COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (11/22)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Le parchemin diabolique (11/22) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (11/22)
Remise de la coupe, tour d’honneur sur les épaules de Luc et Louis pour moi.
J’ai une fesse sur chacune de leurs épaules, ma jupe est courte, heureusement que j’ai remis mon string après avoir baisé avec Alain.
Je suis sûre que les spectateurs et les photographes qui nous précèdent doivent avoir quelles photos à la limite du porno !
Nous rentrons aux vestiaires, inutile de dire que les femmes sont interdites dans un vestiaire, surtout que tous font tomber shorts, sous-vêtements et se montrent à poil devant nous.
Je rigole intérieurement, j’ai déjà vu autant de bites quand je me suis fait sauter le jour de l’entraînement.
Cependant pour Martine, c’est une première, ou elle ne m’a pas tout dit sur sa vie. Bien sûr il y a le club où nous avons mis le bordel, mais là, ce sont des athlètes qui se présentent à nous.
Dans la pièce attenante, il y a une petite piscine pour la relaxation, le président et l’entraîneur se retrouvent à l’eau.

• Martine, Véronique à l’eau, à l’eau !

Nos chevaliers servants, Christian, Corentin, Louis et Luc, se placent entre nous et les joueurs et l’ouverture de la salle d’eau.

• Faite pas les cons, les mecs, respectez nos marraines.
• Laissez les amis, il faut savoir jouer le jeu, si c’est de tradition de balancer les dirigeants à la flotte, pourquoi pas nous.

Plusieurs gars écartent nos chevaliers servants.
C’est Martine qui s'y colle la première, ils la prennent comme un tas de chiffon et la balance à la flotte avant de me balancer aussi.
Martine atterrit dans les bras d’Alain.
Il semble prendre goût à tromper sa femme, ses mains semblant s’égarer.
Quant à moi, c’est sur le bas-ventre de Vincent, le coach, que je me retrouve, j’ai le temps de sentir qu’il bande.
Je bois une tasse, mais Christophe m’a suivi et m’aide à me relever.
J’analyse très vite la situation, je porte ma main à ma chatte, ouf, elle semble être au repos, je sors dégoulinante d’eau.
La tasse bue fait que j’ignore qui m’enlève mes vêtements.
Ce qu’il y a de sûr, c’est que je me retrouve dans la même tenue d’Éve que les garçons en tenue d’Adam.
Martine me suit et nous nous retrouvons dans une folle farandole, les joueurs se mettent à chanter.

• On est les champions, on est les champions.

En tapant sur la table de massage, je tape aussi me faisant mal à la main, avant de sentir que l’on me prend les épaules et que tous, en faisant autant, nous marchons en chantant à tue-têtes.
Comme pour nous dans les tribunes, tous s’arrêtent de chanter, sauf Corentin qui poursuit.

• Ils l’ont eu dans le cul, ils l’ont eu dans le cul, les Lyonnais.

J’ai promis de ne rien dire concernant, qui l’a eu dans le cul.
Je ferme ma bouche, il faudrait me violer pour que je parle.
Je devrais faire attention, je suis nue au milieu d’une trentaine de mecs aussi nus que moi.

• Je m’excuse, les Dijonnais, de vous déranger, je venais vous féliciter au nom de mes gars pour votre victoire.
Mesdames je comprends pourquoi ces hommes moitié moins bons que nous, nous aient battus, voulez-vous devenir nos mascottes ?

Je m’accroche à Christian, Corentin à Martine.

• Merci capitaine, mais nous savons comment les remercier de leur participation à notre victoire.
• Vous avez raison, vous les avez bien mérités !
Une dernière chose, j’ouvrais la porte quand l’un de vous à parler de nos culs ?
• C’est moi, ça te déplaît.

Corentin fait le coq, il se sent fort, le mec est seul.

• Restez cool les mecs, je suis simplement venu vous féliciter, mais si tu veux, on t’attend dans notre vestiaire.

C’est sûr, s’il y va, je n’aurai plus besoin de me taire, cependant il risque de revenir après avoir pris quinze bites dans le cul.

• Merci capitaine, nous nous occupons de notre ami.

Il n’insiste pas et quitte notre vestiaire.

• Les gars, j’étais persuadé que nous allions gagner grâce à nos marraines, j’ai amené quatre bouteilles de champagne.

Christian ouvre les bouteilles, les verse dans la coupe et nous buvons un liquide tiède chacun notre tour.
Louis vient vers nous, je le reconnais, il est nu et j’avais remarqué, chez moi, que sa verge penchait un peu à gauche et comme il a un début d’érection.

• Les filles, vous êtes en forme, le retour va être sanglant.
Je vois que tu regardes ma bite Véronique, Louis dit lui pourquoi quand je vous baise mesdames, je peux aller dans les coins !
• Quand nous étions petits, en nous chamaillant, je lui ai décoché un coup de pied dans les burnes et maintenant, il tire sur le côté.
• Monsieur, il faut vous préparer, le car vous attend, il y aura des sandwichs pour récupérer, mais avant, nous sommes invités à un vin d’honneurs offert par le club d’Oyonnax.
Je vous demande d’excuser les joueurs, mesdames, j’ai mon hôtel près de là si vous voulez vous sécher !
• Inutile président, nous allons leur prêter des survêtements du club, nous avons du rechange dans nos sacs.
Véronique, je vais t’en prêter un, nous avons la même taille.
• Martine, tu auras le mien, nous sommes les deux petits.
• Et le gnome, elle fait presque vingt centimètres de plus que toi, viens me voir Martine, maman m’en a mis un tout propre dans mon sac.

Je regarde ma copine, nous nous comprenons, ces grands garçons, sont encore des bébés pour leur maman, comme Lison l’est pour elle, surtout depuis qu’elle sait qu’elle va être grand-mère.
Pendant le vin d’honneur, je vois un homme s’approcher d’Alain, il sort son portable, le regarde et décroche en partant s’isoler avant de revenir vers les jumeaux blacks et leur parler.

• Messieurs dames, je m’excuse d’interrompre votre fête bien surprenante, mais bien méritée, je viens de recevoir un coup de téléphone m’obligeant à changer mes plans.
• e dois emmener Louis et Luc à Dijon, ils partent pour Toulon demain matin, leur agent vient de signer un précontrat, ils vont passer leur visite médicale. Martine, comme Véronique, vous leur portez chance, je vous emmène avec nous.

Martine me regarde, j’avais bien vu un rapprochement dans la piscine, Nous allons récupérer nos sacs, sans qu’elle le voie, je lui glisse la boîte avec le parchemin dans le sien.
Nul besoin pour moi, de cela pour me faire baiser par les joueurs dans leur délire d’avoir gagné la coupe !
Je vois la voiture partir, nous prenons le chemin du retour, je retrouve ma place à l’arrière.
À côté de moi, Corentin et Christian, lorsque nous passons à côté du car des Lyonnais, ils descendent leur pantalon et leur montre leur cul.
Le bus manœuvre, me laissant le temps d’en faire de même.
De l’arrière, une paire de fesses avec chatte, encadré de deux avec verges, cela doit être du meilleur effet.
Je tourne la tête, tous les garçons semblent bander.
Je me rassois en même temps que Corentin, je lui saisis la verge, le bus s’étant dégagé, je peux commencer à les féliciter à ma manière.
Je commence à sucer, masturber tout ce qui se présente à moi, mais en priorité Christian et Corentin.
J’avale le sperme, j’en prends dans ma chatte, par chance, ils laissent mon anus tranquille, jusqu’à Mâcon où comme le matin il y a une pause, j’allais dire pause café.
Bière plutôt !
Tous partent vers les toilettes et la cafétéria en chantant, non, plutôt en hurlant qu’ils sont les champions, pendant ce temps, je récupère.
Ils ont emmené la coupe, pleine, je vois des femmes boires, je vais peut-être avoir du renfort.

• Pardon madame, voulez-vous me sucer ?
• Je vois tout dans les rétros, je bande depuis des heures.

Je lève la tête, une verge bien noueuse me regarde, le gland est assez gros, c’est celui du conducteur du car.

• Soyez tranquille, j’ai bloqué les portes, on est juste tous les deux.

Il me dit cela sur un ton penaud, je me sens obligé de le prendre en main. Rapidement, je me mets à le sucer avec du mal tellement il est gros.

• Merci madame, c’est la première fois, Marie, ma femme refuse de me faire des fellations.

Encore une qui était certaine de finir cocue.
Il faut satisfaire les penchants des hommes comme je le fais avec Benoît car le fait d’aller en club pour qu’il m’offre à d’autres prouve que tout entre nous est en harmonie.

• Attendez, vous dites qu’on a le temps, laissez-moi me mettre en levrette.
Vous allez me prendre, votre verge est extraordinaire, j’en mouille d’envie.

Je me positionne le torse sur le dossier.
Coup de chance, dans la nuit, nul passage.
Mes seins qui sont bien visibles et il les empoigne quand il me pénètre, j'aime le traitement qu’il leur fait subir, il les malaxe, les triture.

• Enculez-moi si ça vous fait envie, je pense que votre femme vous refuse aussi ce plaisir, j'adore.

Il finit par décharger en moi, me procurant de petites décharges grâce à mes muscles anaux que je fais fonctionner.
Je me rhabille et fais celle qui dort quand les portes s’ouvrent.
Les garçons continuent à chanter, jusqu’à Dijon, tous me laissent tranquille.
Il faut dire qu’ils sont très imbibés.
Même si je m’acharnais, ils auraient du mal à bander.
Nous arrivons au club, le car se gare.
Étant au fond, je vais pour descendre quand le conducteur m’interpelle.

• La situation est étrange, vous m’avez sucé, je vous ai sodomisé, je vous en remercie vous serez le dernier soleil de ma vie.
À part "marraine", j’ignore ton nom.
• Véronique, je suis heureuse de vous avoir connu, je dois rejoindre mon amie.
• Je te comprends, la journée a été longue, je serais toujours à ta disposition si tu as besoin d’un chauffeur et d’un car, appelle les transports Lucas, c’est mon nom, je suis le propriétaire.
Hier, un chauffeur m’a fait faux bond, je l’ai remplacé au pied levé, j’en suis heureux.
• Merci, transport Lucas de Dijon, vous êtes connu, je vous laisse, ma copine arrive.

Je vois sortir Martine des bureaux de la direction, suivie d’Alain le président, elle semble complètement fracassée…

Merci à Anne

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