Si Jeune et jolie Christy - VIII

Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Si Jeune et jolie Christy - VIII
Merveilleux concert – Envoutante aventure
La veille nous étions allés nous coucher de suite après ton bain. Tout deux repus sexuellement et physiquement fatigués après ce trio avec Gabriel. Je te sentais fière et heureuse de tes performances mais très câline et tendre avec moi. Le weekend passa, nous restâmes simplement à la maison faisant l’amour passionnément plusieurs fois par jour, avant que tu ne reprennes le travail le Lundi. Voulant, pour ainsi dire, battre le fer pendant qu’il était chaud, je mettais mon temps et mon énergie à te trouver un nouveau partenaire idéal sur le web. Mais, à mon grand désarroi, mes recherches restaient infructueuses. Étais-je trop difficile, exigeant, perfectionniste ? J’avais le blues.
Le jeudi soir tu m’appelas, un peu triste. Je te demandai ce qui n’allait pas et tu m’expliquas que ton rédacteur en chef t’avait commandé un article sur un concert de chant lyrique ayant lieu le samedi soir dans une grande ville, distante de cent kilomètres. Tu me fis part de ta déception de ne pouvoir passer le weekend avec moi. Tu précisas que c’était un travail très bien rémunéré et très agréable car le billet te serait remboursé pour voir un show qui te plaisait. Alors je te dis que cela tombait bien car j’avais justement prévu de fuir notre petite ville, sans but précis, autre que celui de changer d’air. Et que ce serait donc encore mieux dans la perspective d’assister à ce spectacle. Tu accueillis cette idée avec des cris de joie. Nous allions sauvegarder notre weekend tout en joignant l’utile à l’agréable !
Je n’avais pas pris l’autoroute, au bout d’une heure et demi, nous rentrions enfin en ville, le GPS nous guidant sans faille jusqu’à l’hôtel que je nous avais loué. Il se situait en plein centre, non loin de l’avenue qui menait à la gare. La salle où se jouerai le concert était à environ quatre kilomètres. S’il fallait nous prendrions un taxi.
Bien, sûr, toujours égal à moi-même, j’avais insisté pour choisir ta tenue. Une paire d’escarpins vernis noirs à talons aiguilles de seulement six centimètres, pour être sexy tout en restant confortable. Puis une robe assez longue, s’arrêtant à mi-mollet. En haut, le tissu se séparant au niveau du nombril, envelopperai tes seins dans deux bandes de tissus drapées et dont les deux extrémités se noueraient derrière ta nuque. L’écart assez important entre tes seins créerait un décolleté vertigineux et laisserait tes épaules dénudées. En bas, du côté gauche, elle était fendue, de manière outrancière, jusqu’au-dessus de ta hanche. Bien sûr, je ne tolérais qu’aucun sous vêtement ne vienne gâcher le tableau. Tu serais donc complètement nue sous cette robe de couleur bleu-roi qui sied si bien à la pâleur de ta peau. Aux oreilles, j’avais prévu des boucles ornées de pierres aussi brillantes que des diamants qui descendraient le long de ton cou grâce à de mini chaines en argent. Enfin, tu serais recouverte d’un manteau beige très classique.
Nous sommes à trois heures du début de ce concert, dans notre chambre, je te rejoins dans la salle de bain où je te conseille d’arborer un maquillage et une coiffure de bourgeoise hautaine, plutôt « classe » que vulgaire. Lorsque tu en sort ainsi fardée et coiffée, je te trouve resplendissante. Tu ferais une Domina parfaite ! Tes cheveux sont relevés en un chignon désordonné puis redescendent en mèches ondulées sur tes épaules, laissant ta nuque découverte. Après que tu te sois vêtue, je te tends un mini sac en cuir blanc dans lequel tu peux glisser, en plus d’un bâton de rouge à lèvre et de ton téléphone, un mini carnet muni d’un stylo, au cas où tu aurais besoin de prendre quelques notes pour ton article. N’oublions pas le travail ! J’appelle un taxi, nous sortons l’attendre dans la rue.
Alors que nous attendons, tous les piétons qui passent se retournent sur toi. Mais c’est l’image d’une magnifique femme raffinée qui attirent leurs regards. Non pas celle d’une pute impudique cette fois. Le taxi arrive enfin, j’en ouvre la portière et nous nous y engouffrons. Je te demande si tu n’as pas oublié les billets, tu me confirmes que non et communiques au chauffeur notre destination. Cela ne prend que vingt minutes, dont cinq à cause de feux rouges. Je paye la course, nous nous dirigeons vers l’entrée de la salle.
Il y a déjà pas mal de monde mais la fille d’attente progresse plutôt vite. Je te tiens par le bras et cela est très gratifiant. Je suis si fier d’avoir à mon bas une aussi jolie femme. Tu es belle à faire se damner un saint. Et, à voir comment te regardent tous ces hommes qui nous entourent, je sens bien qu’ils vendraient leur âme au diable pour être à ma place.
Enfin nous pénétrons dans le grand hall d’entrée et grimpons tout de suite à l’étage où se trouve le bar. Il y a même un restaurant. Là, je nous commande deux coupes de champagnes que nous savourons en attendant que la salle ouvre enfin ces portes. Il y a beaucoup de monde. Les gens ont l’air relax. Ils sont là pour leur plaisir. Parmi quelques groupes d’amis, il y a de nombreux couples de tous âges. Les femmes sont sur leur trente et un. Il y en a de très belles. Mais aucune ne brille autant que toi. Je me sens si amoureux de toi à cet instant précis…
Nous sommes là, assis sur des tabourets de bar, autour d’une table haute et ronde. Juste à côté, debout autour d’une table similaire, se tiennent deux couples de personnes légèrement plus âgés que moi. Chacun à son verre posé sur la table dont il ne s’empare que pour boire une gorgée de temps en temps, lors de pauses dans la discussion. Ils ont la soixantaine bien prononcée. Mais ils semblent tous en très bonne forme physique. Les hommes ont encore des corps athlétiques et ils sont plus grands que moi. Leurs chevelures, bien que fortement grisonnantes, sont encore bien fournies. Et leur coupes courtes, très classiques, dominent de larges épaules. Ils présentent tous les signes d’une vie saine et aisée. Je les imagine bien banquiers, assureurs ou encore hommes d’affaires. L’argent n’a pas l’air d’être un problème pour eux. Ils sont tous quatre d’allure très distinguée. Ils paraissent être des amis proches. On sent qu’il se connaissent depuis de nombreuses années et qu’ils sont très complices. Il pourrait même s’agir de deux frères. Élégamment vêtus, les hommes portent des costumes-cravate, leurs épouses des robes de soirée.
L’une d’elles, la plus petite, qui doit mesurer un peu plus d’un mètre soixante-cinq, est grassouillette. Un peu enrobée comme l’on dit. Elle possède de belles courbes très généreuses qu’elle assume complètement. Sa poitrine est très opulente. Son ventre est rond. Sa peau blanche semble douce et très fine. Ses fesses et ses cuisses sont larges, mais même les reliefs de cellulite lui donnent un aspect encore plus sensuel. Elle est si blonde que l’on devine aisément la blancheur de ses cheveux sous la teinture platine. Son rouge à lèvre s’infiltre presque dans les minuscules plis striant sa lèvre supérieure. Une beauté toute naturelle.
Son amie est, en tous points, son contraire. Elle fait bien dix centimètres de plus. Ses cheveux sont teints en noir, sa coupe est courte, à la garçonne avec un triangle côté droit qui démarre du sommet arrière du crâne et fini sur sa joue au niveau du lobe de l’oreille. Son corps est nettement plus élancé, elle est svelte. On devine qu’elle s’entretient en faisant du sport. Sa poitrine de taille modeste est flasque mais ses tétons imposants restent dressés en permanence. Sa croupe et bien moins charnue mais, à défaut de grosses fesses, sa minceur souligne le galbe de ses hanches larges qui révèle ses grossesses passées. Elle a la peau cuivrée par le soleil de l’été qui vient de s’achever. Ses lèvres son fines et son regard perçant.
C’est elle qui, lorsqu’elle remarque nos coupes de champagne, nous sourit d’un air complice. Je la vois qui chuchote à l’oreille de celui qui est certainement son mari. A partir de ce moment, tous les quatre jettent des coups d’œil sur nous de temps en temps. Je me dis que nous devons correspondre à l’image que l’on se fait d’un couple romantique et attendrissant. Notre différence d’âge évidente peut aussi engendrer, bien sûr, une certaine curiosité. Et surtout, ton air convivial et candide attire généralement la sympathie. Enfin, tu es si belle… J’en conclu que c’est le mélange de tout ça qui suscite leur intérêt.
J’en suis là de mes pensées lorsque les portes de la salle de concert s’ouvrent enfin. A l’inverse de la majorité des gens, présents, nous ne nous précipitons pas. Nous avons nos billets et savons que le spectacle ne commencera pas sans que tout le public soit installé. C’est pourquoi nous attendons que la file d’attente soit devenue fluide pour nous lever et suivre le mouvement. Je remarque que nos voisins de table ont eu la même attitude. Ils nous emboitent le pas.
Nous descendons les escaliers latéraux puis pénétrons dans la salle. Nous devons tourner à droite dans la travée d’accès, et descendre une dizaine de mètre vers la scène, dont nous sommes assez proches, au septième rang seulement. Nos places sont très bien situées, elles nous garantissent une vue imprenable. Nous n’allons rien manquer. A peine sommes-nous assis sur nos sièges à strapontin que les deux couples qui étaient nos voisins de bar nous obligent, bien malgré eux, à nous lever, pour leur permettre de rejoindre leur place. Ce qui les fait se confondre en excuses à cause du dérangement.
Je me lève poliment, tirant mes épaules en arrière et rentrant un peu mon ventre pour leur faciliter le passage. Malgré mes efforts, le bas ventre de la petite femme blonde, qui passe devant moi à pas chassés à la suite de son mari, frotte franchement contre mon sexe. Cela nous surprend car, en prévention de tout contact physique gênant, celle-ci avait effectuer les mêmes gestes que moi. Bombant le torse, ce qui a eu pour effet de relever sa forte poitrine, m’offrant une vue imprenable sur son décolleté qui ressemble à s’y méprendre à deux énormes fesses blanches, tant ses seins sont énormes ! Et ce poitrail masque nos ventres que nous ne pouvons voir, ce qui nous empêche donc, d'anticiper cette douce collision.
Ce qui explique aussi notre effet de surprise mutuel dès que nous sentons ce contact accidentel et inopiné. Nous échangeons un sourire empreint de gêne comme cela est le cas dans ce genre de situation. Pour ma part, je viens aussi de ressentir un frisson d’excitation et je me demande si c’est le cas pour elle aussi. Dans un réflexe de timidité, je détourne immédiatement mon regard en tournant instinctivement la tête vers la gauche. Mais, ce faisant, je croise celui de son homme, qui s’est manifestement rendu compte de ce qui vient d’avoir lieu et s’en amuse, me souriant d’un air complice, plein d’humour et de sous-entendus salace. Je lui souris en retour.
Me tournant vers toi, je vois que, les yeux plongés dans l’écran de ton smartphone, tu ne t’es rendue compte de rien. Au même moment, c’est la grande femme brune qui passe entre moi et le dossier du siège de devant. Elle aussi suit son mari. Vu sa ligne, cette fois, pas de contact inattendu possible. Elle aussi se déplace à pas chassés mais en me tournant le dos. Ce qui me laisse admirer sa chute de reins si fluide au fesses ondulantes. Et la longueur exceptionnelle de ses jambes musclées. Sa coiffure d’homme combinée à ce corps si féminin est renversante de séduction. Je sens même son parfum suave et fruité.
C’est elle qui prend le siège attenant au tien. Elle se tournes vers toi et vous échangez quelques mots de circonstance que je ne comprends pas. Devinant cependant leur contenu amical et bienveillant grâce aux sourires chaleureux que vous arborez l’une envers l’autre. Je suis ravi de cette proximité avec ce groupe car ils ont l’air d’être de bonne compagnie. Je me dis que nous avons de la chance et que le hasard, ce soir, à bien fait les choses (et je ne croyais pas si bien dire).
Pendant ce court échange tu te lèves et retire machinalement ton manteau. Ce mouvement, grâce à la fente de ta robe, révèle ta jambe gauche toute entière. Et, une fois rassise elle est remontée si haut au-dessus de ta hanche que cela lève tout doute quant au fait que tu ne portes pas de culotte. Qui plus est, une bande de plusieurs centimètres sur la gauche de ton pubis vient également d’apparaitre furtivement. Levant tout à coup les yeux vers cette femme, je constate combien elle est captivée par cette vision qui semble l’avoir hypnotisé. Incapable de détourner son regard, elle reste figée. Fixant intensément ce que tu viens innocemment de dévoiler d’un air mêlé d’admiration et d’envie. Vision éphémère car, après l’avoir soigneusement plié, tu poses le manteau en travers de tes cuisses, juste au ras de ton bassin.
La lumière, s’éteint soudain et c’est la scène qui s’allume. Le concert va commencer. T’adressant un dernier sourire, cette fois clairement charmeur, elle oriente son visage vers le chanteur et ses musiciens qui viennent de monter sur scène. Les première notes retentissent. A cet instant, je me dis que j’ai bien choisi ta tenue qui viens de susciter le genre de réaction que j’espérais. Mais ce que je n’avais pas du tout prévu, c’est que cette réaction soit celle d’une femme ! Loin de me décevoir, ce détail ne fait que décupler mon contentement. Car non seulement je suis émoustillé par le fait que tu séduises une femme, qui plus est très belle, mais celle-ci est accompagnée de son mari et de leur couple d’amis. Ce qui rajoute à mon excitation en exacerbant mon imagination.
Après avoir enchainé trois chansons, la musique marque un temps d’arrêt, laissant le chanteur saluer le public en s’adressant à lui, puis, il s’empare de la bouteille d’eau qui se trouve à ses pieds pour en boire trois petites gorgées afin de préserver sa voix, tout le monde se met à applaudir frénétiquement jusqu’au début de la prochaine chanson dont il vient d’annoncer le titre et qui semble très prisée de l’assemblée. Lorsque les applaudissements cessent, les premières notes se font entendre. Et c’est là que ta voisine, en profite pour poser sa main droite sur ta cuisse ! J’observe ce geste du coin de l’œil, aussi discrètement que possible pour ne surtout pas risquer d’interrompre son initiative. Mon cœur bat à cent à l’heure et je sens une excitation soudaine. Tu te tournes vers moi et comprends que j’ai tout vu. Ton expression est plus ahurie qu’outrée. Tu as l’air paniquée, ne sachant comment réagir. D’une moue et en serrant ta main droite, je te fais comprendre de la laisser faire. Bien que très gênée, n’étant pas du tout attirée par les femmes, tu t’y résous.
Pendant les trois chansons qui suivent sa main va s’enhardir crescendo. Ses gestes sont lents et doux pour ne pas t’effrayer. Mais je les sens déterminés. Commençant par de simples caresses légères sur ta peau, elle glisse subrepticement dans le pli de ton aine. De là, elle descend plus profondément entre tes cuisses, longeant la grande lèvre gauche de ton sexe. En remontant, c’est ta petite lèvre qu’elle effleure, te faisant tressaillir. Encouragée par ton attitude stoïque autant que par cette réaction corporelle explicite, qui trahi le plaisir irrépressible que tu ressens, c’est maintenant le long de ta fente que ses doigts redescendent. Constatant que tu es toute mouillée, elle risque un doigt dans ton orifice. Elle ne retire sa main qu’au dernières mesures de la chanson, juste avant que la lumière ne se rallume pour l’entracte, et que tu n’atteignes l’orgasme. Puis elle se met à applaudir, faisant mine de rien, si ce n’est ce sourire malicieux et plein de reconnaissance qu’elle t’adresse un peu nerveusement.
Tout le monde se lèvent et commence à sortir pour aller, soit au bar boire un verre, soit à l’extérieur, devant l’entrée, pour fumer une cigarette. Nous optons pour un verre, les deux couples semblent avoir fait le même choix car, une fois en haut, nous les voyons débarquer.
Ils prennent chacun une coupe et reviennent s’installer près de nous, à la même table. Tu regardes tes pieds car tu es encore très troublée par le comportement de cette femme. Tes joues sont encore roses et nous sommes maintenant en pleine clarté. Ainsi tu évites te croiser son regard.
Quant à moi, survolté, il va de soi que je saisi la première occasion pour engager la conversation avec eux ! Et c’est le mari de la petite blonde qui me tend la perche le premier. S’adressant à moi, d’un ton jovial et plaisantin, il me demande si sa femme ne m’a pas marcher sur les pieds en allant s’assoir. Je souris poliment et lui réponds que non, pour ne pas mettre sa femme mal à l’aise. Celle-ci lui rétorque alors sur un faux air de reproche « Monsieur n’est pas rustre comme toi, c’est un vrai gentleman » en me souriant d’un air complice. Je lui rends son sourire en la remerciant du compliment. Puis nous échangeons sur le concert, chacun donnant son avis, sauf toi qui n’arrives toujours pas à surmonter ce qu’ils croient être de la timidité.
Puis les hommes annoncent qu’ils vont dehors pour fumer une cigarette avant que la deuxième partie ne commence. Nous restons alors seuls avec leurs femmes. C’est à ce moment qu’elle s’adresse directement à toi, tu ne peux plus esquiver. Te posant des questions personnelles, tu leur apprends que tu es journaliste et que nous assistons à ce concert sur lequel tu dois rédiger un article. Elles ont l’air très intéressées et continuent leurs investigations. Tu leur révèles que nous sommes en couple et que nous venons d’une ville située à une centaine de kilomètres au nord.
Sur ce, il est temps que nous descendions reprendre nos places. Leurs hommes sont déjà assis, nous reprenons nos sièges à notre tour glissant tour à tour dans la rangée, cette fois dans le bon ordre. Les lumières se ré-éteignent, la deuxième partie débute. Ta voisine te laisse tranquille, elle ne renouvelle pas ses caresses. Je prends ta main droite dans la mienne, que je garde jusqu’à la fin du spectacle. Après le dernier rappel, le chanteur et ses musiciens ont droit à une longue ovation pendant qu’ils saluent le public. Puis ils sortent de scène par les coulisses et la foule commence à sortir. Devant l’entrée, les deux hommes s’arrêtent pour fumer à nouveau. La grande brune nous dit alors qu’ils vont, tous les quatre, prendre un verre ou deux, dans un club à la clientèle d’âge mûr et nous demande si nous souhaitons nous joindre à eux.
Tu te montres d’emblée hésitante mais je m’empresse d’accepter l’invitation en lui répondant « avec grand plaisir ». Elle appelle un taxi pour nous six. Un monospace arrive, nous y entrons et il se dirige vers le club. Nous laissons nos manteaux au vestiaire et prenons place autour d’une table, sur des banquettes moelleuses. Nous commandons une bouteille de champagne que l’on nous amène dans un bac rempli de glaçons. Les deux femmes ont remonté leur robe sur leurs cuisses pouvoir s’assoir. Les deux hommes quant à eux semble apprécier la fente de ta robe malgré tes efforts pour ne pas trop dévoiler ton anatomie. Quelques heures passent pendants lesquelles nous alternons des discussions anodines qui, l’alcool aidant, sont ponctuées de beaucoup de plaisanterie. Les deux couples font aussi quelques danses, les deux hommes, voyant que ce n’est pas mon fort t’invitent à danser avec eux. A ton laisser aller entre leur bras, je vois bien que tu commences à sentir une légère ivresse.
Nous terminons une deuxième bouteille lorsque le signal lumineux activé par le barman nous indique qu’il est l’heure de la fermeture et qu’il est temps de partir. La grande brune s’en plaint, l’air très déçue, disant qu’il est encore tôt pour un samedi soir, qu’elle n’est pas fatiguée et qu’elle aimerait bien continuer à s’amuser. Sur ce, elle nous invite à venir terminer la nuit chez elle, une grande villa à deux cent mètre de la plage. Tu ne t’y opposes pas franchement alors j’accepte avec un enthousiasme non dissimulé. Une fois chez eux, dans le salon, les deux hommes s’assoient dans un des deux canapés. Leurs femmes s’assoient sur le deuxième, en face d’eux, de l’autre côté de la table basse. La grande brune s’écarte de son amie et t’invite avec insistance à venir t’assoir entre elles. Tu n’oses pas refuser. Elle me propose le confortable fauteuil restant, pendant que son mari nous sert un verre de champagne.
Elle allonge son bras droit et le repose sur le dossier du canapé en prenant soin d’effleurer ta nuque au cours du mouvement. Après quelques instants, elle retire son bras du dossier, avance ses fesses jusqu’au bord de l’assise et attrape son verre dont elle avale une gorgée. Puis elle le repose sur la table et se repositionne bien au fond, le dos contre le dossier, fesse et cuisse collées aux tiennes. Mais au lieu de reposer son bras derrière ta tête en haut du dossier, elle pose sa main sur ta cuisse, en haut de la fente de ta robe. C’est la blonde, assise à ta droite, qui pose son bras gauche derrière ta tête, laissant le bout de ses doigts venir au contact de ton épaule nue.
Sentant le traquenard se refermer sur toi, tu me lance un regard apeuré mais, lisant sur mon visage quelle réaction j’attends de toi, tu t’abandonnes corps et âme. Les deux hommes sont très intéressés par la scène, ils vous observent attentivement, très calmes, sérieux, leur verre à la main, dont ils boivent de petites gorgées. La grande brune pose alors, avec beaucoup de délicatesse, sa main gauche sur ta joue droite. Elle est très douce. D’une pression délicate, elle te fait tourner le visage face au sien, te fait un sourire charmeur et se penche vers toi pour t’embrasser à pleine bouche. Son autre main commence à te caresser l’entre cuisse par-dessous le tissu te ta robe. Tu pousses de petits gémissements étouffés par ce baiser langoureux. Pendant ce temps, la blonde dénoue ta robe derrière ton cou dévoilant ta poitrine nue. Tout s’effectue dans un silence religieux qui crée une atmosphère rituelle.
Nous sommes tous là, les deux hommes, la petite blonde et moi, spectateurs privilégiés de cette scène hautement érotique qui se déroule sous nos yeux. Complètement captivés, nous restons muets et contemplatifs. Cette magnifique femme vient, avec une autorité innée et sans effort, de s’imposer en maitresse de cérémonie. Elle agit avec calme et détermination, édictant naturellement et sans aucune violence la moindre de ses volontés. Suggérant sans ordonner. Elle a l’aura d’une déesse. Ses trois comparses ne parlent plus, ils ne font rien d’autre qu’observer ses moindres faits et gestes.
Mettant fin à votre baiser fougueux, Elle se positionne debout, face à toi, et fait glisser sa robe, qu’elle vient de dégrafer, et qui tombe négligemment à ses pieds. Un collier de perles de culture, retombant sur le haut de sa poitrine, vient rajouter un peu de raffinement à l’érotisme torride qu’elle dégage. Puis elle se penche, jambes tendues, et retire son string. En effectuant ce mouvement, elle nous montre tous les détails de sa jolie croupe et de sa vulve qui ressemble à un abricot, fendu par une maturité excessive, niché là où ses cuisses s’échouent au bas de ses fesses, juste en dessous de son anus rond et plissé. D’où je suis, je peux apercevoir son sein droit qui pends vers le sol. Nous découvrons la coupe de son micro-bikini, dont le soleil a imprimé le dessin, en blanc sur sa peau mate. La tension est à son comble lorsqu’elle s’agenouille devant toi et te demande de soulever ton bassin. Silencieuse et soumise, groggy par le champagne, tu sollicites tes muscles abdominaux pour faire ce qu’elle attend de toi. Elle se saisie du bas de ta robe qu’elle fait glisser par dessous tes fesses, exposant tes jambes ainsi que ton sexe et ton bas ventre.
Chacun des deux hommes, très intéressés, se penche sur le côté pour essayer d’apercevoir ce que son corps leur cache de ton intimité. Leur attirance pour toi ne fait aucun doute. Elle, reste impassible, entièrement concentré sur ce qu’elle fait. La petite blonde est alanguie de profil sur le canapé, elle ne perd pas une miette des évènements. Son coude plié repose sur le coussin et sa main collée contre sa joue gauche lui soutien la tête. La jambe droite repliée sur l’accoudoir, elle se caresse le clitoris de la main droite glissée sous sa robe. La brune pose ses deux mains sur tes genoux et les écartent au maximum. Sa tête plonge alors sur ton sexe qu’elle se met à lécher avec passion. Tu fermes les yeux et jettes ta tête en arrière, t’abandonnant au délice de cette caresse. Ce n’est pas sa nature lesbienne qui te fait jouir. Mais plus ta tendance exhibitionniste, exacerbée par l’insolente indécences de la position qui t’as été imposée quasiment sans contrainte, car elle ne force rien, elle guide en douceur, et qui te livre, dans la plus grande obscénité, aux regards pleins de stupre de ces deux hommes, et au mien rempli de lubricité.
La petite blonde s’est arrêtée de se masturber. Elle titille et malaxe tes seins dont les mamelons deviennent de plus en plus sensibles. Cela va durer quinze minutes pendant lesquelles tu ne vas pas cesser de jouir, les yeux fermés avant de presque t’évanouir de plaisir.
Comprenant qu’elle ne peut espérer obtenir de toi une identique et réciproque attention, elle se relève et se dirige vers moi. Elle s’assoit sur mes genoux, se penche et, la bouche aux creux de mon oreilles, elle me murmure « tu as aimé ce que tu viens de voir ? » Le son de va voix grave couplé au souffle chaud de son haleine sur cette zone si érogène viennent de faire durcir ma verge que je sens pousser dans la chair ferme de sa cuisse. « J’ai adoré » lui dis-je d’une voix chevrotante entre deux soupirs. « Hum… Je sens bien que tu dis vrai » me lâche-t ’elle encore en bougeant sa cuisse qui appuie sur mon sexe.
Lorsqu’elle fait un signe à la blonde, celle-ci se lève et sort de la pièce. Revenant deux minutes plus tard avec ce qui ressemble à des cordelettes qu’elle présente obséquieusement à la brune. En en prenant une, celle-ci se saisit de mon poignet et se lève pour venir sur le coté du fauteuil au pied duquel elle attache mon bras. Elle agit avec calme, méthodiquement. Puis c’est au tour de mon bras gauche et de mes deux chevilles qui subissent le même sort. Elle a serré les nœuds fermement et le poids élevé du fauteuil m’ôte toute liberté de mouvement, je reste là, immobile spectateur impuissant de ce qui va suivre.
Elle se dirige vers son sac à main d’où elle sort une petite boite, qui s’avère être un pilulier, duquel elle extrait trois petites pilules bleues dont elle tend la première à son mari, en lui faisant un clin d’œil significatif. Celui-ci la pose sur sa langue, puis l’avale. Elle fait de même avec le mari de la blonde et revient vers moi en me souriant amicalement, non sans me dire au passage « ta femme est absolument charmante, je crois que nous allons avoir besoin de ça ». Là blonde me fait ouvrir la bouche de ses douces mains. La brune y dépose le cachet magique dont les effets ne mettent pas longtemps à se faire sentir entre mes cuisses, décuplant mon érection qui devient carrément douloureuse.
Avachie au centre du canapé, ton regard vide d’expression a tout observé. Mais tu ne sembles pas réaliser que je ne plus rien faire pour te venir en aide ni changer le cours des choses. Les prenant tous deux par une main, elle guide les deux hommes jusqu’à toi. Tu as gardé tes jambes bien ouvertes. Tu les observes attentivement pendant qu’elle les déshabille lentement, l’un après l’autre. Leurs verges sont fièrement tendues à l’horizontale, sous l’influence de la substance chimique ingurgitée un peu plus tôt. Tu les vois de profil. Celles-ci sont de très belles tailles, ce qui semble t’aiguiser l’appétit.
À chacun d’eux elle fait poser un genou sur le canapé, de part et d’autre de tes flancs de façon à mettre ces deux belles bites à portée de ta bouche. Puis elle en saisi une dans chaque main, tirant dessus pour bien les décalotter, et te les met tour à tour contre les lèvres pour que tu les suces. Ce que tu fais docilement pendant qu’ils te caressent chacun un sein. La brune, constatant que tu n’as plus besoin d’elle, lâche leurs sexes et glisse ses mains entre leurs fesses avant de leur enfoncer un doigt dans le cul et de stimuler leurs prostates. Ils en gémissent de plaisir. Elle interrompt son geste rapidement pour ne pas les faire jouir prématurément et prend un peu de recul pour se contenter de vous observer.
Ceci semble être le signal qui les informent que le départ vient d’être lancé et qu’ils ont carte blanche pour s’occuper de toi à leur guise. L’un d’eux te saisit alors par les cheveux et te fait mettre sans ménagement à quatre pattes sur le canapé comme une chienne. Sans lâcher ta crinière, il se positionne derrière toi et enfonce brutalement sa queue jusqu’au fond de ta chatte qui, heureusement pour toi, est bien humide. Je ne le saurai que plus tard, quand tu me le diras, de retour dans notre chambre d’hôtel, mais à cet instant précis, la brune leur a ordonné à très faible voix « défoncez la bien ! ».
Il te tape alors violemment sur les fesses du plat de la main et commence à te pistonner aussi fort et profondément qu’il le peut, ce qui te fais jouir immédiatement. Mais tu n’as pas le temps d’émettre le moindre cri car son acolyte vient de reproduire le même comportement dans ta bouche en t’agrippant par les aisselles. Tu es secouée de toute part. Incapable de te libérer, tu dois encaisser ces coups de boutoir que rien ne semble plus pouvoir arrêter. Pourtant, tu sembles en retirer énormément de plaisir. Ce qui me rassure un peu.
La brune, après avoir initié cette action, se lève et prend la blonde par la main pour la guider jusqu’à moi. Là, devant le fauteuil, elle la déshabille comme elle l’a fait avec leurs maris devant toi. Ses deux énormes seins et son ventre ronds semblent jaillir, comme s’ils étaient surcomprimés par sa robe et son soutien-gorge. Sa peau, bien tendue, comme je le pensais, est d’un blanc immaculé. Sa vulve charnue dessine un sillon très fin qui part du milieu de son pubis parfaitement épilé, séparant ses grosses lèvres bombées et qui disparait entre ses cuisses si grasses qu’elle se touchent entre elles.
J’ai soudain très envie de ce corps presque caricatural de femme mure. D’ailleurs, cet adjectif lui va parfaitement tant il souligne à la fois son âge respectable et l’aspect de fruit bien mur que son corps évoque. La brune empoigne tour à tour toute ces courbes que je viens de décrire. Elle les malaxe en lui mordillant les tétons qui sont entourés de grandes aréoles parsemées d’aspérités qui ressemble à de minuscule grain de café. Elle la fait ensuite grimper sur le fauteuil, ses deux pieds de part et d’autre de mes cuisses. Dévoilant sa chatte qui se retrouve à la verticale au-dessus de mon visage.
J’entends brièvement le bruit de tes ébats dont l’intensité ne semble pas avoir faibli. Mais la blonde vient de passer sa jambe gauche par-dessus le dossier du fauteuil sur lequel elle fait reposer le pli de son genou, ouvrant sa vulve béante et déjà trempée, dont elle colle les parties de couleur rose sur ma bouche. Sa mouille sent fort mais cela ne me dérange pas. Le visage enfouis dans cet amas graisseux, tendre et moelleux, à la peau aussi fine et douce que je le suspectais, je commence à la lécher avidement, comme si je voulais la faire fondre dans ma bouche. Elle gémit et commence à expulser des jets puissants et quasi continus de mouille. Ce que je ne peux pas absorber me coule le long de la gorge, détrempant ma chemise
Pendant ce temps, je sens la brune qui dégrafe ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Puis elle me manipule pour que je soulève mon bassin et tire en même temps mon pantalon et mon slip aussi loin qu’elle peut le long de mes cuisses. Ma bitte se dresse, dure comme du marbre, surplombée par mon gland turgescent. Elle s’empale dessus et commence à bouger pour se faire du bien. Ayant obtenu un orgasme, elle se relève, fais descendre son amie du fauteuil en lui tapotant sur les fesses, libérant ma vue. Lorsque celle-ci redevient claire après un court instant d’éblouissement, je constate que tes deux amants ont interchangé leurs positions et qu’il se déchainent toujours sur toi avec autant de force. Tu as l’air épuisée de plaisir mais tu encaisses vaillamment leurs charges vigoureuses et animales.
Les deux femmes sont en train de débarrasser la table basse, regroupant les verres et la bouteille de champagne sur un plateau que la blonde ramène en cuisine pendant que l’autre revient me libérer de mes liens. À son retour, la brune la fait s’allonger dos contre la table. Puis, elle me fait m’agenouiller entre ses cuisses et saisi mon membre viril dont elle fait glisser le gland dans la fente humide et poisseuse avant de pousser fort sur mes fesses pour que je la pénètre au plus profond de son vagin. Pendant que je commence à la pilonner au rythme de mes couilles claquant sur son arrière train dodu, la brune se met à califourchon au-dessus d’elle, bien cambrée pour relever son cul au maximum face à moi. Puis elle tourne la tête vers moi et me dit « bouffes moi la chatte comme un chien ». Je m’empresse de lui obéir. Elles jouissent toutes les deux tout en s’embrassant goulûment sur la bouche, pendant que je les besogne de mon mieux.
Au bout de quelques minutes, on entend un de tes deux amants annoncer qu’il ne va pas tarder à jouir. Instantanément, la brune quitte sa position et descend de la table. Elle prend ma main, me fait me redresser et me guide prés de vous qui êtes toujours en train de baiser. Nous nous arrêtons là, debout, côte à côte, au plus près de vous. La blonde à fait le tour du canapé et s’installe pour vous regarder aussi. Les deux gars continuent leurs va et viens. C’est celui qui a sa queue dans ta bouche qui te tiens maintenant par les cheveux. Il tire fort dessus pour s’enfoncer chaque fois au plus profonds de ta gorge, te faisant un peu mal au crâne et à la nuque. D’énorme filets de bave coulent de ta bouche et tu hoquettes en te retenant de vomir, émettant des sons humiliants. Ton rimmel a coulé sur tes joues, entrainé par les larmes qui sortent de tes yeux, dessinant des traces noires qui te donne un air encore plus vulgaire.
La grande brune a gardé ma main dans la sienne, comme pour me retenir là, coûte que coûte. Elle palpe ton sein gauche de l’autre main et me dis « Ta femme et une vraie petite chienne assoiffée de sexe, regardes comme elle aime se faire prendre brutalement ! ». Ces paroles sont assez fortes pour être entendues de tous. J’en ressens une humiliation terriblement excitante malgré tout mon amour pour toi. En entendant ces mots, celui dont la queue s’agite dans ta chatte se met à grogner en éjaculant abondamment à l’intérieur. Après une dernière secousse orgasmique, il se retire et présente sa bite à la blonde qui le nettoie goulument avec sa bouche. L’autre gars sort la sienne de ta bouche en te tirant les cheveux vers l’arrière, puis il se précipite derrière toi pour jouir au même endroit que son ami. Il ne lui faut que trois allers-retours pour atteindre l’orgasme, Il t’inonde à son tour. Lui aussi offre sa queue à la blonde qui le gobe et le nettoie voracement.
Délivrée mais exténuée tu viens d’allongé tes bras sur le canapé ton front contre le coussin, pour essayer de récupérer. La brune me fait alors allonger sur la table, les yeux tournés vers le plafond et, comme si elle devinait mes pensées les plus vicieuses, elle vient te chercher pour te mettre debout sur la table au-dessus de mon visage sur lequel le sperme commence à couler. Elle et la blonde te tiennent chacune une main pour garantir ton équilibre tant tu es fatiguée. Te tirant sur les bras vers le bas, elle te force à t’accroupir jusqu’à ce que ta vulve soit collée à ma bouche.
Devançant leurs attentes, je m’emploie à te nettoyer passionnément la chatte avec délectation. Pendant ce temps, elles me font plier les genoux en remontant la plante de mes pieds qu’elles font reposer à plat sur le plateau de la table, contre mes fesses. La blonde enfonce alors un doigt dans mon cul pendant que la brune prend mon sexe en bouche et me fait une fellation magistrale. Absorbant ma queue dans toute sa longueur, jusqu’à ce quelle sente mes couilles contre son menton, elle remonte jusqu’à mon gland, qu’elle mordille, avant de redescendre. Elle aussi bave beaucoup, je me dis bêtement que je te venge un peu. Lorsque mon foutre jaillis, elle avale absolument tout, me permettant ainsi de profiter de mon orgasme jusqu’au bout. Ta chatte est maintenant bien propre. Nous nous relevons tous les deux. Je t’enlace tendrement et t’embrasse langoureusement.
Elle nous emmène dans la salle de bain où nous faisons un brin de toilette succin mais indispensable avant de nous rhabiller. Ils nous remercient chaleureusement en nous disant espérer que nous avons appréciez cette expérience autant qu’eux, que nous sommes un beau couple sympathique et charmant, et qu’ils seraient ravi de nous revoir un jour. Nous leur assurons que ce fut un réel plaisir partagé et que, le monde étant petit, les chances sont grandes de nous revoir. Nous leur disons au-revoir et montons dans le taxi qu’ils nous ont commandé.
Une fois au lit dans notre chambre d’hôtel, avant de t’endormir, tu me chuchotes à l’oreille « Tu veux savoir ce que la brune a dit à ces deux hommes avant qu’ils ne me baisent sauvagement ? » ...
La veille nous étions allés nous coucher de suite après ton bain. Tout deux repus sexuellement et physiquement fatigués après ce trio avec Gabriel. Je te sentais fière et heureuse de tes performances mais très câline et tendre avec moi. Le weekend passa, nous restâmes simplement à la maison faisant l’amour passionnément plusieurs fois par jour, avant que tu ne reprennes le travail le Lundi. Voulant, pour ainsi dire, battre le fer pendant qu’il était chaud, je mettais mon temps et mon énergie à te trouver un nouveau partenaire idéal sur le web. Mais, à mon grand désarroi, mes recherches restaient infructueuses. Étais-je trop difficile, exigeant, perfectionniste ? J’avais le blues.
Le jeudi soir tu m’appelas, un peu triste. Je te demandai ce qui n’allait pas et tu m’expliquas que ton rédacteur en chef t’avait commandé un article sur un concert de chant lyrique ayant lieu le samedi soir dans une grande ville, distante de cent kilomètres. Tu me fis part de ta déception de ne pouvoir passer le weekend avec moi. Tu précisas que c’était un travail très bien rémunéré et très agréable car le billet te serait remboursé pour voir un show qui te plaisait. Alors je te dis que cela tombait bien car j’avais justement prévu de fuir notre petite ville, sans but précis, autre que celui de changer d’air. Et que ce serait donc encore mieux dans la perspective d’assister à ce spectacle. Tu accueillis cette idée avec des cris de joie. Nous allions sauvegarder notre weekend tout en joignant l’utile à l’agréable !
Je n’avais pas pris l’autoroute, au bout d’une heure et demi, nous rentrions enfin en ville, le GPS nous guidant sans faille jusqu’à l’hôtel que je nous avais loué. Il se situait en plein centre, non loin de l’avenue qui menait à la gare. La salle où se jouerai le concert était à environ quatre kilomètres. S’il fallait nous prendrions un taxi.
Bien, sûr, toujours égal à moi-même, j’avais insisté pour choisir ta tenue. Une paire d’escarpins vernis noirs à talons aiguilles de seulement six centimètres, pour être sexy tout en restant confortable. Puis une robe assez longue, s’arrêtant à mi-mollet. En haut, le tissu se séparant au niveau du nombril, envelopperai tes seins dans deux bandes de tissus drapées et dont les deux extrémités se noueraient derrière ta nuque. L’écart assez important entre tes seins créerait un décolleté vertigineux et laisserait tes épaules dénudées. En bas, du côté gauche, elle était fendue, de manière outrancière, jusqu’au-dessus de ta hanche. Bien sûr, je ne tolérais qu’aucun sous vêtement ne vienne gâcher le tableau. Tu serais donc complètement nue sous cette robe de couleur bleu-roi qui sied si bien à la pâleur de ta peau. Aux oreilles, j’avais prévu des boucles ornées de pierres aussi brillantes que des diamants qui descendraient le long de ton cou grâce à de mini chaines en argent. Enfin, tu serais recouverte d’un manteau beige très classique.
Nous sommes à trois heures du début de ce concert, dans notre chambre, je te rejoins dans la salle de bain où je te conseille d’arborer un maquillage et une coiffure de bourgeoise hautaine, plutôt « classe » que vulgaire. Lorsque tu en sort ainsi fardée et coiffée, je te trouve resplendissante. Tu ferais une Domina parfaite ! Tes cheveux sont relevés en un chignon désordonné puis redescendent en mèches ondulées sur tes épaules, laissant ta nuque découverte. Après que tu te sois vêtue, je te tends un mini sac en cuir blanc dans lequel tu peux glisser, en plus d’un bâton de rouge à lèvre et de ton téléphone, un mini carnet muni d’un stylo, au cas où tu aurais besoin de prendre quelques notes pour ton article. N’oublions pas le travail ! J’appelle un taxi, nous sortons l’attendre dans la rue.
Alors que nous attendons, tous les piétons qui passent se retournent sur toi. Mais c’est l’image d’une magnifique femme raffinée qui attirent leurs regards. Non pas celle d’une pute impudique cette fois. Le taxi arrive enfin, j’en ouvre la portière et nous nous y engouffrons. Je te demande si tu n’as pas oublié les billets, tu me confirmes que non et communiques au chauffeur notre destination. Cela ne prend que vingt minutes, dont cinq à cause de feux rouges. Je paye la course, nous nous dirigeons vers l’entrée de la salle.
Il y a déjà pas mal de monde mais la fille d’attente progresse plutôt vite. Je te tiens par le bras et cela est très gratifiant. Je suis si fier d’avoir à mon bas une aussi jolie femme. Tu es belle à faire se damner un saint. Et, à voir comment te regardent tous ces hommes qui nous entourent, je sens bien qu’ils vendraient leur âme au diable pour être à ma place.
Enfin nous pénétrons dans le grand hall d’entrée et grimpons tout de suite à l’étage où se trouve le bar. Il y a même un restaurant. Là, je nous commande deux coupes de champagnes que nous savourons en attendant que la salle ouvre enfin ces portes. Il y a beaucoup de monde. Les gens ont l’air relax. Ils sont là pour leur plaisir. Parmi quelques groupes d’amis, il y a de nombreux couples de tous âges. Les femmes sont sur leur trente et un. Il y en a de très belles. Mais aucune ne brille autant que toi. Je me sens si amoureux de toi à cet instant précis…
Nous sommes là, assis sur des tabourets de bar, autour d’une table haute et ronde. Juste à côté, debout autour d’une table similaire, se tiennent deux couples de personnes légèrement plus âgés que moi. Chacun à son verre posé sur la table dont il ne s’empare que pour boire une gorgée de temps en temps, lors de pauses dans la discussion. Ils ont la soixantaine bien prononcée. Mais ils semblent tous en très bonne forme physique. Les hommes ont encore des corps athlétiques et ils sont plus grands que moi. Leurs chevelures, bien que fortement grisonnantes, sont encore bien fournies. Et leur coupes courtes, très classiques, dominent de larges épaules. Ils présentent tous les signes d’une vie saine et aisée. Je les imagine bien banquiers, assureurs ou encore hommes d’affaires. L’argent n’a pas l’air d’être un problème pour eux. Ils sont tous quatre d’allure très distinguée. Ils paraissent être des amis proches. On sent qu’il se connaissent depuis de nombreuses années et qu’ils sont très complices. Il pourrait même s’agir de deux frères. Élégamment vêtus, les hommes portent des costumes-cravate, leurs épouses des robes de soirée.
L’une d’elles, la plus petite, qui doit mesurer un peu plus d’un mètre soixante-cinq, est grassouillette. Un peu enrobée comme l’on dit. Elle possède de belles courbes très généreuses qu’elle assume complètement. Sa poitrine est très opulente. Son ventre est rond. Sa peau blanche semble douce et très fine. Ses fesses et ses cuisses sont larges, mais même les reliefs de cellulite lui donnent un aspect encore plus sensuel. Elle est si blonde que l’on devine aisément la blancheur de ses cheveux sous la teinture platine. Son rouge à lèvre s’infiltre presque dans les minuscules plis striant sa lèvre supérieure. Une beauté toute naturelle.
Son amie est, en tous points, son contraire. Elle fait bien dix centimètres de plus. Ses cheveux sont teints en noir, sa coupe est courte, à la garçonne avec un triangle côté droit qui démarre du sommet arrière du crâne et fini sur sa joue au niveau du lobe de l’oreille. Son corps est nettement plus élancé, elle est svelte. On devine qu’elle s’entretient en faisant du sport. Sa poitrine de taille modeste est flasque mais ses tétons imposants restent dressés en permanence. Sa croupe et bien moins charnue mais, à défaut de grosses fesses, sa minceur souligne le galbe de ses hanches larges qui révèle ses grossesses passées. Elle a la peau cuivrée par le soleil de l’été qui vient de s’achever. Ses lèvres son fines et son regard perçant.
C’est elle qui, lorsqu’elle remarque nos coupes de champagne, nous sourit d’un air complice. Je la vois qui chuchote à l’oreille de celui qui est certainement son mari. A partir de ce moment, tous les quatre jettent des coups d’œil sur nous de temps en temps. Je me dis que nous devons correspondre à l’image que l’on se fait d’un couple romantique et attendrissant. Notre différence d’âge évidente peut aussi engendrer, bien sûr, une certaine curiosité. Et surtout, ton air convivial et candide attire généralement la sympathie. Enfin, tu es si belle… J’en conclu que c’est le mélange de tout ça qui suscite leur intérêt.
J’en suis là de mes pensées lorsque les portes de la salle de concert s’ouvrent enfin. A l’inverse de la majorité des gens, présents, nous ne nous précipitons pas. Nous avons nos billets et savons que le spectacle ne commencera pas sans que tout le public soit installé. C’est pourquoi nous attendons que la file d’attente soit devenue fluide pour nous lever et suivre le mouvement. Je remarque que nos voisins de table ont eu la même attitude. Ils nous emboitent le pas.
Nous descendons les escaliers latéraux puis pénétrons dans la salle. Nous devons tourner à droite dans la travée d’accès, et descendre une dizaine de mètre vers la scène, dont nous sommes assez proches, au septième rang seulement. Nos places sont très bien situées, elles nous garantissent une vue imprenable. Nous n’allons rien manquer. A peine sommes-nous assis sur nos sièges à strapontin que les deux couples qui étaient nos voisins de bar nous obligent, bien malgré eux, à nous lever, pour leur permettre de rejoindre leur place. Ce qui les fait se confondre en excuses à cause du dérangement.
Je me lève poliment, tirant mes épaules en arrière et rentrant un peu mon ventre pour leur faciliter le passage. Malgré mes efforts, le bas ventre de la petite femme blonde, qui passe devant moi à pas chassés à la suite de son mari, frotte franchement contre mon sexe. Cela nous surprend car, en prévention de tout contact physique gênant, celle-ci avait effectuer les mêmes gestes que moi. Bombant le torse, ce qui a eu pour effet de relever sa forte poitrine, m’offrant une vue imprenable sur son décolleté qui ressemble à s’y méprendre à deux énormes fesses blanches, tant ses seins sont énormes ! Et ce poitrail masque nos ventres que nous ne pouvons voir, ce qui nous empêche donc, d'anticiper cette douce collision.
Ce qui explique aussi notre effet de surprise mutuel dès que nous sentons ce contact accidentel et inopiné. Nous échangeons un sourire empreint de gêne comme cela est le cas dans ce genre de situation. Pour ma part, je viens aussi de ressentir un frisson d’excitation et je me demande si c’est le cas pour elle aussi. Dans un réflexe de timidité, je détourne immédiatement mon regard en tournant instinctivement la tête vers la gauche. Mais, ce faisant, je croise celui de son homme, qui s’est manifestement rendu compte de ce qui vient d’avoir lieu et s’en amuse, me souriant d’un air complice, plein d’humour et de sous-entendus salace. Je lui souris en retour.
Me tournant vers toi, je vois que, les yeux plongés dans l’écran de ton smartphone, tu ne t’es rendue compte de rien. Au même moment, c’est la grande femme brune qui passe entre moi et le dossier du siège de devant. Elle aussi suit son mari. Vu sa ligne, cette fois, pas de contact inattendu possible. Elle aussi se déplace à pas chassés mais en me tournant le dos. Ce qui me laisse admirer sa chute de reins si fluide au fesses ondulantes. Et la longueur exceptionnelle de ses jambes musclées. Sa coiffure d’homme combinée à ce corps si féminin est renversante de séduction. Je sens même son parfum suave et fruité.
C’est elle qui prend le siège attenant au tien. Elle se tournes vers toi et vous échangez quelques mots de circonstance que je ne comprends pas. Devinant cependant leur contenu amical et bienveillant grâce aux sourires chaleureux que vous arborez l’une envers l’autre. Je suis ravi de cette proximité avec ce groupe car ils ont l’air d’être de bonne compagnie. Je me dis que nous avons de la chance et que le hasard, ce soir, à bien fait les choses (et je ne croyais pas si bien dire).
Pendant ce court échange tu te lèves et retire machinalement ton manteau. Ce mouvement, grâce à la fente de ta robe, révèle ta jambe gauche toute entière. Et, une fois rassise elle est remontée si haut au-dessus de ta hanche que cela lève tout doute quant au fait que tu ne portes pas de culotte. Qui plus est, une bande de plusieurs centimètres sur la gauche de ton pubis vient également d’apparaitre furtivement. Levant tout à coup les yeux vers cette femme, je constate combien elle est captivée par cette vision qui semble l’avoir hypnotisé. Incapable de détourner son regard, elle reste figée. Fixant intensément ce que tu viens innocemment de dévoiler d’un air mêlé d’admiration et d’envie. Vision éphémère car, après l’avoir soigneusement plié, tu poses le manteau en travers de tes cuisses, juste au ras de ton bassin.
La lumière, s’éteint soudain et c’est la scène qui s’allume. Le concert va commencer. T’adressant un dernier sourire, cette fois clairement charmeur, elle oriente son visage vers le chanteur et ses musiciens qui viennent de monter sur scène. Les première notes retentissent. A cet instant, je me dis que j’ai bien choisi ta tenue qui viens de susciter le genre de réaction que j’espérais. Mais ce que je n’avais pas du tout prévu, c’est que cette réaction soit celle d’une femme ! Loin de me décevoir, ce détail ne fait que décupler mon contentement. Car non seulement je suis émoustillé par le fait que tu séduises une femme, qui plus est très belle, mais celle-ci est accompagnée de son mari et de leur couple d’amis. Ce qui rajoute à mon excitation en exacerbant mon imagination.
Après avoir enchainé trois chansons, la musique marque un temps d’arrêt, laissant le chanteur saluer le public en s’adressant à lui, puis, il s’empare de la bouteille d’eau qui se trouve à ses pieds pour en boire trois petites gorgées afin de préserver sa voix, tout le monde se met à applaudir frénétiquement jusqu’au début de la prochaine chanson dont il vient d’annoncer le titre et qui semble très prisée de l’assemblée. Lorsque les applaudissements cessent, les premières notes se font entendre. Et c’est là que ta voisine, en profite pour poser sa main droite sur ta cuisse ! J’observe ce geste du coin de l’œil, aussi discrètement que possible pour ne surtout pas risquer d’interrompre son initiative. Mon cœur bat à cent à l’heure et je sens une excitation soudaine. Tu te tournes vers moi et comprends que j’ai tout vu. Ton expression est plus ahurie qu’outrée. Tu as l’air paniquée, ne sachant comment réagir. D’une moue et en serrant ta main droite, je te fais comprendre de la laisser faire. Bien que très gênée, n’étant pas du tout attirée par les femmes, tu t’y résous.
Pendant les trois chansons qui suivent sa main va s’enhardir crescendo. Ses gestes sont lents et doux pour ne pas t’effrayer. Mais je les sens déterminés. Commençant par de simples caresses légères sur ta peau, elle glisse subrepticement dans le pli de ton aine. De là, elle descend plus profondément entre tes cuisses, longeant la grande lèvre gauche de ton sexe. En remontant, c’est ta petite lèvre qu’elle effleure, te faisant tressaillir. Encouragée par ton attitude stoïque autant que par cette réaction corporelle explicite, qui trahi le plaisir irrépressible que tu ressens, c’est maintenant le long de ta fente que ses doigts redescendent. Constatant que tu es toute mouillée, elle risque un doigt dans ton orifice. Elle ne retire sa main qu’au dernières mesures de la chanson, juste avant que la lumière ne se rallume pour l’entracte, et que tu n’atteignes l’orgasme. Puis elle se met à applaudir, faisant mine de rien, si ce n’est ce sourire malicieux et plein de reconnaissance qu’elle t’adresse un peu nerveusement.
Tout le monde se lèvent et commence à sortir pour aller, soit au bar boire un verre, soit à l’extérieur, devant l’entrée, pour fumer une cigarette. Nous optons pour un verre, les deux couples semblent avoir fait le même choix car, une fois en haut, nous les voyons débarquer.
Ils prennent chacun une coupe et reviennent s’installer près de nous, à la même table. Tu regardes tes pieds car tu es encore très troublée par le comportement de cette femme. Tes joues sont encore roses et nous sommes maintenant en pleine clarté. Ainsi tu évites te croiser son regard.
Quant à moi, survolté, il va de soi que je saisi la première occasion pour engager la conversation avec eux ! Et c’est le mari de la petite blonde qui me tend la perche le premier. S’adressant à moi, d’un ton jovial et plaisantin, il me demande si sa femme ne m’a pas marcher sur les pieds en allant s’assoir. Je souris poliment et lui réponds que non, pour ne pas mettre sa femme mal à l’aise. Celle-ci lui rétorque alors sur un faux air de reproche « Monsieur n’est pas rustre comme toi, c’est un vrai gentleman » en me souriant d’un air complice. Je lui rends son sourire en la remerciant du compliment. Puis nous échangeons sur le concert, chacun donnant son avis, sauf toi qui n’arrives toujours pas à surmonter ce qu’ils croient être de la timidité.
Puis les hommes annoncent qu’ils vont dehors pour fumer une cigarette avant que la deuxième partie ne commence. Nous restons alors seuls avec leurs femmes. C’est à ce moment qu’elle s’adresse directement à toi, tu ne peux plus esquiver. Te posant des questions personnelles, tu leur apprends que tu es journaliste et que nous assistons à ce concert sur lequel tu dois rédiger un article. Elles ont l’air très intéressées et continuent leurs investigations. Tu leur révèles que nous sommes en couple et que nous venons d’une ville située à une centaine de kilomètres au nord.
Sur ce, il est temps que nous descendions reprendre nos places. Leurs hommes sont déjà assis, nous reprenons nos sièges à notre tour glissant tour à tour dans la rangée, cette fois dans le bon ordre. Les lumières se ré-éteignent, la deuxième partie débute. Ta voisine te laisse tranquille, elle ne renouvelle pas ses caresses. Je prends ta main droite dans la mienne, que je garde jusqu’à la fin du spectacle. Après le dernier rappel, le chanteur et ses musiciens ont droit à une longue ovation pendant qu’ils saluent le public. Puis ils sortent de scène par les coulisses et la foule commence à sortir. Devant l’entrée, les deux hommes s’arrêtent pour fumer à nouveau. La grande brune nous dit alors qu’ils vont, tous les quatre, prendre un verre ou deux, dans un club à la clientèle d’âge mûr et nous demande si nous souhaitons nous joindre à eux.
Tu te montres d’emblée hésitante mais je m’empresse d’accepter l’invitation en lui répondant « avec grand plaisir ». Elle appelle un taxi pour nous six. Un monospace arrive, nous y entrons et il se dirige vers le club. Nous laissons nos manteaux au vestiaire et prenons place autour d’une table, sur des banquettes moelleuses. Nous commandons une bouteille de champagne que l’on nous amène dans un bac rempli de glaçons. Les deux femmes ont remonté leur robe sur leurs cuisses pouvoir s’assoir. Les deux hommes quant à eux semble apprécier la fente de ta robe malgré tes efforts pour ne pas trop dévoiler ton anatomie. Quelques heures passent pendants lesquelles nous alternons des discussions anodines qui, l’alcool aidant, sont ponctuées de beaucoup de plaisanterie. Les deux couples font aussi quelques danses, les deux hommes, voyant que ce n’est pas mon fort t’invitent à danser avec eux. A ton laisser aller entre leur bras, je vois bien que tu commences à sentir une légère ivresse.
Nous terminons une deuxième bouteille lorsque le signal lumineux activé par le barman nous indique qu’il est l’heure de la fermeture et qu’il est temps de partir. La grande brune s’en plaint, l’air très déçue, disant qu’il est encore tôt pour un samedi soir, qu’elle n’est pas fatiguée et qu’elle aimerait bien continuer à s’amuser. Sur ce, elle nous invite à venir terminer la nuit chez elle, une grande villa à deux cent mètre de la plage. Tu ne t’y opposes pas franchement alors j’accepte avec un enthousiasme non dissimulé. Une fois chez eux, dans le salon, les deux hommes s’assoient dans un des deux canapés. Leurs femmes s’assoient sur le deuxième, en face d’eux, de l’autre côté de la table basse. La grande brune s’écarte de son amie et t’invite avec insistance à venir t’assoir entre elles. Tu n’oses pas refuser. Elle me propose le confortable fauteuil restant, pendant que son mari nous sert un verre de champagne.
Elle allonge son bras droit et le repose sur le dossier du canapé en prenant soin d’effleurer ta nuque au cours du mouvement. Après quelques instants, elle retire son bras du dossier, avance ses fesses jusqu’au bord de l’assise et attrape son verre dont elle avale une gorgée. Puis elle le repose sur la table et se repositionne bien au fond, le dos contre le dossier, fesse et cuisse collées aux tiennes. Mais au lieu de reposer son bras derrière ta tête en haut du dossier, elle pose sa main sur ta cuisse, en haut de la fente de ta robe. C’est la blonde, assise à ta droite, qui pose son bras gauche derrière ta tête, laissant le bout de ses doigts venir au contact de ton épaule nue.
Sentant le traquenard se refermer sur toi, tu me lance un regard apeuré mais, lisant sur mon visage quelle réaction j’attends de toi, tu t’abandonnes corps et âme. Les deux hommes sont très intéressés par la scène, ils vous observent attentivement, très calmes, sérieux, leur verre à la main, dont ils boivent de petites gorgées. La grande brune pose alors, avec beaucoup de délicatesse, sa main gauche sur ta joue droite. Elle est très douce. D’une pression délicate, elle te fait tourner le visage face au sien, te fait un sourire charmeur et se penche vers toi pour t’embrasser à pleine bouche. Son autre main commence à te caresser l’entre cuisse par-dessous le tissu te ta robe. Tu pousses de petits gémissements étouffés par ce baiser langoureux. Pendant ce temps, la blonde dénoue ta robe derrière ton cou dévoilant ta poitrine nue. Tout s’effectue dans un silence religieux qui crée une atmosphère rituelle.
Nous sommes tous là, les deux hommes, la petite blonde et moi, spectateurs privilégiés de cette scène hautement érotique qui se déroule sous nos yeux. Complètement captivés, nous restons muets et contemplatifs. Cette magnifique femme vient, avec une autorité innée et sans effort, de s’imposer en maitresse de cérémonie. Elle agit avec calme et détermination, édictant naturellement et sans aucune violence la moindre de ses volontés. Suggérant sans ordonner. Elle a l’aura d’une déesse. Ses trois comparses ne parlent plus, ils ne font rien d’autre qu’observer ses moindres faits et gestes.
Mettant fin à votre baiser fougueux, Elle se positionne debout, face à toi, et fait glisser sa robe, qu’elle vient de dégrafer, et qui tombe négligemment à ses pieds. Un collier de perles de culture, retombant sur le haut de sa poitrine, vient rajouter un peu de raffinement à l’érotisme torride qu’elle dégage. Puis elle se penche, jambes tendues, et retire son string. En effectuant ce mouvement, elle nous montre tous les détails de sa jolie croupe et de sa vulve qui ressemble à un abricot, fendu par une maturité excessive, niché là où ses cuisses s’échouent au bas de ses fesses, juste en dessous de son anus rond et plissé. D’où je suis, je peux apercevoir son sein droit qui pends vers le sol. Nous découvrons la coupe de son micro-bikini, dont le soleil a imprimé le dessin, en blanc sur sa peau mate. La tension est à son comble lorsqu’elle s’agenouille devant toi et te demande de soulever ton bassin. Silencieuse et soumise, groggy par le champagne, tu sollicites tes muscles abdominaux pour faire ce qu’elle attend de toi. Elle se saisie du bas de ta robe qu’elle fait glisser par dessous tes fesses, exposant tes jambes ainsi que ton sexe et ton bas ventre.
Chacun des deux hommes, très intéressés, se penche sur le côté pour essayer d’apercevoir ce que son corps leur cache de ton intimité. Leur attirance pour toi ne fait aucun doute. Elle, reste impassible, entièrement concentré sur ce qu’elle fait. La petite blonde est alanguie de profil sur le canapé, elle ne perd pas une miette des évènements. Son coude plié repose sur le coussin et sa main collée contre sa joue gauche lui soutien la tête. La jambe droite repliée sur l’accoudoir, elle se caresse le clitoris de la main droite glissée sous sa robe. La brune pose ses deux mains sur tes genoux et les écartent au maximum. Sa tête plonge alors sur ton sexe qu’elle se met à lécher avec passion. Tu fermes les yeux et jettes ta tête en arrière, t’abandonnant au délice de cette caresse. Ce n’est pas sa nature lesbienne qui te fait jouir. Mais plus ta tendance exhibitionniste, exacerbée par l’insolente indécences de la position qui t’as été imposée quasiment sans contrainte, car elle ne force rien, elle guide en douceur, et qui te livre, dans la plus grande obscénité, aux regards pleins de stupre de ces deux hommes, et au mien rempli de lubricité.
La petite blonde s’est arrêtée de se masturber. Elle titille et malaxe tes seins dont les mamelons deviennent de plus en plus sensibles. Cela va durer quinze minutes pendant lesquelles tu ne vas pas cesser de jouir, les yeux fermés avant de presque t’évanouir de plaisir.
Comprenant qu’elle ne peut espérer obtenir de toi une identique et réciproque attention, elle se relève et se dirige vers moi. Elle s’assoit sur mes genoux, se penche et, la bouche aux creux de mon oreilles, elle me murmure « tu as aimé ce que tu viens de voir ? » Le son de va voix grave couplé au souffle chaud de son haleine sur cette zone si érogène viennent de faire durcir ma verge que je sens pousser dans la chair ferme de sa cuisse. « J’ai adoré » lui dis-je d’une voix chevrotante entre deux soupirs. « Hum… Je sens bien que tu dis vrai » me lâche-t ’elle encore en bougeant sa cuisse qui appuie sur mon sexe.
Lorsqu’elle fait un signe à la blonde, celle-ci se lève et sort de la pièce. Revenant deux minutes plus tard avec ce qui ressemble à des cordelettes qu’elle présente obséquieusement à la brune. En en prenant une, celle-ci se saisit de mon poignet et se lève pour venir sur le coté du fauteuil au pied duquel elle attache mon bras. Elle agit avec calme, méthodiquement. Puis c’est au tour de mon bras gauche et de mes deux chevilles qui subissent le même sort. Elle a serré les nœuds fermement et le poids élevé du fauteuil m’ôte toute liberté de mouvement, je reste là, immobile spectateur impuissant de ce qui va suivre.
Elle se dirige vers son sac à main d’où elle sort une petite boite, qui s’avère être un pilulier, duquel elle extrait trois petites pilules bleues dont elle tend la première à son mari, en lui faisant un clin d’œil significatif. Celui-ci la pose sur sa langue, puis l’avale. Elle fait de même avec le mari de la blonde et revient vers moi en me souriant amicalement, non sans me dire au passage « ta femme est absolument charmante, je crois que nous allons avoir besoin de ça ». Là blonde me fait ouvrir la bouche de ses douces mains. La brune y dépose le cachet magique dont les effets ne mettent pas longtemps à se faire sentir entre mes cuisses, décuplant mon érection qui devient carrément douloureuse.
Avachie au centre du canapé, ton regard vide d’expression a tout observé. Mais tu ne sembles pas réaliser que je ne plus rien faire pour te venir en aide ni changer le cours des choses. Les prenant tous deux par une main, elle guide les deux hommes jusqu’à toi. Tu as gardé tes jambes bien ouvertes. Tu les observes attentivement pendant qu’elle les déshabille lentement, l’un après l’autre. Leurs verges sont fièrement tendues à l’horizontale, sous l’influence de la substance chimique ingurgitée un peu plus tôt. Tu les vois de profil. Celles-ci sont de très belles tailles, ce qui semble t’aiguiser l’appétit.
À chacun d’eux elle fait poser un genou sur le canapé, de part et d’autre de tes flancs de façon à mettre ces deux belles bites à portée de ta bouche. Puis elle en saisi une dans chaque main, tirant dessus pour bien les décalotter, et te les met tour à tour contre les lèvres pour que tu les suces. Ce que tu fais docilement pendant qu’ils te caressent chacun un sein. La brune, constatant que tu n’as plus besoin d’elle, lâche leurs sexes et glisse ses mains entre leurs fesses avant de leur enfoncer un doigt dans le cul et de stimuler leurs prostates. Ils en gémissent de plaisir. Elle interrompt son geste rapidement pour ne pas les faire jouir prématurément et prend un peu de recul pour se contenter de vous observer.
Ceci semble être le signal qui les informent que le départ vient d’être lancé et qu’ils ont carte blanche pour s’occuper de toi à leur guise. L’un d’eux te saisit alors par les cheveux et te fait mettre sans ménagement à quatre pattes sur le canapé comme une chienne. Sans lâcher ta crinière, il se positionne derrière toi et enfonce brutalement sa queue jusqu’au fond de ta chatte qui, heureusement pour toi, est bien humide. Je ne le saurai que plus tard, quand tu me le diras, de retour dans notre chambre d’hôtel, mais à cet instant précis, la brune leur a ordonné à très faible voix « défoncez la bien ! ».
Il te tape alors violemment sur les fesses du plat de la main et commence à te pistonner aussi fort et profondément qu’il le peut, ce qui te fais jouir immédiatement. Mais tu n’as pas le temps d’émettre le moindre cri car son acolyte vient de reproduire le même comportement dans ta bouche en t’agrippant par les aisselles. Tu es secouée de toute part. Incapable de te libérer, tu dois encaisser ces coups de boutoir que rien ne semble plus pouvoir arrêter. Pourtant, tu sembles en retirer énormément de plaisir. Ce qui me rassure un peu.
La brune, après avoir initié cette action, se lève et prend la blonde par la main pour la guider jusqu’à moi. Là, devant le fauteuil, elle la déshabille comme elle l’a fait avec leurs maris devant toi. Ses deux énormes seins et son ventre ronds semblent jaillir, comme s’ils étaient surcomprimés par sa robe et son soutien-gorge. Sa peau, bien tendue, comme je le pensais, est d’un blanc immaculé. Sa vulve charnue dessine un sillon très fin qui part du milieu de son pubis parfaitement épilé, séparant ses grosses lèvres bombées et qui disparait entre ses cuisses si grasses qu’elle se touchent entre elles.
J’ai soudain très envie de ce corps presque caricatural de femme mure. D’ailleurs, cet adjectif lui va parfaitement tant il souligne à la fois son âge respectable et l’aspect de fruit bien mur que son corps évoque. La brune empoigne tour à tour toute ces courbes que je viens de décrire. Elle les malaxe en lui mordillant les tétons qui sont entourés de grandes aréoles parsemées d’aspérités qui ressemble à de minuscule grain de café. Elle la fait ensuite grimper sur le fauteuil, ses deux pieds de part et d’autre de mes cuisses. Dévoilant sa chatte qui se retrouve à la verticale au-dessus de mon visage.
J’entends brièvement le bruit de tes ébats dont l’intensité ne semble pas avoir faibli. Mais la blonde vient de passer sa jambe gauche par-dessus le dossier du fauteuil sur lequel elle fait reposer le pli de son genou, ouvrant sa vulve béante et déjà trempée, dont elle colle les parties de couleur rose sur ma bouche. Sa mouille sent fort mais cela ne me dérange pas. Le visage enfouis dans cet amas graisseux, tendre et moelleux, à la peau aussi fine et douce que je le suspectais, je commence à la lécher avidement, comme si je voulais la faire fondre dans ma bouche. Elle gémit et commence à expulser des jets puissants et quasi continus de mouille. Ce que je ne peux pas absorber me coule le long de la gorge, détrempant ma chemise
Pendant ce temps, je sens la brune qui dégrafe ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Puis elle me manipule pour que je soulève mon bassin et tire en même temps mon pantalon et mon slip aussi loin qu’elle peut le long de mes cuisses. Ma bitte se dresse, dure comme du marbre, surplombée par mon gland turgescent. Elle s’empale dessus et commence à bouger pour se faire du bien. Ayant obtenu un orgasme, elle se relève, fais descendre son amie du fauteuil en lui tapotant sur les fesses, libérant ma vue. Lorsque celle-ci redevient claire après un court instant d’éblouissement, je constate que tes deux amants ont interchangé leurs positions et qu’il se déchainent toujours sur toi avec autant de force. Tu as l’air épuisée de plaisir mais tu encaisses vaillamment leurs charges vigoureuses et animales.
Les deux femmes sont en train de débarrasser la table basse, regroupant les verres et la bouteille de champagne sur un plateau que la blonde ramène en cuisine pendant que l’autre revient me libérer de mes liens. À son retour, la brune la fait s’allonger dos contre la table. Puis, elle me fait m’agenouiller entre ses cuisses et saisi mon membre viril dont elle fait glisser le gland dans la fente humide et poisseuse avant de pousser fort sur mes fesses pour que je la pénètre au plus profond de son vagin. Pendant que je commence à la pilonner au rythme de mes couilles claquant sur son arrière train dodu, la brune se met à califourchon au-dessus d’elle, bien cambrée pour relever son cul au maximum face à moi. Puis elle tourne la tête vers moi et me dit « bouffes moi la chatte comme un chien ». Je m’empresse de lui obéir. Elles jouissent toutes les deux tout en s’embrassant goulûment sur la bouche, pendant que je les besogne de mon mieux.
Au bout de quelques minutes, on entend un de tes deux amants annoncer qu’il ne va pas tarder à jouir. Instantanément, la brune quitte sa position et descend de la table. Elle prend ma main, me fait me redresser et me guide prés de vous qui êtes toujours en train de baiser. Nous nous arrêtons là, debout, côte à côte, au plus près de vous. La blonde à fait le tour du canapé et s’installe pour vous regarder aussi. Les deux gars continuent leurs va et viens. C’est celui qui a sa queue dans ta bouche qui te tiens maintenant par les cheveux. Il tire fort dessus pour s’enfoncer chaque fois au plus profonds de ta gorge, te faisant un peu mal au crâne et à la nuque. D’énorme filets de bave coulent de ta bouche et tu hoquettes en te retenant de vomir, émettant des sons humiliants. Ton rimmel a coulé sur tes joues, entrainé par les larmes qui sortent de tes yeux, dessinant des traces noires qui te donne un air encore plus vulgaire.
La grande brune a gardé ma main dans la sienne, comme pour me retenir là, coûte que coûte. Elle palpe ton sein gauche de l’autre main et me dis « Ta femme et une vraie petite chienne assoiffée de sexe, regardes comme elle aime se faire prendre brutalement ! ». Ces paroles sont assez fortes pour être entendues de tous. J’en ressens une humiliation terriblement excitante malgré tout mon amour pour toi. En entendant ces mots, celui dont la queue s’agite dans ta chatte se met à grogner en éjaculant abondamment à l’intérieur. Après une dernière secousse orgasmique, il se retire et présente sa bite à la blonde qui le nettoie goulument avec sa bouche. L’autre gars sort la sienne de ta bouche en te tirant les cheveux vers l’arrière, puis il se précipite derrière toi pour jouir au même endroit que son ami. Il ne lui faut que trois allers-retours pour atteindre l’orgasme, Il t’inonde à son tour. Lui aussi offre sa queue à la blonde qui le gobe et le nettoie voracement.
Délivrée mais exténuée tu viens d’allongé tes bras sur le canapé ton front contre le coussin, pour essayer de récupérer. La brune me fait alors allonger sur la table, les yeux tournés vers le plafond et, comme si elle devinait mes pensées les plus vicieuses, elle vient te chercher pour te mettre debout sur la table au-dessus de mon visage sur lequel le sperme commence à couler. Elle et la blonde te tiennent chacune une main pour garantir ton équilibre tant tu es fatiguée. Te tirant sur les bras vers le bas, elle te force à t’accroupir jusqu’à ce que ta vulve soit collée à ma bouche.
Devançant leurs attentes, je m’emploie à te nettoyer passionnément la chatte avec délectation. Pendant ce temps, elles me font plier les genoux en remontant la plante de mes pieds qu’elles font reposer à plat sur le plateau de la table, contre mes fesses. La blonde enfonce alors un doigt dans mon cul pendant que la brune prend mon sexe en bouche et me fait une fellation magistrale. Absorbant ma queue dans toute sa longueur, jusqu’à ce quelle sente mes couilles contre son menton, elle remonte jusqu’à mon gland, qu’elle mordille, avant de redescendre. Elle aussi bave beaucoup, je me dis bêtement que je te venge un peu. Lorsque mon foutre jaillis, elle avale absolument tout, me permettant ainsi de profiter de mon orgasme jusqu’au bout. Ta chatte est maintenant bien propre. Nous nous relevons tous les deux. Je t’enlace tendrement et t’embrasse langoureusement.
Elle nous emmène dans la salle de bain où nous faisons un brin de toilette succin mais indispensable avant de nous rhabiller. Ils nous remercient chaleureusement en nous disant espérer que nous avons appréciez cette expérience autant qu’eux, que nous sommes un beau couple sympathique et charmant, et qu’ils seraient ravi de nous revoir un jour. Nous leur assurons que ce fut un réel plaisir partagé et que, le monde étant petit, les chances sont grandes de nous revoir. Nous leur disons au-revoir et montons dans le taxi qu’ils nous ont commandé.
Une fois au lit dans notre chambre d’hôtel, avant de t’endormir, tu me chuchotes à l’oreille « Tu veux savoir ce que la brune a dit à ces deux hommes avant qu’ils ne me baisent sauvagement ? » ...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un peu long mais, heureusement, bien aéré
Un gros et sincère MERCI à vous pour le compliment qui me va droit au cœur et m'encourage à continuer d'écrire pour vous raconter la vie trépidante de Christy.
Pour la réponse (si j'ai bien compris votre question), vous avez du la manquer, car elle se trouve plus haut dans le texte, à la fin du trente-neuvième paragraphe:
[ Je ne le saurai que plus tard, quand tu me le diras, de retour dans notre chambre d’hôtel, mais à cet instant précis, la brune leur a ordonné à très faible voix « défoncez la bien ! ». ]
Il est vrai que j'ai parfois la fâcheuse tendance à donner les réponses avant de poser les questions...
Pour la réponse (si j'ai bien compris votre question), vous avez du la manquer, car elle se trouve plus haut dans le texte, à la fin du trente-neuvième paragraphe:
[ Je ne le saurai que plus tard, quand tu me le diras, de retour dans notre chambre d’hôtel, mais à cet instant précis, la brune leur a ordonné à très faible voix « défoncez la bien ! ». ]
Il est vrai que j'ai parfois la fâcheuse tendance à donner les réponses avant de poser les questions...
Très bien écrit. On veut ma réponse.

