Petite douceur

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Petite douceur Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petite douceur
Je suis tombé amoureux !

Et c’est bien la dernière chose à laquelle je m’attendais.

J’ai 42 ans, 2 enfants, un fils de 21 ans et une fille de 20ans. Ma femme et moi avons eu nos enfants tôt… Heureusement car sinon, elle n’aurait pas pu en profiter. Elle m’a quitté il y a 4 ans, après 3 ans de combat contre une saloperie de cancer.

J’ai aimé Marie comme un dingue et c’était réciproque. Elle était belle et intelligente, très drôle. Elle se faisait des amis partout où elle allait.

On était un couple heureux, que ce soit professionnellement, dans notre intimité, dans nos jeux sexuels, ou grâce à nos enfants.

Julie et Hugo ont eu du mal avec la mort de leur mère. Elle était géniale avec eux et compte tenu de mes amplitudes horaires, elle s’est un peu plus occupée d’eux étant petits.

Pour moi, la perte de ma femme a été une catastrophe. Même si à la fin, son état de santé m’a obligé à reprendre en main tout ce qu’il fallait faire dans la maison, je ne me faisais pas à son absence.

Extérieurement, j’ai tout fait pour apporter tout le soutien nécessaire à mes enfants mais intérieurement, j’étais dévasté.

2 ans après la mort de Marie, mes enfants sont arrivés un vendredi soir ensemble. Ils m’ont fait prendre conscience que je n’étais plus moi-même. Je m’étais renfermé dans mon monde, ressassant sans cesse les moments de bonheur vécus avec leur mère. Ils m’ont incité à totalement changer de cadre de vie.

Financièrement, Marie et moi n’avions jamais eu de problèmes. On peut même dire qu’on a toujours fait partie des gens aisés. Depuis sa mort, je m’étais immergé dans le travail encore plus, gagnant encore plus d’argent sans avoir l’opportunité de le dépenser, sauf pour aider mes enfants à bien démarrer dans la vie.

J’ai pris conscience qu’ils avaient raison, que je ne pouvais pas continuer comme ça et une chose m’a fait horreur, je me suis dit que Marie n’aimerait pas l’homme que j’étais devenu. J’étais quelqu’un de très sportif mais j’avais tout arrêté suite à son décès.

J’ai donc cherché ce que je pouvais faire de ma « nouvelle vie ». Le hasard a fait que mes 2 enfants s’installaient dans le Finistère, pas très loin l’un de l’autre.

J’ai décidé de chercher par là-bas, pas trop près d’eux pour leur laisser leur espace mais suffisamment près pour qu’on puisse se voir régulièrement sans faire trop de route.

Je me suis acheté une maison à 3 km de la mer, avec pas mal de travaux à faire. En parallèle, j’ai trouvé un travail à temps partiel où je pourrais mettre à profit mon expérience professionnelle.

J’ai mis notre maison en location ce qui me faisait un complément de revenu non négligeable étant donné que notre maison était bien située en région parisienne. On s’est réparti les meubles avec mes enfants et j’ai donné le reste.

J’ai commencé à apprécier ma nouvelle vie, beaucoup plus tranquille.

Je travaillais 2 à trois jours par semaines et un autre conseiller était présent les autres jours.

J’ai retrouvé un club de Judo et une salle de sport. En 6 mois, j’avais retrouvé en majeur partie le physique dont j’étais plutôt fier avant.

Enfin, le reste de mon temps, je le partageais entre mes travaux et les moments que je passais avec mes enfants.

Cela faisait un an que j’étais dans cette nouvelle routine et je commençais à me faire de nouveaux amis.

Un samedi, un copain, m’a demandé si je pouvais venir l’aider à monter une nouvelle clôture. J’ai accepté sans problème car en plus, sa femme était une cuisinière hors pair. On s’est donc retrouvé à 3 à creuser, faire du béton et planter les poteaux. Je ne connaissais pas l’autre gars mais il était sympa et bosseur. On était le 25 août et il faisait beau et chaud. C’était très agréable de bosser dehors.

On a fini de bosser vers 19h00. On avait rencontré des problèmes à un endroit et pris du retard. Il fallait absolument que je rentre chez moi pour prendre une douche car je n’avais rien prévu pour la faire ici.

Je suis reparti à ma voiture qui était garée au bord de la route un peu plus loin pour ne pas nous gêner.

J’ai croisé une jeune femme. Elle m’a regardé quelques instants dans les yeux et j’ai vu ses yeux glisser sur mon torse et elle a rougi un peu. J’ai été un peu gêné car j’étais en sueur avec de la terre et de la poussière qui s’était collé à ma peau. Son regard sur mon torse m’avait paru loin d’être un regard dégoûté.

Elle était plus petite que moi, portait une jupe légère et une sorte de pull laissant ses épaules dénudées. J’ai honte de moi mais je n’ai pas pu ne pas remarquer que le pull était terriblement déformé par une paire de sein qui paraissait fabuleuse. Elle avait un teint de peau hâlé et une chevelure châtain qui semblait épaisse, ondulée, si elle n’était pas retenue en queue de cheval.

On s’est souri, dit bonjour, et croisés. Après avoir fait quelques pas, je n’ai pas pu m’empêcher de me retourner. On l’a fait en même temps. Elle s’est retournée tout de suite, un peu gênée. Moi, j’ai juste pris le temps de voir qu’elle avait de très jolie jambes et ses fesses semblaient vraiment belles.

Je lui avais trouvé un charme fou… Et ça m’a complètement chamboulé car j’avais l’impression de tromper la mémoire de ma femme.

Je suis rentré et je me suis douché rapidement avant de retourner chez Manu.

Quand je suis arrivé sur la terrasse, il y avait mon couple d’amis et le gars rencontré aujourd’hui avec celle que je pensais être sa femme. On s’est présenté et elle s’appelait Noémie.

Cette fois, j’étais plus présentable mais elle a quand même rougi, suite à la gêne de notre rencontre précédente. Son mari m’a parlé toute la soirée car il avait des projets et mon aide pouvait lui être utile. J’ai très peu eu l’occasion de parler avec Noémie car les 2 autres femmes l’accaparaient.

Mon impression s’est confirmée toute la soirée. Je la trouvais complètement craquante.

Fanny avait préparé quelques salades et autres plats à manger froid. Tout était très bon.

A un moment, j’ai été tout simplement au toilettes. Noémie et Julie parlaient dans la salle de bain et le conduit de la VMC m’a permis d’entendre toute leur conversation.

- Alors, ça va la soirée ?
- Oui, oui.
- Tu as vu, tout le monde est sympa non ?
- Oui, tu as raison.
- Et Marc, tu en penses quoi ?
- Il est sympa aussi.
- Arrêtes, je ne te parle pas de ça. Tu le trouves comment ?
- Tu veux me demander ce que je pense de lui après être passée pour une cruche avant même de le connaître ?
- Arrêtes, je suis mariée et heureuse en ménage mais ça ne m’a pas empêché de regarder une fois ou deux par la fenêtre de la cuisine cet après-midi. C’était un spectacle plutôt plaisant d’avoir trois beaux hommes torse nu chez moi aujourd’hui. Ton cousin aussi est pas mal non plus d’ailleurs.
- Et comme si ça ne suffisait pas d’avoir bavé sur son torse en le croisant, il a fallu que je me retourne pour le voir de dos et qu’il me surprenne !
- Tu es célibataire, je ne vois pas du tout pourquoi tu devrais te priver de regarder. Et s’il s’est retourné en même temps que toi, c’est qu’il devait vouloir te mater aussi ! Il n’a pas arrêté de lancer des coups d’œil vers toi toute la soirée ! Il est célibataire aussi d’ailleurs au cas où ça t’intéresse…
- Tu sais pourquoi il n’a personne ?
- En fait je ne le connais pas vraiment mais je demanderai à Manu…
-
Elles sont sorties à ce moment-là. J’avais appris des choses vraiment intéressantes. D’abord, qu’elle m’avait trouvé pas mal. Ensuite, que ce n’était pas son foutu mari mais son cousin !

Je suis parti peu après de la soirée.

Quand je me suis couché, j’ai eu pour la première fois depuis le décès de ma femme réellement envie d’une autre. Je ne suis pas resté 3 ans sans me masturber et j’ai regardé quelques pornos sur internet, lu quelques histoires érotiques ou hard mais jamais encore, ce n’était une femme rencontrée dans la vie de tous les jours qui occupait mes fantasmes.

Le lendemain, je suis retourné chez Manu le matin pour quelques finitions. J’ai été franc avec Manu. Je lui ai dit que j’avais trouvé un charme fou à Noémie. Il m’a souri et m’a juste dit que dans ce cas-là, je devais la contacter moi-même… Et qu’il me comprenait. Les mecs sont souvent moins causants que les filles donc il a refusé de me dire pourquoi elle était célibataire. Il m’a dit qu’il se débrouillerait pour m’envoyer son numéro de téléphone le soir même.



NOEMIE

Je m’appelle Noémie. J’ai 37 ans, un petit garçon de 10 ans que j’ai eu avec celui qui était encore mon mari à l’époque.

J’ai rencontré mon mari 2 ou 3 ans après la fin de mes études. C’était un coureur de jupons, je le savais mais je savais aussi qu’il était amoureux de moi. Les premières années, c’était vraiment très bien. Je suis tombée enceinte de Léo par accident. Est-ce que c’est moi qui ait oubliée de prendre la pilule ? Je ne crois pas mais de toutes façons, le fait est là, j’ai eu Léo. Mon mari n’était pas prêt à être père. Je me suis rendu compte bien trop tard qu’il ne serait jamais prêt à ça.

Ça a été le début d’une période très pénible pour moi, car elle l’était pour lui aussi. J’ai entendu des rumeurs comme quoi, quand il était en déplacement, il draguait d’autres femmes. Enfin, il y a 3 ans, je l’ai surpris avec une autre. Il ne se passait pas grand-chose entre lui et moi depuis un moment mais ça fait mal quand même.

Ça fait maintenant 2 ans que nous sommes officiellement divorcés. Il n’a fait aucune difficulté et ça fait plus d’un an qu’il n’a pas cherché à voir son fils, trop occupé à faire la fête suite à son déménagement à l’autre bout de la France.

L’année dernière, je suis sortie avec un ou deux hommes qui me draguaient de temps en temps, même avant mon divorce. Mais je me suis vite rendue compte que ce n’étaient pas des gars biens.

Et puis voilà qu’en allant chez ma meilleure amie, je tombe sur l’incarnation de la virilité selon mes goûts.

Quand je l’ai croisé, j’ai d’abord vu ses cheveux bruns et ses yeux bleus très clairs, son visage n’avait rien d’extraordinaire mais j’aimais bien sa mâchoire assez proéminente.

Il avait des épaules carrées et des bras musclés, des pectoraux développés et clairement ce qu’il fallait au niveau des abdos. Je ne parle pas des muscles des jeunes qui passent leur temps à sculpter leur corps, je parle de vrais muscles.

Il était sale, en sueur, poussiéreux mais tellement sexy. J’en ai eu des papillons dans le ventre.

Il avait vu que je l’avais regardé des pieds à la tête et j’ai rougi comme une gamine, encore plus sous le charme quand il m’a décoché un sourire franc et gentil.

J’ai eu la très gênante mais agréable surprise de le voir revenir propre 20 minutes plus tard.

J’avais confié à Julie avoir croisé un mec canon en venant chez elle, lui avait raconté m’être fait prendre à le mater. Elle avait trouvé hilarant de ne pas me dire qu’il revenait ici.

Il était moins sexy en chemise mais beaucoup plus craquant.

J’ai appris après le départ de Marc, par le mari de Julie, que Marc avait perdu sa femme d’un cancer mais il ne savait pas exactement combien de temps avant.

Je dois avouer qu’il m’avait vraiment tapé dans l’œil.

4 jours plus tard, un numéro inconnu m’a appelé. J’ai laissé la personne déposé un message si c’était important, ras le bol de ces saletés de publicités.

La petite enveloppe s’est affichée peu après.

- « Bonjour Noémie, c’est Marc. On s’est rencontrés chez Manu et Julie. J’espère ne pas vous choquer mais j’aimerais beaucoup vous inviter à déjeuner ou dîner. Je sais qu’on n’a pas eu beaucoup l’occasion de se parler mais justement, j’aurais aimé faire plus connaissance. Au cas où mon numéro ne s’affiche pas, c’est le 06……….. Bonne soirée »

Sa voix n’était pas très assurée. Je préférais largement ça à la voix d’un coureur de jupons comme l’aurait été celle de mon ex à coup sûr.

Je me suis rendue compte que j’avais le cœur qui battait comme celui d’une gamine quand j’appuyais sur la touche de rappel.


Julie a accepté mon rendez-vous. On a commencé par déjeuner. A la fin du déjeuner, elle m’a avoué avoir un fils de 10 ans, guettant ma réaction. Ce n’était absolument pas un repoussoir en ce qui me concernait.

Par la suite, on s’est revu plusieurs fois et notamment, un jour, pour une balade le long de la mer. Son fils sautait de rocher en rochers au bord de la mer comme n’importe quel enfant. Je l’aimais bien. C’était un gentil gamin.

A un moment, elle m’a montré un homme qu’on allait croiser et m’a demandé de jouer le jeu. Elle a pris ma main dans la sienne.

L’homme a bien vu ça et n’a pas semblé en être content mais a répondu au bonjour de Noémie.

Quand il a été hors de vue, j’ai senti la main de Noémie se détendre comme pour lâcher la mienne alors c’est moi qui l’ai gardée cette fois. Elle m’a regardé en souriant et on a continué la balade comme ça. Quand son fils est revenu vers nous, j’ai voulu lâcher sa main mais cette fois, c’est elle qui a gardé la mienne.

L’homme qu’on avait croisé travaillais parfois avec elle et la draguait ouvertement alors qu’elle ne l’aimait pas du tout.

A chaque fois que je voyais Noémie, je le trouvais plus belle, plus craquante… Plus désirable.

Puis on s’est embrassé, à la fin d’un déjeuner, chacun avant de partir au travail, un baiser long, tendre. J’ai senti sa poitrine presser mon torse. Ses lèvres étaient douces.

Je n’ai pas pu m’empêcher de bander quasi instantanément. Noémie l’a senti et s’est encore plus collée à moi. Elle m’a souri.

- Désolé Noémie.
- Ne sois pas désolé. C’est très flatteur.
-
Elle a regardé autour de nous, nous étions seuls. Elle a écarté son gilet très légèrement et j’ai tout de suite vu ce qu’elle me montrait. Ses tétons pointaient sous son teeshirt.

- Je suis dans le même état après tout.

On a eu du mal à se séparer ce midi-là.

Le vendredi soir, j’ai proposé de les emmener faire un petit pique-nique au bord de la mer.

Je suis arrivé chez elle vers 18h30. Quand elle m’a ouvert, elle était en short ultra court, moulant ses jolies fesses à la perfection, avec un débardeur ne laissant aucune place à l’imagination. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle a passé ses mains derrière ma nuque et m’a embrassé.

- Viens, entres !

Elle est allée vers son salon. Ses fesses étaient splendides, ses jambes musclées et bronzées me donnaient envie de les sentir autour de ma taille.

Je n’ai pas pu résister, je l’ai rattrapée en me collant à elle par derrière après avoir vérifié que Léo n’était pas dans les parages. J’ai passé mes bras autour d’elle, pressant mon sexe qui gonflait contre ses fesses. Ses cheveux étaient remontés en un chignon un peu en bataille. J’ai déposé mes lèvres dans son cou et sa nuque alors qu’elle penchait un peu la tête pour me faciliter les choses.

- Donc, j’ai bien choisi ? ma tenue te plaît ?
- Oui, énormément. Et je peux t’assurer que je regrette de me séparer de ton corps même 30 secondes mais si Léo arrive, ce sera gênant.
- … Et si je te disais qu’il dort chez un copain ce soir… Et que je ne suis pas sûr d’avoir envie d’aller me balader.

Elle s’est tournée vers moi en se collant au maximum. Elle rougissait, les yeux plantés dans les miens.

- Pour résumer, on ne part pas en balade, je suis seul avec la femme dont je suis tombé fou amoureux… Une femme qui a un charme fou, extrêmement désirable… Une femme dont je rêve de découvrir le corps depuis que je l’ai rencontrée… Et on est dans une maison qui comporte au moins un grand lit…
- Tu as bien résumé, mais je rajouterai juste que tu es avec une femme qui n’a jamais eu autant envie d’un autre homme…
- Je me demande bien ce qu’on va faire ?

On a rigolé doucement avant de s’embrasser, d’abord tendrement, puis avec une passion grandissante.

- Oh Marc ! J’ai tellement envie !
- C’est tellement bon d’être avec toi Noémie !

Mes mains passaient sur son corps entier, appréciait en même temps sa féminité, la douceur de sa peau, ses courbes incroyables. Le corps de Noémie est un subtil mélange entre corps tonique, musclé et juste ce qu’il faut enrobé pour être incroyablement féminin.
J’ai soulevé Noémie et elle a croisé ses chevilles dans mon dos.
- Pas ici, dans la chambre… Vite !


Il voulait me déshabiller mais je l’ai devancé, j’ai presque arraché son teeshirt.

J’ai pu passer mes mains sur sa peau, toucher enfin ses muscles, son corps d’homme. Ça faisait tellement longtemps pour moi.

Je n’arrive pas à dissocier sexe et amour, ou au minimum tendresse donc je n’avais couché avec personne depuis mon divorce. Trois ans, c’est long, même avec tous les sextoys du monde.

Je caressais et embrassais encore son torse quand il m’a pris les mains pour me stopper.

Ses yeux ont parcouru mon corps, s’arrêtant longuement sur le décolleté de mon débardeur. Je savais qu’il mettait ma poitrine en valeur. Il a embrassé le dessus de ma poitrine avant de m’enlever lentement le débardeur tout en me regardant dans les yeux.

Les quelques hommes qui les ont vus nus m’ont tous dit qu’ils n’en n’avaient jamais vu de plus beaux. J’aime voir que les hommes me trouvent attirante, bien foutue, j’ai toujours aimé ça. Mais le regard de Marc ! Ça me rendait encore plus fière de mes seins gros et fermes.

Il a pris mes seins à pleines mains, et s’est penché pour les embrasser, les sucer. C’était doux et franc à la fois, très bon.

Mon short et ma culotte sont tombés sur mes chevilles rapidement. Il m’a allongé sur le lit et a enlevé ses derniers vêtements.

Décidément, Marc était « vraiment » sorti de mes plus grands fantasmes. Son sexe était déjà dur comme la pierre, plus long que les quelques-uns que j’avais pu connaître avant, mais surtout, plus gros ! Le gland était vraiment beau, un peu plus large que la verge, elle-même bien large, très légèrement courbée vers le haut, avec de grosses veine qui couraient tout du long. Une perfection selon moi. J’avais hâte de sentir remuer ce pieu en moi, de découvrir ce qu’il pouvait me faire.

Son regard trahissait son désir de me prendre mais il a posé sa bouche sur mon sexe, me dévorant lentement, méthodiquement, me faisant couiner de désir et de plaisir. Mon ex n’avait jamais voulu me faire cette caresse. Je découvrais et j’adorais.

On s’est à nouveau embrassé et il s’est mis à genoux entre mes cuisses. La base de son sexe juste sur mon clitoris. J’ai saisi son manche pour en apprécier la dureté, la grosseur. Elle était tellement belle ! Tellement agréable à tenir dans ma main. J’ai branlé doucement, émerveillée par sa taille.

Il s’est positionné et m’a pénétré lentement, attentionné à mes réactions. Je le sentais vraiment gros en moi mais j’étais tellement trempée que je ne sentais que du plaisir.

Mes mains se baladaient sur ses épaules, ses bras, ses flancs, ses fesses.

A un moment, Marc a caressé ma joue, mon cou, m’a embrassé, dit « je t’aime »… Et j’ai joui, un orgasme profond, venant de tout mon corps, presque silencieux. Je tentais de bouger sous lui mais il continuait ses mouvements lents et amples, prolongeant mon orgasme.

Quand il s’est calmé, il a fallu que je reprenne ma respiration, que je comprenne ce qui venait de m’arriver. Je n’avais jamais connu des sensations si intenses. Des larmes de bonheur ont coulé de mes yeux. Marc les a bues. Je lui ai répété que je l’aimais dix fois au moins.


MARC

J’aimais Marie, je savais ce qu’était l’amour. J’étais persuadé de l’avoir retrouvé avec Noémie.

Noémie n’arrêtait pas de me dire je t’aime. J’étais au paradis. Noémie était extrêmement sensuelle, d’une tendresse folle, mais timide sexuellement. Elle n’avait clairement pas eu le bon partenaire avant moi. Comment ne pas dévorer son sexe dont le goût me plaisait tellement.

Elle était clairement impressionnée par ma taille aussi et ça me plaisait beaucoup, flattait mon égo.

J’ai commencé à pistonner un peu plus vigoureusement. Les yeux de Noémie se sont ouverts en grand, ses mains se sont crispées sur mes avants bras, ongles presque plantés dedans. J’allais plus loin en elle.

Elle a commencé à rouler du bassin sous moi, en rythme d’abord, puis de façon plus anarchique, sa jolie voix a commencé à se faire entendre. Elle gémissait de plus en plus fort.

Elle a passé ses mains derrière ma nuque et a baissé ma tête vers son sein. J’ai gobé son téton, sucé, le visage enfoui dans la douceur de sa poitrine dans un orgasme énorme.

- MARC ! OUI ! OUI ! OOOOHHHHH ! MON DIEU ! ENCOREEEE !

J’ai accéléré et j’ai senti mon plaisir venir. J’ai joui en elle.

- Oh mon dieu ! Je sens ! Je te sens jouir ! OUIIIIIIIII !

On s’est effondré, tous les 2 essoufflés mais ayant du mal à décoller nos lèvres.

On est allés prendre une petite douche et on a quand même mangé ce que j’avais préparé pour le pique-nique.

On s’est mis dans son canapé, moi en caleçon, elle dans une magnifique petite nuisette, blottie dans mes bras.

Pour la première fois depuis le décès de Marie, je retrouvais goût à la vie en dehors de la présence de mes enfants.

On a parlé un long moment en se faisant de petites caresses.

Noémie s’est retournée et on s’est embrassé tendrement. Puis, elle m’a embrassé dans le cou, sur les pectoraux, le ventre, les cuisses tout en baissant mon caleçon.

Elle a pris mon sexe en main. Je bandais de plus en plus.

- Je n’ai jamais connu de sexe si gros avant toi…
- …
- C’est très bon mon amour. J’ai adoré.
- Tant mieux.

Ses mains me branlaient doucement.


NOEMIE

Je me suis penchée et j’ai léché le gland, récupérant avec ma langue le liquide qui commençait à en sortir. C’était doux, excitant de le goûter. Le fait que Marc ait poussé un gémissement de plaisir contribuait à m’encourager.

J’ai passé ma langue un peu partout sur son sexe. J’ai toujours aimé la fellation. J’aime donner du plaisir à celui que j’aime. Le sexe de Marc était un challenge. Le gland seul emplissait quasiment ma bouche. Parfois, Marc rejetait la tête en arrière, poussant un gémissement ou un soupir de bien-être.

J’ai adoré sentir ses doigts se mêler à me cheveux, me guidant parfois à prolonger ou changer ma caresse.

Je le voulais en moi.

Je me suis mise à genoux sur le canapé, les avants bras en appui sur le dossier. Marc ne s’est pas fait prier pour venir derrière moi. J’ai vu qu’il se penchait, sans doute pour me lécher.

- Non, Marc, pas maintenant ! Je suis prête, viens en moi !

Qu’il était beau comme ça mon homme. Il m’a caressé un peu avec le bout de son gland mais j’étais trempée, je me sentais presque couler tellement je le désirais.

Il est entré en moi, doux et puissant, ses grandes mains tenant fermement mes hanches. J’ai senti son gros gland progresser en moi. La façon de me prendre accentuait encore les sensations pour moi.

Certaines amies m’avaient confié qu’elles n’aimaient pas cette position où le partenaire les domine trop.

Pour moi, je ressentais l’inverse. Je m’offrais totalement, vulnérable et en pleine confiance également. Je me suis sentie femme, amante. Son sexe m’a remplie, allant au plus profond de moi, me faisant pousser des cris que je ne m’étais jamais entendue pousser. J’ai joui, joui encore, prise par mon homme.

Et quand je croyais ne plus pouvoir jouir, il a enfoncé son pouce dans mon anus, me faisant repartir encore. Je me suis effondrée, secouée par l’orgasme. Il m’a fallu quelque seconde pour voir que Marc n’était même plus en moi. Il était debout, près de canapé, son sexe dur comme la pierre.

Je n’ai pas réfléchi et je l’ai pris en bouche tout en branlant la verge. Marc a poussé un petit cri, puis un autre, et j’ai senti son sperme inonder ma bouche.

J’ai été obligée de sortir le gland de ma bouche pour avaler et 2 autres jets de sperme ont atterri sur mes gros seins.

Marc a dormi dans mon lit cette nuit-là. On s’est réveillé et on a fait l’amour. C’était magique de me sentir à nouveau aimée et d’aimer Marc en retour.

Marc avait parlé de moi à ses enfants. J’ai fait leur connaissance une semaine plus tard. Ils m’ont accepté tout de suite et malgré la grande différence d’âge, j’ai senti qu’ils seraient gentils avec mon fils.

6 mois plus tard, on s’est marié et on a emménagé dans une maison qui nous convient à tous les trois.


MARC

Je n’aurais jamais cru ça possible. J’étais à nouveau heureux. Léo a parfois la langue qui fourche et m’appelle papa au lieu de Marc.

Je me couche toutes les nuits auprès d’une femme au corps de rêve et à la sensualité naturelle, une femme qui sait me rendre heureux.

Mais surtout, je sais que je suis redevenu l’homme dont Marie était tombée amoureuse.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
A quand d’autres histoires ?

Histoire Erotique
Magnifique j’ai 75 ans je réalise exactement la même histoire je te souhaite que cette très belle histoire continue

Histoire Coquine J A
Une belle histoire d'amour comme je les aime.

Histoire Erotique
Vraiment une très belle histoire

Histoire Libertine
Très jolie histoire



Texte coquin : Petite douceur
Histoire sexe : Une rose rouge
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