PHILIPPE EP 46 Petite sortie nocturne

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
  • • 615 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
  • • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 464 185 visites.
Récit libertin : PHILIPPE EP 46 Petite sortie nocturne Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 682 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
PHILIPPE EP 46 Petite sortie nocturne
PHILIPPE EP 46Petite sortie nocturne

Je ne voyais pas Mike tous les jours. On n'était pas dans les mêmes cours. En plus lui il était en deuxième année. Mais on peut dire qu'il rentrait dans mon cercle, dans le cercle de mes proches. Il s'était découvert passif, il avait découvert à quel point il aimait se faire défoncer le cul le premier soir de son séjour dans cet hôtel, au début des vacances, et depuis il n'attendait plus que ça, il était toujours prêt à recommencer.

Il était surtout demandeur, et en fait il cherchait. C'est ainsi qu'un beau jours, au réfectoire, il arrivait à la table ou je venais de m'installer.

– Philippe, Philippe, Philippe … Il faut que je te parle.
– Man-ger ! Lui répondais-je bêtement.
– Oui je sais Man-Ger … Mais ce soir on sort !
– Manger en ville ?
– Alors toi quand il s'agit de bouffe tu ne penses plus qu'à ça !

Je fronçais les sourcils, me demandant s'il ne risquait pas de me troubler la digestion. Finalement non, il n'avait aucune mauvaise intention. Il me montrait un flyer , vous savez ces pubs qui annoncent une soirée en boite de nuit ou ce genre de truc.

Je regardais ça d'un air distrait au départ puis avec plus de curiosité. C'était une sorte de boite de nuit, ou de bar … En fait c'était difficile à définir, il y avait un sous sol, cabine individuelles, labyrinthe, bar bien sûr …
– Et c'est quoi exactement ce truc ?
– Ça à l'air chaud on pourrait aller voir !

Il faut dire que les photos semblaient suggestives.

Je continuais à manger … Je ne montrais rien mais j'y pensais, j'y pensais même beaucoup.

Mes cours se terminaient au milieu de l'après midi et distraitement, l'air de rien, je passais voir à l'adresse indiquée. C'était décevant, une façade en pierres de taille, une grosse porte à l'ancienne … Rien de plus … Ah si, juste au dessus de la porte le nom de la boite de nuit … ' De Nuit ' … Bon je suis d'accord, il ne s'était pas fatigué pour trouver le nom !

Je revenais chez moi. Je me préparais déjà, je prenais une douche, je m'habillais. Je ne remarquais pas la présence de mon valet de chambre, c'est vrai que celui-là je ne remarque pas souvent sa présence. Je ne savais presque jamais s'il était là ou pas. Il fallait que je l'appelle, là bien sûr il répondait, enfin s'il était là.

Mike me téléphonait, il avait l'air tout excité à l'idée de sortir dans un endroit pareil. Moi j'en avais vu d'autres. On convenait de l'heure ou je passerais le chercher. Je passerais tôt,très tôt, c'est vrai que j'avais l'idée de souper en ville depuis qu'il m'avait parlé le midi. ( il faut suivre, vous reconnaîtrez que j'ai de la suite dans les idées ).

Il n'était pas vingt heures quand j'arrivais à la fac, Mike m'attendait il était avec un de ses amis, il me présentait … Dylan.

– Vous êtes sûr que c'est une bonne idée de partir maintenant. Demandait Dylan. On n'est même pas passé à table.
– Je vois que je ne suis pas le seul à ne penser qu'à la bouffe. Répondais-je.

Mike rigolait à ma réplique. Ils montaient dans la voiture, je leur avait préparé une petite surprise. J'avais réservé une table dans le meilleur restaurant de la ville.

Oui je sais il faut réserver trois mois à l'avance mais bon j'avais utilisé mon nom. Vous savez, quand ça peut aider de porter un nom célèbre et d'être l'héritier le plus convoité de la planète, et bien, malgré ma réserve naturelle, je suis prêt à utiliser mon nom de famille pour me faire un passe droit.

A l'accueil, on ne m'avait pas reconnu, et le maître d'hôtel nous snobait un peu, puis je me suis fait reconnaître, il a vérifié ma carte d'identité et là, son comportement à totalement changé. Un court instant j'ai bien cru qu'il allait défaillir, il a récupéré et avec une certaine fierté il s'est exclamer.

– La table de Monsieur Brosso et de ses amis …
Bon là on était repéré !

Si vous passez par là, je vous conseille ce restaurant ' Le glouton gavé ' on y mange divinement bien. Il faisait encore jour quand on en sortait. Notre boîte de nuit était à l'autre bout de la ville, on reprenait la voiture et on s'y rendait directement en faisant toutefois un petit détour et en prenant notre temps. Je crois que je viens de dire une chose et son contraire …
Bref, la nuit était tombée quand on frappait à la porte de cette étrange bar. On nous faisait entrer dans une salle avec un guichet, un peu comme dans les boites de nuit habituelles.

– Bonsoir, c'est la première fois que vous venez ici ?

Un peu bêtement nous faisions oui de la tête.

– Bien … Après tout pourquoi pas . Pour une première soirée, vous savez, ce soir c'est une soirée naturiste mais vous avez le droit de garder les chaussures, c'est même conseillé pour ne pas dire indispensable. Mais vous retirez tout ce que vous avez sur vous. On va le mettre en sécurité dans ce sac.

Tout était prévu, ils avaient des sacs poubelle, qui étaient mis dans une salle sécurisée.

Mes camarades étaient un peu surpris, moi ça allait, ça me convenait. Il avait à peine terminé sa phrase que j'avais déjà retiré mon blouson et que j'en était à ma chemise. Je me retrouvais torse nue devant mes camarades qui me regardaient, l'air pas vraiment convaincu.

– Alors les jeunes ?

Ils étaient un peu plus âgé que moi, mais je n'étais plus à ce genre de détails près, en plus j'avais plus d'expérience qu'eux deux réunis et j'avais déjà retiré mon pantalon au moment ou il ouvraient leurs chemises.

Quelques minutes plus tard on se retrouvait tous les trois complètement nu, on n'avait plus sur nous que nos chaussures et notre cage de chasteté. Le mec à l'entrée nous faisait un large sourire satisfait.

– On reçoit de temps en temps des étudiants de la PK Université, je pense que vous allez avoir beaucoup de succès …
Je lui faisais un large sourire approbatif. Mes camarades semblaient un peu gênés. On passait dans la salle de bar. Là mes camarades on bien failli tomber sur le cul. Tout le monde était à poil, mais ça on s'y attendait. Personne sauf nous ne portait un dispositif de chasteté, je ne vous dit pas on s'est fait remarqué.

J'avançais avec une certaine fierté, mes camarades me suivaient. On se frayait un passage jusqu'au bar. J'avais comme l'impression qu'on tentait de nous boucher le passage, mais avec douceur, avec beaucoup de douceur. C'était pas pour nous empêcher d'avancer, juste pour provoquer le contact.

La peau glissait contre la peau, les mains se promenait sur mon corps, sur nos corps. Et si mes camarades avaient un réflexe de réserve, ce n'était pas mon cas. Je caressais tous les corps qui passaient à ma porté et rendait caresse pour caresse.

Les bites se relevaient, je ne me retenais pas de vérifier leurs tailles, leurs rigidités, leurs vigueurs. On me tripotait les couilles généreusement. Dois-je vous préciser que je laissais faire ?

Je m'installais au bar, confortablement appuyé, le dos contre le bar. Je ne pouvais pas vraiment voir la salle, un groupe s'était formé en face de moi. Mes deux camarades faisaient de même. En fait ils m'imitaient plus qu'ils ne me suivaient. Rapidement nous étions écrasés avec douceur et chaleur contre le bar. J'avalais rapidement une bière et laissais faire.

Un homme se frottait contre moi, il avait une belle érection, une très belle érection même. Il m'embrassait dans le cou, je lui tripotait les couilles puis le masturbais doucement, le but n'était pas de le faire jouir tout de suite.

Je regardais autour de moi, Dylan avait disparu. Étonné, je le cherchais du regard. Je baissais les yeux et je le retrouvais, il s'était accroupi et suçait toutes les queue qui passaient à sa portée. Il m'impressionnait celui-la. Il était rapide. Je le voyais il ne se relevais que pour boire un verre et reprenait.

Mike faisait comme moi, il caressait tous les corps qui s’agglutinait contre lui. J'embrassais les lèvres qui se présentaient, j'étais dans les bras de deux ou trois hommes en même temps et je ne savais plus à qui était ce bras qui me caressait le dos ou cette main qui se glissait entre mes fesses ou cette autre main qui me tripotait les couilles.

Tout ce que je savais, c'est que c'était bon. Ce bar dépassait tout ce que j'avais imaginé, c'était un truc de fou. Il y avait trois grappes de corps masculins nus, toutes les trois formées autour de chacun d'entre nous. Il y avait aussi du mouvement, un homme s'éloignait et un autre prenait la place, c'était chaud. Ma cage de chasteté était sous pression, j'espérais que cette situation ne durerais pas trop longtemps. Et je savais que je reviendrais je jour ou je retirerais mon truc. C'est à ça que je pensais au moment ou un doigt se glissait entre mes fesses, il se glissait un peu plus profond que les autres.

Je me laissais faire et jetais un œil en direction de mes camarades. Dylan était assis sur le sol, l'un après l'autre les hommes qui l'entouraient lui enfonçaient leur queue dans la gorge, lui limait généreusement la bouche. Certains s'amusait à bien appuyer et à écraser leur ventre contre son visage, il laissait faire. Il devait être tout rouge et semblait étouffer par moment, son visage était couvert de sperme, de larmes et de salive, il avait vraiment une salle tronche, tout allait bien.

Mike s'était retourné et maintenant il s'appuyait, face contre le bar. Il faisait une grimace effrayante, je le voyais de profil, j'avais l'impression qu'il criait mais aucun son ne sortait de sa bouche. Un homme le serrait de très prêt, je ne l'avais pas remarqué tout de suite, il était en train de lui défoncer le cul. Ses coups était espacés mais violents, ils devenaient plus rapides mais restaient toujours aussi violents.

Plusieurs mains me saisissaient et me retournaient contre le bar, je me suis laissé faire vous imaginez bien, on m'appuyait contre le bar. J'en profitais pour avaler un verre cul sec. Je sentais alors qu'on me lubrifiait le cul. Là encore je laissais faire. Je sentais alors un corps qui se collait contre moi, sa queue qui appuyait doucement au départ contre mon anus. Il me donnait un baiser dans le cou puis poussait de toutes ses forces.

J'ai hurlé, tout le monde a applaudi …
Il s'est rapidement enfoncé en moi, en quelques secondes son ventre s'écrasait contre mes fesses. Je continuait à hurler. Ils se sont tous mis à chanter.

Quelques secondes plus tard, le mec s'énervait sur moi, il me limait le cul avec vigueur, la douleur qui m'avait fait hurler au début se transformait en un plaisir intense, un véritable orgasme qui montait et montait plus fort. Je jouissais comme un fou. J'en redemandais, et si je regardais mon camarade Mike je le voyais dans la même position que moi et il faisait la même tête que moi.

Juste à côté un groupe d'homme était agglutiné autour de ce qui devait être Dylan. Lui on ne le voyait toujours pas réapparaître.

Je ne contrôlais plus rien, Mike non plus et on avait un peut renoncé à comprendre. J'ai pris un pied comme jamais ( oui je sais, c'est ce que je dis à chaque fois ). Je tremblais de plaisir, je frissonnais pourtant il faisait chaud, très chaud même. Le mec qui me défonçait le cul était venu avec un pote à lui, et c'est lui qui à pris la place quand il s'est retiré. Il me limait le cul sans aucun ménagement mais j'en redemandais. Le premier m'avait bien dilaté et ça passait tout seul, le plaisir continuait, l'orgasme se prolongeait dans le temps. Se prolongeait longtemps, je demandais pitié puis aussitôt je hurlais '' non encore, vas y défonce moi le cul ! ''.

C'est ce qu'il faisait remarquez !

Plus tard, bien plus tard, ils m'ont payé un verre, Mike semblait récupérer doucement de ses émotions et Dylan avait disparu. Je l'ai retrouvé un peu plus tard dans les WC il était coincé entre la poubelle et le lavabo. Assis sur le sol il suçait toutes les queue qui passaient à sa portée, il a même essayé de sucer la mienne mais là il a vu qu'il y avait une erreur …
On a terminé chez moi, heureusement le lendemain il n'y avait pas cours à la fac. On était rentré à l'aube et peut être même un peu après, et il nous a fallu la journée pour récupérer.

Bon, on ne fera pas ça tous les jours mais … Disons … Quatre fois par semaine … !

Non je rigole !


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'adore



Texte coquin : PHILIPPE EP 46 Petite sortie nocturne
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Charly Chast

Madame est partie 01 Sainte vierge - Récit érotique publié le 28-04-2024
Hétéro Ep 03 Moi, très passif - Récit érotique publié le 26-04-2024
Hétéro Ep 02 Mais très actif - Récit érotique publié le 25-04-2024
Hétéro Ep 01 Mais pas trop - Récit érotique publié le 23-04-2024
Coloc Ep03 Deux autres colocataires - Récit érotique publié le 22-04-2024
Coloc Ep02 Des colocs chaleureux - Récit érotique publié le 21-04-2024
Coloc Ep01 Un appartement somptueux - Récit érotique publié le 19-04-2024
Jean Marc Ep01 : Un pote de régiment - Récit érotique publié le 17-04-2024
Les apparences 02 sont trompeuses - Récit érotique publié le 16-04-2024
Les apparences 01 - Récit érotique publié le 14-04-2024