Plaisir provençal - histoire érotique

Je m'appelle Romain, j'ai 24 ans, j’habite la région parisienne, mes parents possède un petit mas provençal dans le Vaucluse, ils y passent plusieurs semaines au printemps et à l'automne, mais l'été, les fortes chaleurs ne les branchent pas, ainsi j'ai tout loisir d'en profiter avec mes amis.
En Août dernier j'avais décidé d'inviter Lisa et Aurélien, deux amis de Paris avec qui je m'entends à merveille....
Seulement tous deux avaient trouvés un stage d'été et ne pouvaient arriver qu'après le 15 Août pour deux semaines. Un peu déçu je me décidais de faire des travaux d'entretien dans la maison qui en avait bien besoin.
Lorsque je bricole j'aime le faire nu, en effet chez moi lorsque je suis seul, je suis très souvent à poil, adepte du cul à l’air, cette situation me procure un plaisir fou... parfois jusqu'à bander à l'idée que quelqu'un peut me découvrir nu comme un ver.
Donc j'avais entrepris de repeindre les volets du mas, après avoir passé la journée précédente à poncer le bois abimé, le lendemain il me restait la tâche plus noble de jouer du pinceau, j'avais installé les tréteaux un peu sous le cerisier pour mettre les volets à l'ombre mais moi je pouvais peindre exposé au soleil.... A poil bien sûr, car le mas étant isolé et entourés de vergers et de garrigue, le naturisme s’imposait sans restriction.
Je profitais un maximum de ce soleil provençal en faisant des pauses et sirotant un coca bien frais, je m'asseyais sur le banc de jardin, scrutant mon travail fait... et celui qui m'attendait, en même temps je me caressais le sexe… puisque personne n’était là pour assurer cette noble tâche !
Lorsque je flatte mon membre je dévoile mon prépuce bien humide.
Ainsi entre peinture, caresse et bronzette je m'éclatais au soleil sans m'inquiéter du reste... un vrai délice.
J'avais positionné certains volets à la verticale le long du portique de la balançoire qui m'avait tant servi lorsque j'étais gamin, accroupi, je les peignais en écartant très largement mes jambes, je regardais souvent ma tige à demi déployée et mes boules qui pendaient entre les cuisses, burnes que je caressais entre deux coups de pinceau, j'aime beaucoup cette posture, elle me déclenche souvent une érection et j'aime les voir très légèrement poilues se détacher nettement de ma pine et se balancer à chaque mouvement d’avant en arrière.
J'étais dans cette position depuis près d'une demi-heure lorsque j'entends un bruit de pas arriver sur la terrasse, n'ayant pas le temps de prendre ma serviette posée sur la table de jardin, je n'ai tout juste que le temps de mettre ma main droite sur mon sexe déjà bien tendu, ma main gauche quant à elle tenait le pinceau.... Je vois arriver le fils du voisin, qui est à trois cent mètres de notre mas, il est torse nu et porte un bermuda à fleur et ses tongs, il se prénomme Florian, il doit avoir 20 ou 21 ans... de type méditerranéen, cheveux très bruns, les yeux presque noirs, bronzé parfait, un peu musclé mais sans excès, un beau garçon qui ne m’a jamais laissé indifférent lorsque je le croise ici.
Le genre de mec que tu imagines pouvoir te faire alors que tu ne connais rien de lui d’un point de vue orientation sexuelle.
S’il est hétéro, les nanas ça doit tomber tout seul, il est super sexy ce petit jeune.

Surpris de sa visite, je lui dis :
- " Salut, tu m'as fait peur je ne t'ai pas entendu arriver ! "
Florian en souriant :
- " Je le vois, sinon je ne t'aurais pas surpris dans cette superbe tenue d'Adam ! " dit-il en riant.
Moi un peu gêné :
- " Tu m'excuses mais il m'arrive de travailler ainsi, je suis un adepte du naturisme, j’aime jouer les « Sans-culotte » ", ma main toujours cachant mon sexe redevenu calme...
Lui, semblant apprécier la situation :
- "C'est très bien, moi aussi j'aime me mettre à l'aise, permets-moi de te féliciter, ton physique et ton bronzage sont parfaits... " Me balance-t-il en s'approchant pour me serrer la main.
Moi, rassuré :
- " Merci du compliment, mais je vais mettre ma serviette ", son approche m'inquiétait et m'excitait à la fois…
Je bafouillais à moitié en lui répondant.
Florian réagit aussitôt :
- " Mais pourquoi ? Reste comme tu es, ce serait dommage de cacher ce si beau corps... », il s'approche et me prend par l'épaule de la main gauche et me tend sa main droite afin que je lui serre en guise de bonjour.
Et là, je n'avais pas le choix d'enlever ma main qui me servait de cache-sexe pour lui serrer la sienne.... C'est donc la bite à l'air que je le saluais un peu gêné mais sans plus.
Florian découvrant mon anatomie dans son intégralité :
- "Hummmm, c'est plutôt sympa, ton sexe est dans la logique de ton corps, décidément tu me fais de l'effet ! Et ton bronzage intégral te rend super sexy, tu es craquant Romain !"
-
J'avais entendu parler de lui l'année passée, son homosexualité semblait connue dans le hameau, les ragots circulent bien dans ces coins perdus... Sa réaction ne me surprenait qu'à moitié et pour tout dire ne me déplaisais pas du tout.
Je reprends :
- " Désolé mais je me sens un peu con devant toi à poil, permets-moi de mettre cette serviette autour de ma taille "
Et là, il me prend la serviette et la balance dans le cerisier, elle s'accroche dans les branches sans redescendre...
Moi surpris de sa réaction :
- " Ben pourquoi fais-tu ça ? "
Et lui se marrant :
- " Parce que je te l'ai dit, tu me plais trop dans ta tenue d'Adam ! En clair tu m’excites grave"...
Et là il entreprend de quitter son bermuda de plage, il ne porte pas de sous-vêtement, le voici lui aussi nu comme un ver, avec une tige de belle taille, des couilles rasées bien pleines et bien rondes, son corps est bronzé intégral comme moi, il est imberbe, on discerne tout juste une marque de string qu'il doit porter de temps à autre...
Moi commençant à comprendre son excitation :
- " Wouahhh, tu n'es pas mal foutu non plus ! "Lui dis-je sans hésiter, et là je sens ma tige se redresser assez rapidement...
Lui, heureux de cette situation :
- " Eh, bien mon salaud, tu bandes... serais-tu attiré par les mecs ? " me dit-il en me prenant la bite dans sa main...
Moi, penaud et balbutiant :
- " Je, je crois que oui, enfin non, non… J'en suis sûr en fait, oui je te confirme je suis gay ! "
Et là, j'en fais autant avec son membre qui était en pleine ascension... Nos bites en main, nous nous sommes mis à nous masturber tout naturellement, nous peloter les fesses avec délectation, nous caresser les couilles avec douceur et passion, nous lécher les tétons avec amour, le ventre, l’entrecuisse… Nous étions devenus des bêtes, nos premiers râles auraient pu s'entendre facilement par le voisinage... Ce petit salaud n’était pas hétéro… Il aimait la queue tout comme moi !
Florian était à la fois doux, sensuel et fougueux, il venait de me découvrir sous un angle inattendu et salvateur, lui gay et isolé dans la garrigue qui se découvrait un jeune parisien pédé et naturiste… Que demander de plus, et le soleil et la chaleur étant de la partie… La vie était belle !
Après nos embrassades et palpations et léchouilles de nos corps humides de sueur et d’excitation, Florian me dit :
- " Tourne-toi s'il te plait, mets-toi en levrette et écarte bien ton petit cul.... J'ai trop envie de te prendre.... " Me dit-il avec son souffle accéléré....
A peine en position il commence à me doigter en se mouillant le doigt à plusieurs reprises, puis un second doigt dans mon anus qui commençait à se dilater.
Moi, excité, Je lui facilite l’introduction en me dandinant :
- " Vas-y... prends-moi Florian.... J'en ai trop envie, j’ai envie de ta belle queue en moi ! Je n’ai pas de capote, je te fais confiance !"
Et là, Florian bandé à mort, son gland décalotté, sa teub doit bien faire 17x5, me prend en douceur au départ, puis m’enfonce son membre profondément jusqu’à ce que ses couilles me frottent la raie des fesses, il se retire et rentre à nouveau en moi plusieurs fois en crachant sa salive sur sa queue bien raide à chaque fois qu’elle sortait de mon cul, puis de toute son énergie et me lime le cul comme un dieu, en me caressant le dos, les fesses, les couilles… Après vingt minutes de vas et viens intenses et accompagnés de nos gémissements mutuels, je n'en pouvais plus.... Ce petit salaud n’était à coup sûr pas à sa première enculade de mâle, il maîtrisait parfaitement la situation !
Soudain, je l’entends me hurler :
- " Attention Romain je vais larguer la purée... »
Je n'ai eu que le temps de me retourner sur le dos, lui de sortir de mon cul défoncé, il se met à califourchon sur moi et je sens un jet puissant m'arriver dans l'œil gauche, puis un autre dégoulinant sur le cou et enfin un troisième sur les tétons, j'ai continué de le branler et les dernières gouttes de sperme m'ont bouché le nombril.... Je l'ai fini en enfouissant sa bite encore dure dans ma bouche et ai avalé les dernières gouttes de sperme chaud.

Mon cul me faisait mal après cet assaut inattendu, Florian avait maintenant la bite molle et rouge après cette agression anale fougueuse et virile.

Nous sommes passés sous la douche du mas parental, douche ponctuée de branle et de roulage de pelles, nous nous sommes sucés bites et couilles et bouffés nos culs sous le jet d’eau chaude, après nous être séchés au soleil, nous avons terminé l'après-midi à poil à siroter un coca bien frais en se tripotant une nouvelle fois nos entrejambes... nous étions beaux tous les deux, avec nos bites au repos.
Nous avons longuement discuté afin de nous découvrir plus intimement, nos relations, nos fantasmes, nos projets…
Il m’avoua être versatile, et qu’il rencontrait régulièrement des hommes murs qui l’avaient initiés aux plaisirs entre hommes via un site gay, puis appréciant la tranche d’âge 35 à 55 ans il s’en tape relativement souvent, il y a beaucoup d’hommes même hétéro qui fantasment de se taper des jeunes de 20 à 25 ans, dans ce cas, chacun y trouve son compte et surtout son plaisir.

Puis en fin de journée, nous relançons une ultime branlette mutuelle, les parents de Florian n’allaient pas tarder à rentrer.
Nous nous promettons de reprendre nos ébats dès le lendemain après le départ de ses parents.

Cette série de baise en pleine nature provençale, au soleil et entre naturistes gays avec Florian a duré toute la semaine jusqu'à l'arrivée de Lisa et Aurélien.
Les deux semaines qui ont suivi m'ont mises à la diète sexuelle... mais tous les soirs avant de m'endormir seul, je me caressais en imaginant le corps de Florian me chauffer au soleil, j'imaginais sa belle bite et ses couilles bien pleines me parcourir la raie avant que je l’accueille en moi et qu’il m’inonde de son sperme chaud mes entrailles en feu...

Florian et moi nous étions promis d’organiser nos prochaines rencontres avec minutie, nous n’avions pas besoin de visites d’amis ou des parents pour perturber nos ébats masculins.

Un plaisir provençal que j’ai découvert et dégusté avec amour et passion…
A consommer sans modération !