Si Jeune et jolie Christy - I

Récit érotique écrit par olifougueux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Si Jeune et jolie Christy - I
La rencontre – un amour naissant
Notre rencontre fut pour le moins originale. Dans un bar, en début de soirée, où je buvais des coups avec un collègue de travail, nous sortions, entre deux verres sur la terrasse pour fumer une cigarette. Tu étais là, avec cinq de tes copines à discuter et rigoler en buvant des cocktails alcoolisés. Vous étiez toutes très jolies, blondes et sexy comme les filles de votre âge, que l’on devinait entre 25 et 30 ans.
C’est la raison pour laquelle je me sentis si gêné lorsque mon collègue commença à vous draguer lourdement à grand renfort de blagues salaces. Non seulement j’ai horreur de ça, cela ne me correspond du tout. Mais en plus Il avait 45 ans et moi 54. Ce qui, à mes yeux nous faisait à coup sûr passer pour de vieux crétins paillards. Et, contre toute attente, au lieu de fuir en s’offusquant comme je m’y serais attendu, tes copines se mirent à rire et commencèrent à plaisanter avec lui. Bien qu’en nous faisant comprendre qu’elles n’étaient pas du tout intéressées pour quelque gaudriole (entendez flirt, ou plus si affinité).
Je ne t’avais pas remarquée tout de suite car tu étais restée assise, un peu en retrait, avec un air réservé, arborant néanmoins un sourire espiègle et riant de bon cœur avec tes amies. Aussi fus-je agréablement surpris lorsque, te levant de ton siège, tu approchas de moi et engageas une conversation pleine de questions à mon égard et riche de révélations sur ta vie personnelle. J’apprenais ainsi en seulement quelques minutes que tu étais mariée et, malgré ta jeunesse, avais déjà trois enfants. Et aussi que ça n’allait pas du tout entre toi et ton mari en ce moment, et depuis déjà quelques temps et…. Mais tes amies t’arrachaient à moi pour t’entrainer avec elles vers un night-club dont les musiques et la fréquentation correspondaient bien mieux à votre génération que celui où nous allions, mon collègue et moi. Tu t’évanouis avec elles dans le taxi qui fend la nuit.
Un peu abasourdit par cette rencontre impromptue et l’intérêt sincère que tu avais semblé me porter, je restais rêveur et séduit mais refusais à croire que tu aies pu ressentir autre chose qu’une curiosité amicale à mon égard. Et je n’attribuais tes confidences qu’aux effets de l’alcool et à une certaine ingénuité teintée de mal être. Mais cela n’atténua pas le trouble que je ressentais et que ma raison me poussait à ignorer. La soirée passât, ainsi que le weekend, et je repris le travail et le cours de ma vie.
Quatre ou six semaines après, alors que je me trouvais de nouveau dans ce bar qui, comme d’habitude, était bondé, je m’aperçus qu’une très jolie jeune femme blonde me regardais avec insistance depuis l’autre côté de la salle. Mais je replongeais aussitôt dans mes pensées, le regard de nouveau posé sur mon verre. Et quelques instants après je te vis là, debout devant moi, me demandant si tu pouvais t’assoir. J’eus du mal à sortir de ma torpeur et à te remettre tant ta coiffure et le maquillage que tu portais ce soir-là rendaient ton visage différend. Magnifiant la beauté que je n’avais pas complètement su y déceler lors de notre première rencontre. Nous avons passé la nuit ensemble, toi me racontant, en minaudant, quasiment tout de ta vie et moi t’écoutant avec le plus grand intérêt, répondant franchement à toutes tes questions. J’en profitais, sans même m’en rendre compte, pour admirer la plastique gracieuse de ton corps juvénile. Vision d’érotisme que mes yeux imprimaient dans mon cortex comme l’avatar de ta personnalité pétillante, si pleine de vie, curieuse de tout, très intelligente et à la fois, effectivement, si ingénue. Au bout de la nuit nous marchions jusqu’en bas de chez moi où nous nous faisions un tendre mais très sage câlin, ton taxi arriva et te ramena chez toi.
Moins d’une semaine plus tard, au travail, je reçu un coup de fil venant d’un portable. Une voix féminine se disant journaliste et désireuse d’écrire un article sur moi en tant qu’entrepreneur, dans le journal local. Je coupai court à la discussion en convenant d’une rencontre en ville le lendemain soir car j’étais très occupé au bureau au moment de cet appel. Le lendemain donc, je marchais vers le point de ce rendez-vous lorsque, presque arrivé, à ma grande stupéfaction, c’est toi que je vis me faisant signe en approchant vers moi avec un sourire timide. Ce n’est qu’à cet instant que je me souvenu que tu m’avais dit être journaliste free-lance. Passée la surprise, je te dis que je n’étais pas sûr qu’un tel article soit bon pour mes affaires et que je ne souhaitais pas y participer pour des raisons bien personnelles. Tu me répondis alors que ce n’étais pas grave du tout car, même si tu étais convaincue que ç’aurait pu être un excellent article, tu avais surtout épluché le registre du commerce afin de trouver mes coordonnées et avais imaginé ce stratagème farfelu pour me revoir car tu adorais les moments que nous passions ensemble. Tu me demandas si nous pouvions aller chez moi et, charmé par ton audace, je te dis oui sans réfléchir.
Pourtant, sur le chemin, je me sentais pris en tenaille entre deux sentiments. Celui d’un homme face à ta beauté et celui d’un père face à ta fragilité. Avais-je le droit moi, si vieux, de céder à la romance que tu semblais appeler de tes vœux, volant une part de ta jeunesse et de ton innocence ? D’autre part, tout cela était si beau que je n’osais y croire…
Arrivés chez moi, tu devinas mon trouble et fis tout ton possible pour me rassurer et atteindre ton but. Assis sur mon canapé, buvant un thé vert au jasmin, pendant que je caressais alternativement ta nuque et ta joue tendrement, tu m’avouas combien tu me trouvais à ton goût, d’allure masculin et viril. Que Tu me sentais riche d’expériences et de sagesse et appréciais ma grande ouverture d’esprit. Bref que tu te sentais en confiance, À la fois choyée et protégée dans ces moments délicats dus aux tensions entre ton époux et toi. J’étais touché et très ému par ces déclarations.
Puis, pour enfoncer le clou tu te mis soudain à quatre pattes sur le canapé, les coudes sur l’accoudoir et le cul tourné vers moi, et me demandas avec ton innocence feinte de te masser le dos pour te détendre. Ce que je fis très volontiers tout en m’appliquant à rester le plus convenable possible, évitant soigneusement fesses et seins. Mais tu te mis alors á gigoter du popotin en te cambrant exagérément tout en poussant des gémissements de plaisir sans équivoques. Mes sens, ainsi exacerbés, de mâle libidineux se mirent à ruer dans les brancards de ma retenue d’adulte pudibond. Lorsque tu tournas la tête vers moi par-dessus ton épaule, soupirant, la bouche humide et entrouverte, les yeux mi-clos fixant les miens, mon sang ne fit qu’un tour.
Je me levai d’un coup, comme un joker qui bondi hors de sa boite, t’attrapai le poignet et te trainai sans douceur vers ma chambre où je te jetai littéralement sur le lit. Tu te retournas sur le dos, me jetant ce regard au sourire lubrique d’adolescente effrontée défiant l’autorité patriarcale. Je fus pris dans ton jeu (et dans ta toile) de suite, et tel le père cherchant à corriger sa fille si dévergondée, je te retournai sur le ventre et t’administrai une fessée magistrale. Evidemment, tes cris de souffrance simulée et tellement invraisemblables n’avaient d’autre but que de me pousser à frapper toujours plus, toujours plus fort. De même que les mouvements compulsifs de ton cul, se soulevant au même rythme, comme impatient de chaque rencontre claquante avec ma main courroucée. Je ne m’arrêtai qu’une fois cette main devenue douloureuse, imaginant la teinte cramoisie que tes fesses devaient avoir.
L’oreiller dans lequel tu gardas le visage enfouis n’étouffait pas totalement ton fou-rire de satisfaction. Retombé sur terre, j’admirais cette face de ton corps en le caressant maintenant de ma main meurtris. La rondeur de tes fesses donnait à ton cul, outre une taille généreuse, une forte cambrure naturelle, incendiaire. Celles-ci étaient très fermes, d’où la sensation brulante dans le creux de ma paume. Elles étaient recouvertes d’une mini-jupe en laine aux motifs pieds de poule blanche et noire. De la lisière de celle-ci émergeaient tes cuisses larges et puissantes, dont la musculature impressionnante soulignait le galbe parfait. Puis, venaient tes mollets bien ronds parsemant le chemin de leur relief jusqu’à tes petits pieds tendres. Le tout recouvert d’un collant de nylon noir, presque opaque.
Je dézippais ta jupe pour lui permettre de franchir sans encombre la péninsule de tes hanches aux courbes amples. Puis retirais ton collant, découvrant enfin avec ravissement la douceur de tes jambes á la peau blanche. Enfin, mon regard parcourant le chemin dans l’autre sens, je réalisais que ton haut couleur bleu acier en lycra lisse et fin qui laissait pointer test tétons sans entrave, n’était autre qu’un body string dont la souplesse de l’étoffe ne pouvais qu’épouser le sillon de ta vulve dans lequel il disparaissait non sans souligner l’arrondi de tes grandes lèvres qui dissimulaient les petites. La couleur bleue devenant plus sombre et brillante en ce lieu précis me prouvait Ô combien tu avais apprécié ta sévère punition. Même si, grâce à l’épaisse laine de ta jupe, tes fesses n’était que légèrement rosies. Saisissant délicatement tes épaules, je te retournai doucement, tes joues étaient rouges, au milieu trônait ta bouche brillante sur laquelle je posais la mienne pour un baiser aussi sensuel que langoureux.
Je me saisis des bretelles de ton body que je fis descendre le long de bras nues. L’apparition de tes petits seins en forme de citron captèrent évidemment toute mon attention. Je m’empressai de les saisir avant d’aspirer goulument celui de droite qui durcit aussitôt sous cet assaut. Tu me demandas alors si je voulais du lait et, sans attendre ma réponse, me régalas d’une gorgée en pressant savamment tes glandes mammaires. Tu m’avouas alors d’un ton espiègle que tu allaitais encore ta petite dernière, bien qu’elle ait déjà 2 ans. Je te dis que c’était la deuxième fois depuis que j’avais atteint l’âge adulte qu’une femme me gratifiait de ce doux breuvage lors de jeux coquins et que j’adorais ça. Je vis bien que cet aveu renforçait notre complicité. Tu soulevas les fesses afin que je puisse retirer le denier rempart de ta nudité. L’arrondi de ton ventre, gras mais ferme et sans un pli, à la peau bien tendue, entrainait le regard vers ton mont de vénus au pubis glabre ne laissant voir ton clitoris bien caché tout en haut de la fente de laquelle ne dépassaient que l’infime extrémité plissée de tes nymphes délicates.
Mes mains passèrent sous tes tendons d’Achille pour relever tes jambes vers le plafond jusqu’à la verticale, et je passai sensuellement ma langue sur l’arrière de tes genoux, dans cet espace qui sépare le mollet de la cuisse. Cette caresse inattendue t’arrachât un soupir d’aise que je pris pour approbation. J’ouvrai alors lentement le compas de tes jambes en ciseaux et plongeai le bas de mon visage dans la béance humide de ton fruit désormais mûr à souhait. Je dégustai avidement tout son nectar, me délectai de sa texture, de son goût et de ces effluves suaves. Les ondulations frénétiques de ton bassin hors de contrôle devinrent de plus en plus désordonnées, annonçant l’imminence de l’orage de ton orgasme dont j’absorbai les trombes en entendant gronder la foudre de tes cris à la fois lourds et stridents. Au dernier de tes spasmes, inquiets, je pu voir en relevant la tête les larmes ruisselant sur tes joues. Mais tu me rassuras d’un sourire apaisé entre deux soubresauts respiratoires. Nous nous endormîmes tel quel, ma tête entre tes jambes. J’étais pris dans la nasse d’un amour naissant…
Notre rencontre fut pour le moins originale. Dans un bar, en début de soirée, où je buvais des coups avec un collègue de travail, nous sortions, entre deux verres sur la terrasse pour fumer une cigarette. Tu étais là, avec cinq de tes copines à discuter et rigoler en buvant des cocktails alcoolisés. Vous étiez toutes très jolies, blondes et sexy comme les filles de votre âge, que l’on devinait entre 25 et 30 ans.
C’est la raison pour laquelle je me sentis si gêné lorsque mon collègue commença à vous draguer lourdement à grand renfort de blagues salaces. Non seulement j’ai horreur de ça, cela ne me correspond du tout. Mais en plus Il avait 45 ans et moi 54. Ce qui, à mes yeux nous faisait à coup sûr passer pour de vieux crétins paillards. Et, contre toute attente, au lieu de fuir en s’offusquant comme je m’y serais attendu, tes copines se mirent à rire et commencèrent à plaisanter avec lui. Bien qu’en nous faisant comprendre qu’elles n’étaient pas du tout intéressées pour quelque gaudriole (entendez flirt, ou plus si affinité).
Je ne t’avais pas remarquée tout de suite car tu étais restée assise, un peu en retrait, avec un air réservé, arborant néanmoins un sourire espiègle et riant de bon cœur avec tes amies. Aussi fus-je agréablement surpris lorsque, te levant de ton siège, tu approchas de moi et engageas une conversation pleine de questions à mon égard et riche de révélations sur ta vie personnelle. J’apprenais ainsi en seulement quelques minutes que tu étais mariée et, malgré ta jeunesse, avais déjà trois enfants. Et aussi que ça n’allait pas du tout entre toi et ton mari en ce moment, et depuis déjà quelques temps et…. Mais tes amies t’arrachaient à moi pour t’entrainer avec elles vers un night-club dont les musiques et la fréquentation correspondaient bien mieux à votre génération que celui où nous allions, mon collègue et moi. Tu t’évanouis avec elles dans le taxi qui fend la nuit.
Un peu abasourdit par cette rencontre impromptue et l’intérêt sincère que tu avais semblé me porter, je restais rêveur et séduit mais refusais à croire que tu aies pu ressentir autre chose qu’une curiosité amicale à mon égard. Et je n’attribuais tes confidences qu’aux effets de l’alcool et à une certaine ingénuité teintée de mal être. Mais cela n’atténua pas le trouble que je ressentais et que ma raison me poussait à ignorer. La soirée passât, ainsi que le weekend, et je repris le travail et le cours de ma vie.
Quatre ou six semaines après, alors que je me trouvais de nouveau dans ce bar qui, comme d’habitude, était bondé, je m’aperçus qu’une très jolie jeune femme blonde me regardais avec insistance depuis l’autre côté de la salle. Mais je replongeais aussitôt dans mes pensées, le regard de nouveau posé sur mon verre. Et quelques instants après je te vis là, debout devant moi, me demandant si tu pouvais t’assoir. J’eus du mal à sortir de ma torpeur et à te remettre tant ta coiffure et le maquillage que tu portais ce soir-là rendaient ton visage différend. Magnifiant la beauté que je n’avais pas complètement su y déceler lors de notre première rencontre. Nous avons passé la nuit ensemble, toi me racontant, en minaudant, quasiment tout de ta vie et moi t’écoutant avec le plus grand intérêt, répondant franchement à toutes tes questions. J’en profitais, sans même m’en rendre compte, pour admirer la plastique gracieuse de ton corps juvénile. Vision d’érotisme que mes yeux imprimaient dans mon cortex comme l’avatar de ta personnalité pétillante, si pleine de vie, curieuse de tout, très intelligente et à la fois, effectivement, si ingénue. Au bout de la nuit nous marchions jusqu’en bas de chez moi où nous nous faisions un tendre mais très sage câlin, ton taxi arriva et te ramena chez toi.
Moins d’une semaine plus tard, au travail, je reçu un coup de fil venant d’un portable. Une voix féminine se disant journaliste et désireuse d’écrire un article sur moi en tant qu’entrepreneur, dans le journal local. Je coupai court à la discussion en convenant d’une rencontre en ville le lendemain soir car j’étais très occupé au bureau au moment de cet appel. Le lendemain donc, je marchais vers le point de ce rendez-vous lorsque, presque arrivé, à ma grande stupéfaction, c’est toi que je vis me faisant signe en approchant vers moi avec un sourire timide. Ce n’est qu’à cet instant que je me souvenu que tu m’avais dit être journaliste free-lance. Passée la surprise, je te dis que je n’étais pas sûr qu’un tel article soit bon pour mes affaires et que je ne souhaitais pas y participer pour des raisons bien personnelles. Tu me répondis alors que ce n’étais pas grave du tout car, même si tu étais convaincue que ç’aurait pu être un excellent article, tu avais surtout épluché le registre du commerce afin de trouver mes coordonnées et avais imaginé ce stratagème farfelu pour me revoir car tu adorais les moments que nous passions ensemble. Tu me demandas si nous pouvions aller chez moi et, charmé par ton audace, je te dis oui sans réfléchir.
Pourtant, sur le chemin, je me sentais pris en tenaille entre deux sentiments. Celui d’un homme face à ta beauté et celui d’un père face à ta fragilité. Avais-je le droit moi, si vieux, de céder à la romance que tu semblais appeler de tes vœux, volant une part de ta jeunesse et de ton innocence ? D’autre part, tout cela était si beau que je n’osais y croire…
Arrivés chez moi, tu devinas mon trouble et fis tout ton possible pour me rassurer et atteindre ton but. Assis sur mon canapé, buvant un thé vert au jasmin, pendant que je caressais alternativement ta nuque et ta joue tendrement, tu m’avouas combien tu me trouvais à ton goût, d’allure masculin et viril. Que Tu me sentais riche d’expériences et de sagesse et appréciais ma grande ouverture d’esprit. Bref que tu te sentais en confiance, À la fois choyée et protégée dans ces moments délicats dus aux tensions entre ton époux et toi. J’étais touché et très ému par ces déclarations.
Puis, pour enfoncer le clou tu te mis soudain à quatre pattes sur le canapé, les coudes sur l’accoudoir et le cul tourné vers moi, et me demandas avec ton innocence feinte de te masser le dos pour te détendre. Ce que je fis très volontiers tout en m’appliquant à rester le plus convenable possible, évitant soigneusement fesses et seins. Mais tu te mis alors á gigoter du popotin en te cambrant exagérément tout en poussant des gémissements de plaisir sans équivoques. Mes sens, ainsi exacerbés, de mâle libidineux se mirent à ruer dans les brancards de ma retenue d’adulte pudibond. Lorsque tu tournas la tête vers moi par-dessus ton épaule, soupirant, la bouche humide et entrouverte, les yeux mi-clos fixant les miens, mon sang ne fit qu’un tour.
Je me levai d’un coup, comme un joker qui bondi hors de sa boite, t’attrapai le poignet et te trainai sans douceur vers ma chambre où je te jetai littéralement sur le lit. Tu te retournas sur le dos, me jetant ce regard au sourire lubrique d’adolescente effrontée défiant l’autorité patriarcale. Je fus pris dans ton jeu (et dans ta toile) de suite, et tel le père cherchant à corriger sa fille si dévergondée, je te retournai sur le ventre et t’administrai une fessée magistrale. Evidemment, tes cris de souffrance simulée et tellement invraisemblables n’avaient d’autre but que de me pousser à frapper toujours plus, toujours plus fort. De même que les mouvements compulsifs de ton cul, se soulevant au même rythme, comme impatient de chaque rencontre claquante avec ma main courroucée. Je ne m’arrêtai qu’une fois cette main devenue douloureuse, imaginant la teinte cramoisie que tes fesses devaient avoir.
L’oreiller dans lequel tu gardas le visage enfouis n’étouffait pas totalement ton fou-rire de satisfaction. Retombé sur terre, j’admirais cette face de ton corps en le caressant maintenant de ma main meurtris. La rondeur de tes fesses donnait à ton cul, outre une taille généreuse, une forte cambrure naturelle, incendiaire. Celles-ci étaient très fermes, d’où la sensation brulante dans le creux de ma paume. Elles étaient recouvertes d’une mini-jupe en laine aux motifs pieds de poule blanche et noire. De la lisière de celle-ci émergeaient tes cuisses larges et puissantes, dont la musculature impressionnante soulignait le galbe parfait. Puis, venaient tes mollets bien ronds parsemant le chemin de leur relief jusqu’à tes petits pieds tendres. Le tout recouvert d’un collant de nylon noir, presque opaque.
Je dézippais ta jupe pour lui permettre de franchir sans encombre la péninsule de tes hanches aux courbes amples. Puis retirais ton collant, découvrant enfin avec ravissement la douceur de tes jambes á la peau blanche. Enfin, mon regard parcourant le chemin dans l’autre sens, je réalisais que ton haut couleur bleu acier en lycra lisse et fin qui laissait pointer test tétons sans entrave, n’était autre qu’un body string dont la souplesse de l’étoffe ne pouvais qu’épouser le sillon de ta vulve dans lequel il disparaissait non sans souligner l’arrondi de tes grandes lèvres qui dissimulaient les petites. La couleur bleue devenant plus sombre et brillante en ce lieu précis me prouvait Ô combien tu avais apprécié ta sévère punition. Même si, grâce à l’épaisse laine de ta jupe, tes fesses n’était que légèrement rosies. Saisissant délicatement tes épaules, je te retournai doucement, tes joues étaient rouges, au milieu trônait ta bouche brillante sur laquelle je posais la mienne pour un baiser aussi sensuel que langoureux.
Je me saisis des bretelles de ton body que je fis descendre le long de bras nues. L’apparition de tes petits seins en forme de citron captèrent évidemment toute mon attention. Je m’empressai de les saisir avant d’aspirer goulument celui de droite qui durcit aussitôt sous cet assaut. Tu me demandas alors si je voulais du lait et, sans attendre ma réponse, me régalas d’une gorgée en pressant savamment tes glandes mammaires. Tu m’avouas alors d’un ton espiègle que tu allaitais encore ta petite dernière, bien qu’elle ait déjà 2 ans. Je te dis que c’était la deuxième fois depuis que j’avais atteint l’âge adulte qu’une femme me gratifiait de ce doux breuvage lors de jeux coquins et que j’adorais ça. Je vis bien que cet aveu renforçait notre complicité. Tu soulevas les fesses afin que je puisse retirer le denier rempart de ta nudité. L’arrondi de ton ventre, gras mais ferme et sans un pli, à la peau bien tendue, entrainait le regard vers ton mont de vénus au pubis glabre ne laissant voir ton clitoris bien caché tout en haut de la fente de laquelle ne dépassaient que l’infime extrémité plissée de tes nymphes délicates.
Mes mains passèrent sous tes tendons d’Achille pour relever tes jambes vers le plafond jusqu’à la verticale, et je passai sensuellement ma langue sur l’arrière de tes genoux, dans cet espace qui sépare le mollet de la cuisse. Cette caresse inattendue t’arrachât un soupir d’aise que je pris pour approbation. J’ouvrai alors lentement le compas de tes jambes en ciseaux et plongeai le bas de mon visage dans la béance humide de ton fruit désormais mûr à souhait. Je dégustai avidement tout son nectar, me délectai de sa texture, de son goût et de ces effluves suaves. Les ondulations frénétiques de ton bassin hors de contrôle devinrent de plus en plus désordonnées, annonçant l’imminence de l’orage de ton orgasme dont j’absorbai les trombes en entendant gronder la foudre de tes cris à la fois lourds et stridents. Au dernier de tes spasmes, inquiets, je pu voir en relevant la tête les larmes ruisselant sur tes joues. Mais tu me rassuras d’un sourire apaisé entre deux soubresauts respiratoires. Nous nous endormîmes tel quel, ma tête entre tes jambes. J’étais pris dans la nasse d’un amour naissant…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hum pas mal
La quarantaine j'ai deja ressenti ca avec une etudiante de 20ans
La suite la suite
YJ
La quarantaine j'ai deja ressenti ca avec une etudiante de 20ans
La suite la suite
YJ

