Réunion Tupperware assez spéciale. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2019 dans la catégorie Plus on est
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Réunion Tupperware assez spéciale. 3
Réunion Tupperware assez spéciale.3
Dans cette histoire, vous retrouverez Lucie que vous avez connu dans l’histoire : Mon beau père fait mon éducation sexuelle et Claude dans différentes histoires du Mâle dominant.
Comme Ben est en berne, toute l’attention du troupeau de femelles est tournée vers Claude et son « grand mât ». Mais comme il faut faire la « queue » pour accéder à la queue. Les filles se rabattent sur l’impressionnante collection de godes, de vibro-masseurs, de flacons de gel ou d’œufs vibrants.
Ça ne tarde pas à dégénérer. Quel effet peut donner cet œuf connecté une fois introduit dans le vagin ? Ce gode, ce sextoy? Je suis en train de mouiller, je me demande quel est l’effet que doit produire cet engin dans une chatte ?
Suite.
Les femmes se masturbent seules ou à plusieurs. Des lèvres se posent sur des chattes, des langues caressent des seins. La mouille coule à flot.
Un petit jeu entre deux filles : un œuf vibrant télécommandé dans la chatte de l’autre, elles s’amusent à le faire vibrer, étant à la merci l’une de l’autre. Progressivement elles augmentent les vibrations de l’œuf pour voir la première qui ne pourra plus supporter l’engin, n’arrêtant pas de jouir.
Juste à coté je vois une main se glisser entre des fesses, passant de la raie à l’anus d’une femme qui prend un gode et le donne à sa tortionnaire, j’écoute leur dialogue:
- Encule-moi avec mais suce le gode d’abord !
- Là, debout ?
- Oui j’aime être enculée debout.
- Met-moi deux doigts dans mon cul aussi.
- Non, je vais te mettre un doigt au cul et l’autre dans ta chatte.
-Je préfèrerais un gode dans chaque trou, j’adore la double pénétration.
- Oui, c’est formidablement bon, mais je préfère avec de vraies bites.
Elle arrête de parler quand elle se fait mettre le gode « Rabbit » dans le cul que sa complice rentre complètement. Elle est défoncée et heureuse quand elle sent le second dans son vagin qui coulisse en rebours du premier. Elle prend un pied extraordinaire qui l’envoie plusieurs fois au paradis, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus.
Je peux enfin accéder à la verge de Claude après toutes ces bouches et ces mains avides. D’un mouvement frénétique je branle cette poutre et à la même cadence je pompe le champignon du gros dard de ce garçon, salivant abondamment pour mieux coulisser en espérant un déferlement de sperme de ce jeune étalon. Et là, dans une supplication, je lui demande :
-Claude, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
J’engloutis de nouveau le gland énorme prêt à exploser comme un fruit mûr et donner toute sa sève au fond de ma gorge.
Claude ne peut plus tenir, Ingrid s’en aperçoit et me repousse vivement pour diriger d’une main ferme la lance prête à cracher dans un récipient de verre.
Claude ne peut plus tenir et ouvre les vannes. Malgré sa précédente jouissance, les jets se succèdent et le niveau dans le récipient est impressionnant pour un seul homme.
Un murmure gonfle, les filles n’en reviennent pas.
Ingrid récupère jusqu’à la dernière goutte la divine liqueur et lâche la verge toujours aussi étranglée par l’anneau qui l’empêche de débander.
Elle se dirige vers une table où se trouve des boissons et de la nourriture et tartine copieusement un gâteau de cette crème assez spéciale. Elle le coupe en autant de parts que de convives et les distribue. Certaines se jettent dessus comme des affamées, d’autres y vont du bout des dents mais aucune ne refuse et chacune se nourrit d’une infime portion de la semence de ce taureau reproducteur exceptionnel.
Ben a repris du service avec quelques fans mais la majorité préfère se tourner vers Claude.
Ingrid le force à s’étendre sur le dos, lui passe des menottes doublées de velours aux poignets et se tourne vers les filles :
-Il est à vous ! Vous ne craignez rien avec lui comme avec Ben mais si vous le voulez, vous pouvez lui mettre une capote.
Une courageuse commence à frotter son clitoris sur la longue tige toujours aussi dure car la queue n'a pas quittée sa taille hors norme. Lorsqu’elle se sent prête, elle prend d’une main ferme la longue hampe et la présente à l'entrée de sa grotte aux plaisirs.
Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories qu’elle a pu connaître auparavant et elle appréhende un peu, mais son sexe est tellement lubrifié par l'excitation que l'entrée se fait en douceur à la surprise des observatrices attentives.
Elles n’en reviennent pas pour les plus jeunes de voir entrer un tel engin dans cette fente qui parait si fragile. Solène, l’expérimentatrice nous fait partager sa surprise :
- Je n’aurais-pas cru que ça soit si facile mais je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice. Quel pied !
Elle laisse passer quelques secondes, pour s'habituer à ce vit aux dimensions exceptionnelles avant de se mettre doucement à aller et venir sur cette barre de chair, jouant à se pénétrer uniquement du bout de la hampe avant de s'empaler dessus au-delà du possible.
Une fille s'approche, c’est Marine. Elle s’étend entre les cuisses du garçon pour approcher sa bouche des bourses pleines magnifiquement lisses… De vraies friandises ! Elle s’empresse de les mettre en bouche, essayant maladroitement de les gober toutes les deux à la fois sans gêner Solène qui se pilonne sur la teub gorgée de sang. Les boules roulent sur les commissures de ses lèvres, arrachant des petits grognements au possesseur de ce magnifique service trois pièces.
Maintenant que les donzelles se sont rendu compte que l’impossible est réalisable, elles se battent pour vivre chacune à leur tour cette expérience pour la plupart sans lendemain dans leur vie de femmes. La chance de retrouver un tel étalon étant quasiment nulle dans les quelques hommes qu’elles fréquenteront dans leur vie amoureuse.
Eloïse a remplacé Solène, frustrée d’abandonner de gros sucre d’orge. Mais il faut savoir partager.
La bite bute juste à l'entrée de sa moule. Ses lèvres intimes s’écartent lentement devant l’obstacle. Elle éprouve déjà un plaisir intense. Elle va plus loin que Solène mais quand les picots de l’anneau frottent sur ses muqueuses, exacerbant le plaisir, elle perd les pédales et se met à jouir sans arrêt.
C’est à la suivante qui n'attendait que ça. Même cause, même effet. Sa jouissance est très forte mais surtout très humide. Le bas ventre de Claude est noyé sous un flot de cyprine abondant.
Une couguar a pris le relais sur le braquemart vraiment addictif, plongeant sa chatte encore et encore autour du poteau. Mais la différence avec les précédentes filles, c’est qu’elle ne se sert pas que de sa chatte, faisant disparaître la queue dans son cul.
Elle trouve le rythme passant du con pour en sortir aussi rapidement l’instrument et aller dans l'autre trou, se laissant aller à l’orgasme.
Claude est stoïque, résistant vaillamment aux assauts de ces femmes déchainées mais trop pris car depuis un moment, elles se sont aperçues qu’il pouvait aussi leurs donner du plaisir avec sa bouche et sa langue, le laissant à peine respirer.
Comme dans une danse de salon, un ballet se forme qu’il ne maîtrise pas ! Une couguar a retiré avec difficulté l’anneau pour enfoncer le bélier jusqu’aux couilles dans sa fente, mais de toute évidence le tenon est plus grand que la mortaise. Pas vaincue pour autant, elle se saisit d’un fleshligt sur la table basse et l’enfile sur la hampe et se lance dans une très sérieuse fellation.
Pas habituée à un tel calibre, elle s’empêtre dans une quinte de toux, de la bave coule en abondance sur son menton… Tout le monde n’a pas la technique des professionnelles du sexe !
Elle se venge en faisant monter et descendre le fleshligt sur toute la longueur de la hampe, démultipliant le massage sexuel auquel Claude ne reste pas indifférent :
-Ouuuiii ! Vas-y…oui encore…ooouuuiii !
A suivre…
Dans cette histoire, vous retrouverez Lucie que vous avez connu dans l’histoire : Mon beau père fait mon éducation sexuelle et Claude dans différentes histoires du Mâle dominant.
Comme Ben est en berne, toute l’attention du troupeau de femelles est tournée vers Claude et son « grand mât ». Mais comme il faut faire la « queue » pour accéder à la queue. Les filles se rabattent sur l’impressionnante collection de godes, de vibro-masseurs, de flacons de gel ou d’œufs vibrants.
Ça ne tarde pas à dégénérer. Quel effet peut donner cet œuf connecté une fois introduit dans le vagin ? Ce gode, ce sextoy? Je suis en train de mouiller, je me demande quel est l’effet que doit produire cet engin dans une chatte ?
Suite.
Les femmes se masturbent seules ou à plusieurs. Des lèvres se posent sur des chattes, des langues caressent des seins. La mouille coule à flot.
Un petit jeu entre deux filles : un œuf vibrant télécommandé dans la chatte de l’autre, elles s’amusent à le faire vibrer, étant à la merci l’une de l’autre. Progressivement elles augmentent les vibrations de l’œuf pour voir la première qui ne pourra plus supporter l’engin, n’arrêtant pas de jouir.
Juste à coté je vois une main se glisser entre des fesses, passant de la raie à l’anus d’une femme qui prend un gode et le donne à sa tortionnaire, j’écoute leur dialogue:
- Encule-moi avec mais suce le gode d’abord !
- Là, debout ?
- Oui j’aime être enculée debout.
- Met-moi deux doigts dans mon cul aussi.
- Non, je vais te mettre un doigt au cul et l’autre dans ta chatte.
-Je préfèrerais un gode dans chaque trou, j’adore la double pénétration.
- Oui, c’est formidablement bon, mais je préfère avec de vraies bites.
Elle arrête de parler quand elle se fait mettre le gode « Rabbit » dans le cul que sa complice rentre complètement. Elle est défoncée et heureuse quand elle sent le second dans son vagin qui coulisse en rebours du premier. Elle prend un pied extraordinaire qui l’envoie plusieurs fois au paradis, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus.
Je peux enfin accéder à la verge de Claude après toutes ces bouches et ces mains avides. D’un mouvement frénétique je branle cette poutre et à la même cadence je pompe le champignon du gros dard de ce garçon, salivant abondamment pour mieux coulisser en espérant un déferlement de sperme de ce jeune étalon. Et là, dans une supplication, je lui demande :
-Claude, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
J’engloutis de nouveau le gland énorme prêt à exploser comme un fruit mûr et donner toute sa sève au fond de ma gorge.
Claude ne peut plus tenir, Ingrid s’en aperçoit et me repousse vivement pour diriger d’une main ferme la lance prête à cracher dans un récipient de verre.
Claude ne peut plus tenir et ouvre les vannes. Malgré sa précédente jouissance, les jets se succèdent et le niveau dans le récipient est impressionnant pour un seul homme.
Un murmure gonfle, les filles n’en reviennent pas.
Ingrid récupère jusqu’à la dernière goutte la divine liqueur et lâche la verge toujours aussi étranglée par l’anneau qui l’empêche de débander.
Elle se dirige vers une table où se trouve des boissons et de la nourriture et tartine copieusement un gâteau de cette crème assez spéciale. Elle le coupe en autant de parts que de convives et les distribue. Certaines se jettent dessus comme des affamées, d’autres y vont du bout des dents mais aucune ne refuse et chacune se nourrit d’une infime portion de la semence de ce taureau reproducteur exceptionnel.
Ben a repris du service avec quelques fans mais la majorité préfère se tourner vers Claude.
Ingrid le force à s’étendre sur le dos, lui passe des menottes doublées de velours aux poignets et se tourne vers les filles :
-Il est à vous ! Vous ne craignez rien avec lui comme avec Ben mais si vous le voulez, vous pouvez lui mettre une capote.
Une courageuse commence à frotter son clitoris sur la longue tige toujours aussi dure car la queue n'a pas quittée sa taille hors norme. Lorsqu’elle se sent prête, elle prend d’une main ferme la longue hampe et la présente à l'entrée de sa grotte aux plaisirs.
Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories qu’elle a pu connaître auparavant et elle appréhende un peu, mais son sexe est tellement lubrifié par l'excitation que l'entrée se fait en douceur à la surprise des observatrices attentives.
Elles n’en reviennent pas pour les plus jeunes de voir entrer un tel engin dans cette fente qui parait si fragile. Solène, l’expérimentatrice nous fait partager sa surprise :
- Je n’aurais-pas cru que ça soit si facile mais je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice. Quel pied !
Elle laisse passer quelques secondes, pour s'habituer à ce vit aux dimensions exceptionnelles avant de se mettre doucement à aller et venir sur cette barre de chair, jouant à se pénétrer uniquement du bout de la hampe avant de s'empaler dessus au-delà du possible.
Une fille s'approche, c’est Marine. Elle s’étend entre les cuisses du garçon pour approcher sa bouche des bourses pleines magnifiquement lisses… De vraies friandises ! Elle s’empresse de les mettre en bouche, essayant maladroitement de les gober toutes les deux à la fois sans gêner Solène qui se pilonne sur la teub gorgée de sang. Les boules roulent sur les commissures de ses lèvres, arrachant des petits grognements au possesseur de ce magnifique service trois pièces.
Maintenant que les donzelles se sont rendu compte que l’impossible est réalisable, elles se battent pour vivre chacune à leur tour cette expérience pour la plupart sans lendemain dans leur vie de femmes. La chance de retrouver un tel étalon étant quasiment nulle dans les quelques hommes qu’elles fréquenteront dans leur vie amoureuse.
Eloïse a remplacé Solène, frustrée d’abandonner de gros sucre d’orge. Mais il faut savoir partager.
La bite bute juste à l'entrée de sa moule. Ses lèvres intimes s’écartent lentement devant l’obstacle. Elle éprouve déjà un plaisir intense. Elle va plus loin que Solène mais quand les picots de l’anneau frottent sur ses muqueuses, exacerbant le plaisir, elle perd les pédales et se met à jouir sans arrêt.
C’est à la suivante qui n'attendait que ça. Même cause, même effet. Sa jouissance est très forte mais surtout très humide. Le bas ventre de Claude est noyé sous un flot de cyprine abondant.
Une couguar a pris le relais sur le braquemart vraiment addictif, plongeant sa chatte encore et encore autour du poteau. Mais la différence avec les précédentes filles, c’est qu’elle ne se sert pas que de sa chatte, faisant disparaître la queue dans son cul.
Elle trouve le rythme passant du con pour en sortir aussi rapidement l’instrument et aller dans l'autre trou, se laissant aller à l’orgasme.
Claude est stoïque, résistant vaillamment aux assauts de ces femmes déchainées mais trop pris car depuis un moment, elles se sont aperçues qu’il pouvait aussi leurs donner du plaisir avec sa bouche et sa langue, le laissant à peine respirer.
Comme dans une danse de salon, un ballet se forme qu’il ne maîtrise pas ! Une couguar a retiré avec difficulté l’anneau pour enfoncer le bélier jusqu’aux couilles dans sa fente, mais de toute évidence le tenon est plus grand que la mortaise. Pas vaincue pour autant, elle se saisit d’un fleshligt sur la table basse et l’enfile sur la hampe et se lance dans une très sérieuse fellation.
Pas habituée à un tel calibre, elle s’empêtre dans une quinte de toux, de la bave coule en abondance sur son menton… Tout le monde n’a pas la technique des professionnelles du sexe !
Elle se venge en faisant monter et descendre le fleshligt sur toute la longueur de la hampe, démultipliant le massage sexuel auquel Claude ne reste pas indifférent :
-Ouuuiii ! Vas-y…oui encore…ooouuuiii !
A suivre…
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