Première expérience au sauna
Récit érotique écrit par Alban_lyon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première expérience au sauna
Nicolas a 20 ans, il n’a encore jamais fait l’amour avec un garçon, mais il sent, il
sait qu’il est gay. Mais comment enfin passer à l’acte, lui si timide, qui ne sait pas
comment aborder ces apollons qui le font tant fantasmer ? Evidemment, il sait quels
sont les lieux de rencontres traditionnels des hommes qui aiment les hommes. Il passe
tous les jours devant un sauna « réservé aux hommes » comme le dit la publicité sur le
journal d’annonces qu’il reçoit chaque semaine. Le lieu l’attire mais il n’ose pas… Il
lui est arrivé de rester une heure à la terrasse d’un café, juste en face, pour
observer la clientèle : il en a vu entrer, des garçons de tous âges, de toutes
tailles, de toutes couleurs de cheveux ; certains qu’il trouvait mignons. Mais il
n’ose toujours pas… Une autre fois, il est passé et repassé devant, hésitant, il a
presque poussé la porte mais a renoncé, par peur de l’inconnu. Qu’y a-t-il derrière ?
Et puis un jour, Nicolas ouvre la porte. Son cœur bat très fort. Il entre dans une
petite pièce, avec un guichet. Se présente un jeune homme, en short noir, torse nu,
cheveux très courts, qui l’accueille gentiment, en lui demandant s’il est déjà venu,
en lui expliquant les différentes installations. Nicolas paie, on lui donne une
serviette blanche, une clé de vestiaire, un préservatif et du gel. Il entre dans une
petite salle remplie de casiers, et commence à se déshabiller fébrilement. Il hésite :
doit-il garder son caleçon ou se mettre totalement nu ? Et puis après tout, il est
venu pour connaître des contacts physiques, alors, autant se mettre nu !
Il noue la serviette autour de sa taille et entre dans un grand hall, à la lumière
tamisée, très sombre. Ses yeux doivent s’habituer à l’obscurité. Il y a là un grand
jaccuzzi, une salle de douches, un sauna sec plongé dans l’obscurité, un hammam
particulièrement noir (cela se voit à travers la porte vitrée), une salle vidéo qui
montre un film porno, des petites cabines fermant à clé. Par la port entrebâillée de
l’une d’elles, il aperçoit deux hommes, la quarantaine, qui sont en train de
s’enculer, en poussant de petits gémissements. Tout au fond, une cabine plus grande,
sans porte, très noire : il distingue quatre garçons qui s’embrassent mutuellement, il
y en a un à quatre pattes qui suce goulûment le sexe d’un grand blond, tandis qu’un
brun trapu lui introduit deux doigts dans l’anus. Nicolas observe un moment sans rien
dire, fasciné, son sexe est droit, en érection sous la serviette, mais il n’ose pas
avancer.
Il revient vers des endroits moins sombres. Il enlève sa serviette et descend dans le
jaccuzzi, qui est vide. Il s’allonge, seul, reprenant ses esprits ; le volume de son
sexe diminue. Soudain, entre un garçon qui doit avoir juste 18 ans, il est grand,
souriant, il s’installe juste en face de Nicolas et le regarde de façon insistante, un
léger sourire au coin des lèvres. Nicolas se sent un peu gêné (c’est le manque
d’expérience), il sourit quand même, parce que ce garçon est merveilleux. Tout d’un
coup, Nicolas sent un pied frôler le sien qu’il ne retire pas. Puis le pied monte
doucement le long du mollet, frôle le genou et continue d’avancer le long de l’entre-
jambes. Jusqu’au moment où ce pied touche le pénis qui se relève immédiatement.
Nicolas se lance alors dans la même opération : sa jambe rejoint un sexe déjà durci
par le désir, tandis que l’inconnu a commencé à branler Nicolas avec son seul pied.
Nicolas est rapidement au bord de l’extase, ses yeux sont fermés, son souffle se fait
plus bruyant. Son compagnon s’en aperçoit et arrête son petit jeu ; d’un mouvement de
tête, il lui désigne les cabines, se lève et se dirige vers une porte. Nicolas le
suit, essayant tant bien que mal de noues sa serviette sur sa formidable érection. Il
entre dans la cabine, l’inconnu referme la porte à clé et murmure :
- Moi, c’est Laurent.
- Nicolas… Et c’est la première fois pour moi…
- Je sais, je ne t’avais jamais vu ici avant, mais ne t’inquiète pas.
Laurent prend la nuque de Nicolas de sa main droite et colle sa bouche contre celle de
Nicolas. Pour Nicolas, c’est la découverte : enfin, son rêve se réalise, il embrasse
un garçon, leurs langues se mélangent, s’enroulent l’une autour de l’autre. pendant ce
temps, la main gauche de Laurent caresse la poitrine de Nicolas, joue avec les tétons,
puis descend jusque vers la serviette, qui se dénoue sans difficulté et tombe à leurs
pieds. Nicolas, maladroitement, fait de même, et rapidement tous les deux sont
entièrement nus, en pleine érection.
Laurent étend les serviettes sur le matelas en skaï, et fait allonger Nicolas sur le
dos. Celui-ci se laisse faire, son sexe est fièrement dressé. Laurent s’allonge entre
les jambes de Nicolas et commence à effleurer du bout de sa langue la peau douce du
sexe, des testicules ; Nicolas est comme transpercé par cette infime caresse chaude,
puis le bouche de Laurent atteint le gland déjà décalotté et l’aspire doucement. La
langue se fait plus pressante, tourne autour de la base du gland, puis se lance dans
un va-et-vient de plus en plus rapide. Nicolas gémit de plus en plus fort : que cette
sensation nouvelle le fait chavirer ! ! ! Il a juste le temps de murmurer : « Je viens
». Laurent qui s’en est aperçu, cesse son mouvement, fait asseoir Nicolas, et présente
son sexe devant la bouche de Nicolas, qui n’hésite pas pour embrasser ce pénis tendu,
d’abord le sommet du gland puis le gland tout entier. Il exécute un va-et-vient sur
toute la hampe de Laurent, sans oublier de lécher la peau du sexe, des testicules et
de tout le pubis, comme son « professeur » lui avait montré juste avant.
Laurent s’est ensuite allongé sur le côté, puis a placé Nicolas tête bêche, en
position de 69. La tête de Nicolas repose sur la cuisse de Laurent, il peut à loisir
lécher le pubis de son compagnon de jeu, tandis que Laurent promène sa langue un peu
plus bas, son index joue avec le petit orifice de Nicolas, puis y pénètre doucement.
Nicolas gémit, il ne saurait dire si c’est de douleur ou de plaisir, puis il sent un
deuxième doigt, qui continue à effectuer de petits cercles dans son anus.
Laurent se relève, fait mettre Nicolas à quatre pattes, déroule un préservatif, enduit
de gel l’orifice encore vierge, puis applique son gland, doucement. Nicolas ne peut
retenir un petit cri de douleur. Laurent se retire aussitôt, pour mieux réessayer,
doucement, un peu plus loin que la première fois. En quelques essais, les 19 cm du
sexe de Laurent ont pénétré jusqu’à la garde. Nicolas ne sent plus aucune douleur, son
anus est dilaté, il sent le mouvement de son compagnon, de plus en plus rapide.
Laurent s’interrompt à peine pour faire basculer Nicolas sur le dos, prendre ses
cuisses, les porter sur ses épaules et reprendre son rythme. Les deux garçons
gémissent, la main de Laurent masturbe en rythme le sexe de Nicolas. Puis, sentant
venir sa jouissance, il se retire, ôte prestement le préservatif et envoie une longue
giclée de sperme jusque sur la figure de Nicolas ; ce dernier, au bord de
l’évanouissement, sent encore une langue chaude lécher son pénis ; en à peine quelques
instants, il a éjaculé sur son ventre et sur le visage de Laurent. Laurent se
rapproche et vient embrasser Nicolas.
Laurent se relève et se dirige vers les douches. Nicolas le suit, il le voit se
savonner : le savon liquide mousse sur les parties de peau arrosées de sperme, de
longs filets d’eau et de mousse glissent sur ce corps qui lui a donné sa première
jouissance. Nicolas ne sait pas encore que la deuxième jouissance n’est pas loin.
En effet, il n’a pas encore essayé toutes les installations : il ne connaît pas la
douce sensation du hammam : cette chaleur humide, presque suffocante, la sueur qui
glisse du front, du ventre, du dos, cette impression de propreté lorsqu’on sort de
cette atmosphère ; tout cela il veut le connaître aussi. Il dépose sa serviette et
ouvre la porte du hammam, il ne voit rien, il sent juste la présence d’autres hommes
qui le poussent et le guident lorsqu’il avance vers une place libre. Finalement il
s’assied, et commence à transpirer. Ses yeux s’habituent progressivement à
l’obscurité, il voit deux hommes en train de s’embrasser, tandis qu’un troisième suce
le sexe de l’un d’eux ; leur souffle est rauque. Nicolas voit mieux : un sexagénaire
aux tempes grises qui observe la scène, se masturbe doucement, deux étudiants
discutent à voix basse en pouffant de rire ; deux hommes d’une trentaine d’années sont
assis l’un à côté de l’autre, l’un approche sa main du genou de l’autre, il se fait
repousser doucement mais fermement, il abandonne alors et quitte le hammam. L’autre a
les cheveux très courts, bruns, il ne semble pas très grand, mais joliment
proportionné, il se rapproche de Nicolas, et prend son sexe d’une main, celui de
Nicolas de l’autre et commence une voluptueuse masturbation : les deux engins sont au
maximum de leur taille.
Le nouveau compagnon de jeu fait mettre Nicolas debout, il se plaque contre son dos,
et fait coulisser son pénis gonflé et durci dans la raie de Nicolas, sous ses
testicules, tout en masturbant le jeune homme ; puis il inverse les rôles, Nicolas se
retrouve derrière, il a pris dans sa main la tige de l’inconnu et sent son pénis le
long des fesses de l’homme qui se penche de plus en plus, finit par prendre appui sur
le banc, et sort d’on ne sait où un préservatif qu’il glisse dans la main de Nicolas.
Celui-ci, gêné par le public, souhaiterait retourner dans une cabine ; d’un signe de
tête, l’homme lui fait comprendre que tout se jouera ici, dans la chaleur moite et
sombre du hammam. Nicolas s’exécute, fait glisser le préservatif sur son sexe, qu’il
lubrifie avec une dose de gel, tandis qu’il voit l’homme préparer son anus de la même
façon. Nicolas avance son gland, doucement, il est comblé par la chaleur de l’orifice
sur son gland, il pousse de plus en plus, l’homme gémit de plaisir, l’encourage à
aller plus loin. Finalement le sexe entier est entré, l’homme fait des mouvements de
rein, tandis que Nicolas intensifie son va-et-vient. Au bout de quelques minutes dans
cette position, Nicolas sent le réservoir du préservatif s’emplir de sperme ; au même
moment sa main droite qui tenait le sexe de l’homme se couvre d’un liquide chaud,
signe de la jouissance de l’inconnu.
Exténué par l’effort amplifié par la chaleur, Nicolas s’allonge quelques minutes, les
yeux mi-clos, sur le banc. Quand il reprend ses esprits, l’homme a disparu, le
sexagénaire continue à se masturber en silence, les deux étudiants ne sont plus là non
plus. Nicolas quitte le hammam, se savonne efficacement sous la douche, retourne aux
vestiaires, où il croise l’homme du hammam, qui ne lui adresse pas un mot. En sortant
dans la rue, Nicolas s’aperçoit que la nuit est déjà tombée : que le temps a passé
vite ! Il traverse la rue vers le café d’en face ; en entrant, il voit Laurent qui
l’invite à sa table. Il paraît qu’il vivent ensemble aujourd’hui… et qu’ils viennent
souvent s’amuser au sauna de leur rencontre.
sait qu’il est gay. Mais comment enfin passer à l’acte, lui si timide, qui ne sait pas
comment aborder ces apollons qui le font tant fantasmer ? Evidemment, il sait quels
sont les lieux de rencontres traditionnels des hommes qui aiment les hommes. Il passe
tous les jours devant un sauna « réservé aux hommes » comme le dit la publicité sur le
journal d’annonces qu’il reçoit chaque semaine. Le lieu l’attire mais il n’ose pas… Il
lui est arrivé de rester une heure à la terrasse d’un café, juste en face, pour
observer la clientèle : il en a vu entrer, des garçons de tous âges, de toutes
tailles, de toutes couleurs de cheveux ; certains qu’il trouvait mignons. Mais il
n’ose toujours pas… Une autre fois, il est passé et repassé devant, hésitant, il a
presque poussé la porte mais a renoncé, par peur de l’inconnu. Qu’y a-t-il derrière ?
Et puis un jour, Nicolas ouvre la porte. Son cœur bat très fort. Il entre dans une
petite pièce, avec un guichet. Se présente un jeune homme, en short noir, torse nu,
cheveux très courts, qui l’accueille gentiment, en lui demandant s’il est déjà venu,
en lui expliquant les différentes installations. Nicolas paie, on lui donne une
serviette blanche, une clé de vestiaire, un préservatif et du gel. Il entre dans une
petite salle remplie de casiers, et commence à se déshabiller fébrilement. Il hésite :
doit-il garder son caleçon ou se mettre totalement nu ? Et puis après tout, il est
venu pour connaître des contacts physiques, alors, autant se mettre nu !
Il noue la serviette autour de sa taille et entre dans un grand hall, à la lumière
tamisée, très sombre. Ses yeux doivent s’habituer à l’obscurité. Il y a là un grand
jaccuzzi, une salle de douches, un sauna sec plongé dans l’obscurité, un hammam
particulièrement noir (cela se voit à travers la porte vitrée), une salle vidéo qui
montre un film porno, des petites cabines fermant à clé. Par la port entrebâillée de
l’une d’elles, il aperçoit deux hommes, la quarantaine, qui sont en train de
s’enculer, en poussant de petits gémissements. Tout au fond, une cabine plus grande,
sans porte, très noire : il distingue quatre garçons qui s’embrassent mutuellement, il
y en a un à quatre pattes qui suce goulûment le sexe d’un grand blond, tandis qu’un
brun trapu lui introduit deux doigts dans l’anus. Nicolas observe un moment sans rien
dire, fasciné, son sexe est droit, en érection sous la serviette, mais il n’ose pas
avancer.
Il revient vers des endroits moins sombres. Il enlève sa serviette et descend dans le
jaccuzzi, qui est vide. Il s’allonge, seul, reprenant ses esprits ; le volume de son
sexe diminue. Soudain, entre un garçon qui doit avoir juste 18 ans, il est grand,
souriant, il s’installe juste en face de Nicolas et le regarde de façon insistante, un
léger sourire au coin des lèvres. Nicolas se sent un peu gêné (c’est le manque
d’expérience), il sourit quand même, parce que ce garçon est merveilleux. Tout d’un
coup, Nicolas sent un pied frôler le sien qu’il ne retire pas. Puis le pied monte
doucement le long du mollet, frôle le genou et continue d’avancer le long de l’entre-
jambes. Jusqu’au moment où ce pied touche le pénis qui se relève immédiatement.
Nicolas se lance alors dans la même opération : sa jambe rejoint un sexe déjà durci
par le désir, tandis que l’inconnu a commencé à branler Nicolas avec son seul pied.
Nicolas est rapidement au bord de l’extase, ses yeux sont fermés, son souffle se fait
plus bruyant. Son compagnon s’en aperçoit et arrête son petit jeu ; d’un mouvement de
tête, il lui désigne les cabines, se lève et se dirige vers une porte. Nicolas le
suit, essayant tant bien que mal de noues sa serviette sur sa formidable érection. Il
entre dans la cabine, l’inconnu referme la porte à clé et murmure :
- Moi, c’est Laurent.
- Nicolas… Et c’est la première fois pour moi…
- Je sais, je ne t’avais jamais vu ici avant, mais ne t’inquiète pas.
Laurent prend la nuque de Nicolas de sa main droite et colle sa bouche contre celle de
Nicolas. Pour Nicolas, c’est la découverte : enfin, son rêve se réalise, il embrasse
un garçon, leurs langues se mélangent, s’enroulent l’une autour de l’autre. pendant ce
temps, la main gauche de Laurent caresse la poitrine de Nicolas, joue avec les tétons,
puis descend jusque vers la serviette, qui se dénoue sans difficulté et tombe à leurs
pieds. Nicolas, maladroitement, fait de même, et rapidement tous les deux sont
entièrement nus, en pleine érection.
Laurent étend les serviettes sur le matelas en skaï, et fait allonger Nicolas sur le
dos. Celui-ci se laisse faire, son sexe est fièrement dressé. Laurent s’allonge entre
les jambes de Nicolas et commence à effleurer du bout de sa langue la peau douce du
sexe, des testicules ; Nicolas est comme transpercé par cette infime caresse chaude,
puis le bouche de Laurent atteint le gland déjà décalotté et l’aspire doucement. La
langue se fait plus pressante, tourne autour de la base du gland, puis se lance dans
un va-et-vient de plus en plus rapide. Nicolas gémit de plus en plus fort : que cette
sensation nouvelle le fait chavirer ! ! ! Il a juste le temps de murmurer : « Je viens
». Laurent qui s’en est aperçu, cesse son mouvement, fait asseoir Nicolas, et présente
son sexe devant la bouche de Nicolas, qui n’hésite pas pour embrasser ce pénis tendu,
d’abord le sommet du gland puis le gland tout entier. Il exécute un va-et-vient sur
toute la hampe de Laurent, sans oublier de lécher la peau du sexe, des testicules et
de tout le pubis, comme son « professeur » lui avait montré juste avant.
Laurent s’est ensuite allongé sur le côté, puis a placé Nicolas tête bêche, en
position de 69. La tête de Nicolas repose sur la cuisse de Laurent, il peut à loisir
lécher le pubis de son compagnon de jeu, tandis que Laurent promène sa langue un peu
plus bas, son index joue avec le petit orifice de Nicolas, puis y pénètre doucement.
Nicolas gémit, il ne saurait dire si c’est de douleur ou de plaisir, puis il sent un
deuxième doigt, qui continue à effectuer de petits cercles dans son anus.
Laurent se relève, fait mettre Nicolas à quatre pattes, déroule un préservatif, enduit
de gel l’orifice encore vierge, puis applique son gland, doucement. Nicolas ne peut
retenir un petit cri de douleur. Laurent se retire aussitôt, pour mieux réessayer,
doucement, un peu plus loin que la première fois. En quelques essais, les 19 cm du
sexe de Laurent ont pénétré jusqu’à la garde. Nicolas ne sent plus aucune douleur, son
anus est dilaté, il sent le mouvement de son compagnon, de plus en plus rapide.
Laurent s’interrompt à peine pour faire basculer Nicolas sur le dos, prendre ses
cuisses, les porter sur ses épaules et reprendre son rythme. Les deux garçons
gémissent, la main de Laurent masturbe en rythme le sexe de Nicolas. Puis, sentant
venir sa jouissance, il se retire, ôte prestement le préservatif et envoie une longue
giclée de sperme jusque sur la figure de Nicolas ; ce dernier, au bord de
l’évanouissement, sent encore une langue chaude lécher son pénis ; en à peine quelques
instants, il a éjaculé sur son ventre et sur le visage de Laurent. Laurent se
rapproche et vient embrasser Nicolas.
Laurent se relève et se dirige vers les douches. Nicolas le suit, il le voit se
savonner : le savon liquide mousse sur les parties de peau arrosées de sperme, de
longs filets d’eau et de mousse glissent sur ce corps qui lui a donné sa première
jouissance. Nicolas ne sait pas encore que la deuxième jouissance n’est pas loin.
En effet, il n’a pas encore essayé toutes les installations : il ne connaît pas la
douce sensation du hammam : cette chaleur humide, presque suffocante, la sueur qui
glisse du front, du ventre, du dos, cette impression de propreté lorsqu’on sort de
cette atmosphère ; tout cela il veut le connaître aussi. Il dépose sa serviette et
ouvre la porte du hammam, il ne voit rien, il sent juste la présence d’autres hommes
qui le poussent et le guident lorsqu’il avance vers une place libre. Finalement il
s’assied, et commence à transpirer. Ses yeux s’habituent progressivement à
l’obscurité, il voit deux hommes en train de s’embrasser, tandis qu’un troisième suce
le sexe de l’un d’eux ; leur souffle est rauque. Nicolas voit mieux : un sexagénaire
aux tempes grises qui observe la scène, se masturbe doucement, deux étudiants
discutent à voix basse en pouffant de rire ; deux hommes d’une trentaine d’années sont
assis l’un à côté de l’autre, l’un approche sa main du genou de l’autre, il se fait
repousser doucement mais fermement, il abandonne alors et quitte le hammam. L’autre a
les cheveux très courts, bruns, il ne semble pas très grand, mais joliment
proportionné, il se rapproche de Nicolas, et prend son sexe d’une main, celui de
Nicolas de l’autre et commence une voluptueuse masturbation : les deux engins sont au
maximum de leur taille.
Le nouveau compagnon de jeu fait mettre Nicolas debout, il se plaque contre son dos,
et fait coulisser son pénis gonflé et durci dans la raie de Nicolas, sous ses
testicules, tout en masturbant le jeune homme ; puis il inverse les rôles, Nicolas se
retrouve derrière, il a pris dans sa main la tige de l’inconnu et sent son pénis le
long des fesses de l’homme qui se penche de plus en plus, finit par prendre appui sur
le banc, et sort d’on ne sait où un préservatif qu’il glisse dans la main de Nicolas.
Celui-ci, gêné par le public, souhaiterait retourner dans une cabine ; d’un signe de
tête, l’homme lui fait comprendre que tout se jouera ici, dans la chaleur moite et
sombre du hammam. Nicolas s’exécute, fait glisser le préservatif sur son sexe, qu’il
lubrifie avec une dose de gel, tandis qu’il voit l’homme préparer son anus de la même
façon. Nicolas avance son gland, doucement, il est comblé par la chaleur de l’orifice
sur son gland, il pousse de plus en plus, l’homme gémit de plaisir, l’encourage à
aller plus loin. Finalement le sexe entier est entré, l’homme fait des mouvements de
rein, tandis que Nicolas intensifie son va-et-vient. Au bout de quelques minutes dans
cette position, Nicolas sent le réservoir du préservatif s’emplir de sperme ; au même
moment sa main droite qui tenait le sexe de l’homme se couvre d’un liquide chaud,
signe de la jouissance de l’inconnu.
Exténué par l’effort amplifié par la chaleur, Nicolas s’allonge quelques minutes, les
yeux mi-clos, sur le banc. Quand il reprend ses esprits, l’homme a disparu, le
sexagénaire continue à se masturber en silence, les deux étudiants ne sont plus là non
plus. Nicolas quitte le hammam, se savonne efficacement sous la douche, retourne aux
vestiaires, où il croise l’homme du hammam, qui ne lui adresse pas un mot. En sortant
dans la rue, Nicolas s’aperçoit que la nuit est déjà tombée : que le temps a passé
vite ! Il traverse la rue vers le café d’en face ; en entrant, il voit Laurent qui
l’invite à sa table. Il paraît qu’il vivent ensemble aujourd’hui… et qu’ils viennent
souvent s’amuser au sauna de leur rencontre.
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