Si Jeune et jolie Christy – IX

- Par l'auteur HDS olifougueux -
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Récit libertin : Si Jeune et jolie Christy – IX Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Si Jeune et jolie Christy – IX
Toujours plus loin – Un jalon important -

Une fois rentrés chez nous, nous faisions un point sur cette nuit de folie. Au départ, Christy me suspecta d’y être plus ou moins lié, en temps qu’organisateur secret. Je ne mis pas longtemps à la convaincre que je n’y étais pour rien car il était évident que jamais je n’eusse pu avoir le temps le temps nécessaire pour mettre en place un tel traquenard en deux jours. Une fois ses doutes dissipés, je m’enquis de quel avait été son ressenti. Comme je m’y attendais, elle n’avait pas apprécié le fait d’être entreprise par une femme, malgré le fait qu’elle eut joui plusieurs fois sous ses caresses saphiques. Elle n’était pas du tout attirée par les femmes dont elle trouvait le sexe répugnant. Non, si elle avait joui, c’était purement mécanique et en fermant les yeux.


A son tour, elle m’avoua qu’elle avait été choquée et jalouse de me voir avec ces deux femmes. Elle me demanda si je n’avais pas été dégouté par leurs corps de vieilles. Je lui répondis que j’étais désolé pour m’être adonné à ces rapports sans avoir son aval au préalable, mais que cela c’était produit malgré moi, dans le feu de l’action et sous l’influence de l’immense excitation que me procurait le fait de la voir jouir elle-même. Et aussi que j’avais une attirance pour les femmes très mures depuis mon plus jeune âge.


Vint ensuite la question de ces deux hommes et la façon pour le moins sauvage dont il l’avait baisée en trio pendant plus d’une heure. Elle reconnut que cela avait été la partie qu’elle avait le plus apprécié. Alors, je lui demandais ironiquement si leur corps de vieux ne l’avaient pas dégouté. Un peu gênée, elle me répondit que, nonobstant leur âge avancé, ils étaient physiquement séduisants, en plus d’être à la fois performants et endurants (bien que les cachets avalés y fussent pour beaucoup) et qu’elle avait adoré leur comportement rustre. Ne pouvant m’en empêcher, je lui demandais si la taille généreuse de leurs membres n'entrait pas également dans l’équation du plaisir qu’elle avait ressenti, ce à quoi elle rétorqua « aussi, oui » en rougissant.


Enfin, elle aborda la question du nettoyage de sa chatte souillée, qu’elle pensait ne m’avoir été qu’imposé par la brune. Sans trop m’étendre sur le sujet, je lui répondis que le fait que ce sperme sorte de son corps, comme la matérialisation du plaisir qu’elle avait provoqué chez ces amants, m’avais fait outrepasser tout dégout. Elle m’avoua qu’elle-même avait énormément aimé cette caresse qui mit un point final à cette partouse.


Nous en restâmes là de ce bilan, je ne lui avouai pas que, en vidant la poche de ma chemise souillée de la mouille de la blonde, avant de la mettre au sale, j’avais trouvé la carte de visite de madame Sylvia M., la belle brune, que je rangeai aussi discrètement que soigneusement, en bonne place dans mes petits papiers, après avoir rentré sont numéro dans le répertoire de contacts de mon téléphone…


Christy ayant la garde de ses enfants la semaine suivante, nous ne nous vîmes pas. J’en profitai pour reprendre ma quête de partenaires potentiels sur le net. De tous les profils que je passai en revue, quatre avaient particulièrement retenu mon attention et je les contactai en message privé. Un message identique pour les quatre dans lequel je leur expliquai mon candaulisme, qui impliquait ma présence sans participation, lors de rencontres sexuelles. Je leur donnais mon âge et celui de Christy ainsi qu’une description physique détaillée d’elle incluant taille, poids, mensurations, couleur des yeux et des cheveux. Leur point commun étant de se prévaloir d’une grosse queue dans leurs profils, je demandai à chacun de me faire parvenir une photo avec visage et corps complet, ainsi qu’une autre, centrée elle sur leur sexe en érection. Leur promettant que s’ils intéressaient Christy, je leur enverrai à mon tour des photos d’elle, mais visage flouté afin de lui éviter tout risque inhérent aux échanges numériques.


Seul trois d’entre eux répondirent positivement à mes demandes, le quatrième étant alors disqualifié d’office. Il s’agissait de deux blancs et un black.

Le plus jeune, Vincent, blanc, mesurait, comme moi, un mètre quatre-vingt mais était beaucoup plus svelte, ne pesant que soixante-quinze kilos, au corps athlétiques et aux muscles saillant. Ses photos confirmaient la taille de son sexe, vingt-trois centimètres de long pour cinq et demi de diamètre. Plus ou moins le gabarit de Gabriel.

Le second, Youssou, était le black. Un mètre quatre-vingt-cinq, pas un pet de graisse, tout en muscle et la peau ébène. Son membre battait les deux autres à plate couture avec sa longueur de vingt-huit centimètres pour six de diamètre. Lui, son point commun avec moi se limitait à son crane complètement lisse.

Enfin, jules, un peu plus âgé que les deux autres, avait vingt-huit ans. Blond aux cheveux assez longs, un mètre quatre-vingt-dix et très large d’épaules. Gras sans être gros, notre point commun était d’avoir plus un physique de bucheron que d’athlète. Sa bite, bien que longue de « seulement » dix-neuf centimètres n’en était pas moins intéressante car d’un diamètre de sept et demi ! Un vrai tronçon de colonne grecque.


Lorsque nous nous retrouvions le dimanche soir, j’étais tout excité et impatient de faire part à Christy de mes trouvailles. Et j’étais plutôt optimiste, tous trois beaux garçons, jeunes comme elle, ou légèrement plus, et ayant chacun un point commun avec moi, il y avait toutes les chances pour qu’ils lui plaisent. Du moins physiquement mais c’était bien là le but. Elle eut, en effet, l’air séduite par chacun d’eux et leurs aspects (pour ne pas dire appâts) aussi différents qu’attrayants. Lorsque je lui fis part de la promesse d’envoi de photos que je leur avais fait miroiter, elle fit un peu la moue. Mais après quelques hésitations, elle se prêtas finalement à une séance de prise de vues coquines.


Sur la première photo, je la prenais entièrement nue, debout et de face, les deux mains croisées derrière la nuque, sous ses cheveux blonds. La deuxième était de dos dans la même pose. Je prenais la troisième par l’arrière en vue plongeante, elle était en position de levrette avec les coudes appuyés sur le lit ainsi que les avant-bras, parallèles à l’axe de son dos, et entre lesquels reposait son front. Cette pose magnifiait la beauté incommensurable de son cul et révélait la tache rose de son anus serré. Enfin, sur la dernière, elle était sur le dos, cuisses écartées et genoux, qu’elle retenait de ses mains, remontés au niveau des épaules. Une vue enchanteresse de son sexe si appétissant à la fente vulvaire à peine entrouverte. Je me dis qu’avec de telles images, s’ils n’étaient pas enthousiasmés à l’idée de se la faire, ils ne méritaient aucun intérêt.


Une fois transférées sur l’ordi et effacées de mon appareil, je floutai son visage, puis effaçai les originaux et nous les envoyions par mail au trois chanceux Alphas. Je lui dis alors que ce serait bien le diable si aucun d’entre eux ne voulut aller plus loin en concrétisant une rencontre. Et qu’il y avait selon moi de grandes chances que les trois furent volontaires. Ce qui nous laissait espérer trois nouvelles expériences à venir. Mais, devant sa moue dubitative, je lui dis qu’elle avait tord d’encore douter de son pouvoir d’attraction sur la gent masculine, et même féminine. Et soulignais le fait que ce que nous avions vécu récemment allait dans ce sens.


« Non ce n’est pas ça que je pensais. » me répondit-elle, provoquant ma surprise.

« Mais alors, qu’y a-t-il ? » lui demandai-je, un peu inquiet. Comme souvent, elle rougit fortement avant de déclarer :

« Euh… ben …, je me disais plutôt qu’il serait peut-être bien de n’en faire qu’une seule et même expérience… »

Cela eut sur moi l’effet d’une douche froide qui, paradoxalement, aurait fait grimper ma température !

« Tu… tu veux dire… avec les trois en même temps ?! »

« Ben… Oui… Avec ceux qui seront d’accords du moins... »

Je fus complètement décontenancé, comme cela va sans dire, je ne m’y attendais pas le moins du monde. J’avais peur que les choses aillent un peu trop vite. Qu’elles m’échappassent. Et aussi que Christy ait les yeux un peu plus gros que le ventre, si j’ose dire. Mais après tout, par deux fois déjà, elle avait vaillamment subi les assauts simultanés et, pour le moins, musclés, de deux hommes en trio. La première fois avec Gabriel et moi et, dernièrement, avec ces deux vieux, lors de l’après concert.

« Tu en as vraiment envie ? Tu t’en sens capable ? Ils semblent tous les trois très virils… »

« Oui, rappelles-toi, je me suis toujours demandée ce que cela pouvait faire d’être le centre d’attention lors d’un gang bang… Quand il y a plus de deux partenaires, c’est bien un gang bang, hein ? » dit-elle en se lovant dans mes bras.

Cette attitude et sa dernière question, prononcée en toute candeur, m’attendrit et m’amusa :

« Oui, disons un « mini » gang bang » répondis-je avec un tout petit rire dans la voix. « Et si c’est que tu souhaites mon amour, c’est d’accord, je vais leur en faire la proposition. »


Un radieux sourire gourmand au visage, elle se pendit à mon cou et me couvrit de plein de petits bisous frénétiques, exprimant une joie non dissimulée Malgré mes craintes de bruler les étapes, j’entamai, par messagerie, les pourparlers avec les trois prétendants. Sans grande surprise, les trois furent d’accord, bien que je sentisse Vincent un peu moins enthousiaste que les deux autres, m’expliquant qu’il n’avait jamais fait ça et que l’idée de le faire seul et devant moi était déjà un challenge pour lui. Je pense que les photos que nous lui avions envoyées le convainquirent. Je leur proposai de nous rencontrer tous les quatre dans mon bar habituels pour faire connaissance, le jeudi suivant, leur demandant aussi d’effectuer un test de dépistage M.S.T. complet et de me transmettre les résultats dès qu’ils les auraient.



Notre rencontre me confortait dans l’idée que nous avions fait le bon choix. Les trois gars étaient polis, propres sur eux et très respectueux envers moi, bien que tous très excités et impatients. Le courant passa bien entre eux et moi, ils m’inspiraient confiance. Je leur expliquai que, Christy étant actuellement en troisième semaine de son cycle, notre rencontre aurait lieu non pas ce weekend mais le suivant, et leur recommandai d’utiliser des préservatifs en cas de rapport d’ici là, ce qu’ils me promettaient tous. En rentrant, je fis part à Christy de tout cela. Elle en fut ravie et me confia qu’elle y pensait tous les jours et en était de plus en plus excitée. Moi, je m’abstenais de lui faire l’amour de telle sorte qu’elle arriva à la date fatidique dans un état de manque prononcé, pour ce moment inoubliable.


Il va de soi que je n’avais également que ça en tête en permanence, imaginant les scenarii les plus hard, tous plus pervers les uns que les autres, balayant tout le spectre des possibles entre une femmes en compagnie de trois sexes affamés. Le temps nous paraissait infiniment long à tous les cinq. Le mercredi, je reçu par mail les résultats médicaux de nos trois comparses. A mon grand soulagement, tous trois étaient blanc comme neige (si j’ose dire…). La date approchait donc, lentement mais surement, lorsque j’eus la surprise de recevoir un mail d’Hugo, le quatrième lascar qui avait cessé de communiquer lorsque je leur avais demandé des photos. Il m’écrivait qu’il était vraiment désolé mais qu’il avait été victime d’une panne de réseau le privant d’internet pendant deux semaines.


Je le cru d’autant plus que la presse locale s’était faite l’écho de l’incident, dû à des travaux de voirie, et qui avait impacté tout un quart de la commune. Il joignait à son mail les photos de de sa morphologie me demandant de bien vouloir prendre sa candidature en considération. Et j’avoue qu’il n’avait rien à envier aux physiques des trois autres, ajoutant même un plus car il serait le seul brun ténébreux de la bande et dont je savais que Christy était friande. Je lui renvoyais donc les photos de Christy en lui demandant de me rencontrer impérativement le soir même à dix-neuf heures trente au café. Là, je lui expliquai où nous en étions de notre organisations et des conditions du gang bang, ce à quoi il adhérât en tout point. Comme il était trop tard pour faire un test et obtenir à temps les résultats, je lui dis qu’il serait le seul à devoir utiliser un condom pour tout rapports autre que buccaux et que c’était à prendre ou à laisser. Il me confirma qu’il serait des notre sans hésiter et me remercia vivement.


Je décidai de n’en rien dire à Christy, jubilant de voir sa réaction à cette surprise sans trop douter de celle qu’elle allait être. Par correction, je mettais nos trois autres complices au courant afin de ne pas risquer de plomber l’ambiance auprès de qui que ce soit. Enfin nous étions samedi matin, nous les attendions tous chez moi pour quatorze heures sauf Hugo à qui j’avais demandé de n’arriver que trois quart d’heures plus tard.


Christy ne tenait pas en place depuis qu’elle s’était levée. Après avoir pris son petit déjeuner, elle était restée deux heures dans la salle de bain où elle avait pris son bain, fait un lavement (ce qui en disait long sur ses intentions), coiffé ses cheveux après avoir fait un brushing et peaufiné un maquillage sans équivoque. La veille elle s’était rendu chez son esthéticienne afin d’éliminer scrupuleusement toute trace de pilosité à grand renfort de la fameuse technique du « sugaring ». Je fondis d’admiration lorsqu’elle en ressorti, comme toujours.


Dans la chambre, elle enfila son body en large résille qu’elle avait inauguré lors de la nuit d’Halloween. Chaussa des escarpins pieds-nu aux lanières argentées qui mettaient en valeur le rose brillant du vernis de ses ongles d’orteils. Rose qui était aussi la teinte de la nuisette en voile transparent au bords ornés de fourrure synthétique légère du plus bel effet.
Elle était splendide et terriblement sexy. Fin prête, elle tournait en rond dans l’appartement comme un tigre en cage depuis déjà onze heures trente, lorsque la sonnette retentit enfin. Vincent, Youssou et Jules avaient eu la bonne idée de venir tous ensemble après s’être retrouvés au troquet du bas de l’immeuble voisin.


Christy s’était figée d’un coup en entendant le dring, elle s´était assise au milieu du canapé trois places, presque prostrée dans sa posture de petite fille sage et intimidée, jambes serrées et mains croisées sur les genoux, le visage d’un rose profond, pendant que je les avais fait entrer. Les regards des trois hommes furent immédiatement aspirés par cette icône fantasmagorique de nymphe sexuelle. Ils semblaient très nerveux, alors je les fis assoir, Vincent et Youssou à ses côtés et Jules, leur faisant face, sur une chaise, à coté de la mienne. Si tout se passait comme je le pensais, Hugo, lorsqu’il arriverait, n’aurait plus besoin d’un siège. J’allais donc chercher de la bière pour tous ce joli monde.


Sentant que la tension ne se dissipait pas au bout de dix minutes, je m’approchai de Christy, lui relevai délicatement le menton dans ma direction et me penchai pour l’embrasser, forçant ses lèvres de ma langue pour lui rouler un patin bien humide. Puis je m’agenouillai à ses pieds devant elle et dénouai les deux ganses en satin rose, qui retenaient entre eux les pans de sa nuisette. Ses seins se retrouvèrent exposés à la vue de tous, les tétons saillant au travers des larges mailles du body. Puis, je saisis ses deux mains que je déposai, chacune sur les bosses tendant le tissu des braguettes voisines. Alors, enfin, Youssou posa sa grande main noire sur sa joue droite et l’embrassa voracement. Vincent prit son sein gauche de la main droite, qu’il se mit à triturer entre ses doigts pendant que sa bouche aspirait son téton gauche goulument, émettant de forts bruits de succion. Pour ne pas être en reste, Jules alla s’agenouiller devant elle et, après lui avoir écarté les cuisses, plongea sur sa vulve qu’il se mit à dévorer comme un naufragé trouvant une noix de coco après sept jours de dérive sur une eau salée.


Les caresses continuaient, Christy embrassait maintenant alternativement, un coup Youssou, un coup Vincent, gémissant entre chaque alternance sous l’influence du cunni démentiel que lui imposait Jules. Je me régalais d’observer cette magnifique danse sexuelle mais, à ce moment-là, je n’existais plus pour eux. Vincent et Youssou, sans interrompre leurs caresses de plus en plus frénétiques, avait réussi à dégrafer leurs ceinturons et ouvrir leurs braguettes, laissant surgir leurs gigantesques biroutes que Christy tenait fermement, une dans chaque main. Ses deux yeux fermés montrait son abandon total.


Lorsque jules s’extirpa de son entrejambe, il avait le bas du visage aussi trempé et luisant que la vulve qu’il venait de faire jouir. La voyant prête, elle qui s’arc-boutait pour tendre le bassin vers lui presque instinctivement, il se redressa sur ses genoux en s’approchant du canapé, saisissant Christy par-dessous les cuisses, il l’attira vers lui jusqu’à ce que son bassin arrive au bord du coussin d’assise. Pointant son énorme gland entre les lèvres de sa chatte, il le fit glisser plusieurs fois, de bas en haut dans la fente qui peu à peu s’élargit, comme pour l’inviter à entrer. Et lorsqu’il le fit, commençant des aller retours vigoureux, elle se mit à glousser en synchronisme avec le rythme de ce coït.


Youssou prit alors appuis sur son pied gauche en le posant au sol. Il cala son genou droit contre la fesse gauche de Christy, positionnant ainsi sa queue contre sa bouche, qu’elle ouvrit en grand pour l’ingurgiter sans réfléchir. Au bout de cinq à dix minutes, Jules, à deux doigts de l’orgasme, se retira de son vagin pour se préserver. Il fut immédiatement remplacé par Vincent qui semblait n’attendre que cela. Puis, il vint prendre la même position que Youssou, en miroir de l’autre côté de Christy, et il empoigna les cheveux de ma belle pour lui imposer le rythme de la fellation qu’elle prodiguait à la verge ébène. Il poussait sur l’arrière du crâne pour lui faire absorber toute la longueur du mat noir (jeu de mots !), dont le gland apparaissait en relief sous la peau fine de sa gorge, au niveau de la glotte. Christy s’empara de sa pine avec la main gauche, lui, posa sa main droite sur le pubis et lui massa le clitoris avec les doigts pendant que Vincent continuait à la limer ardemment.


Ainsi stimulée de partout, elle fut prise une répétition d’orgasmes multiples, expulsant en continu des jets de mouille dont les gouttes qui n’atteignaient pas le corps de Vincent, venaient exploser sur le parquet de bois clair, inondant le coussin du canapé au passage. Cette scène torride était bercée d’une symphonie, au tempo allegro marqué par le bruit des claquements humides (floc) qui ponctuaient chaque coup de rein, au cours desquels le bassin de Vincent venait heurter les cuisses de Christy, comme un ressac lancinant. Ses couilles agissaient comme des battants de cloche qui lui sonnaient les fesses. Les soupirs des trois choristes enveloppaient la tendre mélodie du solo de ma diva en gémissement majeur.


Les gars, échangeant leurs places à tour de rôle, ne faiblissaient pas, ne lui laissant aucun répit. A bout d’une demi-heure, à la cinquième rotation, Jules, n’y tenant plus, lui inonda le con. En sentant la semence chaude se répandre en elle, Christy fut terrassée par un orgasme qui lui raidit le corps, provoquant, comme dans une réaction en chaine, la jouissance de Youssou qui lui marbra le visage et lui remplit la bouche. Vincent, branlant son sexe, éjacula en masse une quantité impressionnante de sperme dont les nombreuses giclées vinrent lui maculer les cheveux, la joue droite avant de lui couler dans le cou, et la poitrine.


Ce fut l’entracte. Les trois complices avachis, deux sur le canapé et le troisième à même le sol, avait besoin d’un court repos réparateur. Christy, elle tenait le choc et ne semblait pas rassasiée. Elle me sourit, puis se leva et vint s’assoir sur mes genoux. Elle mit alors ses bras autour de mon cou, me dit « je t’aime » en fixant mon regard, son visage à seulement dix centimètres du mien, puis me roula une galoche magistrale au gout âcre de jus d’homme. Mon érection continue me faisait mal.


Voyant que les hommes avaient repris un rythme cardiaque normal, je les invitais à aller poursuivre dans la chambre leurs activités, sur notre lit plus confortable. Jules et Vincent se levèrent et s’approchèrent de nous, saisirent Christy, chacun une main sous le genou, l’autre sous l’omoplate, et la portèrent à deux jusque-là bas. Christy, toujours en proie à son plaisir, se laissait faire, totalement indolente. Youssou, qui les précédait, s’allongea sur le dos, la bites de nouveau dure comme du bois, tendue vers le plafond. Les deux autres la positionnèrent au-dessus de ce pal, approchant son anus jusqu’à ce qu’il accoste le gland, bien aligné, puis, en la retenant à peine, laissèrent la gravité faire son ouvrage, lent et inexorable.


Christy accompagna d’un râle rauque cette douce descente aux enfers. Une fois le membre en entier dans son abyssal fourreau, elle resta immobile. La petite grimace qui déformait son visage depuis le début de l’invasion anale se transforma peu à peu en rictus. Elle était en train d’apprivoiser l’intrus qui lui comprimait les tripes. Une fois ses traits complètement détendus, Jules lui écarta les cuisses avant de venir lui écarteler l’entrée de la foufoune de son épais gourdin. En s’enfonçant, il sentait, contre la base de son gland, la dureté du vit de Youssou le long duquel il glissait, à travers la fine membrane séparant les deux cavités brulantes et humides, Christy gémissait maintenant la bouche entrouverte. On pouvait lire l’extase sur son doux visage. Et pendant que Vincent enjambait son torse, le dos tourné vers Jules, pour venir caler son phallus entre ses seins, la sonnette retentit sans même qu’ils n’y prêtent attention.


Bien sûr, c’était Hugo que je trouvais en ouvrant la porte, un grand sourire à la bouche et une bouteille de champagne à la main. Sans attendre, après avoir mis le champagne au frai, je le guidai jusqu’à la chambre d’où les soupirs provenaient. Il se déshabilla très vite en les observant chalouper à l’unisson, et déroula le latex préservateur le long de son pénis déjà conditionné. Après avoir escaladé le lit pour rejoindre le groupe, il en posa le bout sur les lèvres de ma tendre qui, sous la surprise de ce quatrième vier, aussi inattendu qu’inespéré, écarquilla les yeux d’un air ahuri mais tout en le gobant comme une évidence.


Voilà, son premier gang bang se déroulait là, devant moi qui m’étais sagement assis sur une chaise dans un coin de la chambre, comme pour ne pas gêner, et qui ne pouvais détourner mes yeux de ce spectacle presque onirique. Que je la trouvais belle. S’abandonnant complètement dans le stupre telle la plus grande des salopes, nymphomanes avide de jouissance brute. Je me dis qu’elle devait enfin savoir ce qu’une femme éprouvait à être le centre d’attention d’une assemblée de mâles assaillant son corps de toute part. Et que de premières avaient lieu, double pénétration, cravate de notaire, accouplement interracial. C’était un festival dont j’étais le seul et unique spectateur privilégié…


Ils ne partirent qu’à vingt-heures, les bites en berne et les testicules essorées. Ils me dirent au-revoir l’un après l’autre d’une poignée de main chaleureuse en me remerciant pour cet après-midi merveilleux de sexe, qu’ils avaient tous tant apprécié. Je refermai la porte derrières eux entendant les commentaires salaces qu’ils échangeaient en attendant que s’ouvrent les portes de l’ascenseur, puis retournai auprès de ma chérie qui paraissait exténuée sur le lit. Mainte fois, dans les heures qui précédaient, j’avais vu ses yeux se révulser dans leurs orbites, ne laissant plus apparaitre qu’une infime partie de leurs iris bleues, pendant que tout son corps s’agitait de spasmes incontrôlés, lors d’orgasmes fulgurant qu’elle ne pouvait contenir. Aussi comprenais-je son état presque léthargique.


Dans ces moments-là, mon plus grand plaisir n’était pas de la prendre à mon tour, non. Mais de contempler son corps portant les stigmates de ses excès de débauche auxquels elle venait de se livrer avec tant de délectation. Elle affichait un sourire apaisé, plein de reconnaissance envers moi. Le maquillage comme dilué en ondes sur sa peau blanche. La bouches aux lèvres enflées par les innombrables fellations prodiguées. Les cheveux emmêlés et tout collant de foutre. Foutre qui lui couvrait aussi la poitrine, comme un glaçage à la vanille coiffant un éclair pâtissier. Son entrejambe pourpre aux lèvres boursouflées par tant d’allers venues de mandrins épais qui l’avaient pourfendue. Et enfin sa fente béante, surplombée de sa perle rose, du bas de laquelle s’écoulait un filet blanc et crémeux contournant le bord de son œillet distendu.


Devant tant de beauté, je ne pouvais me retenir, et me branlais comme un adolescent. Elle devait bien se rendre compte, alors, que je l’aimais vraiment…

Les avis des lecteurs

@YJ
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Histoire Erotique
Avec plaisir
J'aime comment tu l'as dévergondée pour la révéler sous sa vraie nature
Maintenant je me demande : est-ce que tu l'as senti à votre première rencontre ?
YJ

@YJ
Vrai et surtout nouveau...
En tout cas merci YJ d'être mon plus fidèle lecteur.

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Chrissy se révèle sous son vrai jour
YJ



Texte coquin : Si Jeune et jolie Christy – IX
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