Si Jeune et jolie Christy - III

Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Si Jeune et jolie Christy - III
Introspection – Obsession
Elle aussi avait remarqué mon érection imposante à la fin de ce récit de trio avec un couple d’inconnus. Elle mit sa main sur ma queue, la serrant dans ses doigts, et me regarda d’un air (faussement) outré, les yeux grands ouverts et la bouche en O. Avec un sourire narquois, elle me dit : « Je vois que ça te fait toujours de l’effet, petit cochon ! Est-ce le souvenir de tes caresses sur un pénis ?». En l’absence de réponse, elle fronça les sourcils et rajouta : « A moins que ce ne soit l’envie d’aller baiser avec d’autres que moi ? »
La différence de ton entre ses deux questions me frappa, et les sentiments opposés quelles traduisait étaient évidents. Un « oui » à la première l’aurait laissé espérer voir son fantasme sur les gays se réaliser. Mais la pointe de jalousie de la seconde était criante. Voulant la rassurer, je lui répondais que je n’avais aucune envie de sexe sans elle. Puis, craignant tout de même qu’elle allait être sa réaction, je lui avouais la vraie raison : « Non, ce qui m’a mis dans cet état, c’est de nous imaginer nous deux, dans le rôle de ce couple avec un autre homme qui te ferait jouir ».
Elle m’avait déjà confié son envie d’essayer nombre des perversions dont nous débattions. Mais seulement celles qui n’impliquaient que nous, sans pièce rapportée. Je la vis blêmir et elle déclara d’un air catégorique : « c’est hors de question, je te l’ai déjà dit ! ». Me sentant gêné et honteux, ayant peur d’être aller trop loin, trop vite, je baissai le regard. Après quelques secondes d’un silence pesant, elle ajouta : « Et tu ne serais pas jaloux ? Je me demande si tu m’aimes vraiment ! » Ces derniers mots me fendirent le cœur. Je répondis : « Si, je t’aime. Et oui, bien sûr que j’éprouverais certainement de la jalousie. Mais ça y participe ! Cela s’appelle le candaulisme, c’est un fantasme à la psyché très complexe et, pour beaucoup, inconcevable. Mais, paradoxalement, c’est de plus en plus répandu et assumé. » la voyant quelque peu abasourdie, je sentis qu’il fallait changer de sujet pour clore ce débat. Insister plus, à ce moment-là, eut été suicidaire pour notre histoire encore si fraiche.
Comme elle se mit à bouder, je me tournai vers elle pour poser un doux baiser sur sa joue. La mine renfrognée, elle fit un quart de tour, se mettant sur le flan en me tournant le dos. Je posai ma main gauche sur sa hanche, et je lui susurrai : « je t’aime Christy, plus que tout, comme un fou. ». Je lui léchai l’intérieur de l’oreille, lui mordillai délicatement le lobe, puis passai ma langue à l’arrière de celle-ci, remontant de bas en haut, effleurant à la fois le lobe, la peau de la nuque et du bas du crane jusqu’à la tempe. Sentant son corps frémir sous cette caresse suave, je fis glisser ma main jusqu’à son triangle d’or. Elle haleta mais garda les jambes serrées.
Soulevant ses cheveux blonds et soyeux, je déposai de doux baisers dans le creux de sa nuque et, soudain, je la mordis, comme fait un cheval juste avant la sailli, pour maintenir la proie de son désir sauvage. Sous cette étreinte, un court soupir s’échappa de sa bouche. Un frisson plus puissant lui secoua le corps et ses cuisses, enfin, se relâchèrent un peu. La voie devenue libre, mes doigts plus qu´unanimes, plongèrent tous en cœur dans le sillon humide, de sécrétions intimes à la viscosité si douce. Index et majeur s’allièrent pour remonter ensemble, dans le conduit serré vers son antre brulant, s’arrêtant à l’endroit où de petites vagues, donnent à la muqueuse un relief d’océan. Et mon pouce enjoué se mit à tournoyer, là où son clitoris bombe sous la surface, de son mont de vénus tendu et palpitant. Les va et viens cessèrent et les trois doigts complices tous ensemble pressèrent, titillant son point G ainsi pris en tenaille. Là son plaisir explosa en des cris déchirants, poignardant le silence de cette nuit tombante.
Le bassin agité de soubresauts violents, son corps tremblait sans fin sous son orgasme intense, expulsant puissamment ses jets de jouissance en inondant les draps et mes doigts assassins. Lorsque tout devint calme, nos deux corps transpirants, comme soudés entre eux formaient une cuillère. Mon membre turgescent, aussi dur que le bois, pénétra sans effort, dans la vasque sacrée, presque sans résistance. Alla au plus profond, buter dans la matrice puis revint en arrière, comme s’il hésitait. Repartant de plus belle et dans ce cul de sac, ne sachant où aller, il s’en revint encore, reproduisant sans cesse le chemin déjà fait, sentant une fin proche à sa course éperdue. Dans un dernier sursaut, ferme, bien décidé, il plongea libérer dans ce creuset bien chaud, sa sève bouillonnante et gluante à souhait. Celle-ci se répandit, en vagues successives inondant son vagin éreinté et sensible. Lessivée de plaisir, elle s’endormit comme ça, lovée entre mes bras. Reprenant mes esprits, complètement vidé, je la suivis bientôt dans les bras de Morphée.
J’espérais avoir mis fin à son courroux en lui ayant fait l’amour. Y mettant toute la force de ma passion pour qu’elle la ressente au plus profond d’elle-même. Mais cette envie nouvelle s’avérait très tenace et ne me lâchait plus, tourmentant mes méninges. Il allait falloir y renoncer ou, si je n’y parvenais, y aller patiemment, avec tact et douceur. Agir avec persévérance mais tout en retenue. Trouver des arguments, bien choisis, convaincants. Mon introspection reprenait de plus belle.
C’est à mon sentiment de culpabilité quant à notre différence d’âge, que j’attribuais cette pulsion sauvage. Était-ce honnête, de la part d’un homme mûr de succomber à la tentation ? Si je me projetais un peu dans un futur improbable, c’était pire. Le sempiternel « elle pourrait être ma fille » torturait sans relâche mon cœur et ma raison. Les évidences aussi, lorsqu’elle aurait 50 ans, encore la fleur de l’âge, j’en aurais 80, fus-je toujours en vie. Pourrais-je encore la rendre heureuse, la combler, l’honorer comme il se doit ?
Mon pessimisme l’emportait. D’autant plus que, déjà, je commençais à payer les excès nombreux d’une vie bien remplie aux méandres épicuriens. La fluidité de mes artères était égale à celle de l’autoroute du soleil pendant le chassé-croisé de mi été. Autant vous dire que mes érections n’avaient plus très souvent la raideur de la justice, et encore moins la fréquence d’un métronome. Alors qu’elle, elle était pleine de vie, d’énergie trépidante. J’avais le sentiment que si je ne pimentais pas notre vie sexuelle, notre passion ne pourrait pas durer. J’allais donc devoir faire preuve de beaucoup de sincérité, de persuasion et, surtout, de patience.
Comment la convaincre sans heurter sa sensibilité, que c’était bien l’amour que je lui portais qui générait en moi cette obsession si forte ? Quitte, je le savais, à risquer de la perdre. Je devais la persuader que ce n’était pas notre amour que je voulais partager, mais son corps dont, inconsciemment, je me refusais le droit égoïste de posséder l’exclusivité. Que son bonheur à elle n’avait pas de prix à mes yeux. Qu’elle avait tant encore à découvrir, à ce moment charnière de sa vie. Je voulais devenir son Pygmalion, l’ordonnateur de son plaisir. Cela me suffirait j’en étais sûr. Je voulais jouir de la voir jouir. En surmontant mes craintes comme un prix à payer pour lui offrir ces plaisirs et l’ouvrir à la vie, à sa vie. Ayant réalisé qu’elle n’était pas prête, espérant qu’elle puisse le devenir un jour, je décidais de faire profil bas, ne rien précipiter, procéder par étapes, créer l’opportunité.
Nos discussions passionnées sur la vie et le sexe continuaient. Toujours au sujet de ses fantasmes, que je continuais d’investiguer, elle me révélait qu’avant son mariage, après avoir vu ses premiers pornos, elle s’était demandée ce que le fait d’être le centre d’attention lors d’un gang bang pourrait lui faire ressentir. Cet angle de vue strictement psychologique m’amusa car elle ne se demandait même pas si elle en retirerait un quelconque plaisir charnel, ni même si elle serait simplement capable d’encaisser physiquement les assauts répétés de plusieurs mâles en rut. Son coté très cérébral me sautait aux yeux. De plus, cela me laissait espérer qu’un jour, elle pourrait peut-être enfin obtenir la réponse. Ce que je me gardais bien de relever.
Une autre fois, je lui disais que j’aimerais bien que lors de l’une de nos sorties nocturnes, elle s’habille de façon très vulgaire, comme une pute, très aguichante. Elle me répondit que cette idée lui plaisait bien car elle adorait les déguisements ! Elle rajoutât qu’il lui serait sûrement très difficile d’éviter les mains baladeuses car elle subissait déjà très souvent des pelotages en règle, non consentis, lorsqu’elle était vêtue normalement. Il est vrai que son cul était irrésistible comme je l’ai déjà décrit. Evidemment, cette révélation me tourneboulait les sens au plus haut point. Mais, de nouveau, je me taisais pour ne surtout pas l’effaroucher.
La toute première de ces discussions enflammées qui donna lieu à une concrétisation tournait autour des caresses buccales. A propos de la fellation, elle me dit qu’elle serait curieuse d’essayer une gorge profonde car le voir à l’écran l’avait profondément émoustillé. Sachant la sensation exceptionnelle que cela procurait à l’heureux élu qui la recevait, elle voulait absolument vérifier si elle en serait capable. « Qu’à cela ne tienne, » lui dis-je ironiquement « je veux bien être ton cobaye. Mais pour rajouter un peu de piment, je vais t’attacher pour te contraindre ». Son visage devint cramoisi et une lueur de luxure illumina son regard. Toujours autant espiègle, elle passa sa langue sur le pourtour de ses lèvres langoureusement, puis fit claquer sa langue contre son palais, comme pour me signifier son accord. Je commençais déjà à durcir.
J’allai dans la chambre pour récupérer des liens dans un tiroir de la commode. Je revins au salon et les déroulai sur l’assise du canapé. Je la fis agenouiller et nouai fermement ses deux chevilles entre elles. Là je lui demandais d’assoir ses fesses sur ses talons et faisait trois tours avec les longueurs de brins restantes que je faisais passer tout en haut des cuisses, au niveau du pli de l’aine. Ainsi, elle ne pouvait plus se relever. Je lui liai les mains dans le dos. Alors je fis basculer son buste de telle manière que le haut de sa poitrine repose sur l’accoudoir, la plante des pieds faisant face au plafond. Incapable d’effectuer tout mouvement, elle était à ma merci. Enfin je regroupai ses cheveux autour desquels j’entortillai un dernier lien que j’arrimai à ses chevilles en longeant son sillon fessier. J’en ajustai la longueur, lui faisant relever le menton jusqu’à ce que sa bouche s’aligne avec sa gorge.
Elle était fin prête. En posant ma main sur sa nuque, je pus ressentir un frisson parcourir sa colonne, trahissant son excitation mêlée de craintes. Je vins me mettre face à elle, appuyai sur son menton avec le pouce pour lui faire ouvrir la bouche, pendant que je dégrafais ma ceinture et baissais pantalon et slip. Mon sexe bondit, propulsé par une érection incompressible. Je le pris en main en lui demandant de tirer la langue sur laquelle je déposais mon gland brulant. Mon bassin se mit à onduler, presque imperceptiblement au début. Mais prenant de l’amplitude au fur et à mesure. Lorsque le bout du gland toucha sa glotte, un haut le cœur la fit presque vomir. De long filets de bave s’agrippèrent à ses lèvres, dégoulinant de son menton, enveloppant ma bite d’un gluant cocon.
Quelques secondes de répit et je me renfonçais. Lentement mais sûrement, je franchi le cap à nouveau. Ses yeux s’écarquillèrent mais elle tint bon. Des larmes vinrent diluer son rimmel qui, en coulant sur ses joues, lui donnèrent un air de clown triste. La sentant étouffer, je retirais ma queue. Elle haletait fort, bavant encore plus. Puis elle me regarda, rouvrant la bouche en grand, et me tira la langue aussi loin qu’elle put. Elle en voulait encore et me mettait le feu. Cinq répétitions, j’éjaculais mon sperme tout au fond de sa gorge, en râlant de plaisir. Ma bouche prit la sienne en un baiser fougueux, puis je la délivrais de ses liens douloureux. Elle me dit : « J’adore, il faudra le refaire. » Je sentis sa fierté, elle avait réussi, aussi bien à donner qu’aussi bien recevoir.
Elle aussi avait remarqué mon érection imposante à la fin de ce récit de trio avec un couple d’inconnus. Elle mit sa main sur ma queue, la serrant dans ses doigts, et me regarda d’un air (faussement) outré, les yeux grands ouverts et la bouche en O. Avec un sourire narquois, elle me dit : « Je vois que ça te fait toujours de l’effet, petit cochon ! Est-ce le souvenir de tes caresses sur un pénis ?». En l’absence de réponse, elle fronça les sourcils et rajouta : « A moins que ce ne soit l’envie d’aller baiser avec d’autres que moi ? »
La différence de ton entre ses deux questions me frappa, et les sentiments opposés quelles traduisait étaient évidents. Un « oui » à la première l’aurait laissé espérer voir son fantasme sur les gays se réaliser. Mais la pointe de jalousie de la seconde était criante. Voulant la rassurer, je lui répondais que je n’avais aucune envie de sexe sans elle. Puis, craignant tout de même qu’elle allait être sa réaction, je lui avouais la vraie raison : « Non, ce qui m’a mis dans cet état, c’est de nous imaginer nous deux, dans le rôle de ce couple avec un autre homme qui te ferait jouir ».
Elle m’avait déjà confié son envie d’essayer nombre des perversions dont nous débattions. Mais seulement celles qui n’impliquaient que nous, sans pièce rapportée. Je la vis blêmir et elle déclara d’un air catégorique : « c’est hors de question, je te l’ai déjà dit ! ». Me sentant gêné et honteux, ayant peur d’être aller trop loin, trop vite, je baissai le regard. Après quelques secondes d’un silence pesant, elle ajouta : « Et tu ne serais pas jaloux ? Je me demande si tu m’aimes vraiment ! » Ces derniers mots me fendirent le cœur. Je répondis : « Si, je t’aime. Et oui, bien sûr que j’éprouverais certainement de la jalousie. Mais ça y participe ! Cela s’appelle le candaulisme, c’est un fantasme à la psyché très complexe et, pour beaucoup, inconcevable. Mais, paradoxalement, c’est de plus en plus répandu et assumé. » la voyant quelque peu abasourdie, je sentis qu’il fallait changer de sujet pour clore ce débat. Insister plus, à ce moment-là, eut été suicidaire pour notre histoire encore si fraiche.
Comme elle se mit à bouder, je me tournai vers elle pour poser un doux baiser sur sa joue. La mine renfrognée, elle fit un quart de tour, se mettant sur le flan en me tournant le dos. Je posai ma main gauche sur sa hanche, et je lui susurrai : « je t’aime Christy, plus que tout, comme un fou. ». Je lui léchai l’intérieur de l’oreille, lui mordillai délicatement le lobe, puis passai ma langue à l’arrière de celle-ci, remontant de bas en haut, effleurant à la fois le lobe, la peau de la nuque et du bas du crane jusqu’à la tempe. Sentant son corps frémir sous cette caresse suave, je fis glisser ma main jusqu’à son triangle d’or. Elle haleta mais garda les jambes serrées.
Soulevant ses cheveux blonds et soyeux, je déposai de doux baisers dans le creux de sa nuque et, soudain, je la mordis, comme fait un cheval juste avant la sailli, pour maintenir la proie de son désir sauvage. Sous cette étreinte, un court soupir s’échappa de sa bouche. Un frisson plus puissant lui secoua le corps et ses cuisses, enfin, se relâchèrent un peu. La voie devenue libre, mes doigts plus qu´unanimes, plongèrent tous en cœur dans le sillon humide, de sécrétions intimes à la viscosité si douce. Index et majeur s’allièrent pour remonter ensemble, dans le conduit serré vers son antre brulant, s’arrêtant à l’endroit où de petites vagues, donnent à la muqueuse un relief d’océan. Et mon pouce enjoué se mit à tournoyer, là où son clitoris bombe sous la surface, de son mont de vénus tendu et palpitant. Les va et viens cessèrent et les trois doigts complices tous ensemble pressèrent, titillant son point G ainsi pris en tenaille. Là son plaisir explosa en des cris déchirants, poignardant le silence de cette nuit tombante.
Le bassin agité de soubresauts violents, son corps tremblait sans fin sous son orgasme intense, expulsant puissamment ses jets de jouissance en inondant les draps et mes doigts assassins. Lorsque tout devint calme, nos deux corps transpirants, comme soudés entre eux formaient une cuillère. Mon membre turgescent, aussi dur que le bois, pénétra sans effort, dans la vasque sacrée, presque sans résistance. Alla au plus profond, buter dans la matrice puis revint en arrière, comme s’il hésitait. Repartant de plus belle et dans ce cul de sac, ne sachant où aller, il s’en revint encore, reproduisant sans cesse le chemin déjà fait, sentant une fin proche à sa course éperdue. Dans un dernier sursaut, ferme, bien décidé, il plongea libérer dans ce creuset bien chaud, sa sève bouillonnante et gluante à souhait. Celle-ci se répandit, en vagues successives inondant son vagin éreinté et sensible. Lessivée de plaisir, elle s’endormit comme ça, lovée entre mes bras. Reprenant mes esprits, complètement vidé, je la suivis bientôt dans les bras de Morphée.
J’espérais avoir mis fin à son courroux en lui ayant fait l’amour. Y mettant toute la force de ma passion pour qu’elle la ressente au plus profond d’elle-même. Mais cette envie nouvelle s’avérait très tenace et ne me lâchait plus, tourmentant mes méninges. Il allait falloir y renoncer ou, si je n’y parvenais, y aller patiemment, avec tact et douceur. Agir avec persévérance mais tout en retenue. Trouver des arguments, bien choisis, convaincants. Mon introspection reprenait de plus belle.
C’est à mon sentiment de culpabilité quant à notre différence d’âge, que j’attribuais cette pulsion sauvage. Était-ce honnête, de la part d’un homme mûr de succomber à la tentation ? Si je me projetais un peu dans un futur improbable, c’était pire. Le sempiternel « elle pourrait être ma fille » torturait sans relâche mon cœur et ma raison. Les évidences aussi, lorsqu’elle aurait 50 ans, encore la fleur de l’âge, j’en aurais 80, fus-je toujours en vie. Pourrais-je encore la rendre heureuse, la combler, l’honorer comme il se doit ?
Mon pessimisme l’emportait. D’autant plus que, déjà, je commençais à payer les excès nombreux d’une vie bien remplie aux méandres épicuriens. La fluidité de mes artères était égale à celle de l’autoroute du soleil pendant le chassé-croisé de mi été. Autant vous dire que mes érections n’avaient plus très souvent la raideur de la justice, et encore moins la fréquence d’un métronome. Alors qu’elle, elle était pleine de vie, d’énergie trépidante. J’avais le sentiment que si je ne pimentais pas notre vie sexuelle, notre passion ne pourrait pas durer. J’allais donc devoir faire preuve de beaucoup de sincérité, de persuasion et, surtout, de patience.
Comment la convaincre sans heurter sa sensibilité, que c’était bien l’amour que je lui portais qui générait en moi cette obsession si forte ? Quitte, je le savais, à risquer de la perdre. Je devais la persuader que ce n’était pas notre amour que je voulais partager, mais son corps dont, inconsciemment, je me refusais le droit égoïste de posséder l’exclusivité. Que son bonheur à elle n’avait pas de prix à mes yeux. Qu’elle avait tant encore à découvrir, à ce moment charnière de sa vie. Je voulais devenir son Pygmalion, l’ordonnateur de son plaisir. Cela me suffirait j’en étais sûr. Je voulais jouir de la voir jouir. En surmontant mes craintes comme un prix à payer pour lui offrir ces plaisirs et l’ouvrir à la vie, à sa vie. Ayant réalisé qu’elle n’était pas prête, espérant qu’elle puisse le devenir un jour, je décidais de faire profil bas, ne rien précipiter, procéder par étapes, créer l’opportunité.
Nos discussions passionnées sur la vie et le sexe continuaient. Toujours au sujet de ses fantasmes, que je continuais d’investiguer, elle me révélait qu’avant son mariage, après avoir vu ses premiers pornos, elle s’était demandée ce que le fait d’être le centre d’attention lors d’un gang bang pourrait lui faire ressentir. Cet angle de vue strictement psychologique m’amusa car elle ne se demandait même pas si elle en retirerait un quelconque plaisir charnel, ni même si elle serait simplement capable d’encaisser physiquement les assauts répétés de plusieurs mâles en rut. Son coté très cérébral me sautait aux yeux. De plus, cela me laissait espérer qu’un jour, elle pourrait peut-être enfin obtenir la réponse. Ce que je me gardais bien de relever.
Une autre fois, je lui disais que j’aimerais bien que lors de l’une de nos sorties nocturnes, elle s’habille de façon très vulgaire, comme une pute, très aguichante. Elle me répondit que cette idée lui plaisait bien car elle adorait les déguisements ! Elle rajoutât qu’il lui serait sûrement très difficile d’éviter les mains baladeuses car elle subissait déjà très souvent des pelotages en règle, non consentis, lorsqu’elle était vêtue normalement. Il est vrai que son cul était irrésistible comme je l’ai déjà décrit. Evidemment, cette révélation me tourneboulait les sens au plus haut point. Mais, de nouveau, je me taisais pour ne surtout pas l’effaroucher.
La toute première de ces discussions enflammées qui donna lieu à une concrétisation tournait autour des caresses buccales. A propos de la fellation, elle me dit qu’elle serait curieuse d’essayer une gorge profonde car le voir à l’écran l’avait profondément émoustillé. Sachant la sensation exceptionnelle que cela procurait à l’heureux élu qui la recevait, elle voulait absolument vérifier si elle en serait capable. « Qu’à cela ne tienne, » lui dis-je ironiquement « je veux bien être ton cobaye. Mais pour rajouter un peu de piment, je vais t’attacher pour te contraindre ». Son visage devint cramoisi et une lueur de luxure illumina son regard. Toujours autant espiègle, elle passa sa langue sur le pourtour de ses lèvres langoureusement, puis fit claquer sa langue contre son palais, comme pour me signifier son accord. Je commençais déjà à durcir.
J’allai dans la chambre pour récupérer des liens dans un tiroir de la commode. Je revins au salon et les déroulai sur l’assise du canapé. Je la fis agenouiller et nouai fermement ses deux chevilles entre elles. Là je lui demandais d’assoir ses fesses sur ses talons et faisait trois tours avec les longueurs de brins restantes que je faisais passer tout en haut des cuisses, au niveau du pli de l’aine. Ainsi, elle ne pouvait plus se relever. Je lui liai les mains dans le dos. Alors je fis basculer son buste de telle manière que le haut de sa poitrine repose sur l’accoudoir, la plante des pieds faisant face au plafond. Incapable d’effectuer tout mouvement, elle était à ma merci. Enfin je regroupai ses cheveux autour desquels j’entortillai un dernier lien que j’arrimai à ses chevilles en longeant son sillon fessier. J’en ajustai la longueur, lui faisant relever le menton jusqu’à ce que sa bouche s’aligne avec sa gorge.
Elle était fin prête. En posant ma main sur sa nuque, je pus ressentir un frisson parcourir sa colonne, trahissant son excitation mêlée de craintes. Je vins me mettre face à elle, appuyai sur son menton avec le pouce pour lui faire ouvrir la bouche, pendant que je dégrafais ma ceinture et baissais pantalon et slip. Mon sexe bondit, propulsé par une érection incompressible. Je le pris en main en lui demandant de tirer la langue sur laquelle je déposais mon gland brulant. Mon bassin se mit à onduler, presque imperceptiblement au début. Mais prenant de l’amplitude au fur et à mesure. Lorsque le bout du gland toucha sa glotte, un haut le cœur la fit presque vomir. De long filets de bave s’agrippèrent à ses lèvres, dégoulinant de son menton, enveloppant ma bite d’un gluant cocon.
Quelques secondes de répit et je me renfonçais. Lentement mais sûrement, je franchi le cap à nouveau. Ses yeux s’écarquillèrent mais elle tint bon. Des larmes vinrent diluer son rimmel qui, en coulant sur ses joues, lui donnèrent un air de clown triste. La sentant étouffer, je retirais ma queue. Elle haletait fort, bavant encore plus. Puis elle me regarda, rouvrant la bouche en grand, et me tira la langue aussi loin qu’elle put. Elle en voulait encore et me mettait le feu. Cinq répétitions, j’éjaculais mon sperme tout au fond de sa gorge, en râlant de plaisir. Ma bouche prit la sienne en un baiser fougueux, puis je la délivrais de ses liens douloureux. Elle me dit : « J’adore, il faudra le refaire. » Je sentis sa fierté, elle avait réussi, aussi bien à donner qu’aussi bien recevoir.
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