COLLECTION HISTOIRE COURTE. La remontée (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. La remontée (1/1)
• Tout le monde prévu dans ce car est là, chauffeur vous pouvez rouler, nous allons aller botter le cul à ces Barcelonnais et leur faire voir qu’ « ici, c’est Paris. »
• Ici, c’est Paris.
Ici, c’est Paris.
Ce sont 51 poitrines de supporter des Ultras Paris qui crient ensemble « ici, c’est Paris » au moment du départ pour Barcelone nous venger de deux choses.
L’humiliation que nous avions subie le 8 mars 2017 au Camp Nou qui s’était traduit dans le monde entier du football par un mot dit en espagnol que mes oreilles sont soulées d’entendre.
En bon Français que je suis, je dirais simplement « la remontée » ce que nous allons faire subir aux Catalans après la nouvelle et deuxième humiliation du match allée il y a 5 jours au Parc sur notre terrain de jeu.
De 2017 à 2024 il est hors de question que ces bouffeurs d’oranges et autres fruits muris sous des serres nous infligent la même défaite deux semaines de suites, voire sept années.
Nous sommes de nombreux cars sans compter les mecs pleins de fric prenant l’avion ou leur propre moyen de transport.
J’ai entendu sur mon Iphone que nous étions 2 000 à 3 000 Français dont un grand nombre d’Ultras à prendre la route de cette place forte du football espagnol.
Il y a sept ans, j’étais jeune, j’avais quinze ans et j’étais allé au Camp Nou en voiture conduite par papa relayé par son frère.
Dès la frontière passée nous avions dormi dans la voiture avec retour dès le soir du match, bien triste de ce qui s’était passé.
Le retour s’est fait sans un mot.
J’ignore comment papa avait eu trois places, mais, hélas, il y a trois ans il est mort d’une mort subite, rupture d’anévrisme.
C’est un peu comme un pèlerinage qu’avec Sandra ma copine du moment, je fais ce voyage, espérant suivant comment les choses se présentent lui demander sa main, elle est belle, discrète, mais au lit c’est une bombe.
Tout lui plait, les fellations qu’elle me fait et que je subis avec délectation.
Les positions que j’ai faciles à lui faire prendre et les endroits où nous aimons baiser.
Et que dire de sa poitrine véritable pomme d’amour ayant la particularité d’être ultra sensible comme notre groupe de supporters.
« Ici, c’est Paris ».
Nous sommes à l’arrière du car et c’est lorsque nous roulons que je me rends compte que Sandra est la seule femme dans notre bus.
Il y en avait au moment du départ, mais il semble qu’elles soient montées dans les autres cars de notre cortège.
Que dire de l’allée, au fond du car, nous sommes assis sur la grande banquette, Sandra passe la plus grande partie du voyage blotti dans mes bras ?
Dormir, chanter, dormir, arrêt pour changement de chauffeur, ils sont deux à se relayer et queue aux toilettes des restauroutes.
Ici, c’est le barça, mais au stade olympique le Camp Nou étant en travaux de réfection.
Que dire du match, après l’expulsion de Ronald Araùjo, défenseur des blaugranas,
Surnom des joueurs de Barcelone, une seule équipe sur le terrain, la nôtre.
Avec le respect que je dois à notre adversaire, avoir un nom de fast-food, « Ronald » c’était prendre des risques.
Dans les tribunes ce sont les Parisiens qui font le show, Sandra plus que bien d’autres femmes qui tapissent ces gradins.
Et que dire de la fin du match après le coup de sifflet final, lorsque les joueurs sont venus nous saluer, parmi eux, Kilian.
Kilian Mbappé pour les ignares qui lisent mes lignes sans savoir qui est Kilian.
Deux buts dont un pénalty provoqué après un tacle par un défenseur du cru sur l’ancien joueur du barça Dembélé.
Que dire de plus, retour vers les cars et dans la foule Sandra me lâche la main et je la perds dans la foule des supporters hurlant encore plus fort que lors de notre arrivée ?
« Ici, nous sommes à Paris, » annexant par ces cris, la Catalogne.
Je la cherche désespérément, je croise deux gars que j’avais repérés dans le car à un arrêt sur un air d’autoroute.
Ils l’ont vu il y a peu avec une bande de mecs, qui lui faisait boire de la bière à une baraque à sandwichs, mais c’est tout ce qu’ils peuvent me dire.
L’heure du rassemblement aux cars arrive, je retourne vers le parking, je vois mal rester à Barcelone et de rentrer par un autre moyen.
J’ai déjà cassé ma tirelire pour suivre le PSG surtout que mes vues de mariage avec Sandra, m’ont imposé de lui offrir le voyage.
Ils sont presque tous là devant le car.
Je monte et je vais m’assoir dans le fond près d’une fenêtre pour voir si elle arrive.
Oui, elle est là, c’est impossible, elle se présente au bus les seins à l’air ayant élevé son maillot du PSG qu’elle a dans sa main et qu’elle fait tourner comme elle le ferait avec une serviette.
Lorsque nous sommes venus, lorsqu’elle dormait appuyée sur ma poitrine, j’avais bien senti qu’elle avait un soutien-gorge, là à part son maillot en main, il a disparu.
Elle monte dans le car, je la perds de vue, mais en me penchant elle remonte l’allée.
• Suce salope.
Un gars qui est assis l’intercepte et sortant sa queue, la lui présente.
Sans hésiter, elle la prend dans sa main et se penchant se met à la sucer.
Le gars doit décharger, mais son voisin la tire à lui et ma vue de ce qu’il se passe s’arrête.
Nul doute qu’elle suce le voisin pendant que celui qui vient de se faire sucer lui passe une main dans son entrejambe recouvert par un petit short en Jean.
Nul doute qu’il la doite et qu’elle se laisse faire.
Pour se laisser faire comme ça, elle doit être complètement saoule et a perdu la notion du bien ou du mal.
Des mains nombreuses viennent empirer la situation, son short descend et je peux voir qu’il la relève et qu’elle s’assied sur l’homme de la ranger d’en face.
À tous les coups il la baise, car je vois son visage se pâmant comme elle se pame lorsque c’est moi qui la baise.
Le car vient de partir, mais l’orgie continue, elle finit à quelques mètres de moi sur le milieu de la grande banquette arrière, entièrement nue.
• Christian, j’ai bien bu et je suis bien baisée, tu viens toi aussi, j’ai envie de toi.
Je me fais tout petit, surtout qu’une verge vient de rentrer dans sa bouche et qu’elle le pompe avec avidité.
Combien sont-ils soit à la baiser soit à se faire pomper, je l’ignore, jusqu’à un moment où elle gerbe un grand coup.
Boisson, sûrement de la bière et du sperme finissant à ses pieds et venant éclabousser mes chaussures de basket blanche.
• Ils sont ou...
Ça doit venir du fauteuil devant moi, les mots d’un mec aviné qui essaye encore de chanter.
Ça me réveille, j’ai du mal moi aussi à émerger.
Le car roule dans le silence de cette fin de nuit, un réflexe, je regarde mes chaussures, net comme si quelqu’un les avait nettoyés.
Sandra est dans mon bras, les choses se remettant en place, c’est ma propre bite qu’elle s’évertue à nettoyer comme elle le faisait avec toutes les bites qui passaient à sa portée.
J’ai mon bras autour d’elle, elle a son maillot et je sens très bêtement qu’elle a dû remettre son soutien gorge.
Merde, je bande, mais je réussis à mettre mes idées en place.
Après avoir repassé la frontière et être rentré en France, nous nous sommes arrêtés dans un restauroute, tous chantaient la victoire hommes comme femmes.
Là déjà quelque chose qui cloche, je disais que Sandra était seule dans ce car.
Du siège devant moi, ou les débuts de bruit m’ont réveillé, Paul un copain des Ultras est avec sa maîtresse Jessica.
Je le sais, c’est au Parc des Princes qu’ils se sont rencontrés lors d’un match contre ces putains de Marseillais, elle étant célibataire et lui marié.
Depuis, ils font souvent les déplacements étant autorisés, ils sont de plus en plus rares.
J’ai donc rêvé les débordements de Sandra après cet arrêt et tous les Ultras ont fini par s’endormir de fatigue après la journée, la soirée, la qualification et les kilomètres qui s’accumulent depuis deux jours où nous sommes partis.
Je sais qu’un rêve, même éphémère, ce qui est loin d’être le cas les détails étant très précis, peut se déclencher de manière impromptu.
La fellation qu’elle est en train de me faire a dû déclencher ce rêve où elle se donnait à tous le bus, elle relève la tête et me montre sa main gauche.
• Lorsque tu t’es endormie, je me suis blotti contre toi, j’ai été gêné par cette chose dans ta poche, j’ai passé ma main et j’ai trouvé cet écrin avec cette jolie bague de fiançailles.
Regarde, juste à ma taille, est-elle pour moi ?
• Tait toi et suce, tu as si bien commencé.
Je regarde Charles notre voisin de siège, il fait celui qui dort dans le jour commençant à poindre.
Je me fiche qu’il puisse voir Sandra, cette salope, me sucer dans ce car, elle fait cela tellement bien que ce serait pécher de me priver d’une bonne fellation même si elle est très peu discrète.
Cette bague à son doigt et le plaisir de m’épancher dans sa bouche avant qu’elle garde le moindre décilitre de ma semence, vont faire d’elle ma petite femme chérie. Nous fêterons notre mariage, le soir de PSG Marseille journée ou nous leur mettrons la branlé de leur vie, comme nous le faisons régulièrement.
Je jouis.
• Et ils sont ou les Barcelonnais !
Après la branlé qu’on leur a mis, terminé là remontada, vive la REMONTÉE.
• Ici, c’est Paris.
Ici, c’est Paris.
Ce sont 51 poitrines de supporter des Ultras Paris qui crient ensemble « ici, c’est Paris » au moment du départ pour Barcelone nous venger de deux choses.
L’humiliation que nous avions subie le 8 mars 2017 au Camp Nou qui s’était traduit dans le monde entier du football par un mot dit en espagnol que mes oreilles sont soulées d’entendre.
En bon Français que je suis, je dirais simplement « la remontée » ce que nous allons faire subir aux Catalans après la nouvelle et deuxième humiliation du match allée il y a 5 jours au Parc sur notre terrain de jeu.
De 2017 à 2024 il est hors de question que ces bouffeurs d’oranges et autres fruits muris sous des serres nous infligent la même défaite deux semaines de suites, voire sept années.
Nous sommes de nombreux cars sans compter les mecs pleins de fric prenant l’avion ou leur propre moyen de transport.
J’ai entendu sur mon Iphone que nous étions 2 000 à 3 000 Français dont un grand nombre d’Ultras à prendre la route de cette place forte du football espagnol.
Il y a sept ans, j’étais jeune, j’avais quinze ans et j’étais allé au Camp Nou en voiture conduite par papa relayé par son frère.
Dès la frontière passée nous avions dormi dans la voiture avec retour dès le soir du match, bien triste de ce qui s’était passé.
Le retour s’est fait sans un mot.
J’ignore comment papa avait eu trois places, mais, hélas, il y a trois ans il est mort d’une mort subite, rupture d’anévrisme.
C’est un peu comme un pèlerinage qu’avec Sandra ma copine du moment, je fais ce voyage, espérant suivant comment les choses se présentent lui demander sa main, elle est belle, discrète, mais au lit c’est une bombe.
Tout lui plait, les fellations qu’elle me fait et que je subis avec délectation.
Les positions que j’ai faciles à lui faire prendre et les endroits où nous aimons baiser.
Et que dire de sa poitrine véritable pomme d’amour ayant la particularité d’être ultra sensible comme notre groupe de supporters.
« Ici, c’est Paris ».
Nous sommes à l’arrière du car et c’est lorsque nous roulons que je me rends compte que Sandra est la seule femme dans notre bus.
Il y en avait au moment du départ, mais il semble qu’elles soient montées dans les autres cars de notre cortège.
Que dire de l’allée, au fond du car, nous sommes assis sur la grande banquette, Sandra passe la plus grande partie du voyage blotti dans mes bras ?
Dormir, chanter, dormir, arrêt pour changement de chauffeur, ils sont deux à se relayer et queue aux toilettes des restauroutes.
Ici, c’est le barça, mais au stade olympique le Camp Nou étant en travaux de réfection.
Que dire du match, après l’expulsion de Ronald Araùjo, défenseur des blaugranas,
Surnom des joueurs de Barcelone, une seule équipe sur le terrain, la nôtre.
Avec le respect que je dois à notre adversaire, avoir un nom de fast-food, « Ronald » c’était prendre des risques.
Dans les tribunes ce sont les Parisiens qui font le show, Sandra plus que bien d’autres femmes qui tapissent ces gradins.
Et que dire de la fin du match après le coup de sifflet final, lorsque les joueurs sont venus nous saluer, parmi eux, Kilian.
Kilian Mbappé pour les ignares qui lisent mes lignes sans savoir qui est Kilian.
Deux buts dont un pénalty provoqué après un tacle par un défenseur du cru sur l’ancien joueur du barça Dembélé.
Que dire de plus, retour vers les cars et dans la foule Sandra me lâche la main et je la perds dans la foule des supporters hurlant encore plus fort que lors de notre arrivée ?
« Ici, nous sommes à Paris, » annexant par ces cris, la Catalogne.
Je la cherche désespérément, je croise deux gars que j’avais repérés dans le car à un arrêt sur un air d’autoroute.
Ils l’ont vu il y a peu avec une bande de mecs, qui lui faisait boire de la bière à une baraque à sandwichs, mais c’est tout ce qu’ils peuvent me dire.
L’heure du rassemblement aux cars arrive, je retourne vers le parking, je vois mal rester à Barcelone et de rentrer par un autre moyen.
J’ai déjà cassé ma tirelire pour suivre le PSG surtout que mes vues de mariage avec Sandra, m’ont imposé de lui offrir le voyage.
Ils sont presque tous là devant le car.
Je monte et je vais m’assoir dans le fond près d’une fenêtre pour voir si elle arrive.
Oui, elle est là, c’est impossible, elle se présente au bus les seins à l’air ayant élevé son maillot du PSG qu’elle a dans sa main et qu’elle fait tourner comme elle le ferait avec une serviette.
Lorsque nous sommes venus, lorsqu’elle dormait appuyée sur ma poitrine, j’avais bien senti qu’elle avait un soutien-gorge, là à part son maillot en main, il a disparu.
Elle monte dans le car, je la perds de vue, mais en me penchant elle remonte l’allée.
• Suce salope.
Un gars qui est assis l’intercepte et sortant sa queue, la lui présente.
Sans hésiter, elle la prend dans sa main et se penchant se met à la sucer.
Le gars doit décharger, mais son voisin la tire à lui et ma vue de ce qu’il se passe s’arrête.
Nul doute qu’elle suce le voisin pendant que celui qui vient de se faire sucer lui passe une main dans son entrejambe recouvert par un petit short en Jean.
Nul doute qu’il la doite et qu’elle se laisse faire.
Pour se laisser faire comme ça, elle doit être complètement saoule et a perdu la notion du bien ou du mal.
Des mains nombreuses viennent empirer la situation, son short descend et je peux voir qu’il la relève et qu’elle s’assied sur l’homme de la ranger d’en face.
À tous les coups il la baise, car je vois son visage se pâmant comme elle se pame lorsque c’est moi qui la baise.
Le car vient de partir, mais l’orgie continue, elle finit à quelques mètres de moi sur le milieu de la grande banquette arrière, entièrement nue.
• Christian, j’ai bien bu et je suis bien baisée, tu viens toi aussi, j’ai envie de toi.
Je me fais tout petit, surtout qu’une verge vient de rentrer dans sa bouche et qu’elle le pompe avec avidité.
Combien sont-ils soit à la baiser soit à se faire pomper, je l’ignore, jusqu’à un moment où elle gerbe un grand coup.
Boisson, sûrement de la bière et du sperme finissant à ses pieds et venant éclabousser mes chaussures de basket blanche.
• Ils sont ou...
Ça doit venir du fauteuil devant moi, les mots d’un mec aviné qui essaye encore de chanter.
Ça me réveille, j’ai du mal moi aussi à émerger.
Le car roule dans le silence de cette fin de nuit, un réflexe, je regarde mes chaussures, net comme si quelqu’un les avait nettoyés.
Sandra est dans mon bras, les choses se remettant en place, c’est ma propre bite qu’elle s’évertue à nettoyer comme elle le faisait avec toutes les bites qui passaient à sa portée.
J’ai mon bras autour d’elle, elle a son maillot et je sens très bêtement qu’elle a dû remettre son soutien gorge.
Merde, je bande, mais je réussis à mettre mes idées en place.
Après avoir repassé la frontière et être rentré en France, nous nous sommes arrêtés dans un restauroute, tous chantaient la victoire hommes comme femmes.
Là déjà quelque chose qui cloche, je disais que Sandra était seule dans ce car.
Du siège devant moi, ou les débuts de bruit m’ont réveillé, Paul un copain des Ultras est avec sa maîtresse Jessica.
Je le sais, c’est au Parc des Princes qu’ils se sont rencontrés lors d’un match contre ces putains de Marseillais, elle étant célibataire et lui marié.
Depuis, ils font souvent les déplacements étant autorisés, ils sont de plus en plus rares.
J’ai donc rêvé les débordements de Sandra après cet arrêt et tous les Ultras ont fini par s’endormir de fatigue après la journée, la soirée, la qualification et les kilomètres qui s’accumulent depuis deux jours où nous sommes partis.
Je sais qu’un rêve, même éphémère, ce qui est loin d’être le cas les détails étant très précis, peut se déclencher de manière impromptu.
La fellation qu’elle est en train de me faire a dû déclencher ce rêve où elle se donnait à tous le bus, elle relève la tête et me montre sa main gauche.
• Lorsque tu t’es endormie, je me suis blotti contre toi, j’ai été gêné par cette chose dans ta poche, j’ai passé ma main et j’ai trouvé cet écrin avec cette jolie bague de fiançailles.
Regarde, juste à ma taille, est-elle pour moi ?
• Tait toi et suce, tu as si bien commencé.
Je regarde Charles notre voisin de siège, il fait celui qui dort dans le jour commençant à poindre.
Je me fiche qu’il puisse voir Sandra, cette salope, me sucer dans ce car, elle fait cela tellement bien que ce serait pécher de me priver d’une bonne fellation même si elle est très peu discrète.
Cette bague à son doigt et le plaisir de m’épancher dans sa bouche avant qu’elle garde le moindre décilitre de ma semence, vont faire d’elle ma petite femme chérie. Nous fêterons notre mariage, le soir de PSG Marseille journée ou nous leur mettrons la branlé de leur vie, comme nous le faisons régulièrement.
Je jouis.
• Et ils sont ou les Barcelonnais !
Après la branlé qu’on leur a mis, terminé là remontada, vive la REMONTÉE.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il faut profiter de l'instant présent
Mon cher ami fan du PSG...
Elle a pris cher la petite Sandra...
Merci pour ce recueuil....
Cyrille
Elle a pris cher la petite Sandra...
Merci pour ce recueuil....
Cyrille