Pipe Master
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Pipe Master
Jpj, Piquey, octobre 2018
Cette nouvelle ne relate absolument pas une histoire fellatrice. Vous faites erreur. On ne parle pas ici de la Reine de la Pipe. Encore moins de l’Impératrice d’icelle, bien que ses parcs ne soient pas bien éloignés de là … dans le bassin.
Maillot deux pièces fin beige très clair de toile gonflée de ses seins de sa touffe. Ce n’était pas de la maille qui dessine les volumes. Ce n’était pas de ces maillots qui détaillent en camel toe la vulve charnue ou les tétons dressés.
Non, c’était juste un maillot normal mais qui mettait bien en valeur son corps musclé de sportive bronzée.
La fille descendait plein soleil la dune et son caillebotis et tout le monde la matait. Plutôt matait les deux ficelles sur les hanches qui tenaient haut croché son slip par deux noeuds que l’on imaginait néanmoins parfaitement pouvoir facilement défaire.
C’étaient des noeuds à boucle double comme on en fait aux lacets des chaussures. Des noeuds que l’on sait dénouer simplement en tirant simultanément sur les deux bouts qui dépassent. Et alors les boucles rétrécissent puis disparaissent à cœur et miracle le noeud est ouvert.
La seule difficulté le seul obstacle à la manœuvre est qu’il y faut mettre les deux mains. Et en sus deux fois de suite, une fois d’un côté une fois de l’autre.
Parfois on réussit parfaitement à tirer le noeud de droite ou celui de gauche, c’est selon. Le maillot s’ouvre par devant par derrière des triangles de tissu qui tombent découvrant la fesse ronde et glabre et le pubis et sa touffe sombre.
En asymétrie totale.
Mais le maillot reste désespérément en place maintenu par l’autre lien l’autre noeud mais aussi mais surtout par le gousset, coincé lui entre hauts de cuisses, collé des humeurs moites et poisseuses qui habitent le lieu.
Enfin voilà que les hommes de la plage fantasmaient tous en matant les noeuds latéraux du maillot de cette surfeuse.
Tout ça pour vous dire qu’illuminée par le soleil déjà bas de fin d’après-midi la fille et son maillot resplendissaient descendant la dune sur le caillebotis de bois clair. Ses yeux à elle fixaient l’horizon, nos yeux à nous étaient obnubilés par l’étoffe gonflée de son pubis et par l’inexorable invite des noeuds sur ses hanches.
Ses seins étaient modestes et deux triangles tout simples les vêtaient vaguement laissant apparaître leur galbé par côté et dessinant par devant les pointus.
On voyait bien que cette fille sportive venait ici pour s’adonner à la glisse. Non seulement elle avait l’air conquérant des filles qui maîtrisent vagues et marées menton carré et regard vainqueur mais encore elle trimbalait sous le bras droit une housse bleue fermée d’un long zip, longue et étroite, que l’on présumait protéger un surf de compète.
Elle s’est arrêtée devant un groupe de filles près de vêtements et de matériels flamboyants comme des Stabilo Boss multicolores.
Après un salut à la cantonade, son surf debout contre elle, elle a dézippé la housse bleue et extrait la longue planche blanche et la combinaison de Néoprène flashy vert pistacchio.
Elle regardait l’océan et le spot où les gars allaient et venaient au gré des vagues dans des torrents d’écume blanche. Et on voyait bien qu’elle piaffait de les rejoindre. Ses naseaux soufflaient comme cheval avant le galop.
Elle a déroulé le shorty Spring et est entrée, une jambe puis l’autre, remontant le Néoprène très fin à son aine. Là tous nous avons vu qu’elle dénouait le slip du maillot à droite à gauche puis puisait entre ses cuisses l’étoffe pour la déposer délicatement pliée en V sur la housse bleue. Les quatre cordons faisaient accroche coeur clair sur le tissu bleu foncé.
Nous on pensait, faudra être là au retour quand elle va tomber le shorty pistacchio pour réenfiler la maillot, faudra être là pour ne rien rater…Et tous les mecs de la plage du Truc Vert avaient pris ferme résolution de rester tard ce soir-là pour profiter pleinement du retour de la belle surfeuse et de son striptease inversé.
Elle a enfilé les longues manches et remonté le baudrier sur son thorax. Etonnamment, sans ôter la bralette du maillot de bain. Elle a passé les deux bras à son dos par dessus les épaules pour remonter le zip et fermer le shorty serré à son cou dans un mouvement zen de repli sur soi-même.
La matière synthétique collait à son buste et effaçait totalement tout relief mammaire. C’était un garçon.
Elle est partie au point break rejoindre les garçons, son longboard sous le bras, leash trainant dans le sable.
Nous, gars et filles, assis sur la plage, on regardait la longue silhouette s’éloigner et pensions, on va profiter du spectacle. Et on savait tous que, regular ou goofy, elle serait à poil sous son néoprène 2/3 et qu’on serait seuls à le savoir.
Quand le soleil est devenu rouge sombre et immense et qu’il a commencé à plonger dans l’horizon, le groupe est rentré. Chacun son gun sous le bras.
Il était tard et la plage déserte. Les touristes étaient tous rentrés à son chez-soi.
La grande fille a glissé sa planche encore humide dans la housse. Et y a mis aussi le slip de maillot et ses lanières d’attache.
Elle a sollicité un copain pour abaisser le zip dans son dos et libérer son buste du carcan pistacchio.
Elle a déroulé le Néoprène sur sa taille sur ses hanches et jusqu’aux chevilles. Entre surfeurs on n’a pas de fausse pudeur.
Surtout dans la lumière sombre du crépuscule quand les sens sont exténués des efforts de nage et de riding.
Son ventre, sa touffe étaient restés secs tant la combinaison collait au corps, étanche. Mais ses intérieurs, eux, dégorgeaient des humeurs des efforts et du bonheur de glisse au milieu des garçons de ses copains de ses sexfriends.
Là, elle criait famine et les gars le savaient.
Ils savaient tous ces garçons que cette grande brune solide qui venait frayer avec eux était assoiffée de sexe encore plus que de glisse. Et que son ventre serait accueillant aux tendresses des mâles. Ils le savaient et bandaient tout simplement, prêts chacun à l’offrande.
De la housse bleue, d’une poche latérale elle a sorti une robe, bleue elle aussi. Une robe chaude comme un pull-over de laine cachemire. Elle a dégrafé sa légère bralette. Les deux seins ronds comme pommes aux aréoles contractées avec tétons pointus luisaient des sueurs de l’effort en soleil rasant. Et tout a été recouvert de laine chaude finement maillée enfilée par le cou comme on le fait d’un teeshirt à manches.
La fille était toute nue sous son pull et la rue en était maboul sur cette plage déserte au couchant.
Cette nouvelle ne relate absolument pas une histoire fellatrice. Vous faites erreur. On ne parle pas ici de la Reine de la Pipe. Encore moins de l’Impératrice d’icelle, bien que ses parcs ne soient pas bien éloignés de là … dans le bassin.
Maillot deux pièces fin beige très clair de toile gonflée de ses seins de sa touffe. Ce n’était pas de la maille qui dessine les volumes. Ce n’était pas de ces maillots qui détaillent en camel toe la vulve charnue ou les tétons dressés.
Non, c’était juste un maillot normal mais qui mettait bien en valeur son corps musclé de sportive bronzée.
La fille descendait plein soleil la dune et son caillebotis et tout le monde la matait. Plutôt matait les deux ficelles sur les hanches qui tenaient haut croché son slip par deux noeuds que l’on imaginait néanmoins parfaitement pouvoir facilement défaire.
C’étaient des noeuds à boucle double comme on en fait aux lacets des chaussures. Des noeuds que l’on sait dénouer simplement en tirant simultanément sur les deux bouts qui dépassent. Et alors les boucles rétrécissent puis disparaissent à cœur et miracle le noeud est ouvert.
La seule difficulté le seul obstacle à la manœuvre est qu’il y faut mettre les deux mains. Et en sus deux fois de suite, une fois d’un côté une fois de l’autre.
Parfois on réussit parfaitement à tirer le noeud de droite ou celui de gauche, c’est selon. Le maillot s’ouvre par devant par derrière des triangles de tissu qui tombent découvrant la fesse ronde et glabre et le pubis et sa touffe sombre.
En asymétrie totale.
Mais le maillot reste désespérément en place maintenu par l’autre lien l’autre noeud mais aussi mais surtout par le gousset, coincé lui entre hauts de cuisses, collé des humeurs moites et poisseuses qui habitent le lieu.
Enfin voilà que les hommes de la plage fantasmaient tous en matant les noeuds latéraux du maillot de cette surfeuse.
Tout ça pour vous dire qu’illuminée par le soleil déjà bas de fin d’après-midi la fille et son maillot resplendissaient descendant la dune sur le caillebotis de bois clair. Ses yeux à elle fixaient l’horizon, nos yeux à nous étaient obnubilés par l’étoffe gonflée de son pubis et par l’inexorable invite des noeuds sur ses hanches.
Ses seins étaient modestes et deux triangles tout simples les vêtaient vaguement laissant apparaître leur galbé par côté et dessinant par devant les pointus.
On voyait bien que cette fille sportive venait ici pour s’adonner à la glisse. Non seulement elle avait l’air conquérant des filles qui maîtrisent vagues et marées menton carré et regard vainqueur mais encore elle trimbalait sous le bras droit une housse bleue fermée d’un long zip, longue et étroite, que l’on présumait protéger un surf de compète.
Elle s’est arrêtée devant un groupe de filles près de vêtements et de matériels flamboyants comme des Stabilo Boss multicolores.
Après un salut à la cantonade, son surf debout contre elle, elle a dézippé la housse bleue et extrait la longue planche blanche et la combinaison de Néoprène flashy vert pistacchio.
Elle regardait l’océan et le spot où les gars allaient et venaient au gré des vagues dans des torrents d’écume blanche. Et on voyait bien qu’elle piaffait de les rejoindre. Ses naseaux soufflaient comme cheval avant le galop.
Elle a déroulé le shorty Spring et est entrée, une jambe puis l’autre, remontant le Néoprène très fin à son aine. Là tous nous avons vu qu’elle dénouait le slip du maillot à droite à gauche puis puisait entre ses cuisses l’étoffe pour la déposer délicatement pliée en V sur la housse bleue. Les quatre cordons faisaient accroche coeur clair sur le tissu bleu foncé.
Nous on pensait, faudra être là au retour quand elle va tomber le shorty pistacchio pour réenfiler la maillot, faudra être là pour ne rien rater…Et tous les mecs de la plage du Truc Vert avaient pris ferme résolution de rester tard ce soir-là pour profiter pleinement du retour de la belle surfeuse et de son striptease inversé.
Elle a enfilé les longues manches et remonté le baudrier sur son thorax. Etonnamment, sans ôter la bralette du maillot de bain. Elle a passé les deux bras à son dos par dessus les épaules pour remonter le zip et fermer le shorty serré à son cou dans un mouvement zen de repli sur soi-même.
La matière synthétique collait à son buste et effaçait totalement tout relief mammaire. C’était un garçon.
Elle est partie au point break rejoindre les garçons, son longboard sous le bras, leash trainant dans le sable.
Nous, gars et filles, assis sur la plage, on regardait la longue silhouette s’éloigner et pensions, on va profiter du spectacle. Et on savait tous que, regular ou goofy, elle serait à poil sous son néoprène 2/3 et qu’on serait seuls à le savoir.
Quand le soleil est devenu rouge sombre et immense et qu’il a commencé à plonger dans l’horizon, le groupe est rentré. Chacun son gun sous le bras.
Il était tard et la plage déserte. Les touristes étaient tous rentrés à son chez-soi.
La grande fille a glissé sa planche encore humide dans la housse. Et y a mis aussi le slip de maillot et ses lanières d’attache.
Elle a sollicité un copain pour abaisser le zip dans son dos et libérer son buste du carcan pistacchio.
Elle a déroulé le Néoprène sur sa taille sur ses hanches et jusqu’aux chevilles. Entre surfeurs on n’a pas de fausse pudeur.
Surtout dans la lumière sombre du crépuscule quand les sens sont exténués des efforts de nage et de riding.
Son ventre, sa touffe étaient restés secs tant la combinaison collait au corps, étanche. Mais ses intérieurs, eux, dégorgeaient des humeurs des efforts et du bonheur de glisse au milieu des garçons de ses copains de ses sexfriends.
Là, elle criait famine et les gars le savaient.
Ils savaient tous ces garçons que cette grande brune solide qui venait frayer avec eux était assoiffée de sexe encore plus que de glisse. Et que son ventre serait accueillant aux tendresses des mâles. Ils le savaient et bandaient tout simplement, prêts chacun à l’offrande.
De la housse bleue, d’une poche latérale elle a sorti une robe, bleue elle aussi. Une robe chaude comme un pull-over de laine cachemire. Elle a dégrafé sa légère bralette. Les deux seins ronds comme pommes aux aréoles contractées avec tétons pointus luisaient des sueurs de l’effort en soleil rasant. Et tout a été recouvert de laine chaude finement maillée enfilée par le cou comme on le fait d’un teeshirt à manches.
La fille était toute nue sous son pull et la rue en était maboul sur cette plage déserte au couchant.
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