Si Jeune et jolie Christy – XVI

- Par l'auteur HDS olifougueux -
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Récit libertin : Si Jeune et jolie Christy – XVI Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Si Jeune et jolie Christy – XVI
Embrochages et fellations – Nouvelles sensations


La lumière du soleil matinal dessinait un cadre incandescent tout autour des rideaux opaques de la chambre orientée vers l’est. Le réveil venait de sonner, il était neuf heures trente, je m’empressai de le faire taire afin de ne pas réveillait Christy, toujours endormie.
Immédiatement, les images de la veille me revinrent, embrumant les nimbes sombres de ma mémoire, de visions fugaces qui défilaient derrières mes paupières closes, toutes plus crues et obscènes les unes que les autres. Machinalement, ma main gauche caressait ma bite raidie par une érection qui n’était certes pas due qu’à mon envie de pisser. Je soulevai délicatement le drap et contemplai avec émotions ce corps magnifique dont je ne me lassais pas, le trouvant toujours plus beau et sexy, jour après jour. Aux bords d’une éjaculation, j’immobilisai ma mimine et étranglai puissamment mon cylindre de chair, comme pour vaincre sa rigidité, provoquant le reflux capitulard de mes spermatozoïdes aux aguets.


C’est lorsque je me dirigeai vers la salle de bain que Christy ouvrit les yeux à moitié avant de bailler largement en étirant ses membres engourdis. Je lui laissai la place après une douche rapide, la regardant dans le reflet du miroir humidifier son corps sous la pluie fine et chaude du pommeau, pendant que je me brossais les dents. Elle disparut peu à peu, sous la lente et inexorable invasion de la buée sur toute la surface de la vitre teintée. J’adorais la douce sensation de frustration délicieuse que me procurait l’observation de son corps de jeune femme d’où émanait naturellement un érotisme torride, en m’interdisant strictement toute approche ou sollicitation malgré l’envie irrépressible que je ressentais. Je jouissais presque de la douleur lancinante qui naissait dans mon bas-ventre, fruit de cette abstinence auto-infligée, et qui me maintenait dans un état d’excitation oscillant, d’un fragile équilibre, sur le fil tendu entre plaisir et retenue. Ne pas succomber aux mille tentations auxquelles j’étais ainsi soumis me soudait toujours plus aux sentiments d’amour que j’éprouvais à son égard, me donnant force et courage nécessaires pour apprécier de la voir se livrer inconsidérément à tant de turpitudes.


Secoué par ses pensées introspectives, je l’étreignis très fermement lorsqu’elle me rejoignit enfin sur le lit où nous nous roulâmes lascivement pendant quelques minutes. Et je savourais ces instants de tendresse infinie, où nos cous étaient collés l’un contre l’autre, mon visage perdu dans ses cheveux dont il appréciait la caresse, tandis que nos bras semblaient vouloir souder nos corps ensemble, tellement leurs étreintes étaient puissantes. J’en éprouvais un besoin presque maladif, peut-être, inconsciemment, pour me rassurer en m’assurant ainsi qu’elle m’aimait toujours. C’est si beau et tellement plus valorisant, je trouve, d’être aimé par une fieffé salope. Et Dieu sait qu’elle en était devenue une, la plus belle à mon gout, et dont j’étais si fier. Elle me murmura « je t’aime », je lui répondis « moi aussi » et nous nous levions simultanément d’un commun élan pour nous habiller et descendre déjeuner.


Christy avait une faim de loup, comme quoi l’excès de protéines ne comble pas tous les besoins nutritionnels du corps. Au buffet, elle prit des œufs au bacon, des viennoiseries, du jus d’orange et une salade de fruits frais suivie d’un yaourt. Je me contentai de céréales baignées dans du lait et de trois cafés bien serrés pour tenir la distance sur une journée que je devinais longue tant elle paraissait en forme et enjouée. Un couple vint alors s’assoir à la table juste à côté de la nôtre. Je les avais observés, surtout la jeune femme je dois dire, pendant qu’ils défilaient lentement le long du buffet et que Christy attendait que le cuistot ait fini de lui préparer ses œufs. Ils avaient la quarantaine, lui avait la même carrure que moi, sans un brin de de graisse, les cheveux courts et bruns, les yeux bleus et un sourire ravageur. Elle était grande, un mètre soixante-quinze, menue mais avec des formes avantageuses que l’on devinait sous une tenue moulante. Ses grands yeux vert émeraude étaient mis en exergue par sa chevelure rousse flamboyante dont les mèches ondulées retombaient sur ses épaules à la peau blanche. Au bout de ses longues jambes fines, croisées l’une sur l’autre lorsqu’elle fut assise, une des mules à petits talons aiguille pendait négligemment du pied qui ne touchait pas le sol. Et sa cheville servait d’écrin à une fine chaine en or.


C’est leur « bonjour » tout sourire et amical qui me sortit de ma torpeur admirative lorsqu’ils nous l’adressèrent en s’asseyant. Christy, la bouche pleine d’un croissant croustillant qu’elle mâchait avec appétit, ne put répondre, mais leur fit une révérence de la tête, ornée d’un sourire avenant bien que ne dévoilant pas ses jolies dents. Je remarquai du coin de l’œil que le gars jetait sans arrêt des regards insistants bien que se voulant discrets, vers Christy qui continuait à dévorer ses victuailles, ne semblant pas se soucier de sa compagne en face de lui. Compagne qui, voyant que j’avais terminé de manger, sirotant mon troisième café par petites gorgées, brisa le silence en m’adressant ces mots :

« Vous êtes arrivés depuis longtemps ? »

« Non, hier soir seulement » lui répondis-je.

« Nous sommes là depuis une semaine. Moi c’est Chantal et voici Stéphane, mon mari. »

« Enchanté, je suis Oli et Christy est ma compagne. »

« Je vous posais la question car il me semble vous avoir aperçu en dehors de l’hôtel hier soir, dans un endroit à quelques rues d’ici. » me dit-elle avec un regard plus que malicieux.

« Heu, oui, c’est bien possible… » dis-je, soudain gêné et me sentant rougir.

« Ne soyez pas timide, si c’est bien vous, nous y étions aussi. » Intervint Stéphane d’un ton joueur décomplexé.

« Ce n’est pas de la timidité, mais nous, nous ne vous avons pas vu. D’où ma surprise. » Rétorquai-je.


« Disons que si, vous m’avez vu en parti, mais si peu. Ce qui explique que vous ne puissiez pas me reconnaitre. » Dit-il d’un ton quelque peu goguenard souligné par le sourire complice que sa femme me fit avant de porter une banane à ses lèvres.

« En tout cas, moi je suis sûre de pouvoir vous reconnaitre entre mille, et de quelle façon ! » Lança Christy, volant à mon secours de manière plus qu’inattendue et gourgandine à souhait.

« Ha haha, vu le temps pendant lequel nous nous sommes côtoyés, je n’en doute pas un instant ! s’esclaffa-t-il

Je compris immédiatement qu’il avait été le plus endurant de la soirée, mais aussi un des mieux membré, celui qui n’avait éjaculé que lorsqu’elle lui avait saisi les bourses. C’est quand même dingue le hasard !

« Et vous faites ça souvent ? » Demanda Chantal.

« Non, c’était ma toute première fois » répondit Christy candidement.

« Et ben dis-donc ! C’est inné chez vous. Félicitations. » Remarqua Stéphane.

« Oui, on a eu l’idée en regardant une vidéo amateur, ça m’a inspirée. Et vous, que faisiez-vous là-bas ? » Demanda à son tour Christy, sans gêne.

« Eh bien, nous faisions la même chose, dans la cabine à côté de la vôtre. Mais en entendant le ramdam que vous provoquiez parmi les clients, je n’ai pas pu résister et suis venu prendre mon tour. »

« Oui, j’ai entendu une discussion entre deux gars dont l’un venait juste de bénéficier de votre savoir-faire. Savoir faire qu’il louait vivement à son interlocuteur, lui recommandant de le tester par lui-même. » Ajouta Chantal.

Évidemment, je ne pouvais m’empêcher de voir Chantal d’un tout autre œil. Elle était vraiment très attirante et, de savoir qu’elle aussi aimait à se vautrer dans la luxure rajoutait encore à son charme.

« Nous y retournons ce soir, pourquoi n’irions-nous pas ensemble ? » Lança Christy, très enthousiaste.

« Mais c’est une très bonne idée. N’est-ce pas ma chérie ? » Dit Stéphane, très spontané.

« Bien sûr, comme tu voudras mon amour. » Conclu Chantal.

Personne n’avait eut la politesse, ni même la présence d’esprit, de me demander mon avis. Mais je ne me plaignis pas de cela. J’avais bien remarqué que Stéphane semblait encore plus attiré par Christy que moi par sa propre femme. Et cela était loin de me déplaire, excitant mon candaulisme à l’extrême. Perspective de bon augure, que je pris comme une aubaine. Comme nous avions l’après-midi à tuer, je proposai de nous retrouver vers quinze heures au sauna de l’hôtel. Et tout le monde fut unanimement d’accords. Il était midi et demi, chacun de nos couples rejoignit sa chambre dans les étages. Christy fonça dans la salle de bain pour prendre un bain, je me calai devant la télé et regardai une chaine d’information en sirotant une bière du mini bar.


Une heure plus tard, elle n’était toujours pas sortie de la salle de bain. Je me glissai jusqu’à la porte qui était restée entrebâillée et fus interloqué par ce que je vis. Christy était à quatre pattes dans la baignoire, reposant certainement sur ces coudes car seul son cul dépassait du rebord. Mais le plus surprenant, c’est qu’elle s’était fiché le tuyau dans le cul après en avoir retiré le pommeau ! Je commençais à comprendre ce qu’elle avait en tête, et je suis sûr que vous aussi. En tout cas, de toute évidence, elle avait été conquise par les charmes de Stéphane. Et je m’en réjouissais d’avance.


Enfin, à quatorze heures, elle me rejoignit sur le lit en peignoir, se mettant en chien de fusil et reposant sa tête sur mon ventre. Elle était toute guillerette. Sans rien dire, je me levai délicatement et me dirigeai vers le sac en papier qui contenait nos courses de la veille au sexshop. J’en extirpai un plug assez conséquent en acier inoxydable et, en me tournant vers elle, je lui dis :

« Regarde mon amour, le cadeau que je t’ai pris hier, maintenant que tu es bien propre, tu devrais l’essayer. »

Elle rougit en comprenant que je savais ce à quoi elle avait passé tant de temps. Mais en souriant d’envie. Je pris le tube de lubrifiant que le vendeur nous avait gentiment offert et vint m’assoir dans son dos. Je lui caressai d’abords les fesses en décrivant des cercles avec ma main qui se resserrèrent concentriquement pour terminer autour de son anus, dont je flattai du doigt le relief plissé du pourtour, Rien qu’à cette caresse, elle poussa de petits gémissements à peine perceptibles. Prenant une noix de gel, je repris le massage, l’appliquant maintenant sur toute la surface de sa rondelle rose. Lorsque celle-ci se mit à pulser, j’y enfonçai un doigt, rapidement suivi de deux autres afin de l’assouplir avant l’intromission métallique en forme d’as de pique dont la partie la plus large faisait six centimètres de diamètre. Lui écartant aux maximum les fesses, j’apposai la pointe sur sa pastille et commençai à pousser, d’une pression lente mais constante. Après une forte contraction, elle finit par se relâcher, absorbant l’intrus d’un seul coup.

C’est ainsi, en peignoirs, que nous rejoignîmes le sauna situé au dernier étage. Nos nouveaux amis étaient déjà à l’intérieur, complètement nus, assis sur leurs serviettes pliées sur les bancs de bois. J’eus la confirmation de ce que j’avais deviné du corps de Chantal, c’était une bombe, véritable rouquine comme en attestait le triangle de poil pubiens surplombant son clito de belle taille, aux seins généreux dotés de larges aréoles granuleuses comme je les aime, aux centres desquelles trônaient de longs tétons bien droits, de couleur fauve. Je ne sais s’il l’avait fait exprès, mais comme ils s’étaient assis au centre de la banquette, il ne restait qu’une place sur la droite de Stéphane et une autre sur la gauche de Chantal. Il s’empressa d’inviter Christy, d’un geste, à venir à côté de lui, m’offrant bien malgré lui la place à coté de sa femme. Sitôt assise, Christy dénoua la ceinture de son peignoir qu’elle laissa glisser de ses épaules, se retrouvant nue elle aussi. Ils s’enlacèrent de suite, se mangeant mutuellement la langue dans un long baiser. Chantal ne m’embrassa pas mais s’agenouilla devant moi, dévoilant mon pénis en écartant les pans de mon peignoir, elle le prit en bouche directement et commença à me tailler une pipe d’enfer.


Voyant cela, Christy se dégagea de la bouche de Stéphane qui s’était mis à lui suçait la poitrine et de ses mains qui parcourait son corps, et se pencha sur son bassin dont émergeait fièrement sa bite raide, pour la gober sur toute sa longueur. C’était comme si le départ d’une compétition venait d’être donné. Lorsque Chantal vint s’empaler sur mon chibre en croisant ses mains derrière ma nuque, je vis Christy se lever pour venir se placer de dos et debout entre les genoux de Stéphane. Penchant le buste en avant, elle retira son plug brillant, lui offrant une vue imprenable sur son anus béant, puis s’empala à son tour sur le membre volumineux. Cette vision fantasmagorique me fit bander plus fort, je sentais des contractions puissantes et successives que Chantal me dispensait savamment en contractant son périnée. Elle devait pratiquer assidument le Pilates pour être aussi doué. Cela ajouté à la douceur soyeuse de son vagin humide et chaud, annihila chez moi toute velléité de résistance à l’orgasme fulgurant qui me fit répandre mon plaisir en elle. Sentant probablement mes giclées abondantes noyant ses muqueuses sensibles, elle s’arcbouta d’un coup, cessant tout mouvement, absorbant mon vié le plus profond possible en pesant de tout son poids sur le haut de mes cuisses, en poussant un râle qui m’indiqua qu’elle m’avait rejoint dans la jouissance.



Encore étourdie d’un plaisir qui s’estompait lentement, elle s’affala sur mon torse, pressant ses seins voluptueux contre mon poitrail au pectoraux ravis de ce contact charnel si excitant. Voyant Christy en train de se ramoner le conduit avec une fougue rageuse sur le pieu de Stéphane qui haletait comme un cheval au labour, mon érection ne faiblit pas, à ma grande surprise. Apparemment à la surprise de Chantal aussi qui colla sa bouche sur la mienne et se remit progressivement en mouvement sur ma queue. Nous baisâmes ainsi sauvagement pendant presque une heure avant de sortir, tous épuisés à la fois de plaisir, d’efforts et aussi de la chaleur devenue sèche car, chacun pris par l’action, personne n’avait jeté de louche d’eau sur les pierres brulante du poêle. Nous nous donnions rendez-vous à dix-neuf heures trente au restaurant de l’hôtel avant de regagner nos chambres respectives. Christy, toujours aussi jalouse et peu prêteuse malgré le temps depuis lequel durait notre mode de vie actuel, me demanda sur un ton narquois :

« Alors, elle suce bien la rousse ? »

Alors, pour la titiller un peu, car j’adore quand elle est énervée sans vouloir le dire franchement, je lui répondis :

« Oh oui ! Ce n’est rien de le dire, tu n’as pas idée. »

L’air un peu plus renfrognée, elle élargit sa question :

« Mieux que moi ? »

« Mieux ?... Peut-être pas, mais elle suce divinement bien. Je pense qu’elle doit passer beaucoup de temps au Gloryhole. Mais avec toi, c’est toujours exceptionnel, puisque je t’aime. »

« Pfff, même novice, je suis sûre de pouvoir faire mieux qu’elle... Et d’attirer plus les mecs aussi. »

« M’ouais… Mais c’est quasiment invérifiable dans des cabines à un seul trou et des candidats qui ne peuvent voir qui se trouve à l’intérieur… A moins que… »

« A moins que quoi ? » interrompit-elle ma réflexion, toute sa curiosité en éveil.

« Eh ben, j’ai bien une petite idée mais… Il faudrait en parler d’abords avec Chantal et Steph, et qu’ils soient d’accords. Nous leur en parlerons aux diner, tu veux ? »

Elle ne répondit pas, mais je vis bien, à sa moue de frustration, qu’elle enrageait de ne pas savoir avant eux, sachant pertinemment que je ne lui révèlerais rien en avant-première. C’est sûrement un peu cruel et vicieux, mais j’adorais la taquiner comme cela pour la mettre en rogne. C’était ma façon bien à moi de la mettre dans les meilleures dispositions pour remporter un challenge en me garantissant un spectacle unique car elle allait donner le meilleur d’elle-même pour assouvir sa soif de victoire.


Nous retrouvions donc nos comparses à l’heure convenue, aux restaurant où ils nous attendaient déjà. Le serveur nous guida jusqu’à la table que Stéphane s’était chargé de réserver. Il eu l’air un peu surpris de voir que Chantal s’assit à mon côté et que Christy fit de même avec Stéphane, surtout que ce dernier posa de suite sa main gauche sur la peau nue de la cuisse de Christy, au ras de l’ourlet de sa mini-jupe. Nous passâmes commande et prenions un apéro en attendant nos assiettes. Je m’adressai à Stéphane :

« Tiens, au fait, qu’as-tu pensé des talents de fellatrice de Christy ? »

« Ma foi, entre hier soir et cet après-midi, je dois reconnaitre qu’elle est une excellente suceuse. De premier choix, une vraie experte » dit il en posant sa main sur ses épaules, l’attirant vers lui et lui décochant un sourire complice et charmeur.

« En fait, elle se demandait si elle était aussi douée que Chantal qui, de votre propre aveu, a déjà beaucoup plus d’expérience au Glory. » Rajoutai-je, créant l’embarras de Christy.

« Difficile de comparer, à vrai dire. D’autant plus qu’il n’est pas évident d’avoir un avis objectif, autant pour toi que pour moi. »

« Je suis entièrement d’accords avec toi, seule une mise en situation de nos deux petites salopes avec un lot d’inconnus pourrait vraiment les départager. Mais en cabine de Glory individuelle, ce n’est carrément pas possible. Mais si cela vous disait de tirer ça au clair, pour en avoir le cœur net, j’ai pensé à quelque chose que nous pourrions essayer ce soir même. »

« Ah là, tu nous intéresses franchement, n’est-ce pas Chantal ? »

« Oh oui, dis-nous. Tu m’excites carrément là. » Répondit la rousse.

« Eh bien voilà, je pense à la grande salle, à droite au bas de l’escalier, dont on peut fermer la porte mais ouvrir les fenestrons pour laisser voir de l’extérieur ce qui s’y passe. Si nous y mettions nos belles, nous pourrions, toi et moi, filtrer les entrées pour qu’elles soient en sécurité. Ainsi, nous verrions clairement vers laquelle se dirigeraient en majorité les gars qui auraient pu voir leurs prestations au préalable. Qu’en pensez-vous ? »

« J’en pense que tu es un gros pervers, Haha ha. Mais il est vrai que ce serait un indicateur fiable pour désigner la meilleure. » Acquiesça, Stéphane un peu hilare.

Alors que Chantal dit :

« C’est vrai que tu as l’air très pervers dis-donc, mais j’adore. »

En disant cela, elle avait posé fermement sa main sur la bosse de mon pantalon en se tournant vers moi pour me lancer un regard de biche des plus sensuel. Le serveur arriva, les bras chargés de nos assiettes, ce qui me permit d’éviter le regard foudroyant de Christy. Il me servit un fond de verre du vin que j’avais commandé pour que je le goutte, celui-ci était parfait, et nous mangeâmes de bon appétit. Durant le repas, Chantal n’eut de cesse de me gratifier de toute son attention, très tactile, sa main se poser haut sur ma cuisse dès qu’elle reposait ses couverts, et lorsque je lui servais du vin, elle me lançait des regards langoureux en murmurant un suave « merci » du bout des lèvres. Je ne saurais dire pas si Stéphane était atteint du même niveau de candaulisme que moi, car il ne semblait pas jaloux pour sou. Peut être parce qu’il portait tout son attention à Christy. Il avait plutôt l’air indifférent à l’attitude de sa femme qu’enthousiasmé de la voir s’intéresser à ma personne. J’en déduis qu’ils étaient plus dans l’échangisme, et que le fait qu’il la livre en Gloryhole lui permettait de la regarder se conduire comme une salope spermophile sans voir autre chose qu’un sexe, au lieu d’un amant à part entière.


Mais Christy, elle, n’était pas indifférente à la conduite de Chantal à mon égard, loin de là. Elle semblait furieuse de jalousie et se défoulait de sa hargne en se livrant de plus en plus ouvertement aux sollicitations de Stéphane. C’est ainsi qu’après un café suivi de cognac, nous partîmes à pied à travers les rues, vers notre lieu de débauche favori. Christy marchand devant, avec lui, le serrant de très près de son bras autour de la taille, alors qu’il lui pelotait allègrement les fesses, comme deux amoureux. Nous les suivions, quelques pas en arrière avec Chantal qui avait tendrement mis sa main dans la mienne, ce qui me troublait car elle la serrait relativement fort, au point que je sente la moiteur qui naissait au creux de sa petite paume. Recevoir tant d’excitantes attentions de la part de cette femme, en tous points ravissante, alors que ma tension sexuelle était déjà à son comble grâce au comportement, presque outrageusement adultère de Christy, enchantait mon esprit et mon cœur de sensations exquises, avec, comme seul petit bémol la culpabilité que j’éprouvais, en bon cocu soumis, vis-à-vis d’elle. Et c’était si nouveau pour moi que je m’abandonnais corps et âme à ce que le destin m’offrait sur le moment. Je commençais même à me demander si ce n’était pas Chantal la plus candauliste d’entre nous, car au plus son mari et ma femme semblaient se comportait d’une façon complice, comme s’ils eussent été seuls au monde, plus elle agissait en chatte câline.


Vivement que nous soyons sur site et que l’action commence…

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Je prends donc note et vais tenter de m'améliorer.

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longue, longue, longue...



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