COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (161)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (161) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (161)
Encore une fois, je sens que je vais devoir m’impliquer.
Mais pour qui, pour quoi ?
Suis-je en train de faire une rechute dans mon amnésie et si c’est le cas, combien de jours d’années ou de mois cela va durer, il va falloir que j’en parle à mon amie, comment s’appelle-t-elle déjà ?
Mais si la doctoresse avec qui j’ai passé la nuit sur les bords d’une rivière de la région... ou nous habitons.
« Zip ».
C’est le bruit qu’il semble se faire dans ma tête et tout me revient.
La doctoresse, la jolie Amandine et la rivière c’est la marne qui se jette dans la seine à Charenton, ton, ton.
Pourquoi cette rengaine, « Charenton, ton, ton, » me trotte dans la tête, comme Joinville le pont, pont, pont, il va falloir que j’en parle à Amandine ?
J’ai suivi Agathe dans sa cuisine, elle est magnifique dans son peignoir en soie, Japonais.
J’aurais voulu trouver un modèle plus classique, mais ça lui va bien.

• Agathe, peux-tu me dire qu’elles sont tes revenus ?
• Je commence à bien t’aimer, tu m’as fait voir qu’à mon âge et mon veuvage, la vie est encore pleine de charme, mais là tu vas trop loin, mes revenus me regardent.

M’emportais-je déjà facilement avant Moscou et la balle reçue dans ma tête, je l’ignore, il faudra que j’en parle à Virginie, elle doit savoir, la fille que j’étais avant puisque je suis l’une de ses créatures.
Je la prends par les cheveux et je lui tire la tête en arrière, nous sommes relativement de même taille, ma bouche vient à la hauteur de la sienne.

• Agathe, ma patience à des limites, j’essaye d’orienter ta vie pour que tu profites des bons moments qu’il te reste à vivre, surtout que tu dois pouvoir devenir centenaire, mais trop c’est trop.
Ce jeune homme Florentin a des ennuis d’argent pour finir ses études et toi ton seul souci, ce sont tes revenus.
Je croyais que lorsque nous nous sommes rencontrées dans l’ascenseur, je t’avais fait comprendre qui commandait ici.
Quiqui au pied, je démarre le four, tu vas faire un joli gigot après que je t’aurais vidé les tripes.

Bien sûr même si le ton a monté, Quiqui lui ayant déjà compris que sa maîtresse était plus soumise qu’active ce garde bien de venir de nouveau rencontrer mon pied.
Agathe fond en larmes, je lui relâche les cheveux, j’étais à deux doigts de la scalper.

• C’est bon Christine, tu as raison, c’est mon naturel qui revient au galop, je touche...
• Inutile de me donner les détails, donne-moi le total ?
• Environ 8 000 € grâce à ces chambres que Paul a rénovés pour que nous les louions.
• 8 000 et tu fait une histoire pour un petit loyer, voir deux ou trois.
Nous allons te quitter, fait manger Florentin et fait le nécessaire pour qu’il continue ses études, tu auras tout à y gagner si tu réussis.
Je repasse dans deux jours, j’aurais peut-être une proposition à te faire pour que tes revenus soit bien plus important que maintenant.
Je te note sur cette ardoise à cours, le numéro d’Anne qui gère mon institut de beauté, je vais la prévenir qu’elle te donne un rendez-vous pour s’occuper de ta forêt vierge et des soins du visage.

Agathe ouvre le frigo, j’ai noté le numéro pris sur mon portable et alors qu’elle apporte un plan de petit salé aux lentilles au jeune homme, nous quittons l’appartement.

Deux jours ou je préviens Anne du coup de fil qu’elle doit recevoir je l’espère d’Agathe, deux jours ou je joue avec des gogos esseulés qui doivent se masturber comme je le fais devant ma webcam.
Je suis la vie de Mira et Georges, à tout moment la jeune femme trouve le moyen de baiser avec son mari et d’autres partenaires.
Lorsque j’ai commencé de me prostituer, si ce système de vidéo réalité avait existé aurais-je suivi Virginie dans ses pratiques sexuelles moyennant quelques beaux billets.
Je m’habille seulement pour me faire conduire près de mon notaire.
Ce dernier était en école pour remplacer son père qui s’occupait avant lui de mes affaires.
Brian, c’est le nom sur sa plaque toute neuve lorsque je le rencontre sur les bords Seine où il a son étude.

• Mon père m’a confié son étude depuis qu’il a décidé de prendre du recul !
Qu’est-il arrivé à la cathédrale Notre-Dame, il la rénove ?

Il me regarde comme si j’étais, comment appelle-t-on ces objets venus d’ailleurs, encore ma tête qui me joue des tours.

• L’incendie de la cathédrale de Paris, vous étiez dans la stratosphère, vous êtes un ovni.

Ovni, voilà le nom que je cherchais, je me sens obligé de lui expliquer en partie ce qu’il m’est arrivé.

• Vous avez vu l’heure, je sens que votre histoire va me passionner et si je vous invitais au restaurant, je pourrais mieux vous connaître si je dois continuer à m’occuper de vos biens.
J’ai demandé de m’apporter votre dossier avant notre rendez-vous et j’ai de nombreuses questions à vous poser.

Bien sûr que j’accepte un déjeuner, le mien est loin, ce matin je suis descendu, car j’avais peu dormi Mira s’étant fait baiser une grande partie de cette nuit.
Georges bien sûr et un couple ayant invité, Tyrone et Cindy, ce devait être des Suisses Allemand, car toute cette nuit ils ont parlé dans la langue de Goethe.
Mira est comme moi, c’est une bi-sexuelle et avec Cindy, je me masturbais en les regardant se gouiner.
Georges baisait Cindy et Tyrone, Mira, bref ils ont partouzé devant les caméras une bonne partie de la nuit.
Ces questions que Brian me pose, trouvent réponse dès que je lui explique mon accident russe, j’ai beau en dire le moins possible sur l’origine de mes revenus, je comprends à un moment qu’il a compris que je suis une pute.

• Je dois t’aider à blanchir ces revenus venant de nombreuses opérations que vous réalisez dans votre activité.
Je suis libre cette après-midi, il faut bien prendre du bon temps de temps en temps.
J’ai un petit pied à terre dans un immeuble voisin, tu pourrais venir voir les travaux déjà réalisés sur la cathédrale.
Elle va reprendre ses messes après un exploit de restauration, avant décembre 2024.
J’ai lu dans le journal que la flèche de Viollet-le-Duc tombé dans les flammes de l’incendie reconstruit à l’identique sera débarrassée de son échafaudage qui nous la cache encore.

Je pourrais lui dire, que pour quelques milliers d’euros, il pourrait m’avoir à sa disposition.
Mais je vois mal monnayer mes charmes, même si à part ma tête si j’étais amené à enlever la perruque rousse que j’ai mise avant de rejoindre son étude, mes charmes sont toujours là.
Baiser et prendre du plaisir, Brian étant plutôt beau gosse et surtout je sais que j’aurais besoin de lui pour signer les actes officiels.
Ces immeubles anciens, d’un bout à l’autre de Paris semblent les mêmes et c’est par l’escalier que nous arrivons chez lui.
Il m’a pris la main, j’ai une pensée pour William, jardinier préféré de la maison de repos, mais je suis une salope et comme telle, une bite à ma disposition c’est mieux que celles des garçons que j’ai vu cette nuit au gré des caméras.

Depuis que l’on se connaît, vous savez tous, qu’en amour tout est réalisable pour moi, sucer cette bite qui m’est offerte, je m’en régale avec ma langue et mes lèvres.
Il me couche sur son lit, il doit avoir une femme de ménage, je le vois mal faire son lit en ce levant le matin avant de retrouver son étude.
Comme il est dit, lorsque l’on aime, il est dur de compter, mais c’est dans ses bras qu’il me guide jusqu’à la rambarde de la fenêtre de sa salle, à part les ouvriers à quelques centaines de mètres de nous, personnes pour nous voir.
Je peux rester nue sentant sa queue vider d’une grande partie de son sperme le long de mes fesses.
Ses bras entourent mes seins reçoivent ses mains avec plaisir, on sait que du côté sein je suis bien pourvu et que surtout et qu’ils sont ultra sensibles.
Comme Brian me l’a dit, justifiant ma présence devant cette fenêtre, morceau par morceaux, l’échafaudage qui entourait cette magnifique flèche, libère ce joyau du savoir-faire français.
Le coq trônant à son sommet est déjà visible et brille dans le soleil de cette après-midi ensoleillé.
À la hauteur où il se trouve, il aura la chance jusqu’à ce que l’on décide de le remplacer, il évitera d’avoir ses pieds dans la merde.
Un coup de Klaxon dans la rue longeant notre fenêtre.
Là encore on sait que j’aime être nue et j’aime à penser que dans ce camion de livraison qui vient de passer un jeune homme aura eu la vision de ma nudité.
Brian m’embrasse dans le cou, je me pame, surtout que je sens sa queue recommencer à bander.
Il serait un client au lieu que ce soit moi qui le sois, je pourrais penser que c’est du temps perdu à recommencer à le satisfaire, mon enveloppe étant déjà dans mon sac.
Ma mémoire est bien là de cette première fois où je croyais me donner à un autre homme que Pierre mon mari, alors que c’était Virginie ma marraine qui avait tout organisé.
Ça parait à des lustres surtout avec la coupure de cinq ans dus à mon accident augmente cette durée.
Mais je me souviens des billets posés sur la table de nuit lorsque je me suis réveillé repu de sexe, mais aussi plus riche de cet argent de ce qui devait devenir ma première passe.
Baiser debout devant une fenêtre ouverte avec seulement une grille en fer forgé ou vous posez vos mains tendant votre cul, vous séparant du sol.
Vous avez tendance à avancer votre buste et vous pouvez voir les passants courant dès la sortie de leur boulot pour rejoindre un mari pour les femmes et surtout torcher leurs gosses.
Je vous laisse, me faisant ramoner de plus en plus vite, lorsque je lève la tête frappée par un orgasme, un morceau d’échafaudage quitte Notre-Dame de Paris.
À tout point de vue, je suis en première ligne, dans la reconstruction de la grande dame dont j’ignorais qu’elle avait brûlé et me mordant la lèvre pour éviter aux passants de voir une salope se faire mettre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je suis fan de tes narrations...


Cyrille



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