Sieste crapuleuse
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sieste crapuleuse
jpj, 9/2012
C'était un temps chaud. Je pensais sieste.
Marie-Jo me recevait pour quelques jours dans ce vieux mas provençal hérité de ses parents.
Marie-Jo est juste une amie d'enfance retrouvée par hasard dernièrement. Elle est veuve. Oui ça fait drôle de dire veuve à nos ages mais c'est ainsi, son mari, un homme aventureux, s'est tué dans un accident d'avion, de petit avion, en Afrique.
Marie-Jo, à vingt ans, je l'eusses volontiers prise comme petite amie... Mais ça ne s'est pas fait. Maintenant c'est trop tard.
Elle était douce mais sans entrain. Comme si sa vie s'était arrêtée là au soleil, sur les pierres chaudes dans les odeurs de lavande. Elle n'avait pas eu l'envie ou le temps de faire des enfants et maintenant la mélancolie la submergeait, le sentiment du rien qui passe et vous emporte... Elle restait alanguie sur sa chaise-longue sous son olivier à repasser des souvenirs de l'ancien temps.
Moi je pensais sieste. Et la chambre qui m'avait été allouée me paraissait parfaite pour une bonne sieste.
Un grand lit haut, en fer forgé avec un dessus de lit soleiado de coton fin, la fenêtre plein sud aux volets clos qui laissait passer quelques rares rayons ardents, le chant obsédant des cigales, la lourde chaleur du début d'après-midi.
Marie-Jo me dit, du fond de sa chaise longue, tu vois ici c'est l'heure de la sieste.
Je m'avançai vers elle, lui pris les deux mains et basculai en arrière pour la faire se lever. Nos bras à la taille, nous sommes rentrés dans le mas et je l'ai conduite à ma chambre. Elle a laissé filer sa robe à terre et ne l'a pas ramassée. Elle est allée sur le lit et s'est encafournée dans les oreillers blancs, les bras le long du corps. Elle avait un slip tout simple de coton blanc et sa poitrine était nue, les seins bronzés. On voyait qu'elle avait vécu au soleil sans complexes et sans contrainte.
Elle s'est poussée sur le coté pour me faire une place et est restée là à me regarder en souriant, sans un mot.
J'ai posé ma chemisette et mon short sur le fauteuil de bois ciré et suis venu m'étendre à ses cotés. Sa main a touché la mienne et nous nous sommes tenus par la main.
Elle m'a dit maintenant on fait la sieste, c'est ce qu'on a de mieux à faire.
Bien entendu personne ne faisait la sieste. Moi je bandais là à coté d'elle et elle, les yeux clos jouait l'inconsciente endormie.
La chaleur était pesante. Nos mains se serraient, mes yeux étaient fascinés par une tache d'estampe au plafond.
Marie-Jo a lâché ma main, elle s'est levée du lit, elle a enlevé le slip blanc qu'elle a rangé avec précaution à coté de mon short sur le fauteuil et elle est revenue s'étendre auprès de moi, face à moi, la main posée sur mon buste. J'imaginais qu'elle était nue mais j'avais gardé les yeux levés.
Sa main est descendue et elle s'est arrêtée là où commence ma toison.
Mon bras était le long de mon corps, contre sa nudité. Ma main est montée, glissant sur sa peau, elle s'est posée, tout naturellement, sur le tendre intérieur de sa cuisse. Son buisson, que je sentais par le coté de ma main et de mon petit doigt, était moite de son émotion.
Elle a touché le bas de ma tige et a doucement, lentement, empaumé mes belles roupes. Elle n'a pas fait de commentaire.
Moi je restais le dos calé sur le lit, la tête enfoncée dans l'oreiller et les yeux braqués au plafond. Mes pensées étaient descendues à ma queue et je n'existais plus que par là.
J'ai senti plus que je n'ai vu qu'elle se penchait sur moi. La douceur de ses lèvres humides est tombée sur mon gland exactement à l'instant où elle a tiré la peau depuis le bas pour le décalotter. Et elle serrait.
Une veuve ! J'avais une pensée émue pour ce con mari qui aurait mieux fait de s'occuper de sa femme plutôt que d'aller faire de l'avion en Afrique...
La sieste prenait, sans qu'on s'en rende bien compte, bonne tournure.
Pour ne pas gâcher l'épilogue, j'entrepris d'offrir à Marie-Jo la monnaie de sa pièce plutôt que d'exploser dans sa bouche. Rock'n roll attitude aurait dit Johnny. Elle avait les jambes serrées mais je n'hésitai pas à la violer, lui passant une jambe sur chacune de mes épaules. Après une pipe pareille, qui aurait pu croire qu'elle n'était pas consentante.
Sa retenue avait toutefois une cause, que j'ai prise en pleine figure quand j'ai écarté ses cuisses pour plonger mes lèvres dans sa fleur... L'odeur de lavande était probablement plus dans ma tête que dans les villosités de son intimité. Mais quel bonheur que de boire à la source d'une veuve provençale...
Elle n'a pas attendu pour partir en convulsion et je me sentai trahi. Elle m'a dit, chuchotis à l'oreille, t'inquiète, je suis une mitrailleuse, tu auras d'autres rafales.
Quand je suis venu sur elle, notre union s'est faite sans y penser et sans rien en sentir tant les muqueuses étaient inondées. L'Amour était dans nos têtes et les cascades d'orgasmes qui se sont succédées n'avaient pas leur origine dans des activités masturbatoires mais dans les images de notre jeunesse qui passaient en film de cinéclub noir et blanc dans nos mémoires.
Je comprends mieux maintenant la signification de cette expression provençale « sieste crapuleuse »
C'était un temps chaud. Je pensais sieste.
Marie-Jo me recevait pour quelques jours dans ce vieux mas provençal hérité de ses parents.
Marie-Jo est juste une amie d'enfance retrouvée par hasard dernièrement. Elle est veuve. Oui ça fait drôle de dire veuve à nos ages mais c'est ainsi, son mari, un homme aventureux, s'est tué dans un accident d'avion, de petit avion, en Afrique.
Marie-Jo, à vingt ans, je l'eusses volontiers prise comme petite amie... Mais ça ne s'est pas fait. Maintenant c'est trop tard.
Elle était douce mais sans entrain. Comme si sa vie s'était arrêtée là au soleil, sur les pierres chaudes dans les odeurs de lavande. Elle n'avait pas eu l'envie ou le temps de faire des enfants et maintenant la mélancolie la submergeait, le sentiment du rien qui passe et vous emporte... Elle restait alanguie sur sa chaise-longue sous son olivier à repasser des souvenirs de l'ancien temps.
Moi je pensais sieste. Et la chambre qui m'avait été allouée me paraissait parfaite pour une bonne sieste.
Un grand lit haut, en fer forgé avec un dessus de lit soleiado de coton fin, la fenêtre plein sud aux volets clos qui laissait passer quelques rares rayons ardents, le chant obsédant des cigales, la lourde chaleur du début d'après-midi.
Marie-Jo me dit, du fond de sa chaise longue, tu vois ici c'est l'heure de la sieste.
Je m'avançai vers elle, lui pris les deux mains et basculai en arrière pour la faire se lever. Nos bras à la taille, nous sommes rentrés dans le mas et je l'ai conduite à ma chambre. Elle a laissé filer sa robe à terre et ne l'a pas ramassée. Elle est allée sur le lit et s'est encafournée dans les oreillers blancs, les bras le long du corps. Elle avait un slip tout simple de coton blanc et sa poitrine était nue, les seins bronzés. On voyait qu'elle avait vécu au soleil sans complexes et sans contrainte.
Elle s'est poussée sur le coté pour me faire une place et est restée là à me regarder en souriant, sans un mot.
J'ai posé ma chemisette et mon short sur le fauteuil de bois ciré et suis venu m'étendre à ses cotés. Sa main a touché la mienne et nous nous sommes tenus par la main.
Elle m'a dit maintenant on fait la sieste, c'est ce qu'on a de mieux à faire.
Bien entendu personne ne faisait la sieste. Moi je bandais là à coté d'elle et elle, les yeux clos jouait l'inconsciente endormie.
La chaleur était pesante. Nos mains se serraient, mes yeux étaient fascinés par une tache d'estampe au plafond.
Marie-Jo a lâché ma main, elle s'est levée du lit, elle a enlevé le slip blanc qu'elle a rangé avec précaution à coté de mon short sur le fauteuil et elle est revenue s'étendre auprès de moi, face à moi, la main posée sur mon buste. J'imaginais qu'elle était nue mais j'avais gardé les yeux levés.
Sa main est descendue et elle s'est arrêtée là où commence ma toison.
Mon bras était le long de mon corps, contre sa nudité. Ma main est montée, glissant sur sa peau, elle s'est posée, tout naturellement, sur le tendre intérieur de sa cuisse. Son buisson, que je sentais par le coté de ma main et de mon petit doigt, était moite de son émotion.
Elle a touché le bas de ma tige et a doucement, lentement, empaumé mes belles roupes. Elle n'a pas fait de commentaire.
Moi je restais le dos calé sur le lit, la tête enfoncée dans l'oreiller et les yeux braqués au plafond. Mes pensées étaient descendues à ma queue et je n'existais plus que par là.
J'ai senti plus que je n'ai vu qu'elle se penchait sur moi. La douceur de ses lèvres humides est tombée sur mon gland exactement à l'instant où elle a tiré la peau depuis le bas pour le décalotter. Et elle serrait.
Une veuve ! J'avais une pensée émue pour ce con mari qui aurait mieux fait de s'occuper de sa femme plutôt que d'aller faire de l'avion en Afrique...
La sieste prenait, sans qu'on s'en rende bien compte, bonne tournure.
Pour ne pas gâcher l'épilogue, j'entrepris d'offrir à Marie-Jo la monnaie de sa pièce plutôt que d'exploser dans sa bouche. Rock'n roll attitude aurait dit Johnny. Elle avait les jambes serrées mais je n'hésitai pas à la violer, lui passant une jambe sur chacune de mes épaules. Après une pipe pareille, qui aurait pu croire qu'elle n'était pas consentante.
Sa retenue avait toutefois une cause, que j'ai prise en pleine figure quand j'ai écarté ses cuisses pour plonger mes lèvres dans sa fleur... L'odeur de lavande était probablement plus dans ma tête que dans les villosités de son intimité. Mais quel bonheur que de boire à la source d'une veuve provençale...
Elle n'a pas attendu pour partir en convulsion et je me sentai trahi. Elle m'a dit, chuchotis à l'oreille, t'inquiète, je suis une mitrailleuse, tu auras d'autres rafales.
Quand je suis venu sur elle, notre union s'est faite sans y penser et sans rien en sentir tant les muqueuses étaient inondées. L'Amour était dans nos têtes et les cascades d'orgasmes qui se sont succédées n'avaient pas leur origine dans des activités masturbatoires mais dans les images de notre jeunesse qui passaient en film de cinéclub noir et blanc dans nos mémoires.
Je comprends mieux maintenant la signification de cette expression provençale « sieste crapuleuse »
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonsoir J.p.j et merci pour ce joli texte que, hélas pour vous, je n'ai point réussi à
trouver "crapuleux" dans cette sieste toute de douceur et de volupté pleine de
délectation : pour le lecteur lambda (moi, en l’occurrence), cela fut un ravissement !
Bonne continuation. Votre récit vaut toujours 10/10 pour moi.
Didier
trouver "crapuleux" dans cette sieste toute de douceur et de volupté pleine de
délectation : pour le lecteur lambda (moi, en l’occurrence), cela fut un ravissement !
Bonne continuation. Votre récit vaut toujours 10/10 pour moi.
Didier
Magnifique texte, vraiment. Sacrée maîtrise de l'écriture !
Euh... encorrrrrrreeeeee !
Euh... encorrrrrrreeeeee !