PHOTOGRAPHE DEBUTANT 4 : la madone

- Par l'auteur HDS Poesexe -
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : PHOTOGRAPHE DEBUTANT 4 : la madone Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PHOTOGRAPHE DEBUTANT 4 : la madone
Le jour tant attendu est arrivé. Aujourd’hui, je vais enfin pouvoir photographier la jolie Patricia, qui viendra s’ajouter à mon tableau de chasse qui s’étoffe peu à peu. Viviane son amie, qui m’a aidé à la convaincre sera présente également, et je ne désespère pas d’obtenir quelques clichés supplémentaires de sa part. Les mois d’été sont trop chargés pour pouvoir faire des photos sur les plages. Je me suis donc fié à Viviane pour trouver un cadre intéressant pour cette séance photo.
Depuis notre dernière rencontre, j’ai prêté ma voiture à un collègue qui a eu la malencontreuse idée de la fracasser contre un mur. L’épave n’étant plus roulante, j’ai récupéré une moto dont il ne se sert pas beaucoup, et c’est donc, lesté d’un sac à dos contenant mes appareils que je me rends chez Joe, une station-service, bar restaurant, garage, qui me sert de QG.

Je salue Joe, et son épouse qui tiennent le bar, et commande un coca, avant de m’installer à une table. Je discute un peu avec eux. Ce couple est vraiment sympa et je suis client chez eux, mais traité plus comme un ami. Je partage souvent les repas avec eux, et c’est Magali, la femme de Joe, qui lave mon linge et renouvelle ma garde robe en piquant dans les affaires de son mari, chemises et jean’s. Un quart d’heure plus tard, la mini de Viviane se gare devant la porte et les deux jeunes femmes entrent. Viviane, qui connaît bien les propriétaires va les embrasser, mais Patricia, plus réservée, se contente d’un bonjour assez timide. Viviane est vétue d’un short en jean, effrangé, très court et très moulant qui met en valeur son petit cul, et d’une chemise, négligeamment nouée , sous ses seins, laissant le ventre et son nombril à l’air. Patricia, plus classique est en robe de toile bleue unie, boutonnée sur le devant qui s’arrête au dessus du genou, et cintrée par une large ceinture vernie blanche. Elle a complété sa tenue par d’élégantes chaussures ouvertes blanches à talons fins, tandis que Viviane porte un genre d’espadrilles à semelles compensées, qui allongent encore ses jambes dorées. Patricia, pour sa part, a une peau beaucoup plus mate, mais ses yeux bleus illuminent son visage. Sa chevelure de jais est rassemblée en un savant chignon. Alors que ses mèches chatain clair cascadent librement sur ses épaules.
Je leur offre une boisson, et Viviane nous explique rapidement où nous allons nous rendre.
Au moment de partir, Alors que paie les consommations, Joe me murmure un « bon courage » complété par un clin d’œil appuyé.
Je suis la petite voiture de Viviane , qui emprunte de tortueuses routes de montagne, et nous fait passer en Espagne, par des chemins de douaniers, avant de nous arrêter au pied de ruines d’un vieux château. Nous laissons nos véhicules et parcourons les anciennes murailles de pierre sèche. Nous sommes sur un pic, au dessus de versants abrupts et la vue sur les montagnes alentour est assez sidérante. Je choisis un point de vue dégagé et je pose mon matériel. Je prépare mon boitier avec les objectifs que je compte utiliser, puis je demande à Patricia de se placer, sur une espèce d’esplanade de pierre qui surplombe le paysage ensoleillé. Je lui fais prendre plusieurs poses différentes. Elle se prète au jeu, avec raideur. Je la sens sur la défensive. Pourtant, ce que je vois dans l’objectif, m’incite à continuer. J’utilise un téléobjectif, qui me permet des photos de près sans avoir à trop m’approcher. Elle a vraiment un visage de Madone.
Je lui demande de détacher ses cheveux , et une crinière noire vient moutonner sur ses épaules bronzées. Je la photographie, debout, assise, en mouvement. Je lui demande de dégager un peu son décolleté. Elle ouvre un bouton, puis un deuxième, à ma demande.
C’est déjà plus sexy, mais j’en veux plus. J’interpelle Viviane, en lui demandant comment faire pour avoir des clichés plus glamour. Elle s’approche de Patricia, et dégage un peu ses cheveux vers l’arrière. Elle se baisse pour defaire trois boutons en bas de la robe, qui s’entrouvre maintenant dans les mouvements, puis, se reculant, elle vérifie du regard, et reviens pour déboutonner le haut jusqu’à la ceinture. Patricia proteste mais, elle lui dit que la ceinture suffit à fermer le vêtement.
Le décolleté est maintenant très plongeant, et dévoile le soutien-gorge de dentelle blanche. Après quelques shoots, j’emets l’idée que la ligne serait plus pure sans le soutif, et, poussée par Viviane, Patricia, se retourne pour se débarrasser du sous vêtement, qui est hâtivement jeté dans l’herbe. Viviane, pendant ce temps écarté les pans de la robe, et déboutonne le reste de boutons.
Patricia proteste, en disant qu’elle n’a qu’a se dévoiler, elle même. Viviane détache alors le nœud de sa chemise qui tombe à terre et dévoile ses seins nus, sans complexe.
Patricia surprise la laisse donc faire. Cette fois, je découvre une toute autre jeune femme, au large décolleté qui laisse entrevoir le galbe de ses seins, tandis que la robe, seulement tenue par la ceinture dévoile largement des jambes jusqu’à une culotte de dentelle blanche, quand elle pivote..
Je change de point de vue et la fais appuyer dos à un mur, une jambe repliée. A ma demande, après un coup d’œil a Viviane, elle détache la ceinture, et laisse s’ouvrit le vêtement . Elle est face à moi, ses seins nus , ronds et un peu lourds, pointent dans la lumière, et sa peau mate tranche sur le blanc de la pierre.
_ »C’est bon comme ça ? » demande t’elle sans sourire-« J’en voudrais un peu plus » réponds-je C’est Viviane qui s’approche d’elle et lui enlève sa robe qu’elle va déposer avec les autres vêtements avant de revenir vers Patricia. Elle lui chuchote quelque chose à l’oreille. L’autre lui répond sans que je puisse capter ce qui se dit. Viviane vient alors l’embrasser. Patricia s’abandonne instantanément et laisse les mains de son amie caresser ses seins, et les soupeser. Patricia ne résiste pas à ce traitement et ses mains viennent se poser sur la poitrine de Viviane. Celle-ci, dégraffe la ceinture de son jean, descend le zip, qui s’ouvre sur son sexe libre de tout tissu, et le fait glisser le long de ses jambes. Les mains de Patricia parcourent son corps en s’attardant sur les fesses, les reins, les hanches, et ses longs doigts viennent s’immiscer dans la vulve rosée qui palpite déjà. Viviane se baisse et, à son tour, saisit l’élastique de la culotte de Patricia, qui est vite balancée au loin d’un pied impatient.
Je mitraille comme un fou, les deux jolies filles qui se caressent à qui mieux mieux .
Je sors un plaid du sac et vais l’étaler sur l’esplanade de pierre, avant de diriger les deux jeunes femmes vers cet endroit. Elles me remarquent à peine et Viviane fait s’allonger Patricia avant de venir se coucher sur elle, l’embrassant. Je capte en gros plan leurs baisers, leurs corps qui se retrouvent. Très vite, Viviane inverse sa position et sa tête se glisse entre les cuisses de Patricia. Le buisson bien taillé de son sexe, me laisse voir la langue pointue qui s’introduit entre les grandes lèvres et en fait émerger le clitoris. Viviane a soudain un hoquet, et je comprends vite pourquoi . Patricia vient d’investir la chatte de sa compagne de deux doigts d’une main, tandis que deux doigts de l’autre main s’agitent dans son fondement. C’est un peu surréaliste ces bruit de sucions et ces gémissements, en pleine nature, entre ces murs millénaires. Certes , cela va trop loin pour les photos, mais mon sexe est tendu a m’en faire mal, et je le libère, sans que les filles s’en rendent comptent. Elles se donnent du plaisir sans retenue, et jouissent l’une après l’autre.
Viviane , la première se tourne vers moi, et me fait signe d’approcher. Elle se met à genoux et embouche mon sexe aussitôt, le faisant coulisser dans sa bouche. Puis elle attrape la main de Patricia et la pose sur mes bourses, qui sont malaxées tendrement. Viviane se retire et dirige ma queue vers la bouche de Patricia, qui l’engloutit à son tour. Je suis ensuite léché, mordillé sucé, aspiré, tour à tour par chacune des deux bouches qui me portent rapidement vers l’extase. Dans un râle, je rends les armes, et me répands sur leurs seins que je cajole en étalant ma semence. Viviane me reprend en bouche pendant que je tête avidement les seins de Patricia. Mon érection faiblit à peine, et dès que je reprends de la vigueur, Viviane repousse Patricia sur le dos, et m’invite à la m’approcher.
-« Laisse aller, ma douce, tu vas prendre ton pied » dit elle à Patricia. Puis elle de penche sur elle pour l’embrasser en lui caressant les seins.
Je présente mon sexe, qui trouve la jolie brune inondée. Je pousse un peu et pénêtre un fourreau brulant et étroit . Une fois abuté au fond, j’entame un mouvement de va-et-vient en elle. Je la sens détendue. Ses jambes remontent et se croisent sur mon dos. Je la lime de plus en plus fort. Viviane s’est écartée et nous regarde en déposant, de temps en temps un baiser sur le front de Patricia. Celle-ci, les yeux dans le vague, gémit en accompagnant mes mouvements. Je commence à sentir ses muscles internes qui se contractent et me massent.
Je roule sur le dos sans nous désunir. Elle se retrouve bientôt au-dessus de moi, relève son buste et cherche des lèvres la bouche de Viviane, qui vient l’embrasser ; je pose mes mains sur ses seins et les malaxe doucement. Elle halète quand Viviane se met à mordiller ses tétons. Mes mains sont passées sur ses fesses et je leur imprime un rythme lent, mais profond. A chaque fois elle retombe sur moi avec un soupir. Vivian la laisse et Patricia s’allonge sur moi, sa poitrine frottant sur mon torse, sa bouche cherchant la mienne. Pendant ce temps, je sens une main caresser mes couilles et accompagner mes gestes. Des cheveux viennent effleurer mes cuisses, et je me rends compte que Viviane a enfoui sa tête entre les fesses de Patricia, et lui butine le petit trou. Patricia, gémit de plus en plus fort. Elle se met à crier dans un orgasme libérateur.
-« Ahhh, ouii !, je jouiiiis !
-« Tu l’aimes sa bite ? »-« Oui, j’aime sa bite, j’aime tes doigts dans mon cul ! ahh ! je deviens folle ! »Peu après, elle se dégage, et roule sur le côté.
Je suis toujours tendu et mon sexe me fait mal. J’attrape Viviane, et la prends en levrette, avant de la mettre à quatre pattes. Elle garde son petit cul bien tendu vers moi et pose sa tête au sol, entre ses bras. Elle ne regimbe pas quand je pose mon gland sur son anus. J’appuie un peu et elle recule vers moi, aidant ma pénétration. Après un brève résistance, ses muscles se détendent et je suis comme absorbé par son cul. Je me fraye un chemin en elle, jusqu’à buter contre ses fesses, provoquant une plainte de douleur. Une fois bien planté en elle, je m’arrête pour la laisser s’habituer. Patricia vient l’embrasser avant de se glisser sous elle, lui offrant sa chatte à lécher. Petit à petit, je reprends mes mouvements, bien serré dans son conduit, et je lui pistonne l’anus de plus en plus fort. Devant moi, j’ai la vision de Patricia, qui se fait triturer les seins par sa copine. Plus bas, ses cheveux sont éparpillés sur son bas ventre, et, les jambes repliées de la brune encadrent la tête de la blonde, agitée par les secousses de son dos, qui suit le mouvement de deux fesses largement écartées, entre lesquelles, je vois mon chibre s’engouffrer dans son trou dilaté. Cette vision hautement érotique a raison de moi et je me lâche à grands traits en grognant comme un animal. Viviane s’est figée dans une jouissance muette, avant de continuer de brouter Patricia, Je me repose quelques minutes avant de reprendre mon appareil photo.

Les deux filles se calinent , apaisées, et, profitant de ce climat décontracté, je les dirige pour obtenir des clichés érotiques sans être trop crus, qui, j’en suis sur vont attirer les regards sur mon travail.
Quelques heures plus tard, nous nous séparons, après que Patricia m’ait fait jurer de ne pas parler de ce qui s’est passé.
Le soir même, je développe les clichés dans mon labo, et en tire quelques agrandissements.
Viviane, qui est venue me rejoindre, les observe, et les commente, nue sur mon lit, choisissant les plus joiles. Puis elle me dit que les photos manquent un peu d’action, et m’attire dans les draps.
Le lendemain matin, quand je m’éveille, elle est déjà partie, mais sur la table de chevet, elle a choisi quelques clichés de Patricia nue, mais dans des poses assez discrètes. Un petit mot est posé sur les photos.
« Je te laisse avec ces images de Madone, qui vont en faire fantasmer plus d’un. J’ai pris celles de nos ébats pour ma collection personnelle. »

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