Seccotine
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Seccotine
On l’appelait Seccotine parce qu’elle était collante.
C’était une grande fille en Vespa avec une frange sur le devant une queue de cheval par derrière avec grand noeud virevoltant. Blonde, genre Belge. Duffle coat et jupe au genou, bien faite de hanches et de taille mais avec juste seulement de petits seins de gamine.
Mais quand même bien ronds et bien durs ses petits seins. Enfin pas des seins de matrone, des seins de vraie aventurière qui n’a peur de rien ni de personne. Une femme, une vraie. Flamande de surcroît, Seccotine arborait des seins de plaines foutrement agréables à tripoter d’autant qu’elle ne portait jamais ni soutif ni brassière pour les emballer. C’étaient des seins de grande fille sportive du nord, chaleureuse comme disait Brel dans l’Aventure c’est l’Aventure … de Lelouch.
Et c’est bien ce qu’elle était, Seccotine, une aventurière, journaliste d’investigation au Moustique, journal local.
Mais sûr qu’elle était collante. Tous on pensait ça, extrêmement collante.
Pour tout vous dire, en plus d’être collante elle était toucheuse. C’est à dire que tout le temps elle émaillait ses discours de gestes divers.
Le plus courant était qu’elle touchait la poitrine de son interlocuteur du dos de la main, comme pour dire oui c’est bien à toi que je parle tu es concerné tu dois m’écouter. Pour les interlocuteurs ça allait encore mais les interlocutrices n’appréciaient pas toujours ces atteintes à leur intimité de thorax surtout celles qui compensaient discrètement leur indigence mammaire par des bonnets C lourdement molletonnés.
Mais la variété de ses gestes était inouïe et ce, assurément en toute innocence.
Le plus sympa, c’est quand elle t’attrapait par le cou pour te chuchoter une longue tirade dans l’oreille genre secret ou confidence inavouable. Son odeur de grande fille du nord un peu rousse te montait aux naseaux et ses cheveux te chatouillaient le visage.
Mais on était déçu car ce n’était même pas une avance de flirt léger mais seulement un tic de langage qu’elle pratiquait avec tout un chacun. Tout le temps.
Plus ambiguë était quand elle mettait la main à la taille. Bien qu’alors le geste ait été plutôt léger comme effleurement et non préhensile pour attirer vers soi. Mais souvent là encore certains ou certaines croyaient des choses, s’en réjouissant ou s’en offusquant. Mais en vain car elle était juste comme ça, volubile de ses deux mains.
Tenir par le cou serrer l’épaule était pour elle sorte de marque de complicité de connivence. C’était dire, je suis dans ta ligne de pensée, j’adhère à tes dire…
Quand un garçon tenait des propos érudits et convaincants elle s’approchait, trop, et frottait de son pubis proéminent ventre plat la bosse de braguette du gars. C’était, croyait-on, sans équivoque aucune. Mais non, c’était juste façon de parler. Façon de marquer intérêt à la théorie développée ou accord d’opinion partagée.
Plein de gars s’y croyaient et bandaient ferme des discussions manuelles de Seccotine. Et les filles n’étaient, loin de là, pas en reste, en promenades saphiques immaginées côté Cythère.
Mais Seccotine était aveugle trop innocente trop oie blanche et ne voyait rien des tsunamis libidineux qu’elle provoquait, filant ensuite rapide sur son scooter blanc, blanc et vierge comme ses pensées de vraie jeune fille de BD belge.
Ce qui faisait mouiller Seccotine, c’était l’Aventure et cela seulement.
Mais mouiller sérieux. De vraie coulette qui inondait. La fontaine véritable, généreuse.
Il y a des filles qui mouillent pour la chaleur du baiser d’un garçon ou même juste pour un sourire. Des filles fontaines qui s’épanouissent merveilleusement en compissant leur petite culotte à en tremper totalement le gousset.
Elle était, Seccotine, de ces filles-là, sans retenue aucune.
*
Mais c’est toujours ainsi que ça se passe la vie.
Seccotine un jour en Amazonie a rencontré le mec de sa vie.
Un reportage documentaire histoire du monde.
En fait le mec en question ils étaient deux. Fallait bien ça pour répondre au besoin de vivre de la grande Belgique blonde.
*
Et Frankin en a fait dix albums qui ont enchanté mon adolescence libidineusement perturbée et ont plus tard à l’âge adulte introduit un jour une jolie Flamande très chaleureuse et fort trempée de l’entre-cuisse dans mon lit de jeune homme.
Et alors quand elle me parlait dans sa langue bizarre, toujours elle ponctuait ses discours en m’empoignant le paquet. Et en sus à deux mains.
Et moi j’adorais ça.
De l’influence des BD de l’enfance sur la destinée…
C’était une grande fille en Vespa avec une frange sur le devant une queue de cheval par derrière avec grand noeud virevoltant. Blonde, genre Belge. Duffle coat et jupe au genou, bien faite de hanches et de taille mais avec juste seulement de petits seins de gamine.
Mais quand même bien ronds et bien durs ses petits seins. Enfin pas des seins de matrone, des seins de vraie aventurière qui n’a peur de rien ni de personne. Une femme, une vraie. Flamande de surcroît, Seccotine arborait des seins de plaines foutrement agréables à tripoter d’autant qu’elle ne portait jamais ni soutif ni brassière pour les emballer. C’étaient des seins de grande fille sportive du nord, chaleureuse comme disait Brel dans l’Aventure c’est l’Aventure … de Lelouch.
Et c’est bien ce qu’elle était, Seccotine, une aventurière, journaliste d’investigation au Moustique, journal local.
Mais sûr qu’elle était collante. Tous on pensait ça, extrêmement collante.
Pour tout vous dire, en plus d’être collante elle était toucheuse. C’est à dire que tout le temps elle émaillait ses discours de gestes divers.
Le plus courant était qu’elle touchait la poitrine de son interlocuteur du dos de la main, comme pour dire oui c’est bien à toi que je parle tu es concerné tu dois m’écouter. Pour les interlocuteurs ça allait encore mais les interlocutrices n’appréciaient pas toujours ces atteintes à leur intimité de thorax surtout celles qui compensaient discrètement leur indigence mammaire par des bonnets C lourdement molletonnés.
Mais la variété de ses gestes était inouïe et ce, assurément en toute innocence.
Le plus sympa, c’est quand elle t’attrapait par le cou pour te chuchoter une longue tirade dans l’oreille genre secret ou confidence inavouable. Son odeur de grande fille du nord un peu rousse te montait aux naseaux et ses cheveux te chatouillaient le visage.
Mais on était déçu car ce n’était même pas une avance de flirt léger mais seulement un tic de langage qu’elle pratiquait avec tout un chacun. Tout le temps.
Plus ambiguë était quand elle mettait la main à la taille. Bien qu’alors le geste ait été plutôt léger comme effleurement et non préhensile pour attirer vers soi. Mais souvent là encore certains ou certaines croyaient des choses, s’en réjouissant ou s’en offusquant. Mais en vain car elle était juste comme ça, volubile de ses deux mains.
Tenir par le cou serrer l’épaule était pour elle sorte de marque de complicité de connivence. C’était dire, je suis dans ta ligne de pensée, j’adhère à tes dire…
Quand un garçon tenait des propos érudits et convaincants elle s’approchait, trop, et frottait de son pubis proéminent ventre plat la bosse de braguette du gars. C’était, croyait-on, sans équivoque aucune. Mais non, c’était juste façon de parler. Façon de marquer intérêt à la théorie développée ou accord d’opinion partagée.
Plein de gars s’y croyaient et bandaient ferme des discussions manuelles de Seccotine. Et les filles n’étaient, loin de là, pas en reste, en promenades saphiques immaginées côté Cythère.
Mais Seccotine était aveugle trop innocente trop oie blanche et ne voyait rien des tsunamis libidineux qu’elle provoquait, filant ensuite rapide sur son scooter blanc, blanc et vierge comme ses pensées de vraie jeune fille de BD belge.
Ce qui faisait mouiller Seccotine, c’était l’Aventure et cela seulement.
Mais mouiller sérieux. De vraie coulette qui inondait. La fontaine véritable, généreuse.
Il y a des filles qui mouillent pour la chaleur du baiser d’un garçon ou même juste pour un sourire. Des filles fontaines qui s’épanouissent merveilleusement en compissant leur petite culotte à en tremper totalement le gousset.
Elle était, Seccotine, de ces filles-là, sans retenue aucune.
*
Mais c’est toujours ainsi que ça se passe la vie.
Seccotine un jour en Amazonie a rencontré le mec de sa vie.
Un reportage documentaire histoire du monde.
En fait le mec en question ils étaient deux. Fallait bien ça pour répondre au besoin de vivre de la grande Belgique blonde.
*
Et Frankin en a fait dix albums qui ont enchanté mon adolescence libidineusement perturbée et ont plus tard à l’âge adulte introduit un jour une jolie Flamande très chaleureuse et fort trempée de l’entre-cuisse dans mon lit de jeune homme.
Et alors quand elle me parlait dans sa langue bizarre, toujours elle ponctuait ses discours en m’empoignant le paquet. Et en sus à deux mains.
Et moi j’adorais ça.
De l’influence des BD de l’enfance sur la destinée…
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