Si Jeune et jolie Christy – XV
Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Si Jeune et jolie Christy – XV
Des queues – Un festival de queues
Inutile de vous dire que la suggestion spontanée de Christy, après avoir regardé cette vidéo amateur, avait plongé mon esprit dans un éréthisme extatique. Je me précipitai donc, pour réserver deux nuits dans mon hôtel favori où j’avais mes habitudes, et où les petits déjeuners étaient abondants et délicieux mais aussi servis jusqu’à onze heures, se muant ainsi en véritable brunchs, ce qui est suffisamment rare pour être souligné. Idéalement situé en plein centre-ville, seulement séparé du fleuve par un quai piéton sur lequel, en été, s’étalait la terrasse du bar-restaurant, il était aussi à proximité de ce lieu dont je lui avais parlé. Il ne s’agissait pas d’un de ces sexshops modernes que l’on trouve aujourd’hui, excentrés en périphéries des villes moyennes, souvent en pleine zone d’activité commerciale, abrités dans des bâtiments qui, de l’extérieur, ressemblent à des entrepôts sans âme.
Il occupait le rez-de-chaussée d’un immeuble haussmannien sur une longueur de rue considérable, offrant derrière son entrée discrète, trois grandes salles où l’on pouvait trouver de tout en matière de costumes, chaussures, sex-toys et accessoires divers pouvant satisfaire tout type de fétichisme. En payant l’accès à la caisse, avec des prix dégressifs suivant que l’on était un homme, un couple ou une femme (business is business), on pouvait accéder à un escalier de pierres, taillées en colimaçon, qui desservait une surface équivalente d’anciennes caves, au sous-sol. D’un côté, deux salles de jeu à thème équipées de fenestrons qui pouvait être obstrués, ou pas. La première était orientée BDSM avec une table à attache, un fauteuil de gynéco et une croix de saint André fixée au mur. Les plafonds étaient voutés, augmentant de son aspect moyenâgeux, l’atmosphère de donjon. L’autre recélait un très grand lit, au matelas de similicuir rouge, pouvant accueillir les ébats de jusqu’à huit personnes, deux fauteuils club et un sling pendu au plafond via de solides chaines.
Mais c’était l’autre coté qui était censé être notre terrain de jeu de ce week-end menstruel. Du moins à la base ! En tournant vers la droite après la dernière marche, on débouchait sur un couloir sombre qui longeait le mur de pierres sur la gauche et, sur la droite, une enfilade de six portes s’ouvrant sur autant de cabines de projections, équipées de grands écrans plats, ou l’on pouvait regarder des pornos préalablement choisis dans un rayon de l’étage supérieur. Là, face aux écrans, une banquette deux places confortable, jouxtée de distributeurs de papier essuie-tout et d’une large corbeille où les jeter après usage. Le sol était recouvert d’un lino en vinyle pour faciliter les nettoyages fréquents et rapides entre deux périodes d’occupation du lieu. Enfin, sur le mur opposé à la porte, un petit volet de bois carré de vingt centimètres par vingt, monté sur glissière, obturait le fameux trou de la gloire, laissait le choix aux occupants d’en libérer l’accès ou pas.
Car au détour de la sixième cabine, le couloir poursuivait sur la droite, faisant deux angles de quatre-vingt-dix degrés pour longer à nouveau toute l’enfilade qu’il contournait ainsi en forme de U. Et c’était bien vers cette dernière portion de corridor sombre, que les hommes, fréquentant les lieux dans l’espoir de se faire absorber la tige, se pressaient dès qu’une porte de cabine était verrouillée, croisant les doigts pour que le volet s’ouvre sur une bouche avide. Christy, ne connaissant pas ce lieu où je l’amenais pour la première fois, ignorait encore tous ces détails. Mais quelque chose me disait qu’elle allait adorait y être. En arrivant à l’hôtel, une fois les formalités d’arrivée accomplies, et enfin dans notre chambre, elle fila d’emblée dans la salle de bain pour se préparer. C’est dire dans quel état d’ébullition libidineuse, la perspective des évènements que nous nous apprêtions à vivre, lui échauffait les sens. Et je m’en réjouissais d’avance.
Pendant ce temps, j’appelai la réception pour nous faire monter un en-cas léger et deux verres de vin blanc. Elle ressorti au bout de trois quarts d’heure et, très fière d’elle, s’offrit à mon appréciation, virevoltant sur elle-même en tenant des deux mains le rebord de sa jupe d’écolière en tartan rouge, plissée, qui lui descendait à peine à mi-cuisse. Elle portait au pieds des chaussures à bout rond et plateforme en cuir noir, laissant nu une bonne partie du dessus de pied et maintenues par des sangles à boucle à la naissance du tibia. Des bas blancs presque opaques lui remontait au-dessus du genou, à quinze centimètres au-dessous de la limite de sa jupette. En haut, elle avait noué les pans d’un chemisier blanc en tergal diaphane sous sa poitrine sans le boutonner, ce qui créait un décolleté aussi large que vertigineux. Deux tresses répartissaient ses cheveux blonds, de manière égale, de chaque côté de son visage gracieux, savamment maquillé d’un blush qui rougissait ses pommettes saillantes.
J’avais devant moi une allégorie de petite effrontée à l’espièglerie lubrique qui, à la fin de son tour, releva le tissu rouge, exposant devant mon regard enchanté son pubis lisse et fendu à la peau soyeuse.
« Qu’en penses-tu ? » me demanda-t-elle.
« C’est très joli ma puce, ça te va très bien. Je suppose que c’est pour moi que tu t’es faite si bandante, car les chanceux qui vont profiter de tes délices buccaux ne profiteront pas de ce spectacle merveilleux. »
« Qui sait » me répondit elle, d’un air évasif et malicieux qui me fit me demander qu’elle idée saugrenue elle pouvait encore avoir en tête.
« J’ai commandé une salade et un sandwich club, lui dis-je »
« Je ne vais prendre qu’un peu de salade, avec toutes les protéines qui m’attendent, je pense que ce sera suffisant ! »
J’éclatais alors de rire en lui disant « comme tu voudras. »
Je voyais bien qu’elle n’en pouvait plus d’attendre, elle tournait en ronds, rongeant son frein. Alors je lui dis que l’accès aux cabines n’était donné qu’à partir de vingt-deux heures. La voyant souffler de lassitude en réponse, je lui dis :
« Bon, écoutes, mets ta veste, on va descendre boire un verre au bar de l’hôtel et ensuite, vers vingt et une heure, nous irons trainer un peu dans la partie sexshop en attendant. »
Elle enfila immédiatement sa veste tailleur ornée de l’écusson d’une école bidon et se précipita vers l’ascenseur sans m’attendre. Je mis mon blouson, fermai la porte de la chambre après avoir vérifié que j’avais bien la carte d’accès et la rejoignis, juste lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvraient. Une fois en bas, elle se laissa tomber dans un des fauteuils entourant une table basse, faisant face à la salle tandis que je m’avançai jusqu’au bar pour nous commander deux bières. En revenant m’assoir à mon tour sur le fauteuil adjacent au sien, je vis qu’elle avait déboutonné sa veste dont les pans couvraient ses seins mais révélait sa peau nue du cou jusqu’à la ceinture de sa jupe, avec comme seule ponctuation le nœud de son chemisier. Et dans le mouvement, le bas de sa jupe, mue par la traction de ses fesses dodues s’enfonçant dans le coussin, était remonté vraiment plus haut que ce que la morale n’approuve, laissant sa chatte à la vue de tous, uniquement masquée par la pénombre de l’ombre de celle-ci.
Évidemment, parmi les gens qui passaient, ceux qui tournait leur regard vers elle machinalement, manifestaient, pour la plupart, une réaction à deux temps, comme pour vérifier la réalité de l’image subliminale et furtive révélée par leurs yeux qu’ils n’osaient croire. Ce fut le cas d’un couple dont la femme fronça les sourcils au deuxième coup d’œil en tirant son mari qui lui donnait le bras, pas seulement pour qu’il accéléra mais pour qu’il regarda où il posait les pieds. Cela fit sourire Christy qui, jusque-là affichait une mine boudeuse d’impatience. Elle adorait toujours autant s’exhiber en public, son plaisir manifeste semblant être sans cesse entretenu par l’indécence croissante de ses tenues de plus en plus osées, comme une fuite en avant vers sa libération sexuelle qu’elle paraissait vouloir jeter à la face du monde sans plus aucune pudeur ni retenue. Nos bières terminées, nous nous élancions dans les rues, marchant bras dessus bras dessous dans la nuit, attirés par nos vices, vers ce temple malsain de luxure impudique, où j’étais impatient de découvrir enfin, la femme que j’aimais se rouler dans la fange, arrosée toute entière d’abondante semence, qu’elle saurait extraire gourmande et obstinée, des pénis anonymes qui la provoqueraient.
La devanture rouge de ce vicieux commerce abritait en son centre une discrète entrée où pendait un rideau, gage de discrétion, gardien d’intimité. D’une part et de l’autre, deux vitrines éclairées, exposaient aux passants toute sortes d’objets, accessoires et jouets, bijoux et vêtements ou encore souliers. Cet excitant bazar était bien accroché sur des panneaux en bois destinés à la fois, à l’exposer sans far mais aussi à cacher, aux yeux inquisiteurs, de la grande boutique, toute vue intérieure, protégeant les clients. Sans une hésitation, ni regard en arrière, écartant la tenture de sa main décidée, Christy se faufila à travers cette entrée et puis ouvrit en grand ses yeux émerveillés. Une dizaine d’hommes trainaient là, désœuvrés, parcourant les rayons si bien achalandés, soit de revues pornos ou autres DVD. Dès son entrée soudaine, ils s’étaient retournés, voyant comme une aubaine, qu’aucun n’eut espéré, l’arrivée de ma belle dans ce lieu malfamé, en tenue de vilaine et coquine effrontée. Elle, nullement gênée, se faufila entre eux vers le rayon jouets, et saisissant un gode bien gros et tout veinés m’interpella alors pour me le faire voir, en l’agitant bien haut, au bout de son bras droit
Les gars éberlués, des yeux ne la quittaient, semblant époustouflés par son audace folle, incrédules, attirés, comme autant de lucioles, autour de cette étoile, inattendue ce soir, et qui habilement leurs donnait tant d’espoir. Comme pour confirmer, entretenir leur rêve, au rayon DVD, elle choisit le film, que nous allions passer, en bas dans la cabine, au titre évocateur, en anglais dans le texte, c’était « Gloryhole’s Queen », en lettres capitales, inscrit sur la jaquette du boitier en plastique, portant le numéro deux cent cinquante et un, que j’annonçai au gars derrière son comptoir, pour qu’il le programma et qu’on puisse le voir. Je lui donnais aussi le gros godemichet que ma Christy choisit peu après son entrée, pour qu’il l’enregistra sur la note entamée et que je devais régler juste avant de partir, constatant, de l’objet, les grandes dimensions, il glissa dans le sac, sans que je le demande, un pot de lubrifiant en disant « je vous l’offre ».
Et ce fut le moment fatidique où ce même homme sortit de son repère pour aller ouvrir la grille qui verrouillait l’escalier. Puis, se tournant vers moi, il me dit :
« Cabine numéro trois ».
Aussitôt nous nous engouffrâmes dans le colimaçon, suivis par tous les clients impatients. Nous entrâmes dans la cabine indiquée et je refermai la porte. Sans attendre, Christy se dévêtit ne gardant que ses chaussures, sa jupette et ses bas blancs. Quand elle s’accroupit face au mur, posant ses mains à plat contre celui-ci pour garder l’équilibre, je vis pendre la ficelle de son tampon périodique sous l’accolade de ses fesses. Elle me regardait tout sourire, l’air gourmande, alors je lui dis :
« Vas-y ma chérie, pousse la trappe dans la glissière », ce qu’elle fit, découvrant le fameux trou dont elle rêvait depuis que nous avions visionné la vidéo sur mon ordi.
Et comme par magie, un premier pénis apparu à travers la fine cloison de contreplaqué. De belle taille et déjà semi-bandé, presque à l’horizontale, il semblait fixer les seins de Christy de son œil de cyclope. Tout d’un coup très appliquée, elle le saisit de la main droite qui commença à coulisser délicatement d’avant en arrière, faisant apparaitre le gland rose par intermittence, qu’elle titillait du bout de la langue. Il fallut moins d’une minute de ce traitement pour que la raideur souhaitée soit atteinte. Elle en prit alors le bout dans sa bouche, avalant le tiers de sa longueur, et resta immobile, alors que sa menotte continuait ses vas et viens masturbatoires. En fait, bien que ses lèvres restassent fixes, elle exerçait de puissantes succions, en série, comme pour aspirer un venin. Je réalisai cela en voyant ses joues qui devenaient concaves à chacune de ses aspirations, synchronisées aux mouvements de sa main. Sa gorge aussi battait la même cadence, agitée par sa langue qui léchait le frein et le dessous du gland. Je trouvais tout cela magnifique de puissance érotique.
Un soubresaut soudain m’indiqua sans ambages, qu’une giclée puissante de liquide crémeux, venait de tapisser, de son palais la voute, avant de ruisseler sur ses joues presque exsangues, inondant sa mâchoire, et submergeant sa langue. Elle ne recracha pas cette liqueur nacrée, mais desserra de suite et instinctivement, l’étreinte délicieuse, cause de l’éruption, en entrouvrant sa bouche, inondée à ras-bord. Reculant doucement et savamment la tête, pour que l’extrémité de la verge cracheuse, vienne se reposer, tendue et palpitante, de sa lèvre inférieure, sur la pulpe brillante. C’est ainsi que je pus, Ô spectacle sublime, assister de visu aux autres éruptions, qui suivirent en saccades, cette première salve. Pour moitié celles-ci, plongèrent entre ses lèvres, augmentant le niveau du sensuel barrage, l’autre moitié, sauvage, macula son visage de fines trainées blanches, du menton jusqu’au front. Gourmande, elle déglutit et fit claquer sa langue, et puis la fit tourner sur ses lèvres gluantes, pour enfin me lancer un sourire pervers, exprimant sa fierté d’exhiber sa maitrise. La bite mollissant s’en alla en arrière, on entendit « merci » derrière la cloison, du quidam qui, ravi, remontait son caleçon, tout en se retirant, laissant le trou vacant au prochain braquemart, qui bien évidemment pénétra l’atmosphère, sans laisser un instant de répit à ma belle.
Celui-ci était droit, tendu et turgescent, parcouru tout du long d’un beau réseau veineux, alimentant le bout aussi dur que du bois, qui pointait vers les cieux de ce sinistre endroit. S’essuyant le visage, Christy récupéra, le foutre gisant là, dans sa petite main, et s’empara du chibre impatient et vibrant, le gratifiant ainsi d’un tiède lubrifiant, qui rendit la caresse autrement plus glissante. Lui chatouillant le frein de son agile langue, elle le fit frémir jusqu’à ce qu’il ne tangue, sous l’action éperdue des coups de reins puissants, vifs et désespérés, que son propriétaire, invisible et ténu, lui imposait violent, réclamant son orgasme. Le sentant presque à bout, ma belle l’emboucha, sans hésiter du tout, l’absorba tout entier, jusqu’à ce que son front buta sur la cloison. Dans un râle puissant, disant ses sensations, l’heureux mâle sucé, se vidait longuement, dans ce doux nid douillet, où baignait son pénis, chaud et agonisant, dans la moite trachée, source d’étranglement et de plaisir béat. Il devait flageoler sur ses jambes tremblantes si j’en crus le fracas de la cloison branlante qui failli s’écrouler sous son poids défaillant, alors que patiemment, ma mie, les larmes aux yeux, de ses lèvres avides, lui nettoyait le pieu, sans perdre aucune goutte de son sperme visqueux. Moi, dans mon pantalon, je vivais un enfer, la bite compressée, par la braguette en fer, dont le gland torturé, par mon gros ceinturon, cherchait à s’échapper vers d’autres horizons.
Christy était hilare et son rire nerveux, lui servant d’exutoire, animait bien les lieux. La connaissant si bien, je devinais sans doute, que de son chaud vagin, devaient perler des gouttes. Pour se détendre un peu les jambes engourdies, elle se releva et se pendit à moi, m’enlaçant fermement, avant de me rouler un magistral patin, bien profond et baveux, me faisant partager un peu de la liqueur, qu’elle avait récoltée, y mettant tout son cœur. Excité comme un fou par sa chaude attitude, je la serrai plus fort, prolongeant cette étreinte, voulant aller plus loin, me délester aussi, de ce trop-plein de foutre comprimant ma vessie. Comprenant le message, elle se ré-accroupie, et c’est là que je vis, sa petite main gauche, s’agitait sur un vit, qui dépassait du mur, s’étant introduit là, pendant ce doux baiser, discret, à mon entier insu. M’excitant plus encore, cette vision cochonne, au lieu de me calmer, me fit bander plus fort. Son agile main droite, ferme et déterminée, venait d’avoir raison de mon gros ceinturon, et de mon boxer bleu, taché de mon pré-sperme, avait extrait mon dard, raidi et vigoureux.
Le prenant dans sa bouche, elle fit trois vas et viens, l’absorbant en entier à chaque aller-retour, elle l’humidifiait sur toute sa longueur, du gland jusqu’à sa base, avec beaucoup d’ardeur, y déposant sa bave mélangée de semence, avant de l’étaler de sa langue salace. S’en détournant alors, mais le tenant toujours, elle se retourna vers le pénis intrus, avec la même science et la même passion, elle lui infligea un traitement semblable, avant de m’entrainer tout prêt de la cloison, en tirant sur ma bite de sa main décidée, me serrant fort le membre qui ne put s’échapper. Nos glands bien lubrifiés par sa douce salive, elle fit se frotter, tournant l’un contre l’autre, comme le font deux langues, unies dans un baiser. Appréciant le spectacle, qu’elle-même s’offrait, les yeux écarquillés, le regard plein d’envie, on eut cru un instant, qu’elle allait nous manger, comme deux eskimos qu’on savoure en été. Car, approchant sa bouche des deux fraises tournantes, elle les enroba de ses lèvres gourmandes, mêlant sa douce langue au combat rapproché, du corps à corps, torride, de nos glands énervés.
Ayant l’avantage certain, d’une vision aphrodisiaque, sur mon adversaire serein, d’outre ce mur opaque, je m’épanchai donc en premier, agité de spasmes cosmiques, inondant de ma voie lactée, cette bouche intergalactique, atteignant la voute céleste, de son palais gargantuesque, avant de venir submerger le pourtour de sa mandibule. Son devoir ainsi accompli, de mon pénis elle fit fi, et concentra tous ses efforts, juste sur le sexe ennemi, le gratifiant sans retenue, du savoir-faire inégalé, en matière de fellation, qu’elle avait brillamment acquis, avec beaucoup de dévotion en se livrant à tant d’orgies depuis plus d’un an et demi.
Sans coup férir elle pompait, ce mandrin qui se laissait faire, sans opposer de réaction, au plaisir extraordinaire, que lui procurait la succion, de cette muqueuse incendiaire. En s’acharnant sur ce pénis, coulissant inlassablement, elle étalait un doux cocon, filé de ma substance pale, qui rajoutait à la douceur de cette caresse buccale. Comme venus de l’au-delà, on entendait ses râles sourds, prouvant qu’il n’allait pas tarder à s’épancher dans mon amour, et c’était ce qu’elle espérait comme une chienne bien dressée, sollicitant sa récompense, après avoir bien ramener, le bâton qu’on lui eut lancé à travers les fougères denses. Entière à sa tâche absorbée, les yeux mi-clos, elle fixait, le bel appendice caudal, dont elle quémandait le Graal. Le bougre étant très endurant, retardait l’envoi de purée, ce qui exaspérait Christy, exacerbant sa volonté, d’obtenir la liqueur salée, dont elle avait soif grandement. Dans un geste désespéré, pour accéder au dénouement, de ses couilles elle se saisit et les fit rouler dans sa main. Bien lui en prit car d’un seul coup, il libéra tout son venin.
A la fois surprise et goinfrés, elle ne put tout avaler, recrachant le serpent visqueux, qui continuait à gicler. Dans un réflexe salutaire, elle en dévia la trajectoire, en orientant vers son thorax les jets qui n’en finissaient pas, barbouillant ces petits citrons, aux tétons roses érectiles, contre lesquels elle frottait, l’orifice de ce reptile. Il gémissait sous cette action, tel une bête à l’agonie, moi je fondais sous la vision de cette poitrine blanchie, juste éclairée par les rayons, qui émanaient de notre écran, scintillant telle une œuvre d’art, dont les reliefs éblouissants, ondulaient sous les mouvements de ce membre au bout turgescent. Je m’étais si souvent branlé, sur des scènes similaires, n’osant jamais imaginer, que je pourrais les vivre un jour, que je me jetai à son cou et l’embrassai avidement, partageant le breuvage doux qu’elle méritait amplement, pour s’être âprement obstinée, en se battant telle une reine, et de sa langue le forçant à une exquise reddition, en jaillissant de sa tanière et tombant dans le précipice, du haut de l’abrupte falaise, d’un plaisir si fort qu’un supplice.
Pendant ce baiser onctueux, un nouvel intrépide pieu, s’était glissé dans l’interstice et déjà là, entre ses doigts, prenant un volume insolent, il prétendait sans artifices à être avalé goulument. Non rassasiée de luxure, elle se détourna de moi, pour aller offrir son calice au visiteur en désarroi, le prenant en gorge profonde jusqu’à ce qu’il obtempérât. Pas une goutte cette fois, ne s’échappa de son gosier, se régalant jusqu’à plus soif, de la rasade généreuse. Je n’arrivais plus à compter, le nombre de sexes rageurs, qui sans arrêt sollicitaient, qu’elle leur octroi ses faveurs. Flattée, elle se soumettait, à leurs caprices égoïstes, et sans aucun doute y prenait autant de plaisir que ces mâles, si heureuse de se vautrer dans la fange et tous ses délices.
Il était deux heures et demi lorsque nous rejoignirent notre chambre d’hôtel. Elle n’eut même pas la force de prendre un bain. Toute souillée de sperme, elle se glissa sous les draps avant de se lover dans mes bras.
Avant de m’endormir, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce que pouvait nous réserver le lendemain…
Inutile de vous dire que la suggestion spontanée de Christy, après avoir regardé cette vidéo amateur, avait plongé mon esprit dans un éréthisme extatique. Je me précipitai donc, pour réserver deux nuits dans mon hôtel favori où j’avais mes habitudes, et où les petits déjeuners étaient abondants et délicieux mais aussi servis jusqu’à onze heures, se muant ainsi en véritable brunchs, ce qui est suffisamment rare pour être souligné. Idéalement situé en plein centre-ville, seulement séparé du fleuve par un quai piéton sur lequel, en été, s’étalait la terrasse du bar-restaurant, il était aussi à proximité de ce lieu dont je lui avais parlé. Il ne s’agissait pas d’un de ces sexshops modernes que l’on trouve aujourd’hui, excentrés en périphéries des villes moyennes, souvent en pleine zone d’activité commerciale, abrités dans des bâtiments qui, de l’extérieur, ressemblent à des entrepôts sans âme.
Il occupait le rez-de-chaussée d’un immeuble haussmannien sur une longueur de rue considérable, offrant derrière son entrée discrète, trois grandes salles où l’on pouvait trouver de tout en matière de costumes, chaussures, sex-toys et accessoires divers pouvant satisfaire tout type de fétichisme. En payant l’accès à la caisse, avec des prix dégressifs suivant que l’on était un homme, un couple ou une femme (business is business), on pouvait accéder à un escalier de pierres, taillées en colimaçon, qui desservait une surface équivalente d’anciennes caves, au sous-sol. D’un côté, deux salles de jeu à thème équipées de fenestrons qui pouvait être obstrués, ou pas. La première était orientée BDSM avec une table à attache, un fauteuil de gynéco et une croix de saint André fixée au mur. Les plafonds étaient voutés, augmentant de son aspect moyenâgeux, l’atmosphère de donjon. L’autre recélait un très grand lit, au matelas de similicuir rouge, pouvant accueillir les ébats de jusqu’à huit personnes, deux fauteuils club et un sling pendu au plafond via de solides chaines.
Mais c’était l’autre coté qui était censé être notre terrain de jeu de ce week-end menstruel. Du moins à la base ! En tournant vers la droite après la dernière marche, on débouchait sur un couloir sombre qui longeait le mur de pierres sur la gauche et, sur la droite, une enfilade de six portes s’ouvrant sur autant de cabines de projections, équipées de grands écrans plats, ou l’on pouvait regarder des pornos préalablement choisis dans un rayon de l’étage supérieur. Là, face aux écrans, une banquette deux places confortable, jouxtée de distributeurs de papier essuie-tout et d’une large corbeille où les jeter après usage. Le sol était recouvert d’un lino en vinyle pour faciliter les nettoyages fréquents et rapides entre deux périodes d’occupation du lieu. Enfin, sur le mur opposé à la porte, un petit volet de bois carré de vingt centimètres par vingt, monté sur glissière, obturait le fameux trou de la gloire, laissait le choix aux occupants d’en libérer l’accès ou pas.
Car au détour de la sixième cabine, le couloir poursuivait sur la droite, faisant deux angles de quatre-vingt-dix degrés pour longer à nouveau toute l’enfilade qu’il contournait ainsi en forme de U. Et c’était bien vers cette dernière portion de corridor sombre, que les hommes, fréquentant les lieux dans l’espoir de se faire absorber la tige, se pressaient dès qu’une porte de cabine était verrouillée, croisant les doigts pour que le volet s’ouvre sur une bouche avide. Christy, ne connaissant pas ce lieu où je l’amenais pour la première fois, ignorait encore tous ces détails. Mais quelque chose me disait qu’elle allait adorait y être. En arrivant à l’hôtel, une fois les formalités d’arrivée accomplies, et enfin dans notre chambre, elle fila d’emblée dans la salle de bain pour se préparer. C’est dire dans quel état d’ébullition libidineuse, la perspective des évènements que nous nous apprêtions à vivre, lui échauffait les sens. Et je m’en réjouissais d’avance.
Pendant ce temps, j’appelai la réception pour nous faire monter un en-cas léger et deux verres de vin blanc. Elle ressorti au bout de trois quarts d’heure et, très fière d’elle, s’offrit à mon appréciation, virevoltant sur elle-même en tenant des deux mains le rebord de sa jupe d’écolière en tartan rouge, plissée, qui lui descendait à peine à mi-cuisse. Elle portait au pieds des chaussures à bout rond et plateforme en cuir noir, laissant nu une bonne partie du dessus de pied et maintenues par des sangles à boucle à la naissance du tibia. Des bas blancs presque opaques lui remontait au-dessus du genou, à quinze centimètres au-dessous de la limite de sa jupette. En haut, elle avait noué les pans d’un chemisier blanc en tergal diaphane sous sa poitrine sans le boutonner, ce qui créait un décolleté aussi large que vertigineux. Deux tresses répartissaient ses cheveux blonds, de manière égale, de chaque côté de son visage gracieux, savamment maquillé d’un blush qui rougissait ses pommettes saillantes.
J’avais devant moi une allégorie de petite effrontée à l’espièglerie lubrique qui, à la fin de son tour, releva le tissu rouge, exposant devant mon regard enchanté son pubis lisse et fendu à la peau soyeuse.
« Qu’en penses-tu ? » me demanda-t-elle.
« C’est très joli ma puce, ça te va très bien. Je suppose que c’est pour moi que tu t’es faite si bandante, car les chanceux qui vont profiter de tes délices buccaux ne profiteront pas de ce spectacle merveilleux. »
« Qui sait » me répondit elle, d’un air évasif et malicieux qui me fit me demander qu’elle idée saugrenue elle pouvait encore avoir en tête.
« J’ai commandé une salade et un sandwich club, lui dis-je »
« Je ne vais prendre qu’un peu de salade, avec toutes les protéines qui m’attendent, je pense que ce sera suffisant ! »
J’éclatais alors de rire en lui disant « comme tu voudras. »
Je voyais bien qu’elle n’en pouvait plus d’attendre, elle tournait en ronds, rongeant son frein. Alors je lui dis que l’accès aux cabines n’était donné qu’à partir de vingt-deux heures. La voyant souffler de lassitude en réponse, je lui dis :
« Bon, écoutes, mets ta veste, on va descendre boire un verre au bar de l’hôtel et ensuite, vers vingt et une heure, nous irons trainer un peu dans la partie sexshop en attendant. »
Elle enfila immédiatement sa veste tailleur ornée de l’écusson d’une école bidon et se précipita vers l’ascenseur sans m’attendre. Je mis mon blouson, fermai la porte de la chambre après avoir vérifié que j’avais bien la carte d’accès et la rejoignis, juste lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvraient. Une fois en bas, elle se laissa tomber dans un des fauteuils entourant une table basse, faisant face à la salle tandis que je m’avançai jusqu’au bar pour nous commander deux bières. En revenant m’assoir à mon tour sur le fauteuil adjacent au sien, je vis qu’elle avait déboutonné sa veste dont les pans couvraient ses seins mais révélait sa peau nue du cou jusqu’à la ceinture de sa jupe, avec comme seule ponctuation le nœud de son chemisier. Et dans le mouvement, le bas de sa jupe, mue par la traction de ses fesses dodues s’enfonçant dans le coussin, était remonté vraiment plus haut que ce que la morale n’approuve, laissant sa chatte à la vue de tous, uniquement masquée par la pénombre de l’ombre de celle-ci.
Évidemment, parmi les gens qui passaient, ceux qui tournait leur regard vers elle machinalement, manifestaient, pour la plupart, une réaction à deux temps, comme pour vérifier la réalité de l’image subliminale et furtive révélée par leurs yeux qu’ils n’osaient croire. Ce fut le cas d’un couple dont la femme fronça les sourcils au deuxième coup d’œil en tirant son mari qui lui donnait le bras, pas seulement pour qu’il accéléra mais pour qu’il regarda où il posait les pieds. Cela fit sourire Christy qui, jusque-là affichait une mine boudeuse d’impatience. Elle adorait toujours autant s’exhiber en public, son plaisir manifeste semblant être sans cesse entretenu par l’indécence croissante de ses tenues de plus en plus osées, comme une fuite en avant vers sa libération sexuelle qu’elle paraissait vouloir jeter à la face du monde sans plus aucune pudeur ni retenue. Nos bières terminées, nous nous élancions dans les rues, marchant bras dessus bras dessous dans la nuit, attirés par nos vices, vers ce temple malsain de luxure impudique, où j’étais impatient de découvrir enfin, la femme que j’aimais se rouler dans la fange, arrosée toute entière d’abondante semence, qu’elle saurait extraire gourmande et obstinée, des pénis anonymes qui la provoqueraient.
La devanture rouge de ce vicieux commerce abritait en son centre une discrète entrée où pendait un rideau, gage de discrétion, gardien d’intimité. D’une part et de l’autre, deux vitrines éclairées, exposaient aux passants toute sortes d’objets, accessoires et jouets, bijoux et vêtements ou encore souliers. Cet excitant bazar était bien accroché sur des panneaux en bois destinés à la fois, à l’exposer sans far mais aussi à cacher, aux yeux inquisiteurs, de la grande boutique, toute vue intérieure, protégeant les clients. Sans une hésitation, ni regard en arrière, écartant la tenture de sa main décidée, Christy se faufila à travers cette entrée et puis ouvrit en grand ses yeux émerveillés. Une dizaine d’hommes trainaient là, désœuvrés, parcourant les rayons si bien achalandés, soit de revues pornos ou autres DVD. Dès son entrée soudaine, ils s’étaient retournés, voyant comme une aubaine, qu’aucun n’eut espéré, l’arrivée de ma belle dans ce lieu malfamé, en tenue de vilaine et coquine effrontée. Elle, nullement gênée, se faufila entre eux vers le rayon jouets, et saisissant un gode bien gros et tout veinés m’interpella alors pour me le faire voir, en l’agitant bien haut, au bout de son bras droit
Les gars éberlués, des yeux ne la quittaient, semblant époustouflés par son audace folle, incrédules, attirés, comme autant de lucioles, autour de cette étoile, inattendue ce soir, et qui habilement leurs donnait tant d’espoir. Comme pour confirmer, entretenir leur rêve, au rayon DVD, elle choisit le film, que nous allions passer, en bas dans la cabine, au titre évocateur, en anglais dans le texte, c’était « Gloryhole’s Queen », en lettres capitales, inscrit sur la jaquette du boitier en plastique, portant le numéro deux cent cinquante et un, que j’annonçai au gars derrière son comptoir, pour qu’il le programma et qu’on puisse le voir. Je lui donnais aussi le gros godemichet que ma Christy choisit peu après son entrée, pour qu’il l’enregistra sur la note entamée et que je devais régler juste avant de partir, constatant, de l’objet, les grandes dimensions, il glissa dans le sac, sans que je le demande, un pot de lubrifiant en disant « je vous l’offre ».
Et ce fut le moment fatidique où ce même homme sortit de son repère pour aller ouvrir la grille qui verrouillait l’escalier. Puis, se tournant vers moi, il me dit :
« Cabine numéro trois ».
Aussitôt nous nous engouffrâmes dans le colimaçon, suivis par tous les clients impatients. Nous entrâmes dans la cabine indiquée et je refermai la porte. Sans attendre, Christy se dévêtit ne gardant que ses chaussures, sa jupette et ses bas blancs. Quand elle s’accroupit face au mur, posant ses mains à plat contre celui-ci pour garder l’équilibre, je vis pendre la ficelle de son tampon périodique sous l’accolade de ses fesses. Elle me regardait tout sourire, l’air gourmande, alors je lui dis :
« Vas-y ma chérie, pousse la trappe dans la glissière », ce qu’elle fit, découvrant le fameux trou dont elle rêvait depuis que nous avions visionné la vidéo sur mon ordi.
Et comme par magie, un premier pénis apparu à travers la fine cloison de contreplaqué. De belle taille et déjà semi-bandé, presque à l’horizontale, il semblait fixer les seins de Christy de son œil de cyclope. Tout d’un coup très appliquée, elle le saisit de la main droite qui commença à coulisser délicatement d’avant en arrière, faisant apparaitre le gland rose par intermittence, qu’elle titillait du bout de la langue. Il fallut moins d’une minute de ce traitement pour que la raideur souhaitée soit atteinte. Elle en prit alors le bout dans sa bouche, avalant le tiers de sa longueur, et resta immobile, alors que sa menotte continuait ses vas et viens masturbatoires. En fait, bien que ses lèvres restassent fixes, elle exerçait de puissantes succions, en série, comme pour aspirer un venin. Je réalisai cela en voyant ses joues qui devenaient concaves à chacune de ses aspirations, synchronisées aux mouvements de sa main. Sa gorge aussi battait la même cadence, agitée par sa langue qui léchait le frein et le dessous du gland. Je trouvais tout cela magnifique de puissance érotique.
Un soubresaut soudain m’indiqua sans ambages, qu’une giclée puissante de liquide crémeux, venait de tapisser, de son palais la voute, avant de ruisseler sur ses joues presque exsangues, inondant sa mâchoire, et submergeant sa langue. Elle ne recracha pas cette liqueur nacrée, mais desserra de suite et instinctivement, l’étreinte délicieuse, cause de l’éruption, en entrouvrant sa bouche, inondée à ras-bord. Reculant doucement et savamment la tête, pour que l’extrémité de la verge cracheuse, vienne se reposer, tendue et palpitante, de sa lèvre inférieure, sur la pulpe brillante. C’est ainsi que je pus, Ô spectacle sublime, assister de visu aux autres éruptions, qui suivirent en saccades, cette première salve. Pour moitié celles-ci, plongèrent entre ses lèvres, augmentant le niveau du sensuel barrage, l’autre moitié, sauvage, macula son visage de fines trainées blanches, du menton jusqu’au front. Gourmande, elle déglutit et fit claquer sa langue, et puis la fit tourner sur ses lèvres gluantes, pour enfin me lancer un sourire pervers, exprimant sa fierté d’exhiber sa maitrise. La bite mollissant s’en alla en arrière, on entendit « merci » derrière la cloison, du quidam qui, ravi, remontait son caleçon, tout en se retirant, laissant le trou vacant au prochain braquemart, qui bien évidemment pénétra l’atmosphère, sans laisser un instant de répit à ma belle.
Celui-ci était droit, tendu et turgescent, parcouru tout du long d’un beau réseau veineux, alimentant le bout aussi dur que du bois, qui pointait vers les cieux de ce sinistre endroit. S’essuyant le visage, Christy récupéra, le foutre gisant là, dans sa petite main, et s’empara du chibre impatient et vibrant, le gratifiant ainsi d’un tiède lubrifiant, qui rendit la caresse autrement plus glissante. Lui chatouillant le frein de son agile langue, elle le fit frémir jusqu’à ce qu’il ne tangue, sous l’action éperdue des coups de reins puissants, vifs et désespérés, que son propriétaire, invisible et ténu, lui imposait violent, réclamant son orgasme. Le sentant presque à bout, ma belle l’emboucha, sans hésiter du tout, l’absorba tout entier, jusqu’à ce que son front buta sur la cloison. Dans un râle puissant, disant ses sensations, l’heureux mâle sucé, se vidait longuement, dans ce doux nid douillet, où baignait son pénis, chaud et agonisant, dans la moite trachée, source d’étranglement et de plaisir béat. Il devait flageoler sur ses jambes tremblantes si j’en crus le fracas de la cloison branlante qui failli s’écrouler sous son poids défaillant, alors que patiemment, ma mie, les larmes aux yeux, de ses lèvres avides, lui nettoyait le pieu, sans perdre aucune goutte de son sperme visqueux. Moi, dans mon pantalon, je vivais un enfer, la bite compressée, par la braguette en fer, dont le gland torturé, par mon gros ceinturon, cherchait à s’échapper vers d’autres horizons.
Christy était hilare et son rire nerveux, lui servant d’exutoire, animait bien les lieux. La connaissant si bien, je devinais sans doute, que de son chaud vagin, devaient perler des gouttes. Pour se détendre un peu les jambes engourdies, elle se releva et se pendit à moi, m’enlaçant fermement, avant de me rouler un magistral patin, bien profond et baveux, me faisant partager un peu de la liqueur, qu’elle avait récoltée, y mettant tout son cœur. Excité comme un fou par sa chaude attitude, je la serrai plus fort, prolongeant cette étreinte, voulant aller plus loin, me délester aussi, de ce trop-plein de foutre comprimant ma vessie. Comprenant le message, elle se ré-accroupie, et c’est là que je vis, sa petite main gauche, s’agitait sur un vit, qui dépassait du mur, s’étant introduit là, pendant ce doux baiser, discret, à mon entier insu. M’excitant plus encore, cette vision cochonne, au lieu de me calmer, me fit bander plus fort. Son agile main droite, ferme et déterminée, venait d’avoir raison de mon gros ceinturon, et de mon boxer bleu, taché de mon pré-sperme, avait extrait mon dard, raidi et vigoureux.
Le prenant dans sa bouche, elle fit trois vas et viens, l’absorbant en entier à chaque aller-retour, elle l’humidifiait sur toute sa longueur, du gland jusqu’à sa base, avec beaucoup d’ardeur, y déposant sa bave mélangée de semence, avant de l’étaler de sa langue salace. S’en détournant alors, mais le tenant toujours, elle se retourna vers le pénis intrus, avec la même science et la même passion, elle lui infligea un traitement semblable, avant de m’entrainer tout prêt de la cloison, en tirant sur ma bite de sa main décidée, me serrant fort le membre qui ne put s’échapper. Nos glands bien lubrifiés par sa douce salive, elle fit se frotter, tournant l’un contre l’autre, comme le font deux langues, unies dans un baiser. Appréciant le spectacle, qu’elle-même s’offrait, les yeux écarquillés, le regard plein d’envie, on eut cru un instant, qu’elle allait nous manger, comme deux eskimos qu’on savoure en été. Car, approchant sa bouche des deux fraises tournantes, elle les enroba de ses lèvres gourmandes, mêlant sa douce langue au combat rapproché, du corps à corps, torride, de nos glands énervés.
Ayant l’avantage certain, d’une vision aphrodisiaque, sur mon adversaire serein, d’outre ce mur opaque, je m’épanchai donc en premier, agité de spasmes cosmiques, inondant de ma voie lactée, cette bouche intergalactique, atteignant la voute céleste, de son palais gargantuesque, avant de venir submerger le pourtour de sa mandibule. Son devoir ainsi accompli, de mon pénis elle fit fi, et concentra tous ses efforts, juste sur le sexe ennemi, le gratifiant sans retenue, du savoir-faire inégalé, en matière de fellation, qu’elle avait brillamment acquis, avec beaucoup de dévotion en se livrant à tant d’orgies depuis plus d’un an et demi.
Sans coup férir elle pompait, ce mandrin qui se laissait faire, sans opposer de réaction, au plaisir extraordinaire, que lui procurait la succion, de cette muqueuse incendiaire. En s’acharnant sur ce pénis, coulissant inlassablement, elle étalait un doux cocon, filé de ma substance pale, qui rajoutait à la douceur de cette caresse buccale. Comme venus de l’au-delà, on entendait ses râles sourds, prouvant qu’il n’allait pas tarder à s’épancher dans mon amour, et c’était ce qu’elle espérait comme une chienne bien dressée, sollicitant sa récompense, après avoir bien ramener, le bâton qu’on lui eut lancé à travers les fougères denses. Entière à sa tâche absorbée, les yeux mi-clos, elle fixait, le bel appendice caudal, dont elle quémandait le Graal. Le bougre étant très endurant, retardait l’envoi de purée, ce qui exaspérait Christy, exacerbant sa volonté, d’obtenir la liqueur salée, dont elle avait soif grandement. Dans un geste désespéré, pour accéder au dénouement, de ses couilles elle se saisit et les fit rouler dans sa main. Bien lui en prit car d’un seul coup, il libéra tout son venin.
A la fois surprise et goinfrés, elle ne put tout avaler, recrachant le serpent visqueux, qui continuait à gicler. Dans un réflexe salutaire, elle en dévia la trajectoire, en orientant vers son thorax les jets qui n’en finissaient pas, barbouillant ces petits citrons, aux tétons roses érectiles, contre lesquels elle frottait, l’orifice de ce reptile. Il gémissait sous cette action, tel une bête à l’agonie, moi je fondais sous la vision de cette poitrine blanchie, juste éclairée par les rayons, qui émanaient de notre écran, scintillant telle une œuvre d’art, dont les reliefs éblouissants, ondulaient sous les mouvements de ce membre au bout turgescent. Je m’étais si souvent branlé, sur des scènes similaires, n’osant jamais imaginer, que je pourrais les vivre un jour, que je me jetai à son cou et l’embrassai avidement, partageant le breuvage doux qu’elle méritait amplement, pour s’être âprement obstinée, en se battant telle une reine, et de sa langue le forçant à une exquise reddition, en jaillissant de sa tanière et tombant dans le précipice, du haut de l’abrupte falaise, d’un plaisir si fort qu’un supplice.
Pendant ce baiser onctueux, un nouvel intrépide pieu, s’était glissé dans l’interstice et déjà là, entre ses doigts, prenant un volume insolent, il prétendait sans artifices à être avalé goulument. Non rassasiée de luxure, elle se détourna de moi, pour aller offrir son calice au visiteur en désarroi, le prenant en gorge profonde jusqu’à ce qu’il obtempérât. Pas une goutte cette fois, ne s’échappa de son gosier, se régalant jusqu’à plus soif, de la rasade généreuse. Je n’arrivais plus à compter, le nombre de sexes rageurs, qui sans arrêt sollicitaient, qu’elle leur octroi ses faveurs. Flattée, elle se soumettait, à leurs caprices égoïstes, et sans aucun doute y prenait autant de plaisir que ces mâles, si heureuse de se vautrer dans la fange et tous ses délices.
Il était deux heures et demi lorsque nous rejoignirent notre chambre d’hôtel. Elle n’eut même pas la force de prendre un bain. Toute souillée de sperme, elle se glissa sous les draps avant de se lover dans mes bras.
Avant de m’endormir, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce que pouvait nous réserver le lendemain…
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