PHOTOGRAPHE DEBUTANT 1
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PHOTOGRAPHE DEBUTANT 1
Cette histoire, comme la plupart , est basée sur des faits réels, auxquels j’ai ajouté un soupçon de fantasme. Au lecteur d’apprécier et de déméler le vrai du faux.
J’avais pris un job de saison qui ne me satisfaisait pas, mais j’avais, sur place, fait la connaissance d’un ami. Nos passions étant fort proches, nous décidons, d’un commun accord, de développer une activité de photographe. Il faut dire qu’il avait déjà un labo, tout équipé, pour le développement et, de mon côté, je disposais de deux boitiers de qualité et de nombreux objectifs. Nous avons commencé par faire de nombreux clichés en noir et blanc, puis en couleur, des paysages magnifiques des pyrennées orientales, et nous partions souvent de très bonne heure pour réaliser de beaux clichés de levers de soleil.
(eh oui, le coucher de soleil, on ne le voit pas du côté méditerranéen.) Nous proposions aussi de faire des reportages photos, pour les évènements familiaux, surtout les mariages.
Malheureusement, cette affaire ne décollait pas et les clients étaient rares, malgré la qualité de nos photos, exposées dans des restaurants et quelques expos de la région.
Mon ami Thierry suggéra de faire davantage de portraits, pour attirer une clientèle plus familiale, encline a faire photographier sa progéniture.
Comme Thierry était natif de la région, il proposa de demander à des filles de ses connaissances de poser pour ces portraits. Comme nous travaillons tous deux dans la restauration, rendez-vous fut pris, un après-midi, pendant la coupure, avec trois de ses copines. Nous les retrouvâmes dans un bistrot du centre du village. Il y avait Celine, une brunette fine avec une coupe au carré, un visage harmonieux, et des hanches de garçon. Son amie Adèle avait elle des cheveux blonds, et un physique androgine également, mais sa silhouette était féminisée par des seins lourds, volumineux, qui devaient peser sur ce petit corps. Patricia la troisième était, de loin la plus mignonne ; visage harmonieux avec un petit nez en trompette, une peau très mate et des yeux de jais. Son sourire, un rien moqueur , laissait voir des dents immaculées entre deux lèvres pulpeuses..
Nous dégotons de jolis coins de campagne, un chemin ombragé, une prairie verdoyante, comme cadre, et je mitraille, les demoiselles, en portrait, en pied, avec des poses relax, mais Etudiées. Le soir, après les avoir raccompagnées, nous repartons au boulot, mais la nuit qui suit est passée au labo. Les photos sont jolies, et pour une partie exploitable. Une première sélection et nous en gardons une vingtaine que nous agrandissons, avec des filtres simulant des toiles, ou des mosaiques qui donnent un côté plus professionnel au résultat. Patricia notamment se révèle particulièrement photogénique, et son visage de Madone illumine les portraits. Nous casons ces photos, une fois encadrées, mais dans un bar restaurant, où nous exposons, le patron fait un peu la moue.
-C’est bien joli tout ça, mais pas très glamour. Il faut me trouver des photos plus sexy. Moi, j’ai une clientèle de mecs, et ils veulent du mouvement, de l’action.
Nous vendons un ou deux portraits, et quelques clients demandent de photographier leurs enfants, ou même leur famille, mais ça reste confidentiel.
Nous contactons Celine, pour une autre séance photo, mais celle-ci, nous répond que, avec la chaleur ambiante, les trois amies préfèrent aller se baigner. Sautant sur l’occasion, je leur dit que c’est parfait et que nous aimerions faire des photos en maillot.
Le lendemain après-midi, nous suivons les indications des jeunes femmes et après quelques kilomètres, nous arrivons auprès de leur voiture, garée dans un sous bois. Un petit sentier nous emmène vers des cris, et des bruits d’eau, et à quelques dizaines de mêtres, nous découvrons une petite rivière dont l’eau claire a rempli un bassin d’une vingtaine de mêtres. Deux des filles sont déjà dans l’eau, et s’éclaboussent, tandis que la troisième, Patricia, est allongée sur le ventre sur une grande pierre plate offrant son corps halé au soleil, vétue d’un bas de maillot noir, noué sur les hanches avec deux lacets. Thierry ne résiste pas et se défait de son short et de son débardeur, avant d’aller se jeter dans l’eau claire, mais visiblement fraiche. J’ai déjà fait plusieurs clichés de Patricia, et après les avoir saluées, je demande aux deux autres de s’approcher pour prendre quelques poses. Thierry, raffraichi, les rejoint. Je commence par Céline, qui porte un bikini jaune. Ne voulant pas entrer dans l’eau, j’utilise un télé de 150mm, et je capte plusieurs clichés, cherchant la réfraction de la lumière dans les gouttes d’eau sur sa peau. Je la fais sortir de l’eau et je constate que le maillot mouillé laisse apparaître en transparence ses tétons érigés par le froid, et sa fente, apparemment imberbe. Elle joue dans l’eau peu profonde quelques instants, jouant avec ses lunettes , osant des clins d’œil. Je décide de passer à Adèle, qui porte elle un maillot une pièce bustier, qui laisse nues ses épaules dorées. Elle a un sourire désarmant, et la candeur de ses yeux bleus contrebalance agréablement les fossettes de ses joues. Elle prend des poses qu’elle a vu dans des magazines de mode, mais Thierry l’oriente vers des poses plus sexy.
-Il faut nous en donner un peu plus, les filles ! s’exclame Thierry.
Adele n’a pas sa langue dans sa poche et rétorque.
-Vous vous êtes déjà rincé l’œil avec le maillot transparent de Celine, on voit tout !
- C’est vrai qu’on devine bien tes seins Celine, ça t’ennuie de nous les montrer ?
En réponse elle dénoue son soutien gorge qu’elle jette vers moi en rient
- Pour le peu que j’ai, pas de quoi s’extasier. Dit elle en dévoilant deux petits seins, munis ce deux gros bourgeons, bien érigés.
Elle tourne sur elle Même, pendant que je la shoote, n’hésitant pas à prendre ses pointes entre deux doigts et à les faire durcir encore plus.
-Alors, Satisfait ? demande t’elle en s’approchant d’Adèle. C’est pas comme ma copine qui a deux superbes doudounes, dit elle, et d’un coup elle rabat le bustier de son amie, qui se retrouve dépoitraillée, et tente de protéger de ses mains fines deux seins opulents qui débordent d’entre ses doigts.
Pendant ce temps, je continue à mitrailler.
-Laisse tomber Adèle, tu en montres plus à la plage, commente Thierry. Je les ai déjà vus tu sais. Tu as de jolis seins. Laisse toi photographier.
Il s’est approché d’elle par derrière et pose ses mains sur ses épaules. Adèle ne bouge pas. Il descend ensuite le long de ses bras, puis il passe ses mains et vient empaumer les deux seins, dorés, et excite les pointes de ses doigts. Adèle a sursauté, mais elle se laisse faire et paraît prendre goût à cette caresse. Elle se penche en arrière et s’appuie sur mon pote. Celui-ci, saisit le haut du maillot et patiemment le roule jusqu’aux hanches de la blonde, ne laissant en dessous du bourrelet de tissu que le bas de la culotte pour masquer son intimité. Adèle se retourne pour l’embrasser, la moitié de ses fesses est déjà dehors.
Je me détourne pour revenir à Céline, à trois pas de là, et me rend compte qu’elle regarde derrière moi. Sur le rocher, Patricia est en train d’enfiler un débardeur blanc, suivi d’un short. Elle se lève et ramasse ses affaires.
-Tu t’en vas déjà ? (très observateur)
- J’ai des choses à faire, répond elle en partant. A plus.
-Quelle bécheuse celle là, murmure Céline
- Tu crois qu’on l’a choquée ? je demande
- Va savoir elle n’est pas toujours marrante, repond elle.
Subrepticement Adèle s’est glissée derrière Céline. Elle saisit les deux lacets de son maillot el le dénoue d’un coup, avant de le jeter au loin.
-Salope ! s’exclame Céline, nue comme un ver
-C’est toi qui as commencé, lui répond Adèle, avant d’aller se réfugier dans les bras de Thierry
Céline sort en courant et va s’allonger sur le rocher plat, ses petites fesses sans marques démontrent qu’elle est une habituée de l’intégral. Quand j’approche elle se couvre d’une serviette.
_ Allez lui-dis-je doucement, on voit bien que tu as l’habitude de bronzer nue.
- Oui, mais toute seule, ou a la plage.
- En quoi c’est différent ? On est au bord de l’eau, on se baigne, tout le monde ici t’a vue. Je veux juste quelques photos. Je te les montrerais en priorité, et celle qui ne te plairont pas ne seront jamais diffusées.
- C’est moi qui choisirais ?
- Toi seule
- Que veux tu ? dit elle en enlevant la serviette.
- Je m’approche d’elle et fais quelques photos. Elle ne se cache pas. Je viens face à elle et elle se relève sur les coudes pour me regarder opérer. Doucement, je passe ma main le long de son dos, et arrive sur ses petites fesses. L’une après l’autre je caresse ses cuisses, en les écartant légèrement, dévoilant son abricot épilé, fruit juteux, juste au dessous de son trou étoilé qui se dévoile au soleil. Je prends quelques clichés pendant qu’elle ronronne sans bouger.
Je tourne la tête pour découvrir Thierry, appuyé contre un arbre. Adèle l’a débarrassé de son caleçon, et, à genoux, lui prodigue une fellation.
Je reviens à Céline, que je fais tourner, pour être face à Moi. Reprenant mes objectifs je m’avance vers elle et la surplombe de ma hauteur.
-C’est ça que tu veux ? demande t’elle en écartant les jambes, et en ouvrant sa petite chatte luisante et rose.
Je ne réponds pas, mais je fais quelques gros plans, je m’avance au dessus de son corps et lui fais de l’ombre, sans lacher mon appareil qui crépite. Plan américain, portait. J’ai les jambes de part et d’autre de ses hanches quand elle se relève d’un coup et agrippe mon short qui est vivement tiré vers le bas.
-Pas de raison qu’on soit les seules à poil. Dit elle avec un petit rire satisfait, avant de saisir mon sexe. Elle le caresse distraitement d’une main tandis que l’autre longe ma cuisse et remonte pour saisir ma fesse gauche. Ça prend un tour que je n’avais pas prévu. Je change mon ouverture, et à travers l’objectif, je vois sa bouche s’approcher, venir lécher mon sexe à deux ou trois reprises avant de l’emboucher. Les sensation sont si fortes que je me concentre dessus et oublie de prendre des souvenirs. Vue d’en haut, le casque brun s’agite sur ma queue. Elle relève la tête, et me regarde dans les yeux, ses lèvres fines jouant avec mon gland. Un clin d’œil et elle replonge, m’engloutissant complètement, son front venant cogner contre mon pubis, ses doigts venant agacer mes bourses. Mon érection est à son comble. Elle l’a senti et accélère son pompage, Elle m’enfonce au fond de sa gorge et ressort très vite en aspirant, de plus en plus fort. Je sens monter mon plaisir et je tente de la repousser, mais elle s’accroche des deux mains à mes cuisses et continue son va-et-vient, jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche en longues giclées. Elle en recrache une partie et revient me sucer, achevant de me nettoyer.
- C’est ça que tu voulais, me dit elle alors que je m’étends à ses côtés.
-ça n’était pas prémédité
-Je sais, mais c’est ce que vous voulez tous au fond.
-Je ne t’ai pas forcée
- Je n’ai pas dit que nous détestions ça, conclut elle. Regarde Adèle, Elle a trouvé chaussure à son pied, dit elle en désignant des yeux l’autre couple.
Adèle était maintenant accrochée au cou de Thierry. Celui-ci, jetant un coup d’œil vers moi, me fit signe, et je saisis mon Leica.
Il fit glisser le maillot de bain noir dévoilant le cul somptueux de la fille qu’il malaxa sans vergogne. Puis, il l’allongea sur le dos et écarta les jambes avant de se glisser entre elles et de venir planter sa langue dans la chatte entrouverte. Après quelques instants, il s’étendit en 69 sur elle . Au bout de mon 300mm je voyais en gros plan sa vulve baveuse, investie par deux doigts, alors qu’un troisième perforait son anus.
Je réalisai que Céline, assise à mes côtés, avait le regard fixé sur cette scène d’un érotisme torride, pendant que sa main s’agitait sur son entrejambe.
Adèle eut un premier orgasme. Une fois celui-ci passé, Thierry se coucha sur le dos, et Adèle vint le chevaucher. Ils firent l’amour ainsi quelques instants, puis il lui fit faire demi tour, et elle revint sur son cavalier, face à nous. Petite cavalcade qui eut raison de Céline qui jouit avec un petit cri, et Adèle se souleva pour venir s’empaler de nouveau, mais cette fois, Thierry visait son cul. Il l’aida a s’ajuster au dessus de lui, puis pesant sur ses épaules l’embrocha d’un coup, lui arrachant un cri de douleur. Ils s’immobilisèrent quelques secondes, et le mouvement démarra, lent, mais long et profond. Jambes écartées, face à nous, la bite de mon pote distendait le cul d’Adèle, qui montait et descendait sur ce cylindre d’airin avec de petits cris. Une main de posa sur mon pénis qui reprenait de la vigueur et entreprit de le manipuler à l’unisson du mouvement du couple. Le rythme s’intensifiait. Céline me prit l’appareil et le posa avant de venir se positionner à quatre pattes devant moi.
Comprenant son souhait je l’embrochait directement en levrette et me mis à la limer, face à l’autre couple qui pouvait aussi nous voir, L’excitation, monta rapidement et j’explosai rapidement , tandis que Thierry se libérait avec un grand râle dans les entrailles d’Adèle, accompagné par les cris de jouissance de nos deux partenaires.
L’eau fraiche de la rivière nous rinça et nous raffraichit et l’après-midi s’acheva, entre baignades et bains de soleil, non sans avoir promis aux deux belles de ne pas éditer de photos sans leurs avis.
J’avais pris un job de saison qui ne me satisfaisait pas, mais j’avais, sur place, fait la connaissance d’un ami. Nos passions étant fort proches, nous décidons, d’un commun accord, de développer une activité de photographe. Il faut dire qu’il avait déjà un labo, tout équipé, pour le développement et, de mon côté, je disposais de deux boitiers de qualité et de nombreux objectifs. Nous avons commencé par faire de nombreux clichés en noir et blanc, puis en couleur, des paysages magnifiques des pyrennées orientales, et nous partions souvent de très bonne heure pour réaliser de beaux clichés de levers de soleil.
(eh oui, le coucher de soleil, on ne le voit pas du côté méditerranéen.) Nous proposions aussi de faire des reportages photos, pour les évènements familiaux, surtout les mariages.
Malheureusement, cette affaire ne décollait pas et les clients étaient rares, malgré la qualité de nos photos, exposées dans des restaurants et quelques expos de la région.
Mon ami Thierry suggéra de faire davantage de portraits, pour attirer une clientèle plus familiale, encline a faire photographier sa progéniture.
Comme Thierry était natif de la région, il proposa de demander à des filles de ses connaissances de poser pour ces portraits. Comme nous travaillons tous deux dans la restauration, rendez-vous fut pris, un après-midi, pendant la coupure, avec trois de ses copines. Nous les retrouvâmes dans un bistrot du centre du village. Il y avait Celine, une brunette fine avec une coupe au carré, un visage harmonieux, et des hanches de garçon. Son amie Adèle avait elle des cheveux blonds, et un physique androgine également, mais sa silhouette était féminisée par des seins lourds, volumineux, qui devaient peser sur ce petit corps. Patricia la troisième était, de loin la plus mignonne ; visage harmonieux avec un petit nez en trompette, une peau très mate et des yeux de jais. Son sourire, un rien moqueur , laissait voir des dents immaculées entre deux lèvres pulpeuses..
Nous dégotons de jolis coins de campagne, un chemin ombragé, une prairie verdoyante, comme cadre, et je mitraille, les demoiselles, en portrait, en pied, avec des poses relax, mais Etudiées. Le soir, après les avoir raccompagnées, nous repartons au boulot, mais la nuit qui suit est passée au labo. Les photos sont jolies, et pour une partie exploitable. Une première sélection et nous en gardons une vingtaine que nous agrandissons, avec des filtres simulant des toiles, ou des mosaiques qui donnent un côté plus professionnel au résultat. Patricia notamment se révèle particulièrement photogénique, et son visage de Madone illumine les portraits. Nous casons ces photos, une fois encadrées, mais dans un bar restaurant, où nous exposons, le patron fait un peu la moue.
-C’est bien joli tout ça, mais pas très glamour. Il faut me trouver des photos plus sexy. Moi, j’ai une clientèle de mecs, et ils veulent du mouvement, de l’action.
Nous vendons un ou deux portraits, et quelques clients demandent de photographier leurs enfants, ou même leur famille, mais ça reste confidentiel.
Nous contactons Celine, pour une autre séance photo, mais celle-ci, nous répond que, avec la chaleur ambiante, les trois amies préfèrent aller se baigner. Sautant sur l’occasion, je leur dit que c’est parfait et que nous aimerions faire des photos en maillot.
Le lendemain après-midi, nous suivons les indications des jeunes femmes et après quelques kilomètres, nous arrivons auprès de leur voiture, garée dans un sous bois. Un petit sentier nous emmène vers des cris, et des bruits d’eau, et à quelques dizaines de mêtres, nous découvrons une petite rivière dont l’eau claire a rempli un bassin d’une vingtaine de mêtres. Deux des filles sont déjà dans l’eau, et s’éclaboussent, tandis que la troisième, Patricia, est allongée sur le ventre sur une grande pierre plate offrant son corps halé au soleil, vétue d’un bas de maillot noir, noué sur les hanches avec deux lacets. Thierry ne résiste pas et se défait de son short et de son débardeur, avant d’aller se jeter dans l’eau claire, mais visiblement fraiche. J’ai déjà fait plusieurs clichés de Patricia, et après les avoir saluées, je demande aux deux autres de s’approcher pour prendre quelques poses. Thierry, raffraichi, les rejoint. Je commence par Céline, qui porte un bikini jaune. Ne voulant pas entrer dans l’eau, j’utilise un télé de 150mm, et je capte plusieurs clichés, cherchant la réfraction de la lumière dans les gouttes d’eau sur sa peau. Je la fais sortir de l’eau et je constate que le maillot mouillé laisse apparaître en transparence ses tétons érigés par le froid, et sa fente, apparemment imberbe. Elle joue dans l’eau peu profonde quelques instants, jouant avec ses lunettes , osant des clins d’œil. Je décide de passer à Adèle, qui porte elle un maillot une pièce bustier, qui laisse nues ses épaules dorées. Elle a un sourire désarmant, et la candeur de ses yeux bleus contrebalance agréablement les fossettes de ses joues. Elle prend des poses qu’elle a vu dans des magazines de mode, mais Thierry l’oriente vers des poses plus sexy.
-Il faut nous en donner un peu plus, les filles ! s’exclame Thierry.
Adele n’a pas sa langue dans sa poche et rétorque.
-Vous vous êtes déjà rincé l’œil avec le maillot transparent de Celine, on voit tout !
- C’est vrai qu’on devine bien tes seins Celine, ça t’ennuie de nous les montrer ?
En réponse elle dénoue son soutien gorge qu’elle jette vers moi en rient
- Pour le peu que j’ai, pas de quoi s’extasier. Dit elle en dévoilant deux petits seins, munis ce deux gros bourgeons, bien érigés.
Elle tourne sur elle Même, pendant que je la shoote, n’hésitant pas à prendre ses pointes entre deux doigts et à les faire durcir encore plus.
-Alors, Satisfait ? demande t’elle en s’approchant d’Adèle. C’est pas comme ma copine qui a deux superbes doudounes, dit elle, et d’un coup elle rabat le bustier de son amie, qui se retrouve dépoitraillée, et tente de protéger de ses mains fines deux seins opulents qui débordent d’entre ses doigts.
Pendant ce temps, je continue à mitrailler.
-Laisse tomber Adèle, tu en montres plus à la plage, commente Thierry. Je les ai déjà vus tu sais. Tu as de jolis seins. Laisse toi photographier.
Il s’est approché d’elle par derrière et pose ses mains sur ses épaules. Adèle ne bouge pas. Il descend ensuite le long de ses bras, puis il passe ses mains et vient empaumer les deux seins, dorés, et excite les pointes de ses doigts. Adèle a sursauté, mais elle se laisse faire et paraît prendre goût à cette caresse. Elle se penche en arrière et s’appuie sur mon pote. Celui-ci, saisit le haut du maillot et patiemment le roule jusqu’aux hanches de la blonde, ne laissant en dessous du bourrelet de tissu que le bas de la culotte pour masquer son intimité. Adèle se retourne pour l’embrasser, la moitié de ses fesses est déjà dehors.
Je me détourne pour revenir à Céline, à trois pas de là, et me rend compte qu’elle regarde derrière moi. Sur le rocher, Patricia est en train d’enfiler un débardeur blanc, suivi d’un short. Elle se lève et ramasse ses affaires.
-Tu t’en vas déjà ? (très observateur)
- J’ai des choses à faire, répond elle en partant. A plus.
-Quelle bécheuse celle là, murmure Céline
- Tu crois qu’on l’a choquée ? je demande
- Va savoir elle n’est pas toujours marrante, repond elle.
Subrepticement Adèle s’est glissée derrière Céline. Elle saisit les deux lacets de son maillot el le dénoue d’un coup, avant de le jeter au loin.
-Salope ! s’exclame Céline, nue comme un ver
-C’est toi qui as commencé, lui répond Adèle, avant d’aller se réfugier dans les bras de Thierry
Céline sort en courant et va s’allonger sur le rocher plat, ses petites fesses sans marques démontrent qu’elle est une habituée de l’intégral. Quand j’approche elle se couvre d’une serviette.
_ Allez lui-dis-je doucement, on voit bien que tu as l’habitude de bronzer nue.
- Oui, mais toute seule, ou a la plage.
- En quoi c’est différent ? On est au bord de l’eau, on se baigne, tout le monde ici t’a vue. Je veux juste quelques photos. Je te les montrerais en priorité, et celle qui ne te plairont pas ne seront jamais diffusées.
- C’est moi qui choisirais ?
- Toi seule
- Que veux tu ? dit elle en enlevant la serviette.
- Je m’approche d’elle et fais quelques photos. Elle ne se cache pas. Je viens face à elle et elle se relève sur les coudes pour me regarder opérer. Doucement, je passe ma main le long de son dos, et arrive sur ses petites fesses. L’une après l’autre je caresse ses cuisses, en les écartant légèrement, dévoilant son abricot épilé, fruit juteux, juste au dessous de son trou étoilé qui se dévoile au soleil. Je prends quelques clichés pendant qu’elle ronronne sans bouger.
Je tourne la tête pour découvrir Thierry, appuyé contre un arbre. Adèle l’a débarrassé de son caleçon, et, à genoux, lui prodigue une fellation.
Je reviens à Céline, que je fais tourner, pour être face à Moi. Reprenant mes objectifs je m’avance vers elle et la surplombe de ma hauteur.
-C’est ça que tu veux ? demande t’elle en écartant les jambes, et en ouvrant sa petite chatte luisante et rose.
Je ne réponds pas, mais je fais quelques gros plans, je m’avance au dessus de son corps et lui fais de l’ombre, sans lacher mon appareil qui crépite. Plan américain, portait. J’ai les jambes de part et d’autre de ses hanches quand elle se relève d’un coup et agrippe mon short qui est vivement tiré vers le bas.
-Pas de raison qu’on soit les seules à poil. Dit elle avec un petit rire satisfait, avant de saisir mon sexe. Elle le caresse distraitement d’une main tandis que l’autre longe ma cuisse et remonte pour saisir ma fesse gauche. Ça prend un tour que je n’avais pas prévu. Je change mon ouverture, et à travers l’objectif, je vois sa bouche s’approcher, venir lécher mon sexe à deux ou trois reprises avant de l’emboucher. Les sensation sont si fortes que je me concentre dessus et oublie de prendre des souvenirs. Vue d’en haut, le casque brun s’agite sur ma queue. Elle relève la tête, et me regarde dans les yeux, ses lèvres fines jouant avec mon gland. Un clin d’œil et elle replonge, m’engloutissant complètement, son front venant cogner contre mon pubis, ses doigts venant agacer mes bourses. Mon érection est à son comble. Elle l’a senti et accélère son pompage, Elle m’enfonce au fond de sa gorge et ressort très vite en aspirant, de plus en plus fort. Je sens monter mon plaisir et je tente de la repousser, mais elle s’accroche des deux mains à mes cuisses et continue son va-et-vient, jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche en longues giclées. Elle en recrache une partie et revient me sucer, achevant de me nettoyer.
- C’est ça que tu voulais, me dit elle alors que je m’étends à ses côtés.
-ça n’était pas prémédité
-Je sais, mais c’est ce que vous voulez tous au fond.
-Je ne t’ai pas forcée
- Je n’ai pas dit que nous détestions ça, conclut elle. Regarde Adèle, Elle a trouvé chaussure à son pied, dit elle en désignant des yeux l’autre couple.
Adèle était maintenant accrochée au cou de Thierry. Celui-ci, jetant un coup d’œil vers moi, me fit signe, et je saisis mon Leica.
Il fit glisser le maillot de bain noir dévoilant le cul somptueux de la fille qu’il malaxa sans vergogne. Puis, il l’allongea sur le dos et écarta les jambes avant de se glisser entre elles et de venir planter sa langue dans la chatte entrouverte. Après quelques instants, il s’étendit en 69 sur elle . Au bout de mon 300mm je voyais en gros plan sa vulve baveuse, investie par deux doigts, alors qu’un troisième perforait son anus.
Je réalisai que Céline, assise à mes côtés, avait le regard fixé sur cette scène d’un érotisme torride, pendant que sa main s’agitait sur son entrejambe.
Adèle eut un premier orgasme. Une fois celui-ci passé, Thierry se coucha sur le dos, et Adèle vint le chevaucher. Ils firent l’amour ainsi quelques instants, puis il lui fit faire demi tour, et elle revint sur son cavalier, face à nous. Petite cavalcade qui eut raison de Céline qui jouit avec un petit cri, et Adèle se souleva pour venir s’empaler de nouveau, mais cette fois, Thierry visait son cul. Il l’aida a s’ajuster au dessus de lui, puis pesant sur ses épaules l’embrocha d’un coup, lui arrachant un cri de douleur. Ils s’immobilisèrent quelques secondes, et le mouvement démarra, lent, mais long et profond. Jambes écartées, face à nous, la bite de mon pote distendait le cul d’Adèle, qui montait et descendait sur ce cylindre d’airin avec de petits cris. Une main de posa sur mon pénis qui reprenait de la vigueur et entreprit de le manipuler à l’unisson du mouvement du couple. Le rythme s’intensifiait. Céline me prit l’appareil et le posa avant de venir se positionner à quatre pattes devant moi.
Comprenant son souhait je l’embrochait directement en levrette et me mis à la limer, face à l’autre couple qui pouvait aussi nous voir, L’excitation, monta rapidement et j’explosai rapidement , tandis que Thierry se libérait avec un grand râle dans les entrailles d’Adèle, accompagné par les cris de jouissance de nos deux partenaires.
L’eau fraiche de la rivière nous rinça et nous raffraichit et l’après-midi s’acheva, entre baignades et bains de soleil, non sans avoir promis aux deux belles de ne pas éditer de photos sans leurs avis.
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