Si Jeune et jolie Christy – XII

- Par l'auteur HDS olifougueux -
Auteur homme.
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Récit libertin : Si Jeune et jolie Christy – XII Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Si Jeune et jolie Christy – XII
Si Jeune et jolie Christy – XII


Émancipation – Prise d’envol -


De retour à l’alcôve, je réalisai que la pulpeuse blonde n’était pas que l’amie, l’amante et la complice de Sylvia, mais que leur relation comprenait également une nature maître/esclave. Elles en étaient d’autant plus proches et inséparable, et se connaissaient réciproquement sur le bout des doigts (j’aurais pu dire des cinq doigts par rapport à ce qu’elles m’avaient montré ce jour-là), pouvant partager les différents moments de leurs vies. Amies distinguées en sortie, lesbiennes assumées en privé, complices en orgie et maitresse et soumises dans le genre d’événement que nous étions en train de vivre. Elle s’appelait Odile, un prénom bien de sa génération. Je l’appris au moment où Sylvia, après s’être vautrée sur la banquette, lui ordonna de me nettoyer de toutes les souillures maculant presque entièrement mon corps.


Ni une ni deux, elle se mit à me lécher de partout avec envie et application, n’oubliant pas un centimètre carré de peau, ne négligeant aucun repli, même les plus intimes de mon anatomie. Elle avait l’air d’apprécier, je crois qu’elle m’aimait bien, peut être le souvenir du premier cunni que je lui avais administré la nuit du concert, qui sait ? Et je le lui rendais bien, ses formes pantagruéliques m’avaient immédiatement attiré tout comme la blancheur laiteuse de sa peau fine et douce et la tendre mollesse de ses formes lipoïdes. Rappelez-vous que je n’avais jamais, avant Christy, été en couple avec une femme beaucoup plus jeune que moi. Depuis mon plus jeune âge, j’avais toujours eu une attirance certaines pour les femmes plus vieilles, voire beaucoup plus vieilles que moi. Et, je sais que cela va en dégouter certain, mais c’est toujours vrai aujourd’hui, alors que j’ai plus de cinquante-cinq ans. Mais je m’en fous, j’assume, oui, je trouve certaines grand-mères très belles, sensuelles et sexy, et je les baiserais fougueusement avec envie.


Une fois bien propre de partout, Sylvia nous autorisa à nous reposer sur la couverture, à ses pieds, sur laquelle nous nous lovions l’un contre l’autre tendrement, j’étais bien, baigné de douceur pour la première fois depuis ces dernières vingt-quatre heures, et je ne pouvais m’empêcher de caresser ce corps presque amoureusement, ce qui avait l’air de la ravir. C’est pendant ce délicieux moment que nous vîmes revenir Christy, entourée de Gérard et André, le mari d’Odile. Je remarquai instantanément que sa démarche, sa posture, son attitude et son aspect avaient changés du tout au tout. Ils ne la tenaient plus en laisse mais, au contraire, lui donnaient chacun le bras comme à une vraie gente dame.


Elle avait désormais revêtu un corset bustier bien ajuster, garni de jarretelles retenant des bas couture du plus bel effet. Celui-ci masquait ses seins mais laissait son cul et son sexe lisse libres de toute entrave. Ses beaux cheveux blonds aussi avait été libérés et retombaient élégamment sur ses épaules arrondies. Enfin, son maquillage avait été refait, lui donnant un air de domina splendide. Je restais interloqué de la voir ainsi, si belle et attirante, ils avaient pris soin d’elle comme d’une princesse, une poupée, comme si elle avait gagné ses gallons de maitresse après s’être livrée à ce gang bang sauvage, trois heures et demi plus tôt. Ils lui avaient retiré son collier de chienne.


Lorsqu’ils nous rejoignirent, Sylvia se leva et retira le collier retenant la clé de ma cage qu’elle portait autour du cou, qu’elle pendit à celui de Christy. Alors, elles échangèrent un sourire complice, courtois et respectueux et Sylvia lui tendis la laisse de mon collier qu’elle saisit. Là, elle mit un coup de pieds au cul d’Odile qui se dépêchât d’aller se prosterner aux pieds de son mari et maitre, puis m’enjamba pour s’affaler sur la banquette. Le bassin en avant, au raz de l’assise, elle écarta ses cuisses et mit sa main sur ma tête pour coller mon visage sur sa vulve que, comprenant son désir, je me mis à lécher. Malgré la toilette qui lui avait été donnée, un gout de jute fermentée embaumait mes papilles, me rappelant ma condition de cocu, désormais soumis.

Avec les gémissements délirants d’une soumise, soumise à un orgasme forcé, comme bruit de fond, je me refaisais le film de toutes ces choses nouvelles que nous venions de vivre en un temps si court. Et, une fois de plus, j’étais estomaqué par la façon dont Christy m’avait agréablement surpris. Au départ terrifiée et réticente à l’idée de rentrer dans cet univers tout nouveau, elle avait fini par m’accorder sa confiance. Puis elle s’était laissait entrainer par Gérard sans aucune hésitation et semblait avoir adoré la fessée et la scène d’humiliation qui s’ensuivit. Ensuite, elle s’était faite baiser toute la nuit par Gérard et André sans même me demander, ni mon avis ni mon approbation, et cela en me privant du plaisir d’assister au spectacle tout en me m’obligeant à l’entendre jouir. Enfin, elle s’était laisser prendre brutalement, en public et par tous ses orifices, dans un gang bang interminable, par quarante hommes (si l’on tient compte de la préparation par Gérard et André) aux bites surdimensionnées et à l’endurance exceptionnelle.


Moi qui hésitais à lui en proposer un avec dix mecs (c’est la quantité que je croyais raisonnable pour franchir un niveau supérieur lorsque je lui avais demandé si elle serait d’accords), après son tout premier qui n’en comptait que quatre, j’étais servi ! Elle brulait les étapes avec un naturel et une motivation qui me laissait pantois, ne cessant jamais de me surprendre. Étais-je toujours capable de la contenir et de la protéger comme je me devais de le faire après l’avoir incitée à tant de débauche ? Je ne savais plus, j’étais un peu perdu et me sentais impuissant. Je n’avais plus qu’à compter sur ce groupe d’amis pervers pour que tout se passe bien. Heureusement, ils m’inspiraient confiance malgré leur folie manifeste lorsqu’il s’agissait de sexe et de libertinage.


Après la séance d’orgasme forcé qui n’avait été interrompue que lorsque la soumise fut au bord de l’évanouissement, et qui, chancelante, avait dû être portée par son bourreau hors de l’estrade, nous assistâmes au ligotage d’une femme par un maître de Shibari japonais. Celle-ci finit complètement ficelée sur le sol dans une position de grenouille prenant son élan pour effectuer le saut de sa vie, avant qu’il ne la soulève, suspendue aux chaines des palans. Là le maitre ficeleur fit monter deux gaillards sur scène et ajusta la hauteur idéale. L’un était face à sa bouche, maintenue ouverte par un écarteur de mâchoires, l’autre se mit derrière elle et, tirant sur la chaine la plus proche, il pénétra sa chatte. Puis il lâcha la chaine et mis un coup de rein qui la fit se dégager de son manche et se balancer pour s’arrêter, front contre le bas ventre du premier et sa bite avalée jusqu’à la garde. J’étais époustouflé par tant de précision et en déduisais qu’ils avaient dû s’entrainer dur et assidument pour arriver à un résultat si bluffant ! Et voilà qu’à son tour, ce dernier mit un coup de rein qui la renvoya s’empaler la fleur sur le pieu de son camarade, entamant une partie de ping-pong qui s’arrêtât, « balle » immobilisée au centre, les deux joueurs se départageant à coup de smash dans deux canaux, jusqu’à l’éjaculation victorieuse. Quel match !


Une fois que la place fut libre, à mon grand étonnement, Christy se leva, et m’entraina par la laisse jusqu’à la table d’attache qui jusque-là, n’avait que peu servi, Odile et Sylvia nous avaient emboité le pas. Elle me fit m’allonger sur le dos et laissa les deux autres m’attacher mains et pieds au bracelets de cuir prévus à cet effet. Odile m’enfonça sans crier gare, son majeur dans le cul et entama un savant massage de prostate, Sylvia, elle s’empara de mes bourses qu’elle malaxa, tira comme pour les arracher et tortilla dans tous les sens accentuant la torture le la cage contre mon oiseau. Christy, elle venait de descendre dans la foule agglutinée au bas de l’estrade, d’où elle revint avec quatre gars bien membrés à qui elle fit faire la queue leu leu juste derrière moi. Je retrouvais avec une pine bien tendue au-dessus de mon front, pile entre les deux yeux.


Connaissant son attirance voyeuriste pour les relations gay, j’eus très peur qu’elle ne me demande de le prendre en bouche, mais fus un peu rassuré de la voir escalader la table pour venir se mettre à quatre pattes au-dessus de moi, de telle manière que je n’avais plus qu’à tirer la langue pour atteindre son clitoris, et c’est bien entendu, ce qu’elle attendait de moi. Alors, ce qui devait arriver arriva, le gars planta sa bite au fond de sa guimauve et démarra un pilonnage en règle de sa niche sacrée. Je sentais sa tige frotter sur mon nez de toute sa longueur allant et venant dans le calice de plus en plus humide, alors que ses bijoux venaient butter contre le haut de mon crane à chaque fois qu’il lui tapait le col de l’utérus (non, il ne se trouve pas dans les Pyrénées). Les deux autres femelles me trituraient les couilles et le fondement en redoublant d’ardeur, moi je léchais de mon mieux le bouton turgescent, Christy rageait de plaisir à chaque aller-retour de ce dard enchanteur.


D’un coup, le propriétaire de cet appendice coïtal, s’immobilisa et se raidit en tremblotant, puis il se mit à gémir comme un bœuf, je sentais les contractions successives des gonades en train de tapisser les muqueuses de ma belle. Inévitablement, lorsqu’il se retira pour laisser la place au suivant, un flot abondant de crème onctueuse me glaça le nez tel un éclair à la vanille. Sans me laisser le temps de m’apitoyer sur mon triste sort, le second vint tremper son gland démesuré dans cette sauce albâtre, pour bien le lubrifier tout en me barbouillant. Et pour cause, c’est dans la pastille rectale qu’il choisit de plonger, avant de répéter, à ce détail près, le même scénario. Lorsqu’il ressorti du boyau de Christy, je ne reçus pas directement une trombe de sperme sur le nez car celle-ci, débordant en petites doses de l’anus perfide, dans de petits bruits de pets sournois et gargouillant, ruisselait brièvement dans sa raie avant de se répandre dans sa corole rose pour finir fatalement sur mon front englué.


Coincé là, ne pouvant rien faire d’autre, je continuais de ma langue, mon travail de sape sur son bourgeon saillant qui ne demandait qu’à éclore. Quand elle s’arc-bouta, agitée de spasme, me rinçant le visage de sa fontaine de plaisir pulsant tel un karcher, je fus heureux et consolé de voir que je participais aussi à sa jouissance, et pas seulement au décorum de sa perversité. Maigre consolation, mais si rassurante pour mon égo. Cette sensation se rajoutant à celle du massage prostatique d’Odile, mon sperme s’écoulait de mon méat en continu, mais sans pression, se répandant lamentablement entre les barreaux de ma cage. Il fallut une demi-heure de plus, aux deux mâles restants, pour accomplir leur devoir à leurs tours. Mais Christy, débordante de foutre, continua à osciller sa vulve d’avant en arrière sur mon visage jusqu’à ce qu’elle fût bien propre. Dieu qu’elle avait changé ! Et moi, n’étais-je pas passé de Candaule à Cuckold ? L’avenir le dirait…


C’est ainsi que se termina la nuit, nous rejoignîmes la villa de Silvia et Gérard, avec eux, Odile et André rentrant directement chez eux. Nous dormîmes sagement toute la matinée, chaque couple dans un chambre. Puis nous partageâmes un brunch avant de les quitter pour rentrer à notre tour chez nous. Pendant le trajet, Christy semblait sereine bien qu’encore fatiguée, le visage détendu et le regard rêveur.

« Alors mon amour, donnes moi un peu tes impressions. » demandais-je.

« Eh bien tu vois, j’ai, encore une fois, bien fait de t’écouter et de te suivre. Finalement, malgré mes doutes préalables, je me suis régalée. »

A cet instant un coup de puissant klaxon retentit. J’avais pris l’autoroute pour rentrer plus vite et j’étais en train de doubler un poids lourd. Or, Christy avait remis sa mini-jupe d’écolière qu’elle portait le premier soir (rappelez-vous, la fessée…). Et c’est certainement la vue de ses jolies cuisses qui avait provoqué cette manifestation sonore enjouée. Christy, surprise, sursauta et leva la tête vers la cabine du camion que je ne pouvais voir depuis ma place de conducteur. Elle sortit alors ses pieds de ses mules à talons de cordes tressées et les posa, bien écarté sur le tableau de bords, et me demanda, avançant le bassin au bord de son siège, de ralentir. Je vis qu’elle n’avait pas remis sa culotte souillée et que sa vulve était impudiquement exposée aux yeux du chanceux chauffeur. Celui-ci klaxonna de plus belle.


Elle sortit alors son sein droit de son débardeur, en riant de joie, et le caressa vigoureusement de la main gauche tandis que la droite alla tremper ses trois plus longs doigts dans son calice et commencèrent à lui fouiller le vagin frénétiquement. Je lui lançais des regards furtifs pour garder un œil sur la route et j’étais terriblement excité, imaginant ce que ce devait être pour le routier. Jusqu’au moment ou un énorme jet de cyprine vint s’éclater sur le pare-brise, hors de portée des essuie-glaces qui se trouvaient à l’extérieur. Riant maintenant aux éclats, elle fixait le chauffeur d’un regard langoureux en faisant tourner lubriquement sa langue sur ses lèvres pour l’allumer de plus belle.
Ayant provoqué un bouchon derrière nous alors que des véhicules nous déboulaient sans interruption à grande vitesse sur la voie de gauche, j’accélérai et me rabattais devant le voyeur. La, il devint comme un fou, rajoutant des appels de phares à son concert de trompe, il actionna son clignotant droit.

« Euh… Je crois qu’il me fait signe de rejoindre la prochaine aire de repos » dis-je à Christy. Les panneaux de signalisations indiquaient que la bretelle menant à celle-ci se trouvait à deux-mille mètres.

« Ouais, super idée ! Vas-y. »

« Euh, tu es sure ? »

« Oui vas-y, vas-y… » me répondit-elle autoritaire et si empressée que je m’exécutais, incrédule. Ayant pris un peu d’avance, sur lui, je me garais à l’écart des autres véhicules parqué là, tirais le frein à main et regardai Christy.

« Tu m’enlèves la cage ? » lui demandais-je penaud

« Euh… non. On verra ça ce soir si tu es sage. » me dit-elle d’un ton taquin affichant une moue moqueuse.

« De toute façon, toi tu restes là, j’en ai pas pour longtemps » et elle claqua la portière sans me laisser le droit de protester.

Et s’engouffra dans la cabine du tracteur qui venait juste de s’arrêter à coté de nous. L’apercevant furtivement je vis que le gars était vieux, chauve et bedonnant, ils montèrent tous les deux sur sa couchette, dont il tira les rideaux. J’étais frustré et me sentis humilié une fois de plus, je sortis fumer clope sur clope. Elle en ressortit une demi-heure plus tard, les cheveux ébouriffés, les joues rouges et la jupe en bataille. Venant à moi, elle m’attrapa par le cou et me roula une pelle poisseuse au gout acre.

« On y va ? » dit-elle simplement, me laissant sur le cul.

Elle s’endormit quelques kilomètres plus loin, bercée par le ronron du moteur, et ne se réveilla qu’une fois en bas de notre immeuble. Une fois dans l’appart, je filai dans la cuisine préparé le repas, elle alla prendre une douche. En sortant de la salle de bain, le corps entouré d’une grande serviette de bain qui la recouvrait d’au-dessus des seins jusqu’en bas des fesses, elle vint se coller à moi pour m’embrasser. Je l’enlaçai, prolongeant ce baiser, elle fit de même, mettant ses bras autour de mon cou, ce qui fit tomber la serviette, dévoilant son corps aux formes merveilleusement sensuelles. Je senti monter mon envie d’elle, ne l’ayant plus étreinte depuis trois jours. Mais, espiègle, elle posa sa main sur ma cage, interrompit notre baiser en penchant la tête en arrière et me tira la langue en signe de défi, avant de s’extirper de mes bras pour traverser le salon en courant vers la chambre.


Ses cheveux mouillés étaient eux aussi ceints d’une serviette plus petite qui me resta dans la main lorsque je tendis le bras d’un reflex pour tenter de la retenir. Celle-ci étant bien mouillée, je la roulai sur elle-même et marchai tranquillement vers la chambre. Me voyant, elle se mit à rire nerveusement, passant d’un coté à l’autre du lit en courant par-dessus d’un air de dire « attrape-moi si tu peux ». Mais pendant cette pantomime, je m’approchai très discrètement pas à pas sans qu’elle ne s’en aperçoive et, lors de sa quatrième virevolte, je lui saisis fermement la cheville. Elle s’étala de tout son long à plat ventre. Alors, je lui sautai dessus pour la plaquer sur le lit et lui frappai les fesses de toutes mes forces avec la serviette humide, jusqu’à ce quelle me donne enfin la clé de ma délivrance.


Ne sachant si je lui avais mis ces coups par jeu ou par nerf, malgré qu’elle les eût appréciés, elle réalisa qu’elle était peut-être aller trop loin dans la provocation. Et, lorsque je me mis à pleurer, les deux mains sur les tempes, parce que je savais, moi, que j’avais perdu mes nerfs et que je m’en voulais terriblement pour ça, elle vint m’enlacer à son tour, me serrant fort mais tendrement, me faisant plein de bisou en me disant « pardonnes moi » plus d’une dizaine de fois. Nous tombâmes allongés, elle m’enlaçant toujours, et mes sanglots s’arrêtèrent. Je lui dis :

« Pardonne-moi toi aussi d’avoir perdu mon sang froid, et de t’avoir molestée. Mais tu sais, il y a un temps pour tout. Et le consentement vaut pour chacun de nous. »

« J’ai compris mon amour, excuses moi. Je me suis laissée emporter par l’excitation que j’ai accumulée tout au long du weekend et je n’ai pas su m’arrêter, je ne t’en veux pas, tu as eu raison, il me fallait un tel choc pour reprendre mes esprits et retomber sur terre. Tu m’en veux, toi ? »


Elle m’avait posé cette dernière question avec une tristesse si sincère que, pour toute réponse, je lui fis l’amour comme un dieu, dans une douceur exacerbée d’un romantisme torride. J’en avais extrêmement besoin, pour enfin la retrouver, et je crois qu’elle aussi. Après nous être simultanément extasiés dans les limbes d’un orgasme cosmique, nous nous endormîmes, toujours enlacés et moi toujours en elle.


Evidemment, une aventure si intense et de nature si perverse ne pouvait que laisser des traces. Celle des corps s’estompaient avec le temps. Mais n’y en avait-il pas d’autres, indélébiles, dans nos cœurs, nos esprits et nos âmes ? Toujours cette épée de Damoclès qui pendait au-dessus de nos têtes. D’instinct, nous calmions le jeu quelque temps. Après quelque temps, Christy me dit que ses amies souhaitaient se faire une soirée entre fille, sans leurs maris ni moi, et voulaient qu’elle en fût car cela ne s’était plus produit depuis que nous étions en couple. A part une d’entre elle qui était ravie de la voir heureuse et épanouie avec moi, je savais que les autres ne m’appréciaient pas, se demandant ce qu’elle foutait avec un mec si vieux. Naturellement, je l’encourageais à y aller, lui disant que cela ne pouvait lui faire que le plus grand bien, et que l’amitié étant un joyau si rare, il fallait la cultiver comme une fleur fragile. Elle sauta de joie, me sautant au coup en m’embrassant.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Genial il me tarde vraiment la suite. Merci de ce partage

Juste révélée...
Merci YJ
Je suis content que tu continu à me suivre assidument.

Histoire Erotique
Mon cher Oli, tu as créé une nympho
YJ



Texte coquin : Si Jeune et jolie Christy – XII
Histoire sexe : Une rose rouge
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