COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (27/30)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (27/30) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (27/30)
J’ai cru un instant qu’en voulant aider Éloise à nettoyer le vieux port de Cannes, je pouvais mourir en ayant touché avec l’une de mes palmes, un objet non identifié potentiellement une bombe de la dernière guerre.
Ouf, Éloise ayant plongé à ses risques et périls, nous rassure, mais se trouve dans l’obligation de prévenir police et mairie, une moto se trouve au fond du vieux port.
Une moto, mais une grosse moto une 1000 kawas très insolite étant donné le prix d’un tel engin.
Surtout que lorsque la capitainerie du port la sort de l’eau, elle semble en bon état malgré le temps passé sous l’eau.
Je sais de quoi je parle, j’en regarde souvent à Paris chez un concessionnaire voisin de mes parents, étant toute plus belle les unes que les autres.
Je rêve de m’en acheter une, mais préalablement il faut que j’aie les moyens d’en acheter une.
Roland, le policier amant d’Annie et spécialiste des plugs dans son anus est parti visionner les bandes de sécurité enregistré par une caméra fraichement installée sur le port suite à des effractions dans diverses embarcations.
Un certain temps se passe lorsque Michelle connue à Cannes pour ses tenues et surtout son Borsalino lui ayant valu le surnom d’Éliot Ness, reçoit de son adjoint une photo qu’elle me montre.

• Merde Michelle, cet homme sur ce hors-bord ayant posé un casque rouge sur le tableau de bord, c’est Guillaume D !
C’est l’homme qui est venu au commissariat, lors de notre rencontre, récupérer son portefeuille que des jeunes pickpockets lui avaient dérobé !

Le monde est petit, je comprends mieux les attaques et les insultes qu’il a proféré dès qu’il a été en ma présence et aussi celle de madame la commissaire.
Certainement une réaction de peur, pensant qu’il était convoqué après le vol à main armée, qu’il avait commis lors du salon des alliances.

• Madame Éliot Ness, avec Adrien, nous nous fiançons ce soir.
• Éliot Ness, elle est gentille la petite !
Heureusement que je sais que dans la ville, mes adjoints m’ont affublé de ce surnom avec la façon dont je m’habille et surtout mon Borsalino.
Que veux tu, je suis contente d’apprendre que vous allez vous fiancer ?
• Avec Adrien nous nagions de l’autre côté des pontons, nous venons d’apprendre ce que Christian et Ariane avait découvert.
Est-il possible de vous laisser, car sinon nos familles vont s’inquiéter de notre retour ?
• Et vous êtes pressé d’aller faire la bêtise de votre vie !
Je rigole, il va de soi, oui, vous pouvez nous laisser, je vous convoquerais si j’ai besoin de renseignements complémentaires.
• Isabelle, je reste ici sur me quai près d’Ariane et Christian, vous pouvez vous baigner dans le Jacuzzi, je l’ai programmé pour qu’il soit à bonne température à cette heure !
• Merci Éloise, nous sommes contents de t’avoir été utiles, j’espère que le film que nous avons fait plaira.

Isabelle et Adrien remonte à bord, je suis fière d’avoir aidé ma maitresse à élucider un mystère.
Je serais bien remonté me tremper dans le Jacuzzi avec le jeune couple, mais lorsqu’ils redescendent, ils ont du tout juste avoir le temps de se tremper afin d’évacuer la saleté des eaux du port.
Pour ma part, j’aurais profité de ce bain bouillonnant pour serrer de prêt cette petite future fiancée.
Ils viennent de démarrer sur chacune de leurs motos lorsque le portable de Michelle se met à sonner.

• Commissaire, c’est Roland, nous sommes à l’appartement de...

J’entends très distinctement le bruit d’un tir d’armes à feu, même plusieurs à répétition.

• Commissaire, j’ai cru bien faire en venant rapidement chez notre suspect, il aurait pu nous échapper.
Je connaissais son adresse lorsque j’étais venu le chercher pour qu’il récupère son portefeuille.
Lorsqu’il nous a vu, il a couru vers sa salle avant de se retrancher au fond d’un couloir et nous tirer dessus.

La guerre des polices, à la tête de Michelle, je vois très nettement qu’elle est contrariée de l’intervention de son adjoint, Roland.
Je sens nettement qu’il a voulu prendre de vitesse Éliot Ness et se faire mousser devant ses supérieures en interpelant le suspect, car même si on le repère clairement sur le film de la caméra de surveillance, il est présumé innocent.

• Lieutenant, je vous intime l’ordre d’éviter tout contact avec notre suspect.
Repliez-vous vers la porte de sortie de l’appartement de cet homme dangereux.
Vous savez qu’une balle perdue risque rapidement de vous ôter la vie, j’ai payé pour le savoir.
Je contact mes supérieurs à Paris et le préfet, ils vont envoyer le GIGN, ce genre d’intervention est de leur domaine.
Si vous avancez, je serai obligé de faire un rapport pour votre prise malheureuse d’initiative de votre part.

Michelle se tourne vers nous.

• Vous pouvez disposer, je vous convoquerais si nécessaire, surtout toi Christian, tu es notre principal témoin dans cette affaire.

C’est ainsi que nous remontons tous les quatre à bord et qu’après avoir ôté nos combinaisons, Éloise nous conduit jusqu’au Jacuzzi dont l’eau bouillonnante.
Nous franchissons le bord, le départ d’Isabelle et Adrien s’étant déjà baigné nous facilite la tâche, le Jacuzzi à quatre places.
À ma droite, Ariane, à ma gauche Christophe qui a tendance à me regarder avec les « yeux de l’amour » et face à moi Éloise.
Savon liquide posé sur les bords, nous nous savonnons rendant rapidement l’eau opaque en plus du bain bouillonnant et massant.
C’est à ce moment que je sens une main sur ma cuisse droite, j’analyse rapidement qu’à part celle d’Ariane, Christophe reste sage à se savonner.
Erreur, sur ma gauche, une autre main vient directement se poser sur ma queue.
Le regard de Christophe en plus de la position de cette main en dit beaucoup sur son propriétaire.
J’en ai la preuve lorsque celle sur ma cuisse droite vient rejoindre mon sexe et qu’Ariane sentant la place déjà prise se penche légèrement pour regarder Christophe.
C’est à ce moment que je décide d’intervenir surtout que ma queue se redresse.
Je saisis doucement la main de celui qui tente sa chance en essayant de me masturber et de la reposer sur sa cuisse.
Étant très proche et malencontreusement ma main effleure le sexe de ce grand garçon, il bande.
Je le relâche, un petit coup de tête entre nous surtout de ma part et ce grand dadais comprend que de mon côté, la porte vient de se refermer.
Je me retourne vers Ariane, elle me sourit, son sein est libre et je me l’approprie.
Je vois déjà les pisse-froids, j’ai baisé la mère et j’ai envie de me faire la fille.
Eh oui, j’apprends rapidement depuis ce début, bien qu’elle commence à avancer, de ces premières vacances de rêve.
Lorsque avec Gabriel, nous baisions la belle Lauriane, nous posions nous des questions sur le fait qu’elle soit mariée avec Hugo !
Nadia, la femme de Pierre, ai-je eux autant de scrupule que ça à la sauter sur le lit en rotin du bord de la piscine.
Sans parler de Georgette, qui plus est, la plus âgée depuis mon dépucelage à l’hôtel avec ma vieille anglaise.
À bien y regarder, seule Michelle, était une femme libre avec celle qui regarde cette scène semblant s’en amuser, Éloise.
Les filtres doivent faire leur effet, car le savon a tendance à disparaitre remplacée par de petits jets massant et certainement rinçant.
Ariane, loin de ces pensées philosophiques, vient sur moi et s’empale sur ma queue.
C’est seulement dans les pornos, que les acteurs sur un plan ont leur verge vierge de toutes capotes et l’instant d’après sont couverts.
Oui, la Chippie mon amie, tout Christian que je suis, je prends mes risques bien qu’à cet instant, j’ai d’autre chat à fouetter.
J’embrasse Ariane alors que je sens qu’elle décompresse certainement de la frayeur que nous avons eux lorsque Éloise nous prévenait du risque de bombe.
À un moment je peux voir cette dernière, Christophe est dans ses bras plus comme une mère protégeant son poussin, que la femme fougueuse que j’ai baisée chez mes amis.
Ils se lèvent, sortes de l’eau et notre amie essuie celui qui avait des vues sur moi.
Ariane est au bord de l’extase lorsque Éloise nous appelle.
Elle se détache de moi, je la suis, des peignoirs de bain nous attentent.
Je suis celle qui vient de m’offrir sa chatte comme sa mère l’avait faite, c’est la première fois que je descends dans le pont inférieur du yacht.
Incroyable comme tout est bien calculé, dans la chambre que nous pénétrons, les architectes ont même réussi à y mettre un lit plus grand que le lit dans lequel je couche chez Pierre et Nadia.
Christophe est dans les bras d’Éloise, me serais-je trompé sur ses mœurs, est-il bi et va-t-il faire l’amour à la commandante du bateau.
Nous les rejoignons, ils sont nus, nous en faisons de même, je retrouve celle qui était arrivée en tenue de cycliste, elle m’embrasse, mais je sens une main directement sur ma queue.
Étrange, je sais que c’est la main de Christophe qui vient me caresser, je l’ai repoussée tout à l’heure sous l’eau bouillonnante, là, je me laisse faire.
Je caresse Éloise et c’est deux langues qui entourent ma verge.
Nul doute que l’une d’elles est féminine et l’autre masculine, mais la sensation est la même, je bande au mieux que je le peux.

Voilà, je suis un peu honteux, suis-je devenu un introverti lorsque d’un coup, mon sperme de manière incontrôlé s’échappe de ma verge.
Suis-je hétéro, homo ou bi lorsque Christophe reçoit mon sperme au fond de sa gorge ?
Je me pose des questions lorsque je fuis ce yacht ou j’aurais eu cette expérience que certains diront « contre nature » du moins pour moi qui étais plein de certitudes effacées en quelques secondes.
J’entre chez mes amis, le portail a dû être graissé, le petit couinement ayant disparu.
Je rentre, tous sont couchés, je rejoins ma chambre lorsque la faim me rappelle qu’avec tous ses évènements, j’ai oublié de manger.
La cuisine me reçoit, j’ouvre le frigo et je me fais un sandwich au pâté avec un verre de rosé de Provence frais.
Je le déguste appuyé sur le plan de travail central faisant aussi office de table, lorsque des bras m’enserrent.
J’ai un moment de panique, mon suborneur m’aurait-il suivi !...

Les avis des lecteurs

J aime ta passion pour mon personnage...

Histoire Erotique
Que de découvertes agréable pour notre cher Christian...
Ce doit être bon de découvrir cette sensation bi dans un moment si intense...

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (27/30)
Histoire sexe : Une rose rouge
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