Ma chérie raconte comment j'ai réalisé un de ses fantasmes

Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Ma chérie raconte comment j'ai réalisé un de ses fantasmes
La lumière du coucher de soleil inonde d’or le ciel de cette belle soirée d’été.
Nous avons été invités à cette fête par tes amis. Debout sur la terrasse, j’admire ce spectacle fascinant pendant que tu discutes avec deux hommes, assis autour d’une table. Votre conversation masculine n’a pas retenu mon attention. Mais ça va, je passe un bon moment, à contempler la vue sur le ciel et le jardin.
L’épouse de quelqu’un vient me parler du beau temps et je lui réponds amicalement, poliment, feignant un grand intérêt. Ton regard, depuis la table, capte le miens et tu me souries d’un air amoureux. Je te réponds du regard.
« Qui veut un autre verre ? Allons à la cuisine. » Dit notre hôte.
Toi, lui et ton ami vous levez de la table. Je vous suis à l’intérieur pour me chercher un nouveau verre à moi aussi.
Ton ami semble déjà un peu ivre et il m'observe longuement, avec insistance, dans la cuisine. Je remarque son regard qui scrute mon corps, vêtu d'une robe légère bien ajustée. Mes jambes sont nues, collants ou bas n'étant pas nécessaires dans la chaleur de l'été.
« J’aimerais tant avoir une aussi belle femme que toi » dit-il soudain.
Cela vous fait rire, notre hôte et toi. Je suis surprise d’un tel commentaire et je rougie un peu.
« Elle est vraiment belle », réponds-tu en t'approchant pour caresser mes cheveux ornés d'une fleur. Tu me donnes un léger baiser.
« Oh, et maintenant il essaie de nous rendre jaloux ! » s'exclame l'hôte.
« C’est si injuste » se plaint ton ami.
Je me sens gênée mais troublée, et je ne réponds rien. Tu me prends par le bras.
« Ne sois pas égoïste au point de garder une si belle femme pour toi seul », plaisante l'hôte.
« Oui, aimer c’est partager ! » poursuit ton ami. « Elle rougit ! » remarque-t-il encore.
Tu m'embrasses légèrement sur le front et vérifies que leurs blagues ne me dérangent pas. Je me penche vers toi et t'embrasse à mon tour. Bien sûr, ça fait du bien d'entendre des compliments.
La soirée avance et certains invités sont déjà partis. Tes amis et toi ne vous êtes pas vus depuis longtemps, alors vous passez un très bon moment. J'aime aussi écouter votre conversation. Ton ami et l'hôte ont continué à me draguer. Ça ne semble pas te déranger.
Je vais à la cuisine me chercher une nouvelle boisson. Je suis un peu ivre, mais pas trop, je veux rester lucide et classe. Je ne trouve pas le décapsuleur tout de suite. En le cherchant, je t'entends arriver. Tu me saisies à la taille par derrière et m'embrasses dans la nuque.
« Mon amour », dis-tu. « Monte avec moi. »
« Pour quoi faire ? » je demande en tournant la tête vers toi.
Tu me souris. Je connais ce regard.
« Oh… Et si quelqu’un nous surprend ? » dis-je.
« Non, tout le monde est en bas. Et qui s’en soucie, si quelqu’un l’apprend ? » réponds-tu.
« Gros coquin… »
« Oui », réponds-tu en me prenant la main et tu commence à m’entraîner avec toi vers la chambre. Ma bouteille non ouverte reste dans la cuisine. Tu fermes la porte de la chambre derrière nous. La chambre a une touche de luxe avec un lustre et un grand lit recouvert d’une couette brillante aux tons dorés. Tu commences à m’embrasser debout. Toi aussi, tu es un peu ivre.
Puis j’entends des pas s’approcher.
« Oli, la porte… »
« Chut, ne t’inquiète pas, mon amour. Je vais réaliser un de tes fantasmes », me réponds-tu.
« Lequel ? » je chuchote.
« Tu verras. Sois sage et ne résiste pas », me dis-tu en m’embrassant à nouveau.
La porte s’ouvre. Mon cœur bat plus vite. L'hôte et ton ami entrent dans la pièce !
Ils ont l'air un peu nerveux, mais font de leur mieux pour le cacher. L'hôte ferme la porte derrière lui. Ils se tiennent devant nous. Je les apprécie : ils sont amicaux et leur apparence est correcte. Tu prends ma main, t'assois sur le lit et me prends sur tes genoux. Tes amis nous regardent avec curiosité. Mon cœur bat la chamade. Qu'est-ce que tu vas faire ? Vont-ils nous observer ?
« Alors, vous voulez jeter un œil ?» demandes-tu à tes amis.
Ils hochent la tête. Je remarque qu'ils rougissent légèrement et que leur langage corporel est fébrile. Ma robe a une fermeture éclair sur le devant. Tu l'ouvres légèrement. Puis tu commences à enlever mon soutien-gorge (je t'ai appris comment faire quand je suis habillée). Tu jettes mon soutien-gorge par terre et commences à dézipper davantage. Ton ami laisse échapper un gémissement en découvrant mes seins.
« Oh, qu'ils sont beaux », murmure l'hôte.
« Oui, c'est vrai », dis-tu en commençant à les pétrir et les frotter pour faire durcir mes tétons.
C'est agréable, tout comme cette étrange situation. J'ai envie de te demander d'arrêter cette séance de jeu immoral, mais mon corps veut aller plus loin. Alors que les hommes profitent encore de la vue, tu continues à dézipper. Heureusement, je porte une belle culotte. Les hommes semblent de plus en plus agités depuis que tu as dézippé toute la robe. Tu me demandes de me lever. Tu enlèves ma robe et commences à baisser ma culotte. L’excitation en moi grandit. Tu jettes mes vêtements sur une chaise et me ramènes sur tes genoux. Puis, à ma grande surprise, tu écartes mes jambes pour offrir aux hommes une vue imprenable. Ils ont l'air très excités. Je remarque qu'ils ont tous les deux des érections. C'est peut-être la situation la plus érotique et coquine de toute ma vie !
« Elle mouille ?» leur demandes-tu.
« Oui, déjà un peu », répond ton ami.
Tu glisses ta main vers mon entrejambe pour vérifier.
« Tu aimes ça, petite coquine », me murmures-tu à l'oreille. « Ce soir, tu vas te faire baiser comme une folle. »
Je sens que je rougi énormément. Que va-t-il se passer ensuite ?
« Vous en voulez plus ?» leur demandes-tu.
« Oh Oui », répondent-ils, le regard excité, me regardant nue et ouverte, exhibée comme une chienne impudique.
« Alors approchez », leur réponds-tu en m'offrant à eux comme un plat savoureux.
Je ne peux m'empêcher de m'agiter un peu nerveusement tandis qu'ils s'approchent de nous.
« T'inquiète, mon amour », chuchotes-tu à mon oreille. « Il n'y a rien à craindre, ce sont des gentlemen. Détends-toi et profite. »
Les hommes viennent s'asseoir sur le lit, de chaque côté de nous. L'hôte me prend le menton et commence à m'embrasser. Alors que nos langues avides s’emmêlent fougueusement, ton ami, de l'autre côté, commence à me caresser et attrape un de mes seins. Tes mains caressent mon ventre et mes flancs. Je suis tellement excitée par cette stimulation. Je ne peux m'empêcher de gémir. Ton ami commence à me lécher les seins et à me sucer les tétons. Je pousse un cri. Je sens que tu es devenu très dur aussi. Les deux hommes caressent maintenant mes seins avec leurs bouches tandis que tu commences à déplacer ta main vers mon entrejambe.
« Oui », je murmure, lorsque ta main touche mon sexe.
Tu le caresses délicatement. Je gémi et halète tant la stimulation de mon corps est intense. Tu glisses ton doigt dans mon vagin et me masse le clitoris avec le pouce pendant que les deux hommes continuent de me caresser et de m'embrasser.
« On aimerait en avoir plus », dit soudain l'hôte. « Changeons de position. »
Un soupir de désespoir s'échappe de ma bouche tandis que le plaisir de ces caresses s'interrompt.
« Ne t'inquiète pas, mon amour, tu en auras bientôt plus », me dis-tu d'une voix douce.
Tu murmures quelque chose aux deux hommes. Je me tiens nue près du lit, ruisselante d'impatience, tandis que vous êtes tous encore habillés. Tu t'allonges sur le dos.
« Assieds-toi sur mon visage », me dis-tu.
Je suis plus que ravie de le faire. Ta langue commence à faire son travail. Quelle sensation délicieuse ! Mais que vont faire les deux autres ? D'abord, ils prennent plaisir à me regarder me tortiller de plaisir sur toi.
« Elle a l’air d’adorer le sexe », commente ton ami.
« Bien sûr », lui répond l'hôte.
Puis ils se rapprochent, ton ami devant moi et l'hôte derrière. Ton ami, agenouillé devant moi, me regarde dans les yeux tandis que je gémis de bonheur sous ton exquis cunni.
« Tu aimes sucer des bites ? » me demande-t ’il.
« Oui ! »
« Bien sûr qu'une fille chaude comme toi adore ça… », dit-il en commençant à ouvrir son pantalon.
Il sort sa bite bien dure.
« Suce-la », dit-il.
On doit changer un peu de position pour que je puisse atteindre sa bite avec ma bouche, car tu dois pouvoir me lécher en même temps. Ton ami halète quand je commence à lui sucer la bite. Soudain, je sens l’hôte me saisir les fesses et les écarter. Puis je sens sa langue dans mon cul. Je gémis, la bouche pleine de bite, tandis que je me fais doublement lécher. Toutes ces sensations deviennent irrésistibles pour moi. J'ai l'impression que l'orgasme approche. La bite de ton ami me sort de la bouche tandis que mon plaisir est intense. Il rit et commence à se masturber la bite avec sa main. Alors que je hurle d'orgasme, il me gicle son sperme sur le visage alors que ma fontaine inonde le tien à mesure des spasmes diminuant de ma jouissance s’évanouissant doucement. Tu t’en délectes avec passion jusqu’à la dernière goutte. Vous avez tous l'air très heureux. Je m'écarte de toi et m'allonge. Sur le lit. Tu me caresses et m'embrasses amoureusement.
« C'était un bel orgasme », me dis-tu d'une voix tendre.
« Oui », répondis-je d'une voix rêveuse.
« Mais ce n'est pas fini, prépare-toi pour la suite », me dis-tu avec un sourire.
Toi et les autres hommes commencez à vous déshabiller, me laissant une petite pause. Et me voilà sur le lit avec trois hommes nus, dont deux ont des érections qui réclament de l'attention.
« Mets-toi à quatre pattes », m'ordonnes-tu.
J'obéis. L'hôte vient derrière moi, toi devant moi. Tu me demandes d'ouvrir la bouche, et tu y mets ta bite bien raide. Je sens l'hôte m'attraper les hanches. Il avance sa bite jusqu'à l'entrée de ma chatte et commence à l'y enfoncer. Je gémis en sentant le gland en moi. Puis il l'enfonce à fond. Il commence à me baiser fort pendant que je suce ta bite. Je me sens à nouveau si coquine, ce qui m'excite encore plus. Ton ami est assis à l'autre bout du lit, appréciant notre plan à trois et reprenant des forces après l'orgasme.
« Elle le prend tellement bien », commente-t-il.
« Oui, c'est une femme extraordinaire», réponds-tu joyeusement.
Les compliments m'excitent aussi beaucoup. Tu saisis fermement ma nuque et commences à bouger tes hanches plus violemment. Les larmes me montent aux yeux tandis que j'essaie de suivre le rythme. Au bout d'un moment, tu t'arrêtes brusquement.
« Tu en veux encore ?» demandes-tu à ton ami.
Je le regarde et remarque qu'il a de nouveau une grosse érection.
« Oui », répond-il. « Mais pas dans sa bouche cette fois. »
« Je peux utiliser sa bouche, tu peux venir ici », dit l’hôte tout en me prenant toujours en levrette.
Ils parlent de moi comme si j'étais un jouet. L’hôte se place alors devant moi et ton ami derrière. Tu t'éclipses dans un coin sur un fauteuil pour profiter du spectacle qui va commencer. Ton ami m'attrape par la taille et réussit à enfoncer sa bite bien raide en moi du premier coup. Je suis glissante et ouverte. Je halète de plaisir, et l'hôte enfonce sa bite dans ma bouche.
« Quel beau cul !» commente ton ami en me baisant et en le claquant.
« T'inquiète, elle adore ça. Vas-y », je t'entends l’encourager.
Je ne peux pas répondre la bouche pleine, mais j'essaie de dire quelque chose qui ressemble vaguement à un oui. Ton ami continue de me donner des fessées tout en me prenant en levrette. Je jette un coup d'œil dans ta direction et remarque que tu te touches en nous regardant. Tout cela m'excite tellement. Je reçois tellement de caresses, d'attention, de stimulations et de compliments. La sensation de t'offrir un tel divertissement visuel est également exaltante. J'ai l'impression que le deuxième orgasme approche…
Mon corps se met à trembler de lui-même alors que j'atteins l'orgasme. Je gémis, car j'ai la bouche pleine. Le fait que tu me regardes tout le temps et que tu apprécies autant ce que tu vois m'excite encore plus. Je sens une énorme vague de plaisir m'envahir. Cette fois, l'orgasme est plus doux que le premier, mais il me procure quand même beaucoup de plaisir. Tes amis sont si excités en me voyant jouir qu’ils éjaculent aussi rapidement en moi, dans ma chatte et dans ma bouche. Ils ont l'air heureux et satisfaits et s'allongent sur le lit.
Tu te lèves du fauteuil et viens te placer près du lit. Tu as une érection incroyable. Tu as voulu te préserver, tu n'as pas encore joui. Tu me regardes avec un sourire vicieux.
« Prête pour un troisième tour ?» demandes-tu.
« Toujours », répondis-je.
Je suppose que je vais prendre cher, car tu es tellement excité après tout ce qui s'est passé. Tu me demandes de reprendre la position de la levrette. Et oui, tu me prends très fort et c'est tellement bon. Je gémis tandis que ta bite dure coulisse en moi. C'est très glissant, car il y a maintenant du sperme à l'intérieur. Puis tu t'arrêtes brusquement et tu atteins ma tête avec ta main. Tu enfonces tes deux doigts dans ma bouche.
« Suce-les et mouille-les bien », me dis-tu.
Je m'exécute. Tu retires tes doigts de ma bouche. Puis je sens un de tes doigts humides glisser dans mon cul. J'ai le souffle coupé tant la sensation est surprenante. Tu me détends doucement l’œillet avant d'insérer l'autre doigt. Les autres hommes nous observent avec intérêt. Tu voulais essayer un trou encore vierge. Après avoir inséré deux doigts, tu enfonces à nouveau ta bite dans ma chatte. Je comprends pourquoi : tu la veux bien lubrifiée.
« Ma chérie, qu'est-ce que ça fait d'être avec trois hommes en même temps ?»
« C’est si bon », répondis-je simplement entre deux gémissements de plaisir. Difficile de dire quoi que ce soit de sensé dans cet état d'esprit.
Tu sors ta bite et commences à l'enfoncer dans mon cul. Ça ne fait pas trop mal grâce à la lubrification que tu viens de recevoir. Je sens que tu es proche de l'orgasme, que tu retiens depuis longtemps déjà. Ta respiration devient plus lourde.
« Mon amour, merci pour la surprise d'avoir réalisé mon fantasme », je te dis.
« Oh, tu es merveilleuse ! »
Comme je l'avais deviné, cette phrase t'a beaucoup excitée. J'entends de profonds grognements virils tandis que tu atteins l'orgasme. Je sens ta chaude substance se répandre en moi.
On reprend doucement nos esprits. J'ai encore des traces de sperme sur le visage et les cheveux, et d'autres ont coulé sur la couette. Tu m'enroules dans une couverture pour me tenir chaud. Tu souris et ris joyeusement. Tu m'embrasses et me caresses, je ferme les yeux.
« Hé, ne t'endors pas encore », me dit ton ami. « On n'en n’a pas fini avec toi. »
Je ne sais même pas quoi dire, je me contente de rire.
On entend quelqu'un crier le nom de l'hôte en bas. Il commence à rassembler ses vêtements et à les enfiler rapidement.
« Je dois y aller, mais je reviens », dit-il. « La nuit ne fait que commencer. »
Il sort. Ton ami s'habille aussi.
« Vous pouvez passer un moment ensemble, les tourtereaux », dit-il avant de quitter la pièce.
Je me sens fatiguée et j'essaie de m'endormir dans tes bras. Je peux au moins faire une sieste…
Nous avons été invités à cette fête par tes amis. Debout sur la terrasse, j’admire ce spectacle fascinant pendant que tu discutes avec deux hommes, assis autour d’une table. Votre conversation masculine n’a pas retenu mon attention. Mais ça va, je passe un bon moment, à contempler la vue sur le ciel et le jardin.
L’épouse de quelqu’un vient me parler du beau temps et je lui réponds amicalement, poliment, feignant un grand intérêt. Ton regard, depuis la table, capte le miens et tu me souries d’un air amoureux. Je te réponds du regard.
« Qui veut un autre verre ? Allons à la cuisine. » Dit notre hôte.
Toi, lui et ton ami vous levez de la table. Je vous suis à l’intérieur pour me chercher un nouveau verre à moi aussi.
Ton ami semble déjà un peu ivre et il m'observe longuement, avec insistance, dans la cuisine. Je remarque son regard qui scrute mon corps, vêtu d'une robe légère bien ajustée. Mes jambes sont nues, collants ou bas n'étant pas nécessaires dans la chaleur de l'été.
« J’aimerais tant avoir une aussi belle femme que toi » dit-il soudain.
Cela vous fait rire, notre hôte et toi. Je suis surprise d’un tel commentaire et je rougie un peu.
« Elle est vraiment belle », réponds-tu en t'approchant pour caresser mes cheveux ornés d'une fleur. Tu me donnes un léger baiser.
« Oh, et maintenant il essaie de nous rendre jaloux ! » s'exclame l'hôte.
« C’est si injuste » se plaint ton ami.
Je me sens gênée mais troublée, et je ne réponds rien. Tu me prends par le bras.
« Ne sois pas égoïste au point de garder une si belle femme pour toi seul », plaisante l'hôte.
« Oui, aimer c’est partager ! » poursuit ton ami. « Elle rougit ! » remarque-t-il encore.
Tu m'embrasses légèrement sur le front et vérifies que leurs blagues ne me dérangent pas. Je me penche vers toi et t'embrasse à mon tour. Bien sûr, ça fait du bien d'entendre des compliments.
La soirée avance et certains invités sont déjà partis. Tes amis et toi ne vous êtes pas vus depuis longtemps, alors vous passez un très bon moment. J'aime aussi écouter votre conversation. Ton ami et l'hôte ont continué à me draguer. Ça ne semble pas te déranger.
Je vais à la cuisine me chercher une nouvelle boisson. Je suis un peu ivre, mais pas trop, je veux rester lucide et classe. Je ne trouve pas le décapsuleur tout de suite. En le cherchant, je t'entends arriver. Tu me saisies à la taille par derrière et m'embrasses dans la nuque.
« Mon amour », dis-tu. « Monte avec moi. »
« Pour quoi faire ? » je demande en tournant la tête vers toi.
Tu me souris. Je connais ce regard.
« Oh… Et si quelqu’un nous surprend ? » dis-je.
« Non, tout le monde est en bas. Et qui s’en soucie, si quelqu’un l’apprend ? » réponds-tu.
« Gros coquin… »
« Oui », réponds-tu en me prenant la main et tu commence à m’entraîner avec toi vers la chambre. Ma bouteille non ouverte reste dans la cuisine. Tu fermes la porte de la chambre derrière nous. La chambre a une touche de luxe avec un lustre et un grand lit recouvert d’une couette brillante aux tons dorés. Tu commences à m’embrasser debout. Toi aussi, tu es un peu ivre.
Puis j’entends des pas s’approcher.
« Oli, la porte… »
« Chut, ne t’inquiète pas, mon amour. Je vais réaliser un de tes fantasmes », me réponds-tu.
« Lequel ? » je chuchote.
« Tu verras. Sois sage et ne résiste pas », me dis-tu en m’embrassant à nouveau.
La porte s’ouvre. Mon cœur bat plus vite. L'hôte et ton ami entrent dans la pièce !
Ils ont l'air un peu nerveux, mais font de leur mieux pour le cacher. L'hôte ferme la porte derrière lui. Ils se tiennent devant nous. Je les apprécie : ils sont amicaux et leur apparence est correcte. Tu prends ma main, t'assois sur le lit et me prends sur tes genoux. Tes amis nous regardent avec curiosité. Mon cœur bat la chamade. Qu'est-ce que tu vas faire ? Vont-ils nous observer ?
« Alors, vous voulez jeter un œil ?» demandes-tu à tes amis.
Ils hochent la tête. Je remarque qu'ils rougissent légèrement et que leur langage corporel est fébrile. Ma robe a une fermeture éclair sur le devant. Tu l'ouvres légèrement. Puis tu commences à enlever mon soutien-gorge (je t'ai appris comment faire quand je suis habillée). Tu jettes mon soutien-gorge par terre et commences à dézipper davantage. Ton ami laisse échapper un gémissement en découvrant mes seins.
« Oh, qu'ils sont beaux », murmure l'hôte.
« Oui, c'est vrai », dis-tu en commençant à les pétrir et les frotter pour faire durcir mes tétons.
C'est agréable, tout comme cette étrange situation. J'ai envie de te demander d'arrêter cette séance de jeu immoral, mais mon corps veut aller plus loin. Alors que les hommes profitent encore de la vue, tu continues à dézipper. Heureusement, je porte une belle culotte. Les hommes semblent de plus en plus agités depuis que tu as dézippé toute la robe. Tu me demandes de me lever. Tu enlèves ma robe et commences à baisser ma culotte. L’excitation en moi grandit. Tu jettes mes vêtements sur une chaise et me ramènes sur tes genoux. Puis, à ma grande surprise, tu écartes mes jambes pour offrir aux hommes une vue imprenable. Ils ont l'air très excités. Je remarque qu'ils ont tous les deux des érections. C'est peut-être la situation la plus érotique et coquine de toute ma vie !
« Elle mouille ?» leur demandes-tu.
« Oui, déjà un peu », répond ton ami.
Tu glisses ta main vers mon entrejambe pour vérifier.
« Tu aimes ça, petite coquine », me murmures-tu à l'oreille. « Ce soir, tu vas te faire baiser comme une folle. »
Je sens que je rougi énormément. Que va-t-il se passer ensuite ?
« Vous en voulez plus ?» leur demandes-tu.
« Oh Oui », répondent-ils, le regard excité, me regardant nue et ouverte, exhibée comme une chienne impudique.
« Alors approchez », leur réponds-tu en m'offrant à eux comme un plat savoureux.
Je ne peux m'empêcher de m'agiter un peu nerveusement tandis qu'ils s'approchent de nous.
« T'inquiète, mon amour », chuchotes-tu à mon oreille. « Il n'y a rien à craindre, ce sont des gentlemen. Détends-toi et profite. »
Les hommes viennent s'asseoir sur le lit, de chaque côté de nous. L'hôte me prend le menton et commence à m'embrasser. Alors que nos langues avides s’emmêlent fougueusement, ton ami, de l'autre côté, commence à me caresser et attrape un de mes seins. Tes mains caressent mon ventre et mes flancs. Je suis tellement excitée par cette stimulation. Je ne peux m'empêcher de gémir. Ton ami commence à me lécher les seins et à me sucer les tétons. Je pousse un cri. Je sens que tu es devenu très dur aussi. Les deux hommes caressent maintenant mes seins avec leurs bouches tandis que tu commences à déplacer ta main vers mon entrejambe.
« Oui », je murmure, lorsque ta main touche mon sexe.
Tu le caresses délicatement. Je gémi et halète tant la stimulation de mon corps est intense. Tu glisses ton doigt dans mon vagin et me masse le clitoris avec le pouce pendant que les deux hommes continuent de me caresser et de m'embrasser.
« On aimerait en avoir plus », dit soudain l'hôte. « Changeons de position. »
Un soupir de désespoir s'échappe de ma bouche tandis que le plaisir de ces caresses s'interrompt.
« Ne t'inquiète pas, mon amour, tu en auras bientôt plus », me dis-tu d'une voix douce.
Tu murmures quelque chose aux deux hommes. Je me tiens nue près du lit, ruisselante d'impatience, tandis que vous êtes tous encore habillés. Tu t'allonges sur le dos.
« Assieds-toi sur mon visage », me dis-tu.
Je suis plus que ravie de le faire. Ta langue commence à faire son travail. Quelle sensation délicieuse ! Mais que vont faire les deux autres ? D'abord, ils prennent plaisir à me regarder me tortiller de plaisir sur toi.
« Elle a l’air d’adorer le sexe », commente ton ami.
« Bien sûr », lui répond l'hôte.
Puis ils se rapprochent, ton ami devant moi et l'hôte derrière. Ton ami, agenouillé devant moi, me regarde dans les yeux tandis que je gémis de bonheur sous ton exquis cunni.
« Tu aimes sucer des bites ? » me demande-t ’il.
« Oui ! »
« Bien sûr qu'une fille chaude comme toi adore ça… », dit-il en commençant à ouvrir son pantalon.
Il sort sa bite bien dure.
« Suce-la », dit-il.
On doit changer un peu de position pour que je puisse atteindre sa bite avec ma bouche, car tu dois pouvoir me lécher en même temps. Ton ami halète quand je commence à lui sucer la bite. Soudain, je sens l’hôte me saisir les fesses et les écarter. Puis je sens sa langue dans mon cul. Je gémis, la bouche pleine de bite, tandis que je me fais doublement lécher. Toutes ces sensations deviennent irrésistibles pour moi. J'ai l'impression que l'orgasme approche. La bite de ton ami me sort de la bouche tandis que mon plaisir est intense. Il rit et commence à se masturber la bite avec sa main. Alors que je hurle d'orgasme, il me gicle son sperme sur le visage alors que ma fontaine inonde le tien à mesure des spasmes diminuant de ma jouissance s’évanouissant doucement. Tu t’en délectes avec passion jusqu’à la dernière goutte. Vous avez tous l'air très heureux. Je m'écarte de toi et m'allonge. Sur le lit. Tu me caresses et m'embrasses amoureusement.
« C'était un bel orgasme », me dis-tu d'une voix tendre.
« Oui », répondis-je d'une voix rêveuse.
« Mais ce n'est pas fini, prépare-toi pour la suite », me dis-tu avec un sourire.
Toi et les autres hommes commencez à vous déshabiller, me laissant une petite pause. Et me voilà sur le lit avec trois hommes nus, dont deux ont des érections qui réclament de l'attention.
« Mets-toi à quatre pattes », m'ordonnes-tu.
J'obéis. L'hôte vient derrière moi, toi devant moi. Tu me demandes d'ouvrir la bouche, et tu y mets ta bite bien raide. Je sens l'hôte m'attraper les hanches. Il avance sa bite jusqu'à l'entrée de ma chatte et commence à l'y enfoncer. Je gémis en sentant le gland en moi. Puis il l'enfonce à fond. Il commence à me baiser fort pendant que je suce ta bite. Je me sens à nouveau si coquine, ce qui m'excite encore plus. Ton ami est assis à l'autre bout du lit, appréciant notre plan à trois et reprenant des forces après l'orgasme.
« Elle le prend tellement bien », commente-t-il.
« Oui, c'est une femme extraordinaire», réponds-tu joyeusement.
Les compliments m'excitent aussi beaucoup. Tu saisis fermement ma nuque et commences à bouger tes hanches plus violemment. Les larmes me montent aux yeux tandis que j'essaie de suivre le rythme. Au bout d'un moment, tu t'arrêtes brusquement.
« Tu en veux encore ?» demandes-tu à ton ami.
Je le regarde et remarque qu'il a de nouveau une grosse érection.
« Oui », répond-il. « Mais pas dans sa bouche cette fois. »
« Je peux utiliser sa bouche, tu peux venir ici », dit l’hôte tout en me prenant toujours en levrette.
Ils parlent de moi comme si j'étais un jouet. L’hôte se place alors devant moi et ton ami derrière. Tu t'éclipses dans un coin sur un fauteuil pour profiter du spectacle qui va commencer. Ton ami m'attrape par la taille et réussit à enfoncer sa bite bien raide en moi du premier coup. Je suis glissante et ouverte. Je halète de plaisir, et l'hôte enfonce sa bite dans ma bouche.
« Quel beau cul !» commente ton ami en me baisant et en le claquant.
« T'inquiète, elle adore ça. Vas-y », je t'entends l’encourager.
Je ne peux pas répondre la bouche pleine, mais j'essaie de dire quelque chose qui ressemble vaguement à un oui. Ton ami continue de me donner des fessées tout en me prenant en levrette. Je jette un coup d'œil dans ta direction et remarque que tu te touches en nous regardant. Tout cela m'excite tellement. Je reçois tellement de caresses, d'attention, de stimulations et de compliments. La sensation de t'offrir un tel divertissement visuel est également exaltante. J'ai l'impression que le deuxième orgasme approche…
Mon corps se met à trembler de lui-même alors que j'atteins l'orgasme. Je gémis, car j'ai la bouche pleine. Le fait que tu me regardes tout le temps et que tu apprécies autant ce que tu vois m'excite encore plus. Je sens une énorme vague de plaisir m'envahir. Cette fois, l'orgasme est plus doux que le premier, mais il me procure quand même beaucoup de plaisir. Tes amis sont si excités en me voyant jouir qu’ils éjaculent aussi rapidement en moi, dans ma chatte et dans ma bouche. Ils ont l'air heureux et satisfaits et s'allongent sur le lit.
Tu te lèves du fauteuil et viens te placer près du lit. Tu as une érection incroyable. Tu as voulu te préserver, tu n'as pas encore joui. Tu me regardes avec un sourire vicieux.
« Prête pour un troisième tour ?» demandes-tu.
« Toujours », répondis-je.
Je suppose que je vais prendre cher, car tu es tellement excité après tout ce qui s'est passé. Tu me demandes de reprendre la position de la levrette. Et oui, tu me prends très fort et c'est tellement bon. Je gémis tandis que ta bite dure coulisse en moi. C'est très glissant, car il y a maintenant du sperme à l'intérieur. Puis tu t'arrêtes brusquement et tu atteins ma tête avec ta main. Tu enfonces tes deux doigts dans ma bouche.
« Suce-les et mouille-les bien », me dis-tu.
Je m'exécute. Tu retires tes doigts de ma bouche. Puis je sens un de tes doigts humides glisser dans mon cul. J'ai le souffle coupé tant la sensation est surprenante. Tu me détends doucement l’œillet avant d'insérer l'autre doigt. Les autres hommes nous observent avec intérêt. Tu voulais essayer un trou encore vierge. Après avoir inséré deux doigts, tu enfonces à nouveau ta bite dans ma chatte. Je comprends pourquoi : tu la veux bien lubrifiée.
« Ma chérie, qu'est-ce que ça fait d'être avec trois hommes en même temps ?»
« C’est si bon », répondis-je simplement entre deux gémissements de plaisir. Difficile de dire quoi que ce soit de sensé dans cet état d'esprit.
Tu sors ta bite et commences à l'enfoncer dans mon cul. Ça ne fait pas trop mal grâce à la lubrification que tu viens de recevoir. Je sens que tu es proche de l'orgasme, que tu retiens depuis longtemps déjà. Ta respiration devient plus lourde.
« Mon amour, merci pour la surprise d'avoir réalisé mon fantasme », je te dis.
« Oh, tu es merveilleuse ! »
Comme je l'avais deviné, cette phrase t'a beaucoup excitée. J'entends de profonds grognements virils tandis que tu atteins l'orgasme. Je sens ta chaude substance se répandre en moi.
On reprend doucement nos esprits. J'ai encore des traces de sperme sur le visage et les cheveux, et d'autres ont coulé sur la couette. Tu m'enroules dans une couverture pour me tenir chaud. Tu souris et ris joyeusement. Tu m'embrasses et me caresses, je ferme les yeux.
« Hé, ne t'endors pas encore », me dit ton ami. « On n'en n’a pas fini avec toi. »
Je ne sais même pas quoi dire, je me contente de rire.
On entend quelqu'un crier le nom de l'hôte en bas. Il commence à rassembler ses vêtements et à les enfiler rapidement.
« Je dois y aller, mais je reviens », dit-il. « La nuit ne fait que commencer. »
Il sort. Ton ami s'habille aussi.
« Vous pouvez passer un moment ensemble, les tourtereaux », dit-il avant de quitter la pièce.
Je me sens fatiguée et j'essaie de m'endormir dans tes bras. Je peux au moins faire une sieste…
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