Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 6 : Ma progression de soumise (3)

- Par l'auteur HDS Maitre-Guy -
Récit érotique écrit par Maitre-Guy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mère et fille soumises au même Maître     Chapitre 6 : Ma progression de soumise (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 6 : Ma progression de soumise (3)
Guy me dit aussitôt :- Je te parie que c'est Emma !
Il avait raison.J'ai décroché et j'ai mis aussi l'amplificateur de son, comme il me faisait signe de le faire. Nous avons entendu tous les deux la voix rieuse de ma fille qui disait :- Bonjour, Maman ! Je suis prêt à parier que tu t'es encore fait remplir le cul, comme tu me l'as dit, pas notre voisin du dessus.
Nous avons souri tous les deux mais c'est Guy qui a répondu :- Bonjour, Emma ! Tu as raison mais en ce moment c'est plutôt dans le sexe de ta maman que je suis. Elle a une folle envie de faire l'amour. Nous allons faire ensemble quelque chose d'original.
Le silence de ma petite me faisait penser qu'elle attendait, pour savoir ce qu'elle allait devoir faire. Guy a repris :— Es-tu seule, Emma ? Et certaine de ne pas être dérangée ?
Un petit « Oui ! » tout timide sortit du haut-parleur.
— Parfait ! Voilà ce que tu vas faire. D'abord, mets toi nue comme l'est ta maman. J'espère que tu aimes te masturber, Emma ?
Un second « Oui ! » prononcé avec la même intensité que le premier arriva à nos oreilles.
— Très bien, alors quand tu seras nue, tu me le diras et je t'expliquerai ce que tu devras faire. D'accord ?
Nous avons entendu, par le biais du haut-parleur, des bruits de tissu qui se froissait. Enfin Emma répondit :— Voilà, je suis prête, que voulez-vous que je fasse ?
En moi-même, je frissonnais : ma fille, comme moi, par ces simples paroles, se soumettait au moindre désir de mon Maître. En même temps, j'étais très fière d'elle, car elle allait m'accompagner sur ce chemin que j'avais choisi en toute connaissance de cause. Elle et moi étions désormais les propriétés de Guy, ses soumises volontaires.
Il lui a répondu :— Pour bien t'expliquer, je vais d'abord me retirer ta maman, dans laquelle j'étais plutôt bien installé. Je vais la guider et tu vas faire exactement la même chose qu'elle. Es-tu prête ?
Elle a répondu, à voix claire cette fois :— Oui !
Guy a commencé à nous guider :— Bien ! Posez vos mains de chaque côté de vos grandes lèvres et ouvrez-vous au maximum.
Le petit grognement que j'ai à peine entendu signifiait que ma petite était prête pour la suite.
— Tous en vous conservant ouvertes, touchez vos clitoris doucement, avec la pulpe de vous index droits.
J'ai obéi aussitôt et, en fermant les yeux, me suis imaginée mon Emma faisant la même chose. Guy a repris :— Vous sentez que, déjà, vous commencez à mouiller de l'intérieur de vos chattes ? Pincez doucement vos clitoris pour accélérer ce mouvement.
Tout en parlant, il surveillait ce que je faisais.
— Voilà, c'est très bien. Emma et toi, Élodie, êtes-vous prêtes ?
Nous avons émis toutes les deux, chacune de notre côté, un grognement inaudible qui lui sembla être un acquiescement puisqu'il continua :— Maintenant, ne vous retenez plus. Branlez-vous, comme disant les jeunes, sans limite, jusqu'à la jouissance, en frottant vos clitoris avec vos mains, en vous enfonçant un doigt ou deux dans la chatte et éventuellement dans le cul, faites comme vous en avez l'habitude. Ne retenez pas vos gémissements, laissez-vous aller en imaginant que vous êtes côte à côte et que vous faites cela sous mes yeux.
Cet homme est décidément le diable. Il avait à peine fini de parler que j'ai commencé à jouir, une très longue jouissance, dont l'effet s'amplifiait d'autant plus que, par l'intermédiaire du haut-parleur, j'entendais ma petit Emma qui en faisait autant. J'aurais tellement aimé qu'elle soit là, près de moi, à cet instant : je crois que je l'aurais embrassée à pleine bouche alors que jamais, jusqu'ici, nous n'avons eu de tels gestes l'une envers l'autre.
Je l'ai entendue jouir et ses gémissements d'amour ont entraîné mon propre orgasme. Je me suis relâchée, heureuse, toujours assise sur les cuisses de mon Maître qui me caressait doucement les seins.
Le haut-parleur m'a informé de la suite pour Emma :— Maman j'ai joui comme jamais ! Merci à vous deux, j'aurais tellement aimé être avec vous.
Il lui a répondu :— Sois sans crainte, Emma, dès ton retour, nous reprendrons cette... disons conversation à trois. Repose-toi, moi je vais reprendre ce que je faisais avec ta maman.
Il raccrocha le combiné d'un geste soudain. S'adressant à moi, il me demanda :— Eh bien, qu'attends-tu, Élodie ? Remets-moi dans toi, comme nous étions avant le coup de fil d'Emma.
Il ne m'a pas fallu longtemps pour lui obéir. J'ai mis notre conversation dans un coin de ma tête, pour pouvoir la noter par écrit le moment venu et je suis consacrée à mon ressenti immédiat.
Der nouveau, je jouissais d'être remplie par son énorme bite. Je triturais mon clitoris tout gluant. Lui, il pinçait les petits bouts raidis de mes seins.
Dans ma chatte je sentais ma mouille, très épaisse, qui se répandait autour de sa bite.
Il m'a étonnée : il a placé ses mains sous mes genoux et m'a redressée avec lui d'un grand coup de reins. Il s'est mis debout en mme soutenant de cette manière et il m'a dit :— Viens, nous allons nous occuper du lit d'Emma !
Je me demandais bien ce que nous allions faire. Il a ouvert la porte de la chambre de ma petite puis il m'a littéralement balancée sur son lit en restant dans moi. Une fois que j'ai été à plat-ventre sur son lit, le nez dans l'oreiller, il m'a appris :— Je vais remplir ta chatte de sperme. Après, tu vas t'ouvrir avec tes doigts et tu laisseras couler sur son oreiller. Je veux que, dès son retour, elle soit dans le mélange de la mouille de sa mère et de mon sperme, comprends-tu ?
Ce que je comprenais surtout, c'était les énormes coups de bite qu'il me donnait. Ma chatte coulait de partout, mon ventre était sur l'oreille d'Emma, il me donnait de tels coups que ma tête tapait sans le mur, mais je m'en moquais car je bossais encore plus fort que la première fois qu'il m'avait baisé la chatte. Je crois même que je me sois sise à hurler mon bonheur car les cris que j'entendais ne pouvaient être émis que par moi.
Soudain, il a arrêté et m'a envoyé de longs jets chauds de sperme, en s'abattant sur mon dos tout en me torturant les seins.
Il a repris son souffle, affalé sur moi, pendant que je m'abîmais dans ma jouissance.
Je me suis dit que décidément ce premier dimanche d'absence de ma petite Emma me faisait découvrir des tas de choses.
Il s'est redressé en appuyant ses poignets sur le lit puis il l'a appris :— Maintenant, je sors de toi et on va faire comme je t'ai dit.
Il s'est retiré précautionneusement de ma chatte et m'a tiré en arrière en me malaxant mes seins. J'ai senti son sperme qui s'écoulait de moi, lentement ; il m'a demandé de m'ouvrir avec mes doigts pour que ça s'écoule plus vite et même de frotter ma chatte pleine contre l'oreiller d'Emma pour qu'elle ait tout de nous deux en dormant.
J'ai fait comme il m'a dit puis il a bien inspecté. Il m'a dit : — On recommencera dimanche prochain, juste avant son retour, pour que son oreiller soit bien imprégné de nous deux. Je veux qu'elle devienne aussi soumise que toi, Élodie.
Il a eu l'air de réfléchir une eu puis il a continué :— Allonge-toi sur le lit, comme si tu étais Emma. Tu vas te masturber avec mon sperme et tout déposer sur son drap de dessous. Allez, au travail !
Il arracha tout ce qui était sur le lit de ma fille et bientôt je me sous retrouvée allongée sur le drap de dessous. Je me masturbai comme il m'avait expliqué et il se contenta de me regarder faire. J'avais les mains pleines de sperme; je ne savais pas quoi faire mais, prise d'une inspiration soudaine, j'ai sucé mes doigts un par un. Il a souri et m'a dit doucement :— Tu es vraiment une bonne soumise, tu devines ce que je veux. C'est bien !
J'ai osé lui demander :— Guy, je suis fatiguée. Est-ce que nous ne pourrions pas nous reposer un peu dans mon lit ?
Il m'a longuement regardée, puis il s'est mis debout et m'a prise dans ses bras. Nous avons quitté la chambre d'Emma et nous sommes revenus dans la mienne. Il m'a déposée doucement sur mon lit et il m'a appris :— Tu a raison ! Dors, parce que demain et jusqu'au retour de ta fille, moi je serai dans ton lit mais toi tu n'auras pas un moment de répit : dès que tu sera revenue du travail, tu te mettre nue et je te baiserai dans un trou ou dans autre ! Alors, repose-toi un peu , après, tu commenceras à écrire ce que je t'ai dit.

(à suivre)

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