Si Jeune et jolie Christy - II

- Par l'auteur HDS olifougueux -
Auteur homme.
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Récit libertin : Si Jeune et jolie Christy - II Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Si Jeune et jolie Christy - II
Découverte de l’autre – Révélation

J’étais encore plus tiraillé mentalement après cette première rencontre diurne, hors contexte de soirée, complètement sobres, entre nous seuls, et qui s’était terminée chez moi, dans mon lit. Tu m’avais provoqué comme une parfaite petite allumeuse et j’avais craqué. Je me trouvais faible et un peu honteux après m’être réveillé seul, au matin, dans mes draps encore humides du plaisir que tu m’avais laissé te donner. Ce plaisir, c’était la seule chose dont j’étais assez fier. Tu m’avais laissé découvrir ton corps et les trésors qu’il renfermait, je sentais croitre l’addiction.

Les contraintes de nos vies respectives ne nous permettaient pas de nous voir très souvent. Et lorsque cela se produisait, c’était pour des moments très brefs, en coup de vent. Heureusement, même si cela restait trop rare, nous pouvions nous retrouver certains weekends. Mais nous ressentions un besoin mutuel et irrésistible de rester en contact permanent comme dans toute passion nouvelle. C’est pourquoi, tels des adolescents, nous communiquions beaucoup par texto. Une vraie cure de jouvence pour moi qui n’avait pas l’habitude d’être rivé sur mon smartphone en permanence. Ça devenait compulsif.

Nous échangions sur des sujets futiles, tout au long des journées. Mais, quand le soir arrivait, chacun dans son lit, au calme avant de s’endormir, nos messages prenaient une tournure plus chaude. Il me suffisait de te titiller à peine et nous voilà partis dans des échanges torrides. Nous nous excitions mutuellement, allant souvent jusqu’à se masturber ensemble. Et atteindre l’orgasme nous aidait à trouver la force de raccrocher en se souhaitant de doux rêves.

Lors de nos courtes entrevues, nous nous étions immédiatement sentis très à l’aise pour se parler de tout, avec pudeur, mais sans tabou. Quel que soit le degré de perversion, nous évoquions tout sans rien éluder. Sans gêne, ni honte ni jugement. Après que tu m’eus avoué avoir beaucoup apprécier la fessée et la rudesse de mon comportement, nous abordions l’univers BDSM pour lequel nous nous découvrions un attrait commun mais à des degrés différents. Ce qui n’est pas surprenant tant cela regroupe un large panel de variantes et de pratiques. Tes goûts étaient plutôt orientés vers les pratiques soft, presque « conventionnelles » comme les fessées ou le bondage shibari. Les miens penchaient, en plus, vers les extrêmes et incluaient l’humiliation. Si nous abhorrions tous deux tout ce qui touche à la scatophilie, je ne te cachais pas avoir un faible pour les douches dorées (ah le fameux champagne pleuvant d’entre les nymphes suintantes d’une déesse adulée…). A l’inverse, tu me déclarais ton aversion pour les fluides corporels autres que purement sexuel (salive, sperme ou cyprine).

Toutes ces discussions exacerbaient nos sens, nous ne nous en lassions pas. Avec cette différence essentielle entre nous : pour toi, tous cela n’avait jamais dépassé le stade du fantasme, alors que de mon côté, j’en avais expérimenté pas mal. Et je me rendais bien compte que cela t’impressionnait et t’excitait grandement. Ton flot d’interrogations ne se tarissait jamais. Tu voulais tout savoir ! Et, ne pouvant résister à ta candeur, je te disais tout. Si ce n’est la teneur hautement sexuelle de ces conversations, j’aurais pu me sentir comme un père éduquant sa fille.

Tu étais tantôt époustouflée (presque incrédule), tantôt admirative. Parfois dégoutée, d’autres fois tentée. Mais ton intérêt ne faiblissait jamais. Tu me questionnais sur mes expériences passées – sans jalousie aucune, juste par curiosité et pour mieux me connaitre – et j’en faisais autant pour découvrir tes centres d’intérêt, jauger ton niveau de connaissance et l’étendue de ta libido.


Le jour où je t’avais demandé quel était ton fantasme le plus fou, le plus pervers, tu m’avais parlé, non sans rougir, de ta fascination pour les relations homosexuelles masculines. Tu me dis t’être caressée un nombre incalculable de fois en regardant des pornos gay et que tu rêverais d’assister à de telles scènes en réel, au moins une fois dans ta vie. Tu fus rassurée de voir que rien de tout cela ne me choquait outre mesure et me demandais si j’avais déjà eu des rapports avec un autre homme. Je te répondis, restant dans le vague, qu’une fois je m’étais laissait aller à quelques caresses sans aller jusqu’à la sodomie. Ni une ni deux, tu me demandais tous les détails avec véhémence. Et comme toujours, je m’exécutais:


« J’étais bien plus jeune et très curieux au sujet des clubs libertins. Ce soir-là, j’avais enfin osé sauter le pas. Dans ce club, je parcourais les lieux de long en large, découvrant le bar à côté de la piscine, les salles à thèmes, le sauna. La clientèle, en ce soir de semaine (l’accès lors des weekends étant réservé aux couples et femmes seules) était clairsemée. Au détour d’une salle, je vis un couple, fin-cinquantaine, venir s’assoir côte à côte sur un grand canapé à très grande assise. Sur le mur d’en face, un film porno défilait sur un écran. Ils étaient, comme tout le monde, vêtus lui d’une serviette autour de la taille, elle d’un paréo léger. Lui ressemblait à monsieur tout le monde, elle, sans être un top-modèle était plutôt séduisante et laissait deviner de jolies formes. Je ne sais si c’était à cause de leur âge, mais les autre gars seuls ne semblaient pas intéressés pour un rapprochement. A moins qu’ils ne soient timides et aussi novices que moi. Moi, j’étais très tenté et je me dis que s’ils étaient là, ce n’était pas pour enfiler des perles (encore que…). Ne connaissant pas les codes, je pris mon courage à deux mains, tentant une approche délicate en m’asseyant à côté d’elle, me disant qu'après tout je ne risquais qu’un refus poli et frustrant.

La femme, pendant que son homme regardait l’écran, reposa sa tête sur son épaule droite. J'eus peur que ce soit une façon de mettre de la distance entre elle et moi. Je n’osais pas dire quoi que ce soit. Puis elle tourna son corps légèrement vers lui, reposant sur son flanc gauche, de sorte que son cul me fit face. Elle posa alors sa main droite sur la cuisse poilue du mari et la remonta sous la serviette pour saisir son pénis et le branler lentement. Lui, le bras droit contournant sa nuque, passa sa main sous le paréo et se saisit de son sein droit pour le malaxer en faisant durcir le téton. Ne ratant rien du spectacle, comme hypnotisé par la scène, je bandais puissamment. Et naturellement, je commençai à me caresser. L’homme non plus ne regardait plus l’écran.

Nos regards se croisèrent, mon cœur battait fort lorsqu’il me fit un signe approbateur de la tête. Je lâchai mon sexe et posai doucement ma main sur la cuisse de sa femme, la caressant tout doucement. Voyant que sa seule réaction fut de baisser la tête pour sucer son mari en écartant les cuisses, je m’enhardis jusqu’à sa vulve imberbe dont mes doigts commencèrent à parcourir la fente baveuse. J’étais aux anges ! Au bout de cinq minutes, il chuchota quelque chose à l’oreille de sa femme. Alors ils se levèrent me faisant signe de les suivre. Sa femme ouvrit la porte d’une salle dont seuls les couples peuvent avoir la clé. Lui s’allongea sur une espèce de grand lit de 8 mètres sur 3, elle recommença sa fellation en se positionnant à quatre pattes, le corps perpendiculaire au sien. Moi, je m’allongeai sur le dos et glissai mon visage jusque sous son entrejambe. Saisissant ses fesses des deux mains j’appuyais sur celles-ci pour la coller ma bouche et lui dévorer autant le minou que la pastille étoilée comme l’anis.

Cela dura au moins trois quarts d'heure pendant lesquels elle eut au moins trois orgasmes. Puis elle me fit comprendre qu’elle avait besoin d’une pause. Je me relevai pour m’assoir à coté d’elle qui continuait ses caresses buccales. Ce spectacle était si chaud qu’instinctivement, prenant la place de sa main avec la mienne, je me suis saisi de la bite de son mari, le branlant doucement pendant qu’elle le pompait. Je ne l’ai pas sucé vraiment directement mais à plusieurs reprises lorsque la bouche de sa femme remontait de sa tige pour suçoter son gland ou le titiller de la langue, j’approchais pour lui baiser les lèvres faisant fi du vit de son mari que je sentais vibrer entre mes doigts. Lorsqu’il eut joui, il me dit que je pouvais, si je le voulais, prendre sa femme, ce que je fis en missionnaire avant que nous nous quittions, tous trois repus. »


Voilà, lui-dis-je, c’était mon unique expérience, et je la qualifiais plus comme une relation « bi léger » que vraiment homosexuelle. Je n’aurais jamais pu, qui plus est à cette époque où je n’étais que trentenaire, être attiré par le corps d’un homme en tête à tête, sans la présence active d’une femme. Et je plaisantais un peu en lui disant que si elle voulait que je réalise son fantasme, il allait falloir qu’elle s’investisse beaucoup elle-même. Suite à mon récit, je lui demandais à mon tour si elle était choquée.


Bizarrement, elle ne l’était pas par ces caresses sur un autre homme. Non, ce qui la heurtait c’était que j’avais pu participer à un trio avec un couple d’inconnus. Chose qu’elle se pensait elle-même incapable de faire. Elle refusait catégoriquement d’inclure une tierce personne (voire plus) dans nos rapports sexuels de couple.


J’étais étrangement un peu déçu par ses affirmations car, étonnamment, je réalisais qu’en lui racontant cette histoire vécue, mon imagination me faisait revivre ce moment, en inversant les rôles. Fermant les yeux, je nous voyais, elle et moi, dans la situation de ce couple qui m’avais laissé ce souvenir impérissable et c’était un autre que j’imaginais la faire jouir sous mes yeux. Je réalisais que ma bite était raide comme elle ne l’avait pas été depuis assez longtemps…


J’en fus surpris car, bien que les récits, témoignages, forums et autres vidéos sur le candaulisme m’aient toujours attiré, nourrissant ma libido et attisant mon excitation, jamais l’idée de l’exercer dans le réel ne m’avait encore effleuré l’esprit. Jusque-là, lors de mes histoires d’amour passées, j’étais d’un naturel jaloux et possessif avec mes compagnes. Sans doute à cause de l’éducation que j’avais reçue et de la fougue de la jeunesse. Je m’identifiais au mâle Alpha dans toute sa splendeur et ses clichés. Je fus donc troublé, tant par l'audace de mon imaginaire que par la réaction de incongrue de ma pine à cette pensée. Mais que m’arrivait-il donc ?


Il fallait que je comprenne ce changement majeur et soudain. J’entamais donc une introspection que j’espérais salvatrice…

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Texte coquin : Si Jeune et jolie Christy - II
Histoire sexe : Une rose rouge
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