Sacrée belle mère! J’en prends plein les yeux
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2018 dans la catégorie Plus on est
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Sacrée belle mère! J’en prends plein les yeux
Dès le début de ma relation avec Nora (Voir « Un moment dans les bois avec Nora »), tout est allé très vite. On a passé presque toutes nos premières ensemble, du coup je me suis installé en moins d’un mois chez. J’ai rencontré ses parents dans la foulée, d’un autre côté ils habitent à seulement 10 minutes de chez elle.
Cela fait maintenant 6 mois que nous partageons notre quotidien. Je ne peux pas dire que je suis amoureux d’elle mais je me sens bien à ses côtés. Tout se passe très bien entre nous mis à part qu’on voit un peu trop souvent Gérard, son père et Rose, sa belle mère.
Nora a perdu sa mère quand elle avait 13 ans du coup elle a grandit uniquement avec son père qui s’est rapidement remarier. Elle n’a jamais beaucoup apprécié Rose mais je crois qu’elle est un peu trop protectrice avec son « papounet ». D’un autre côté, il le lui rend bien surtout que c’est son seul enfant.
Un soir, alors que je rentre d’une réunion qui ne m’a libérer qu’après 21h, Nora m’a sorti le grand jeu. Elle m’accueille dans l’appartement avec des lumières tamisées et des bougies un peu partout. Elle porte uniquement une nuisette rouge qui met son corps encore plus en valeur. Je me demande bien ce qu’elle a m’annoncé.
Une bouteille de champagne rafraichit dans un sceau, un petit apéritif nous attend sur la table basse. Elle me propose de me mettre à l’aise pendant qu’elle me sert un whisky (elle a enfin retenu que je n’aime pas les mêmes alcools qu’elle) et une coupe pour elle. Vu sa tenue je la rejoins en caleçon et t-shirt.
On s’installe confortablement dans le canapé alors que le jazz nous sert d’ambiance. Après avoir trinqué elle vient se coller contre moi. Pendant que j’avale une nouvelle gorgée elle me caresse la cuisse. Sa main remonte toujours plus haut jusqu’à se glisser sous mon caleçon.
Elle atteint rapidement mes couilles et ma bite qui a commencé à grossir. Elle défait les petit bouton pour sortir ma tige et commence à me sucer goulument pour me faire encore plus raidir. Ses lèvres montent et descendent de plus en plus vite. Elle m’enfonce, à chaque aller retour, plus profondément dans sa bouche.
Elle glisse une de ses mains entre mes cuisses, je les ouvre pour lui laisser un meilleur passage. Elle glisse sa mains dans mon caleçon et me malaxe les couilles tout en continuant à me sucer. Je ne sais pas ce qu’elle veut me demander mais j’aime bien sa façon de me m’amadouer.
Je la fais basculer pour l’allonger sur l’assise du canapé. Je me glisse entre ses jambes puis sous sa nuisette, elle ne porte pas de culotte. Je lèche ses grandes lèvres qui sont surmonter d’un ticket de métro. Une fois qu’elles sont bien ouvertes, je remonte ma langue vers son clito et introduit deux doigts en elle.
Alors que je les fais aller et venir de plus en plus rapidement dans sa grotte bien humide, j’aspire son petit bouton qui se gorge bien de sang. Rapidement je retire mes doigts recouvert de son nectar et j’introduis lentement mon majeur dans son cul. Il y rentre comme dans du beurre alors je l’accompagne de mon index.
Nora préfère la sodomie à la pénétration vaginale, d’ailleurs j’ai posséder son cul avant sa chatte. Alors que mes doigts rentre et sorte rapidement de ses entrailles ma langue se ballade entre son clito et son vagin. Elle a les cuisses bien écartées du coup je m’enfonce assez profondément pour que ma langue et mes doigts se touchent.
Vu tout ce qui dégouline de sa moule, je sais qu’elle adore ce que je lui fait, rapidement elle me redresse et vient s’assoir sur moi en me faisant face. Une fois que je suis bien planté dans son sexe, elle remonte ses pieds sur l’assise du canapé et me chevauche ardemment. Elle fait des allers retours de plus en plus rapide sur ma tige.
Je fais glisser mes mains sur ses fesses, avec la droite je les écarte et mon index gauche reprend la sodomie. Elle m’arrête rapidement puis se soulève pour me faire sortir. Elle reste debout sur le canapé, elle se retourne et replis doucement ses genoux.
Quand elle est assez bas, elle empoigne ma queue est la dirige vers son petit trou. Je sens mon gland bien appuyer sur sa rondelle avant de la déchirer dans un plaisir fort et commun. Elle n’arrête pas de descendre jusqu’à ce que ses fesses se posent sur moi.
Nora pose ses pieds sur les miens et commence à faire onduler son corps tout en contractant ses sphincters. Elle sait que ça me fait un effet fou et continue pendant plusieurs bonnes minutes. Je l’attrape par la taille parce que je sens que la jouissance est proche si elle continue trop longtemps.
Je la fais monter et descendre sur moi assez énergiquement. Elle se penche pour prendre appuie sur mes genoux et se sodomise toute seule. Elle attrape mes mains qui sont toujours sur elle et les fait passer devant. Elle les place au niveau de son entrejambe, je pose automatiquement deux doigts sur son clito.
Alors que je lui masse le petit bouton, je tente de faire aussi rentrer des doigts dans la chatte qui semble avoir pris un bain. Elle mouille tellement, sans compter ses mouvements plutôt brusque, que j’ai du mal à la pénétrer par les deux trous. Je sens son plaisir monter de plus belles, elle se met à gémir comme une folle.
Elle m’enserre tellement avec son cul que je jouis moi aussi en lui remplissant bien les entrailles. Elle continue de se sodomiser toute seule mais plus délicatement jusqu’à me faire complètement déculer. J’ai tellement juter qu’elle coule littéralement sur moi. Elle reste cambrée sur moi et pousse pour évacuer tout ce que je lui ai mis.
Une fois que tout mon sperme est retourné sur l’envoyeur, elle se glisse entre mes cuisses. Elle lèche mon pubis, mes couilles et ma tige pour avaler le mélange de notre jouissance. Maintenant que je suis flasque, elle arrive à me prendre totalement en bouche. Ca fait des semaines qu’elle ne s’est pas déchaîné comme ça sur moi.
Une fois qu’elle vient de nouveau se blottir, je la serre contre moi. Je caresse son coup qui est toujours recouvert de sa nuisette et elle n’a toujours pas lâcher mon costume trois pièces. Maintenant j’ai besoin de savoir ce qui me vaut cet honneur, alors après un moment de silence j’ose enfin lui demander:« Vas y, je t’écoute. Qu’est ce que tu veux me demander? »
Je sens qu’elle est gênée que j’ai compris son manège. Elle se relève caresse mon visage et m’embrasse tendrement. Elle garde ses mains sur mes joues et me dit enfin:« Mes parents vont faire des travaux chez eux. Ils vont occuper notre chambre d’ami pendant une petite dizaine de jours. »Elle m’embrasse de nouveau et attend ma réaction.
Vu que je suis encore sur mon petit nuage, j’accepte sans même trop réfléchir aux conséquences et en espérant que je serai encore récompensé une fois au lit. Nora se lève et va s’affairer dans la cuisine. Je vais la rejoindre pour l’aider et voir ce qu’elle nous prépare quand je pense à lui demander:« Ils arrivent quand? »
A nouveau, grand blanc quand elle ose enfin m’avouer:« Demain. »J’hallucine mais je ne dis rien. Le reste de la soirée est beaucoup moins chaud et agréable. Même si on vit chez elle, je l’ai quand même mauvaise qu’elle me prévienne à la dernière minute.
En plus une fois au lit, elle s’endort rapidement et comme une merde. Je n’en reviens pas c’est bien les femmes ça! Une fois qu’elles ont obtenu ce qu’elles veulent, le quotidien reprend le dessus. Heureusement qu’elle a un corps très excitant. Je m’endors moi aussi pas très longtemps après.
Les premiers jours de cohabitation se passe plutôt bien, comme Rose ne travaille pas, elle s’occupe des courses, le ménage, la bouffe… Gérard lui travaille seulement deux jours par semaine (il n’arrive pas à s’arrêter complètement), le reste du temps il est sur le chantier pour surveiller les ouvriers.
Le mardi qui suit leur arrivée les choses commencent à se compliquer. Mon beau-père nous dit que ça va prendre quelques jours de plus, ce qui veut dire qu’ils vont rester une bonne semaine supplémentaire. Leur présence ne me dérange pas trop mais Nora a un blocage de faire l’amour avec son père qui est dans la chambre mitoyenne. Ce qui veut dire que pour moi, depuis qu’ils sont là c’est ceinture.
En plus il me dit:« Romain, demain et après demain c’est bien les jours que tu as posé? »Comme un con je lui réponds positivement, je commence déjà à le regretter quand il ajoute:« Ca tombe bien, je dois partir pour le boulot pendant ces deux prochains jours. Du coup tu peux aller surveiller le chantier avec Rose? »
Je suis le seul a être étonné de son absence du coup je comprends que je suis encore une fois le dernier a être averti. Je n’ai pas d’autres choix que d’accepter et je me console en me disant que la nuit prochaine il ne serra pas la donc on pourra enfin baiser. Le soir, dans le lit, je tente quand même ma chance mais Nora me repousse avec toujours la même excuse.
Le lendemain, je fais malgré tout la grasse matinée. Quand je me lève, tout le monde est parti alors j’en profite pour me balader nu après la douche. Je me prépare tranquillement, je fais quelques petits travaux qui trainent depuis un peu trop de semaines.
Vers midi je me refais un café et grignote un truc en me disant que je me pointerai vers 13 h chez mes beaux-parents, de toutes les façons les ouvriers sont sûrement en pause. Je me bouge enfin et prends la direction de leur appartement. A peine quelques minutes après j’arrive chez eux.
Je pousse la porte qui ne fait aucun bruit avec la nouvelle moquette qui vient d’être posé. Je n’entends aucune machine en marche, je referme délicatement la porte et rentre dans l’appartement. C’est vrai que c’est le bordel ici et que ça ne sera pas fini dans deux jours comme prévu.
Je vais vers le salon, qui est recouvert de protections plastiques, quand j’entends un bruit qui n’a rien à faire ici. J’enlève mes chaussures et avance encore plus discrètement quand je vois au milieu de la pièce Rose complètement nue et entourée des deux ouvriers qui sont eux aussi à poil.
Le premier la prend en levrette alors qu’elle suce le deuxième, je bande immédiatement. Je n’en reviens pas de ses formes imprévisibles sous ses habits horribles de mamie. Je n’ai jamais imaginé Rose avec un ventre aussi plat et des fesses aussi rebondies. Je dois dire qu’en fait je n’ai jamais imaginé ma belle-mère de cette façon et vu le spectacle qu’elle m’offre je commence à le regretter.
Je glisse la main dans ma poche et je sors mon Nokia 3310, à l’époque c’était ce qu’il y avait de mieux. Je le mets sur appareil photo et je prends quelques clichées d’une main alors que je glisse l’autre dans mon pantalon. Je continue de mitrailler quand le mec qui la prend, se retire, écarte bien les fesses de Rose, crache sur sa rondelle et la sodomise d’un coup sec. Tout ça pendant qu’elle continue de faire glisser ses lèvres sur la tige de l’autre ouvrier.
Quand le premier mec décule, ma belle-mère se retourne pour offrir sa croupe à l’autre et sucer le premier qui vient d’enlever sa capote. Là aussi elle suce langoureusement la bite et les couilles du premier alors que l’autre, après s’être protéger, s’introduit d’abord dans sa grotte que j’espère bien humide. Je n’en peux plus, je sors mon sexe et me branle librement devant se fabuleux spectacle. Quand à son tour il change de trou l’autre se retire de la bouche de la propriétaire.
Je pensais qu’il allait lui faire une éjaculation faciale mais il se retourne, se cambre, écarte ses fesses à deux mains et donne son trou du cul à lécher à Rose. Je ne sais pas si elle est coutumière de cette pratique mais elle met du coeur à l’ouvrage à tel point que le mec gémit de plus belles.
Une fois qu’il s’est bien fait bouffer le cul, il se dégage, retire la protection plastique qui est sur le canapé, entoure son sexe d’une nouvelle et s’assoit jambes serrées. L’autre ouvrier sort du cul de Rose qui se redresse pour aller se sodomiser sur le sexe raide de celui qui est assis. Cette fois au lieu de changer leur position, le deuxième se glisse entre les deux paires de jambes et pénètre lui aussi la seconde femme de mon beau père.
De ma place je n’arrive pas à savoir où est la deuxième bite. Je me décale pour essayer de mieux voir mais ils sont trop collé à elle pour que je vois mieux mais je ne manque de faire aussi des photos. Au bout d’un moment celui qui est debout recule, Rose se soulève, se retourne et empale la tige du premier dans sa chatte et présente ses fesses au second.
Je continue à faire des photos en m’astiquant furieusement. Je me disais bien qu’elle ne pouvait pas se prendre ces deux mats de chairs en même temps dans le cul. Je n’arrive plus à me retenir tellement que mon cerveau bouillonne. Alors que les deux mecs continue de la baiser furieusement je lâche 6 grosses giclées de sperme sur la bâche par terre.
Je me rhabille et me cache un peu alors que Rose, qui n’est plus baisée par personnes, est à genoux. Elle a la bouche grand ouverte alors que les deux ouvriers se branlent devant son visage. Je reprends mon téléphone pour faire les derniers clichés, juste au bout moment parce que le premier vient de lancer deux jets sur le visage de ma belle-mère.
Elle gobe rapidement sa queue pour avaler le reste tout en lui massant les couilles. Pendant ce temps l’autre continue de se branler et éjacule à son tour. Rose sent la première giclée s’écraser sur son visage, elle abandonne la queue qu’elle a dans la bouche. Elle avale cette bite fontaine pendant la troisième.
Elle le suce longuement pour ne plus en perdre une goutte alors quelle branle l’autre sexe qui rétrécit dans sa main. Je recule doucement alors qu’elle finit de nettoyer les deux tiges. Je ressors de l’appartement en fermant très doucement la porte. Une fois dehors je remets mais chaussures et me dépêches de partir.
Je n’en reviens pas de ce que je viens de vivre et surtout voir. En plus j’ai plein de photos pour me rappeler très longtemps de ce moment. Je marche un long moment, perdu dans mes pensées salaces concernant ma belle-mère. Je m’arrête dans un café et je m’assois à une table contre le mur.
Je commande une bière et maintenant que je suis sur que personne ne peut m’épier je sors mon téléphone. Je regarde les imagines l’une après l’autre en revivant la scène. Là aussi je me remets à bander bien que je sois dans un café au milieu d’inconnus. L’heure tourne, je sors mon esprit des photos pour penser à autre chose et j’appelle Nora.
Elle me dit qu’elle ne va pas tarder a quitter son boulot, elle me demande comment avance les travaux chez son père. Je lui réponds que j’ai été très occupé et que je viens de me mettre en route pour l’appartement. Elle n’est pas contente de ma réponse mais c’est toujours mieux que la vérité.
Je finis ma bière et reprends la direction de l’appartement. Quand j’arrive sur place, les ouvriers sont entrain de peindre la pièce dans laquelle ils ont baisé ma belle tout à l’heure. Par contre elle n’est plus là, je discute un peu avec eux mais ne tarde pas à rentrer chez nous.
Quand j’arrive à la maison, Nora et rose discutent dans la cuisine. Dès qu’elle me voit, ma belle mère me dit qu’elle m’a attendu sur le chantier avec un petit ton de repproche. Je lui réponds que je suis désolé mais que j’ai eu un imprévu par contre je lui précisé que j’en reviens. Du coup nous discutons de l’avancé des travaux.
Ma copine s’ennuie alors elle sort une bière du frigo, m’en tend une et en propose une à la seconde femme de son père qui refuse. Elle sort de la cuisine et un instant après on entend le bruit de la télé. Je regarde fixement Rose dans les yeux, elle me demande:« Tout va bien Romain? »Je fais oui de la tête.
Elle continue de cuisiner avec ses habits de grand mère et son tablier alors que je la revois nue se faisant baiser en double. Quand elle sent mon regard sur elle, ma belle-mère se bloque devant moi avec un air interrogateur. Je laisse un blanc et me lance enfin:« En fait je suis venu cet après midi! »
Son regard change complètement et encore plus quand je sors mon téléphone de la poche et que je le remue devant elle en ajoutant:« J’en ai même la preuve en image. »Je ne lui laisse pas le temps de réagir, j’attrape ma bière et je pars rejoindre ma copine, la fille de son mari.
Pendant tout le reste de la soirée, Rose se comporte comme d’habitude. Elle est même encore plus charmante avec moi. Pendant que je mets la vaisselle dans la machine elle se glisse derrière moi en se collant bien. Elle pose sa main sur mon paquet et après m’avoir longuement caressé elle me chuchote à l’oreille:« Apparement je t’excite! »
Elle continue de masser mon sexe qui grossit et enchaine:« Moi ça fait un moment que je me branle en pensant à toi alors si tu veux… »Sans finir sa phrase, elle se décolle et va dire bonne nuit à Nora. Une fois que j’ai fini, je vais rejoindre Nora devant la télé.
Comme je suis très excité et que son père n’est pas là, je lui propose de monter au lit. Une fois que nos corps nus sont collés l’un à l’autre sous la couette, je commence à l’embrasser et la caresser mais elle me repousse. Etonné je lui dit:« Ton père n’est pas là! »« Oui, mais Rose est juste à côté. »
Elle se retourne et éteint la lumière de sa lampe de chevet. Elle s’endort rapidement alors je prends mon téléphone est regarde encore une fois ma belle-mère se comporter comme une salope. Je me branle pour la deuxième fois de la journée, en pensant à ce que je fais lui faire dès j’en aurai l’occasion. Je m’arrête juste avant d’éjaculer pour garder du jus pour demain matin quand je serai seul avec ma belle mère…
Cela fait maintenant 6 mois que nous partageons notre quotidien. Je ne peux pas dire que je suis amoureux d’elle mais je me sens bien à ses côtés. Tout se passe très bien entre nous mis à part qu’on voit un peu trop souvent Gérard, son père et Rose, sa belle mère.
Nora a perdu sa mère quand elle avait 13 ans du coup elle a grandit uniquement avec son père qui s’est rapidement remarier. Elle n’a jamais beaucoup apprécié Rose mais je crois qu’elle est un peu trop protectrice avec son « papounet ». D’un autre côté, il le lui rend bien surtout que c’est son seul enfant.
Un soir, alors que je rentre d’une réunion qui ne m’a libérer qu’après 21h, Nora m’a sorti le grand jeu. Elle m’accueille dans l’appartement avec des lumières tamisées et des bougies un peu partout. Elle porte uniquement une nuisette rouge qui met son corps encore plus en valeur. Je me demande bien ce qu’elle a m’annoncé.
Une bouteille de champagne rafraichit dans un sceau, un petit apéritif nous attend sur la table basse. Elle me propose de me mettre à l’aise pendant qu’elle me sert un whisky (elle a enfin retenu que je n’aime pas les mêmes alcools qu’elle) et une coupe pour elle. Vu sa tenue je la rejoins en caleçon et t-shirt.
On s’installe confortablement dans le canapé alors que le jazz nous sert d’ambiance. Après avoir trinqué elle vient se coller contre moi. Pendant que j’avale une nouvelle gorgée elle me caresse la cuisse. Sa main remonte toujours plus haut jusqu’à se glisser sous mon caleçon.
Elle atteint rapidement mes couilles et ma bite qui a commencé à grossir. Elle défait les petit bouton pour sortir ma tige et commence à me sucer goulument pour me faire encore plus raidir. Ses lèvres montent et descendent de plus en plus vite. Elle m’enfonce, à chaque aller retour, plus profondément dans sa bouche.
Elle glisse une de ses mains entre mes cuisses, je les ouvre pour lui laisser un meilleur passage. Elle glisse sa mains dans mon caleçon et me malaxe les couilles tout en continuant à me sucer. Je ne sais pas ce qu’elle veut me demander mais j’aime bien sa façon de me m’amadouer.
Je la fais basculer pour l’allonger sur l’assise du canapé. Je me glisse entre ses jambes puis sous sa nuisette, elle ne porte pas de culotte. Je lèche ses grandes lèvres qui sont surmonter d’un ticket de métro. Une fois qu’elles sont bien ouvertes, je remonte ma langue vers son clito et introduit deux doigts en elle.
Alors que je les fais aller et venir de plus en plus rapidement dans sa grotte bien humide, j’aspire son petit bouton qui se gorge bien de sang. Rapidement je retire mes doigts recouvert de son nectar et j’introduis lentement mon majeur dans son cul. Il y rentre comme dans du beurre alors je l’accompagne de mon index.
Nora préfère la sodomie à la pénétration vaginale, d’ailleurs j’ai posséder son cul avant sa chatte. Alors que mes doigts rentre et sorte rapidement de ses entrailles ma langue se ballade entre son clito et son vagin. Elle a les cuisses bien écartées du coup je m’enfonce assez profondément pour que ma langue et mes doigts se touchent.
Vu tout ce qui dégouline de sa moule, je sais qu’elle adore ce que je lui fait, rapidement elle me redresse et vient s’assoir sur moi en me faisant face. Une fois que je suis bien planté dans son sexe, elle remonte ses pieds sur l’assise du canapé et me chevauche ardemment. Elle fait des allers retours de plus en plus rapide sur ma tige.
Je fais glisser mes mains sur ses fesses, avec la droite je les écarte et mon index gauche reprend la sodomie. Elle m’arrête rapidement puis se soulève pour me faire sortir. Elle reste debout sur le canapé, elle se retourne et replis doucement ses genoux.
Quand elle est assez bas, elle empoigne ma queue est la dirige vers son petit trou. Je sens mon gland bien appuyer sur sa rondelle avant de la déchirer dans un plaisir fort et commun. Elle n’arrête pas de descendre jusqu’à ce que ses fesses se posent sur moi.
Nora pose ses pieds sur les miens et commence à faire onduler son corps tout en contractant ses sphincters. Elle sait que ça me fait un effet fou et continue pendant plusieurs bonnes minutes. Je l’attrape par la taille parce que je sens que la jouissance est proche si elle continue trop longtemps.
Je la fais monter et descendre sur moi assez énergiquement. Elle se penche pour prendre appuie sur mes genoux et se sodomise toute seule. Elle attrape mes mains qui sont toujours sur elle et les fait passer devant. Elle les place au niveau de son entrejambe, je pose automatiquement deux doigts sur son clito.
Alors que je lui masse le petit bouton, je tente de faire aussi rentrer des doigts dans la chatte qui semble avoir pris un bain. Elle mouille tellement, sans compter ses mouvements plutôt brusque, que j’ai du mal à la pénétrer par les deux trous. Je sens son plaisir monter de plus belles, elle se met à gémir comme une folle.
Elle m’enserre tellement avec son cul que je jouis moi aussi en lui remplissant bien les entrailles. Elle continue de se sodomiser toute seule mais plus délicatement jusqu’à me faire complètement déculer. J’ai tellement juter qu’elle coule littéralement sur moi. Elle reste cambrée sur moi et pousse pour évacuer tout ce que je lui ai mis.
Une fois que tout mon sperme est retourné sur l’envoyeur, elle se glisse entre mes cuisses. Elle lèche mon pubis, mes couilles et ma tige pour avaler le mélange de notre jouissance. Maintenant que je suis flasque, elle arrive à me prendre totalement en bouche. Ca fait des semaines qu’elle ne s’est pas déchaîné comme ça sur moi.
Une fois qu’elle vient de nouveau se blottir, je la serre contre moi. Je caresse son coup qui est toujours recouvert de sa nuisette et elle n’a toujours pas lâcher mon costume trois pièces. Maintenant j’ai besoin de savoir ce qui me vaut cet honneur, alors après un moment de silence j’ose enfin lui demander:« Vas y, je t’écoute. Qu’est ce que tu veux me demander? »
Je sens qu’elle est gênée que j’ai compris son manège. Elle se relève caresse mon visage et m’embrasse tendrement. Elle garde ses mains sur mes joues et me dit enfin:« Mes parents vont faire des travaux chez eux. Ils vont occuper notre chambre d’ami pendant une petite dizaine de jours. »Elle m’embrasse de nouveau et attend ma réaction.
Vu que je suis encore sur mon petit nuage, j’accepte sans même trop réfléchir aux conséquences et en espérant que je serai encore récompensé une fois au lit. Nora se lève et va s’affairer dans la cuisine. Je vais la rejoindre pour l’aider et voir ce qu’elle nous prépare quand je pense à lui demander:« Ils arrivent quand? »
A nouveau, grand blanc quand elle ose enfin m’avouer:« Demain. »J’hallucine mais je ne dis rien. Le reste de la soirée est beaucoup moins chaud et agréable. Même si on vit chez elle, je l’ai quand même mauvaise qu’elle me prévienne à la dernière minute.
En plus une fois au lit, elle s’endort rapidement et comme une merde. Je n’en reviens pas c’est bien les femmes ça! Une fois qu’elles ont obtenu ce qu’elles veulent, le quotidien reprend le dessus. Heureusement qu’elle a un corps très excitant. Je m’endors moi aussi pas très longtemps après.
Les premiers jours de cohabitation se passe plutôt bien, comme Rose ne travaille pas, elle s’occupe des courses, le ménage, la bouffe… Gérard lui travaille seulement deux jours par semaine (il n’arrive pas à s’arrêter complètement), le reste du temps il est sur le chantier pour surveiller les ouvriers.
Le mardi qui suit leur arrivée les choses commencent à se compliquer. Mon beau-père nous dit que ça va prendre quelques jours de plus, ce qui veut dire qu’ils vont rester une bonne semaine supplémentaire. Leur présence ne me dérange pas trop mais Nora a un blocage de faire l’amour avec son père qui est dans la chambre mitoyenne. Ce qui veut dire que pour moi, depuis qu’ils sont là c’est ceinture.
En plus il me dit:« Romain, demain et après demain c’est bien les jours que tu as posé? »Comme un con je lui réponds positivement, je commence déjà à le regretter quand il ajoute:« Ca tombe bien, je dois partir pour le boulot pendant ces deux prochains jours. Du coup tu peux aller surveiller le chantier avec Rose? »
Je suis le seul a être étonné de son absence du coup je comprends que je suis encore une fois le dernier a être averti. Je n’ai pas d’autres choix que d’accepter et je me console en me disant que la nuit prochaine il ne serra pas la donc on pourra enfin baiser. Le soir, dans le lit, je tente quand même ma chance mais Nora me repousse avec toujours la même excuse.
Le lendemain, je fais malgré tout la grasse matinée. Quand je me lève, tout le monde est parti alors j’en profite pour me balader nu après la douche. Je me prépare tranquillement, je fais quelques petits travaux qui trainent depuis un peu trop de semaines.
Vers midi je me refais un café et grignote un truc en me disant que je me pointerai vers 13 h chez mes beaux-parents, de toutes les façons les ouvriers sont sûrement en pause. Je me bouge enfin et prends la direction de leur appartement. A peine quelques minutes après j’arrive chez eux.
Je pousse la porte qui ne fait aucun bruit avec la nouvelle moquette qui vient d’être posé. Je n’entends aucune machine en marche, je referme délicatement la porte et rentre dans l’appartement. C’est vrai que c’est le bordel ici et que ça ne sera pas fini dans deux jours comme prévu.
Je vais vers le salon, qui est recouvert de protections plastiques, quand j’entends un bruit qui n’a rien à faire ici. J’enlève mes chaussures et avance encore plus discrètement quand je vois au milieu de la pièce Rose complètement nue et entourée des deux ouvriers qui sont eux aussi à poil.
Le premier la prend en levrette alors qu’elle suce le deuxième, je bande immédiatement. Je n’en reviens pas de ses formes imprévisibles sous ses habits horribles de mamie. Je n’ai jamais imaginé Rose avec un ventre aussi plat et des fesses aussi rebondies. Je dois dire qu’en fait je n’ai jamais imaginé ma belle-mère de cette façon et vu le spectacle qu’elle m’offre je commence à le regretter.
Je glisse la main dans ma poche et je sors mon Nokia 3310, à l’époque c’était ce qu’il y avait de mieux. Je le mets sur appareil photo et je prends quelques clichées d’une main alors que je glisse l’autre dans mon pantalon. Je continue de mitrailler quand le mec qui la prend, se retire, écarte bien les fesses de Rose, crache sur sa rondelle et la sodomise d’un coup sec. Tout ça pendant qu’elle continue de faire glisser ses lèvres sur la tige de l’autre ouvrier.
Quand le premier mec décule, ma belle-mère se retourne pour offrir sa croupe à l’autre et sucer le premier qui vient d’enlever sa capote. Là aussi elle suce langoureusement la bite et les couilles du premier alors que l’autre, après s’être protéger, s’introduit d’abord dans sa grotte que j’espère bien humide. Je n’en peux plus, je sors mon sexe et me branle librement devant se fabuleux spectacle. Quand à son tour il change de trou l’autre se retire de la bouche de la propriétaire.
Je pensais qu’il allait lui faire une éjaculation faciale mais il se retourne, se cambre, écarte ses fesses à deux mains et donne son trou du cul à lécher à Rose. Je ne sais pas si elle est coutumière de cette pratique mais elle met du coeur à l’ouvrage à tel point que le mec gémit de plus belles.
Une fois qu’il s’est bien fait bouffer le cul, il se dégage, retire la protection plastique qui est sur le canapé, entoure son sexe d’une nouvelle et s’assoit jambes serrées. L’autre ouvrier sort du cul de Rose qui se redresse pour aller se sodomiser sur le sexe raide de celui qui est assis. Cette fois au lieu de changer leur position, le deuxième se glisse entre les deux paires de jambes et pénètre lui aussi la seconde femme de mon beau père.
De ma place je n’arrive pas à savoir où est la deuxième bite. Je me décale pour essayer de mieux voir mais ils sont trop collé à elle pour que je vois mieux mais je ne manque de faire aussi des photos. Au bout d’un moment celui qui est debout recule, Rose se soulève, se retourne et empale la tige du premier dans sa chatte et présente ses fesses au second.
Je continue à faire des photos en m’astiquant furieusement. Je me disais bien qu’elle ne pouvait pas se prendre ces deux mats de chairs en même temps dans le cul. Je n’arrive plus à me retenir tellement que mon cerveau bouillonne. Alors que les deux mecs continue de la baiser furieusement je lâche 6 grosses giclées de sperme sur la bâche par terre.
Je me rhabille et me cache un peu alors que Rose, qui n’est plus baisée par personnes, est à genoux. Elle a la bouche grand ouverte alors que les deux ouvriers se branlent devant son visage. Je reprends mon téléphone pour faire les derniers clichés, juste au bout moment parce que le premier vient de lancer deux jets sur le visage de ma belle-mère.
Elle gobe rapidement sa queue pour avaler le reste tout en lui massant les couilles. Pendant ce temps l’autre continue de se branler et éjacule à son tour. Rose sent la première giclée s’écraser sur son visage, elle abandonne la queue qu’elle a dans la bouche. Elle avale cette bite fontaine pendant la troisième.
Elle le suce longuement pour ne plus en perdre une goutte alors quelle branle l’autre sexe qui rétrécit dans sa main. Je recule doucement alors qu’elle finit de nettoyer les deux tiges. Je ressors de l’appartement en fermant très doucement la porte. Une fois dehors je remets mais chaussures et me dépêches de partir.
Je n’en reviens pas de ce que je viens de vivre et surtout voir. En plus j’ai plein de photos pour me rappeler très longtemps de ce moment. Je marche un long moment, perdu dans mes pensées salaces concernant ma belle-mère. Je m’arrête dans un café et je m’assois à une table contre le mur.
Je commande une bière et maintenant que je suis sur que personne ne peut m’épier je sors mon téléphone. Je regarde les imagines l’une après l’autre en revivant la scène. Là aussi je me remets à bander bien que je sois dans un café au milieu d’inconnus. L’heure tourne, je sors mon esprit des photos pour penser à autre chose et j’appelle Nora.
Elle me dit qu’elle ne va pas tarder a quitter son boulot, elle me demande comment avance les travaux chez son père. Je lui réponds que j’ai été très occupé et que je viens de me mettre en route pour l’appartement. Elle n’est pas contente de ma réponse mais c’est toujours mieux que la vérité.
Je finis ma bière et reprends la direction de l’appartement. Quand j’arrive sur place, les ouvriers sont entrain de peindre la pièce dans laquelle ils ont baisé ma belle tout à l’heure. Par contre elle n’est plus là, je discute un peu avec eux mais ne tarde pas à rentrer chez nous.
Quand j’arrive à la maison, Nora et rose discutent dans la cuisine. Dès qu’elle me voit, ma belle mère me dit qu’elle m’a attendu sur le chantier avec un petit ton de repproche. Je lui réponds que je suis désolé mais que j’ai eu un imprévu par contre je lui précisé que j’en reviens. Du coup nous discutons de l’avancé des travaux.
Ma copine s’ennuie alors elle sort une bière du frigo, m’en tend une et en propose une à la seconde femme de son père qui refuse. Elle sort de la cuisine et un instant après on entend le bruit de la télé. Je regarde fixement Rose dans les yeux, elle me demande:« Tout va bien Romain? »Je fais oui de la tête.
Elle continue de cuisiner avec ses habits de grand mère et son tablier alors que je la revois nue se faisant baiser en double. Quand elle sent mon regard sur elle, ma belle-mère se bloque devant moi avec un air interrogateur. Je laisse un blanc et me lance enfin:« En fait je suis venu cet après midi! »
Son regard change complètement et encore plus quand je sors mon téléphone de la poche et que je le remue devant elle en ajoutant:« J’en ai même la preuve en image. »Je ne lui laisse pas le temps de réagir, j’attrape ma bière et je pars rejoindre ma copine, la fille de son mari.
Pendant tout le reste de la soirée, Rose se comporte comme d’habitude. Elle est même encore plus charmante avec moi. Pendant que je mets la vaisselle dans la machine elle se glisse derrière moi en se collant bien. Elle pose sa main sur mon paquet et après m’avoir longuement caressé elle me chuchote à l’oreille:« Apparement je t’excite! »
Elle continue de masser mon sexe qui grossit et enchaine:« Moi ça fait un moment que je me branle en pensant à toi alors si tu veux… »Sans finir sa phrase, elle se décolle et va dire bonne nuit à Nora. Une fois que j’ai fini, je vais rejoindre Nora devant la télé.
Comme je suis très excité et que son père n’est pas là, je lui propose de monter au lit. Une fois que nos corps nus sont collés l’un à l’autre sous la couette, je commence à l’embrasser et la caresser mais elle me repousse. Etonné je lui dit:« Ton père n’est pas là! »« Oui, mais Rose est juste à côté. »
Elle se retourne et éteint la lumière de sa lampe de chevet. Elle s’endort rapidement alors je prends mon téléphone est regarde encore une fois ma belle-mère se comporter comme une salope. Je me branle pour la deuxième fois de la journée, en pensant à ce que je fais lui faire dès j’en aurai l’occasion. Je m’arrête juste avant d’éjaculer pour garder du jus pour demain matin quand je serai seul avec ma belle mère…
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