Si Jeune et jolie Christy - VII

Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Si Jeune et jolie Christy - VII
Doutes et renouvellement – Les joies de Sodome
Désormais officiellement cocu, je me posais évidemment mile questions sur notre couple et son devenir. Christy, comme toujours, restait guillerette et enjoué, très dynamique et pétillante de vie. Ce qui me rassurait, c´est qu’elle me montrait les mêmes signes d’amour, de complicité, d’affection et de tendresse qu’auparavant. De même, elle était toujours positivement réceptive à mes attentions pour elle, que ce soit pour les choses du quotidien ou pour notre vie sentimentale. Coté sexe, nous avions toujours autant de rapports et nous procurions autant de plaisir mutuel qu’avant. Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais elle ne m’avait jamais reparler de cette soirée avec Gabriel.
De mon côté, j’avoue que j’avais été vraiment surpris par la vitesse et la facilité avec laquelle cet évènement c’était produit et la façon dont tout s’était déroulé. Inéluctablement, les révélations qu’elle m’avait faites, immédiatement après, au sujet de la taille considérable du sexe de Gabriel et des sensations qu’elle en avait ressenti, même si j’avais adoré le spectacle qu’ils m’avaient offert tous les deux, avait légèrement piqué mon orgueil et titillé ma jalousie. Comme tout adepte du candaulisme passant à l’acte dans son couple, je pense, j’avais maintenant très peur de la perdre.
Mais mes envies étaient toujours là, bien vivaces. Malgré mes craintes, repenser à cette soirée me mettait toujours autant dans un état d’excitation incroyable. Et j’y repensais très fréquemment. Après trois semaines, n’y tenant plus, je brisai enfin le silence, un soir, pendant que nous regardions la télé.
« Mon amour, » lui dis-je, « tu te rappelles de notre discussion de l’autre jour, après que Gaby soit parti et que je t’aie fait l’amour ? »
« Bien sûr, mon chéri » me répondit d’elle en souriant, « et je me demandais combien de temps tu allais mettre pour m’en reparler », et elle tourna la tête vers moi avec un sourire espiègle.
« Tu m’avais dit que tu ne serais pas contre d’autres aventures. Es-tu toujours partante ? »
« Ah oui ! » me dit-elle la mine réjouie en se frottant les mains d’un air coquin qui se voulait taquin, « et je me languis que tu contactes Gabriel … »
La foudre venait de s’abattre sur moi ! Je pris un air triste et lui dit :
« Tu sais, je veux vraiment continuer dans cette voix si tu es d’accords et que tu en retire du plaisir. Mais je t’avoue que je ne suis pas à l’aise avec le fait de le faire plusieurs fois avec un même amant, que l’on connait déjà, j’aurai trop peur que tu développes des sentiments pour un autre. Et que tu me quittes pour cette raison. »
« Je te comprends mon amour, » me dit-elle en s’efforçant de prendre un ton rassurant et posant sa main sur ma joue, « mais depuis qu’il m’a prise, je ne cesse de penser aux dimensions de sa bite et je voudrais bien le revoir uniquement pour cette raison, ça n’a rien à voir avec lui personnellement. »
« Mais il ne doit pas être le seul à avoir une bite aussi grosse, nous pourrions chercher quelqu’un d’autre d’aussi bien pourvu… »
« Pourquoi perdre du temps en recherches qui pourraient s’avérer infructueuses alors que nous avons ce qu’il faut sous la main ? »
Voyant bien que cet argument n’apaisait pas mes craintes, elle ajouta :
« Tu te rappelles que j’adore te faire des gorges profondes ? Et bien c’est le seul regret que j’ai de la soirée de la saint Patrick. Depuis que j’ai découvert son sexe, j’ai une envie folle d’essayer de lui en faire une à lui. Pour voir l’effet que ça fait de prendre cinq centimètres de plus que quand je t’en fais une à toi. Tu penses que j’en serais capable ? »
Devant mon hésitation, pour me convaincre elle me fit une proposition :
« Voilà ce qu’on va faire, toi, tu commences à chercher de ton coté un mec bien monté. Mais en attendant que tu trouves, on recontacte Gabriel et on le refait avec lui une dernière fois. Je te promets qu’après, on ne le reverra plus. Du moins pour du sexe. Qu’en penses-tu ? »
« Si tu promets que ce sera vraiment la dernière fois avec lui… c’est d’accord. »
Que dire d’autre ? j’étais bel et bien le seul responsable de cette situation. Je contactai Gabriel avant de me mettre en quête de nouveaux futurs taureaux sur internet.
« Allo, Gabriel ? »
« Oui, comment vas-tu »
« Bien merci. Voilà, je t’appelle pour savoir ce que tu fais vendredi soir prochain, as-tu quelque chose de prévu ?
« Euh… non pourquoi ? »
« Ben voilà, c’est Christy qui aimerait beaucoup te revoir pour quelque chose d’un peu spécial... »
« Ah là, tu m’en dis trop ou pas assez ! De quoi s’agit-il exactement ? »
« En fait, c’est qu’elle adore faire des pipes en gorge profonde. Et comme l’autrefois, l’occasion ne s’est pas présentée avec toi, elle voudrait te revoir, juste une fois, rien que pour ça. »
Ayant mis le haut-parleur, Christy suivait avec intérêt nos échanges sans en perdre une miette, mais ne souhaitait pas s’exprimer. Gabriel ne savait donc pas qu’elle entendait tout ce que nous nous disions. Sa main me serrait l’avant-bras. Après quelques secondes de silence, pour nous, et sans doute de réflexion, pour lui, il dit :
« Bon, si c’est pour la bonne cause, vous pouvez compter sur moi. Mais… moi aussi j’aurais une petite condition, vu que tu me dis que ce serait juste pour une fois. »
La main de Christy se resserra plus fermement sur mon poignet. Alors je lui dis :
« Euh… dis toujours, je vais voir avec elle… »
« Tu te rappelles que je t’avais dit qu’elle avait un cul superbe. Et lorsque tu l’as déshabillée, j’en ai eu la confirmation. J’aurais adoré la prendre par là. Mais pour moi non plus, l’opportunité ne s’est pas présentée. Donc, si tu veux que je lui fasse plaisir… »
J’étais stupéfait par sa demande et dévasté par la réaction de Christy qui secouait la tête frénétiquement pour me faire savoir, sans qu’il ne l’entende, que non seulement elle était d’accords mais qu’en plus elle avait l’air de s’en réjouir par avance, me pressant pour lui dire oui. Je n’eus alors d’autre choix que le lui dire piteusement :
« Ah ! Bien, je ne pense pas que ça lui posera de problème, elle adore se faire enculer ! »
« Bon ben okay, on n’est d’accord alors. Merci et à vendredi, j’arriverai à vingt heures, parce qu’à vingt-trois heures, j’ai un rancard. »
Au moins cela limitait la durée de la rencontre. Lorsque nous raccrochâmes, elle était super contente et trépignait presque de joie. Elle me sauta au cou et m’embrassa en me disant « merci mon amour ». Je ne savais que penser, je ne l’avais jamais sodomisée. Elle ne m’avait jamais demandé, ni même suggéré de le faire, et il suffisait qu’il en manifeste le désir pour qu’elle s’enthousiasme à cette perspective. Et il va sans dire que se prendre un tel calibre par derrière me semblait être un sacré challenge. Décidément, elle m’étonnait toujours, elle semblait n’avoir peur de rien sitôt qu’elle était excitée !
Nous étions mardi, cela me laissait un peu plus de deux jours pour trouver un amant bien membré comme prochain partenaire potentiel. J’avais déjà un profil à moi sur un réseau social libertin sur lequel, entre deux romances, je naviguais régulièrement pour mater ce que les femmes ou les couples postaient comme photos ou vidéo et de temps en temps j’entamais un échange avec certains qui me plaisaient plus particulièrement, bien que cela n’ait jamais abouti à une rencontre. Mais, je ne m’étais plus connecté depuis que j’étais avec Christy, j’eus même quelques difficultés à me rappeler mon mot de passe.
Je me reconnectais donc et, contrairement à mes habitudes, je filtrais uniquement les profils d’hommes. Je ne souhaitais pas poster une requête genre « couple recherche mâle Alpha bien membré pour madame » sur mon profil, ni créer un profil de couple (du moins pour l’instant) car je savais que je serais immédiatement submergé de candidatures. Je préférais parcourir les profils des hommes de la région, en quête de pénis à taille généreuse et d’une esthétique susceptible de plaire à Christy. Le jeudi soir, je n’avais retenu que deux profils qui me paraissaient correspondre, de près ou de loin à mes attentes. En tout cas, ils possédaient, d’après leurs photos en ligne, le matos qu’il fallait. Ce qui est faible par rapport à la quantité élevée de mec sur ce réseau. Comme quoi les grosses bites ne courent peut-être pas les rues.
Le vendredi arrivait, j’interrompis donc mes recherches sur ce maigre résultat pour pouvoir me préparer et apprécier aux mieux cette deuxième soirée de baise avec Gaby, sensée être la dernière. J’avais une certaine appréhension. Mais il était trop tard pour pouvoir y faire quoi que soit. Lorsque Christy rentra du boulot, après avoir mangé, je lui demandais comment elle prévoyait le déroulement de cette soirée.
« Justement chéri, je voulais t’en parler. J’aimerais que tu m’attaches, complètement contrainte sur le canapé, dans la même position que lorsque nous l’avons fait ensemble la première fois. Et que tu le fasses avant qu’il n’arrive, pour être prête à l’emploie »
Un peu surpris par cette requête, j’avais du mal à accepter qu’elle souhaitât reproduire à l’identique avec lui, un scénario qui nous était jusque-là intimement personnel. Je pense qu’inconsciemment, j’avais beaucoup de mal à m’exposer à toute comparaison qui, évidemment ne pourrait tourner qu’à mon désavantage, pour des raisons purement physiologiques évidentes contre lesquelles je ne pouvais rien, et dont je n’étais pas responsable. Je ressentais cela comme une soumission humiliante, cruelle et, surtout, injuste. Je tentai de la dissuader tant bien que mal.
« Tu sais mon amour, ce n’est peut-être pas très prudent, on ne sait jamais. Si en te voyant il devient tellement excité qu’il en perd son self contrôle, ça peut rapidement devenir désagréable, voire dangereux pour toi. Y as-tu pensé ? »
« Allons, ne vois pas tout en noir. Moi ça m’excite vraiment de le faire dans ces conditions. Et puis tu seras là, donc je ne risque rien. »
Un peu vexé par son attitude de capricieuse n’en faisant qu’à sa tête sans écouter mes conseils de prudence, je lui répondis un peu sèchement :
« Bon, si tu y tiens tant, comme tu voudras. Mais il faudra modifier un peu le bondage pour que tu puisses écarter les jambes afin qu’il puisse te démolir l’anus après t’avoir ramoné l’œsophage. Mais ça ne devrait pas être insurmontable, j’ai déjà ma petite idée. »
Après avoir regardé un film nous allions nous coucher. Étant un peu chagriné, je ne lui fis pas l’amour ce soir-là et elle ne me le demanda pas non plus.
Vendredi dix-neuf heures. Gabriel nous ayant dit qu’il arriverait à vingt heures, il était donc temps de nous préparer pour satisfaire la demande très spéciale de Christy, son bondage. Je commençais donc à la presser de sortir de la salle de bain ou elle était allée faire sa toilette et se maquiller.
« Minou, il est déjà dix-neuf heures, dépêche-toi. Si tu veux vraiment être prête à l’emploi quand il va arriver il faut que je commence à t’attacher. »
« Oui-oui, j’arrive dans deux minutes, je termine juste mon lavement !»
En effet, deux minutes après elle ouvrit la porte et me rejoignit. Elle était toute nue, sans d’autre artifice qu’un maquillage très appuyé, presque outrancier. Ces cils blonds étaient devenus noir sous une épaisse couche de mascara, ses paupières était de couleur lit de vin assez pâle, et le contour de l’œil exagérément souligné au crayon noir . Enfin, un rouge à lèvre d’un rouge criard lui faisait une bouche hyper sensuelle (pour ne pas dire une bouche à pipe). Une vraie petite gueule de pute. Mais Dieux qu’elle était belle, Diable qu’elle était bandante.
« Tu as vue, j’ai fait une tresse avec mes cheveux pour que tu puisses les attacher plus facilement et plus solidement » me dit-elle en tournant de trois quarts la tête.
Décidément, elle pensait à tout, c’est vous dire si elle était motivée. Je commençais donc le paquet cadeau. Cette fois, je ne pouvais lier ses deux chevilles ensembles pour les raisons que j’avais invoqué la veille. Mais je les lui liai quand même fermement contre le haut des cuisses comme la dernière fois. Pour lui maintenir les genoux écartés de quatre-vingt centimètres, j’utilisai une barre de traction, de celle que l’on fixe dans un encadrement de porte en les écartant grâce à une tige filetée interne, et qui trainait dans un placard.
Je lui rattachai les deux mains dans le dos et, pour pouvoir attacher sa tresse, ne pouvant pas cette fois obstruer son sillon fessier pour la relier aux chevilles, je lui passai une corde de section plus conséquente au niveau du bas ventre, comme une ceinture, que je nouai bien serrée dans le bas du dos. Et c’est là que je venais arrimer sa tresse en prenant bien soin de l’alignement de son menton avec sa gorge. Enfin, comme l’autre fois je la faisait basculer, cul en l’air, torse sur l’accoudoir du sofa. Il nous restait 10 min avant l’arrivée de Gabriel, j’en profitai pour faire quelques photos d’elle dans cette position humiliante.
Vingt heures pétantes, les coups de Gaby résonnèrent contre la porte. J’allai lui ouvrir, le débarrassai de sa veste et le fis avancer. Dans l’encadrure de l’entrée du salon, il fut scotché en la découvrant. Je le fis assoir sur une chaise et lui apportai une bière.
« Mets-toi à l’aise et prends ton temps pour bien t’exciter. » lui dis-je.
Puis je m’approchai de Christy, je lui saisis les tétons que je pinçai fortement en les vrillant l’un après l’autre, lui arrachant de petits cris de douleur et de surprise car je ne l’avais pas informée de cette mise en bouche. Mais j’avais besoin de ça pour maitriser mes émotions. Et je me mis, ensuite, à lui administrer une fessée bien sévère jusqu’à ce qu’elle ait le cul bien rouge. Cela avait prix dix minutes à peu près. Voyant alors que Gabriel se masturbait et que son sexe était bien dur et totalement déployé, j’allai me chercher une bière et lui dit en revenant :
« Elle toute à toi, prête à l’emploi. Vas-y, défonce-la. » Et je m’assis sur sa chaise pendant qu’il s’avançait vers elle.
Harnachée comme elle était, elle ne pouvait pouvais tourner la tête, mais je voyais ses yeux tourner dans ses orbites pour le regarder s’approcher. Je me disais qu’elle ne pouvait alors voir que sa bite, le reste de son corps étant hors champ.
Il se mit de côté, son cul me faisant face, se pencha en avant, et pour dire bonjour, lui roula une pelle, magistrale et baveuse. Dans ce geste impudique, sans s’en préoccuper, il m’exposait, pendantes, ses grosses coucougnettes, que j’avais en gros plan, devant mes deux mirettes.
Puis il se releva, tourna d’un quart de tour, alignant sans détour, son braquemart tendu, à la bouche bavant, aux vermillons tremblants. En levant les yeux vers lui, elle tira la langue, comme pour dire « vas-y, je ne peux plus attendre".
Moi face au canapé, de cette vue torride, ne pouvais rien rater, voyant tout en détail. C’est le gland turgescent, qui lui franchit les lèvres, et sans avancer plus, reposant sur sa langue, épousait son palais, en côtoyant ses joues. La taille du mandrin, son diamètre imposant, faisait que seul son bout, suffisait à lui seul, à lui emplir la bouche, qui suffoquait déjà.
De sa main masculine, il agrippa alors, la base de la tresse, et la serra bien fort. Tout comme le cowboy, s’accroche à la crinière, juste avant le début, d’un rodéo sauvage. Et sans hésitation, se comportant en maitre, enfonça tout du long, ses vingt-cinq centimètres.
Elle rougit d’un coup, écarquilla les yeux, et ses joues se gonflèrent, comme fait le mérou, se coinçant dans la faille, d’une roche refuge, pour survivre à la traque, du prédateur déçu. Une envie de vomir, ne pouvant réprimer, elle régurgita, en un éternuement, de tout son estomac, le contenu gluant, De couleur rose pale, s’écoulant sur les couilles, il finissait par terre, sur le parquet ciré, son flot étant restreint, dans la bouche occupée, il en sortait aussi, par les trous de son nez.
Pendant qu’elle étouffait, en voyant cette flaque, la pensée saugrenue, me vint qu’elle fit bien, au moins pour une fois, mon conseil avisé, avec zèle de suivre, bien scrupuleusement. Le long de la journée, pour rassasier sa faim, elle n’avait en effet, bu que quelques smoothies, à base de fruits rouges, ce qui lui évitait, par chance, qu’un morceau, ne puisse se coincer, dans sa trachée meurtrie, et qui sans aucun doute, l’étouffât pour de bon.
Reprenant mes esprits, j’allais intervenir, mais il se retira, elle toussa trois fois, les yeux remplis de larmes, crachant des jets de glaire, en reprenant son souffle. Et puis comme avec moi, lorsque nous l’avions fait, elle tira la langue, en demandant encore, j’étais impressionné, par son obstination, à vouloir avaler, un gros sexe si long.
Regardant de plus près, quand il le renfonça, brutal, sans précaution, je le vis progresser, plus bas que le menton, en déformant sa gorge, comme un doigt dans un gant. Accélérant son rythme, soutenant la cadence, il me semblait confondre, œsophage et vagin. Chaque coup de semonce, était ponctué par, un son de gargarisme, glauque et assez immonde, qu’émettait ma Christy, sans même le vouloir.
Et puis fatalement, après vingt vas et viens, il s’immobilisa et cracha tout son foutre, dans cet étui de soie, à la crinière blonde. Langue contre ses bourses, patiente, elle attendait, qu’il ressorte du gouffre, pour enfin respirer. Son visage trempé, le rimmel en panique, courrait dans tout les sens, sur ses joues engluées, de glaires et de bave, expulsés par la force, du braquemart du brave.
La mine déconfite, presque méconnaissable, cette compétitrice, nous souriait pourtant, méritant le surnom, de suceuse insatiable, fière de son méfait, et de ses ambitions, chalenge relevé, mes félicitations. Nous bûmes lui et moi, une bière de plus, sans l’avoir détachée, tout en la regardant. Après ça il fut près, son sexe le prouvait, haut comme un étendard, dur comme un madrier. Du gel je lui tendis, pour bien qu’il lubrifiât, l’anus tant convoitée, de ma tendre soumise, et qui s’offrait à lui, dans cette position, dans toute sa splendeur, impudique et gracile.
La sensation de froid, sur son étoile ferme, lui donna le signal, pour qu’elle se prépare, d’un doigt et puis de deux, il massa son rectum, afin de l’assouplir, qu’elle ne souffre pas trop. Puis il mit dans sa main, pressant le tube encore, une plus grosse dose, du lubrifiant magique, qu’il étala le long, de sa trique érectile avant de s’avancer vers l’anneau pulsatile.
Au centre il lui posa, la pointe de sa fraise, et sans prendre d’élan, menaça d’invasion, le troufignon charmant, qui refusait l’entrée. Ma belle grimaçait, en serrant les mâchoires, les deux yeux fort plissés, la respiration courte. C’est alors qu’il saisit, la ceinture de corde, la tirant d’un coup sec, pour rentrer dans grotte, le calamar céda, laissant le libre accès, a ce gland violacé, pénétrant les ténèbres, du boyau torturé.
La puissance du cri, qu’avait poussé ma belle, fit trembler tout l’immeuble, et me terrorisa. Étant tout excité, pour la faire se taire, je n’eus pas d’autre idée, que d’enfoncer mon chibre, dans la bouche gueulante, de ma douce enculée, qui souffrit en silence, n’ayant plus d’autre choix. Il la secouait fort, en avant, en arrière, si bien que je n’avais, quasiment rien à faire, sa bouche allait, venait, sur mon gourdin rigide, sans faire aucun effort, ni autre mouvement. Ses cris s’étaient calmés, et maintenant ses râles, trahissait le plaisir, que lui donnait ce pal, en ramonant son cul, dompté et détendu.
Et contre toute attente, son orgasme éclata, déclenchant le geyser, de sa chatte oubliée, giclant sur Gabriel, mouillant le canapé. Ce fut le déclencheur, pour Gabriel et moi, déchargeant de concert, nos semences en elle, qui gisait pantelante et bien rassasiée.
En commençant à libérer Christy de ses liens, je proposai un dernier verre à Gabriel qui refusa poliment, il mit sa veste, me sera la main et s’en alla. Il ne voulait visiblement pas être en retard à son rencard. Christy, elle, était toute engourdie et groggy, son anus ne s’était pas encore complètement refermé, laissant s’échapper le jus blanc de Gaby. Je la portai jusque dans la salle de bain…
Désormais officiellement cocu, je me posais évidemment mile questions sur notre couple et son devenir. Christy, comme toujours, restait guillerette et enjoué, très dynamique et pétillante de vie. Ce qui me rassurait, c´est qu’elle me montrait les mêmes signes d’amour, de complicité, d’affection et de tendresse qu’auparavant. De même, elle était toujours positivement réceptive à mes attentions pour elle, que ce soit pour les choses du quotidien ou pour notre vie sentimentale. Coté sexe, nous avions toujours autant de rapports et nous procurions autant de plaisir mutuel qu’avant. Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais elle ne m’avait jamais reparler de cette soirée avec Gabriel.
De mon côté, j’avoue que j’avais été vraiment surpris par la vitesse et la facilité avec laquelle cet évènement c’était produit et la façon dont tout s’était déroulé. Inéluctablement, les révélations qu’elle m’avait faites, immédiatement après, au sujet de la taille considérable du sexe de Gabriel et des sensations qu’elle en avait ressenti, même si j’avais adoré le spectacle qu’ils m’avaient offert tous les deux, avait légèrement piqué mon orgueil et titillé ma jalousie. Comme tout adepte du candaulisme passant à l’acte dans son couple, je pense, j’avais maintenant très peur de la perdre.
Mais mes envies étaient toujours là, bien vivaces. Malgré mes craintes, repenser à cette soirée me mettait toujours autant dans un état d’excitation incroyable. Et j’y repensais très fréquemment. Après trois semaines, n’y tenant plus, je brisai enfin le silence, un soir, pendant que nous regardions la télé.
« Mon amour, » lui dis-je, « tu te rappelles de notre discussion de l’autre jour, après que Gaby soit parti et que je t’aie fait l’amour ? »
« Bien sûr, mon chéri » me répondit d’elle en souriant, « et je me demandais combien de temps tu allais mettre pour m’en reparler », et elle tourna la tête vers moi avec un sourire espiègle.
« Tu m’avais dit que tu ne serais pas contre d’autres aventures. Es-tu toujours partante ? »
« Ah oui ! » me dit-elle la mine réjouie en se frottant les mains d’un air coquin qui se voulait taquin, « et je me languis que tu contactes Gabriel … »
La foudre venait de s’abattre sur moi ! Je pris un air triste et lui dit :
« Tu sais, je veux vraiment continuer dans cette voix si tu es d’accords et que tu en retire du plaisir. Mais je t’avoue que je ne suis pas à l’aise avec le fait de le faire plusieurs fois avec un même amant, que l’on connait déjà, j’aurai trop peur que tu développes des sentiments pour un autre. Et que tu me quittes pour cette raison. »
« Je te comprends mon amour, » me dit-elle en s’efforçant de prendre un ton rassurant et posant sa main sur ma joue, « mais depuis qu’il m’a prise, je ne cesse de penser aux dimensions de sa bite et je voudrais bien le revoir uniquement pour cette raison, ça n’a rien à voir avec lui personnellement. »
« Mais il ne doit pas être le seul à avoir une bite aussi grosse, nous pourrions chercher quelqu’un d’autre d’aussi bien pourvu… »
« Pourquoi perdre du temps en recherches qui pourraient s’avérer infructueuses alors que nous avons ce qu’il faut sous la main ? »
Voyant bien que cet argument n’apaisait pas mes craintes, elle ajouta :
« Tu te rappelles que j’adore te faire des gorges profondes ? Et bien c’est le seul regret que j’ai de la soirée de la saint Patrick. Depuis que j’ai découvert son sexe, j’ai une envie folle d’essayer de lui en faire une à lui. Pour voir l’effet que ça fait de prendre cinq centimètres de plus que quand je t’en fais une à toi. Tu penses que j’en serais capable ? »
Devant mon hésitation, pour me convaincre elle me fit une proposition :
« Voilà ce qu’on va faire, toi, tu commences à chercher de ton coté un mec bien monté. Mais en attendant que tu trouves, on recontacte Gabriel et on le refait avec lui une dernière fois. Je te promets qu’après, on ne le reverra plus. Du moins pour du sexe. Qu’en penses-tu ? »
« Si tu promets que ce sera vraiment la dernière fois avec lui… c’est d’accord. »
Que dire d’autre ? j’étais bel et bien le seul responsable de cette situation. Je contactai Gabriel avant de me mettre en quête de nouveaux futurs taureaux sur internet.
« Allo, Gabriel ? »
« Oui, comment vas-tu »
« Bien merci. Voilà, je t’appelle pour savoir ce que tu fais vendredi soir prochain, as-tu quelque chose de prévu ?
« Euh… non pourquoi ? »
« Ben voilà, c’est Christy qui aimerait beaucoup te revoir pour quelque chose d’un peu spécial... »
« Ah là, tu m’en dis trop ou pas assez ! De quoi s’agit-il exactement ? »
« En fait, c’est qu’elle adore faire des pipes en gorge profonde. Et comme l’autrefois, l’occasion ne s’est pas présentée avec toi, elle voudrait te revoir, juste une fois, rien que pour ça. »
Ayant mis le haut-parleur, Christy suivait avec intérêt nos échanges sans en perdre une miette, mais ne souhaitait pas s’exprimer. Gabriel ne savait donc pas qu’elle entendait tout ce que nous nous disions. Sa main me serrait l’avant-bras. Après quelques secondes de silence, pour nous, et sans doute de réflexion, pour lui, il dit :
« Bon, si c’est pour la bonne cause, vous pouvez compter sur moi. Mais… moi aussi j’aurais une petite condition, vu que tu me dis que ce serait juste pour une fois. »
La main de Christy se resserra plus fermement sur mon poignet. Alors je lui dis :
« Euh… dis toujours, je vais voir avec elle… »
« Tu te rappelles que je t’avais dit qu’elle avait un cul superbe. Et lorsque tu l’as déshabillée, j’en ai eu la confirmation. J’aurais adoré la prendre par là. Mais pour moi non plus, l’opportunité ne s’est pas présentée. Donc, si tu veux que je lui fasse plaisir… »
J’étais stupéfait par sa demande et dévasté par la réaction de Christy qui secouait la tête frénétiquement pour me faire savoir, sans qu’il ne l’entende, que non seulement elle était d’accords mais qu’en plus elle avait l’air de s’en réjouir par avance, me pressant pour lui dire oui. Je n’eus alors d’autre choix que le lui dire piteusement :
« Ah ! Bien, je ne pense pas que ça lui posera de problème, elle adore se faire enculer ! »
« Bon ben okay, on n’est d’accord alors. Merci et à vendredi, j’arriverai à vingt heures, parce qu’à vingt-trois heures, j’ai un rancard. »
Au moins cela limitait la durée de la rencontre. Lorsque nous raccrochâmes, elle était super contente et trépignait presque de joie. Elle me sauta au cou et m’embrassa en me disant « merci mon amour ». Je ne savais que penser, je ne l’avais jamais sodomisée. Elle ne m’avait jamais demandé, ni même suggéré de le faire, et il suffisait qu’il en manifeste le désir pour qu’elle s’enthousiasme à cette perspective. Et il va sans dire que se prendre un tel calibre par derrière me semblait être un sacré challenge. Décidément, elle m’étonnait toujours, elle semblait n’avoir peur de rien sitôt qu’elle était excitée !
Nous étions mardi, cela me laissait un peu plus de deux jours pour trouver un amant bien membré comme prochain partenaire potentiel. J’avais déjà un profil à moi sur un réseau social libertin sur lequel, entre deux romances, je naviguais régulièrement pour mater ce que les femmes ou les couples postaient comme photos ou vidéo et de temps en temps j’entamais un échange avec certains qui me plaisaient plus particulièrement, bien que cela n’ait jamais abouti à une rencontre. Mais, je ne m’étais plus connecté depuis que j’étais avec Christy, j’eus même quelques difficultés à me rappeler mon mot de passe.
Je me reconnectais donc et, contrairement à mes habitudes, je filtrais uniquement les profils d’hommes. Je ne souhaitais pas poster une requête genre « couple recherche mâle Alpha bien membré pour madame » sur mon profil, ni créer un profil de couple (du moins pour l’instant) car je savais que je serais immédiatement submergé de candidatures. Je préférais parcourir les profils des hommes de la région, en quête de pénis à taille généreuse et d’une esthétique susceptible de plaire à Christy. Le jeudi soir, je n’avais retenu que deux profils qui me paraissaient correspondre, de près ou de loin à mes attentes. En tout cas, ils possédaient, d’après leurs photos en ligne, le matos qu’il fallait. Ce qui est faible par rapport à la quantité élevée de mec sur ce réseau. Comme quoi les grosses bites ne courent peut-être pas les rues.
Le vendredi arrivait, j’interrompis donc mes recherches sur ce maigre résultat pour pouvoir me préparer et apprécier aux mieux cette deuxième soirée de baise avec Gaby, sensée être la dernière. J’avais une certaine appréhension. Mais il était trop tard pour pouvoir y faire quoi que soit. Lorsque Christy rentra du boulot, après avoir mangé, je lui demandais comment elle prévoyait le déroulement de cette soirée.
« Justement chéri, je voulais t’en parler. J’aimerais que tu m’attaches, complètement contrainte sur le canapé, dans la même position que lorsque nous l’avons fait ensemble la première fois. Et que tu le fasses avant qu’il n’arrive, pour être prête à l’emploie »
Un peu surpris par cette requête, j’avais du mal à accepter qu’elle souhaitât reproduire à l’identique avec lui, un scénario qui nous était jusque-là intimement personnel. Je pense qu’inconsciemment, j’avais beaucoup de mal à m’exposer à toute comparaison qui, évidemment ne pourrait tourner qu’à mon désavantage, pour des raisons purement physiologiques évidentes contre lesquelles je ne pouvais rien, et dont je n’étais pas responsable. Je ressentais cela comme une soumission humiliante, cruelle et, surtout, injuste. Je tentai de la dissuader tant bien que mal.
« Tu sais mon amour, ce n’est peut-être pas très prudent, on ne sait jamais. Si en te voyant il devient tellement excité qu’il en perd son self contrôle, ça peut rapidement devenir désagréable, voire dangereux pour toi. Y as-tu pensé ? »
« Allons, ne vois pas tout en noir. Moi ça m’excite vraiment de le faire dans ces conditions. Et puis tu seras là, donc je ne risque rien. »
Un peu vexé par son attitude de capricieuse n’en faisant qu’à sa tête sans écouter mes conseils de prudence, je lui répondis un peu sèchement :
« Bon, si tu y tiens tant, comme tu voudras. Mais il faudra modifier un peu le bondage pour que tu puisses écarter les jambes afin qu’il puisse te démolir l’anus après t’avoir ramoné l’œsophage. Mais ça ne devrait pas être insurmontable, j’ai déjà ma petite idée. »
Après avoir regardé un film nous allions nous coucher. Étant un peu chagriné, je ne lui fis pas l’amour ce soir-là et elle ne me le demanda pas non plus.
Vendredi dix-neuf heures. Gabriel nous ayant dit qu’il arriverait à vingt heures, il était donc temps de nous préparer pour satisfaire la demande très spéciale de Christy, son bondage. Je commençais donc à la presser de sortir de la salle de bain ou elle était allée faire sa toilette et se maquiller.
« Minou, il est déjà dix-neuf heures, dépêche-toi. Si tu veux vraiment être prête à l’emploi quand il va arriver il faut que je commence à t’attacher. »
« Oui-oui, j’arrive dans deux minutes, je termine juste mon lavement !»
En effet, deux minutes après elle ouvrit la porte et me rejoignit. Elle était toute nue, sans d’autre artifice qu’un maquillage très appuyé, presque outrancier. Ces cils blonds étaient devenus noir sous une épaisse couche de mascara, ses paupières était de couleur lit de vin assez pâle, et le contour de l’œil exagérément souligné au crayon noir . Enfin, un rouge à lèvre d’un rouge criard lui faisait une bouche hyper sensuelle (pour ne pas dire une bouche à pipe). Une vraie petite gueule de pute. Mais Dieux qu’elle était belle, Diable qu’elle était bandante.
« Tu as vue, j’ai fait une tresse avec mes cheveux pour que tu puisses les attacher plus facilement et plus solidement » me dit-elle en tournant de trois quarts la tête.
Décidément, elle pensait à tout, c’est vous dire si elle était motivée. Je commençais donc le paquet cadeau. Cette fois, je ne pouvais lier ses deux chevilles ensembles pour les raisons que j’avais invoqué la veille. Mais je les lui liai quand même fermement contre le haut des cuisses comme la dernière fois. Pour lui maintenir les genoux écartés de quatre-vingt centimètres, j’utilisai une barre de traction, de celle que l’on fixe dans un encadrement de porte en les écartant grâce à une tige filetée interne, et qui trainait dans un placard.
Je lui rattachai les deux mains dans le dos et, pour pouvoir attacher sa tresse, ne pouvant pas cette fois obstruer son sillon fessier pour la relier aux chevilles, je lui passai une corde de section plus conséquente au niveau du bas ventre, comme une ceinture, que je nouai bien serrée dans le bas du dos. Et c’est là que je venais arrimer sa tresse en prenant bien soin de l’alignement de son menton avec sa gorge. Enfin, comme l’autre fois je la faisait basculer, cul en l’air, torse sur l’accoudoir du sofa. Il nous restait 10 min avant l’arrivée de Gabriel, j’en profitai pour faire quelques photos d’elle dans cette position humiliante.
Vingt heures pétantes, les coups de Gaby résonnèrent contre la porte. J’allai lui ouvrir, le débarrassai de sa veste et le fis avancer. Dans l’encadrure de l’entrée du salon, il fut scotché en la découvrant. Je le fis assoir sur une chaise et lui apportai une bière.
« Mets-toi à l’aise et prends ton temps pour bien t’exciter. » lui dis-je.
Puis je m’approchai de Christy, je lui saisis les tétons que je pinçai fortement en les vrillant l’un après l’autre, lui arrachant de petits cris de douleur et de surprise car je ne l’avais pas informée de cette mise en bouche. Mais j’avais besoin de ça pour maitriser mes émotions. Et je me mis, ensuite, à lui administrer une fessée bien sévère jusqu’à ce qu’elle ait le cul bien rouge. Cela avait prix dix minutes à peu près. Voyant alors que Gabriel se masturbait et que son sexe était bien dur et totalement déployé, j’allai me chercher une bière et lui dit en revenant :
« Elle toute à toi, prête à l’emploi. Vas-y, défonce-la. » Et je m’assis sur sa chaise pendant qu’il s’avançait vers elle.
Harnachée comme elle était, elle ne pouvait pouvais tourner la tête, mais je voyais ses yeux tourner dans ses orbites pour le regarder s’approcher. Je me disais qu’elle ne pouvait alors voir que sa bite, le reste de son corps étant hors champ.
Il se mit de côté, son cul me faisant face, se pencha en avant, et pour dire bonjour, lui roula une pelle, magistrale et baveuse. Dans ce geste impudique, sans s’en préoccuper, il m’exposait, pendantes, ses grosses coucougnettes, que j’avais en gros plan, devant mes deux mirettes.
Puis il se releva, tourna d’un quart de tour, alignant sans détour, son braquemart tendu, à la bouche bavant, aux vermillons tremblants. En levant les yeux vers lui, elle tira la langue, comme pour dire « vas-y, je ne peux plus attendre".
Moi face au canapé, de cette vue torride, ne pouvais rien rater, voyant tout en détail. C’est le gland turgescent, qui lui franchit les lèvres, et sans avancer plus, reposant sur sa langue, épousait son palais, en côtoyant ses joues. La taille du mandrin, son diamètre imposant, faisait que seul son bout, suffisait à lui seul, à lui emplir la bouche, qui suffoquait déjà.
De sa main masculine, il agrippa alors, la base de la tresse, et la serra bien fort. Tout comme le cowboy, s’accroche à la crinière, juste avant le début, d’un rodéo sauvage. Et sans hésitation, se comportant en maitre, enfonça tout du long, ses vingt-cinq centimètres.
Elle rougit d’un coup, écarquilla les yeux, et ses joues se gonflèrent, comme fait le mérou, se coinçant dans la faille, d’une roche refuge, pour survivre à la traque, du prédateur déçu. Une envie de vomir, ne pouvant réprimer, elle régurgita, en un éternuement, de tout son estomac, le contenu gluant, De couleur rose pale, s’écoulant sur les couilles, il finissait par terre, sur le parquet ciré, son flot étant restreint, dans la bouche occupée, il en sortait aussi, par les trous de son nez.
Pendant qu’elle étouffait, en voyant cette flaque, la pensée saugrenue, me vint qu’elle fit bien, au moins pour une fois, mon conseil avisé, avec zèle de suivre, bien scrupuleusement. Le long de la journée, pour rassasier sa faim, elle n’avait en effet, bu que quelques smoothies, à base de fruits rouges, ce qui lui évitait, par chance, qu’un morceau, ne puisse se coincer, dans sa trachée meurtrie, et qui sans aucun doute, l’étouffât pour de bon.
Reprenant mes esprits, j’allais intervenir, mais il se retira, elle toussa trois fois, les yeux remplis de larmes, crachant des jets de glaire, en reprenant son souffle. Et puis comme avec moi, lorsque nous l’avions fait, elle tira la langue, en demandant encore, j’étais impressionné, par son obstination, à vouloir avaler, un gros sexe si long.
Regardant de plus près, quand il le renfonça, brutal, sans précaution, je le vis progresser, plus bas que le menton, en déformant sa gorge, comme un doigt dans un gant. Accélérant son rythme, soutenant la cadence, il me semblait confondre, œsophage et vagin. Chaque coup de semonce, était ponctué par, un son de gargarisme, glauque et assez immonde, qu’émettait ma Christy, sans même le vouloir.
Et puis fatalement, après vingt vas et viens, il s’immobilisa et cracha tout son foutre, dans cet étui de soie, à la crinière blonde. Langue contre ses bourses, patiente, elle attendait, qu’il ressorte du gouffre, pour enfin respirer. Son visage trempé, le rimmel en panique, courrait dans tout les sens, sur ses joues engluées, de glaires et de bave, expulsés par la force, du braquemart du brave.
La mine déconfite, presque méconnaissable, cette compétitrice, nous souriait pourtant, méritant le surnom, de suceuse insatiable, fière de son méfait, et de ses ambitions, chalenge relevé, mes félicitations. Nous bûmes lui et moi, une bière de plus, sans l’avoir détachée, tout en la regardant. Après ça il fut près, son sexe le prouvait, haut comme un étendard, dur comme un madrier. Du gel je lui tendis, pour bien qu’il lubrifiât, l’anus tant convoitée, de ma tendre soumise, et qui s’offrait à lui, dans cette position, dans toute sa splendeur, impudique et gracile.
La sensation de froid, sur son étoile ferme, lui donna le signal, pour qu’elle se prépare, d’un doigt et puis de deux, il massa son rectum, afin de l’assouplir, qu’elle ne souffre pas trop. Puis il mit dans sa main, pressant le tube encore, une plus grosse dose, du lubrifiant magique, qu’il étala le long, de sa trique érectile avant de s’avancer vers l’anneau pulsatile.
Au centre il lui posa, la pointe de sa fraise, et sans prendre d’élan, menaça d’invasion, le troufignon charmant, qui refusait l’entrée. Ma belle grimaçait, en serrant les mâchoires, les deux yeux fort plissés, la respiration courte. C’est alors qu’il saisit, la ceinture de corde, la tirant d’un coup sec, pour rentrer dans grotte, le calamar céda, laissant le libre accès, a ce gland violacé, pénétrant les ténèbres, du boyau torturé.
La puissance du cri, qu’avait poussé ma belle, fit trembler tout l’immeuble, et me terrorisa. Étant tout excité, pour la faire se taire, je n’eus pas d’autre idée, que d’enfoncer mon chibre, dans la bouche gueulante, de ma douce enculée, qui souffrit en silence, n’ayant plus d’autre choix. Il la secouait fort, en avant, en arrière, si bien que je n’avais, quasiment rien à faire, sa bouche allait, venait, sur mon gourdin rigide, sans faire aucun effort, ni autre mouvement. Ses cris s’étaient calmés, et maintenant ses râles, trahissait le plaisir, que lui donnait ce pal, en ramonant son cul, dompté et détendu.
Et contre toute attente, son orgasme éclata, déclenchant le geyser, de sa chatte oubliée, giclant sur Gabriel, mouillant le canapé. Ce fut le déclencheur, pour Gabriel et moi, déchargeant de concert, nos semences en elle, qui gisait pantelante et bien rassasiée.
En commençant à libérer Christy de ses liens, je proposai un dernier verre à Gabriel qui refusa poliment, il mit sa veste, me sera la main et s’en alla. Il ne voulait visiblement pas être en retard à son rencard. Christy, elle, était toute engourdie et groggy, son anus ne s’était pas encore complètement refermé, laissant s’échapper le jus blanc de Gaby. Je la portai jusque dans la salle de bain…
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