Petits jeux d’exhibition entre voisins de camping
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petits jeux d’exhibition entre voisins de camping
Vous vous rappelez de mon ex Nora, je vous ai déjà raconté quelques aventures avec elle. La dernière en date était ma relation avec la deuxième femme de son père, Rose. C’est d’ailleurs cette aventure qui a mis fin à notre couple. Malgré tout nous avons eu quelques très beaux moments ensemble.
Les premières grandes vacances que nous avons passé en couple ont été un vrai cape. Le challenge été de réussir à passer un moment que tous les deux mais aussi de satisfaire la famille recomposée que nous formons. C’est comme ça que nous avons loué pour deux semaines, un bungalow dans la région de Béziers.
Nous avons trouvé le lui idéal, en fait c’est comme un camping mais en dur avec plein d’activité à l’intérieur. Mis a part deux piscines avec toboggan et autres jeux nautique, il y a aussi des terrains de tennis, des tables de ping pong… et un accès direct à une plage privée. Evidement nous avons bien vérifier d’avoir un accès au wifi pour calmer les adolescents qui nous accompagnent.
Nous arrivons sur place après de longues heures de route. Pendant que Nora range les affaires dans notre bungalow, je prends son fils ainé avec moi pour aller faire des courses et surtout avoir de quoi diner et petit déjeuner le lendemain. Une fois installé et que nous avons fini de manger, nous partons tous les 5 à la découverte des lieux.
Le camping est complet. L’avantage c’est qu’il y a plein d’enfants donc j’espère que notre marmaille ne sera pas trop dans nos pattes pour que l’on puisse profiter ensemble. Nous rentrons avec le petit au bungalow, les deux grands veulent rester à la soirée discothèque organisé par le club ado. Nora est pas très chaude mais j’arrive à la convaincre en lui disant qu’une fois le petit au lit on ne serra que tous les deux.
Après un petit coup rapide mais très intense, nous nous écroulons dû à la fatigue de la route. Le lendemain quand je me réveille, Nora est déjà sur la terrasse avec le petit à prendre le petit déjeuner. Je les embrasse puis je vais enfiler un t-shirt et me servir un café. Nous remarquons rapidement que ça parle beaucoup le hollandais, notamment dans le bungalow en face du notre.
Comme à 11 heures les grands dorment toujours, après que leur mère leur ait préparé de quoi boire et manger nous partons découvrir le camping de jour. Alors que je me renseigne sur les activités du club pour les jeunes, Nora vient me rejoindre pour annoncer qu’ils sont tombé sur Hélène. C’est une ancienne collègue de Nora de qui elle était très proche.
Depuis qu’Hélène a quitté notre région suite à la mutation de son mari dans le nord, elles n’ont plus tellement été en contact. Ce qui n’est pas plus mal vu que je n’ai jamais aimé cette femme. Comme son mari n’a pas pu prendre de congés, elle est seule ici avec son fils qui a l’âge du plus jeune de Nora. Vu qu’ils s’entendent très bien, on aura du temps de libre pour nous deux.
Sauf que les jours suivants, Nora retrouve Hélène sur la plage, le petit et elle ne rentrent que pour le déjeuner et le dîner. Je dois avouer que je m’emmerde un peu, les voisins parlent ni anglais ni français et je ne comprends pas un mot de néerlandais. Le boulodrome est totalement désert et les plages ou les piscines sont envahies par les familles du coup impossible de nager tranquillement ou faire du naturisme.
Je me contente donc d’avancer dans mon travail, bouquiner et me reposer. Heureusement que le soir le petit s’endort tôt et que les grands sortent tout le temps, nous arrivons quand même cà avoir des moment rien que pour nous deux. Par contre, pas seulement en vacances, nous vivons totalement en décalé, Nora aime dormir tôt et se lever aux aurores alors que je suis un noctambules. Je quitte rarement la terrasse avant le retour des grands qui est de plus en plus tardif.
Ce matin, le camping est très agité, c’est un des deux jours de la semaine où le roulement des vacanciers se fait. J’espère qu’il y aura un peu plus de francophone ou au moins anglophone. Pendant que je mets la table en attendant le retour de Nora et du petit et que les grands dorment encore, une voiture s’arrête devant le bungalow qui est juste en face du notre. Ce ne sont pas des hollandais, la plaque est danoise, c’est pas beaucoup mieux.
Un homme d’environ mon âge (j’en ai 35 à l’époque) et un jeune homme d’une douzaine d’année sortent de la voiture et commence à décharger. Je leur fais un petit signe de la main pour leur souhaiter la bienvenue, le père, les bras chargés, me répond par un signe de la tête.
Deux autres portières s’ouvrent, je vois d’abord sortir une fille qui doit même pas être majeure mais que avec déjà un corps de femme, plus j’ai appris qu’elle a en fait 20 ans. Moi qui ne suit pas attiré par les jeunes je dois bien avouer que de la voir en bikini ça me fait réagir. Puis la mère vient la rejoindre dans la même tenue, je n’arrive pas à détourner mon regard.
Elle aussi doit être au milieu de la trentaine, on voit qu’elle est sportive. Elle a de longues jambes fines et de belles fesses que son slip brésilien dévoile en partie. Ses seins, bien comprimés dans le haut du maillot, semblent magnifique. Le mari ressort du bungalow et gueule un truc que je ne comprends pas du coup les filles se couvrent.
Je ne croise plus les nouveaux voisins, jusqu’au soir quand on toque à la porte de notre bungalow. C’est le père de famille d’en face, il parle pas l’anglais et encore moins le français. Après une longue série de geste je comprends qu’ils n’ont pas d’eau chaude. J’attrape une boite d’allumette et le suis vers chez eux.
Tout en allumant le chauffe eau, je lui explique comment faire en anglais. Même s’il comprends pas un mot, il fait régulièrement oui de la tête. Une fois que j’ai fini, il me dit quelques mots en danois, je pense que c’est pour me remercier. A ce moment là sort de la chambre la fille, elle porte uniquement un long t-shirt mais rien en dessous car on voit ses tétons pointés, j’admire de nouveau ses belles jambes nues.
Heureusement, elle parle anglais du coup elle nous serre de traductrice. Elle m’explique que son oncle, je pensais que c’était son père, n’a pas réussi à leur mettre l’eau chaude et que du coup je suis leur sauveur car aucunement question pour elles de se doucher à l’eau froide. Elle enchaine sur les présentations, elle s’appelle Teuna, sa tante Els, son cousin Ary et son oncle Frits.
Je leur laisse ma carte de visite professionnelle pour qu’ils m’appellent en cas de problème et je retourne chez nous. Nora et le petit sont déjà au lit et les grands ont disparu. Je vais dans la chambre rejoindre ma compagne pour un petit câlin mais elle dort à poing fermé alors j’attrape mon ordinateur et comme chaque soir je vais m’installer sur la terrasse.
Vers minuit, je vois Els s’installer sur la table de leur terrasse à même pas 5 mètres de moi. Elle me fait un petit geste de la main accompagné d’un sourire et s’installe derrière son ordinateur. Au bout d’une heure elle me refait un signe et disparait dans son bungalow. Vers 2 heures du matin les grands reviennent, je discute un moment avec eux et nous allons nous coucher.
Le lendemain, je traine sur la terrasse ensoleillée alors que Nora et son fils sont déjà à la plage avec Hélène. Alors que je bois mon deuxième café, ma nouvelle voisine sort uniquement vêtue d’une nuisette, elle me semble encore plus belle que la veille. En plus le tissu s’arrête à mi cuisse alors quand elle s’étire, en prenant son temps, je peu admirer ses interminables jambes ainsi que la naissance de son cul. J’attrape mon téléphone pour immortaliser le moment.
Elle rentre chez eux, je la vois tourner dans la cuisine et ressortir avec une tasse de café. Quand elle s’installe à sa table, elle me fait un geste de la main et se remet à bailler. J’ai envie de lui dire que les réveils sont encore plus difficiles en vacances mais nous avons aucune langue commune alors je me contente d’un sourire. Je l’admire pendant qu’elle vide sa tasse, le regard perdu dans le vide.
Quand elle rentre dans leur bungalow, pour réveiller le reste de la famille, je ne lâche pas ses fesses du regard, en plus elle les tortille. Pendant leur petit déjeuner, je vais prendre ma douche et ressors complètement habillé. Els joue au ballon avec son fils, je la regarde bouger dans son marcel long qui me dévoile une partie de sa poitrine selon les mouvements. Je vais chercher mon appareil photo, je le pose sur la table et le plus discrètement possible, je la mitraille en espérant avoir un ou deux cliché corrects. Je vise aussi son bas de maillot brésilien.
Vers 13 heures je réveille les grands, leur mère ne va pas tarder à rentrer de la plage et j’ai le déjeuner à préparer. Nous passons le reste de l’après midi tous ensemble à l’extérieur. Enfin de journée, nous allons mangé dans le village voisin mais les grands nous pressent pour rentrer car ils veulent aller à leur soirée. Une fois de retour au bungalow, je regarde un film avec Nora et le petit, les deux s’endorment devant la télé.
Je les envoie au lit et je prends mon ordinateur et mon appareil photo pour rejoindre la terrasse. Je télécharge enfin les clichés sur mon ordinateur pour admirer les résultats de ma séance de voyeurisme de l’après midi. Entre la luminosité et ses mouvements il y a que quelques photos de correctes, en les regardant je revis la scène de l’après midi et me remet à bander.
Un peu plus tôt que la veille, ma voisine de bungalow s’installe sur sa terrasse avec son ordinateur. Ce soir elle porte un pantalon de jogging très large avec un sweet qui laisse apparaitre aucune forme. Je me dépêche d’aller sur un dossier de travail, je sais très bien qu’elle ne peut pas voir mon écran mais je suis stressé comme un enfant qui a fait une bêtise.
Quand je lève la tête, elle me fait un signe de tête, je remue ma main et replonge sur mon écran. Il faut que je pense à autre chose alors je vais vérifier mes mails. Le plus récent vient d’une adresse que je connais pas. J’ouvre le message qui contient rien d’autre qu’un point d’interrogation et un dossier joint. Je clique sur l’image et je vois la carte de visite que j’ai laissé à mes voisins. Je lève la tête vers ma voisine qui me quitte pas du regard et je lui fais un oui de la tête, nous nous sourions.
En tant normal, je me serai lever pour avoir une vraie discussion mais nous avons aucune langue commune. Je reste derrière mon ordinateur en réfléchissant à comment et quoi lui répondre. Je retourne sur les photos de l’après midi et j’en choisis 3 d’elle où on voit aucune partie de son corps qui devrait pas être vus.
Moins d’une minute après je reçois en réponse un smiley qui fait un grand sourire. S’en suit un autre message avec en titre un smiley qui fait un O avec la bouche. C’est une des photos que je viens de lui envoyer ou elle a entouré l’ombre d’un sein qui apparait dans l’échancrure de son marcel. Je sais pas si elle est choquée, honteuse ou juste joueuse.
Je décide de tenter le tout pour le tout et je vais sélectionner un cliché où on voit très bien un de ses seins. Au pire on arrête nos échanges au mieux ça devient encore plus chaud. Pendant qu’elle regarde mon mail, je la fixe discrètement, le temps me semble interminable. Au lieu de taper sur le clavier de son ordinateur, elle se lève et rentre dans son bungalow.
J’espère qu’elle va pas chercher son mari. Je ne sais pas quoi faire, est ce que je l’attends sur ma terrasse ou je prends mes clics et mes clacs et je rentre me coucher. Je referme mon ordinateur quand je vois la lumière de leur salle de bain s’allumer. Même avec le film dépoli sur la fenêtre je reconnais la silhouette de ma voisine, rassuré je reste sur la terrasse.
Elle se rapproche de la vitre et y colle sa poitrine. Malgré le côté flou dû à la fenêtre, je distingue facilement la largeur de ses seins mais aussi ses tétons avec la peau plus foncée qui les entoure. Je remets rapidement la carte mémoire dans mon appareil et je laisse mon doigt sur le déclencheur. Trop rapidement la silhouette disparait et la lumière s’éteint.
Je me dépêches de télécharger les photos, je sélectionne rapidement les plus jolies pour lui envoyer. Juste quand j’appuie sur envoyer, Els revient sur la terrasse. Elle reste un long moment à regardant son écran, mais j’arrive à décrypter sa réaction. Il faut que j’enchaine parce que ce petit jeu m’excite de plus en plus, ma voisine m’a l’aire d’une sacrée coquine, je ne veux pas arrêter là.
Je cherche sur internet différentes formes de poitrine et je lui envoie 3 captures d’écran et un point d’interrogation. Une avec des seins en poires, une autre en abricots et une autre appelé sachet de thé (je ne crois pas que j’ai besoin de vous expliquer les formes). Je guète sa réaction, je suis étonné et déçu quand je la vois refermer son ordinateur pour rentrer chez elle sans même me regarder.
Je me retrouve sans voisine de terrasse, je ne pensais pas que cette échange, de plus en plus excitant tout en restant chaste, allé s’arrêter ainsi. Je reste un moment assis seul. Je m’attrape à aller dans ma chambre pour régler mon problème d’érection en réveillant Nora avec des bisous quand la lumière de la salle de bain d’en face s’allume de nouveau.
Je me rassois immédiatement, j’attrape mon appareil photo pour immortalisé ce qui va se passer. Je la vois retirer son sweet et son pantalon de jogging, je regarde dans le viseur de mon appareil mais ce n’est pas nette du tout. Heureusement, la fenêtre s’ouvre en grand et je découvre ma voisine avec un immense sourire aux lèvres.
Alors qu’elle recule, je n’arrête pas de faire des photos, j’arrive à la prendre uniquement vêtue de son slip brésilien. Elle attrape sa brosse à dents et commence à frotter, je profite du ballottement de sa poitrine pour prendre d’autres clichés mais aussi m’excité encore plus. En zoomant, j’ai la réponse à ma question, ses seins en forme de poire, ils semblent bien ferme et bien droit. A la tête trônent de longs tétons bien gonflés sur des aréoles très sombres.
Une fois qu’elle s’est rincer, elle tourne deux fois sur elle même très lentement, j’en profite pour la mitrailler. Je peux admirer son beau corps musclé en plus de sa magnifique poitrine mais aussi ses belles et longues jambes ainsi qu’une bonne partie de ses fesses grâce à la coupe de son tanga. Trop rapidement à mon goût la fenêtre se referme, la lumière s’éteint comme toutes les autres de leur bungalow.
J’attrape mes affaires et je rentre à l’intérieur. Une fois que j’ai tout rangé, je vais dans notre chambre. Je me déshabille entièrement et je viens me glisser sous les draps pour me rapprocher de Nora qui dort sur le côté. Je soulève sa nuisette le plus possible et colle ma queue droite et bien dure contre ses fesses. Je lui fais des bisous sur la partie de son dos que j’ai dénudé.
Elle émerge assez rapidement pendant que je continue de la caresser et l’embrasser. Une de ses mains vient entre nos corps et empoigne directement ma bite pour la flatter. Je soulève sa nuisette pour qu’elle soit dans la même tenue que moi et profiter de tout son corps. Mes doigts effleuré ses petits seins alors qu’elle ne quitte pas ma tige.
Nora a toujours été obsédé par mon sexe, elle adore le caresser même quand je suis habillé. Quand elle me fait grossir entre ses doigts ça lui donne tout de suite envie de plus. Il faut dire, bien qu’elle approche de la cinquantaine, qu’avant moi elle a connu que 2 hommes, son défunt mari qui en avait une plutôt petite et un septuagénaire qui, non seulement avait des problèmes d’érection mais en plus trop fière pour prendre la petite pilule bleue.
J’adore quand elle cajole mon frein et mon gland, encore plus quand elle récolte les gouttes qui coulent de mon méat pour l’étaler sur tout mon costume trois pièces. Toujours bien serré entre ses doigts, elle se retourne et sa bouche cherche la mienne. Je l’embrasse sexuellement, ce n’est pas un baiser d’amoureux mais juste d’un mec qui vient de bien se faire exciter par sa voisine et qui a besoin de se vider.
Rapidement, je nous fais tourner pour grimper sur elle et je pince ses petits tétons pendant que je lui bouffe littéralement la bouche. Alors que sa première main continue de me branler, la deuxième vient se poser sur mes couilles accompagné de gémissements. Sans est finit d’elle, mon côté dominateur est bestiale prend le dessus pour bien défoncer la voisine par son intermédiaire.
Je la retourne pour la mettre sur le ventre, je me glisse entre ses jambes et écarte à deux mains son joli petit cul. J’ai une magnifique vu sur sa chatte déjà bien luisante mais aussi son petit trou dont j’ai été le premier à en profiter. Je me penche pour embrasser ce petit con bien trempée. Ma langue passe sur chaque coin et recoin de sa vulve en la lapant régulièrement pour déguster sa mouille.
Sans que j’ai besoin de lui demander elle soulève son bassin pour encore plus cambrer ses fesses. Je me sens encore plus excité grâce au côté salope de ma compagne mais aussi en imaginant que je m’occupe du corps de la voisine. Je n’en peux plus mon sexe a envie d’être dans un environnement chaud et humide. Je me redresse et empoigne ma tige pour que mon gland lui écarte les grandes lèvres et je la pénètre avec une facilité déconcertante.
Je m’enfonce profondément en elle alors qu’elle gémit de plus belle. Mes allers retours sont tout de suite rapide et sauvage. A chaque rentrée et sortie je claque violemment ses fesses et mes couilles viennent titiller son clito. Elle couine de plus en plus fort alors j’appuie sa tête contre l’oreiller pour la faire taire. je me retire de sa grotte inondée et viens lui murmurer à l’oreille:« Il faudrait pas que les grands nous entendent en rentrant! »
Je la fait se soulever pour la mettre en levrette, je me colle à elle et mon gland cherche à tâtons l’entrée de sa moule. Quand je sens une zone bien trempée je rentre d’un coup sec profondément. Même si j’adore voir son dos cambré, ses petites fesses bombée que j’ouvre bien pour avoir une meilleure vue, je ferme souvent les yeux pour imaginer que je m’envoie en l’air avec la danoise d’en face.
Malgré la tête enfoncée dans l’oreille, elle gémit bien alors quitte a faire du bruit, je la retourne sur le dos. Elle attrapé ma tige et sa la fourre elle même dans le con, elle plaque ses deux mains sur mes fesses, qu’elles adorent tripoter, pour me faire aller et venir en elle à une cadence bien rapide. Comme j’ai envie d’imposant je retire ses mains, mais aussi ma queue. Je plante deux doigts en elle que je fais tournoyer pour ramasser le plus de mouille possible.
Quand je remplace mes doigts par ma bite, j’approche ma main de son visage et elle se jette dessus. Elle suce mes doigts comme elle le ferai avec mon sexe, sa langue passe de partout alors qu’elle me regarde fixement pendant que je la lime vigoureusement. Comme son vagin est pas très long je n’ai aucun mal à buter au fond ce qui la fait encore plus couiner.
Pendant que je vais et viens en elle, alors que mes doigts propre s’occupent de son petit bouton, je sens sa grotte me serrer encore plus. Son sexe est pris de convulsion comme le reste de son corps. Elle m’enserre tellement en elle que j’ai de plus en plus de mal à la ramoner. Malgré tout je continue mes mouvements qui sont courts mais bien secs.
Une fois qu’elle se calme, ma main quitte son clito et viens se poser sur son petit sein tout comme sa jumelle sur le voisin. Je malaxe sa poitrine en imaginant que je tripote les gros seins en forme de poire d’Els. J’attrape, entre mon pouce et mon index, ses tétons et les fait rouler. Bien qu’elle vient de jouir, elle continue de gémir. J’ouvre les yeux pour l’admirer prendre du plaisir et surtout la voir se mordre les lèvres de bonheur.
Je me rapproche de plus en plus du point de non retour, je me retire de sa vulve car j’ai aussi envie de m’occuper de son petit cul bien serré. Nous entendons la porte du bungalow s’ouvrir, les grands sont de retour. Pour être sur de faire aucun bruit, je lui enfonce ma queue dans la bouche. Elle s’empresse de m’avaler alors que sa langue se concentre sur mon gland et mon frein.
Avant de me sucer la première fois, Nora m’avait prévenu qu’elle avait de me prendre entièrement en bouche. Quand elle m’a avoué l’anatomie de son défunt mari j’ai compris pourquoi. Même si elle fait des efforts et qu’elle m’avale déjà bien mon côté bestial et dominateur prend le dessus. Je la tire pour laisser son corps sur le matelas mais faire dépasser sa tête qui part en arrière. Dans cette position l’alignement bouche/gorge est parfait.
Je fais coulisser ma tige entre ses lèvres qu’elle referme bien autour de moi. Elle me prend de plus en plus en bouche et pour la première fois je dépasse sa glotte. Elle m’accepte très bien alors après quelques allers retours je plonge encore plus en elle pour aller visiter sa gorge. Alors que j’ai l’impression que mon gland et enfermé entre ses cordes vocales, elle me masse les couilles.
Je sens la jouissance rapprocher, je me retire de sa gorge pour la laisser respirer mais je continue à ramoner sa bouche ardemment. Elle aime le gout de mon sperme mais a du mal avec mes jets puissants dans sa bouche alors quand je sens mes couilles se raidir, je me retire d’entre ses lèvres.
Nora reste dans cette position et me masturbe à deux mains alors que sa langue lèche le dessous ma tige ou mes couilles. Elle me branle vigoureusement pendant que je ferme les yeux pour encore plus profiter mais surtout imaginer le corps nu de notre voisine. Je me retiens pour ne pas gémir et alerter les enfants de ce que nous faisons.
Quand elle sent mes veines palpiter sous ses doigts, Nora dirige mes premiers jets sur sa poitrine que je recouvre copieusement. Elle avale mon gland pour profiter des dernières giclées qui sont toujours moins puissantes alors que ses mains continuent de me branler encore plus énergiquement pour être sur de m’essorer jusqu’à la dernière goutte.
Une fois vidé, je viens m’allonger à côté d’elle, bien installé dans le lit. Je veux ramasser, avec mes doigts, mon sperme étalé sur ses petits seins mais aussi son ventre et lui donner à déguster mon jus. Nora ne m’en laisse pas le temps, elle m’attrape dans ses bras pour me plaquer contre elle. Mon torse s’écrase contre sa poitrine est étale encore plus ma semence sur nos deux corps.
Je passe de l’homme en rut qui fantasme sur les formes de la voisine au compagnons de vie depuis bientôt 1 an, tendre et amoureux. Nous nous écroulons rapidement tous les deux complètement nus et nos corps liés par le résultat de mon éjaculation. Même si Nora est dans mes bras, je passe la nuit à rêver de la danoise et la suite de nos échanges coquins.
Le lendemain je me réveille un peu tard, j’ai le torse recouvert de mon sperme durci et prisonnier de mes poils. J’enfile un t-shirt et un caleçon pour être sûr de choquer personne et je file à la douche. Une fois propre et opérationnel, je vais me préparer un café. Je trouve un mot de Nora qui n’a pas voulu me réveiller vu « comme je dormais bien et profondément ». Elle me remercie pour le réveille de cette nuit qui la fait encore frissonner alors qu’elle m’écrit.
Heureusement qu’elle ne sait pas que je pensais à Els en la baisant, d’ailleurs il me semble la voir sur sa terrasse alors je sors….
Les premières grandes vacances que nous avons passé en couple ont été un vrai cape. Le challenge été de réussir à passer un moment que tous les deux mais aussi de satisfaire la famille recomposée que nous formons. C’est comme ça que nous avons loué pour deux semaines, un bungalow dans la région de Béziers.
Nous avons trouvé le lui idéal, en fait c’est comme un camping mais en dur avec plein d’activité à l’intérieur. Mis a part deux piscines avec toboggan et autres jeux nautique, il y a aussi des terrains de tennis, des tables de ping pong… et un accès direct à une plage privée. Evidement nous avons bien vérifier d’avoir un accès au wifi pour calmer les adolescents qui nous accompagnent.
Nous arrivons sur place après de longues heures de route. Pendant que Nora range les affaires dans notre bungalow, je prends son fils ainé avec moi pour aller faire des courses et surtout avoir de quoi diner et petit déjeuner le lendemain. Une fois installé et que nous avons fini de manger, nous partons tous les 5 à la découverte des lieux.
Le camping est complet. L’avantage c’est qu’il y a plein d’enfants donc j’espère que notre marmaille ne sera pas trop dans nos pattes pour que l’on puisse profiter ensemble. Nous rentrons avec le petit au bungalow, les deux grands veulent rester à la soirée discothèque organisé par le club ado. Nora est pas très chaude mais j’arrive à la convaincre en lui disant qu’une fois le petit au lit on ne serra que tous les deux.
Après un petit coup rapide mais très intense, nous nous écroulons dû à la fatigue de la route. Le lendemain quand je me réveille, Nora est déjà sur la terrasse avec le petit à prendre le petit déjeuner. Je les embrasse puis je vais enfiler un t-shirt et me servir un café. Nous remarquons rapidement que ça parle beaucoup le hollandais, notamment dans le bungalow en face du notre.
Comme à 11 heures les grands dorment toujours, après que leur mère leur ait préparé de quoi boire et manger nous partons découvrir le camping de jour. Alors que je me renseigne sur les activités du club pour les jeunes, Nora vient me rejoindre pour annoncer qu’ils sont tombé sur Hélène. C’est une ancienne collègue de Nora de qui elle était très proche.
Depuis qu’Hélène a quitté notre région suite à la mutation de son mari dans le nord, elles n’ont plus tellement été en contact. Ce qui n’est pas plus mal vu que je n’ai jamais aimé cette femme. Comme son mari n’a pas pu prendre de congés, elle est seule ici avec son fils qui a l’âge du plus jeune de Nora. Vu qu’ils s’entendent très bien, on aura du temps de libre pour nous deux.
Sauf que les jours suivants, Nora retrouve Hélène sur la plage, le petit et elle ne rentrent que pour le déjeuner et le dîner. Je dois avouer que je m’emmerde un peu, les voisins parlent ni anglais ni français et je ne comprends pas un mot de néerlandais. Le boulodrome est totalement désert et les plages ou les piscines sont envahies par les familles du coup impossible de nager tranquillement ou faire du naturisme.
Je me contente donc d’avancer dans mon travail, bouquiner et me reposer. Heureusement que le soir le petit s’endort tôt et que les grands sortent tout le temps, nous arrivons quand même cà avoir des moment rien que pour nous deux. Par contre, pas seulement en vacances, nous vivons totalement en décalé, Nora aime dormir tôt et se lever aux aurores alors que je suis un noctambules. Je quitte rarement la terrasse avant le retour des grands qui est de plus en plus tardif.
Ce matin, le camping est très agité, c’est un des deux jours de la semaine où le roulement des vacanciers se fait. J’espère qu’il y aura un peu plus de francophone ou au moins anglophone. Pendant que je mets la table en attendant le retour de Nora et du petit et que les grands dorment encore, une voiture s’arrête devant le bungalow qui est juste en face du notre. Ce ne sont pas des hollandais, la plaque est danoise, c’est pas beaucoup mieux.
Un homme d’environ mon âge (j’en ai 35 à l’époque) et un jeune homme d’une douzaine d’année sortent de la voiture et commence à décharger. Je leur fais un petit signe de la main pour leur souhaiter la bienvenue, le père, les bras chargés, me répond par un signe de la tête.
Deux autres portières s’ouvrent, je vois d’abord sortir une fille qui doit même pas être majeure mais que avec déjà un corps de femme, plus j’ai appris qu’elle a en fait 20 ans. Moi qui ne suit pas attiré par les jeunes je dois bien avouer que de la voir en bikini ça me fait réagir. Puis la mère vient la rejoindre dans la même tenue, je n’arrive pas à détourner mon regard.
Elle aussi doit être au milieu de la trentaine, on voit qu’elle est sportive. Elle a de longues jambes fines et de belles fesses que son slip brésilien dévoile en partie. Ses seins, bien comprimés dans le haut du maillot, semblent magnifique. Le mari ressort du bungalow et gueule un truc que je ne comprends pas du coup les filles se couvrent.
Je ne croise plus les nouveaux voisins, jusqu’au soir quand on toque à la porte de notre bungalow. C’est le père de famille d’en face, il parle pas l’anglais et encore moins le français. Après une longue série de geste je comprends qu’ils n’ont pas d’eau chaude. J’attrape une boite d’allumette et le suis vers chez eux.
Tout en allumant le chauffe eau, je lui explique comment faire en anglais. Même s’il comprends pas un mot, il fait régulièrement oui de la tête. Une fois que j’ai fini, il me dit quelques mots en danois, je pense que c’est pour me remercier. A ce moment là sort de la chambre la fille, elle porte uniquement un long t-shirt mais rien en dessous car on voit ses tétons pointés, j’admire de nouveau ses belles jambes nues.
Heureusement, elle parle anglais du coup elle nous serre de traductrice. Elle m’explique que son oncle, je pensais que c’était son père, n’a pas réussi à leur mettre l’eau chaude et que du coup je suis leur sauveur car aucunement question pour elles de se doucher à l’eau froide. Elle enchaine sur les présentations, elle s’appelle Teuna, sa tante Els, son cousin Ary et son oncle Frits.
Je leur laisse ma carte de visite professionnelle pour qu’ils m’appellent en cas de problème et je retourne chez nous. Nora et le petit sont déjà au lit et les grands ont disparu. Je vais dans la chambre rejoindre ma compagne pour un petit câlin mais elle dort à poing fermé alors j’attrape mon ordinateur et comme chaque soir je vais m’installer sur la terrasse.
Vers minuit, je vois Els s’installer sur la table de leur terrasse à même pas 5 mètres de moi. Elle me fait un petit geste de la main accompagné d’un sourire et s’installe derrière son ordinateur. Au bout d’une heure elle me refait un signe et disparait dans son bungalow. Vers 2 heures du matin les grands reviennent, je discute un moment avec eux et nous allons nous coucher.
Le lendemain, je traine sur la terrasse ensoleillée alors que Nora et son fils sont déjà à la plage avec Hélène. Alors que je bois mon deuxième café, ma nouvelle voisine sort uniquement vêtue d’une nuisette, elle me semble encore plus belle que la veille. En plus le tissu s’arrête à mi cuisse alors quand elle s’étire, en prenant son temps, je peu admirer ses interminables jambes ainsi que la naissance de son cul. J’attrape mon téléphone pour immortaliser le moment.
Elle rentre chez eux, je la vois tourner dans la cuisine et ressortir avec une tasse de café. Quand elle s’installe à sa table, elle me fait un geste de la main et se remet à bailler. J’ai envie de lui dire que les réveils sont encore plus difficiles en vacances mais nous avons aucune langue commune alors je me contente d’un sourire. Je l’admire pendant qu’elle vide sa tasse, le regard perdu dans le vide.
Quand elle rentre dans leur bungalow, pour réveiller le reste de la famille, je ne lâche pas ses fesses du regard, en plus elle les tortille. Pendant leur petit déjeuner, je vais prendre ma douche et ressors complètement habillé. Els joue au ballon avec son fils, je la regarde bouger dans son marcel long qui me dévoile une partie de sa poitrine selon les mouvements. Je vais chercher mon appareil photo, je le pose sur la table et le plus discrètement possible, je la mitraille en espérant avoir un ou deux cliché corrects. Je vise aussi son bas de maillot brésilien.
Vers 13 heures je réveille les grands, leur mère ne va pas tarder à rentrer de la plage et j’ai le déjeuner à préparer. Nous passons le reste de l’après midi tous ensemble à l’extérieur. Enfin de journée, nous allons mangé dans le village voisin mais les grands nous pressent pour rentrer car ils veulent aller à leur soirée. Une fois de retour au bungalow, je regarde un film avec Nora et le petit, les deux s’endorment devant la télé.
Je les envoie au lit et je prends mon ordinateur et mon appareil photo pour rejoindre la terrasse. Je télécharge enfin les clichés sur mon ordinateur pour admirer les résultats de ma séance de voyeurisme de l’après midi. Entre la luminosité et ses mouvements il y a que quelques photos de correctes, en les regardant je revis la scène de l’après midi et me remet à bander.
Un peu plus tôt que la veille, ma voisine de bungalow s’installe sur sa terrasse avec son ordinateur. Ce soir elle porte un pantalon de jogging très large avec un sweet qui laisse apparaitre aucune forme. Je me dépêche d’aller sur un dossier de travail, je sais très bien qu’elle ne peut pas voir mon écran mais je suis stressé comme un enfant qui a fait une bêtise.
Quand je lève la tête, elle me fait un signe de tête, je remue ma main et replonge sur mon écran. Il faut que je pense à autre chose alors je vais vérifier mes mails. Le plus récent vient d’une adresse que je connais pas. J’ouvre le message qui contient rien d’autre qu’un point d’interrogation et un dossier joint. Je clique sur l’image et je vois la carte de visite que j’ai laissé à mes voisins. Je lève la tête vers ma voisine qui me quitte pas du regard et je lui fais un oui de la tête, nous nous sourions.
En tant normal, je me serai lever pour avoir une vraie discussion mais nous avons aucune langue commune. Je reste derrière mon ordinateur en réfléchissant à comment et quoi lui répondre. Je retourne sur les photos de l’après midi et j’en choisis 3 d’elle où on voit aucune partie de son corps qui devrait pas être vus.
Moins d’une minute après je reçois en réponse un smiley qui fait un grand sourire. S’en suit un autre message avec en titre un smiley qui fait un O avec la bouche. C’est une des photos que je viens de lui envoyer ou elle a entouré l’ombre d’un sein qui apparait dans l’échancrure de son marcel. Je sais pas si elle est choquée, honteuse ou juste joueuse.
Je décide de tenter le tout pour le tout et je vais sélectionner un cliché où on voit très bien un de ses seins. Au pire on arrête nos échanges au mieux ça devient encore plus chaud. Pendant qu’elle regarde mon mail, je la fixe discrètement, le temps me semble interminable. Au lieu de taper sur le clavier de son ordinateur, elle se lève et rentre dans son bungalow.
J’espère qu’elle va pas chercher son mari. Je ne sais pas quoi faire, est ce que je l’attends sur ma terrasse ou je prends mes clics et mes clacs et je rentre me coucher. Je referme mon ordinateur quand je vois la lumière de leur salle de bain s’allumer. Même avec le film dépoli sur la fenêtre je reconnais la silhouette de ma voisine, rassuré je reste sur la terrasse.
Elle se rapproche de la vitre et y colle sa poitrine. Malgré le côté flou dû à la fenêtre, je distingue facilement la largeur de ses seins mais aussi ses tétons avec la peau plus foncée qui les entoure. Je remets rapidement la carte mémoire dans mon appareil et je laisse mon doigt sur le déclencheur. Trop rapidement la silhouette disparait et la lumière s’éteint.
Je me dépêches de télécharger les photos, je sélectionne rapidement les plus jolies pour lui envoyer. Juste quand j’appuie sur envoyer, Els revient sur la terrasse. Elle reste un long moment à regardant son écran, mais j’arrive à décrypter sa réaction. Il faut que j’enchaine parce que ce petit jeu m’excite de plus en plus, ma voisine m’a l’aire d’une sacrée coquine, je ne veux pas arrêter là.
Je cherche sur internet différentes formes de poitrine et je lui envoie 3 captures d’écran et un point d’interrogation. Une avec des seins en poires, une autre en abricots et une autre appelé sachet de thé (je ne crois pas que j’ai besoin de vous expliquer les formes). Je guète sa réaction, je suis étonné et déçu quand je la vois refermer son ordinateur pour rentrer chez elle sans même me regarder.
Je me retrouve sans voisine de terrasse, je ne pensais pas que cette échange, de plus en plus excitant tout en restant chaste, allé s’arrêter ainsi. Je reste un moment assis seul. Je m’attrape à aller dans ma chambre pour régler mon problème d’érection en réveillant Nora avec des bisous quand la lumière de la salle de bain d’en face s’allume de nouveau.
Je me rassois immédiatement, j’attrape mon appareil photo pour immortalisé ce qui va se passer. Je la vois retirer son sweet et son pantalon de jogging, je regarde dans le viseur de mon appareil mais ce n’est pas nette du tout. Heureusement, la fenêtre s’ouvre en grand et je découvre ma voisine avec un immense sourire aux lèvres.
Alors qu’elle recule, je n’arrête pas de faire des photos, j’arrive à la prendre uniquement vêtue de son slip brésilien. Elle attrape sa brosse à dents et commence à frotter, je profite du ballottement de sa poitrine pour prendre d’autres clichés mais aussi m’excité encore plus. En zoomant, j’ai la réponse à ma question, ses seins en forme de poire, ils semblent bien ferme et bien droit. A la tête trônent de longs tétons bien gonflés sur des aréoles très sombres.
Une fois qu’elle s’est rincer, elle tourne deux fois sur elle même très lentement, j’en profite pour la mitrailler. Je peux admirer son beau corps musclé en plus de sa magnifique poitrine mais aussi ses belles et longues jambes ainsi qu’une bonne partie de ses fesses grâce à la coupe de son tanga. Trop rapidement à mon goût la fenêtre se referme, la lumière s’éteint comme toutes les autres de leur bungalow.
J’attrape mes affaires et je rentre à l’intérieur. Une fois que j’ai tout rangé, je vais dans notre chambre. Je me déshabille entièrement et je viens me glisser sous les draps pour me rapprocher de Nora qui dort sur le côté. Je soulève sa nuisette le plus possible et colle ma queue droite et bien dure contre ses fesses. Je lui fais des bisous sur la partie de son dos que j’ai dénudé.
Elle émerge assez rapidement pendant que je continue de la caresser et l’embrasser. Une de ses mains vient entre nos corps et empoigne directement ma bite pour la flatter. Je soulève sa nuisette pour qu’elle soit dans la même tenue que moi et profiter de tout son corps. Mes doigts effleuré ses petits seins alors qu’elle ne quitte pas ma tige.
Nora a toujours été obsédé par mon sexe, elle adore le caresser même quand je suis habillé. Quand elle me fait grossir entre ses doigts ça lui donne tout de suite envie de plus. Il faut dire, bien qu’elle approche de la cinquantaine, qu’avant moi elle a connu que 2 hommes, son défunt mari qui en avait une plutôt petite et un septuagénaire qui, non seulement avait des problèmes d’érection mais en plus trop fière pour prendre la petite pilule bleue.
J’adore quand elle cajole mon frein et mon gland, encore plus quand elle récolte les gouttes qui coulent de mon méat pour l’étaler sur tout mon costume trois pièces. Toujours bien serré entre ses doigts, elle se retourne et sa bouche cherche la mienne. Je l’embrasse sexuellement, ce n’est pas un baiser d’amoureux mais juste d’un mec qui vient de bien se faire exciter par sa voisine et qui a besoin de se vider.
Rapidement, je nous fais tourner pour grimper sur elle et je pince ses petits tétons pendant que je lui bouffe littéralement la bouche. Alors que sa première main continue de me branler, la deuxième vient se poser sur mes couilles accompagné de gémissements. Sans est finit d’elle, mon côté dominateur est bestiale prend le dessus pour bien défoncer la voisine par son intermédiaire.
Je la retourne pour la mettre sur le ventre, je me glisse entre ses jambes et écarte à deux mains son joli petit cul. J’ai une magnifique vu sur sa chatte déjà bien luisante mais aussi son petit trou dont j’ai été le premier à en profiter. Je me penche pour embrasser ce petit con bien trempée. Ma langue passe sur chaque coin et recoin de sa vulve en la lapant régulièrement pour déguster sa mouille.
Sans que j’ai besoin de lui demander elle soulève son bassin pour encore plus cambrer ses fesses. Je me sens encore plus excité grâce au côté salope de ma compagne mais aussi en imaginant que je m’occupe du corps de la voisine. Je n’en peux plus mon sexe a envie d’être dans un environnement chaud et humide. Je me redresse et empoigne ma tige pour que mon gland lui écarte les grandes lèvres et je la pénètre avec une facilité déconcertante.
Je m’enfonce profondément en elle alors qu’elle gémit de plus belle. Mes allers retours sont tout de suite rapide et sauvage. A chaque rentrée et sortie je claque violemment ses fesses et mes couilles viennent titiller son clito. Elle couine de plus en plus fort alors j’appuie sa tête contre l’oreiller pour la faire taire. je me retire de sa grotte inondée et viens lui murmurer à l’oreille:« Il faudrait pas que les grands nous entendent en rentrant! »
Je la fait se soulever pour la mettre en levrette, je me colle à elle et mon gland cherche à tâtons l’entrée de sa moule. Quand je sens une zone bien trempée je rentre d’un coup sec profondément. Même si j’adore voir son dos cambré, ses petites fesses bombée que j’ouvre bien pour avoir une meilleure vue, je ferme souvent les yeux pour imaginer que je m’envoie en l’air avec la danoise d’en face.
Malgré la tête enfoncée dans l’oreille, elle gémit bien alors quitte a faire du bruit, je la retourne sur le dos. Elle attrapé ma tige et sa la fourre elle même dans le con, elle plaque ses deux mains sur mes fesses, qu’elles adorent tripoter, pour me faire aller et venir en elle à une cadence bien rapide. Comme j’ai envie d’imposant je retire ses mains, mais aussi ma queue. Je plante deux doigts en elle que je fais tournoyer pour ramasser le plus de mouille possible.
Quand je remplace mes doigts par ma bite, j’approche ma main de son visage et elle se jette dessus. Elle suce mes doigts comme elle le ferai avec mon sexe, sa langue passe de partout alors qu’elle me regarde fixement pendant que je la lime vigoureusement. Comme son vagin est pas très long je n’ai aucun mal à buter au fond ce qui la fait encore plus couiner.
Pendant que je vais et viens en elle, alors que mes doigts propre s’occupent de son petit bouton, je sens sa grotte me serrer encore plus. Son sexe est pris de convulsion comme le reste de son corps. Elle m’enserre tellement en elle que j’ai de plus en plus de mal à la ramoner. Malgré tout je continue mes mouvements qui sont courts mais bien secs.
Une fois qu’elle se calme, ma main quitte son clito et viens se poser sur son petit sein tout comme sa jumelle sur le voisin. Je malaxe sa poitrine en imaginant que je tripote les gros seins en forme de poire d’Els. J’attrape, entre mon pouce et mon index, ses tétons et les fait rouler. Bien qu’elle vient de jouir, elle continue de gémir. J’ouvre les yeux pour l’admirer prendre du plaisir et surtout la voir se mordre les lèvres de bonheur.
Je me rapproche de plus en plus du point de non retour, je me retire de sa vulve car j’ai aussi envie de m’occuper de son petit cul bien serré. Nous entendons la porte du bungalow s’ouvrir, les grands sont de retour. Pour être sur de faire aucun bruit, je lui enfonce ma queue dans la bouche. Elle s’empresse de m’avaler alors que sa langue se concentre sur mon gland et mon frein.
Avant de me sucer la première fois, Nora m’avait prévenu qu’elle avait de me prendre entièrement en bouche. Quand elle m’a avoué l’anatomie de son défunt mari j’ai compris pourquoi. Même si elle fait des efforts et qu’elle m’avale déjà bien mon côté bestial et dominateur prend le dessus. Je la tire pour laisser son corps sur le matelas mais faire dépasser sa tête qui part en arrière. Dans cette position l’alignement bouche/gorge est parfait.
Je fais coulisser ma tige entre ses lèvres qu’elle referme bien autour de moi. Elle me prend de plus en plus en bouche et pour la première fois je dépasse sa glotte. Elle m’accepte très bien alors après quelques allers retours je plonge encore plus en elle pour aller visiter sa gorge. Alors que j’ai l’impression que mon gland et enfermé entre ses cordes vocales, elle me masse les couilles.
Je sens la jouissance rapprocher, je me retire de sa gorge pour la laisser respirer mais je continue à ramoner sa bouche ardemment. Elle aime le gout de mon sperme mais a du mal avec mes jets puissants dans sa bouche alors quand je sens mes couilles se raidir, je me retire d’entre ses lèvres.
Nora reste dans cette position et me masturbe à deux mains alors que sa langue lèche le dessous ma tige ou mes couilles. Elle me branle vigoureusement pendant que je ferme les yeux pour encore plus profiter mais surtout imaginer le corps nu de notre voisine. Je me retiens pour ne pas gémir et alerter les enfants de ce que nous faisons.
Quand elle sent mes veines palpiter sous ses doigts, Nora dirige mes premiers jets sur sa poitrine que je recouvre copieusement. Elle avale mon gland pour profiter des dernières giclées qui sont toujours moins puissantes alors que ses mains continuent de me branler encore plus énergiquement pour être sur de m’essorer jusqu’à la dernière goutte.
Une fois vidé, je viens m’allonger à côté d’elle, bien installé dans le lit. Je veux ramasser, avec mes doigts, mon sperme étalé sur ses petits seins mais aussi son ventre et lui donner à déguster mon jus. Nora ne m’en laisse pas le temps, elle m’attrape dans ses bras pour me plaquer contre elle. Mon torse s’écrase contre sa poitrine est étale encore plus ma semence sur nos deux corps.
Je passe de l’homme en rut qui fantasme sur les formes de la voisine au compagnons de vie depuis bientôt 1 an, tendre et amoureux. Nous nous écroulons rapidement tous les deux complètement nus et nos corps liés par le résultat de mon éjaculation. Même si Nora est dans mes bras, je passe la nuit à rêver de la danoise et la suite de nos échanges coquins.
Le lendemain je me réveille un peu tard, j’ai le torse recouvert de mon sperme durci et prisonnier de mes poils. J’enfile un t-shirt et un caleçon pour être sûr de choquer personne et je file à la douche. Une fois propre et opérationnel, je vais me préparer un café. Je trouve un mot de Nora qui n’a pas voulu me réveiller vu « comme je dormais bien et profondément ». Elle me remercie pour le réveille de cette nuit qui la fait encore frissonner alors qu’elle m’écrit.
Heureusement qu’elle ne sait pas que je pensais à Els en la baisant, d’ailleurs il me semble la voir sur sa terrasse alors je sors….
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