Pour faire plaisir à Madame 07
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour faire plaisir à Madame 07
Pour faire plaisir à Madame 07
C'était ce genre de soirées qui plaisaient de plus en plus à ma femme.
Moi sous clé, et un, deux ou trois hommes très virils, très bien montés, et très actifs, un peu de champagne. Et on passait des soirées très agréables. C'est elle qui décidait de tout ce qui se passait. Qui la prendrait et dans quelle position. Qui me prendrait et là encore dans quelle position.
Mais ce n'était pas tous les jours le grand soir.
Le plus souvent nous nous retrouvions entre nous. C'était plus calme !
Madame se masturbait, je la regardais. Madame me demandait de la masturber. Avec mes mains, mes lèvres et ma langue je devais alors lui donner du plaisir. Mon plaisir à moi, elle ne s'en préoccupait pas vraiment sauf quand quelquefois, il lui venait l'idée de m'en donner.
Comme ce jour ou elle me faisait un petit spectacle érotique, elle dansait, entièrement nue devant mes yeux. Dans ma cage je bandais comme je pouvais. La cage me confinait ma queue bien serrée, bien à l'étroit, un peut trop à l'étroit pour mon goût mais ça faisait déjà un moment qu'on ne me demandait plus mon avis.
Je réajustais comme je pouvais mon dispositif pendant que Madame s'amusait avec moi. Elle enfilait alors cette gaine très fine qui servait à retenir le gode, cette ceinture qui n'en était pas vraiment une. En prenant des positions scabreuses elle se fixait un gros gode.
Je regardais ça, j'étais un peu effrayé mais j'en avais vu d'autre. Une soir un de ses amis m'avait enculé et il était aussi bien monté que ce gode, plus peut être même. J'y repensais, et comme ce jour, je paniquais un peu. Je savais que Madame pouvait être un peu violente, un peu trop.
Elle dansait devant moi, sa bite artificielle se redressait avec vigueur, c'était une de ces bites qui ne fatigue jamais, qui ne débande jamais, qui …
Elle se cambrait, se masturbait le gode, et finalement, du bout du doigt sous mon menton, elle me tirait vers elle et se penchait sur moi.
– Retourne-toi et donne moi ton cul ! Me disait elle.
Je vous le dis comme je le pense, mais moi je trouve que là, elle exagère. Mais je préférais obtempérer. C'est pas que j'avais peur de lui tenir tête, c'est seulement que je commençais à vraiment aimer me faire défoncer le cul.
En plus j'étais en manque.
Je me retournais, lui offrant mon cul, à quatre pattes sur la moquette, je regardais devant moi et baissais la tête. Je prenais alors un air résigné. Elle aimait bien quand j'agissais comme ça.
Elle me caressait le dos, sa main glissait sur mon torse puis sur ma cage, là elle en profitait pour me tripoter les couilles sans modération. Là je n'était pas vraiment fan, elle me faisait mal, elle me faisait toujours un peu mal et s'en amusait.
Elle se penchait sur moi moi et je sentais ses seins s'écraser sur mon dos. Avec son autre main elle me lubrifiait le cul, elle y allait généreusement. Là je ne vous dis pas mais j'en menais pas large. '' Autant de gel … '', me disais-je, '' ça ne préjuge rien de bien ! ''.
Mentalement, j'étais prêt au pire. Je m’angoissais au moment ou je sentais une pression sur mon anus. Elle appuyait son gode contre mon cul. Je la sentais, elle rigolait. Elle me regardait bien attentivement, elle surveillait mes moindres réactions.
Étrangement je ne pensais pas du tout à ma bite et je ne sentais plus du tout ma cage. Ma queue ne protestait plus du tout, elle s'était ratatiné dans un recoin de ma cage qui pourtant était bien trop petite. Ma queue s'était adapté, s'était préparée pour cette situation.
Ma femme poussait son gode encore plus fort, je ne résistais pas et rapidement je sentais mon anus se dilater. Son énorme gode tentait d'entrer en force, il était aidé par une grosse dose de gel lubrifiant et par une volonté farouche, je dirais même sadique, de la part de ma femme.
Je ne résistais pas bien longtemps. Quand elle sentais que je lâchais, elle continuait à pousser mais avec un peu plus de douceur. Sadique peut être, mais elle ne voulait pas me blesser. Elle voulais seulement s'amuser et les cinq centimètres de diamètres glissaient en moi. Glissaient inexorablement, rien ne pouvait les en empêcher et surtout pas moi.
Si à ce moment là, je résistais, je ne pouvais que me blesser, si je laissais faire, ça devait bien se passer. Je le sentais passer, non sans mal, mais ça passait.
Je gémissais, je ne m'en rendais même pas compte, j'avais son visage posé sur mon épaule, je sentais son souffle contre mon oreille et je devinais son regard, elle était là qui scrutait mes réactions. Par moment elle me donnait un baiser sur la joue ou dans le cou pour me réconforter.
Ce n'était pas vraiment douloureux, non, ce n'était pas de la douleur, c'était seulement une sensation intense, et je paniquais. C'était vraiment intense, et à chaque millimètres de plus j'avais peur de déchirer.
Elle y allait doucement, elle ne voulait pas me blesser, elle voulait seulement s'amuser le plus innocemment du monde.
Pour autant que ce genre de jeux soit innocent !
Je ne sais pas trop ce qui se passait dans mon ventre mais j'avais l'impression d'être envahi par quelque chose d'énorme qui me dilatait les entrailles et prenait ainsi toute la place … Vous vous souvenez du film ' Alien ' ?
Enfin tant que ce 'quelque chose' ne tenterait pas de ressortir en m'ouvrant le ventre, on peut dire que je m'en sortais bien. Elle ressortait, lentement et je n'étais même pas sûr de me sentir soulagé. Le gode continuait à glisser dans mon cul, à glisser dans mes entrailles.
Rapidement je ne paniquais plus, ces sensations qui restaient intenses devenaient plus naturelles, plus normales, et peu à peu, à chaque mouvement devenaient agréables.
Mon cul était totalement détendu, généreusement distendu, et le gode glissait de plus en plus vite vers l'intérieur ou vers l'extérieur. Il me limait le cul mais me le massait également. Elle savait faire monter le plaisir lentement, je savais que ce gode, elle était également capable de se le prendre dans le cul.
Elle continuait à lubrifier généreusement, il ne fallait pas que ça résiste. Elle lubrifiait et accélérait le mouvement, la douleur avait totalement disparue et c'est un certain plaisir qui naissait à ce moment.
Ma queue restait calme. Elle se faisait bien un peu remarquer à partir de ce moment mais pas trop. Je bandais mollement, j'avais une grosse molle qui prenait toute la place mais qui ne poussait pas contre les barreaux de la cage. C'était même confortable. La cage qui m'avait semblé si petite puis si large devenait maintenant confortable, juste confortable.
C'est pendant ces moment que je me demandais si cette cage maudite n'était pas ensorcelée, et si elle ne s'amusait pas de moi.
Ma femme me limait le cul avec régularité maintenant, elle accélérait le rythme. Je sentais toujours son souffle, elle continuait à surveiller mes réactions. Elle manifestait par moment sa satisfaction.
Je sentais le plaisir monter et bientôt je jouissais. Je gémissais, je tremblais et mon souffle devenait irrégulier. Le plaisir montait. Je savais que je n'éjaculerais pas, je ne sais pas pourquoi mais je ne parviens jamais à éjaculer avec un truc aussi gros dans le cul. C'est comme ça. Mais ça ne veut pas dire que je ne prends pas de plaisir, c'est un autre plaisir, il est exclusivement anal, il monte lentement mais quand il arrive à son sommet … C'est le pied.
Elle savais que je jouissais au moment ou je criais, car je criais. Oh je ne faisait pas beaucoup de bruit, je criais presque silencieusement mais oui, je criais.
Elle s'enfonçait alors bien à fond. Attrapait l'autre gaine-ceinture qui était à ma taille. Elle décrochait le gode que j'avais dans le cul et tout en le maintenant en position elle me passait cette centure-gaine et la refermais.
Devant seule ma cage ressortait, derrière une ceinture de renfort maintenait la gode bien en position, bien à fond dans mon cul.
– Retourne-toi ! M'ordonnait-elle.
Sans penser à rien, sinon au plaisir effrayant que j'éprouvais à chacun de mes mouvements. Je me retournais sur le dos. Elle s'amusait alors quelques instants avec mes couilles avant de me fixer un autre gode. Un truc plus petit que celui que j'avais dans le cul mais d'une très belle taille tout de même.
J'étais sonné, je relevais la tête. Je sentais cette présence dans mes entrailles et je voyais cette bite synthétique là ou il aurait du y avoir la mienne. Oh la mienne était là mais juste en dessous et je ne pouvais pas la voir.
– Maintenant, occupe toi de moi ! M'ordonnait-elle.
Je ne vous dis pas mais là c'est l'enfer. Quand on bouge, on se masse le cul, on se masse les entrailles et le plaisir devient rapidement tellement intense qu'il devient presque douloureux.
Essayez donc de vous caresser le gland juste après avoir éjaculé et joui.
Elle s'allongeait sur le dos, je m'allongeais sur elle. Il fallait que je la fasse jouir pour pouvoir me libérer mais mon cœur n'y était plus, et mes caresses étaient alors très maladroites. Elle s'en amusait, elle me ferait garder mon dispositif dans le cul d'autant plus longtemps.
Je tentais de lui faire plaisir avec la langue, ça, ça marche toujours et en plus on ne bouge pas ou pratiquement pas. C'est la langue qui fait tout le travail. Mais si elle réagissait bien, je savais ce qu'elle aimait, elle finissait par réclamer.
– Si je t'ai donné une queue pour ce soir, c'est pour que tu t'en serve. Me faisait-elle remarquer.
Je comprenais la réflexion, il fallait que je paye de ma personne alors que depuis un moment je ne cherchais qu'à m'économiser. Je m'allongeais sur son corps en me faisant le plus léger possible. Elle avait déjà commencé à jouir sous les caresses de ma langue.
Doucement je me glissais en elle, enfin je glissais ma fausse queue en elle. Je la caressais, l'embrassais et glissais dans son ventre.
Elle réagissait rapidement, il faut dire que je l'avais déjà longuement préparée et elle réagissait bien.
Elle refermais ses jambes derrière mes fesses et mon gode, bien bien planté en moi se faisait remarquer. Il était en trop, mon corps tentais de le repousser, je jouissais moi aussi avec mon cul, mon corps voulait chasser ce gode et les contractions provoquaient en moi un orgasme anal, un de plus, mais celui-ci durait.
Madame jouissait en même temps. Je la sentais qui se cambrait, son corps se redressait, se contractait, se redressait, elle était prise de convulsions.
Je continuais à la limer, elle me tirait vers elle, elle me repoussait, elle me retournait et se retournait avec moi. Je me retrouvais sur le dos, elle, toujours empalée sur ma fausse queue s'agitait et je voyais ses seins remuer juste au dessus de moi.
Le gode que j'avais dans le cul devenait de plus en plus présent. Et s'il n'avait pas été fermement retenu par une sangle de maintient, il aurait été expulsé depuis un moment. Mais ça devenait dur à supporter. Ce n'était pas vraiment douloureux, au contraire même, c'était trop, là c'était trop.
Mais ce n'était pas moi qui commandais, c'était ma femme. Et c'est seulement au moment ou elle se laissait retomber sur moi que je savais que je serais libéré.
Elle ne bougeait plus pendant plusieurs minutes, puis elle me repoussait et se retirait. En sueur, totalement essoufflée elle roulait à côté de moi, tirait une le drap sur elle ne me disait que …
– Maintenant on dort !
Je pouvais enfin me rendre à la salle de bain, je pouvais enfin retirer le gode que j'avais dans le cul, j'ai bien cru que j'allais éjaculer au moment ou j'ai retiré le gode de mon cul, j'ai joui. J'ai seulement joui mais je n'ai pas lâché une goutte de sperme ou de liquide. Je me suis lavé, j'ai lavé les outils et je suis revenu dans la chambre.
Elle dormait, elle avait l'air d'un ange. Je me suis glissé sous les draps, sans la réveiller, surtout sans la réveiller. Je lui avait donné du plaisir mais elle m'aurait jeté si je l'avais réveillée.
Elle est comme ça !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'était ce genre de soirées qui plaisaient de plus en plus à ma femme.
Moi sous clé, et un, deux ou trois hommes très virils, très bien montés, et très actifs, un peu de champagne. Et on passait des soirées très agréables. C'est elle qui décidait de tout ce qui se passait. Qui la prendrait et dans quelle position. Qui me prendrait et là encore dans quelle position.
Mais ce n'était pas tous les jours le grand soir.
Le plus souvent nous nous retrouvions entre nous. C'était plus calme !
Madame se masturbait, je la regardais. Madame me demandait de la masturber. Avec mes mains, mes lèvres et ma langue je devais alors lui donner du plaisir. Mon plaisir à moi, elle ne s'en préoccupait pas vraiment sauf quand quelquefois, il lui venait l'idée de m'en donner.
Comme ce jour ou elle me faisait un petit spectacle érotique, elle dansait, entièrement nue devant mes yeux. Dans ma cage je bandais comme je pouvais. La cage me confinait ma queue bien serrée, bien à l'étroit, un peut trop à l'étroit pour mon goût mais ça faisait déjà un moment qu'on ne me demandait plus mon avis.
Je réajustais comme je pouvais mon dispositif pendant que Madame s'amusait avec moi. Elle enfilait alors cette gaine très fine qui servait à retenir le gode, cette ceinture qui n'en était pas vraiment une. En prenant des positions scabreuses elle se fixait un gros gode.
Je regardais ça, j'étais un peu effrayé mais j'en avais vu d'autre. Une soir un de ses amis m'avait enculé et il était aussi bien monté que ce gode, plus peut être même. J'y repensais, et comme ce jour, je paniquais un peu. Je savais que Madame pouvait être un peu violente, un peu trop.
Elle dansait devant moi, sa bite artificielle se redressait avec vigueur, c'était une de ces bites qui ne fatigue jamais, qui ne débande jamais, qui …
Elle se cambrait, se masturbait le gode, et finalement, du bout du doigt sous mon menton, elle me tirait vers elle et se penchait sur moi.
– Retourne-toi et donne moi ton cul ! Me disait elle.
Je vous le dis comme je le pense, mais moi je trouve que là, elle exagère. Mais je préférais obtempérer. C'est pas que j'avais peur de lui tenir tête, c'est seulement que je commençais à vraiment aimer me faire défoncer le cul.
En plus j'étais en manque.
Je me retournais, lui offrant mon cul, à quatre pattes sur la moquette, je regardais devant moi et baissais la tête. Je prenais alors un air résigné. Elle aimait bien quand j'agissais comme ça.
Elle me caressait le dos, sa main glissait sur mon torse puis sur ma cage, là elle en profitait pour me tripoter les couilles sans modération. Là je n'était pas vraiment fan, elle me faisait mal, elle me faisait toujours un peu mal et s'en amusait.
Elle se penchait sur moi moi et je sentais ses seins s'écraser sur mon dos. Avec son autre main elle me lubrifiait le cul, elle y allait généreusement. Là je ne vous dis pas mais j'en menais pas large. '' Autant de gel … '', me disais-je, '' ça ne préjuge rien de bien ! ''.
Mentalement, j'étais prêt au pire. Je m’angoissais au moment ou je sentais une pression sur mon anus. Elle appuyait son gode contre mon cul. Je la sentais, elle rigolait. Elle me regardait bien attentivement, elle surveillait mes moindres réactions.
Étrangement je ne pensais pas du tout à ma bite et je ne sentais plus du tout ma cage. Ma queue ne protestait plus du tout, elle s'était ratatiné dans un recoin de ma cage qui pourtant était bien trop petite. Ma queue s'était adapté, s'était préparée pour cette situation.
Ma femme poussait son gode encore plus fort, je ne résistais pas et rapidement je sentais mon anus se dilater. Son énorme gode tentait d'entrer en force, il était aidé par une grosse dose de gel lubrifiant et par une volonté farouche, je dirais même sadique, de la part de ma femme.
Je ne résistais pas bien longtemps. Quand elle sentais que je lâchais, elle continuait à pousser mais avec un peu plus de douceur. Sadique peut être, mais elle ne voulait pas me blesser. Elle voulais seulement s'amuser et les cinq centimètres de diamètres glissaient en moi. Glissaient inexorablement, rien ne pouvait les en empêcher et surtout pas moi.
Si à ce moment là, je résistais, je ne pouvais que me blesser, si je laissais faire, ça devait bien se passer. Je le sentais passer, non sans mal, mais ça passait.
Je gémissais, je ne m'en rendais même pas compte, j'avais son visage posé sur mon épaule, je sentais son souffle contre mon oreille et je devinais son regard, elle était là qui scrutait mes réactions. Par moment elle me donnait un baiser sur la joue ou dans le cou pour me réconforter.
Ce n'était pas vraiment douloureux, non, ce n'était pas de la douleur, c'était seulement une sensation intense, et je paniquais. C'était vraiment intense, et à chaque millimètres de plus j'avais peur de déchirer.
Elle y allait doucement, elle ne voulait pas me blesser, elle voulait seulement s'amuser le plus innocemment du monde.
Pour autant que ce genre de jeux soit innocent !
Je ne sais pas trop ce qui se passait dans mon ventre mais j'avais l'impression d'être envahi par quelque chose d'énorme qui me dilatait les entrailles et prenait ainsi toute la place … Vous vous souvenez du film ' Alien ' ?
Enfin tant que ce 'quelque chose' ne tenterait pas de ressortir en m'ouvrant le ventre, on peut dire que je m'en sortais bien. Elle ressortait, lentement et je n'étais même pas sûr de me sentir soulagé. Le gode continuait à glisser dans mon cul, à glisser dans mes entrailles.
Rapidement je ne paniquais plus, ces sensations qui restaient intenses devenaient plus naturelles, plus normales, et peu à peu, à chaque mouvement devenaient agréables.
Mon cul était totalement détendu, généreusement distendu, et le gode glissait de plus en plus vite vers l'intérieur ou vers l'extérieur. Il me limait le cul mais me le massait également. Elle savait faire monter le plaisir lentement, je savais que ce gode, elle était également capable de se le prendre dans le cul.
Elle continuait à lubrifier généreusement, il ne fallait pas que ça résiste. Elle lubrifiait et accélérait le mouvement, la douleur avait totalement disparue et c'est un certain plaisir qui naissait à ce moment.
Ma queue restait calme. Elle se faisait bien un peu remarquer à partir de ce moment mais pas trop. Je bandais mollement, j'avais une grosse molle qui prenait toute la place mais qui ne poussait pas contre les barreaux de la cage. C'était même confortable. La cage qui m'avait semblé si petite puis si large devenait maintenant confortable, juste confortable.
C'est pendant ces moment que je me demandais si cette cage maudite n'était pas ensorcelée, et si elle ne s'amusait pas de moi.
Ma femme me limait le cul avec régularité maintenant, elle accélérait le rythme. Je sentais toujours son souffle, elle continuait à surveiller mes réactions. Elle manifestait par moment sa satisfaction.
Je sentais le plaisir monter et bientôt je jouissais. Je gémissais, je tremblais et mon souffle devenait irrégulier. Le plaisir montait. Je savais que je n'éjaculerais pas, je ne sais pas pourquoi mais je ne parviens jamais à éjaculer avec un truc aussi gros dans le cul. C'est comme ça. Mais ça ne veut pas dire que je ne prends pas de plaisir, c'est un autre plaisir, il est exclusivement anal, il monte lentement mais quand il arrive à son sommet … C'est le pied.
Elle savais que je jouissais au moment ou je criais, car je criais. Oh je ne faisait pas beaucoup de bruit, je criais presque silencieusement mais oui, je criais.
Elle s'enfonçait alors bien à fond. Attrapait l'autre gaine-ceinture qui était à ma taille. Elle décrochait le gode que j'avais dans le cul et tout en le maintenant en position elle me passait cette centure-gaine et la refermais.
Devant seule ma cage ressortait, derrière une ceinture de renfort maintenait la gode bien en position, bien à fond dans mon cul.
– Retourne-toi ! M'ordonnait-elle.
Sans penser à rien, sinon au plaisir effrayant que j'éprouvais à chacun de mes mouvements. Je me retournais sur le dos. Elle s'amusait alors quelques instants avec mes couilles avant de me fixer un autre gode. Un truc plus petit que celui que j'avais dans le cul mais d'une très belle taille tout de même.
J'étais sonné, je relevais la tête. Je sentais cette présence dans mes entrailles et je voyais cette bite synthétique là ou il aurait du y avoir la mienne. Oh la mienne était là mais juste en dessous et je ne pouvais pas la voir.
– Maintenant, occupe toi de moi ! M'ordonnait-elle.
Je ne vous dis pas mais là c'est l'enfer. Quand on bouge, on se masse le cul, on se masse les entrailles et le plaisir devient rapidement tellement intense qu'il devient presque douloureux.
Essayez donc de vous caresser le gland juste après avoir éjaculé et joui.
Elle s'allongeait sur le dos, je m'allongeais sur elle. Il fallait que je la fasse jouir pour pouvoir me libérer mais mon cœur n'y était plus, et mes caresses étaient alors très maladroites. Elle s'en amusait, elle me ferait garder mon dispositif dans le cul d'autant plus longtemps.
Je tentais de lui faire plaisir avec la langue, ça, ça marche toujours et en plus on ne bouge pas ou pratiquement pas. C'est la langue qui fait tout le travail. Mais si elle réagissait bien, je savais ce qu'elle aimait, elle finissait par réclamer.
– Si je t'ai donné une queue pour ce soir, c'est pour que tu t'en serve. Me faisait-elle remarquer.
Je comprenais la réflexion, il fallait que je paye de ma personne alors que depuis un moment je ne cherchais qu'à m'économiser. Je m'allongeais sur son corps en me faisant le plus léger possible. Elle avait déjà commencé à jouir sous les caresses de ma langue.
Doucement je me glissais en elle, enfin je glissais ma fausse queue en elle. Je la caressais, l'embrassais et glissais dans son ventre.
Elle réagissait rapidement, il faut dire que je l'avais déjà longuement préparée et elle réagissait bien.
Elle refermais ses jambes derrière mes fesses et mon gode, bien bien planté en moi se faisait remarquer. Il était en trop, mon corps tentais de le repousser, je jouissais moi aussi avec mon cul, mon corps voulait chasser ce gode et les contractions provoquaient en moi un orgasme anal, un de plus, mais celui-ci durait.
Madame jouissait en même temps. Je la sentais qui se cambrait, son corps se redressait, se contractait, se redressait, elle était prise de convulsions.
Je continuais à la limer, elle me tirait vers elle, elle me repoussait, elle me retournait et se retournait avec moi. Je me retrouvais sur le dos, elle, toujours empalée sur ma fausse queue s'agitait et je voyais ses seins remuer juste au dessus de moi.
Le gode que j'avais dans le cul devenait de plus en plus présent. Et s'il n'avait pas été fermement retenu par une sangle de maintient, il aurait été expulsé depuis un moment. Mais ça devenait dur à supporter. Ce n'était pas vraiment douloureux, au contraire même, c'était trop, là c'était trop.
Mais ce n'était pas moi qui commandais, c'était ma femme. Et c'est seulement au moment ou elle se laissait retomber sur moi que je savais que je serais libéré.
Elle ne bougeait plus pendant plusieurs minutes, puis elle me repoussait et se retirait. En sueur, totalement essoufflée elle roulait à côté de moi, tirait une le drap sur elle ne me disait que …
– Maintenant on dort !
Je pouvais enfin me rendre à la salle de bain, je pouvais enfin retirer le gode que j'avais dans le cul, j'ai bien cru que j'allais éjaculer au moment ou j'ai retiré le gode de mon cul, j'ai joui. J'ai seulement joui mais je n'ai pas lâché une goutte de sperme ou de liquide. Je me suis lavé, j'ai lavé les outils et je suis revenu dans la chambre.
Elle dormait, elle avait l'air d'un ange. Je me suis glissé sous les draps, sans la réveiller, surtout sans la réveiller. Je lui avait donné du plaisir mais elle m'aurait jeté si je l'avais réveillée.
Elle est comme ça !
A suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je vous remercie Charly. J’attends la suite alors.
Je vais voir, je sais pas. C'est vrai que c'est un peu dans le même esprit ...
Je n’ai pas Twitter. Par contre dans la même veine de ce que vous écrivez , il existe BOB65 qui n’a jamais mis la suite de ses péripéties.
Je vous encourage à le lire et si possible à écrire 1 suite du même style ?
Sa femme aussi l’a pris mais ça reste respectueux.
Quand on lit ses récits on y lit l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre.
Perso je ne saurai pas écrire 1 suite.
Merci
Je vous encourage à le lire et si possible à écrire 1 suite du même style ?
Sa femme aussi l’a pris mais ça reste respectueux.
Quand on lit ses récits on y lit l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre.
Perso je ne saurai pas écrire 1 suite.
Merci