S.W.A.T.X : Opération ALPHA (12)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (12)
S.W.A.T : Opération ALPHA
CHAPITRE 12
Cassette 28.
« … Il me saisit par les hanches. Je sais où il veut en venir. Son intention est claire, il cherche à me prendre, me posséder comme une femelle, un trophée qu'il pourra fièrement exhiber.
J'ai peur, il peut lire la panique dans mes yeux, mais lui n'en a rien à faire.
Je sais qu'il finira par arriver à ses fins. Il est bien plus fort que moi, et puis la drogue qu'ils m'ont obligé à prendre annihile tout désir de révolte.
Il lubrifie généreusement mon cul.
Je tremble...
Quand vous vous retrouvez prisonnier d'un mec sans espoir d'en réchapper, qui plus est, monté comme un turc, vous frissonnez comme une feuille morte et la seule pensée qui vous vient à l'esprit est de savoir s'il sera doux ou violent.
… Il me prend dans ses bras et me serre fort. Je manque suffoquer mais je me retiens de crier. Je ne voudrais pas être la risée des gars positionnés autour de nous.
Il desserre son étreinte et me caresse l'ensemble du corps. Ses mains sont étonnamment douces pour un type aussi viril. Il me tripote les couilles avec forces et je sens malgré moi, un début d'érection.
Mais ne vous y trompez pas, c'est purement mécanique.
… Il est à présent sur moi, me dominant de toute sa force d'homme.
Il finit par me retourner. Je me retrouve sans défense, le cul exposé à ses envies.
Déjà, il glisse plusieurs doigts entre mes fesses et continue à me lubrifier avec sa salive. Je serre les dents même si pour le moment il n'est pas violent.
… Je sens la pression de sa queue contre mon œillet, je m'angoisse déjà. Je vais subir ma première pénétration. Pas un gode ou une matraque mais une colonne de chair bien vivante. Vingt-deux centimètres qui vont me perforer l'anus.
Cette perspective redouble mes tremblements.
J'imagine ce qui va se passer. Et puis soudain, plus rien, il le fait. Il pousse son gland contre ma rondelle. Ça résiste. J'essaie de me détendre. Ça résiste encore, puis je le sens s'enfoncer de quelques centimètres.
Putain! Ça fait un mal de chien.
… À force d'obstination, il finit par rentrer une grande partie se son gourdin. Je sens mon anus se refermer autour de son pieu. La douleur est toujours présente, ce qui me fait perdre la raison.
Je panique mais n'en laisse rien paraître. Je ne veux pas leur montrer ma faiblesse.
Lui, au dessus de moi, continue à pousser et sa queue glisse plus profond dans mon cul. J'en ai le souffle coupé pendant qu'il poursuit son travail de destruction.
… Je resserre mon œillet du mieux que je peux. Il sens bien que ça résiste et d'un coup de rein violent s'enfonce avec rage.
Je suppose avoir perdu connaissance car, quand je retrouve mes esprits, son manche est entièrement fiché en moi et ses couilles claquent contre mes fesses.
Je couine de douleur mais aussi de plaisir. Je crois qu'il a trouvé ma prostate et que ses va-et-vient la stimulent plus que de raison.
… Ses mains parcourent mon torse, pincent mes tétons (tiens, on a enlevé les pinces!). D'autres mains caressent mes couilles et empoignent ma queue qui se retrouve bientôt au garde-à-vous.
… Avec son bassin, il pousse toujours plus loin sa bite dans mon cul. Il finit par ralentir la cadence avant de me reprendre par les hanches et de déculer.
Je pousse un long gémissement au moment où sa queue ressort de mon trou. Ça les fait tous bien rire. C'est vrai que j'ai la bite en feu et que je suis au bord de l'explosion mais ce petit con sait y faire avec les mecs.
Et puis, les drogues...
… Il revient presque aussitôt à la charge. Il ne me laisse aucun répit. Il me perfore les boyaux bien à fond, toujours avec cet énorme gland qui m'écartèle en deux. À chaque poussée, il active ma prostate. Et à chaque impulsion, je couine de plaisir. Un cri long et aiguë qui trahit mon envie.
Il est infatigable. Il m'écrase contre la table. Je manque d'air mais ça ne le fait pas ralentir. Au contraire, ses gestes deviennent plus violents. Ses mouvements incontrôlés.
… Ses aller-retour deviennent rapides. Il les fait durer dans le temps sous les encouragements des membres du gang. Il ne s'appartient plus, il me lime le cul avec générosité, comme il le ferait avec n'importe quelle femme.
Il se fait plaisir.
… Je sens soudain qu'il se fige. Il pousse un cri animal avant de décharger dans mes entrailles. Il continue à me pilonner, m'assénant de violents coups de bite qui m'arrachent des cri de douleur. J'ai serré les dents pour ne pas hurler davantage.
Je crois qu'il a joui une deuxième fois... »
******
«... COUPEZ! C'est dans la boîte. »
Le sergent David Kay, (alias Jo Coleman, star du porno US) se tourna vers ses quatre acolytes.
- Putain les gars, c'était génial. Franchement, cette baise valait bien 2 millions de $.
L'officier Jim Street, (alias Weelan More, autre star du porno américain) épongea les dernières gouttes qui coulaient entre ses fesses.
- Ouais, on peut dire que la Saison 5 démarre fort...
FIN
CHAPITRE 12
Cassette 28.
« … Il me saisit par les hanches. Je sais où il veut en venir. Son intention est claire, il cherche à me prendre, me posséder comme une femelle, un trophée qu'il pourra fièrement exhiber.
J'ai peur, il peut lire la panique dans mes yeux, mais lui n'en a rien à faire.
Je sais qu'il finira par arriver à ses fins. Il est bien plus fort que moi, et puis la drogue qu'ils m'ont obligé à prendre annihile tout désir de révolte.
Il lubrifie généreusement mon cul.
Je tremble...
Quand vous vous retrouvez prisonnier d'un mec sans espoir d'en réchapper, qui plus est, monté comme un turc, vous frissonnez comme une feuille morte et la seule pensée qui vous vient à l'esprit est de savoir s'il sera doux ou violent.
… Il me prend dans ses bras et me serre fort. Je manque suffoquer mais je me retiens de crier. Je ne voudrais pas être la risée des gars positionnés autour de nous.
Il desserre son étreinte et me caresse l'ensemble du corps. Ses mains sont étonnamment douces pour un type aussi viril. Il me tripote les couilles avec forces et je sens malgré moi, un début d'érection.
Mais ne vous y trompez pas, c'est purement mécanique.
… Il est à présent sur moi, me dominant de toute sa force d'homme.
Il finit par me retourner. Je me retrouve sans défense, le cul exposé à ses envies.
Déjà, il glisse plusieurs doigts entre mes fesses et continue à me lubrifier avec sa salive. Je serre les dents même si pour le moment il n'est pas violent.
… Je sens la pression de sa queue contre mon œillet, je m'angoisse déjà. Je vais subir ma première pénétration. Pas un gode ou une matraque mais une colonne de chair bien vivante. Vingt-deux centimètres qui vont me perforer l'anus.
Cette perspective redouble mes tremblements.
J'imagine ce qui va se passer. Et puis soudain, plus rien, il le fait. Il pousse son gland contre ma rondelle. Ça résiste. J'essaie de me détendre. Ça résiste encore, puis je le sens s'enfoncer de quelques centimètres.
Putain! Ça fait un mal de chien.
… À force d'obstination, il finit par rentrer une grande partie se son gourdin. Je sens mon anus se refermer autour de son pieu. La douleur est toujours présente, ce qui me fait perdre la raison.
Je panique mais n'en laisse rien paraître. Je ne veux pas leur montrer ma faiblesse.
Lui, au dessus de moi, continue à pousser et sa queue glisse plus profond dans mon cul. J'en ai le souffle coupé pendant qu'il poursuit son travail de destruction.
… Je resserre mon œillet du mieux que je peux. Il sens bien que ça résiste et d'un coup de rein violent s'enfonce avec rage.
Je suppose avoir perdu connaissance car, quand je retrouve mes esprits, son manche est entièrement fiché en moi et ses couilles claquent contre mes fesses.
Je couine de douleur mais aussi de plaisir. Je crois qu'il a trouvé ma prostate et que ses va-et-vient la stimulent plus que de raison.
… Ses mains parcourent mon torse, pincent mes tétons (tiens, on a enlevé les pinces!). D'autres mains caressent mes couilles et empoignent ma queue qui se retrouve bientôt au garde-à-vous.
… Avec son bassin, il pousse toujours plus loin sa bite dans mon cul. Il finit par ralentir la cadence avant de me reprendre par les hanches et de déculer.
Je pousse un long gémissement au moment où sa queue ressort de mon trou. Ça les fait tous bien rire. C'est vrai que j'ai la bite en feu et que je suis au bord de l'explosion mais ce petit con sait y faire avec les mecs.
Et puis, les drogues...
… Il revient presque aussitôt à la charge. Il ne me laisse aucun répit. Il me perfore les boyaux bien à fond, toujours avec cet énorme gland qui m'écartèle en deux. À chaque poussée, il active ma prostate. Et à chaque impulsion, je couine de plaisir. Un cri long et aiguë qui trahit mon envie.
Il est infatigable. Il m'écrase contre la table. Je manque d'air mais ça ne le fait pas ralentir. Au contraire, ses gestes deviennent plus violents. Ses mouvements incontrôlés.
… Ses aller-retour deviennent rapides. Il les fait durer dans le temps sous les encouragements des membres du gang. Il ne s'appartient plus, il me lime le cul avec générosité, comme il le ferait avec n'importe quelle femme.
Il se fait plaisir.
… Je sens soudain qu'il se fige. Il pousse un cri animal avant de décharger dans mes entrailles. Il continue à me pilonner, m'assénant de violents coups de bite qui m'arrachent des cri de douleur. J'ai serré les dents pour ne pas hurler davantage.
Je crois qu'il a joui une deuxième fois... »
******
«... COUPEZ! C'est dans la boîte. »
Le sergent David Kay, (alias Jo Coleman, star du porno US) se tourna vers ses quatre acolytes.
- Putain les gars, c'était génial. Franchement, cette baise valait bien 2 millions de $.
L'officier Jim Street, (alias Weelan More, autre star du porno américain) épongea les dernières gouttes qui coulaient entre ses fesses.
- Ouais, on peut dire que la Saison 5 démarre fort...
FIN
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cette histoire me rappelle ma première avec un homme, j'ai gémi de douleur et de plaisir quand il m'a sodomisée et quand il s'est soulagé en moi je me suis enfin sentie femme que c'était bon
