Soirée au pub

- Par l'auteur HDS Omarrrr -
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Soirée au pub Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Soirée au pub
L’ambiance du pub était calme, feutrée, propice à de délicieux instants de quiétude. Dans ce cadre exotique, c’est avec un plaisir toujours renouvelé que les habitués savouraient de subtils cocktails, confortablement installés dans des canapés de rotin, intimement regroupés autour de petites tables basses. Seul un halo de lumière douce animait ces emplacements, irisant les boissons étranges.


Je poussai la porte, nous fûmes accueillis par le propriétaire, attentif à sa clientèle. Nous avions pour habitude de terminer ainsi nos soirées dans le calme de cet endroit paradisiaque.


M’effaçant devant Kris, je la laissai embrasser nôtre hôte que nous connaissions depuis de longues années, lui serrai la main à mon tour. À cette heure tardive, seuls trois hommes, dans un angle discret, bavardaient tranquillement. Ils semblaient approcher la cinquantaine, élégants, souriants, ils suivirent du regard Kris qui, passant devant eux, s’arrêta à une table d’angle, à quelques pas de la leur.


Admiratifs, ils avaient cessé de parler, savourant la vision des jambes fuselées, de la silhouette délicieusement désirable qui venait mettre un peu de vie et de rêve dans ce petit univers idyllique. Kris prit place face à eux.

Dans son geste pour s’asseoir, la courte jupe de son tailleur sobre découvrit ses jambes au galbe parfait, offrant aux trois hommes le charmant tableau d’une cuisse gainée d’un bandeau d’arabesques sombres. Une mince bande de peau claire, entre le tissu et la dentelle leur prouva, si besoin était, qu’elle portait des bas.


Assis à côté d’elle, je l’écoutai babiller en riant, heureuse, enjouée. Nos cocktails servis, nous poursuivîmes notre discussion. Parfois, le rire cristallin de Kris perlait comme une bulle de champagne.

Nos voisins de table discutaient eux aussi à nouveau mais leurs regards ne quittaient que rarement la silhouette de ma chère épouse. Quand elle ôta la veste de son tailleur, ils se turent brusquement.

Je souris en surprenant le regard des trois noctambules et je me tournai vers Kris. Son chemisier de soie claire et légère laissait deviner sa poitrine ferme, orgueilleuse, libre de tout soutien sous le léger tissu. Maintenant nos voisins la déshabillaient littéralement du regard.


—Chérie, j’ai l’impression que tu as des admirateurs, dis-je à voix basse. D’ailleurs je les comprends facilement car tu es splendide !
—Merci mon amour, j’avais remarqué, ce n’est pas désagréable du tout de se sentir ainsi admirée, désirée, tu ne penses pas ?
—Si, si, mais j’ose à peine imaginer ce qu’ils feraient de toi s’ils avaient l’occasion de se partager une femme aussi belle et désirable. Ils te feraient certainement subir les derniers outrages ! Ce qui ne serait peut-être pas pour te déplaire, n’est ce pas ?
—Hum, rien que d’y penser… D’autant que j’ai toujours eu un faible pour les hommes grisonnants, tu es bien placé pour le savoir, mon cœur !
—Tout à fait ! C’est pourquoi je te livrerais à leurs jeux avec beaucoup de plaisir. Je te trouve particulièrement excitante ce soir, voire carrément bandante. Dommage que ton chemisier soit si sage, tu m’as habitué à bien pire…
Un sourire gourmand éclaira le visage de Kris. Elle jeta un coup d’œil vers les hommes qui l’admiraient maintenant ouvertement puis se pencha vers moi, déposa un léger baiser sur ma joue et murmura :

—Mon chemisier est trop sage ? Je me sens pourtant tout à fait capable de mettre le feu, si tu m’y autorises et si tu es d’accord pour jouer… Tu veux bien ?
—Volontiers, répondis-je, mais attention au feu car, un incendie, généralement on doit l’éteindre !
—Je me sens capable de beaucoup de choses… ajouta Kris en riant.

Puis elle se leva, se dirigea vers les toilettes, passant lentement devant les trois inconnus avec une légère ondulation des hanches pleine de provocation.

Je savourai une gorgée d’alcool tout en observant les trois hommes en souriant. Ils parlaient à voix basse mais j’étai persuadé qu’ils commentaient la beauté de Kris.

Un instant plus tard, elle ressortit des toilettes qui se trouvaient derrière eux. Elle m’adressa un petit signe, un large sourire aux lèvres avant d’avancer puis de s’arrêter à la hauteur de la table des trois compères.


Je la vis se pencher vers le premier homme qui venait de lui adresser la parole, lui répondre sans que je comprenne ce qu’ils se disaient.

Quelques secondes plus tard elle se redressa et, toujours souriante, me rejoignit. Au lieu de s’asseoir, Kris se pencha au-dessus de notre table, tournant le dos aux inconnus. Je compris avant qu’elle ne parle que l’incendie était allumé !

Sous mes yeux, le chemisier de soie dont deux boutons avaient innocemment cédé ( ?) baillait largement sur sa fabuleuse poitrine, offrant la vision de deux globes de chair ferme et soyeuse d’un érotisme affolant.


—Je vois que tu admires la même chose que ces sympathiques messieurs, murmura-t-elle, toujours penchée. Dommage que tu ne sois pas à leur place car, vue de dos, je crois que ce n’est pas désagréable non plus, d’autant que j’ai oublié un autre vêtement dans mon sac à main.
—Arrête ! lui dis-je, tu veux me tuer !
—Non, pas encore… Mais si tu es d’accord, nous sommes invités à leur table. On y va ? ajouta-t-elle.
—Tu fais vraiment très fort, mais je suis d’accord ! Je serais curieux de te voir aux prises avec ces messieurs et je ne ferai rien pour te défendre, au contraire, lui répondis-je.

Nous nous sommes dirigés vers la table des trois hommes. Ceux-ci se levèrent. Chacun se présenta gentiment. Ils invitèrent Kris à prendre place au centre du canapé. Moi, je m’assis dans un fauteuil face à elle tandis que deux des hommes s’asseyaient de part et d’autre de Kris et que le troisième choisit un fauteuil à côté de moi.

Encadrée ainsi, elle répondit gaiement aux questions des inconnus. Puis nous avons goûté les cocktails que venait de nous apporter le propriétaire.

Kris, dont l’alcool avait rosi les joues, riait aux plaisanteries de nos hôtes. Je participai à la conversation et j’éprouvai un réel plaisir à voir mon amour épanouie, heureuse, faire l’objet d’une cour agréable de la part de ses voisins.


De nos fauteuils, le troisième homme et moi pouvions admirer les jambes découvertes très haut par sa courte jupe, sa poitrine qui faisait saillir le tissu de son chemisier lorsqu’elle riait. La conversation prit une tournure particulièrement sensuelle quand son voisin de gauche lui demanda si elle portait des bas.


—Si je ne vous réponds pas, je crois que vous seriez capable de vérifier vous-même, n’est ce pas ? répondit Kris en riant.

Langoureusement adossée dans le canapé profond, elle semblait ainsi offerte aux regards et aux caresses, les jambes croisées largement dévoilées, la poitrine saillante, la tête rejetée en arrière.

Nous la vîmes frémir lorsque l’homme qui venait de parler posa la main sur une cuisse ronde, presque à la limite du bas sombre. Kris ne chercha pas à échapper au contact de la main ferme et douce.

Lentement, les doigts de l’inconnu se mirent en mouvement, repoussant le tissu de la jupe jusqu’au bord de la large bande de dentelle où ils jouèrent longuement sur les arabesques affriolantes avant de glisser, plus lentement encore, sur la peau satinée.


—J’ai l’impression que vous poussez la curiosité un peu loin, dit Kris dans un souffle.
—Cela ne semble pas vous déplaire, répondit l’inconnu. Quant à moi, je suis très curieux et disposé à aller beaucoup plus loin encore, ne serait-ce qu’en hommage à votre beauté. Si monsieur m’y autorise et si vous acceptez de me laisser découvrir des trésors que je devine particulièrement affolants.
—Mon épouse adore les compliments et je ne peux que vous féliciter pour votre amour des jolies femmes, ai-je répondu en riant.

Kris, les yeux mi-clos, décroisa les jambes dans un crissement soyeux.


—Vos compliments ne peuvent que me ravir mais votre audace, votre curiosité sont en train de bouleverser mes derniers principes, ajouta-t-elle, offerte cette fois pleinement à la main qui progressait toujours, explorant avec douceur la chair souple et tiède bien au-delà de la limite des bas.

Si mon voisin et moi-même restions immobiles, spectateurs ravis et attentifs, son second voisin n’était pas resté inactif. Une main nonchalamment posée sur le dossier du canapé, derrière la tête de Kris, vint frôler son épaule, glissant sur son chemisier.


—Moi aussi, je crois que je suis en train de faire de splendides découvertes, je vais peut-être vous offrir un tableau charmant et… excitant. Ne croyez-vous pas ? dit-il en me regardant droit dans les yeux.

En effet, l’étoffe souple venait de glisser, découvrant une épaule ronde puis le globe fabuleux d’un sein lourd, ferme, à la pointe déjà durcie de désir, sur lequel la lumière diffuse posait des reflets dorés.


—Vous êtes fous, particulièrement curieux et très entreprenants, gémit Kris. Vous êtes en train de me faire perdre la tête ! En plus j’ai deux gros défauts, je suis curieuse moi aussi et très… gourmande ! ajouta-t-elle.

Dans le même temps, elle posa les mains sur les virilités qui tendaient le tissu du costume des deux hommes. Ses paroles, son geste déclenchèrent la réaction des deux inconnus. Sous mes yeux et ceux de mon voisin, ravi, une bouche avide se posa sur le sein dénudé.

Le chemisier glissa encore et sa superbe poitrine enfin totalement découverte s’offrit aux caresses enflammées. Son second agresseur se redressa, ouvrit lentement le compas des jambes fuselées et une bouche vorace, experte, se plaqua sur la fine toison, arrachant un petit cri à mon épouse. Maintenant, Kris haletait, gémissait, son corps se tordait sous les caresses, son bassin ondulait.



Les jambes largement ouvertes, passées sur les épaules de son agresseur, elle offrait en toute impudeur sa vulve bouleversée à la langue habile qui la fouillait et à nos regards. Soudain, dans un feulement rauque, les mains crochetées dans les cheveux de l’homme, le corps tendu comme un arc, elle jouit violemment, longuement.

L’inconnu se redressa puis, d’un geste preste, se dégrafa, offrant au regard chaviré de plaisir de mon épouse un pieu de chair énorme, fièrement dressé en avant de son ventre musclé.

Il reprit place à côté d’elle, à demi allongé sur le canapé, tandis que son camarade abandonnait la poitrine gonflée pour caresser longuement les jambes découvertes, le ventre encore frémissant de leur victime consentante.


Légèrement penchée, Kris posa la main sur le membre turgescent. Ses doigts fins jouèrent longuement sur l’olisbos vivant, griffant doucement une veine gorgée de sang, se perdant dans la toison sombre qui couvrait deux bourses lourdes, avides de caresses et de plaisir.

Puis, d’un geste toujours aussi lent, exaspérant, elle découvrit un gland monstrueux, large, épais et luisant. Spectateurs subjugués, nous retenions maintenant notre respiration, les yeux fixés sur la main qui coulissait sur la virilité palpitante.

Nous avons vu le visage de Kris s’incliner, ses lèvres pulpeuses effleurer le monstre de chair avant de s’ourler délicatement autour du pieu pour l’engloutir millimètre par millimètre avec gourmandise.

Le corps féminin à demi dénudé, le fin visage déformé par la caresse étaient d’une beauté, d’un érotisme insoutenable.


Pétrifiés par cette folle vision nous ne pouvions détacher nos regards de mon épouse qui ondulait maintenant au-dessus de sa victime, libérant par instant la chair vibrante pour l’engloutir à nouveau goulûment.

Elle dévorait son partenaire avec fougue, comme si elle pouvait jouir de cette possession buccale. Mais l’homme s’arracha de sa tortionnaire pour la saisir par les hanches et la soulever littéralement au-dessus de son ventre sur lequel elle s’enfourcha avec lenteur, s’empalant profondément sur le membre luisant, étouffant une plainte sourde.

Elle se lança alors dans un ballet effréné de tout son corps. Son ventre, ses reins cambrés s’agitaient sur la virilité qui la fouillait délicieusement. Ses seins oscillaient comme deux fruits mûrs, prêts à être cueillis.


L’atmosphère plus que sulfureuse nous secoua. L’homme qui avait découvert la poitrine de Kris, encore assis au bord du canapé, se leva, libérant à son tour un sexe imposant. Sa virilité n’avait rien à envier à celle de son camarade, fiché dans les chairs féminines.

S’approchant dans le dos de Kris, il reprit possession des seins lourds, frôlant les reins cambrés de son sexe dressé. Kris frémit brusquement, sans cesser de se tordre sur son amant. Son regard croisa le mien.


—Amour, c’est fou ! gémit-elle, vous allez me faire mourir de plaisir…—Non mon ange, mais ces messieurs vont t’offrir tout le plaisir que tu mérites, avec ma bénédiction ! répondis-je en souriant.

Alors, le regard à demi révulsé toujours accroché au mien, elle s’inclina sur le torse de son partenaire, cambra les reins, offrant sa croupe ronde à l’homme dans son dos. Elle ne put retenir un cri quand le sexe puissant força lentement ses reins.

La douleur, vite estompée par le plaisir de cette nouvelle possession, elle recommença à se tordre entre ses deux amants. Elle sentait les deux hommes se heurter en elle délicieusement.

Elle eut un dernier regard pour moi qui lui souriais toujours puis s’abandonna aux délices de l’amour. Elle gémissait, prononçait des mots sans suite, la tête et les seins ballants, empalée, fouillée avec ardeur par ses deux délicieux tortionnaires.


Je me suis penché vers mon voisin qui était encore assis à côté de moi, admirant la scène indécente.


—Vous n’êtes pas tenté ? Je suis persuadé que Kris serait ravie de vous voir vous mêler à ces jeux !

Avec un sourire gourmand, l’homme se leva pour s’approcher du trio. Lui aussi caressa avec volupté et une certaine fébrilité la poitrine de mon épouse.

Kris, dans un état second, tendit la main vers la bosse qui ornait le costume du nouveau venu. Celui-ci se libéra à son tour. Un instant plus tard, une nouvelle colonne vivante, orgueilleuse, se dressa fièrement devant les yeux de Kris, torturée de plaisir.

Il s’avança, debout, frémit au contact de la bouche de mon épouse avant de se glisser avec volupté dans l’écrin soyeux des lèvres tièdes.

Comblée, prise ainsi totalement, Kris se livra sans retenue, abandonnant son corps splendide aux longues vagues de plaisir qu’elle sentait monter en elle.


Brutalement, son dernier partenaire se raidit, tenta d’échapper aux lèvres démentielles. Mais Kris l’engloutit plus profondément et il se répandit en longues coulées dans la gorge offerte tandis que ses deux compagnons explosaient en chœur, inondant le ventre et les reins de leur victime consentante de sève brûlante.


Dans un ultime sursaut, Kris jouit violemment, une longue et sourde plainte fusant entre ses lèvres, avant de s’écrouler, inerte, entre ses deux amants.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Fabuleusement écrit!
Un régal à lire



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