Séance guidée - et autres dialogues interdits

Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Séance guidée - et autres dialogues interdits
Quelques épisodes de "Dialogues Interdits", série d'histoires complètes ayant pour singularité de ne comporter aucune narration ni didascalie.
Ecrits par Théo Kosma, d'après les confidences de Chloé. Pour tout savoir sur mon univers littéraire, RDV sur mon profil.
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Séance guidée
— C’était une séance artistique de photos de nu. Pas de porno, ni d’érotisme ! Plutôt faire corps avec la nature et tout.
— Le photographe était un homme ?
— Il est bien rare que ce soit une femme.
— De l’art, d’accord. Mais sans le moindre gramme d’érotisme et de séduction j’y crois pas un instant.
— Je ne sonde pas les cerveaux !
— Et dans le tien ?
— Au début j’étais bourrée d’idées. Et il était d’accord de me laisser libre pour les spots, les poses. Et puis très vite… à mon grand étonnement j’ai voulu tout lui laisser faire. J’adorais trop !
— Te faire diriger ?
— Grave. Et que je te place ainsi, tourne la tête lentement jusqu’à ce que je dise stop, je déplace ta main, je tourne ton pied… Ça a duré, duré… J’avais jamais été si docile et soumise, lui se régalait, pour une fois qu’une modèle acceptait tout, était prête à y passer la journée sans jamais se lasser…
— Aucune crainte que ça parte en vrille ?
— Il aurait tenté… Qui sait. Surtout, je pensais que ce serait peut-être pour après. Et puis en fait non. Ça semblait lui suffire !
— Pas toi ?
— Je suis allée le faire avec un autre. En précisant bien ce qui m’avait plu. Et de refaire le même plan, cette fois en mode sexe. Mets-toi là, mets ton bras comme ça, ta jambe comme-ci… pour que je puisse te baiser de telle ou telle manière.
— Une séance de poses… sans photo. T’en fais des heureux !
— Facile quand eux font une heureuse.
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La preuve est faite
— Vraiment ?
— Je te l’atteste à cent pour cent : il en a une petite. Même en érection maximale mais laisse tomber, j’arrivais à tout mettre dans ma bouche jusqu’aux poils pubiens, limite j’aurais pu y ajouter les couilles.
— Et niveau baise ?
— J’ai joui. J’aurais jamais cru.
— Alors aucun doute : tu es amoureuse.
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A un mètre du vice
— Tu te souviens de ce soir du nouvel an, toutes les deux dans la salle de bain ?
— L’année dernière ?
— J’avais… quatorze, et toi douze.
— Tu parles de ce moment qui nous avait tant excitées ? On s’est séchées, et ensuite on s’est collées contre la porte, nues, et on est restées un long moment comme ça. Ce qu’on adorait c’était l’idée que la porte donnait sur le couloir d’entrée, et que tous les invités arrivaient. A moins d’un mètre de nous…
— …Des hommes ! Vêtus, poilus, à la voix grave et à l’odeur de cigare.
— On en avait la chair de poule. On s’en tortillait sur place comme si on avait envie de pisser tellement ça nous faisait mouiller. Hein ?
— Et c’était parti pour durer un sacré bout de temps ! Même que c’est papa qu’est venu toquer. Je me souviens avoir retiré le loquet, pour le plaisir de prendre un risque. Mais il était plus temps de faire les marioles. Papa est toujours sévère les soirs de fête, il veut qu’on fasse tous bonne impression.
— Eh oui… On s’est resapées vite fait puis on a joué notre rôle. Même que la soirée était pas évidente ! Mon intérieur me démangeait toujours. Le tien aussi hein ? Il était plus question de se tortiller. Et impossible d’aller s’éclipser dix minutes pour aller se faire jouir chacune toute seule dans notre coin. Trop louche, trop long.
— Moi je me suis évadée aux toilettes deux minutes pour le faire.
— Je suis pas aussi pratique que toi ! Ni aussi facile, si j’ose dire. Il m’aurait fallu un lit, pouvoir me mettre toute nue, y passer du temps, faire grincer le sommier, faire du boucan… C’était ça ou rien. Donc ce ne fut rien.
— T’en gardes un bon souvenir malgré tout ?
— Il y a du bon dans la frustration. J’adore reproduire ça, d’une façon ou d’une autre. L’autre jour dans les toilettes du resto. Je l’ai fait. A l’abri des regards je me suis mise nue, et suis restée comme ça quelques instants. L’autre jour en allant dormir chez une copine je l’ai fait aussi, dans sa chambre, quand y avait personne.
— Prends pas trop de risques, si tu le fais un jour dans un séjour de jeunes et que tout le monde te grille…
— Je suis très bonne actrice. Si jamais ça arrive un jour je crie de terreur, puis je sanglote et je tremble, en mode petite créature traumatisée. Et là tu verras, personne en rigolera. Je deviendrai la petite protégée du groupe. Personne ne verra en moi la petite salope que je suis…
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Subtil calcul
— Alors fiston, finalement t’es okay pour nous accompagner de nouveau en camping naturiste ?
— Pour cette année ça ira encore.
— Tant mieux ! Tu sais qu’on veut pas te forcer.
— Par contre vous êtes bien d’accord avec ma condition ?
— Rappelle-moi ?
— Celle d’arriver tard le soir.
— C’est ta condition ? Ça ?!?
— La seule et unique, mais indispensable.
— Je m’attendais à pire !
— C’est bon alors ?
— Deal ! Par contre j’aimerais bien savoir pourquoi.
— Pour les filles voyons. Ce que j’aime, moi, c’est les regarder se dévêtir. Si on arrive en pleine canicule comme l’année dernière, vers les quatorze ou quinze heures, elles seront toutes à la piscine, déjà nues comme des lézards au soleil. Tard le soir elles seront rhabillées.
— Jusqu’au lendemain matin.
— Où mes copines débuteront la journée, là aussi, vêtues ! Face au petit vent frais matinal et sa rosée, seuls les gros résistent. Et puis le soleil monte et chaque nouveau quart d’heure les degrés grimpent… et les tissus disparaissent peu à peu. Sans s’en apercevoir mes amies s’effeuillent. D’abord pieds nus… Puis on déboutonne la chemise… puis on la retire… puis on enlève le soutien-gorge, pour les rares qui en portent un… puis on laisse glisser la jupe ou le paréo… et enfin dernière étape pour celles qui portaient une culotte. Le mieux c’est les nouvelles.
— C’est pour ça que t’es aussi matinal lors de nos séjours ? Limite levé aux aurores, et à beaucoup vadrouiller ?
— Voilà. C’est que je ne veux rien rater de cette incroyable procession. Mon pas est vif… Je veux être partout à la fois !
— Et maman qui pensait que c’était dû aux bienfaits du naturisme.
— En un sens elle a raison ! Y a que dans un camping naturiste que je peux vivre ça. C’est juste que c’est sans rapport avec ces théories de développement personnel, d’harmonie avec la nature etcétéra. La réalité est plus crue ! Inutile de le lui dire…
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D'autres dialogues interdits sous peu sur Histoires De Sexe.
Si vous avez lu jusque-là ne me quittez pas sans rien dire : laissez vos impressions en commentaire ! - Théo
Ecrits par Théo Kosma, d'après les confidences de Chloé. Pour tout savoir sur mon univers littéraire, RDV sur mon profil.
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Séance guidée
— C’était une séance artistique de photos de nu. Pas de porno, ni d’érotisme ! Plutôt faire corps avec la nature et tout.
— Le photographe était un homme ?
— Il est bien rare que ce soit une femme.
— De l’art, d’accord. Mais sans le moindre gramme d’érotisme et de séduction j’y crois pas un instant.
— Je ne sonde pas les cerveaux !
— Et dans le tien ?
— Au début j’étais bourrée d’idées. Et il était d’accord de me laisser libre pour les spots, les poses. Et puis très vite… à mon grand étonnement j’ai voulu tout lui laisser faire. J’adorais trop !
— Te faire diriger ?
— Grave. Et que je te place ainsi, tourne la tête lentement jusqu’à ce que je dise stop, je déplace ta main, je tourne ton pied… Ça a duré, duré… J’avais jamais été si docile et soumise, lui se régalait, pour une fois qu’une modèle acceptait tout, était prête à y passer la journée sans jamais se lasser…
— Aucune crainte que ça parte en vrille ?
— Il aurait tenté… Qui sait. Surtout, je pensais que ce serait peut-être pour après. Et puis en fait non. Ça semblait lui suffire !
— Pas toi ?
— Je suis allée le faire avec un autre. En précisant bien ce qui m’avait plu. Et de refaire le même plan, cette fois en mode sexe. Mets-toi là, mets ton bras comme ça, ta jambe comme-ci… pour que je puisse te baiser de telle ou telle manière.
— Une séance de poses… sans photo. T’en fais des heureux !
— Facile quand eux font une heureuse.
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— Vraiment ?
— Je te l’atteste à cent pour cent : il en a une petite. Même en érection maximale mais laisse tomber, j’arrivais à tout mettre dans ma bouche jusqu’aux poils pubiens, limite j’aurais pu y ajouter les couilles.
— Et niveau baise ?
— J’ai joui. J’aurais jamais cru.
— Alors aucun doute : tu es amoureuse.
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A un mètre du vice
— Tu te souviens de ce soir du nouvel an, toutes les deux dans la salle de bain ?
— L’année dernière ?
— J’avais… quatorze, et toi douze.
— Tu parles de ce moment qui nous avait tant excitées ? On s’est séchées, et ensuite on s’est collées contre la porte, nues, et on est restées un long moment comme ça. Ce qu’on adorait c’était l’idée que la porte donnait sur le couloir d’entrée, et que tous les invités arrivaient. A moins d’un mètre de nous…
— …Des hommes ! Vêtus, poilus, à la voix grave et à l’odeur de cigare.
— On en avait la chair de poule. On s’en tortillait sur place comme si on avait envie de pisser tellement ça nous faisait mouiller. Hein ?
— Et c’était parti pour durer un sacré bout de temps ! Même que c’est papa qu’est venu toquer. Je me souviens avoir retiré le loquet, pour le plaisir de prendre un risque. Mais il était plus temps de faire les marioles. Papa est toujours sévère les soirs de fête, il veut qu’on fasse tous bonne impression.
— Eh oui… On s’est resapées vite fait puis on a joué notre rôle. Même que la soirée était pas évidente ! Mon intérieur me démangeait toujours. Le tien aussi hein ? Il était plus question de se tortiller. Et impossible d’aller s’éclipser dix minutes pour aller se faire jouir chacune toute seule dans notre coin. Trop louche, trop long.
— Moi je me suis évadée aux toilettes deux minutes pour le faire.
— Je suis pas aussi pratique que toi ! Ni aussi facile, si j’ose dire. Il m’aurait fallu un lit, pouvoir me mettre toute nue, y passer du temps, faire grincer le sommier, faire du boucan… C’était ça ou rien. Donc ce ne fut rien.
— T’en gardes un bon souvenir malgré tout ?
— Il y a du bon dans la frustration. J’adore reproduire ça, d’une façon ou d’une autre. L’autre jour dans les toilettes du resto. Je l’ai fait. A l’abri des regards je me suis mise nue, et suis restée comme ça quelques instants. L’autre jour en allant dormir chez une copine je l’ai fait aussi, dans sa chambre, quand y avait personne.
— Prends pas trop de risques, si tu le fais un jour dans un séjour de jeunes et que tout le monde te grille…
— Je suis très bonne actrice. Si jamais ça arrive un jour je crie de terreur, puis je sanglote et je tremble, en mode petite créature traumatisée. Et là tu verras, personne en rigolera. Je deviendrai la petite protégée du groupe. Personne ne verra en moi la petite salope que je suis…
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Subtil calcul
— Alors fiston, finalement t’es okay pour nous accompagner de nouveau en camping naturiste ?
— Pour cette année ça ira encore.
— Tant mieux ! Tu sais qu’on veut pas te forcer.
— Par contre vous êtes bien d’accord avec ma condition ?
— Rappelle-moi ?
— Celle d’arriver tard le soir.
— C’est ta condition ? Ça ?!?
— La seule et unique, mais indispensable.
— Je m’attendais à pire !
— C’est bon alors ?
— Deal ! Par contre j’aimerais bien savoir pourquoi.
— Pour les filles voyons. Ce que j’aime, moi, c’est les regarder se dévêtir. Si on arrive en pleine canicule comme l’année dernière, vers les quatorze ou quinze heures, elles seront toutes à la piscine, déjà nues comme des lézards au soleil. Tard le soir elles seront rhabillées.
— Jusqu’au lendemain matin.
— Où mes copines débuteront la journée, là aussi, vêtues ! Face au petit vent frais matinal et sa rosée, seuls les gros résistent. Et puis le soleil monte et chaque nouveau quart d’heure les degrés grimpent… et les tissus disparaissent peu à peu. Sans s’en apercevoir mes amies s’effeuillent. D’abord pieds nus… Puis on déboutonne la chemise… puis on la retire… puis on enlève le soutien-gorge, pour les rares qui en portent un… puis on laisse glisser la jupe ou le paréo… et enfin dernière étape pour celles qui portaient une culotte. Le mieux c’est les nouvelles.
— C’est pour ça que t’es aussi matinal lors de nos séjours ? Limite levé aux aurores, et à beaucoup vadrouiller ?
— Voilà. C’est que je ne veux rien rater de cette incroyable procession. Mon pas est vif… Je veux être partout à la fois !
— Et maman qui pensait que c’était dû aux bienfaits du naturisme.
— En un sens elle a raison ! Y a que dans un camping naturiste que je peux vivre ça. C’est juste que c’est sans rapport avec ces théories de développement personnel, d’harmonie avec la nature etcétéra. La réalité est plus crue ! Inutile de le lui dire…
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