Pour le meilleur Ep04 Une vie en harmonie
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour le meilleur Ep04 Une vie en harmonie
Pour le meilleur Ep04
Une vie en harmonie
C'était fait, pas vraiment prévu mais c'était fait. Je vais pas vous mentir et je prétendre pas que c'est le grand confort. Ça gratte, ça frotte, ça coince, ça gène … Bref c'est pas le pieds.
Oui je sais je prends ça à la légère, avec désinvolture mais c'est pour ne pas dramatiser. C'est que voyez vous j'ai pas le choix. Enfin si, je pourrais refuser et comme ma cage est en plastique, si je voulais vraiment il ne me faudrait pas bien longtemps pour la retirer mais rapidement je me prenais au jeux. Je relevais le défi que ma femme me lançais.
Je me disais que je tiendrais le coup et qu'elle serait fier de moi et que notre relation allait s'arranger et que je redeviendrais son favori et qu'elle finirait par virer ses amants et que, et que …
J'avais rien compris ! Pour elle, d'abord ce n'était pas un défi … Et ensuite j'avais une petite bite, et ensuite elle trouvait ce truc très esthétique et ensuite elle trouvait que ma petite bite faisait très pathétique et ensuite elle trouvais que je n'étais qu'un obsédé et ensuite que ma bite ne l'intéressait plus et ensuite, et ensuite …
Bref, j'avais loupé un épisode quelque part et ma femme l'avait compris.
En attendant je me retrouvais la bite en cage, et il m'était totalement impossible de la retirer sans que ma femme ne s'en rende compte. Je serais alors obligé de l'affronter, et … J'avais pas envie de l'affronter !
Le comportement de ma femme à totalement changé, bon je reprends … En dehors de la maison le comportement de ma femme à totalement changé …
La ça correspond plus à la réalité.
Oui parce que à la maison, on faisait chambre à part, on faisait télé à part, on faisait voiture à part, bref on faisait tout à part … Part contre en dehors, elle était attentive à moi, à mes désirs, à mes besoins à … Je sais pas moi, elle me mettait mes deux sucres dans mon café alors que je ne prends pas de sucre, au restaurant elle me commandait un steak à peine cuit alors que je ne les mange que bien cuits …
Oui, enfin quoi, elle était dans l'illusion. Et elle donnait le change. Surtout qu'elle le faisait avec un grand sourire. Elle sait être charmeuse vous savez et même moi, j'ai bien cru qu'elle était sincère le jour ou elle m'a commandé une part de gâteau au chocolat noir comme dessert au restaurant.
Je n'aime pas le chocolat noir !
Bon, là vous allez vous dire que en fait, discrètement elle faisait tout pour m'empoisonner la vie … Et bien non !
Elle ne le faisait pas exprès !
Elle était bien intentionnée, simplement elle ne savait pas ce que j'aimais. Heureusement il y avait Jonathan. Bein oui il était resté celui-là, il battait tous les records d'ancienneté auprès de ma femme.
Lui, il ne mettait pas de sucre dans mon café et il commandait toujours un steak bien cuit si c'était pour moi. Il précisait même au serveur ' Avec de la mayonnaise, surtout pas de moutarde … Lui il savait pour la moutarde !
Bref nous faisions un bien étrange couple.
Jonathan s'est installé à la maison. Je le voyais tous les jours, je le croisais tous les jours dans la salle de bain, je le voyais prendre place dans le lit avec ma femme, souvent j'entendais leurs cris de plaisir.
Je sais il y en a plus d'un qui aurait attrapé un fusil de chasse et aurait fait un carton. Histoire de commencer une histoire d'amour en prison.
Mais voilà, je n'avais pas vraiment envie de commencer une histoire d'amour en prison et avec un fusil, j'aurais probablement réussi à louper ma cible et à me faire mal. Vous savez un fusil c'est terriblement dangereux …
Surtout qu'il y avait ces soir, oui vous connaissez bien, je vois que mes lecteurs sont mariés aussi, vous connaissez ces soir ou tout commence par ' Non pas ce soir chéri, j'ai la migraine !'. et quand je dis tout commence, ça veut dire que tout ce termine là pour la soirée.
Et bien moi j'étais dans la chambre à côté. Surtout que moi je ne suis pas une gonzesse et j'ai pas la migraine facile. Et le lendemain ce n'était jamais à la tête que j'avais mal.
En fait il faut la comprendre ma femme, Jonathan à une bite énorme et un appétit sexuel énorme également. Pour une seule personne c'est beaucoup. Mais avec ma femme on était deux, c'était plus facile en fait, pour tous les deux.
C'est soirs là, la porte de ma chambre s'ouvrait, il n'allumait même pas la lumière et dans le noir je voyais une silhouette se glisser discrètement et s'approcher de mon lit.
Rassure moi, tu n'as pas la migraine toi ?
Non mais je sens que je vais avoir mal au cul !
Il pouffait de rire, s'allongeait à côté de moi.
Ses mains glissaient rapidement sur mon corps, je lui rendais chaque caresse. J'adore ces soirées ou il vient me voir, c'est juste pour me baiser mais c'est bien quand même. Surtout qu'à chaque fois, c'est une surprise, il ne prévient jamais.
C'est lui qui décide, enfin ma femme peut être. Il vient surtout quand elle a la migraine …
Je caressais son torse. C'est tout doucement que je découvrais son corps, c'est tout doucement que ma main caressait ses muscles, il était costaud vous savez. Puis je découvrais, enfin quand je dis découvrais, je redécouvrais en fait. Je le connaissais bien ce corps, je le connaissais bien et je l'aimais.
Il se blottissais contre moi. Je l'embrassais dans le cou alors que ma main glissait sur son ventre. Il penchait sa tête sur mon épaule et m'embrassait avec une grande douceur, je sentais ses lèvres . Je sentais sa moustache, j'avais fini par apprécier cette touche masculine.
Quand nos lèvres se rencontraient, ma main caressait sa queue, elle était énorme. C'est à ça que je pensais à chaque fois que je la touchais, à chaque fois que je la caressais. Il glissait un bras sous ma nuque et me soulevait doucement la tête.
C'est sans que je comprenne tout à fait ce qui se passait que je me retrouvais allongé sur lui, il était sur le dos et me caressais. On était dans le noir, nous avions pris soin de ne pas allumer la lumière.
Je me repliais, parcourais son torse et son ventre avec mes lèvres, elles arrivaient sur son sexe qui tremblait a mon contact. Je prenais son gland dans ma bouche, je l'entendais gémir de plaisir, je sentais sa main qui me caressait la tête, je passais ma langue sur son gland et je me régalais.
J'aimais de plus en plus me prendre sa queue dans la bouche. Il m'appuyait sur la tête et là tout devenait plus compliqué. Il avait une très grosse queue, comme vous savez, et ça ne rentrait pas facilement. Par moment il soulevait son bassin et là j'en prenais plein la gueule.
Il me retenait la tête et rapidement je passais à une situation de panique, comme à chaque fois, il me faisait paniquer !
Pourtant je ne lâchait rien, j'en voulais, je vous jure le mec il a vraiment une très belle queue. Il me retournait et se retrouvait au dessus de moi. Là j'étais un peu coincé, il m'enfonçait son énorme manche dans la gorge sans que je puisse m'y opposer. J'étais condamné à subir, il m'avait fallu du temps pour encaisser je vous jure.
Puis il se retirait et m'embrassait avec passion, sans me demander ce que j'en pensais il me retournait et toujours avec passion me lubrifiait le cul. Là, pour voir ce qu'il faisait il allumait la lumière.
Il s'allongeait sur moi et rapidement glissait sa queue entre mes cuisses. De nouveau je paniquais, il avait une très grosse queue, c'est ce que je me disais à chaque fois que je me retrouvais dans cette position.
Ce n'était pas la première mais ça me le faisait à chaque fois, en fait ça me le fait toujours.
Plus je me prenais sa queue dans le cul, plus j'aimais. Mais à chaque fois c'était un moment de panique.
Ensuite il poussais je ne résistais pas. Il savait rester toujours à la limite. Plus fort il pourrait me faire vraiment mal, moins fort ce serait presque trop doux. Je paniquais c'est vrai mais j'aimais.
Mon cul se dilatait et là, la sensation se situait juste entre l'enfer et le paradis. La sensation était intense, pas vraiment agréable, pas encore. Pas vraiment désagréable non plus.
Je me sentais dilater, mes entrailles étaient envahies par une sorte de masse énorme qui glissait et s'enfonçait lentement, je sentais passer chaque millimètres. Lentement, très lentement mon cul dilaté laissait passer sa queue, son énorme queue.
Puis son ventre s'écrasait contre mes fesses et là je manquais d'air. Il me serrait contre lui, m'enveloppait avec ses bras, je me sentais bien.
Il se retirait, me laissait le temps de récupérer et revenait à la charge, il revenait un peu plus vite, un peu plus fort. Mais c'est vrai que ça glissait plus facilement. C'était lubrifié au maximum, mais si jamais ça venait à résister, il ne s'en inquiétait pas, il forçait tout simplement.
Il me faisait couiner, au fil du temps ça devenait de plus en plus supportable, mais je vous jure que ça restait intense. C'était violent, il ressortait, revenait et reprenait.
C'était le moment le plus fou. Sans que ce soit un vrai plaisir ce n'était pas désagréable et tout doucement ça devenait agréable, puis très agréable. Les coups devenaient violents, son ventre claquait contre mes fesses, je râlais mais ce n'était pas de douleur, je râlait et progressivement ça devenait de plaisir.
Je tremblais dans ses bras, je tremblais comme si j'étais malade, c'était le plaisir qui montait lentement en moi. Je râlais, je criais, je hurlais, la porte de ma chambre s'ouvrait …
– Vous ne pouvez pas faire un peu moins de bruit ! Nous criait ma femme.
Jonathan ne bougeait plus. Ma femme avait refermé la porte et était repartie. Jonathan retombait sur moi et me glissait à l'oreille : '' Chuttttt ! Tu fais trop de bruit doudou !''. Oui il m'appelle ' doudou ' dans l'intimité. Enfin bref …
Il posait sa main sur ma bouche et reprenait, il me limait alors le cul avec lenteur. Il poussait sa queue bien à font et ressortait lentement, très lentement. Il me parlait doucement, j'étais essoufflé mais je parvenait à ne plus crier, juste quelques râle de plaisir, de plaisir intense.
C'est à ce moment que j'ai joui.
C'est à ce moment que j'ai commencé à jouir et ça à duré, ça à duré, j'ai cru devenir fou. Sa queue était énorme et il fallait se la prendre mais après c'était un régal, une merveille, après c'était le pied.
Il me limait ainsi pendant toute la nuit. Enfin, pendant un bon moment, toute la nuit, je n'aurais pas survécu. Il n'y avait plus la moindre douleur, il y avait cette présence cette masse dans mes entrailles qui remuait et me retournait.
Il a joui à son tour, il a éjaculé, là je l'ai senti. Il a gémi dans mon oreille, il a éjaculé dans mon cul avant de retomber presque amorphe sur moi. Plus tard il s'est relevé pour aller à la salle de bain. C'est à ce moment que j'ai juté, j'ai lâché un long filet de sperme par mon cul mais aussi un long filet blanc coulait de ma cage.
Là je ne jouissait plus, je récupérais, je me sentais bien très bien. C'est un peu plus tard que je me suis levé pour passer à mon tour dans la salle de bain. Quand je suis revenu il était là allongé dans mon lit, je me suis blotti contre lui, je sentais sa queue lourde et épaisse qui pendait juste à côté de moi.
Quelques jours plus tard il a fallu refaire l'isolation sonore, bobonne en avait marre d'entendre nos cris. Et vous savez Jonathan il est virile et tout mais devant ma femme, il ne la ramène pas …
Fin ( de l'épisode )
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Une vie en harmonie
C'était fait, pas vraiment prévu mais c'était fait. Je vais pas vous mentir et je prétendre pas que c'est le grand confort. Ça gratte, ça frotte, ça coince, ça gène … Bref c'est pas le pieds.
Oui je sais je prends ça à la légère, avec désinvolture mais c'est pour ne pas dramatiser. C'est que voyez vous j'ai pas le choix. Enfin si, je pourrais refuser et comme ma cage est en plastique, si je voulais vraiment il ne me faudrait pas bien longtemps pour la retirer mais rapidement je me prenais au jeux. Je relevais le défi que ma femme me lançais.
Je me disais que je tiendrais le coup et qu'elle serait fier de moi et que notre relation allait s'arranger et que je redeviendrais son favori et qu'elle finirait par virer ses amants et que, et que …
J'avais rien compris ! Pour elle, d'abord ce n'était pas un défi … Et ensuite j'avais une petite bite, et ensuite elle trouvait ce truc très esthétique et ensuite elle trouvait que ma petite bite faisait très pathétique et ensuite elle trouvais que je n'étais qu'un obsédé et ensuite que ma bite ne l'intéressait plus et ensuite, et ensuite …
Bref, j'avais loupé un épisode quelque part et ma femme l'avait compris.
En attendant je me retrouvais la bite en cage, et il m'était totalement impossible de la retirer sans que ma femme ne s'en rende compte. Je serais alors obligé de l'affronter, et … J'avais pas envie de l'affronter !
Le comportement de ma femme à totalement changé, bon je reprends … En dehors de la maison le comportement de ma femme à totalement changé …
La ça correspond plus à la réalité.
Oui parce que à la maison, on faisait chambre à part, on faisait télé à part, on faisait voiture à part, bref on faisait tout à part … Part contre en dehors, elle était attentive à moi, à mes désirs, à mes besoins à … Je sais pas moi, elle me mettait mes deux sucres dans mon café alors que je ne prends pas de sucre, au restaurant elle me commandait un steak à peine cuit alors que je ne les mange que bien cuits …
Oui, enfin quoi, elle était dans l'illusion. Et elle donnait le change. Surtout qu'elle le faisait avec un grand sourire. Elle sait être charmeuse vous savez et même moi, j'ai bien cru qu'elle était sincère le jour ou elle m'a commandé une part de gâteau au chocolat noir comme dessert au restaurant.
Je n'aime pas le chocolat noir !
Bon, là vous allez vous dire que en fait, discrètement elle faisait tout pour m'empoisonner la vie … Et bien non !
Elle ne le faisait pas exprès !
Elle était bien intentionnée, simplement elle ne savait pas ce que j'aimais. Heureusement il y avait Jonathan. Bein oui il était resté celui-là, il battait tous les records d'ancienneté auprès de ma femme.
Lui, il ne mettait pas de sucre dans mon café et il commandait toujours un steak bien cuit si c'était pour moi. Il précisait même au serveur ' Avec de la mayonnaise, surtout pas de moutarde … Lui il savait pour la moutarde !
Bref nous faisions un bien étrange couple.
Jonathan s'est installé à la maison. Je le voyais tous les jours, je le croisais tous les jours dans la salle de bain, je le voyais prendre place dans le lit avec ma femme, souvent j'entendais leurs cris de plaisir.
Je sais il y en a plus d'un qui aurait attrapé un fusil de chasse et aurait fait un carton. Histoire de commencer une histoire d'amour en prison.
Mais voilà, je n'avais pas vraiment envie de commencer une histoire d'amour en prison et avec un fusil, j'aurais probablement réussi à louper ma cible et à me faire mal. Vous savez un fusil c'est terriblement dangereux …
Surtout qu'il y avait ces soir, oui vous connaissez bien, je vois que mes lecteurs sont mariés aussi, vous connaissez ces soir ou tout commence par ' Non pas ce soir chéri, j'ai la migraine !'. et quand je dis tout commence, ça veut dire que tout ce termine là pour la soirée.
Et bien moi j'étais dans la chambre à côté. Surtout que moi je ne suis pas une gonzesse et j'ai pas la migraine facile. Et le lendemain ce n'était jamais à la tête que j'avais mal.
En fait il faut la comprendre ma femme, Jonathan à une bite énorme et un appétit sexuel énorme également. Pour une seule personne c'est beaucoup. Mais avec ma femme on était deux, c'était plus facile en fait, pour tous les deux.
C'est soirs là, la porte de ma chambre s'ouvrait, il n'allumait même pas la lumière et dans le noir je voyais une silhouette se glisser discrètement et s'approcher de mon lit.
Rassure moi, tu n'as pas la migraine toi ?
Non mais je sens que je vais avoir mal au cul !
Il pouffait de rire, s'allongeait à côté de moi.
Ses mains glissaient rapidement sur mon corps, je lui rendais chaque caresse. J'adore ces soirées ou il vient me voir, c'est juste pour me baiser mais c'est bien quand même. Surtout qu'à chaque fois, c'est une surprise, il ne prévient jamais.
C'est lui qui décide, enfin ma femme peut être. Il vient surtout quand elle a la migraine …
Je caressais son torse. C'est tout doucement que je découvrais son corps, c'est tout doucement que ma main caressait ses muscles, il était costaud vous savez. Puis je découvrais, enfin quand je dis découvrais, je redécouvrais en fait. Je le connaissais bien ce corps, je le connaissais bien et je l'aimais.
Il se blottissais contre moi. Je l'embrassais dans le cou alors que ma main glissait sur son ventre. Il penchait sa tête sur mon épaule et m'embrassait avec une grande douceur, je sentais ses lèvres . Je sentais sa moustache, j'avais fini par apprécier cette touche masculine.
Quand nos lèvres se rencontraient, ma main caressait sa queue, elle était énorme. C'est à ça que je pensais à chaque fois que je la touchais, à chaque fois que je la caressais. Il glissait un bras sous ma nuque et me soulevait doucement la tête.
C'est sans que je comprenne tout à fait ce qui se passait que je me retrouvais allongé sur lui, il était sur le dos et me caressais. On était dans le noir, nous avions pris soin de ne pas allumer la lumière.
Je me repliais, parcourais son torse et son ventre avec mes lèvres, elles arrivaient sur son sexe qui tremblait a mon contact. Je prenais son gland dans ma bouche, je l'entendais gémir de plaisir, je sentais sa main qui me caressait la tête, je passais ma langue sur son gland et je me régalais.
J'aimais de plus en plus me prendre sa queue dans la bouche. Il m'appuyait sur la tête et là tout devenait plus compliqué. Il avait une très grosse queue, comme vous savez, et ça ne rentrait pas facilement. Par moment il soulevait son bassin et là j'en prenais plein la gueule.
Il me retenait la tête et rapidement je passais à une situation de panique, comme à chaque fois, il me faisait paniquer !
Pourtant je ne lâchait rien, j'en voulais, je vous jure le mec il a vraiment une très belle queue. Il me retournait et se retrouvait au dessus de moi. Là j'étais un peu coincé, il m'enfonçait son énorme manche dans la gorge sans que je puisse m'y opposer. J'étais condamné à subir, il m'avait fallu du temps pour encaisser je vous jure.
Puis il se retirait et m'embrassait avec passion, sans me demander ce que j'en pensais il me retournait et toujours avec passion me lubrifiait le cul. Là, pour voir ce qu'il faisait il allumait la lumière.
Il s'allongeait sur moi et rapidement glissait sa queue entre mes cuisses. De nouveau je paniquais, il avait une très grosse queue, c'est ce que je me disais à chaque fois que je me retrouvais dans cette position.
Ce n'était pas la première mais ça me le faisait à chaque fois, en fait ça me le fait toujours.
Plus je me prenais sa queue dans le cul, plus j'aimais. Mais à chaque fois c'était un moment de panique.
Ensuite il poussais je ne résistais pas. Il savait rester toujours à la limite. Plus fort il pourrait me faire vraiment mal, moins fort ce serait presque trop doux. Je paniquais c'est vrai mais j'aimais.
Mon cul se dilatait et là, la sensation se situait juste entre l'enfer et le paradis. La sensation était intense, pas vraiment agréable, pas encore. Pas vraiment désagréable non plus.
Je me sentais dilater, mes entrailles étaient envahies par une sorte de masse énorme qui glissait et s'enfonçait lentement, je sentais passer chaque millimètres. Lentement, très lentement mon cul dilaté laissait passer sa queue, son énorme queue.
Puis son ventre s'écrasait contre mes fesses et là je manquais d'air. Il me serrait contre lui, m'enveloppait avec ses bras, je me sentais bien.
Il se retirait, me laissait le temps de récupérer et revenait à la charge, il revenait un peu plus vite, un peu plus fort. Mais c'est vrai que ça glissait plus facilement. C'était lubrifié au maximum, mais si jamais ça venait à résister, il ne s'en inquiétait pas, il forçait tout simplement.
Il me faisait couiner, au fil du temps ça devenait de plus en plus supportable, mais je vous jure que ça restait intense. C'était violent, il ressortait, revenait et reprenait.
C'était le moment le plus fou. Sans que ce soit un vrai plaisir ce n'était pas désagréable et tout doucement ça devenait agréable, puis très agréable. Les coups devenaient violents, son ventre claquait contre mes fesses, je râlais mais ce n'était pas de douleur, je râlait et progressivement ça devenait de plaisir.
Je tremblais dans ses bras, je tremblais comme si j'étais malade, c'était le plaisir qui montait lentement en moi. Je râlais, je criais, je hurlais, la porte de ma chambre s'ouvrait …
– Vous ne pouvez pas faire un peu moins de bruit ! Nous criait ma femme.
Jonathan ne bougeait plus. Ma femme avait refermé la porte et était repartie. Jonathan retombait sur moi et me glissait à l'oreille : '' Chuttttt ! Tu fais trop de bruit doudou !''. Oui il m'appelle ' doudou ' dans l'intimité. Enfin bref …
Il posait sa main sur ma bouche et reprenait, il me limait alors le cul avec lenteur. Il poussait sa queue bien à font et ressortait lentement, très lentement. Il me parlait doucement, j'étais essoufflé mais je parvenait à ne plus crier, juste quelques râle de plaisir, de plaisir intense.
C'est à ce moment que j'ai joui.
C'est à ce moment que j'ai commencé à jouir et ça à duré, ça à duré, j'ai cru devenir fou. Sa queue était énorme et il fallait se la prendre mais après c'était un régal, une merveille, après c'était le pied.
Il me limait ainsi pendant toute la nuit. Enfin, pendant un bon moment, toute la nuit, je n'aurais pas survécu. Il n'y avait plus la moindre douleur, il y avait cette présence cette masse dans mes entrailles qui remuait et me retournait.
Il a joui à son tour, il a éjaculé, là je l'ai senti. Il a gémi dans mon oreille, il a éjaculé dans mon cul avant de retomber presque amorphe sur moi. Plus tard il s'est relevé pour aller à la salle de bain. C'est à ce moment que j'ai juté, j'ai lâché un long filet de sperme par mon cul mais aussi un long filet blanc coulait de ma cage.
Là je ne jouissait plus, je récupérais, je me sentais bien très bien. C'est un peu plus tard que je me suis levé pour passer à mon tour dans la salle de bain. Quand je suis revenu il était là allongé dans mon lit, je me suis blotti contre lui, je sentais sa queue lourde et épaisse qui pendait juste à côté de moi.
Quelques jours plus tard il a fallu refaire l'isolation sonore, bobonne en avait marre d'entendre nos cris. Et vous savez Jonathan il est virile et tout mais devant ma femme, il ne la ramène pas …
Fin ( de l'épisode )
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