Rattrapage au gode
Récit érotique écrit par Licoorne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rattrapage au gode
Lorsque j’avais connu Mish, j’avais vite compris sa manière de jouir : orgasme court, puis relâche, vagin en tunnel de métro, puis sous une excitation poursuivie, resserrement, orgasme, etc. J’aimais beaucoup cela, ses “ relâchements “ m’empêchaient de gicler, faisaient durer nos étreintes jusqu’à ce que ses jouissances, du plus en plus rapprochées, n’en fassent plus qu’une, et que nous explosions tous deux….
Sauf que… Il m’était arrivé de partir tellement vite, que Mish n’en était qu’au début du “parcours“. Ma bite devenue mollassonne et incapable de tenir son rôle, je décidais de me faire aider : je retrouvais un gode de bois, de taille habituelle, le gland bien imité, avec une jolie courbure ; la seule invraisemblance était la longueur : environ 35cm, mais en assurait une bonne prise en main…
J’avais aussi ramené quelques plumes d’oie, toutes neuves…
Mish était maintenant dans son état “repos“, ventre détendu, allongée sur le dos, main ouvertes, con béant, presque inanimée… Je lui écartais un peu les genoux, me plaçais à coté d’elle, et saisissant une plume commençais à lui caresser le haut de cuisses, appuyé sur un coude. La plume oscillait d’une cuisse à l’autre, rasant les poils de sa vulve, effleurant les lèvres, montant jusqu’à son bouton…. Lui écartant les lèvres à deux doigts, je lui titillais le bouton du bout de la plume. Elle suintait de mouille.
Changeant d’accessoire, j’attrapais le gode et en frottais le bout contre ses lèvres, A chaque glissement, j’appuyais un peu, le faisais entrer un peu plus profondément, marquant à chaque fois plus l’entrée de sa fente. Elle réagissait enfin, écartait encore plus les cuisses, et d’une lente poussée, je lui glissais le gland de bois dans la chatte, le faisait coulisser avant-arrière en tous petits mouvements. Son pubis a commencé à onduler, cherchant à augmenter le contact, la pénétration.
Attrapant l’engin entre mes deux paumes, je commençais à le faire rouler doucement, la courbure du gode déformait un peu la moule de ma copine à chaque tour, entraînant les lèvres avec. J’adore voir ce mouvement de lèvres, encore plus quand c’est ma bite qui le provoque ; et souvent avant de la pénétrer, je lui essuies la chatte, pour augmenter la friction, lui les rentrer les lèvres au bord du vagin et les voir ressortir, entraînée par ma queue.
Maintenant, ses coups de reins augmentaient, faisait entrer la bitte rotative plus profondément dans sa chatte, je voyais son ventre s’animer de pulsations, et je commençais à sentir ses boyaux aspirer le gode. Je lâchais tout, et regardant le dard entrer lentement dans son con, je lui caressais les nichons, titillant les pointes… Comme j’aurais aimé pouvoir lui mettre mon gourdin, plutôt que ce truc de bois… Mais rien à faire c’était foutu, j’étais tout mou et elle bien trop prête à jouir pour attendre.
Je la laissais jouir, puis de nouveau inerte, le faux zob toujours planté dans son ventre, recommençais à lui caresser les cuisses, le ventre, les nénés… Empoignant la trique à ras de ses poils, j’agitais l’engin dans sa vulve, lui faisait des cercles, de plus en plus appuyés, et caressant son clito en même temps…. Décidant de la foutre bien à fond, je sortais le gourdin jusqu’au bord et renvoyais le tout prestement, puis tournais un peu sur sa motte, comme pour la vriller encore un peu plus, appuyant à fond l’emmanchement.
Bouche ouverte, elle hoquetait…. Son ventre se réanimait, et je repris mon ramonage, à longs coups ; je sentais ses muscles se resserrer, (comme ci je la dépucelais à chaque pénétration), et sa résistance, à chaque retrait du manche. Je lâchais encore le gode, la laissais jouir à nouveau, puis s’éteindre, pour recommencer et recommencer encore, jusqu’à son épuisement satisfait, moment ou la bitte de bois et mes caresses conjuguées n’eurent plus d’effet sur elle. En partant, elle me dit : “C’était bon, mais je préfère quand même le naturel…“
Ok, ok. Je recommençais à bander. Trop tard. Et mou… Ca ne l’a pas empêchée de revenir, à mon grand soulagement, elle et son vagin, pompe à dard experte.
Sauf que… Il m’était arrivé de partir tellement vite, que Mish n’en était qu’au début du “parcours“. Ma bite devenue mollassonne et incapable de tenir son rôle, je décidais de me faire aider : je retrouvais un gode de bois, de taille habituelle, le gland bien imité, avec une jolie courbure ; la seule invraisemblance était la longueur : environ 35cm, mais en assurait une bonne prise en main…
J’avais aussi ramené quelques plumes d’oie, toutes neuves…
Mish était maintenant dans son état “repos“, ventre détendu, allongée sur le dos, main ouvertes, con béant, presque inanimée… Je lui écartais un peu les genoux, me plaçais à coté d’elle, et saisissant une plume commençais à lui caresser le haut de cuisses, appuyé sur un coude. La plume oscillait d’une cuisse à l’autre, rasant les poils de sa vulve, effleurant les lèvres, montant jusqu’à son bouton…. Lui écartant les lèvres à deux doigts, je lui titillais le bouton du bout de la plume. Elle suintait de mouille.
Changeant d’accessoire, j’attrapais le gode et en frottais le bout contre ses lèvres, A chaque glissement, j’appuyais un peu, le faisais entrer un peu plus profondément, marquant à chaque fois plus l’entrée de sa fente. Elle réagissait enfin, écartait encore plus les cuisses, et d’une lente poussée, je lui glissais le gland de bois dans la chatte, le faisait coulisser avant-arrière en tous petits mouvements. Son pubis a commencé à onduler, cherchant à augmenter le contact, la pénétration.
Attrapant l’engin entre mes deux paumes, je commençais à le faire rouler doucement, la courbure du gode déformait un peu la moule de ma copine à chaque tour, entraînant les lèvres avec. J’adore voir ce mouvement de lèvres, encore plus quand c’est ma bite qui le provoque ; et souvent avant de la pénétrer, je lui essuies la chatte, pour augmenter la friction, lui les rentrer les lèvres au bord du vagin et les voir ressortir, entraînée par ma queue.
Maintenant, ses coups de reins augmentaient, faisait entrer la bitte rotative plus profondément dans sa chatte, je voyais son ventre s’animer de pulsations, et je commençais à sentir ses boyaux aspirer le gode. Je lâchais tout, et regardant le dard entrer lentement dans son con, je lui caressais les nichons, titillant les pointes… Comme j’aurais aimé pouvoir lui mettre mon gourdin, plutôt que ce truc de bois… Mais rien à faire c’était foutu, j’étais tout mou et elle bien trop prête à jouir pour attendre.
Je la laissais jouir, puis de nouveau inerte, le faux zob toujours planté dans son ventre, recommençais à lui caresser les cuisses, le ventre, les nénés… Empoignant la trique à ras de ses poils, j’agitais l’engin dans sa vulve, lui faisait des cercles, de plus en plus appuyés, et caressant son clito en même temps…. Décidant de la foutre bien à fond, je sortais le gourdin jusqu’au bord et renvoyais le tout prestement, puis tournais un peu sur sa motte, comme pour la vriller encore un peu plus, appuyant à fond l’emmanchement.
Bouche ouverte, elle hoquetait…. Son ventre se réanimait, et je repris mon ramonage, à longs coups ; je sentais ses muscles se resserrer, (comme ci je la dépucelais à chaque pénétration), et sa résistance, à chaque retrait du manche. Je lâchais encore le gode, la laissais jouir à nouveau, puis s’éteindre, pour recommencer et recommencer encore, jusqu’à son épuisement satisfait, moment ou la bitte de bois et mes caresses conjuguées n’eurent plus d’effet sur elle. En partant, elle me dit : “C’était bon, mais je préfère quand même le naturel…“
Ok, ok. Je recommençais à bander. Trop tard. Et mou… Ca ne l’a pas empêchée de revenir, à mon grand soulagement, elle et son vagin, pompe à dard experte.
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