Quelle journée de m...e

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Quelle journée de  m...e Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quelle journée de m...e
Il n’a pas fallu beaucoup plus qu’un regard entre moi et lui !

Bon, peut-être un peu plus qu’un regard. Tout avait commencé le matin même quand ma voiture n’avait pas voulu démarrer. Le boulot s’était accumulé toute la journée et mes supérieurs avaient été sur mon dos en permanence plutôt que de me prendre une partie de mon travail.

Résultat, comme j’ai une conscience professionnelle, au lieu de terminer à 16h30 comme tous les vendredis, j’ai fini à 20h00, affamée et énervée ; obligée de fermer les bureaux désertés par les supérieurs qui avaient exigé que je termine tout aujourd’hui.

En rentrant chez moi, je me suis arrêtée au restaurant asiatique pour prendre à emporter. Au moins, j’aurai ma nourriture préférée pour me consoler.

J’allais juste rentrer dans le tram quand une voiture est passée trop vite et trop près du trottoir, éclaboussant complètement mon jean blanc et mes escarpins d’une eau boueuse et glacée.

J’ai quand même réussi à trouver un strapontin pour m’asseoir dans le tram et c’est là que j’ai croisé le regard d’un jeune homme, 25 ans peut-être, jeune par rapport à mes 32 ans.

Il m’a souri d’un sourire gêné en regardant mon pantalon, comme pour s’excuser à la place du conducteur qui m’avait mise dans cet état. Ce n’était pas moqueur, juste un peu de compassion et ça m’a fait du bien. Le fait que ce sourire appartienne à un homme aussi beau n’était pas étranger au fait que je me sente un peu mieux.

Je lui ai rendu son sourire. Au cours des 5 minutes suivantes, nos regards se sont croisés plusieurs fois et chaque fois, je ressentais quelque chose en moi. Il était très attirant, grand, même assis, avec des épaules larges dans son costume. J’aimais beaucoup sa couleur de peau certainement issue d’un métissage.

Mais cette intermède agréable dans ma journée horrible n’était que de courte durée. Je suis sortie du tram à mon arrêt. Je n’avais pas fait trois pas quand un mec d’un vingtaine d’années, pas plus, m’a bousculé fortement, envoyant valser mon repas à emporter. J’ai vaguement entendu un « Pardon » alors que je voyais la boite polystyrène s’ouvrir en touchant le sol, répandant tout le contenu par terre.

Toute la tension et la frustration de la journée m’est tombée dessus à cet instant et les vannes ont lâché. Des larmes silencieuses ont coulé de mes joues. Tant pis, j’allais rentrer et me trouver une boîte de conserve immonde dans un de mes placards.

- Mademoiselle ? Est-ce que c’est à vous ?

Qu’est-ce qui allait encore me tomber dessus ? Je me suis tournée pour me retrouver face à un torse d’homme dans un costume. J’ai levé les yeux et rencontré à nouveau le regard du métisse du tram.

Il tenait à la main des clés qui avaient du glissé de ma poche quand le jeune m’avait bousculé.

- Oh ! Merci ! C’est gentil. Il n’aurait plus fallu que ça ! Que je perde mes clés.

Il a souri gentiment.

- De rien. J’ai l’impression que la journée n’a pas été de tout repos.
- En effet.
- La mienne n’a sans doute pas été aussi horrible que la votre mais on a au moins deux points commun.
- Ah bon ?
- Oui, on est tous les deux tombés sur des imbéciles au volant…

J’ai baissé les yeux pour voir que son pantalon était dans le même état que le mien.

- Et je n’ai pas encore dîner non plus.

J’ai rigolé doucement. Ca faisait du bien.

- Si vous devez rentrer chez vous retrouver quelqu’un, pas de problème mais dans le cas contraire, je crois que vous devriez me laisser vous offrir à manger et avec un peu de chance, je réussirai à vous faire passer une meilleure soirée.

Je l’ai regardé un petit moment, un peu perdue, avant de me dire…

- Vous savez quoi ! Pourquoi pas ? A part si vous êtes un psychopathe, le journée ne pourra pas être pire.
- Je vous promets de ne pas vous manger ce soir. Ça vous va ?

Complètement irrationnellement, j’ai eue la vision de sa tête entre mes cuisses et j’ai dû tourner écarlate en une seconde. Son visage m’a montré qu’il comprenait mon trouble et son sourire éclairait encore plus son visage. Je me suis excusée.

- La journée a été longue, je ne pense plus clairement je crois.
- Pas de problème. Venez, on va à deux pas ! Je m’appelle Pierre !
- Moi, c’est Magalie !
- Enchanté.

En effet, on est arrivé dans un petit restaurant antillais devant lequel je passe fréquemment mais dans lequel je ne suis jamais rentré. Les odeurs épicées et sucrées ont réveillé mon appétit.

Alors que je regardais la carte, du coin de l’œil, j’ai vu Pierre enlever sa veste et sa cravate. Il a ôté deux boutons à sa chemise blanche, ouvrant légèrement les pans sur un torse aux pectoraux marqués. Ensuite il a roulé les manches jusqu’aux coudes et j’ai regardé ne avalant ma salive les muscles de ses avants bras rouler sous sa peau dorée.

Il m’a regardé avec amusement. Son assurance était troublante et je me demandais quel âge il avait, plus très sûre de moi.

Je ne me suis pas reconnue. Jamais je n’avais agi de la sorte. J’ai commencé par le tutoyer.

- Pierre, j’ai connu l’une des pires journées de ma vie. Alors laisses-moi profiter de la vue d’un homme plein de charme en face de moi ce soir.
- Plein de charme ?
- Oui ! Je n’ai pas honte de le dire.

J’ai détaché mes cheveux, enlevé ma veste de tailleur moi aussi et ouvert un bouton de plus à mon décolleté sous ses yeux rieurs mais qui ne perdaient rien de la généreuse poitrine qui lui était dévoilée.

- Continues comme ça Magalie et finalement, je vais peut-être revoir ma position concernant le fait de te manger dès ce soir .

Je suis sûr d’avoir rougi encore une fois mais j’ai offert encore plus à sa vue le sillon de mes seins. Je l’ai vu se tortiller un instant sur sa chaise, comme si quelque chose le gênait dans son pantalon. Cette fois, c’est moi qui ai rigolé et lui qui était mal à l’aise.

- On dirait que quelqu’un apprécie la vue.
- HMHMM ! Bon, et si on mangeait ?

On a parlé tranquillement tout en mangeant. J’ai appris qu’il était auditeur pour un cabinet et on a parlé un moment de mon travail au service qualité d’une grande enseigne, mais la majorité de notre conversation a tourné autour de nos loisirs. Le besoin de nous évader en campagne, en forêt ou à la montagne était un point commun très fort entre nous et très vite, on a parlé de possibles sorties à 2.

La fin du repas est arrivée trop vite à mon goût.

Au cours du repas, je l’ai vu me regarder avec attention pour de petites choses insignifiante mais qui éveillaient son désir, c’était évident : ma main qui passait dans mes cheveux, une posture faisant ressortir ma poitrine… De mon côté, c’était l’apparente douceur de sa peau café au lait, sa carrure, sa pomme d’Adam proéminente montant et descendant sous la peau tente de son cou…

- Magalie, j’habite à 2 pas et je n’ai pas vraiment envie que la soirée se termine.
- Tu vas droit au but ! La différence d’âge ne te gêne pas ?
- Quelle différence d’âge ? J’ai trente ans. Tu ne peux pas avoir plus de trente ans.
- Trente ans ? Tu… Tu fais moins…
- Est-ce que ça TE gêne ?

Je me suis levée.

- Non, absolument pas !

5 minutes plus tard à peine, on passait la porte de son appartement. On s’embrassait et on se caressait.

- J’ai besoin d’une douche ! Tu viens ?
- Oui, moi aussi j’en ai besoin.

Sa salle de bain n’était pas grande mais avait une douche à l’italienne. La réalité de ce qu’on allait faire m’a chamboulé quand Pierre a ôté sa chemise et que le plus bel homme que j’ai jamais vu m’exposait son buste parfait, ses biceps et ses épaules fortes. J’allais coucher avec un inconnu. J’ai vu son regard dans un miroir.

- Magalie, si tu n’es pas prête, ce n’est pas grave.

Il commençait à remettre sa chemise. J’ai posé sa main sur son avant-bras. J’avais peut-être eu un petit moment de peur et de doute mais je ne voulais surtout pas qu’il remette sa chemise.

- Non ! Je… Je te demande juste de me croire si je te dis que jamais je n’ai couché avec quelqu’un si rapidement après l’avoir rencontré.

Il a passé sa main sur ma joue d’un geste tendre.

- Et je te demande de me croire si je te dis que ça fait très longtemps que je n’ai pas été autant sous le charme d’une femme…

Le baiser suivant a été d’une passion que j’avais rarement connue. Nos vêtements tombaient l’un après l’autre. Je sentais l’eau chaude gagner la salle de bain quand Il m’a entraîné sous la douche.

- Pas mes cheveux s’il te plaît ! Ou alors, on en aura pour une heure à les sécher avant de faire quoi que ce soit.

Il a rigolé et baissé la pomme de douche.

J’ai alors pu admirer son corps entier. Il était splendide, viril. La mousse sur sa peau donnait un aspect érotique terrible à mes caresses. Ses mains sombres sur ma peau de porcelaine m’excitaient énormément. Il prenait mes seins en coupe, entourait ma taille des bras forts et protecteurs.

Et il bandait ! J’avais une masse de chair entre nos corps couverts de savon. Chaque mouvement le faisait gémir doucement de plaisir. Il était si dur. J’étais proche de l’extase rien que de savoir que je pouvais déclencher autant de désir chez un homme si beau.

- Tu es tellement sexy Magalie !
- Merci… En moins de deux heures, tu as rendu cette journée définitivement très agréable.

Il m’a entrainé dans sa chambre après m’avoir séché. Allongée sur le lit, il a placé mes mains au-dessus de ma tête et je me suis sentie une princesse. Mon corps entier était adulé par un homme beau comme un dieu. Ses baisers m’enflammaient. Mes tétons étaient durs et hypersensibles d’êtres léchés et sucés. Enfin, son visage s’est invité entre mes cuisses, avide de me goûter, de me dévorer.
Quelques minutes plus tard, j’étais une boule de jouissance, les mains derrière sa tête pour le plaquer contre moi au risque de l’étouffer. J’avais joui plus fort avec sa langue et ses doigts qu’avec n’importe lequel des mes ex.

Il s’est mis su moi, son sexe alignés avec le mien.

- Non Pierre !

Il m’a regardé, décontenancé. Alors que je le basculais sur le dos.

- A mon tour ! Je ne sais pas si j’aurai encore l’occasion d’être avec un si beau mec alors je veux en profiter.

Et j’ai profité. J’ai léché, embrassé, mordillé même, passé mes ongles sur ses bourses, fière de voir son sexe pris de spasmes pour moi. J’ai embouché le gland, sucé encore, léché, récompensée par ses gémissements de plaisir. J’ai saisi fermement son manche et j’ai branlé tout en gardant le gland dans la bouche.

Rapidement, Pierre à montrer des signes de sa jouissance proche.

- Magalie ! Oh ! Si tu n’arrêtes pas… OOOHHHHH !

Pierre a finalement succombé au plaisir, son sperme a envahi ma bouche, abondant et tellement synonyme du plaisir que je lui donnais que je m’en suis régalé. J’ai toujours trouvé qu’en tant que femme, la fellation est un pouvoir. On peut ensuite voir l’adoration dans les yeux de son homme.

Mon homme ! A cet instant, je peux vous dire qu’il l’était vu le regard qu’il me lançait. Mais il n’est pas resté longtemps à la merci de mes coups de langue. Il m’a attiré à lui et on s’est embrassé passionnément, roulant sur le lit.

Rapidement, son érection était à nouveau à son maximum et il est entré en moi lentement. Il était vraiment épais, puissant !!! En appui sur une main, l’autre maintenait ma hanche en place alors qu’il allait toujours plus profond. Cette main sur ma hanche me faisait me sentir petite et à sa merci.

Il m’a regardé dans les yeux alors que le gland atteignait doucement le fond de mon sexe. Aucune douleur, juste la sensation d’être remplie au maximum, possédée par un amant doux et attentionné.

Un mouvement de plus et je criais son nom. 3 minutes plus tard, j’étais à nouveau une poupée désarticulée, terrassée par mon orgasme. J’ai toujours aimé le sexe mais Pierre était un maître dans l’art de lire et de répondre à mon corps.

30 secondes de repos et il repartait, le plaisir jamais très loin pour moi.

Je suis passée sur lui. Cette fois, il m’a laissé mener la danse. Il était splendide sous moi. Je me suis penchée et j’ai mordillé son cou, lui arrachant des gémissements.

Quand je me suis redressée, son gland m’a perforé plus loin et j’ai crié de surprise et de plaisir. Mes coups de bassin le rendaient fou. Jamais je n’avais connu une telle passion. L’orgasme suivant a entraîné le sien et on s’est effondré.

Epuisée par ma journée horrible, terrassée par mes orgasmes et lovée dans ses bras, j’ai à peine senti Pierre rabattre les draps sur nous avant de m’endormir.

Je me suis réveillée le lendemain matin, presque désorientée mais j’ai senti le corps de Pierre derrière moi, chaud et doux, rassurant. J’ai bougé un peu et ça a suffi à le réveiller. Encore ensommeillé, sa bouche a tracé toute une ligne de bisous depuis mon épaule jusqu’à la base de mon cou.

- Bonjour ma belle !
- Bonjour Pierre !
- Bien dormi ?
- Très bien oui, j’avoue !

Je me suis tournée et j’ai enfoui a tête dans le creux de cou, d’un coup, timidement apeurée de le regarder dans les yeux. Des images et des sensations se bousculaient dans mon esprit. Je revoyais son corps bouger contre le mien, son regard, le plaisir sur son visage. Mon ventre s’est contracté au souvenir des orgasmes que mon amant d’un soir m’avait procuré. J’allais rentrer chez moi et cette fois, la solitude que j’allais ressentir me gênait beaucoup plus, me faisait mal d’avance.

Il a passé son doigt sous mon menton pour me faire lever la tête et ses lèvres se sont posées sur les miennes.

- Je donnerai cher pour savoir ce qu’il se passe dans ta tête Magalie.
- … Je crois que je vais devoir te laisser.
- Pourquoi ? si tu as quelque chose de prévu, je ne te retiens pas mais… Même si on se connaît à peine, j’ai aimé me réveiller avec toi. Et j’espère qu’on va se revoir… Vraiment !
- …
- Tu es bien ici non ? Dans mes bras ?
- …
- Regardes ! Tu te blottis encore plus ! Tu n’as pas envie de partir ! Tu dois vraiment t’en aller ?
- … Non… Mais et toi ?

Il avait raison, je me collais encore plus à lui et je n’avais rien ni personne pour m’attendre.

- Je n’ai rien de prévu aujourd’hui mais de toute façon, il aurait fallu que ce soit quelque chose de très important pour m’empêcher de te garder près de moi.

J’étais si bien dans ses bras, bien au chaud, alors que la pluie battait contre la vitre de son appartement. Ca faisait un temps infini que je n’avais pas ressenti ça. Cette fois, c’est moi qui ai déposé des baisers dans son cou, sur son épaule, au niveau de la peau douce et ferme de son muscle pectoral. Ma main gauche courait sur son corps et je sentais déjà son sexe durcir contre ma hanche.

Mon sexe se liquéfiait. Pierre était magnifique sous mes doigts, mes lèvres ou ma langue.

- Magalie…
- … Oui ?
- J’aime… Mais si tu continues…
- J’ai envie Pierre… Tellement… Une dernière fois !
- Tu me tues là !!!
- Pourtant il y a quelque chose contre moi qui me semble bien vivant non ?

Pierre est passé sur moi, calé dans la fourche de mes cuisses. Je n’arrivais pas à croire ce que je vivais, ce que j’entendais.

- Maintenant que je t’ai trouvé, je ne te laisserai jamais t’en aller. Tu en as conscience ?
- …

Son sexe m’empalait lentement.

- Ce n’est pas la dernière fois Magalie ! C’est l’une des premières !

Ses yeux sondaient les miens.

- Je n’ai jamais connu ça ! Tu le ressens ?
- Oui Pierre ! Fais-moi l’amour ! OOOOHHHHHH ! PIERRE !
- Comme ça mon amour ?
- OUI !
- Tout au fond pour que tu me sentes bien !
- OUI !
- Ou bien juste là ! Tu es sensible ici !
- Oh MON DIEU ! OUI ! Comme tu veux… Quand tu veux !

Les suite n’a été que caresses, baisers et petits cris de jouissances. Nos corps s’imbriquent si bien. J’ai senti son corps trembler, sa jouissance proche. Il a continué à bouger, lentement et sensuellement, et ses râles de plaisir à quelques centimètres de mon oreille m’ont fait fondre complètement, déclenchant un dernier orgasme.

Après une douche bien méritée, on a passé toute la matinée à parler autour d’un café et plus notre discussion avançait, plus j’avais l’impression que l’esprit, autant que le physique m’attirait.

Il m’a cuisiné un plat simple mais très bon à midi, puis, on a regardé des séries à la télé. Malgré la pluie et le vent dehors, il faisait bon dans son appartement et il était torse nu, tentation perpétuelle pour la femme délaissée depuis trop longtemps que j’étais.

En plein milieu d’un épisode, je suis passée sur, chatte, sensuelle. J’ai senti son membre durcir sous son caleçon. Je suis passée entre ses jambes, laissant une traînée de baisers sur ses pectoraux, ses côtes et son ventre. J’adorais la fine ligne de poils menant de son nombril à son caleçon.

J’ai libéré son sexe et je l’ai embrassé un peu partout avant de sortir ma lange pour le lécher comme une glace. Il était dur comme du bois dans mes mains, gros et long, délicieux de virilité et de désir.

Il a poussé un long gémissement alors que son gland trouvait sa place dans ma bouche chaude et accueillante. Je l’ai regardé dans les yeux en le suçant comme je ne l’avais jamais fait pour aucun autre homme. J’ai ôté le grand teeshirt que je lui avais emprunté en guise de chemise de nuit. Mes gros seins lui plaisaient et je m’amusais à frotter mes tétons durs comme du béton sur ses cuisses.

- Tu veux qu’on continue à se voir Pierre ?
- Oui !
- Tu veux que je te donne du plaisir comme ça aussi souvent que tu le veux ?
- Oui Magalie !
- Alors cette queue est à moi, rien qu’à moi !

Je suçotais la base du gland, effleurant le frein de mes dents. Je voyais que ça le rendais fou.

- A toi ! Oui ! Oh Putain Magalie !

Un liquide transparent sortait du gland et je m’empressais de le laper sous ses yeux avides de moi.

Il s’est levé d’un coup, m’a placé à genoux sur son sofa, avant-bras sur le dossier. J’ai tourné la tête vers lui en souriant, fière de le rendre fou de moi, excitée à l’idée de me faire prendre en levrette par ce mâle imposant.

Ses mains puissantes ont saisi fermement mes hanches et sa belle queue a trouvé le chemin de mon sexe déjà trempé, plus que prêt à l’accueillir. Ce matin-là, il m’avait fait l’amour plus tendrement et amoureusement que n’importe qui avant lui, mais là, c’était juste du désir pur, animal, possessif.

Son sexe m’a rempli, m’a fait gémir instantanément. Son gland appuyait doucement tout au fond, envoyant des décharges électriques dans tout mon corps.

- Quand je t’ai vu dans le bus, sale, énervée… Je me suis dit que tu étais la plus belle femme que j’ai jamais vu. Que jamais je ne trouverai une femme dégageant plus de charme…
- Oh… Pourquoi… Pourquoi tu me dis ça maintenant ?

Il s’est penché pour murmurer dans mon oreille.

- C’était avant de sentir tes seins contre moi ce matin en te faisant l’amour… Avant te voir entre mes jambes en train de t’occuper de ma queue… Avant que je voies la perfection de ton corps en te prenant comme ça !!

Un frisson énorme a parcouru mon corps, ses paroles m’excitant comme jamais. Son va et vient en moi était puissant, dévastateur. Il était partout, au fond, sur mon point G, ses mains autour de ma taille fine pour que je me sente possédée encore plus. J’ai joui, joui encore. Chaque orgasme en amenait un autre jusqu’à ce qu’il finisse en moi.

J’ai repris un instant mes esprits et je me suis tournée vers lui, soudain consciente d’une chose qui ne m’avait même pas traversé l’esprit jusqu’à maintenant, trop dans ma bulle de bonheur.

- Pierre… Je n’ai pas pris la pilule depuis deux jours… il y a sans doute un risque…

Il m’a attiré contre lui, serrée dans ses bras.

- Si un bébé est le résultat de ce qu’on vient de faire là, c’est que ça devait arriver… Et je ne regrette rien du tout…

En deux jours, cet homme m’avait fait oublié tous mes soucis. Je ne savais pas où tout ça allait nous mener mais j’étais confiante… Surtout que son sexe durcissant à nouveau entre mes fesses me laissait entrevoir un avenir proche très prometteur.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Magnifique histoire, parfaitement écrite, qui tout en étant très chaude sexuellement apporte une touche de tendresse et d'amour qui est exceptionnelle dans ce genre de récit. Merci pour ça



Texte coquin : Quelle journée de  m...e
Histoire sexe : Une rose rouge
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