme. J’ai l’impression que c’est possible entre nous.
- Ta réponse me plaît.
Un mois plus tard, Tom me présentait à sa famille et ses amis et emménageait chez moi. On passait tout notre temps chez l’un ou chez l’autre de toute façon.
Le sexe est exceptionnel et le reste de notre relation est tout aussi génial. Je suis amoureuse comme une folle et il me dit et me montre qu’il m’aime de plein de façons. Heureusement d’ailleurs car j’ai eu l’occasion de rencontrer deux de ses ex et c’étaient des canons de beauté, grandes et parfaites pour lui… Mais c’est moi qu’il aime…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire et j'ai envie d'en connaître une identique car après plusieurs mois d'abstinence je n'ai pas envie de me contenter d'un joujou en lieu et place d'un beau gosse
Merci, une histoire d'amour ça change un peu
C'est une très belle histoire d'amour et de tendresse.
Mon côté fleur bleue est comblé.
Mon côté fleur bleue est comblé.
Quelle histoire merveilleuse. L'amour vrai dans toute sa tendresse. merci pour ce récit.
J'espère que cette histoire est vraie car très belle.
J'espère que cette histoire est vraie car très belle.