Si Jeune et jolie Christy – XIII
Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Si Jeune et jolie Christy – XIII
Escapade nocturne – Compte rendu –
Le candaulisme se vit, se ressent et se pratique de multiples façons. Il y a mille manières de partager la femme que l’on aime avec un autre, ou plusieurs, l’offrir, la livrer, l’exhiber. Être acteur, spectateur, auditeur ou être privé des trois et attendre qu’elle vous raconte. La préparer pour ses rencontres, choisir ses tenues, la toiletter, la maquiller ou lui laisser le soin de s’exprimer elle-même à travers tout cela. Créer les scenarii, organiser les rencontres, choisir ses partenaires ou la laisser entièrement libre de ses choix, voire se soumettre aux vœux de ses amants. Être aimé en retour pour cela, remercié, adulé, respecté ou humilié. Je pense que tout est envisageable mais à condition qu’il y ait de l’amour, du respect, un consentement et une envie mutuelle, une totale complicité.
J’avais toujours des craintes mais je ne regrettais pas que nous ayons tenté l’aventure. Christy, brisant ses propres codes et tabous avec beaucoup de courage et de confiance en moi, avait réalisé tant de nos fantasmes, les miens autant que les siens, en y prenant des plaisirs aussi insoupçonnés qu’intenses. Tous ses doutes s´étaient envolés et elle s’adonnait sans plus aucune retenue à toute expérience, nouvelle ou répétée, en femme libérée qui, forte de son vécu récent, connaissait son corps par cœur et la volupté qu’elle pouvait en tirer. Et elle me prouvait quotidiennement la force de son amour pour moi. La fougue de sa jeunesse me faisait un bien fou, elle comblait mes envies au-delà de tout ce que je n’avais même pas osé espérer.
Cette soirée entre fille approchait et le petit diable que j’avais sur l’épaule me suggérait que cela pourrait être l’occasion d’innover. Jusque-là en effet, lors de toutes nos aventures, j’avais toujours été là, présent auprès d’elle, participant, l’encourageant ou admirant juste le spectacle qu’elle m’offrait. Lors de ce weekend de folies, j’avais inconsciemment consenti à livrer plus que son corps, en laissant un autre que moi prendre le contrôle total d’elle et ce à quoi elle avait été soumise. Et surtout, j’avais pu découvrir la sensation nouvelle de l’entendre jouir, sans pouvoir la voir. Frustré au début, mon excitation avait grimpé en flèche. Entendant d’abords de traitres murmures complices, entrecoupés de bruits de succion et autres gémissements. Percevant peu à peu des claquements de fesses suivis de bruits impersonnels, comme un lit qui grince et dont la tête commence à heurter le mur, battant la mesure crescendo d’un plaisir animal dont le rythme augmentait, accompagné d’injurieux commentaires suivis de grognement de bêtes, des soupirs se transformant en râles suivis de cris d’orgasme puissants.
Et, depuis, tous ces sons revenaient régulièrement hanter mes rêves jusqu’à je me réveille en sursaut, le gourdin raide et le méat suintant. Alors que si on m’avait proposé une telle expérience de but en blanc, je l’eus probablement refusée. Je me disais donc que, pour la première fois, les conditions étaient réunies pour qu’elle se roule dans la luxure en mon absence. Sa prise d’initiative incroyable, lors de notre trajet retour, sur cette aire d’autoroute glauque, ne démontrait-elle pas qu’elle était désormais prête à gérer seule ses pulsions et ses actes ?
Et je me demandais comment j’allais pouvoir vivre les moments et les émotions qui en résulteraient, sans en être le témoin direct et ne pouvant compter que sur ce qu’elle voudrait bien m’en dire. Étais-je prêt ? Avais-je suffisamment confiance en moi, en elle ? Allais-je pouvoir surmonter ma jalousie ? Balloté une fois de plus entre vice et appréhensions, j’hésitais grandement, lourdement tiraillé par les conséquences potentielles sur l’avenir de notre relation. Je me disais parfois que si elle devait céder à la tentation à laquelle nous soumettent parfois les hasards de la vie, sans que je ne lui eusse donné mon aval au préalable, elle n’oserait ou ne voudrais tout simplement me l’avouer. Et je savais qu’alors, je me sentirais trahi si je venais à l’apprendre d’une manière ou d’une autre, la ville étant petite. Et même s’il ne se passait rien, n’aurais-je pas le doute que le silence évidemment normal et justifié en découlant ne cachât un mensonge qui détruirait ma conscience ?
Accablé et honteux sous la torture de ce cruel dilemme, je n’arrivais pas à prendre une décision. Et le jour de la fameuse soirée « Girls Night Out » arriva. Nous étions chez moi, Christy s’était préparée sans que je n’intervinsse. La tenue qu’elle s’était choisie n’était pas dans l’outrance, mais tout de même plus sexy que lorsque nous nous étions connus, sans trop d’extravagance. Bref, elle n’était ni habillée comme une salope exhibitionniste, ni grimée comme une pute aguicheuse.
Toutefois, sa robe bien ajustée qui s’arrêtait au-dessus des genoux, mettait bien en valeur ses courbes alléchantes et l’on devinait aisément que ses petits seins fermes étaient restés libres sous le tissu. Une ceinture de skaï noir, large d’au moins vingt-cinq centimètres, lui ceignait complètement le ventre, le comprimant comme un corset l’eut fait, juste au-dessus de ses hanches dont la largeur s’en trouvait accentuée. L’arrondi majestueux de ses fesses bien lisse, indiquait, lui, que, si sous vêtement elle portait, il ne pouvait s’agir que d’un string ficelle, laissant le bénéfice du doute au(x) potentiel(s) futur(s) prédateur(s). Le seul effet prononcé de son maquillage résidait autour de ses yeux dont elle avait souligné le contour aux crayon noir et fixé des faux cils longs et recourbés lui donnant un air profondément sensuel et attirant.
Elle portait des escarpins de hauteur raisonnable et un foulard de soie autour du cou, son seul accessoire étant le petit sac main très girly que je lui avais offert, ses cheveux d’or avaient eu droit à un brushing. Un gilet de laine fine la protégerait du froid post crépusculaire. Je la trouvais divinement séduisante et dignement sexy. Ses amies seraient certainement agréablement surprises et surement admiratives. Lorsqu’elle reçut le SMS qui lui annonçait qu’elles l’attendaient au bas de l’immeuble, elle vint me faire un tendre bisou. Je sortis alors de ma poche une boite de douze préservatifs que je lui glissais dans la main, lui murmurant :
« Amuse-toi bien mon amour, profite à fond de tes amies et de la soirée. Je t’interdis de rentrer sans qu’au moins un ne soit rempli. »
Elle me fit un sourire aux yeux étincelants, me traita de coquin, après quoi nous nous ré-embrassâmes et je la poussai vers l’ascenseur. Voilà, hésitant jusqu’au dernier moment, c’est la seule façon que j’avais trouvé de lui passer ce message, qui me tentait autant qu’il m’effrayait. Je refermai la porte et allai m’asseoir devant la télé avec un verre de whisky.
Le film était chiant, et je n’avais, bien sûr, pas la tête à ça. Sans m’en rendre compte, je torchai la moitié de la bouteille. Ce qui, heureusement, m’aida à m’endormir comme un loir sur le canapé, m’épargnant le supplice de me morfondre pendant toute une nuit d’angoisse. Je ne fus réveillé que le lendemain matin, à dix heures, par la sonnerie de l’interphone. Elle avait les cheveux décoiffés et des trainées de Rimmel sur les joues. Ses traits tirés montraient clairement qu’elle n’avait pas beaucoup dormi. Je l’enlaçai tendrement et lui fis un baiser dans le cou. Quel que soit son état et ce qu’avait pu être sa nuit, j’étais si heureux et soulagé de la voir revenir. Alors, je la soutins en la guidant jusqu’au lit où elle s’endormit illico, pendant que je lui retirais robe et souliers. Puis je l’embrassai sur la bouche, reniflant malgré moi un fumets acre, exhalant de son haleine chaude et chargée, que je reconnaissais bien.
Je m’occupai comme je pus en attendant qu’elle se réveille, mon imagination galopant à grand train dans les plaines du vice. Je l’imaginais avec un mec de son âge, viril et fougueux, baisant dans toutes les positions et jouissant maintes fois sous ses assauts virils, j’étais au comble de l’excitation. J’étais assis sur le sofa, perdu dans ces délires libidineux, caressant ma bite tendue par-dessus mon jean, lorsqu’elle apparut dans l’encadrement de la porte de la chambre, nue comme elle avait dormi. Levant les bras aussi haut qu’elle put, elle s’étira en baillant puis me fit un grand sourire coquin avant d’aller se faire un thé dans la cuisine. En revenant dans le salon, elle posa son mug sur la table pour laisser le breuvage infuser, puis s’assit contre moi, la tête sur mon épaule et glissa une main dans l’interstice des boutons de ma chemise jusqu’à ce que ses doigts viennent effleurer mon téton droit qui se dressa, raidi aussitôt sous la caresse.
Je savourais ce moment délicieux de tendresse, sans rien dire, respectant son silence malgré mon impatiente envie de connaitre les détails sulfureux de sa nuit loin de moi. Elle but quelques petites gorgées de thé, encore un peu brulant, avant de m’embrasser sensuellement, roulant sa langue humide longuement dans ma bouche. Je compris que, prise d’une pudeur coquette et ignorant le bisou que je lui avais fait juste après son endormissement, elle voulait masquer les forts effluves mélangés d’alcool et de sexe, dont elle devait ressentir une gêne certaine. Alors, n’y tenant plus, je lui murmurais enfin :
« Je t’aime, raconte-moi tout mon amour, s’il te plait. »
Comme toute réponse, elle vida son mug de trois bonnes gorgées, tourna la tête vers moi et me fit un sourire narquois. Elle savait qu’elle détenait la clé de mon plaisir tant attendu. Elle se leva, mystérieuse, toujours sans rien dire, et alla dans la chambre d’où elle revint avec son sac à main. Fouillant à l’intérieur de celui-ci, elle en ressortit lentement sa main, faisant apparaitre une capote nouée, gonflée de liquide blanchâtre qu’elle posa délicatement devant moi sur la table en me regardant dans les yeux pour observer ma réaction, affichant alors un sourire satisfait. Devant mon regard ébahi et voyant mon sexe gonfler encore un peu plus dans mon futal, elle replongea la main dans le sac, d’où elle sortit un deuxième condom, qu’elle aligna avec application, bien parallèle au premier. Répétant l’opération quatre fois de plus, elle éclata d’un rire espiègle devant ses six trophées ainsi fièrement exposés.
Elle bondit sur le sofa, reprenant sa position près de moi, posant cette fois sa main sur la bosse de mon jean, sur laquelle elle la fit aller et venir lentement, suivant les contours de ma barre de fer. J’allais enfin savoir si elle était allée au-delà de mon imagination, pourtant débordante, en l’écoutant me conter les détails crus et torrides de ses aventures nocturnes.
« On a d’abords fait la tournée des bars habituels. Il y avait beaucoup de monde un peu partout. Il était quasiment impossible de trouver une table libre et les terrasses étaient trop fraiches. C’est pourquoi, après un verre ou deux, on est passées au bar suivant. L’alcool commençait à égayer la soirée. Au bout du quatrième établissement, on a enfin trouvé des places libres autour d’une grande table, alors on s’est précipitées pour ne pas qu’elles nous échappent. La musique était forte, on s’amusait bien, comme toujours entre filles, en échangeant des plaisanteries et en se racontant nos vies en nous esclaffant. »
Elle levait de temps en temps les yeux vers moi pour observer mes réactions.
« Et bien sûr, un groupe de six gars nous a rejoint rapidement pour flirter avec nous. Ils nous jetaient à toutes des regards à peine voilés, bourrés d’attrait et d’envie. C’est maintenant à onze qu’on discutait en buvant des verres. Bien sûr, les sujets ont radicalement changé. Mais les plaisanteries n’en étaient que plus grivoises. Ces hommes nous draguaient carrément, sans aucune gêne et avec beaucoup d’insistance. Leurs aspects physiques n’étaient pas transcendants, mais pas rebutants non plus. On leur a dit que bien que seules ce soir-là, on était toutes en couple, juste là pour faire la fête entre nous. Ils ont eu l’air un peu chagrinés, mais ils n’ont pas baissé les bras pour autant. Se disant qu’après tout, notre compagnie était très sympathique et que, même s’ils n’arrivaient pas leurs fins, la soirée serait tout de même agréable. Ils ne se doutaient évidemment pas, à ce moment précis, du tour qu’elle allait prendre. »
Déjà au bord de l’éjaculation, je posai ma main sur la sienne pour stopper ses mouvements de vas et viens. Elle comprit et poursuivit son récit :
« Aux alentours de minuit, on a tous décidé d’aller à ce night-club où les plus jeunes se rassemblent en masse tous les samedis soir. Là-bas, la musique était beaucoup plus forte. Plus possible de discuter à onze. On parlait par groupes de deux ou trois, toujours en buvant des verres. Mais je me limitais à en prendre un quand les autres en prenaient trois pour rester plus lucide qu’eux. Sans rien en montrer à quiconque, je n’ai pas cessé de penser à ce que tu m’avais dit juste avant que je parte. C’est à cause de ça qu’ils m’ont trouvée un peu absente par moment, plus distante et réservée que mes copines. Leur choc n’en fut que plus grand par la suite. »
Elle me fit un sourire mystérieux, et continua :
« Par moments, on allait danser tous en groupe sur la piste. Quelques-uns des mâles en profitaient pour se frotter un peu à moi. Avec ce que j’avais en tête, ça m’excitait, je sentais que je mouillais, et je me suis dit que j’étais en passe de réussir ton défit. Mais je savais toujours pas comment le déclencher sans que mes amies s’en rendent compte, car la plupart d’entre elles me renieraient si elle savait la salope délurée que je suis devenue. Mais au final, c’est elles qui m’y ont aidé ! Vers deux heures du mat, elles ont toutes décidé de rentrer chez elle et l’ont annoncé à toute l’assemblée. Les gars ont manifesté leur déception mais refusaient encore d’abandonner, dans une ultime lueur d’espoir, ils nous ont accompagnées dehors où mes amies allaient attendre un taxi. L’énergie qu’ils ont mis à tenter de les convaincre, soit de rester plus longtemps, soit de partir avec eux, n’y a rien fait, elles sont toutes rentrées sagement chez elles. En entrant dans le taxi, l’une d’elle m’a dit :
« Oh ! mais tu as oublié de récupérer ton gilet et ton sac au vestiaire ! »
Alors j’ai sauté sur l’occasion et lui ai répondu, un peu évasive :
« Je ne rentre pas avec vous, je vais dans la direction opposée à la vôtre, je ne me sens ni fatiguée ni trop saoule, alors je crois que je vais rester un petit peu, finir mon verre et rentrer d’ici une demi-heure, avant la fermeture. Au revoir, on reste en contact … »
« Tu es sure ? » -
« Oui, oui »
« Sois prudente »
« Ne vous inquiétez pas ».
Elle a refermé la porte du taxi qui a démarré. »
« Hum, continu, je sens que ça va devenir plus intéressant » Lui dis-je, mon excitation montant encore. Elle reprit :
« Persuadés que j’étais partie avec les autres, les gars ont été stupéfaits de me voir revenir m’assoir parmi eux. D’autant plus quand j’ai déclaré sans plus aucune timidité et avec un sourire plein de sous-entendus :
« Alors les gars, je suis donc la seule et unique à pouvoir continuer de vous distraire ! »
Ils n’en croyaient pas leurs oreilles et retrouvèrent instantanément le sourire. Alors, m’adressant à l’un d’eux, je lui dis :
« Je t’ai entendu proposer à mes amies d’aller continuer la nuit chez toi tout à l’heure. Ton offre tient toujours ? »
« Mais bien sûr, nous y allons quand tu veux ! »
« Alors ne perdons pas de temps, allons-y vite avant qu’il n’y ait la queue au vestiaire et pour le taxi ! ».
Et lorsqu’il se lève pour me suivre, les poings fermés sur mes hanches, je rajoute :
« Mais, enfin, on va quand même pas abandonner tes amis ! Ce serait pas sympa. Allez les gars, venez avec nous ! plus on est de fous, plus on rit !».
Tu aurais vu leurs têtes ! Ils ne savaient plus que penser ! Mais ils nous ont suivis sans hésitation, bien sûr. Et nous voilà dans un grand taxi, en direction de la maison de ce type. »
Je me rendais compte alors moi-même, en l’écoutant, ébahi, de qu’elle salope elle était, en effet, devenue.
« Pendant le trajet, le gars chez qui on allait faisait un peu la gueule, il se voyait déjà me garder pour lui tout seul. Au bout de vingt minutes, on arrive enfin dans la cour d’une petite maison, à seulement trois ou quatre kilomètres du centre et on entre au salon. Je repère de suite une table basse aux dimensions parfaites. Je vais vers elle, je soulève ma robe, baisses ma culotte et la quitte en la jetant sur le canapé. Je sors les bras des manches de ma robe et j’en coince le haut et le bas dans ma ceinture, offrant mon corps à leurs yeux, et je monte sur la table à quatre pattes en levant le cul le plus haut possible. J’ouvre la boite de préservatifs et en étale six sur la table. Ils restaient tous plantés là, comme des cons, immobiles, figés, et complètement sidérés. Ils faisaient moins les malins, ah ah !»
Je constatais une nouvelle fois sa satisfaction affichée de pouvoir maintenant dominer les hommes, leur imposant ses volontés, au lieu d’avoir à subir les leurs. Pouvoir qui lui était conféré par l’attrait de ses atouts anatomiques, ce que n’avait jamais pu lui procurer sa faible force de caractère, découlant de sa timidité maladive et de son empathie naturelle.
« Pour me moquer un peu plus d’eux, je leur ai dit :
« Alors les gars, approchez donc, n’ayez pas peur, j’ai si envie de me faire bien bourrée par vos queues viriles. Et c’est ce que vous avez espéré pendant toute la soirée, vous n’allez tout de même pas vous dégonflés ! Mais dépêchez-vous car je devrais déjà être rentrée à l’heure qu’il est, et mon mec n’est pas commode. »
Ils avaient l’air tétanisés, et ne prenaient aucune initiative. Comme y’en avait un devant moi, j’ai glissé quatre doigts entre son ventre et sa ceinture et je l’ai tiré jusqu’à moi. J’ai ouvert sa braguette, sorti son sexe et je l’ai sucé. Les autres bronchaient pas. Mais, y’en a deux qui ont sorti leurs bites pour se branler. Il a même pas tenu cinq minutes avant de noyer ma langue dans sa purée. J’en ai laissé couler un peu sur mon menton pour exciter les autres et j’ai avalé tout le reste. Ils en croyaient toujours pas leurs yeux, mais commençaient enfin à se décoincer. Celui qui s’était branlé le premier avait une belle queue bien raide, il s’est avancé prudemment et je me suis jetée sur sa pine comme une morte de faim. Quand je lui ai tiré sur les fesses pour l’avaler en entier, les autres ont commencé à me traiter de tout : la salope, qu’elle chaudasse, c’est une grosse pute, quelle chienne… Et j’en passe. »
Elle interrompit sa narration pour me jeter un regard goguenard, sentant bien que mon érection ne faiblissait pas.
« Continu mon amour, dis-moi tout. » Lui dis-je en soupirant.
« Je les ai tous sucé l’un après l’autre, j’avais du sperme dans les cheveux et un peu partout sur le visage parce que quand ils jouissaient, certains sortaient leur bite en s’agitant avant d’avoir fini d’éjaculer. Y’avait même des filets de sperme mélangé à ma bave qui me pendaient du menton. Quand j’ai relevé le torse, il se sont décrochés et ont atterris sur mes nichons. Les mecs devenaient fous, Y’en a un qui a crié : on a touché le gros les gars ! »
Elle s’arrêta de nouveau pour ouvrir mon falzar et prit ma bite en main. Puis reprit :
« Alors là je leur ai dit :
« C’est bien beau les gars, mais moi j’ai toujours pas joui ! »
Et en tournant la tête vers celui qui avait craché en premier je lui ai dit :
« Viens ici toi »
J’ai déchiré un étui de capote et je l’ai branlé pour qu’il rebande, puis j’ai mis la capote sur son gland et je l’ai déroulée avec mes lèvres. Là, je me suis assise sur la table face à lui et je me suis allongée, dos sur la table, la chatte bien au bord, les jambes relevées et les cuisses bien écartées. Il s’est enfoncé d’un coup, tellement j’étais mouillée. Et je me suis mise à jouir comme une folle. Ils avaient l’air épatés. Il m’a attrapé les jambes sous les genoux et s’est appuyé de tout son poids pour taper au plus profonds de mon vagin. Je giclais de la cyprine à tout va. Pendant qu’il s’acharnait à me défoncer, les autres sont tous venus s’agglutiner autour de moi, j’avais une bite dans chaque main, une troisième dans la bouche, une autre qui se frottait sur un téton et une dernière que je sentais farfouiller dans ma chevelure. J’avais des orgasmes à répétition. »
Elle marqua un temps d’arrêt comme si, revivant la scène, elle eut dû reprendre souffle. Enjambant mon bas ventre, elle vint s’empaler sur mon membre turgescent, elle était trempée. Entourant mon cou de ses bras, le menton posé sur mon épaule, elle commença à onduler du bassin et reprit son récit à voix basse au creux de mon oreille :
« Comme il avait joui trois quart d’heures plus tôt, il ma prise longtemps avant que je sente les pulsations de sa bite qui remplissait le latex. Quand il s’est retiré, celui que je suçais à enfiler un préso et est allé prendre sa place entre mes cuisses. C’était celui qui avait la plus grosse, mon orgasme devint continu. Il m’a tellement labouré la chatte que j’ai demandé aux quatre autres de me prendre plutôt le cul, qui était lubrifié par ma mouille. Ils m’ont chacun ramonée tour à tour pendant une heure et demi avant de s’endormir, á moitié ivres et complètement rincés. Je me suis assoupie moi aussi et, deux heures et demi après, quand je me suis réveillée, ils dormaient encore tous. Alors je me suis rhabillée sans faire de bruit, j’ai récupéré les six capotes pleines auxquelles j’ai fait un nœud pour te les ramener. J’ai appelé un taxi et me voilà. T’es content ?»
M’étant retenu jusque-là, au prix d’un effort surhumain, pour attendre la fin de son histoire, j’explosais, sur ces derniers mots, dans un plaisir cosmique qui me laissa inerte, et lui remplit la chatte pendant qu’elle me chatouillait le creux de l’oreille du bout de la langue. Elle m’observait d’un regard attendri pendant que je reprenais mon souffle et mes esprits puis dit simplement, en me tendant la main :
« Tu viens ? J’ai faim ! »
Dieu que je l’aimais ! C’est si beau, une femme libérée.
Le candaulisme se vit, se ressent et se pratique de multiples façons. Il y a mille manières de partager la femme que l’on aime avec un autre, ou plusieurs, l’offrir, la livrer, l’exhiber. Être acteur, spectateur, auditeur ou être privé des trois et attendre qu’elle vous raconte. La préparer pour ses rencontres, choisir ses tenues, la toiletter, la maquiller ou lui laisser le soin de s’exprimer elle-même à travers tout cela. Créer les scenarii, organiser les rencontres, choisir ses partenaires ou la laisser entièrement libre de ses choix, voire se soumettre aux vœux de ses amants. Être aimé en retour pour cela, remercié, adulé, respecté ou humilié. Je pense que tout est envisageable mais à condition qu’il y ait de l’amour, du respect, un consentement et une envie mutuelle, une totale complicité.
J’avais toujours des craintes mais je ne regrettais pas que nous ayons tenté l’aventure. Christy, brisant ses propres codes et tabous avec beaucoup de courage et de confiance en moi, avait réalisé tant de nos fantasmes, les miens autant que les siens, en y prenant des plaisirs aussi insoupçonnés qu’intenses. Tous ses doutes s´étaient envolés et elle s’adonnait sans plus aucune retenue à toute expérience, nouvelle ou répétée, en femme libérée qui, forte de son vécu récent, connaissait son corps par cœur et la volupté qu’elle pouvait en tirer. Et elle me prouvait quotidiennement la force de son amour pour moi. La fougue de sa jeunesse me faisait un bien fou, elle comblait mes envies au-delà de tout ce que je n’avais même pas osé espérer.
Cette soirée entre fille approchait et le petit diable que j’avais sur l’épaule me suggérait que cela pourrait être l’occasion d’innover. Jusque-là en effet, lors de toutes nos aventures, j’avais toujours été là, présent auprès d’elle, participant, l’encourageant ou admirant juste le spectacle qu’elle m’offrait. Lors de ce weekend de folies, j’avais inconsciemment consenti à livrer plus que son corps, en laissant un autre que moi prendre le contrôle total d’elle et ce à quoi elle avait été soumise. Et surtout, j’avais pu découvrir la sensation nouvelle de l’entendre jouir, sans pouvoir la voir. Frustré au début, mon excitation avait grimpé en flèche. Entendant d’abords de traitres murmures complices, entrecoupés de bruits de succion et autres gémissements. Percevant peu à peu des claquements de fesses suivis de bruits impersonnels, comme un lit qui grince et dont la tête commence à heurter le mur, battant la mesure crescendo d’un plaisir animal dont le rythme augmentait, accompagné d’injurieux commentaires suivis de grognement de bêtes, des soupirs se transformant en râles suivis de cris d’orgasme puissants.
Et, depuis, tous ces sons revenaient régulièrement hanter mes rêves jusqu’à je me réveille en sursaut, le gourdin raide et le méat suintant. Alors que si on m’avait proposé une telle expérience de but en blanc, je l’eus probablement refusée. Je me disais donc que, pour la première fois, les conditions étaient réunies pour qu’elle se roule dans la luxure en mon absence. Sa prise d’initiative incroyable, lors de notre trajet retour, sur cette aire d’autoroute glauque, ne démontrait-elle pas qu’elle était désormais prête à gérer seule ses pulsions et ses actes ?
Et je me demandais comment j’allais pouvoir vivre les moments et les émotions qui en résulteraient, sans en être le témoin direct et ne pouvant compter que sur ce qu’elle voudrait bien m’en dire. Étais-je prêt ? Avais-je suffisamment confiance en moi, en elle ? Allais-je pouvoir surmonter ma jalousie ? Balloté une fois de plus entre vice et appréhensions, j’hésitais grandement, lourdement tiraillé par les conséquences potentielles sur l’avenir de notre relation. Je me disais parfois que si elle devait céder à la tentation à laquelle nous soumettent parfois les hasards de la vie, sans que je ne lui eusse donné mon aval au préalable, elle n’oserait ou ne voudrais tout simplement me l’avouer. Et je savais qu’alors, je me sentirais trahi si je venais à l’apprendre d’une manière ou d’une autre, la ville étant petite. Et même s’il ne se passait rien, n’aurais-je pas le doute que le silence évidemment normal et justifié en découlant ne cachât un mensonge qui détruirait ma conscience ?
Accablé et honteux sous la torture de ce cruel dilemme, je n’arrivais pas à prendre une décision. Et le jour de la fameuse soirée « Girls Night Out » arriva. Nous étions chez moi, Christy s’était préparée sans que je n’intervinsse. La tenue qu’elle s’était choisie n’était pas dans l’outrance, mais tout de même plus sexy que lorsque nous nous étions connus, sans trop d’extravagance. Bref, elle n’était ni habillée comme une salope exhibitionniste, ni grimée comme une pute aguicheuse.
Toutefois, sa robe bien ajustée qui s’arrêtait au-dessus des genoux, mettait bien en valeur ses courbes alléchantes et l’on devinait aisément que ses petits seins fermes étaient restés libres sous le tissu. Une ceinture de skaï noir, large d’au moins vingt-cinq centimètres, lui ceignait complètement le ventre, le comprimant comme un corset l’eut fait, juste au-dessus de ses hanches dont la largeur s’en trouvait accentuée. L’arrondi majestueux de ses fesses bien lisse, indiquait, lui, que, si sous vêtement elle portait, il ne pouvait s’agir que d’un string ficelle, laissant le bénéfice du doute au(x) potentiel(s) futur(s) prédateur(s). Le seul effet prononcé de son maquillage résidait autour de ses yeux dont elle avait souligné le contour aux crayon noir et fixé des faux cils longs et recourbés lui donnant un air profondément sensuel et attirant.
Elle portait des escarpins de hauteur raisonnable et un foulard de soie autour du cou, son seul accessoire étant le petit sac main très girly que je lui avais offert, ses cheveux d’or avaient eu droit à un brushing. Un gilet de laine fine la protégerait du froid post crépusculaire. Je la trouvais divinement séduisante et dignement sexy. Ses amies seraient certainement agréablement surprises et surement admiratives. Lorsqu’elle reçut le SMS qui lui annonçait qu’elles l’attendaient au bas de l’immeuble, elle vint me faire un tendre bisou. Je sortis alors de ma poche une boite de douze préservatifs que je lui glissais dans la main, lui murmurant :
« Amuse-toi bien mon amour, profite à fond de tes amies et de la soirée. Je t’interdis de rentrer sans qu’au moins un ne soit rempli. »
Elle me fit un sourire aux yeux étincelants, me traita de coquin, après quoi nous nous ré-embrassâmes et je la poussai vers l’ascenseur. Voilà, hésitant jusqu’au dernier moment, c’est la seule façon que j’avais trouvé de lui passer ce message, qui me tentait autant qu’il m’effrayait. Je refermai la porte et allai m’asseoir devant la télé avec un verre de whisky.
Le film était chiant, et je n’avais, bien sûr, pas la tête à ça. Sans m’en rendre compte, je torchai la moitié de la bouteille. Ce qui, heureusement, m’aida à m’endormir comme un loir sur le canapé, m’épargnant le supplice de me morfondre pendant toute une nuit d’angoisse. Je ne fus réveillé que le lendemain matin, à dix heures, par la sonnerie de l’interphone. Elle avait les cheveux décoiffés et des trainées de Rimmel sur les joues. Ses traits tirés montraient clairement qu’elle n’avait pas beaucoup dormi. Je l’enlaçai tendrement et lui fis un baiser dans le cou. Quel que soit son état et ce qu’avait pu être sa nuit, j’étais si heureux et soulagé de la voir revenir. Alors, je la soutins en la guidant jusqu’au lit où elle s’endormit illico, pendant que je lui retirais robe et souliers. Puis je l’embrassai sur la bouche, reniflant malgré moi un fumets acre, exhalant de son haleine chaude et chargée, que je reconnaissais bien.
Je m’occupai comme je pus en attendant qu’elle se réveille, mon imagination galopant à grand train dans les plaines du vice. Je l’imaginais avec un mec de son âge, viril et fougueux, baisant dans toutes les positions et jouissant maintes fois sous ses assauts virils, j’étais au comble de l’excitation. J’étais assis sur le sofa, perdu dans ces délires libidineux, caressant ma bite tendue par-dessus mon jean, lorsqu’elle apparut dans l’encadrement de la porte de la chambre, nue comme elle avait dormi. Levant les bras aussi haut qu’elle put, elle s’étira en baillant puis me fit un grand sourire coquin avant d’aller se faire un thé dans la cuisine. En revenant dans le salon, elle posa son mug sur la table pour laisser le breuvage infuser, puis s’assit contre moi, la tête sur mon épaule et glissa une main dans l’interstice des boutons de ma chemise jusqu’à ce que ses doigts viennent effleurer mon téton droit qui se dressa, raidi aussitôt sous la caresse.
Je savourais ce moment délicieux de tendresse, sans rien dire, respectant son silence malgré mon impatiente envie de connaitre les détails sulfureux de sa nuit loin de moi. Elle but quelques petites gorgées de thé, encore un peu brulant, avant de m’embrasser sensuellement, roulant sa langue humide longuement dans ma bouche. Je compris que, prise d’une pudeur coquette et ignorant le bisou que je lui avais fait juste après son endormissement, elle voulait masquer les forts effluves mélangés d’alcool et de sexe, dont elle devait ressentir une gêne certaine. Alors, n’y tenant plus, je lui murmurais enfin :
« Je t’aime, raconte-moi tout mon amour, s’il te plait. »
Comme toute réponse, elle vida son mug de trois bonnes gorgées, tourna la tête vers moi et me fit un sourire narquois. Elle savait qu’elle détenait la clé de mon plaisir tant attendu. Elle se leva, mystérieuse, toujours sans rien dire, et alla dans la chambre d’où elle revint avec son sac à main. Fouillant à l’intérieur de celui-ci, elle en ressortit lentement sa main, faisant apparaitre une capote nouée, gonflée de liquide blanchâtre qu’elle posa délicatement devant moi sur la table en me regardant dans les yeux pour observer ma réaction, affichant alors un sourire satisfait. Devant mon regard ébahi et voyant mon sexe gonfler encore un peu plus dans mon futal, elle replongea la main dans le sac, d’où elle sortit un deuxième condom, qu’elle aligna avec application, bien parallèle au premier. Répétant l’opération quatre fois de plus, elle éclata d’un rire espiègle devant ses six trophées ainsi fièrement exposés.
Elle bondit sur le sofa, reprenant sa position près de moi, posant cette fois sa main sur la bosse de mon jean, sur laquelle elle la fit aller et venir lentement, suivant les contours de ma barre de fer. J’allais enfin savoir si elle était allée au-delà de mon imagination, pourtant débordante, en l’écoutant me conter les détails crus et torrides de ses aventures nocturnes.
« On a d’abords fait la tournée des bars habituels. Il y avait beaucoup de monde un peu partout. Il était quasiment impossible de trouver une table libre et les terrasses étaient trop fraiches. C’est pourquoi, après un verre ou deux, on est passées au bar suivant. L’alcool commençait à égayer la soirée. Au bout du quatrième établissement, on a enfin trouvé des places libres autour d’une grande table, alors on s’est précipitées pour ne pas qu’elles nous échappent. La musique était forte, on s’amusait bien, comme toujours entre filles, en échangeant des plaisanteries et en se racontant nos vies en nous esclaffant. »
Elle levait de temps en temps les yeux vers moi pour observer mes réactions.
« Et bien sûr, un groupe de six gars nous a rejoint rapidement pour flirter avec nous. Ils nous jetaient à toutes des regards à peine voilés, bourrés d’attrait et d’envie. C’est maintenant à onze qu’on discutait en buvant des verres. Bien sûr, les sujets ont radicalement changé. Mais les plaisanteries n’en étaient que plus grivoises. Ces hommes nous draguaient carrément, sans aucune gêne et avec beaucoup d’insistance. Leurs aspects physiques n’étaient pas transcendants, mais pas rebutants non plus. On leur a dit que bien que seules ce soir-là, on était toutes en couple, juste là pour faire la fête entre nous. Ils ont eu l’air un peu chagrinés, mais ils n’ont pas baissé les bras pour autant. Se disant qu’après tout, notre compagnie était très sympathique et que, même s’ils n’arrivaient pas leurs fins, la soirée serait tout de même agréable. Ils ne se doutaient évidemment pas, à ce moment précis, du tour qu’elle allait prendre. »
Déjà au bord de l’éjaculation, je posai ma main sur la sienne pour stopper ses mouvements de vas et viens. Elle comprit et poursuivit son récit :
« Aux alentours de minuit, on a tous décidé d’aller à ce night-club où les plus jeunes se rassemblent en masse tous les samedis soir. Là-bas, la musique était beaucoup plus forte. Plus possible de discuter à onze. On parlait par groupes de deux ou trois, toujours en buvant des verres. Mais je me limitais à en prendre un quand les autres en prenaient trois pour rester plus lucide qu’eux. Sans rien en montrer à quiconque, je n’ai pas cessé de penser à ce que tu m’avais dit juste avant que je parte. C’est à cause de ça qu’ils m’ont trouvée un peu absente par moment, plus distante et réservée que mes copines. Leur choc n’en fut que plus grand par la suite. »
Elle me fit un sourire mystérieux, et continua :
« Par moments, on allait danser tous en groupe sur la piste. Quelques-uns des mâles en profitaient pour se frotter un peu à moi. Avec ce que j’avais en tête, ça m’excitait, je sentais que je mouillais, et je me suis dit que j’étais en passe de réussir ton défit. Mais je savais toujours pas comment le déclencher sans que mes amies s’en rendent compte, car la plupart d’entre elles me renieraient si elle savait la salope délurée que je suis devenue. Mais au final, c’est elles qui m’y ont aidé ! Vers deux heures du mat, elles ont toutes décidé de rentrer chez elle et l’ont annoncé à toute l’assemblée. Les gars ont manifesté leur déception mais refusaient encore d’abandonner, dans une ultime lueur d’espoir, ils nous ont accompagnées dehors où mes amies allaient attendre un taxi. L’énergie qu’ils ont mis à tenter de les convaincre, soit de rester plus longtemps, soit de partir avec eux, n’y a rien fait, elles sont toutes rentrées sagement chez elles. En entrant dans le taxi, l’une d’elle m’a dit :
« Oh ! mais tu as oublié de récupérer ton gilet et ton sac au vestiaire ! »
Alors j’ai sauté sur l’occasion et lui ai répondu, un peu évasive :
« Je ne rentre pas avec vous, je vais dans la direction opposée à la vôtre, je ne me sens ni fatiguée ni trop saoule, alors je crois que je vais rester un petit peu, finir mon verre et rentrer d’ici une demi-heure, avant la fermeture. Au revoir, on reste en contact … »
« Tu es sure ? » -
« Oui, oui »
« Sois prudente »
« Ne vous inquiétez pas ».
Elle a refermé la porte du taxi qui a démarré. »
« Hum, continu, je sens que ça va devenir plus intéressant » Lui dis-je, mon excitation montant encore. Elle reprit :
« Persuadés que j’étais partie avec les autres, les gars ont été stupéfaits de me voir revenir m’assoir parmi eux. D’autant plus quand j’ai déclaré sans plus aucune timidité et avec un sourire plein de sous-entendus :
« Alors les gars, je suis donc la seule et unique à pouvoir continuer de vous distraire ! »
Ils n’en croyaient pas leurs oreilles et retrouvèrent instantanément le sourire. Alors, m’adressant à l’un d’eux, je lui dis :
« Je t’ai entendu proposer à mes amies d’aller continuer la nuit chez toi tout à l’heure. Ton offre tient toujours ? »
« Mais bien sûr, nous y allons quand tu veux ! »
« Alors ne perdons pas de temps, allons-y vite avant qu’il n’y ait la queue au vestiaire et pour le taxi ! ».
Et lorsqu’il se lève pour me suivre, les poings fermés sur mes hanches, je rajoute :
« Mais, enfin, on va quand même pas abandonner tes amis ! Ce serait pas sympa. Allez les gars, venez avec nous ! plus on est de fous, plus on rit !».
Tu aurais vu leurs têtes ! Ils ne savaient plus que penser ! Mais ils nous ont suivis sans hésitation, bien sûr. Et nous voilà dans un grand taxi, en direction de la maison de ce type. »
Je me rendais compte alors moi-même, en l’écoutant, ébahi, de qu’elle salope elle était, en effet, devenue.
« Pendant le trajet, le gars chez qui on allait faisait un peu la gueule, il se voyait déjà me garder pour lui tout seul. Au bout de vingt minutes, on arrive enfin dans la cour d’une petite maison, à seulement trois ou quatre kilomètres du centre et on entre au salon. Je repère de suite une table basse aux dimensions parfaites. Je vais vers elle, je soulève ma robe, baisses ma culotte et la quitte en la jetant sur le canapé. Je sors les bras des manches de ma robe et j’en coince le haut et le bas dans ma ceinture, offrant mon corps à leurs yeux, et je monte sur la table à quatre pattes en levant le cul le plus haut possible. J’ouvre la boite de préservatifs et en étale six sur la table. Ils restaient tous plantés là, comme des cons, immobiles, figés, et complètement sidérés. Ils faisaient moins les malins, ah ah !»
Je constatais une nouvelle fois sa satisfaction affichée de pouvoir maintenant dominer les hommes, leur imposant ses volontés, au lieu d’avoir à subir les leurs. Pouvoir qui lui était conféré par l’attrait de ses atouts anatomiques, ce que n’avait jamais pu lui procurer sa faible force de caractère, découlant de sa timidité maladive et de son empathie naturelle.
« Pour me moquer un peu plus d’eux, je leur ai dit :
« Alors les gars, approchez donc, n’ayez pas peur, j’ai si envie de me faire bien bourrée par vos queues viriles. Et c’est ce que vous avez espéré pendant toute la soirée, vous n’allez tout de même pas vous dégonflés ! Mais dépêchez-vous car je devrais déjà être rentrée à l’heure qu’il est, et mon mec n’est pas commode. »
Ils avaient l’air tétanisés, et ne prenaient aucune initiative. Comme y’en avait un devant moi, j’ai glissé quatre doigts entre son ventre et sa ceinture et je l’ai tiré jusqu’à moi. J’ai ouvert sa braguette, sorti son sexe et je l’ai sucé. Les autres bronchaient pas. Mais, y’en a deux qui ont sorti leurs bites pour se branler. Il a même pas tenu cinq minutes avant de noyer ma langue dans sa purée. J’en ai laissé couler un peu sur mon menton pour exciter les autres et j’ai avalé tout le reste. Ils en croyaient toujours pas leurs yeux, mais commençaient enfin à se décoincer. Celui qui s’était branlé le premier avait une belle queue bien raide, il s’est avancé prudemment et je me suis jetée sur sa pine comme une morte de faim. Quand je lui ai tiré sur les fesses pour l’avaler en entier, les autres ont commencé à me traiter de tout : la salope, qu’elle chaudasse, c’est une grosse pute, quelle chienne… Et j’en passe. »
Elle interrompit sa narration pour me jeter un regard goguenard, sentant bien que mon érection ne faiblissait pas.
« Continu mon amour, dis-moi tout. » Lui dis-je en soupirant.
« Je les ai tous sucé l’un après l’autre, j’avais du sperme dans les cheveux et un peu partout sur le visage parce que quand ils jouissaient, certains sortaient leur bite en s’agitant avant d’avoir fini d’éjaculer. Y’avait même des filets de sperme mélangé à ma bave qui me pendaient du menton. Quand j’ai relevé le torse, il se sont décrochés et ont atterris sur mes nichons. Les mecs devenaient fous, Y’en a un qui a crié : on a touché le gros les gars ! »
Elle s’arrêta de nouveau pour ouvrir mon falzar et prit ma bite en main. Puis reprit :
« Alors là je leur ai dit :
« C’est bien beau les gars, mais moi j’ai toujours pas joui ! »
Et en tournant la tête vers celui qui avait craché en premier je lui ai dit :
« Viens ici toi »
J’ai déchiré un étui de capote et je l’ai branlé pour qu’il rebande, puis j’ai mis la capote sur son gland et je l’ai déroulée avec mes lèvres. Là, je me suis assise sur la table face à lui et je me suis allongée, dos sur la table, la chatte bien au bord, les jambes relevées et les cuisses bien écartées. Il s’est enfoncé d’un coup, tellement j’étais mouillée. Et je me suis mise à jouir comme une folle. Ils avaient l’air épatés. Il m’a attrapé les jambes sous les genoux et s’est appuyé de tout son poids pour taper au plus profonds de mon vagin. Je giclais de la cyprine à tout va. Pendant qu’il s’acharnait à me défoncer, les autres sont tous venus s’agglutiner autour de moi, j’avais une bite dans chaque main, une troisième dans la bouche, une autre qui se frottait sur un téton et une dernière que je sentais farfouiller dans ma chevelure. J’avais des orgasmes à répétition. »
Elle marqua un temps d’arrêt comme si, revivant la scène, elle eut dû reprendre souffle. Enjambant mon bas ventre, elle vint s’empaler sur mon membre turgescent, elle était trempée. Entourant mon cou de ses bras, le menton posé sur mon épaule, elle commença à onduler du bassin et reprit son récit à voix basse au creux de mon oreille :
« Comme il avait joui trois quart d’heures plus tôt, il ma prise longtemps avant que je sente les pulsations de sa bite qui remplissait le latex. Quand il s’est retiré, celui que je suçais à enfiler un préso et est allé prendre sa place entre mes cuisses. C’était celui qui avait la plus grosse, mon orgasme devint continu. Il m’a tellement labouré la chatte que j’ai demandé aux quatre autres de me prendre plutôt le cul, qui était lubrifié par ma mouille. Ils m’ont chacun ramonée tour à tour pendant une heure et demi avant de s’endormir, á moitié ivres et complètement rincés. Je me suis assoupie moi aussi et, deux heures et demi après, quand je me suis réveillée, ils dormaient encore tous. Alors je me suis rhabillée sans faire de bruit, j’ai récupéré les six capotes pleines auxquelles j’ai fait un nœud pour te les ramener. J’ai appelé un taxi et me voilà. T’es content ?»
M’étant retenu jusque-là, au prix d’un effort surhumain, pour attendre la fin de son histoire, j’explosais, sur ces derniers mots, dans un plaisir cosmique qui me laissa inerte, et lui remplit la chatte pendant qu’elle me chatouillait le creux de l’oreille du bout de la langue. Elle m’observait d’un regard attendri pendant que je reprenais mon souffle et mes esprits puis dit simplement, en me tendant la main :
« Tu viens ? J’ai faim ! »
Dieu que je l’aimais ! C’est si beau, une femme libérée.
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