Rêve ou réalité ?
Récit érotique écrit par Alban_lyon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rêve ou réalité ?
Je suis allongé sur le ventre, je m’endors, la tête pleine de fantasmes...
Je suis réveillé par de douces caresses sur mes fesses, des caresses qui se font insistantes dans la raie de mes fesses, un doigt humide tourne autour de ma rosette. Il n’en faut pas plus pour me faire bander. Je me retourne et, d’instinct, ma bouche retrouve tes 23 cm de chair, que je gobe et lèche de plus belle.
Puis je te fais allonger sur le dos, je m’assieds sur ton bas-ventre, et je fais coulisser ta queue, tout humide de ma salive, entre mes fesses ; pendant ce temps, tu as pris ma queue dans ta main et tu me branles doucement…
Je finis par me retourner en 69, je reprends ta bite dans ma bouche, tandis que je te présente ma queue, mes couilles et mon cul. Tu commences à l’enduire de lubrifiant, y insérer un doigt, puis deux. Ils rentrent sans difficulté, tant je suis excité à l’idée de ce qui va suivre. De mon côté, je fais glisser un préservatif sur ton sexe.
Tu reste allongé et je pose doucement mon anus sur le sommet de ta queue. Ton gland est large et bien formé, j’ai un peu mal lorsque mon cul l’engloutit, mais cette douleur est vite estompée par le désir d’aller plus loin. Je continue de descendre, j’impose mon rythme, centimètre par centimètre. Il y en a 23 et je veux savourer chacun d’eux. Enfin, j’arrive au but, mes fesses touchent ton pubis, tu es en moi, complètement.
J’oscille doucement, de droite à gauche, d’avant en arrière, pour m’habituer. Je remonte doucement, puis je redescends, je remonte, je redescends, je remonte, je redescends, remonte, redescends, monte, descends, monte, descends, de plus en plus vite. Tu fais maintenant des mouvements de rein pour m’accompagner. Ma queue est raide, elle glisse toute seule dans ta main qui l’enserre doucement.
Nous ralentissons, il me faut d’autres sensations. Je me mets à quatre pattes, cambré : tu n’as plus qu’à réenfourner ton sexe dans mon trou, il n’attend que cela. Cette fois-ci, c’est toi qui décides du rythme. Tu m’agrippes les hanches, et tu fais des allers-retours : tu entres, tu sors, tu entres à fond, tu sors, tu entres à fond, tu sors, tu entres à fond… Aux soupirs que tu pousses, j’imagine ce que tu ressens : mon trou, peu habitué à des calibres comme le tien, doit enserrer ta verge, comprimer les veines qui la parcourent. A chaque passage, ton gland électrise mon anus puis vient masser ma prostate, je ressens des décharges jusque dans ma queue. Combien de temps cela dure-t-il ? Je suis incapable de le dire.
Mais je veux que nous jouissions en face à face, je veux voir l’extase dans tes yeux. D’une caresse, je t’interromps pour me retourner sur le dos, jambes écartées. Ta queue retrouve bien vite son étui chaud, et son rythme. Tu me tiens les jambes et continues à me pénétrer. Ma queue, toujours aussi raide, ressent de plus en plus de picotements, je sens que je vais jouir. Une de tes mains vient me branler. Ouiiii ! J’explose : un long jet atteint mon visage, puis un deuxième, un troisième, cela semble ne plus vouloir s’arrêter.
A chacune de mes éjaculations, mon anus se contracte autour de ta verge, il n’en faut pas plus : tu pousses un cri rauque et tu répands ton sperme en moi. Ta queue reste encore quelques instants dans son nid, fait des va-et-vient moins vigoureux et se retire. Tu ôtes le préservatif et en répands le contenu sur mon torse.
Je suis réveillé par de douces caresses sur mes fesses, des caresses qui se font insistantes dans la raie de mes fesses, un doigt humide tourne autour de ma rosette. Il n’en faut pas plus pour me faire bander. Je me retourne et, d’instinct, ma bouche retrouve tes 23 cm de chair, que je gobe et lèche de plus belle.
Puis je te fais allonger sur le dos, je m’assieds sur ton bas-ventre, et je fais coulisser ta queue, tout humide de ma salive, entre mes fesses ; pendant ce temps, tu as pris ma queue dans ta main et tu me branles doucement…
Je finis par me retourner en 69, je reprends ta bite dans ma bouche, tandis que je te présente ma queue, mes couilles et mon cul. Tu commences à l’enduire de lubrifiant, y insérer un doigt, puis deux. Ils rentrent sans difficulté, tant je suis excité à l’idée de ce qui va suivre. De mon côté, je fais glisser un préservatif sur ton sexe.
Tu reste allongé et je pose doucement mon anus sur le sommet de ta queue. Ton gland est large et bien formé, j’ai un peu mal lorsque mon cul l’engloutit, mais cette douleur est vite estompée par le désir d’aller plus loin. Je continue de descendre, j’impose mon rythme, centimètre par centimètre. Il y en a 23 et je veux savourer chacun d’eux. Enfin, j’arrive au but, mes fesses touchent ton pubis, tu es en moi, complètement.
J’oscille doucement, de droite à gauche, d’avant en arrière, pour m’habituer. Je remonte doucement, puis je redescends, je remonte, je redescends, je remonte, je redescends, remonte, redescends, monte, descends, monte, descends, de plus en plus vite. Tu fais maintenant des mouvements de rein pour m’accompagner. Ma queue est raide, elle glisse toute seule dans ta main qui l’enserre doucement.
Nous ralentissons, il me faut d’autres sensations. Je me mets à quatre pattes, cambré : tu n’as plus qu’à réenfourner ton sexe dans mon trou, il n’attend que cela. Cette fois-ci, c’est toi qui décides du rythme. Tu m’agrippes les hanches, et tu fais des allers-retours : tu entres, tu sors, tu entres à fond, tu sors, tu entres à fond, tu sors, tu entres à fond… Aux soupirs que tu pousses, j’imagine ce que tu ressens : mon trou, peu habitué à des calibres comme le tien, doit enserrer ta verge, comprimer les veines qui la parcourent. A chaque passage, ton gland électrise mon anus puis vient masser ma prostate, je ressens des décharges jusque dans ma queue. Combien de temps cela dure-t-il ? Je suis incapable de le dire.
Mais je veux que nous jouissions en face à face, je veux voir l’extase dans tes yeux. D’une caresse, je t’interromps pour me retourner sur le dos, jambes écartées. Ta queue retrouve bien vite son étui chaud, et son rythme. Tu me tiens les jambes et continues à me pénétrer. Ma queue, toujours aussi raide, ressent de plus en plus de picotements, je sens que je vais jouir. Une de tes mains vient me branler. Ouiiii ! J’explose : un long jet atteint mon visage, puis un deuxième, un troisième, cela semble ne plus vouloir s’arrêter.
A chacune de mes éjaculations, mon anus se contracte autour de ta verge, il n’en faut pas plus : tu pousses un cri rauque et tu répands ton sperme en moi. Ta queue reste encore quelques instants dans son nid, fait des va-et-vient moins vigoureux et se retire. Tu ôtes le préservatif et en répands le contenu sur mon torse.
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