Si Jeune et jolie Christy – XIV

- Par l'auteur HDS olifougueux -
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Récit libertin : Si Jeune et jolie Christy – XIV Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Si Jeune et jolie Christy – XIV
Nouvelles découvertes – Un rêve à portée de main


Cette fois, c’est Christy qui vint vers moi pour me demander si j’avais aimé cette nouvelle expérience. Faisant allusion à l’orgasme fulgurant que j’avais éprouvé pendant qu’elle me racontait ses exploits, je lui demandai ironiquement si elle ne s’en était pas aperçu.

« Si » me dit-elle, « mais je voulais être sûre qu’il était dû à ce que je t’ai raconté. Et pas seulement à ton envie de moi. »

« Les deux mon amour, bien sûr. Et pour que tu sois sûre que j’ai adoré l’expérience, tu peux recommencer quand tu veux. »

« Oh, gros coquin, tu m’encourages ? »

« Absolument ma chérie. Mais attention ! » La prévenais-je. « À l’unique condition que tu me raconte tout en revenant. »

« Oh, ne t’inquiète pas pour ça mon amour, ça m’excite tellement de te chauffer en te parlant de ce qu’a fait ta salope sans toi… »

Il est vrai que j’avais beaucoup apprécié, malgré les angoisses que j’avais dû affronter, mais je savais surtout que lorsqu’elle gouttait à quelque chose qui lui plaisait, elle ne pouvait plus se retenir. Alors, de temps en temps, quand elle rentrait le soir à l’appart j’avais droit à ce qu’elle me raconte une histoire. Ça commençait toujours comme ça :

« Ça va ma chérie, tu as passé une bonne journée ? »

« Oui mon amour, viens j’ai quelque chose à te dire. »

Elle me tirait par la main pour m’emmener dans la chambre.

« Alors voilà, tu as vu que je suis passée faire les courses au supermarché en rentrant du boulot ? »

« Oui, je t’ai vue remplir le frigo. Et ? »

« Eh bien figures toi qu’à force de déambuler dans les rayons, je me suis rendu compte qu’un vieux vicieux me suivait. Chaque fois que je me retournais d’un coup, il détournait vite le regard, mais pas assez rapidement pour ne pas que je m’en aperçoive. Alors, j’ai arrêté de me retourner et je me suis mise à l’exciter. Lorsque je prenais un article en bas d’un rayon, je m’accroupissais le plus possible pour que mon legging rentre bien dans ma raie. Et pour poser l’article dans le caddy, au lieu de le contourner comme je ferais en temps normal, je me mettais sur les pointes des pieds et je me penchais en avant en coinçant la barre poignée dans le pli entre mon bas ventre et le haut de mes cuisses, pour qu’il puisse bien admirer mon gros cul. »


J’étais allongé, jambes serrées, sur le lit, et elle était à califourchon au-dessus de moi, le cul posé sur mon bassin, les mains à plats sur mes pectoraux. Ainsi, elle pouvait sentir directement si son récit me faisait de l’effet, la maline. Et je lui donnais le change, jouant l'idiot cocu, entrecoupant sont récit de commentaires naïfs

« Haha, et alors ? »

« Oui, alors je me suis rendue compte qu’il me suivait toujours, mais qu’il se rapprochait de plus en plus de moi. Pour m’assurer que j’étais bien le centre de son attention, j’ai quitté les rayons alimentation pour aller au rayons vêtements. Et je suis allée au rayon sous-vêtements féminins. Là, je fis semblant de chercher une culotte et un soutif, prenant en mains les articles les plus sexy, avant de les rependre après les avoir observés sous toutes les coutures (ou plutôt les dentelles hi-hi). »

« Et il t’a suivi ? »

« Oui, alors j’ai fait exprès d’en faire tomber un pour pouvoir re-exhiber mon cul en le ramassant ! »

« Ah ! »

« Oui, et tu sais c’-qu’il a fait, ce porc ? »

« Non. »

« Eh ben il m’a mis la main au cul le salaud ! »

« Nooon !? »

« Si. Alors je me suis retournée, je lui ai mis une baffe et je lui ai dit : « Dit donc vieux pervers, tu veux que j’appelle les vigiles ? » d’un ton bien menaçant. T’aurais vu ça, il savait plus où se mettre. « Non mademoiselle, ne faites pas ça, s’il vous plait. » qu’il m’a répondu tout penaud. »

« AH, bien fait pour lui, tu l’as bien eu ce salopard »

« Attends, ce n’était rien comparé à la tête qu’il a fait quand j’ai dit « Alors maintenant que tu m’as bien chauffée, il va falloir que tu m’aide à me refroidir la minette, t’as intérêt de me suivre. » J’ai bien cru qu’il allait faire une syncope ! »

« Haha, tel est pris qui croyais prendre ! Salope ! »

« Oui, enfin il m’a quand même prise lui aussi… Mais c’est pas fini, j’ai foncé vers les caisses en vérifiant qu’il ne s’éclipse pas, j’ai payé mes courses et on est sorti sur le parking en direction de ma voiture. Il faisait déjà nuit. J’ai ouvert le coffre et lui ai dit d’y mettre mes courses. Quand il a eu fini, je me suis assise sur le rebord du coffre, cuisses écartées, lui debout entre elles, j’ai sorti mes seins et sont chibre qui était tout mou. Je l’ai branlé pour qu’il durcisse et lui ai mis une capote. Je l’ai pas sucé parce qu’il avait pas l’air bien propre. Et là, je me suis retournée en me levant, j’ai baissé mon legging aux genoux, je me suis penchée en posant une main sur le rebord du coffre et, de l’autre, j’ai coincé la ficelle de mon string sur le côté de ma fesse pour dégager mon trou. Qu’est-ce que t’attends du-con ? baise-moi ! Que je lui dis. Alors il m’a pénétrée mais, de peur d’être vu, il tournait sans arrêt la tête dans toutes les directions, pas très concentré sur ce que nous faisions, et il a lâché la purée au bout de seulement cinq allers-retours. »

« Non ! Quel blaireau ! »

« Tu peux le dire. Comme j’avais pas joui, je me suis retournée, me suis rassise sur le rebord du coffre et l’ai fait mettre à genoux. Et là, je l’ai attrapé par les cheveux pour lui mettre le nez dans ma fente, et je me suis frottée la moule dessus jusqu’à ce que je jouisse. Il s’est pris ma fontaine en pleine face, il était trempé. Pendant qu’il remontait son froc, j’ai réajusté mon legging, refermé le coffre, et je me suis tirée vite fait, en le laissant là comme un con. »

Pendant que je l’écoutais religieusement, elle nous avait débraillés tous les deux et s’était empalée sur ma queue, nous amenant à un orgasme simultané en ondulant savamment du bassin. Après quelques minutes de récupération, nous étions en train de nous rhabiller avant de passer à table, quand je lui dis :

« Au fait, t’as vu le journal ? »

« Non. Quoi ? »

« Ils ont installé plein de caméras de surveillance sur le parking du supermarché la semaine dernière à cause des vols répétés de caddy »

« Hmm ! Oups. » fit elle en portant sa main sur sa bouche

On éclata de rire tous les deux avant d’aller manger. Elle était vraiment irrésistible. Et je notais qu’après avoir simulé son plaisir tant de fois durant ses années de mariage, elle ne concevait plus désormais d’avoir de relation sexuelle sans en retirer d’orgasme. Sa plus belle évolution, je trouve.

Une autre fois, elle rentrait bien tard et avant que je n’eusse le temps de l’embrasser, elle me dit :

« Viens, j’ai quelque chose à te dire. »

Décidément, elle devenait insatiable, nous allions sur le lit et, cette fois, elle nous déshabilla direct, puis commença :

« Désolée pour le retard mais, comme je suis sortie du boulot un peu plus tôt que d’habitude, j’ai décidé d’aller faire monter mes pneus d’hiver sur ma voiture. »

« Tu as très bien fait ma chérie. Et le retard, c’est pas grave. »

« Oui mais là, ça n’aurait jamais dû durer si longtemps, j’y était à dix-huit heures trente. Sinon je t’aurais appelé pour te prévenir »

« Ah oui, en effet, trois heures pour changer quatre roues, ça commence à faire ! Que s’est-il passé ? »

« Ben, quand je suis arrivée, le patron m’a dit :

« Bonjour ma p’tite dame, assoyez-vous, vous voulez un café ? »

« Oui, merci. »

Il va jusqu’à la machine m’en faire un, et en revenant, il avait l’air un peu gêné et il me dit :

« Il faut que je vous dise, je n’ai pas une bonne nouvelle. »

« Ah bon, qu’est-ce qui se passe ? »

« Quand vous avez téléphoné pour dire que vous passeriez, on a descendu vos roues de l’étagère et on a vu que vos pneus étaient trop usés. On ne peut pas vous les remonter comme-ça, parce qu’on se mettrait hors la loi. Il faut les changer. »

« Euh, et combien ça coute si je prends les moins chers ? »

« Avec notre marque la moins chère, il y en a pour quatre cent cinquante euros. »

« Oh mais c’est pas possible ! il me reste que trois cent cinquante balles pour finir le mois et j’ai trois enfants à nourrir. »

Comme j’avais remarqué que, depuis qu’il m’avait fait assoir, il n’arrêtait pas d’essayer de reluquer sous ma jupe, j’ai écarté les cuisses et je me suis mise à pleurer. Et là, entre deux sanglots, je lui dis :

« On peut vraiment pas s’arranger ? S’il vous plait. »

« Remettez-vous madame, c’est pas si grave, on va trouver une solution. Moi pour le prix des pneus, je peux faire un geste, mais pour mon employé qui fait le travail je ne sais pas… »

Alors là, je remonte ma jupe jusqu’en haut des cuisses pour qu’il puisse voir mon string déjà humide et je lui dis :

« On peut pas lui demander ? »

Il commence à transpirer et me répond :

« Bon, venez avec moi, il est dans l’entrepôt. »

On sort du bureau par la porte de derrière, on traverse l’atelier vide, il ouvre la porte de l’entrepôt et là il cri :

« Issa, t’es là ? »

« Oui patron, j’arrive. »

Et là je vois débarquer un grand noir aux épaules larges qui m’a fait penser à Youssou, tu te rappelles ? »

« Bien sûr que je me rappelle, tu parles ! La plus grosse bite que tu te sois jamais prise ! »

« Eh ben c’est plus le cas, hi-hi, tu vas voir. Le patron lui dit :

« Voilà, la petite a un problème, elle n’a pas d’argent pour les pneus neufs. Peut-être que si on en trouve d’occase, et qu’on lui fait une fleur sur le prix du montage… »

Il ne répondait pas, il avait pas l’air de comprendre le deal. Alors j’ai carrément relevé ma jupe en dandinant du croupion et en le regardant dans les yeux, et là il a compris de suite hihi. »

C’est à ce moment qu’elle m’enjamba pour se fourrer ma queue dans la tirelire et continua son histoire :

« Il a baissé la fermeture éclair de sa combi bleue et a sorti sa queue, elle était plus grosse que celle de Youssou, j’en croyais pas mes yeux. Énorme ! Sans bander le gland circoncis lui arrivait au milieu de la cuisse. Je me jette à genoux à ses pieds, je crache dessus et je l’avale direct pendant que son patron sort la sienne, grosse aussi mais rien à voir avec celle que j’ai dans la bouche. Là il me relève de ses gros bras musclés et m’emmène jusqu’à une pile de quatre pneus entassés. Il me pousse dans le dos pour que je me penche et mon ventre se pose sur le caoutchouc noir. Quand il s’enfonce en moi, j’ai l’impression qu’il m’écartèle tellement il est large, et me perfore l’utérus tellement il est long. Et je sens même pas encore ses couilles, contre mes cuisses, il en en reste au moins huit centimètres dehors ! »

« Waouw, c’est chaud, t’as encore battu un record ! »

« Ouais, quand il s’est mis à me limer comme un sauvage, j’ai commencé à gueuler si fort de plaisir que son patron est venu me fourrer sa bite dans la bouche. C’était trop bon, il m’a ramonée pendant une demi-heure. Et quand il fut prêt à jouir, il est sorti de ma chatte et est venu dans ma bouche pendant que le patron faisait le tour pour m’enculer. J’ai avalé tout le sperme du grand Issa et son patron à éjaculé sur mes fesses et dans ma raie. Tu le sens ? il en reste encore un peu dans ma fente. »

Sur ce dernier détail, je fus prix d’un orgasme inouï et lui gavai la foufoune à mon tour avec tout le contenu de mes bourses, dont le volume impressionnant n’eut d’égal que la puissance de la jouissance qu’elle venait de m’offrir. Evidemment, ses nouveaux pneus ne lui avaient pas couté cher.


Elle assumait maintenant toutes ses envies sans vergogne. Quand elle voulait qu’un mec la baise, d’une manière ou d’une autre, il la baisait. Elle foisonnait d’idées aussi impromptues que perverses et parvenait toujours à ses fins. Petite agnelle frêle quand je l’avais connue, pas à pas, louve vorace elle était devenue.

À la fois Curieux et néanmoins craintif, j’étais surtout envieux de toujours connaitre au mieux ses sensations afin de trouver l’inspiration pour de nouvelles expériences. J’avais encore en tête une infinité de fantasmes pervers à lui faire découvrir, mais je voulais, par-dessus tout, estimer sa disposition à franchir chaque nouvelle étape, avant de m’employer à faire naitre chez elle de nouvelles envies. Pour les plus vicieuses d’entre elles, une pudeur autant déplacée que maladive m’avait fait, inconsciemment, établir une routine dont Christy n’était pas restée dupe très longtemps, au lieu de lui en parler directement, je le lui faisais regarder des vidéos sur le sujet.


Avec donc, bien sûr, une idée derrière la tête, je la questionnai sur ses nouvelles frasques solitaires :

« Chérie, dis-moi, maintenant que tu te fais souvent baisée sans que je sois avec toi, que préfères-tu, quand je suis là, ou pas ? »

« Ben, je ne parlerais pas vraiment de préférence, j’aime beaucoup les deux, bien que ce que je ressens soit différent dans les deux configurations. »

« Ah bon ! Dis m’en plus mon amour. Quelles sont ces différences ? »

« Eh bien, lorsque tu es là, je suis terriblement excitée par ta présence parce que je sais que tu adores me voir faire ma salope. Alors je surjoue au maximum pour voir cette lueur de bonheur dans tes yeux. Et quand mon regard capte le tien, pendant qu’un autre me prend, ça déclenche immédiatement mes orgasmes qui n’en sont que meilleurs. »

« Oui mais, quand je ne suis pas là, tu jouis aussi, non ? »

« Bien sur mon coquin, sinon, je ne le ferais pas. Mais dans ces cas-là, ce qui m’excite, c’est de penser au moment où je vais tout te raconter quand nous nous retrouverons tous les deux. Parce que je vois bien comment ça te fait jouir. Par contre, dès que je commence à baiser, je me focalise uniquement sur que ce que je suis en train de faire (ou, plutôt, qu’on me fait), ne me concentrant que sur mon plaisir du moment, ce qui me fait jouir bien fort aussi. »

« C’est vrai, tu as raison, moi aussi j’aime bien les deux. Je pense que c’est grâce à la confiance que nous avons l’un en l’autre. J’ai beaucoup de chance que tu sois ma petite salope adorée. Je t’aime tant, tu sais ? »

« Moi aussi je t’aime. »

Et comme souvent à l’issue de ces discussions confidentielles, nous nous embrassâmes tendrement avant de faire l’amour passionnément. Après quoi je lui dis :

« Au fait, cela fait quelque temps qu’on n’a pas fait un truc ensemble, ça me manque un peu, tu ne veux pas qu’on s’organise quelque chose ce weekend ? »

« Ben, c’est con mais… J’ai mes règles. Pourtant j’aurais bien voulu moi aussi. » me répondit-elle, l’air aussi désolée que dépitée.

« Ah je comprends, elles sont douloureuses… »

« Non, j’ai la chance que non. Mais je trouve ça vraiment répugnant, et puis ça sent mauvais, c’est dégueulasse… »

« Oh ! Tu me donnes une super idée. Enfin, si tu veux me faire plaisir… » Rétorquai-je tout excité.

« Oh oui ! Dis-moi, dis-moi. » Supplia t’elle, soudain tout autant excitée que moi.

« Je ne sais pas si ça va te plaire, on ne l’a encore jamais fait, et on n’en a même jamais parlé. » Dis-je en me levant pour aller chercher mon ordi.

Je voyais une extrême excitation briller dans ses yeux, lorsque je revins m’assoir à côté d’elle, le dos appuyé contre la tête de lit, l’ordinateur posé sur mes cuisses tendues. Christy vint se lover contre moi, la joue contre mon poitrail, sa main gauche posée sur mon ventre.


Affichant la page d’accueil d’un célèbre site de streaming de vidéo pornos, je tapai, dans le champ de recherche, celui avec le dessin de la loupe, les mots « Gloryhole – amateur ». Apparurent alors sur l’écran des dizaines de miniatures aux titres explicites.


Me scotchant sur place une fois de plus, Christy, en pointant une du doigt, leva les yeux vers moi avec l’air suppliant et plein d’envie d’une enfant à qui l’on aurait demandé de choisir une glace, et me dit :

« Celle-là, mets celle-là. » M’ôtant par la même toute liberté de choix personnel.

Mais cela n’avait, évidemment, aucune importance, puisque mon but était de découvrir si elle eut pu être attirée par cette pratique particulièrement perverse. Et j’étais, bien sûr, ravi de constater son enthousiasme spontané qui me transporta de joie, rien qu’à l’idée de pouvoir espérer bientôt la voir à l’œuvre en vrai. D’autant plus que le titre de la vidéo choisie était très évocateur : « Son copain la filme vider les couilles de dix chanceux lors de son premier Gloryhole ». Que demander de plus !? Vingt, trente chanceux... ? Je sentis déjà, les prémices d’une érection prometteuse.


Je cliquai donc sur le lien, puis activai le mode plein écran. La vidéo démarra, l’image était de bonne qualité, bien que filmée avec un téléphone portable par un amateur. On y voyait le couple qui venait apparemment tout juste de rentrer dans une cabine un peu glauque. Ils avaient l’air très amoureux l’un de l’autre si j’en juge par la pelle hyper sensuelle qu’ils se roulèrent.


La fille semblait jeune, pas plus d’une vingtaine d’année je pense, et je la trouvai très jolie avec ses cheveux châtains bien tirés en arrière par une queue de cheval et un maquillage léger. Pas un lourd maquillage d’actrice X, destiné à masquer tout « défaut » que pourrait révéler un puissant projecteur de tournage. Non, celui-ci renforçait, aidé en cela par l’éclairage cru du flash du téléphone, le coté naturel et surtout réel de ce film. Et donc, le fait que les protagonistes étaient de vrais amateurs, au sens étymologique du terme. S’adonnant à cela par envie, non pas animés par la motivation vénale d’un cachet dérisoire. Ce qui promettait une sincérité beaucoup plus émouvante que n’importe quel jeu d’actrice simulant mal un plaisir feint, dans une scène lui étant imposée par un script n’ayant que faire de son propre désir.


C’est tout cela, cette ambiance de partage impudique, par des gens « ordinaires », qui portait aux nues l’érotisme exacerbé de leur scénario en le chargeant d’une authenticité pleine de candeur lubrique. Ici, pas question de refaire une prise, ils allaient faire leur numéro sans filets, tels des trapézistes du sexe, acceptant tous les risques et aléas qu’ils s’apprêtaient à affronter, devant les yeux grands ouverts de Christy qui ne quittait plus l’écran, ne serait-ce qu’un court instant. Quant à moi, ma queue durcissait plus encore.

Après leur baiser suave et langoureux, la jeune fille au sourire plus que coquin qui fixait son compagnon, se tenant bien face caméra, entreprit d’ôter son long manteau en le laissant glisser de ses épaules le long de ses bras nus, révélant un corps magnifique et gracile aux courbes affolantes. Son mec attrapa le manteau qu’il posa délicatement sur un fauteuil club qui se trouvait là, dans un coin de la cabine. Par ce geste, il s’impliquait de facto dans le jeu de sa compagne, exhibant non seulement sa complicité, mais également sa grande fierté de cinéaste candauliste. Tout, dans l’attitude de cette magnifique jeune femme, trahissait son plaisir de s’exhiber sans far, dans sa panoplie de salope affirmée.


Elle ne portait rien d’autre qu’un ensemble de lingerie sexy sans équivoque, qui eut été capable de faire s’enflammer spontanément un iceberg, révélant tout de son corps. Ses gestes étaient maintenant ponctués de sourires nerveux et candides, qui me rappelait tant ma Christy, que j’étais aux bords d’une éjaculation prématurée. Elle avait décidément fait un excellent choix en me désignant cette vidéo-là.


La fille de l’écran sortit alors ses deux seins des bonnets C de son soutien-gorge en tulle, l’un après l’autre, puis les saisis, un dans chaque main, et les souleva devant l’objectif en les pressant l’un contre l’autre. C’était une véritable pyromane sexuelle passée maitresse dans l’art de vous mettre le feu. Même Christy semblait séduite, elle, pourtant, pas lesbienne pour un sou. Après avoir mimé de sa bouche un bisou moqueur et aguicheur vers son homme, elle s’agenouilla de profil, faisant maintenant face à la cloison percée, ses tétons durcis la frôlant, et la bouche bien à hauteur du trou. Jetant un nouveau coup d’œil pervers à son caméraman, elle passa ses doigts, aux ongles vernis couleur nacre, à travers le mur, geste convenu pour signaler sa présence et sa disponibilité aux hommes prétendument postés de l’autre côté, désireux et impatients de se faire sucer.


Elle n’eut pas longtemps à attendre, on entendait, en bruit de fonds, des cris d’orgasmes entremêlés, provenant des bandes son de films projetés sur les écrans plats des cabines avoisinantes, de ce que l’on devinait être un vaste sexshop spécialisé. Enfin, le premier organe glorieux pointa son nez dans l’orifice. Elle me laissa pantois lorsqu’elle lui retira d’abord la capote dont il était recouvert, avec une moue de dégout à l’égard de celle-ci, avant de le prendre bien en main, sans hésiter, comme pour en éprouver la raideur, puis d’engouffrer le gland turgescent dans sa bouche, enchainant quatre vas et viens le long de la colonne veinée avant de la recracher.


Là, regardant son copain dans les yeux de la manière la plus provocante qui soit, elle titilla le frein du bout de la langue avant de redescendre jusqu’à la base du pénis anonyme, léchant la hampe de tout son long, en affichant une expression de délectation gourmande, toujours adressée à son mâle. Après avoir répété cinq fois ces manœuvres habiles, dont on ne pouvait douter de l’effet délicieux, on put voir le membre en gros plan, se mettre à frétiller, annonçant l’imminence d’une urétrale éruption, dont le compte à rebours était déjà bien entamé.


Malgré sa précipitation pour le ré-emboucher, elle manqua la première giclée qui s’abattit au milieu de son front, s’étalant en un épais et gluant trait albâtre, allant du haut de son nez jusque dans ses cheveux. Mais, posant la base du gland sur sa lèvre inférieure, elle recueilli avec succès les deux suivantes, tellement copieuses qu’elles lui débordèrent de la bouche entrouverte, pour venir pendre, telles de souples stalactites, sous son joli menton. Elle essora enfin les dernières gouttes, de quelques vas et viens manuels, pour les faire choir sur sa poitrine, avant de s’en badigeonner les tétons, en les frottant sensuellement avec l’œil du cyclope phalloïde. Commençant à mollir visiblement, la verge orpheline disparut dans les ténèbres circulèrent dont elle était venue.


Sans même qu’elle s’en rende compte, la main de Christy me branlait doucement la pine, qu’elle avait empoignée machinalement, absorbée qu’elle était par ce documentaire éminemment salace. C’est la raison pour laquelle je ne pus réprimer une éjaculation phénoménale, si puissante et abondante qu’elle vint s’effondrer sur mon visage, à la vue de la suite de ce film de cul. Et pour cause ! La fille guillerette, souillée de sperme tiède, se releva et vint embrasser goulument son homme, avant de lui faire sucer ses tétons bien saillants, tout de foutre gluants.


Ainsi bien inspirée, Christy en fit de même, récoltant ma semence, sur mon minois crispé, avant de m’embrasser, enfonçant bien sa langue, tapissant mon palais de sperme un peu salé. Le long titre aguicheur, n’était point un mensonge, car une heure durant, dans la cabine sombre, dix fois sans coup férir, cette salope immonde, sur le métier salit, remis son bel ouvrage, finissant ruisselante et couverte du jus, de vingt couilles vidées, poilues et inconnues.


À la fin du film, je dis à Christy :

« Tu sais, là où j’achète d’habitude tes tenues sexy, ils ont des cabines identiques, beaucoup plus propres que celles de la vidéo… »

Je n’eus même pas le temps de lui demander si elle serait tentée par une telle expérience, que, radieuse, elle me dit :

« Si on prend une chambre d’hôtel et qu’on y va vendredi soir, on pourra y aller pendant deux jours ! »

Quelle insatiable et intrépide aventurière !

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
C’est 1 enculerie hypocrite ta femme elle nique avec un degeulasse, avec 2 mecs sans capotes !!! 🤦‍♀️😂
Mais elle fait des simagrees pour niquer quand elle a ses règles.
Elle prends une douche et après ça nique et ça se fait sodomiser.



Texte coquin : Si Jeune et jolie Christy – XIV
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