Si Jeune et jolie Christy – XI

- Par l'auteur HDS olifougueux -
Auteur homme.
  • • 12 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de olifougueux ont reçu un total de 31 536 visites.
Récit libertin : Si Jeune et jolie Christy – XI Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 266 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Si Jeune et jolie Christy – XI
Sylvia et Gérard M. – un weekend hors du temps –


Christy, sans y avoir songé une seule seconde lorsqu’elle avait suivi Gérard si spontanément, venait de réussir son examen de passage. Gérard, qui venait de l’asservir de main de maître avec une aisance déconcertante, la fit se lever face à l’audience le corps bien droit et les bras bien tendus le long de ces flancs. Elle semblait avoir compris intuitivement, sans qu’il ne dise mot, qu’elle devait restait ainsi, immobile, au garde-à-vous, jusqu’à ce qu’il n’en décide autrement. Je la savais fan de jeux de rôles, mais j’étais fasciné de voir comment elle se précipitait, inconsciemment, dans celui-ci, paraissant en deviner les règles de façon toute naturelle, sans qu’on eût à les lui expliquer, révélant un talent inné de soumise parfaite.


Gérard disparut quelques instants dans la zone plus sombre, où il alla décrocher, d’une espèce de râtelier fixé au mur, un large collier de cuir noir, portant une plaque de métal, sur laquelle étaient gravés ces mots : « Propriété de Maître G. M. ». De l’anneau de celui-ci pendait une laisse constituée d’une chaine qui se terminait par une poignée en boucle de cuir. Revenu dans le dos de Christy, il lui ceignit ce collier autour du cou et regroupa ses cheveux blonds dans sa main. Là il murmura quelque chose à son oreille et Christy, obéissant au murmure, se saisit de sa propre crinière pour ne pas qu’elle le gênât pendant qu’il verrouillait le collier dans sa nuque.


Moi, en bon disciple de Candaule, complètement obnubilé par cette scène, je l’observais me déposséder de la femme que j’aimais, à son propre bénéfice, incapable de toute réactions, mais ressentant un petit plaisir coupable teinté de jalousie. Il venait de la subordonner, sans peine aucune, avec l’assurance que lui conférait son autorité naturelle. Elle, lui avait succombé en toute inconscience, comme envoutée, sans même lutter. Il lui saisit le poignet lui faisant relâcher sa tignasse, le releva jusqu’à ce que son bras fût tendu et lui fit faire un demi-tour, révélant son dos à la foule. Passant son autre main sous la jupe courte, il descendit sa sage culotte à mi-cuisse et coinça l’ourlet de la jupe au niveau de la ceinture, dévoilant les fesses écarlates, qu’il malaxa longuement sous les regards appréciateurs des badauds. Ces manipulations faisaient apparaitre les traces blanches éphémères de ses empreintes, disparaissant aussitôt qu’il déplaçait ses doigts, laissant le sang récupérer l’endroit.


Après cinq bonnes minutes, il interrompit ces caresses, repositionna son bras le long de son tronc, et s’accroupit en descendant la culotte à ses pieds. Toujours sans qu’il n’ait besoin de le lui ordonner, elle souleva les pieds l’un après l’autre pour libérer le sous vêtement, qu’il étira après s’être relevé, révélant une tache indécemment humide qu’il fit défiler, d’une rotation de torse, devant les regards de toute l’assemblée, d’où monta une clameur approbatrice. Les joues de Christy prirent une teinte pourpre qui révélait sa gêne, pourtant jubilatoire, de voir humiliamment étalée au grand jour par son bourreau, la vicieuse jouissance, qu’elle avait éprouvé à être ainsi, publiquement et sévèrement maltraitée. Je me senti, alors, très fier d’elle.


Lorsque cessa la clameur du public, il roula le slip en boule et le lui enfonça dans la bouche sans qu’elle ne se rebelle. Sous la poussé de sa main, au creux de ses épaules, elle se pencha en avant, effectuant comme le salut révérencieux d’une artiste, qui déclencha une salve d’applaudissements, non pas hystériques, mais cérémonieux. Christy réalisa alors, qu’elle venait de subir sa propre intronisation sous le parrainage de Maître G.M., à qui elle appartenait désormais, dans sa nouvelle identité de soumise. Il lui appuya sur le bas du dos pour la faire se mettre à quatre pattes et tira sur la boucle de la laisse pour la ramener vers nous. Elle le suivit ainsi, comme une chienne, le cul marqué exposé à la vue de tous, ondulant lascivement au rythme de cette marche dégradante.


Beaucoup des convives s’adonnaient à leurs vices, toutes les pièces du donjon résonnaient de pleurs, de gémissements, de bruits d’instruments de tourment, de cris et chuchotements. Il n’y en avait plus une de libre. La grande salle principale où nous étions, en était mécaniquement moins garnie, mais toujours abondamment peuplée. Pendant le lent retour vers nous de Gérard et Christy, Sylvia avait étalé une couverture au sol, entre la table basse et la banquette. Gérard s’était rassis de l’autre côté de Sylvia et Christy était maintenant recroquevillée en position fœtale sur la couverture, la joue plaquée sur le dessus de ses rangers, au bas de son pantalon de cuir noir, surmonté d’un débardeur de routier de la même couleur.


Ce marcel mettait en valeur ses pectoraux volumineux, laissant nues les épaules puissantes qui surplombaient ses biceps saillants, rayé par de larges veines gonflées. Au bout de ces longs bras musclés, de la main droite il caressait sa chienne, la gauche était posée sur la cuisse nue de sa femme. Depuis qu’elle s’était levée pour le suivre, Christy ne m’avait pas jeté un seul regard, complètement subjuguée par cet homme, comme s’il l’avait hypnotisée. Autant elle avait une aversion pour Sylvia, autant elle semblait aduler Gérard. Moi, c’est comme si je n’existais plus pour elle. Voyant mon malaise, Sylvia se leva et me tendit sa main, comme l’avait fait son mari avec Christy, pour m’inviter à la suivre.


Une fois sur la scène, elle me poussa vers la croix de Saint André, dos à la salle, dans laquelle le silence venait de s’abattre à nouveau. Se glissant entre moi et la croix, elle s’accroupit et délassa mes chaussures avant de me les retirer, ainsi que mes chaussettes. Elle se releva et déboutonna lentement ma chemise en me fixant des yeux. Puis, la retira en la faisant glisser le long de mes bras. Dans ce geste, sa bouche s’était rapprochée de la mienne, si près que seuls quelques millimètres ne les séparaient plus. Je sentis son souffle chaud pénétrer entre mes lèvres entrouvertes, puis descendre sur la peau de mon torse, poursuivant sur mon ventre, au fur et mesure qu’elle accompagnait la décente du tissu. Lorsque celle-ci fut totalement dégagée, Sylvia se retrouvait de nouveau accroupie, les yeux à hauteur de mon sexe. Elle le libéra après avoir dégrafé ma ceinture et la braguette de mon jean, en tirant sur celui-ci en même temps que sur mon boxer.


Alors, nu comme un ver, elle me poussa contre la croix aux extrémités de laquelle elle referma les bracelets de cuir sur chacun de mes membres. Pieds et poing liés, je ne pouvais plus ni m’échapper, ni esquiver ce qu’elle me réservait. Elle s’engouffra dans la pénombre rouge, jusqu’au râtelier, et en revint avec une cravache. Pour être plus à l’aise, elle retira sa redingote qu’elle déposa soigneusement sur le cheval d’arçon. Sans la voir, j’entendis ses talons se rapprocher, s’arrêter et, sans aucun signe précurseur, je ressenti une douleur cinglante qui me donna l’impression de m’avoir entaillé la fesse gauche, comme un coup de machette fendrait une pastèque. Je ne pus retenir le « AAAH » assourdissant qui sortit de ma bouche en un râle profond. Sylvia répéta ce geste quatre fois, descendant de quelques centimètres à chaque fois, avant de me contourner pour m’infliger un traitement identique sur la fesse droite.


Je ne pouvais bien sûr le voir sur l’instant, mais ces coups avaient imprimé sur mon cul comme un tatouage tribal d’un bleu virant rapidement au pourpre. On aurait dit des points d’exclamation horizontaux, parallèles et superposés, comme encageant mes fesses, et dont la brulure mettait longtemps à se calmer. Sylvia, de retour au chevalet, revint cette fois avec un fouet dont la longueur la tint plus éloignée de moi. D’un geste élégant, agile et puissant, elle dessina une diagonale partant du haut de mon omoplate droite jusqu’à ma fesse gauche. Sa maitrise était redoutable, l’impact plut sur ma peau avec une telle force qu’il ne nécessita aucune répétition, elle atteignait sont but et sa cible immanquablement. Elle reproduisit une marque symétrique du côté opposé qui, associée à la première, reproduisit sur mon dos l’image de la croix dont j’étais prisonnier. Enfin, d’un dernier coup de bas en haut, d’une précision impeccable, elle lacéra mes bourses et mon gland qui pendaient entre mes jambes, exposés, vulnérables.


La douleur infernale en résultant me fit ployer les jambes. Plus suspendu que par les liens de mes poignets, il me fallut trois minutes avant de pouvoir me relever, transpirant et haletant comme un animal blessé. Ne faisant cas de ma souffrance, Sylvia partit reposer son instrument de malheur, puis revint et me détacha enfin. Elle n’eut évidemment pas besoin d’écarter mes cheveux pour me ceindre un collier presque identique à celui de mon aimée, dont la seule différence résidait dans la gravure. J’étais désormais « « Propriété de Maîtresse S. M. » Ça ne s’invente pas, ses initiales la prédestinaient ! Elle tira la laisse vers le bas pour me faire agenouiller, j’eus alors droit au même genre d’applaudissements qui avaient salué Christy, mais avec l’impression qu’ils s’adressaient plus à la prestation de Sylvia qu’à la mienne. Nous rejoignîmes alors notre alcôve, Maîtresse S.M. marchant devant moi, qui la suivais à genou comme un chien, le nez collé à son cul.


Assis fesses sur talons, aux pieds de Sylvia, sur la couverture, et ma joue sur sa cuisse, je comprenais enfin ce que pouvait ressentir ma chérie vis-à-vis de son nouveau maître. Nous étions devenus leur couple soumis et, étrangement, nous avions le sentiment que rien ne pouvait plus nous détacher de nos maîtres respectifs. En dépit des traitements douloureux qu’ils venaient nous infliger, nous nous sentions en sécurité auprès d’eux. Christy était totalement calme et sereine, elle ne montrait plus aucun signe de peur. Moi, je ne ressentais plus la douleur lancinante de mes blessures que comme le doux rappel de mon appartenance, dès lors actée, à cette femme magnifique, aussi belle que cruelle, et dont la chaleur de la douce main gantée de soie, qu’elle avait posée sur le creux du bas de mon cou, là où vient s’arrimer le trapèze, se diffusait en moi tel un baume apaisant aussi bien pour mon corps que pour mon esprit.


La soirée continua, sans plus de sollicitude pour nous, telle que nous l’avait prédite Gérard. C’était un défilé de soumis, hommes ou femmes, parfois homme déguisé en femme, tous apparemment impatients et avides de châtiments impitoyables, que se faisaient un plaisir de leur délivrer une horde de dominants sadiques. Certaines de ses punitions étaient bien plus dures que ne l’avaient été les nôtres. Mais Christy ne clignait plus des yeux, au contraire, elle observait d’une attention fervente, les supplices les plus cruels et les réactions qu’ils entrainaient, sans sourciller. Nous assistions à cette cour des miracles, où la plèbe du stupre suppliciait la vertu sur l’échafaud du vice, de nos regards amorphes. Nos esprits embrumés ne connaissaient plus l’heure, nous étions hors du temps, et nous n’en avions cure.


Peu à peu, la plupart des soumis eurent reçu leur dû, comme le confirmait la grande quantité de corps bien lacérés, reposant çà et là aux pieds de leurs bourreaux. C’est à ce moment-là, qu’une vision soudaine et familière nous sortit de notre torpeur, Christy et moi. Marchant droit vers l’estrade, un vieil homme gaillard avait dans son sillage une blonde dodue, les amis de Sylvia, qu’on connaissait déjà, nous avions reconnu. Lui était paré de la même tenue que celle de Gérard, tel un jumeau parfait, partenaire de vice. Elle, était quasiment nue, seul un harnais de cuir, fait d’une multitude de lanières fines, donnait à son corps gras l’aspect d’un beau rôti, prêt à être enfourné. Hormis cela, fidèle à mon souvenir, adipeuse à peau d’albâtre, elle aurait très bien pu s’être échappée d’une toile du grand Rubens ou du non moins célèbre Botero.


Je me demandais ce qu’il allait lui faire et les examinais attentivement. Une fois debout au centre de l’estrade, il lui fit lever les deux bras bien tendus afin de faire descendre les chaines des deux palans à hauteur de ses poignets auxquels il les attacha solidement. Actionnant simultanément les deux poulies, il la décolla du sol de vingt bons centimètres et poussa le lourd tréteau pour le positionner une cinquantaine de centimètres devant elle. Une par une, il lui souleva les jambes qu’il fit reposer dessus au niveau du pli du genou avant de lui lier les chevilles au pieds de bois. Puis, il fit redescendre les chaines jusqu’à ce que sa chatte se retrouve exposée à tous, bien ouverte et pleinement accessible. Il plaça alors un vibromasseur en forme de micro dont il colla la partie sphérique à son clitoris, le maintenant fermement avec un large ruban adhésif qui lui ceinturait le bas-ventre.


En un geste final pour parfaire cette préparation, il lui appliqua un bâillon-boule, et nous allions vite comprendre pourquoi ! Dès qu’il actionna l’interrupteur, les vibrations du vibro la firent se tortiller autant qu’elle le put en étant restreinte par le tréteau. Son torse balançait de droite à gauche tandis que son bassin s’arc-boutait répétitivement. Ses gémissements s’élevèrent en ondes puissante de sa bouche d’où commençaient à pendre des filets de bave sous l’effet du bâillon. Sa chatte, dont les muqueuses gonflées écartelaient les lèvres dans un début de prolapsus, s’humidifia très vite pendant que son mari s’enduisait abondamment, avec flegme, les mains de vaseline. Alors, sans trop de délicatesse, il enfonça un par un ses cinq doigts dans son vagin avant d’y faire enter sa main entière. Ses gémissements cessèrent car elle rugissait maintenant, agitant son corps de plus en plus frénétiquement. Après l’avoir bien trifouillé, il retira sa main d’un coup déclenchant un geyser orgasmique qui retomba en pluie sur les plus proches spectateurs, pourtant éloignés de deux mètres !


Sans attendre qu’elle ne se referme, eusse encore été possible, il ferma le poing fermement qu’il lui renfonça aussitôt dans la foufoune, commençant une longue série d’entrées-sorties sans ménagement. Elle fendait désormais les tympans alentours en hurlant comme une truie que l’on égorge, mais plus de plaisir que de douleur, comme en témoignaient les innombrables éruptions de cyprine qui ponctuaient chaque aller-retour du poing envahisseur, dans le cratère du volcan vaginal. La lave de son plaisir se répandait, limpide, sur la scène dont le bois ne pouvait pas tout absorber. Lorsqu’il mit fin à son calvaire orgasmique en retirant définitivement sa main, le prolapsus mature éclata comme un bourgeon au printemps, laissant apparaitre deux grosses boules de sorbet à la fraise, pressées entre elles par le cornet du vestibule vulvaire, et qui pendaient entre ses grosses cuisses blanches en un contraste si appétissant, que j’aurais volontiers léché et suçoté ces globes de chair rose.


Fan de fisting, je triquais dur assis par terre, Sylvia s’en aperçut et posa son talon ma bite, comme pour revendiquer la maitrise de mon excitation. La blonde pendait toujours aux chaines, encore secouée de convulsions faiblissantes. Une fois détachée, elle dut passer un bras sur les épaules de son mari pour ne pas tomber et le suivre péniblement jusqu’à nous en écartant les jambes. Il était tard, nous rentrâmes tous les six chez Sylvia pour nous reposer en prévision du long samedi qui nous attendait. Arrivés dans son salon, Elle me fit m’allonger sur un divan et m’attacha les mains dans le dos et les chevilles entre elles, puis c’est la laisse qu’elle noua au pied du meuble, me condamnant à passer la nuit seul dans une position inconfortable.


Je vis alors Gérard accompagné de son complice, entrainer ma Christy en tirant sur sa laisse, dans une chambre voisine, dont ils laissèrent la porte ouverte, tandis que la blonde et Sylvia allèrent s’isoler dans sa chambre. Malgré les courbatures et la fatigue, je mis longtemps à m’endormir, gêné et excité par les gémissements de Christy qui fut baisée par les deux comparses durant une bonne partie de la nuit, maintenant ma verge dans une érection douloureuse. Je fus réveillé en fin de matinée par elle qui, à califourchon au-dessus de mon visage contre lequel elle frottait sa vulve poisseuse de sperme, soupirait de plaisir, devant les regards goguenards du reste de la bande dont j’étais la risée. A croire qu’elle n’avait pas assez joui seulement quelques heures auparavant. Après un repas frugal arrosé de café, nous reprîmes la route du donjon en début d’après-midi.


Il pleuvait et le gris sombre des nuages accentuait l’ambiance lourde dans laquelle nous baignions depuis la veille au soir. Christy suivit ses deux amants, disparut avec eux je ne sais où, dans le dédale de couloirs qui serpentait dans l’enfilade de pièces. Je fus emmené par les femmes jusqu’à la grande salle, toujours nu et les mains attachées dans le dos. Je constatai d’emblée le changement de décor, un grand lit ronds recouvert de vinyle noir trônait maintenant au milieu de l’estrade, devant la croix de saint André. Le prie-Dieu, le cheval d’arçon et le tréteau avaient disparu, il ne restait plus, de chaque côté du lit, que le pilori et la table à attaches. Je n’avais pas remarqué le grand rideau noir pouvant être déployé, le long d’une longue tringle, pour séparer la croix du reste du lieu.


La blonde callipyge, plus petite, s’occupa de m’entraver les chevilles à la croix pendant que Sylvia faisait de même avec mes poignets. Sur l’injonction de ma Maitresse, elle alla chercher un plateau sur lequel étaient disposés un bâillon-boule, deux pinces téton reliées à des poids et une cage de chasteté en métal relativement courte. Après m’avoir équipé de tout cet attirail, elles contemplèrent leur œuvre brièvement en malaxant à tour de rôle mes couilles comprimées contre le tube par la bague de la cage. Puis, apparemment satisfaites, elles tirèrent le rideau et me laissèrent seul pendant une demi-heure qui me sembla être une éternité. Et comme disait Desproges, « l’éternité c’est long, surtout vers la fin ! »


Une rumeur grandissante de gens pénétrant dans la salle me parvint soudain aux oreilles, devenant brouhaha au fur et à mesure que leur nombre augmentait, avant que le silence ne revienne. Celui-ci fut rompu par le claquement caractéristique des talons métalliques de Sylvia que j’entendis venir vers moi. Elle ouvrit le rideau, m’exhibant, pitoyable, à la vue du public. Démarrant tout près de l’estrade, je vis deux rangées parallèles d’éphèbes nus et bien membrés, J’en dénombrais trente-six, formant une haie d’honneur allant presque jusqu’à l’entrée de la pièce. Entrée dans laquelle apparut ma Christy, toujours encadrée par Gérard et son acolyte.


Elle aussi avait été soigneusement apprêtée, montée sur deux escarpins à plateforme et talon aiguille, qui rendait la cambrure de son cul caricaturale et sa démarche hésitante, elle portait des bas auto-fixant montant au-dessus des genoux. Un corset de cuir noir lui entourait le ventre, donnant le change à son collier de chienne, laissant nus sa poitrine et son sexe. Ses cheveux étaient noués haut à l’arrière du crâne, en une queue de cheval, ce qui lui dégageait complètement le visage, maculé d’un maquillage digne d’une star du X.
Je n’avais alors plus aucun doute sur ce qui allait ce qui allait suivre. Et, bien évidemment, j’étais tiraillé entre la jalousie de voir comment ils se l’étaient accaparée et la traitaient comme un objet, avec toute sa complaisance, et l’état d’intense excitation dans lequel la perspective de ce spectacle me mettait. Un filet de pré-sperme sortant de mon gland pendait de la cage, trahissant mon envie pernicieuse de voir ma femme se faire défoncer par une horde de Apollons vigoureux.


Apollons dont les mandrins volumineux s’étaient tous mis au garde-à-vous en découvrant Christy, lui barrant presque la route. Pendant que son complice la rendait aveugle en lui bandant les yeux, Gérard lui expliqua les règles du jeu auquel elle devait se soumettre. Il s’agissait de rejoindre l’estrade sans chuter en marchant bien en ligne droite. Bien sûr, la hauteur des talons et l’absence de vue, rendait la réussite de la tâche plus que périlleuse. Mais il lui accorda un joker : elle pouvait s’aider des membres turgescents jalonnant le chemin, pour se guider. Et il précisa que seules les bites qu’elle aurait utilisées obtiendraient le feu vert pour la baiser. Et devinait quoi, Elle n’en manqua pas une ! Elle remporta ce colin-maillard lubrique avec brio.


Avançant à pas de fourmi, elle détectait à tâtons chacun de ces bâtons avec succès, sans dévier de sa trajectoire, les attrapant fermement, l’un après l’autre, comme autant de cannes d’aveugle. A chaque organe qu’elle découvrait ainsi, je voyais un rictus sur le bas du visage, n'eusse-t'elle eut les yeux bandés, on eut pu voir un air de réjouissance ravie devant un amas de cadeaux de Noël. Tout cela sous les encouragements fervents du public, qui l’applaudit à tout rompre, lorsqu’elle atteignit enfin, sans encombre, la scène. Ils bavaient tous d’envie de la voir se faire enfiler comme la plus grande des salopes certes, mais pouvoir contempler, de surcroit, mon humiliante impuissance devait les réjouir d’autant plus.


Gérard et l’autre vinrent lui libérer la vue et l’invitèrent à se positionner au pilori, poignets et cou dans les encoches. La foule s’était massée au plus près de la scène, aux deux premiers rangs de laquelle se pressaient les trente-six étalons, déjà dans les starting-blocks. Le visage de Christy était rouge d’envie, impatiente elle était, de se faire tringler. Gérard, en bon propriétaire, s’octroya privilège de passer le premier, dans sa chatte trempée, offrant gracieusement la faveur identique à son fidèle pote, qui put bénéficier librement de sa glotte. Pendant que celui-ci lui ramonait la gorge, Gérard lui enfonça deux doigts dans la boutique, qu’il agita bien fort amorçant la fontaine. L’estimant alors prête, il retira ses doigts, lui enfonça son dard tout au fond du vagin, et enchaina alors des va-et-vient bestiaux, qui claquaient fortement les fesses de ma belle, contre son ventre de chaud. Son autre extrémité, qu’occupait l’assistant, étant bien obstruée, gargouillant et bavant.


De concert ils jouirent, inondant gorge et chatte, d’abondante semence d’où elle débordait. La libérant alors, de l’engin maléfique, tous deux ils la guidèrent, vers la couche arrondit, qui allait devenir le temple de luxure, où elle était livrée en lubrique pâture. Elle regardait les mâles les uns après les autres, le regard plein d’envie de ces corps magnifiques, de ces phallus dressés, gigantesques menhirs, dont elle était la cause des érections sans faille, signe de leur désir pour son corps diabolique, qui incitait au sexe d’outrancière façon. Et sur un simple geste de Maître Gérard M., la horde s’élança vers le pré du bonheur, comme un nid de frelons excité par l’odeur du festin délicieux que promettait la fleur, de ma mie adorée, exhalant pour ces hommes toutes ses phéromones.


Ce fut un festival, un beau feu d’artifice, d’une troupe d’Alphas prenant ses orifices, se relayant sans fin, animés par le vice, aux creux de tous ses trous, remplissant ses calices, de leurs nectars si doux, tièdes et onctueux. Dans son intimité, tous, à chacun leur tour, entrèrent plusieurs fois pour lui faire l’amour, s’acharnant cœurs et âmes, poussant des râles sourds, voulant rassasier les besoins de ma belle. Elle, s’abandonnait, victime consentante, aux désirs de ces mâles toujours inépuisés, se roulant dans leur foutre, sur elle éparpillé où suintant de ses trous jamais rassasiés. Dans cette fange blanche elle finit inerte, tout comme une poupée sur la couche évanouie, où ils l’avaient troussée une heure sans répit, sans jamais débander, aucun n’avait failli. Et sur son doux visage, malgré ses traits tirés, on lisait le bonheur qu’elle avait éprouvé, au cours de ces saillies qu’elle avait accordées.


Gérard était aux anges, semblait très satisfait, il pouvait être fier de sa blonde soumise, après sa prestation de salope effrontée, petit’ chienne en chaleur, égérie de ses vices. La prenant dans ses bras, il l’emmena ailleurs reprendre ses esprits, en m’arrachant le cœur. Elle ne put plus me voir et Sylvia le savait, le champ lui était libre pour abuser de moi, sans la rendre jalouse puisqu’elle n’était plus là. Avec sa chère amie, elles me détachèrent, m’assoyant sur le lit du terrible adultère, maculé de cyprine et de semence blanche. Elle me poussa au front, je chus, dos dans ce foutre, puis m’enjamba le torse et se mit à genoux, positionnant sa vulve en surplomb pectoral, comme à califourchon on domine un cheval.


Son body dézippé par la belle gironde, délivra son minou passablement vorace, qui d’un grand appétit avala sans détour, de cette Peggy blonde, la main vicieuse et grasse, jusqu’au poignet dodu terminus du bras court. Sylvia, si bien remplie, devint vite hystérique, tombant à quatre pattes, les deux mains dans les flaques, ses nichons avachis aux mamelons plissés, et aux tétins raidis, venaient fouettaient ma face au rythme du piston de ce poignet salace. Soudain rassasiée du vacarme des « flocs », dont chaque clapotis éclaboussait mes pieds, se relevant d’un coup elle arc-bouta son corps, expulsant tout d’un coup cette main ravageuse. J’avais là devant moi, dirigé vers ma bouche, l’œil rose du méat de ma maitresse aimée, bien embusqué au fond du sexe entrebâillé, palpitant et pressé de me donner la douche.


L’ultime contraction du spasme de l’orgasme déclencha le geyser tiède et intarissable, pilonnant mon visage d’une liqueur saline, jaillissant en missile d’un orgue de Staline. Encagé trop longtemps, fou et surexcité, j’ouvris ma gueule en grand, voulant me régaler du doux nectar salé, giclant depuis sa fente en cascade sacrée. Savourant chaque goutte, en voulant toujours plus, j’aspirais comme un fou, tout comme un naufragé, du désert des désirs, atteignant l’oasis des mille et un orgasmes, qu’il recherchait sans fin. La bête enfin calmée, elle s’écarta de moi, laissant la place enviée à la disposition, de femmes enflammées qui attendaient leurs tours. C’étaient de vraies furies, des lionnes en cage, ruant dans les brancards pour se jeter sur moi, agitant tous leurs doigts dans leurs fentes mouillées, se soulageant sur moi comme pour se venger du fait que ma Christy eut monopolisé tous les mâles présents. Moi j’étais humilié, souillé des sécrétions, vindicativement, sur mon corps, répandues, de Maitresse Sylvia, que de ses volontés, je ne dépendais plus.


Que d’émotions intenses nous venions de vivre. Mais il était tard, nous étions tous exténués, alors nous fîmes un break en attendant la suite…

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Si Jeune et jolie Christy – XI
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par olifougueux

Si Jeune et jolie Christy – XI - Récit érotique publié le 07-11-2025
Si Jeune et jolie Christy – X - Récit érotique publié le 26-10-2025
Si Jeune et jolie Christy – IX - Récit érotique publié le 19-10-2025
Si Jeune et jolie Christy - VIII - Récit érotique publié le 18-10-2025
Si Jeune et jolie Christy - VII - Récit érotique publié le 15-10-2025
Si Jeune et jolie Christy - VI - Récit érotique publié le 11-10-2025
Si Jeune et jolie Christy - V - Récit érotique publié le 09-10-2025
Si Jeune et jolie Christy - IV - Récit érotique publié le 07-10-2025
Si Jeune et jolie Christy - III - Récit érotique publié le 25-09-2025
Si Jeune et jolie Christy - II - Récit érotique publié le 24-09-2025