SOIREE D'ANNIVERSAIRE
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SOIREE D'ANNIVERSAIRE
Je m’appelle Sandra, je suis une fille qu’on pourrait qualifier de jolie. Pas très grande, 1,60m blonde naturelle aux yeux bleus (pas très original) Ce que je préfère chez moi, ce sont mes seins, même s’ils ne sont pas énormes, ils sont sexy, bien ronds et tiennent tout seuls. Par contre, mon complexe, c’est mon popotin, Je le trouve bas, bien que rembourré, mais pas assez haut pour que je puisse m’afficher en string. Aujourd’hui, c’est mon anniversaire . En fait c’était il y a deux jours, et mon mari Fabien, a organisé une fête avec tous nos amis. Mes parents avaient fait le déplacement de Bordeaux. C’était vraiment génial. Ce soir, c’est donc une autre soirée d’anniversaire. Avec quelques copines, nous avons décidé d’une soirée entre filles pour célébrer l’événement. Je viens d’avoir 40 ans, qui comme chacun sait est un cap dans la vie d’une femme. C’est donc sans mon mari, qui, pour l’occasion s’occupe des enfants, que je rejoins mes amies chez Axelle, qui habite en centre ville. Quand j’arrive chez elle, mes autres amies sont déjà là, et achèvent de se préparer. Axelle me reçoit avec deux grosses bises, et m’entraine dans la Salle de bains, centre névralgique de préparation car ce soir, nous allons voir un spectacle de Chippendales. Ce type de spectacle destiné à une clientèle féminine s’est implanté à Paris, mais, rapidement on a vu des clubs s’installer dans les plus grandes villes, et donc à Strasbourg.
Nous sortons à quatre, ce soir. Des amies proches, toutes plus ou moins dans les même tranches d’âge. Axelle, tout d’abord, une brunette piquante de 1,65m, a 38 ans, et deux enfants, comme moi. Elle est sensiblement plus mince que moi, mais c’est une fausse maigre, je m’en suis déjà aperçue. Ensuite Il y a Martine, 42 ans, une femme brune, opulente, et BGBG, et enfin Karine, 40 ans, la plus délurée du groupe Grande fille de 1,75m aux cheveux chatain coupés courts, une regard gris acier, et un tempérament du même métal.
Après les embrassades Martine me dit de venir peaufiner mon maquillage.
« Fais nous voir ta tenue. » demande Karine « Ouh là ! On avait pas dit sexy ? »
Je porte une robe légère rouge, tenue par deux fines bretelles, qui s’arrète à mi-cuisses. N’en ayant pas vraiment besoin, j’ai fait l’impasse sur le soutien-gorge, et j’ai un petit Tanga noir qui souligne mon bronzage.
« Ma tenue est très sexy »lui reponds-je,
« Tu parle !, regardes ce que c’est sexy ! » Là dessus Karine remonte se jupe laissant voir des bas Stay-up, puis elle ouvre la veste de son tailleurs anthracite, sous laquelle elle porte un soutien-gorge à balconnets, qui soutient ses seins sans les recouvrir, laissant voir duex aréoles larges, maquillées au gloss.
« ça, c’est de la tenue de combat ! ajoute t’elle, Martine montre lui ! »
Martine, faussement modeste remonte sa jupe, jusqu’en haut de ses bas, tenus par les pinces d’un porte jarretelle. Je me tourne vers Axelle qui, pour l’occasion amis une jupe, taille basse, fendue sur une jambe, et un caraco, qui dévoile ses seins (ou plutôt son absence de seins) par transparence.
« Ne t’inquiète pas, Choupette, » me dit cette dernière « tu es très bien comme ça. On va bien s’amuser. »
C’est vrai qu’il y a une atmosphère de cour de récré, dans cette salle de bains, où chacune améliore, au mieux son apparence, d’un trait d’eye-liner, ou d’un fond de blush, les lèvres brillant de gloss allant du rose au rouge carmin. Ce soir nous sommes quatre célibataires qui vont se payer du bon temps.
C’est maquillées comme des voitures volées que nous rejoignons mon cabriolet, dans lequel nous embarquons, La soirée est chaude, et nous profitons de la douceur de l’air. Karine, et Axelle abandonnent les places arrière, un peu engoncées, pour s’asseoir, sur le coffre, les jambes pendantes à l’intérieur de l’habitacle. Elles remuent au rythme de la musique que Martine a poussé à fond, en poussant des cris de fétardes. Inutile de dire que nous ne passons pas inaperçues auprès des passants, et nombreux sont les hommes qui sifflent sur le passage de la voiture. Les filles derrière, leur envoient des baisers, sans conséquences, puisque je ne m’arrête pas. Nous nous garons à proximité du club Chippendale. Je replie le toit amovible et nous nous dirigeons vers l’entrée.
C’est la première fois que je me rends dans ce genre de club, et en attendant notre tour, je me demande un peu ce que je vais découvrir. La seule qui a déjà visité des endroits de ce type est Karine, qui est allé en voir sur Paris. Il y a un groupe de filles devant nous, beaucoup plus jeunes. Un enterrement de vie de jeune fille m’indique Martine qui s’est renseignée. Les entrées payées, nous passons par un genre de hall d’acceil, avec un vestiaire, comme dans les boites de nuit, puis nous entrons dans une grande pièce, avec des lumières tamisées, et des spots façon discothèque. Un podium rectangulaire est installé au milieu de la pièce, et autour des banquettes, et fauteuils disposés pour être tous, face au podium, car c’est là que doit avoir lieu le Spectacle.. Nous longeons le podium et allons nous installer sur une banquette en demi cercler, au fond de la salle..
Comme en boite de nuit, une serveuse vient prendre nos commandes, et nous sommes rapidement devant nos Mojitos. La musique est assez forte.
Au bout d’un mment, la musique se coupe et une voix off, nous présente le premier artiste.
Un rideau, au milieu de la salle s’ouvre et c’est un policier qui entre, alors que retentit une musique rythmée, il saute sur l’estrade, et fait mine de scruter l’assistance. On coprend très vite que ce bon policier a chaud. Il se défait de sa veste, sous laquelle il est torse nu, il fait saillir ses muscles, en dansant un peu et hop ! il tire sur son pantalon qui s’arrache d’un coup, le laissant en boxer devant nous. Après avoir dansé encore un moment, il fait mine d’enlever son boxer, puis s’arrête. Les cris fusent dans l’assistance, l’encourageant à continuer. Il fait mine de s’en aller, mais toutes les femelles le rappellent, et il revient, pour enlever ce boxer, ultime rempart de sa pudeur. Il joue avec l’élastique, le fait descendre, le remonte, se retourne, commence à le faire glisser sur ses fesses, puis se ravise, provoquant à chaque fois des protestations, et tout à coup, il l’enlève. Tout le monde, moi le première, observe avec attention. On aperçoit, ses fesses dures, il fait demi-tour et nous dévoile…un string en cuir, qui ne couvre que ses attributs. La lumière s’éteint. Qunad elle se rallume, il n’est plus là.
L’un après l’autre les stripteasers se succèdent, parfois par deux et nous dévorons des yeux leurs corps musclés, leur carnation dorée, leurs pectoraux, huilés, leur biceps, ou triceps, mis en exergue par des postures de bodybuilders. Bien entendu, les alcools coulent à flot , et l’ambiance un peu compassée du début a fait place à une joyeuse euphorie. Quelques filles exhibent leurs poitrines. La plupart sont très jeunes, et je me dis que nous devons ressembler à une bande de cougars.
Petit à petit, une douce chaleur s’installe au creux de mon ventre. Difficile de rester insensible à ces hommes dénudés, dont la musculature donnerait des complexes à nos maris, moins entrainés, plus investis dans leurs métiers que dans la culture du corps. Il y en a vraiment pour tous les goûts, des jeunes, des plus matures (encore que je ne pense pas qu’un seul ait dépassé la quarantaine) des blonds, des bruns, des blacks, un asiatique. Mes amies semblent captivées elles aussi par le spectacle, et frottent nerveusement leurs jambes, l’une contre l’autre.
Après plus d’une heure de spectacle, le dernier stripteaser, quitte la scène sous les hourras et les bis qui fusent. Les lumières de la salle se rallument. Je pense que c’est fini, mais Karine, nous dit de rester assises. La voix off vient couvrir la musique et demande si le show nous a plu. Toutes les filles présentes hurlent un OUIIIII ! massif. La question suivante est logique : Voulez vous revoir les boys ? Encore une fois la réponse est Ouiiii !
Est-ce que vous en avez assez ? Noooon !
Est ce que vous en voulez encore ? Ouiiiii !
Et là, tous les chippendales entrent en scène, vétus de smokings. Ils se mettent à danser en ligne sur le podium en s’effeuillant en rythme pendant que nos applaudissements scandent leur deshabillage. Une fois en String, ils descendent de l’estrade et se rapprochent des tables, venant onduler devant les femmes qui sont toutes en chaleur, maintenant. Les plus délurées essaient d’attraper les strings des danseurs. Ceux-ci les esquivent habilement avant de se défaire du dernier rempart à leur pudeur. Les hommes sont rapidement nus, et se trémoussent devant les filles. L’un d’eux a une bombe de chantilly, et projete sur son sexe une bonne dose de crème avant de venir proposer aux spectatrices d’y gouter. Avec plus ou moins de pudeur, les unes se contentent d’une léchouille rapide, alors que d’autres engloutissent la chantilly en suçant les membres qui prennent peu à peu de la vigueur. Les danseurs passent d’une femme à l’autre, mais ne se rapprochent pas de nous. Dans le groupe le plus important les filles poussent en avant une petite blonde. Probablement celle qui enterre sa vie de jeune fille. La voici sur le podium, assise sur une chaise et un grand Black vient lui présenter son mandrin recouvert de Chantilly. Elle commence timidement à lécher la crème, mais ses copines l’encouragent à le prendre en bouche, ce qu’elle finit par faire, déclenchant un Olé ! général. Sous nos yeux, elle embouche le sceptre noir, et suce le mandrin. La crème déborde de sa bouche par les commissures de ses lèvres. Une de ses amies vient l’aider et récupère d’une langue agile, la chantilly. Elle pousse sur la tête de la blonde qui amplifie son va et vient, sans arriver à faire entrer le morceau entier dans sa bouche. Au bout d’un temps, elle s’interromp et laisse sa copine, plus dévergondée prendre sa place. Cette dernière, expérimentée lèche les testicules, et la hampe avant de l’engloutir en gorge profonde. Elle trouve un angle qui lui permet d’absorber l’énorme queue noire qui vient taper contre sa glotte. Elle remue la tête, et l’enfonce peu à peu, jusqu’à ce que son visage aille se perdre dans le pubis du noir. A plusieurs reprises elle sort puis réinsère le long mandrin au fond de sa gorge, encouragé par ses copines qui scandent son nom. Le Mannequin black, tout sourire, appuie sur sa tête d’une large main,. La blonde passant derrière sa copine a descendu son top, et lui empoigne les seins qu’elle pince, avant de les sucer.
Partout dans l’assistance, des chippendales se font masturber ou sucer.
« Eh ! ils nous oublient ou quoi ? » s’insurge Karine. « On va leur rappeler qu’on est là. Faites comme moi les filles !. »
Sur ces paroles, elle glisse ses mains sous sa robe, et redescend avec son string, qu’elle enlève définitivement en soulevant ses escarpins.
Axelle, la regarde en rigolant.
« Bof ! maintenant qu’on est là. » dit elle. Ses mains remontent sa jupe jusqu’à atteindre sa culotte transparente, qui se retrouve aussitôt sur ses chevilles.
Je suis un peu dépassée par les évènements. Certes je m’attendais à une soirée un peu canaille, mais là, je suis surprise par l’attitude de mes amies, d’ordinaire de sages femmes au foyer, ou du moins, c’est ce que je supposais. Les autres me regardent et je ne peux me dérober. A mon tour, je faufile mes mains sous ma robe en essayant de ne pas trop me dévoiler. Heureusement le tissu suit mes mains et retombe dès que mon tanga de dentelle glisse le long de mes jambes. Nous nous tournons vers Martine, la seule à ne pas avoir esquissé le moindre geste, alors que ce n’est pas forcément la plus prude.Elle nous regarde d’un air géné
« Je n’ai pas de culotte » nous avoue t’elle. Karine s’esclaffe.
« Tu avais pris les devants, ma cochonne ! » raille t’elle
« Non, s’excuse presque Martine, je n’en porte plus depuis des années. Si j’avais su, bien sur… »
« Ce n’est rien, lui dis-je, tu ne pouvais pas prévoir. »
Martine, passe les mains dans son dos, et dégrafe son soutien-gorge, qu’elle extrait avec dextérité.
« J’ai ça, qui devrait faire l’affaire. »
« Super !Allez les filles, projection de culottes » ordonne Karine.
Nous jetons nos sous vêtements en direction du podium. L’un des chippendales reçoit mon tanga. Il le porte à son nez et hume le tissu. Un autre a pris le string de Karine et s’en est fait un bonnet. Deux, puis trois danseurs se dirigent vers nous. Martine capte le premier et l’enfourne dans sa bouche aspirant fortement la chantlly. Un blond baraqué aux cheveux ras, s’est arrêté devant Axelle, qui commence à déguster la crème sucrée en y trempant le doigt, mais Karine la hue, et elle finit par emboucher un membre long et fin qu’elle suce un moment, avant de le passer à sa voisine, qui a déjà déboutonné sa veste de tailleur, exposant ses seins maquillés que le danseur empoigne aussitôt, et malaxe sans vergogne. Elle lèche consciencieusement la hampe fièrement érigée, et vient haper les couilles avec ses lèvres. Le danseur Brun quitte Martine et pulvérisant un nouveau nuage de chantilly, vient faire osciller son mât sous mes yeux. Je commence à suçoter le gland. Je ne suis pas folle de fellation, mais je dois reconnaître qu’ainsi décorée cette bite est plus agréable à sucer. Je l’embouche et la fait coulisser jusqu’au fond de ma gorge, le gout sucré se mariant à merveille avec la saveur musquée de l’engin. L’homme se contente de quelques va-et vient, et s’en va proposer sa marchandise à une autre.
Mon regard vient se poser sur le podium où la petite blonde est allongée sur le dos, à même le sol, les deux jambes largement écartées, pointée vers le plafond. Le grand black la ramone avec de longs mouvements, son chibre énorme distendant l’ouverture de son sexe, le bassin balançant d’arrière en avant. A chaque poussée elle emet un râle rauque. Encouragé ce partenaire, accélère son intromission, ses bourses venant taper bruyamment, sur le cul de la future mariée.
« En tout cas, le rodage sera déjà fait » commente Karine.
L’assistance est maintenant tournée vers ce couple, et bat des mains, à chaque coup de boutoir, et crie.
Les autres danseurs continuent invariablement à s’occuper de cette clientèle féminine. Oh, bien sur, il y a quelques jeunes filles qui se contentent de regarder en refusant toute approche, mais elles sont moquées par leurs congénères, qui huent chaque refus. En réalité, même si je ne comprends pas bien ce qu’elles font là, je compatis pour ces pauvres filles, fidèles, ou un peu prudes qui ne souscrivent pas à cette ambiance sexuelle débridée. Je me dis que , seule, et plus jeune, j’aurais été comme elle, tant l’amour était idéalisé dans ma tête. Aujourd’hui, avec plus de recul, je sais que le monde tourne souvent autour du sexe, et que toutes les femmes présentes, ne font rien de pire que ce que les hommes ont pratiqué, pendant des années dans les maisons closes. On doit être même bien en deça.
La libération des mœurs a apporté aux femmes plus d’égalité, même si c’est encore insuffisant, mais également a masculinisé leurs comportements, et nous sommes souvent à la recherche d’un plaisir sexuel, en mettant à part le sentiment amoureux.
Il suffit d’un coup d’œil sur l’assemblée pour se rendre compte que les temps ont changé. Les jeunes filles, qui, autrefois, étaient des rosières pudiques et réservées, attendant leur prince charmant, sont aujourd’hui, autour de moi bien dévergondées. Certaines s’adonnent au plaisir de la fellation. D’autres, dépoitraillées s’embrassent à pleine bouche et se caressent ostensiblement, et les plus aventureuses, ont réussi à s’attirer les attentions d’un Chippendale, qui après les avoir partiellement dévétues, les font crier de plaisir, en levrette, ou en missionnaire, quand elles ne se font pas sodomiser. Cette bacchanale déchainée s’achève dans les hurlements de la future promise qui jouit bruyamment sous les acclamations de ses consoeurs.
La musique techno est brutalement stoppée. Les lumières se tamisent, ne laissant qu’un projecteur qui envoie un halo de lumière sur le podium, ou l’on a installé une sorte de banquette sans dossier. La Musique redémarre. « Happy birthday. » Tout le monde se lève et tape dans les mains, alors que quatre Chippendales en smoking font leur entrée, et se dirigent… vers moi ?
Mes amies sont autour de moi et Karine me crie
« C’est la spéciale anniv, ma poulette ! »
Je suis bientôt entourée par les quatre danseurs baraqués. Duex d’entre eux, me tendent la main, et c’est, tenue par les deux mains qu’ils m’entrainent vers le podium, et me font asseoir sur la banquette. Je fais bonne figure mais je me demande quelle est la suite..
Maintenant assise sur la moleskine, j’assiste à l’effeuillage des chippendales, qui, tout en dansant, se retrouvent vite, en strings. Ils commencent à tourner autour de moi tout en dansant. Chacun d’entre eux faisant une halte face à moi, pour exhiber, sa musculature, ses fesses rebondies, ses pectoraux, ou ses biceps. Après quelques tours, l’un d’eux se débarasse de son string, et me présente ses attributs, un sexe long et volumineux, soigneusement épilé, au dessus d’une paire de bourses, bien rondes. Atour de rôle les autres l’imitent. Si j’ai bien compris, je dois en choisir un. Indépendamment des considérations de taille, ou de muscles, j’opte pour celui qui me semble le plus doux, que je choisis en lui prenant la main. La ronde des prétendants cesse alors et mon « chevalier servant » se rapproche de moi. Il commence à me caresser par dessus ma robe. D,abord les cheveux , puis mon visage. Il descend sur mon cou et mes épaules pour atteindre ma poitrine qu’il empaume de ses larges mains. Il est Blond, avec une gueule d’ange, et ne porte rien, à part un nœud papillon, et ses chaussures. Son corps est musclé sans excès,avec des abdos saillants façon tablette de chocolat. Son sexe est long et circoncis avec un gland violacé, mais il ne bande pas, attendant, sans doute que je m’en occupe. Comme je ne suis pas une adepte de la fellation, je saisis son membre et commence à le branler doucement. Sous mes doigt, je le sens grossir et se tendre. Je caresses ses testicules, et glisse un doigt entre ses cuisses jusqu’à son anus. Cette caresse semble lui faire de l’effet car son organe continue à enfler et à se raidir. En continuant mon travail manuel, dans le feu de l’action je lèche son gland à plusieurs reprises. Il est maintenant complètement érigé. Un sabre, courbe et fier qui se dresse vers le ciel. Ses mains glissent sur mes flancs pour atteindre mes cuisses. Il s’agenouille, et son engin m’échappe.Il embrasse mes cuisses en descendant jusqu’à mes genoux. Il les écarte et soulève ma robe pour glisser sa tête dessous. Je sens ses baiser sur l’intérieur de mes cuisses, et sa tête qui remonte m’obligeant à écarter les cuisses de plus en plus, jusqu’à ce qu’il atteigne mon pubis, juste orné d’un minimaliste ticket de métro. Il plante son nez dedans en humant mes odeurs, puis avance le menton, sa langue venant explorer mes lèvres intimes qu’il lèche en les ouvrant. Il fait courir sa langue sur ma vulve et remonte pour capter mon clitoris qu’il aspire en le captant entre ses lèvres avant de le relacher brusquement. La chaleur dans mon ventre s’intensifie, et je m’ouvre un peu plus à ses caresses. Heureusement, me dis-je, il masque ce qui se passe à la vue de l’assemblée, même si personne ne doit douter de ce qui se produit sous le fin tissu de ma robe. Sa langue pointue écarte mes chairs et s’enfonce dans la chatte, avant de ressortir et de venir titiller mon anus. Un doigt, vient s’insinuer dans mon antre, et compléter la caresse bucale, puis deux, puis trois. Je gémis de bonheur sous cette introduction, à la fois douce et impérieuse, qui ne rencontre aucun obstacle, tant le passage est lubrifié. Ses deux mains, qui poussaient sur mes cuisses pour les écarter, sont maintenant libres,, et après avoir joué dans ma chatte deux doigts sont enfoncés sans ménagement dans mon petit trou du cul. Je suis léchée, sucée, branlée par mes deux orifices, et je brûle de l’intérieur. Mes jambes sont relevées et passent sur les épaules de l’éphèbe. Je me tortille en gémissant sous sa tête. Comme c’est bon ! Comme c’est jouissif, et je réclame une bonne queue pour me remplir. Tant de plaisir ne serait pas parfait si une sexe d’homme ne venait pas parachever ces préliminaires torrides. Il s’extrait de ma robe, et me prenant par les mains, il me relève, et vient s’asseoir à la place que j’ai occupée, puis il m’attire à lui. Je suis obligée d’écarter les jambes pour me rapprocher sans buter sur ses genoux. Là, il appuie sur mes épaules et me fait descendre sur son membre dressé, qu’il dirige d’une main vers ma cavité. Je sens son gland qui appuie sur mon sexe avant d’y entrer, et de faire son chemin, petit à petit, par à coups, jusqu’à ce que je sois totalement investie par ce morceau de chair qui, comme un tison, me brûle au fur et à mesure de son introduction. Je me laisse manipuler par mon Chippendale qui, me tenant par la taille, arrive à engouffrer son mandrin tout au fond de moi, mon entrejambe venant prendre appui sur ses couilles à chaque mouvement.
Les jambes au sol je pousse sur elles, avant de relacher mon effort pour accentuer les mouvements de ses reins. Ses mains font glisser les lacets de ma robe et la rirent vers le bas pour dévoiler mes seins qui sont aussitôt pris en main.
Incroyable. Me voici, nue, en train de me faire défoncer par une énorme queue devant mes meilleures amies et un florilège de jeunes filles qui pourraient être mes enfants. Je suis tout à la fois honteuse, et heureuse de cet accouplement bestial qui me procure un plaisir que je n’ai pas ressenti depuis longtemps. A chaque fois que je crois que c’est fini, une nouvelle vague m’emporte et je jouis en criant, en hurlant mon plaisir.
Les meilleures choses ont une faim et mon Chippendale se désunit de moi . et m’assied se levant face à moi. Il met ma main sur son sexe bandé, et je le masturbe énergiquement jusqu’à ce qu’il envoie plusieurs salves de sperme sur mes seins et ma robe. Puis il m’embrasse sur les joues avant de disparaître derrière le rideau qui masque l’entrée.
Je rajuste, ma robe, tant bien que mal et tente de faire disparaître les traces de ce coit.
Autour de moi, les jeunes filles applaudissent. Enfin celles qui ne sont pas occupées à copuler. Karine, à quatre pattes, la jupe de son tailleurs relevée sur ses reins reçoit les hommages d’un black, fortement membré, et Martine, a sa robe relevée sur un porte jarretelle noir. Un Chippendale de type asiatique est en train de faire coulisser son sexe long dans son cul, ce qu’elle a l’air d’apprécier . Seule Axelle est restée sage parmi nous. Elle m’accueille avec un sourire.
« Ne t’inquiète pas, ce qui se passe ici, reste ici. »
« Quand même , j’ai honte de moi. »
« On a toutes un peu honte, c’est un reste de notre éducation judéo-chrétienne. Mais c’est si bon de se laisser aller de temps en temps. »
« Ma pauvre Axelle, je n’ose imaginer ce que tu penses de nous. »
« Rassure toi, j’ai commis bien pire. Tu verras, une bonne douche et tout ça sera juste un bon souvenir quand tu seras vieille. »
L’ambiance est en train de tomber, un peu et les Chippendales font leurs adieux.
Nous sortons sans mot dire, au milieu des gamines qui, toutes excitées s’interpèlent et parlent de boite de nuit.
Il est un peu plus de minuit quand nous regagnons la voiture.
Je dépose mes amies chez elles et rejoint le domicile conjugal. Je rentre sans faire de bruit et me rends directement dans la salle de bain. Après avoir mis ma robe au linge sale, je me jette sous la douche. Un quart d’heure plus tard, j’en sors, remise de mes émotions, malgré une douleur persistante, sans doute due au volume de mon amant d’un soir.
Dans la chambre, Fabien, mon mari bouquine. Il lève les yeux sur moi quand je viens le coucher.
« Alors cette soirée ? »
« Bof, tu sais, rien de bien nouveau, c’est un peu toujours pareil. »
« Tu as soufflé les bougies ? »
« Oui aussi » dis-je en repensant à une en particulier.
Nous sortons à quatre, ce soir. Des amies proches, toutes plus ou moins dans les même tranches d’âge. Axelle, tout d’abord, une brunette piquante de 1,65m, a 38 ans, et deux enfants, comme moi. Elle est sensiblement plus mince que moi, mais c’est une fausse maigre, je m’en suis déjà aperçue. Ensuite Il y a Martine, 42 ans, une femme brune, opulente, et BGBG, et enfin Karine, 40 ans, la plus délurée du groupe Grande fille de 1,75m aux cheveux chatain coupés courts, une regard gris acier, et un tempérament du même métal.
Après les embrassades Martine me dit de venir peaufiner mon maquillage.
« Fais nous voir ta tenue. » demande Karine « Ouh là ! On avait pas dit sexy ? »
Je porte une robe légère rouge, tenue par deux fines bretelles, qui s’arrète à mi-cuisses. N’en ayant pas vraiment besoin, j’ai fait l’impasse sur le soutien-gorge, et j’ai un petit Tanga noir qui souligne mon bronzage.
« Ma tenue est très sexy »lui reponds-je,
« Tu parle !, regardes ce que c’est sexy ! » Là dessus Karine remonte se jupe laissant voir des bas Stay-up, puis elle ouvre la veste de son tailleurs anthracite, sous laquelle elle porte un soutien-gorge à balconnets, qui soutient ses seins sans les recouvrir, laissant voir duex aréoles larges, maquillées au gloss.
« ça, c’est de la tenue de combat ! ajoute t’elle, Martine montre lui ! »
Martine, faussement modeste remonte sa jupe, jusqu’en haut de ses bas, tenus par les pinces d’un porte jarretelle. Je me tourne vers Axelle qui, pour l’occasion amis une jupe, taille basse, fendue sur une jambe, et un caraco, qui dévoile ses seins (ou plutôt son absence de seins) par transparence.
« Ne t’inquiète pas, Choupette, » me dit cette dernière « tu es très bien comme ça. On va bien s’amuser. »
C’est vrai qu’il y a une atmosphère de cour de récré, dans cette salle de bains, où chacune améliore, au mieux son apparence, d’un trait d’eye-liner, ou d’un fond de blush, les lèvres brillant de gloss allant du rose au rouge carmin. Ce soir nous sommes quatre célibataires qui vont se payer du bon temps.
C’est maquillées comme des voitures volées que nous rejoignons mon cabriolet, dans lequel nous embarquons, La soirée est chaude, et nous profitons de la douceur de l’air. Karine, et Axelle abandonnent les places arrière, un peu engoncées, pour s’asseoir, sur le coffre, les jambes pendantes à l’intérieur de l’habitacle. Elles remuent au rythme de la musique que Martine a poussé à fond, en poussant des cris de fétardes. Inutile de dire que nous ne passons pas inaperçues auprès des passants, et nombreux sont les hommes qui sifflent sur le passage de la voiture. Les filles derrière, leur envoient des baisers, sans conséquences, puisque je ne m’arrête pas. Nous nous garons à proximité du club Chippendale. Je replie le toit amovible et nous nous dirigeons vers l’entrée.
C’est la première fois que je me rends dans ce genre de club, et en attendant notre tour, je me demande un peu ce que je vais découvrir. La seule qui a déjà visité des endroits de ce type est Karine, qui est allé en voir sur Paris. Il y a un groupe de filles devant nous, beaucoup plus jeunes. Un enterrement de vie de jeune fille m’indique Martine qui s’est renseignée. Les entrées payées, nous passons par un genre de hall d’acceil, avec un vestiaire, comme dans les boites de nuit, puis nous entrons dans une grande pièce, avec des lumières tamisées, et des spots façon discothèque. Un podium rectangulaire est installé au milieu de la pièce, et autour des banquettes, et fauteuils disposés pour être tous, face au podium, car c’est là que doit avoir lieu le Spectacle.. Nous longeons le podium et allons nous installer sur une banquette en demi cercler, au fond de la salle..
Comme en boite de nuit, une serveuse vient prendre nos commandes, et nous sommes rapidement devant nos Mojitos. La musique est assez forte.
Au bout d’un mment, la musique se coupe et une voix off, nous présente le premier artiste.
Un rideau, au milieu de la salle s’ouvre et c’est un policier qui entre, alors que retentit une musique rythmée, il saute sur l’estrade, et fait mine de scruter l’assistance. On coprend très vite que ce bon policier a chaud. Il se défait de sa veste, sous laquelle il est torse nu, il fait saillir ses muscles, en dansant un peu et hop ! il tire sur son pantalon qui s’arrache d’un coup, le laissant en boxer devant nous. Après avoir dansé encore un moment, il fait mine d’enlever son boxer, puis s’arrête. Les cris fusent dans l’assistance, l’encourageant à continuer. Il fait mine de s’en aller, mais toutes les femelles le rappellent, et il revient, pour enlever ce boxer, ultime rempart de sa pudeur. Il joue avec l’élastique, le fait descendre, le remonte, se retourne, commence à le faire glisser sur ses fesses, puis se ravise, provoquant à chaque fois des protestations, et tout à coup, il l’enlève. Tout le monde, moi le première, observe avec attention. On aperçoit, ses fesses dures, il fait demi-tour et nous dévoile…un string en cuir, qui ne couvre que ses attributs. La lumière s’éteint. Qunad elle se rallume, il n’est plus là.
L’un après l’autre les stripteasers se succèdent, parfois par deux et nous dévorons des yeux leurs corps musclés, leur carnation dorée, leurs pectoraux, huilés, leur biceps, ou triceps, mis en exergue par des postures de bodybuilders. Bien entendu, les alcools coulent à flot , et l’ambiance un peu compassée du début a fait place à une joyeuse euphorie. Quelques filles exhibent leurs poitrines. La plupart sont très jeunes, et je me dis que nous devons ressembler à une bande de cougars.
Petit à petit, une douce chaleur s’installe au creux de mon ventre. Difficile de rester insensible à ces hommes dénudés, dont la musculature donnerait des complexes à nos maris, moins entrainés, plus investis dans leurs métiers que dans la culture du corps. Il y en a vraiment pour tous les goûts, des jeunes, des plus matures (encore que je ne pense pas qu’un seul ait dépassé la quarantaine) des blonds, des bruns, des blacks, un asiatique. Mes amies semblent captivées elles aussi par le spectacle, et frottent nerveusement leurs jambes, l’une contre l’autre.
Après plus d’une heure de spectacle, le dernier stripteaser, quitte la scène sous les hourras et les bis qui fusent. Les lumières de la salle se rallument. Je pense que c’est fini, mais Karine, nous dit de rester assises. La voix off vient couvrir la musique et demande si le show nous a plu. Toutes les filles présentes hurlent un OUIIIII ! massif. La question suivante est logique : Voulez vous revoir les boys ? Encore une fois la réponse est Ouiiii !
Est-ce que vous en avez assez ? Noooon !
Est ce que vous en voulez encore ? Ouiiiii !
Et là, tous les chippendales entrent en scène, vétus de smokings. Ils se mettent à danser en ligne sur le podium en s’effeuillant en rythme pendant que nos applaudissements scandent leur deshabillage. Une fois en String, ils descendent de l’estrade et se rapprochent des tables, venant onduler devant les femmes qui sont toutes en chaleur, maintenant. Les plus délurées essaient d’attraper les strings des danseurs. Ceux-ci les esquivent habilement avant de se défaire du dernier rempart à leur pudeur. Les hommes sont rapidement nus, et se trémoussent devant les filles. L’un d’eux a une bombe de chantilly, et projete sur son sexe une bonne dose de crème avant de venir proposer aux spectatrices d’y gouter. Avec plus ou moins de pudeur, les unes se contentent d’une léchouille rapide, alors que d’autres engloutissent la chantilly en suçant les membres qui prennent peu à peu de la vigueur. Les danseurs passent d’une femme à l’autre, mais ne se rapprochent pas de nous. Dans le groupe le plus important les filles poussent en avant une petite blonde. Probablement celle qui enterre sa vie de jeune fille. La voici sur le podium, assise sur une chaise et un grand Black vient lui présenter son mandrin recouvert de Chantilly. Elle commence timidement à lécher la crème, mais ses copines l’encouragent à le prendre en bouche, ce qu’elle finit par faire, déclenchant un Olé ! général. Sous nos yeux, elle embouche le sceptre noir, et suce le mandrin. La crème déborde de sa bouche par les commissures de ses lèvres. Une de ses amies vient l’aider et récupère d’une langue agile, la chantilly. Elle pousse sur la tête de la blonde qui amplifie son va et vient, sans arriver à faire entrer le morceau entier dans sa bouche. Au bout d’un temps, elle s’interromp et laisse sa copine, plus dévergondée prendre sa place. Cette dernière, expérimentée lèche les testicules, et la hampe avant de l’engloutir en gorge profonde. Elle trouve un angle qui lui permet d’absorber l’énorme queue noire qui vient taper contre sa glotte. Elle remue la tête, et l’enfonce peu à peu, jusqu’à ce que son visage aille se perdre dans le pubis du noir. A plusieurs reprises elle sort puis réinsère le long mandrin au fond de sa gorge, encouragé par ses copines qui scandent son nom. Le Mannequin black, tout sourire, appuie sur sa tête d’une large main,. La blonde passant derrière sa copine a descendu son top, et lui empoigne les seins qu’elle pince, avant de les sucer.
Partout dans l’assistance, des chippendales se font masturber ou sucer.
« Eh ! ils nous oublient ou quoi ? » s’insurge Karine. « On va leur rappeler qu’on est là. Faites comme moi les filles !. »
Sur ces paroles, elle glisse ses mains sous sa robe, et redescend avec son string, qu’elle enlève définitivement en soulevant ses escarpins.
Axelle, la regarde en rigolant.
« Bof ! maintenant qu’on est là. » dit elle. Ses mains remontent sa jupe jusqu’à atteindre sa culotte transparente, qui se retrouve aussitôt sur ses chevilles.
Je suis un peu dépassée par les évènements. Certes je m’attendais à une soirée un peu canaille, mais là, je suis surprise par l’attitude de mes amies, d’ordinaire de sages femmes au foyer, ou du moins, c’est ce que je supposais. Les autres me regardent et je ne peux me dérober. A mon tour, je faufile mes mains sous ma robe en essayant de ne pas trop me dévoiler. Heureusement le tissu suit mes mains et retombe dès que mon tanga de dentelle glisse le long de mes jambes. Nous nous tournons vers Martine, la seule à ne pas avoir esquissé le moindre geste, alors que ce n’est pas forcément la plus prude.Elle nous regarde d’un air géné
« Je n’ai pas de culotte » nous avoue t’elle. Karine s’esclaffe.
« Tu avais pris les devants, ma cochonne ! » raille t’elle
« Non, s’excuse presque Martine, je n’en porte plus depuis des années. Si j’avais su, bien sur… »
« Ce n’est rien, lui dis-je, tu ne pouvais pas prévoir. »
Martine, passe les mains dans son dos, et dégrafe son soutien-gorge, qu’elle extrait avec dextérité.
« J’ai ça, qui devrait faire l’affaire. »
« Super !Allez les filles, projection de culottes » ordonne Karine.
Nous jetons nos sous vêtements en direction du podium. L’un des chippendales reçoit mon tanga. Il le porte à son nez et hume le tissu. Un autre a pris le string de Karine et s’en est fait un bonnet. Deux, puis trois danseurs se dirigent vers nous. Martine capte le premier et l’enfourne dans sa bouche aspirant fortement la chantlly. Un blond baraqué aux cheveux ras, s’est arrêté devant Axelle, qui commence à déguster la crème sucrée en y trempant le doigt, mais Karine la hue, et elle finit par emboucher un membre long et fin qu’elle suce un moment, avant de le passer à sa voisine, qui a déjà déboutonné sa veste de tailleur, exposant ses seins maquillés que le danseur empoigne aussitôt, et malaxe sans vergogne. Elle lèche consciencieusement la hampe fièrement érigée, et vient haper les couilles avec ses lèvres. Le danseur Brun quitte Martine et pulvérisant un nouveau nuage de chantilly, vient faire osciller son mât sous mes yeux. Je commence à suçoter le gland. Je ne suis pas folle de fellation, mais je dois reconnaître qu’ainsi décorée cette bite est plus agréable à sucer. Je l’embouche et la fait coulisser jusqu’au fond de ma gorge, le gout sucré se mariant à merveille avec la saveur musquée de l’engin. L’homme se contente de quelques va-et vient, et s’en va proposer sa marchandise à une autre.
Mon regard vient se poser sur le podium où la petite blonde est allongée sur le dos, à même le sol, les deux jambes largement écartées, pointée vers le plafond. Le grand black la ramone avec de longs mouvements, son chibre énorme distendant l’ouverture de son sexe, le bassin balançant d’arrière en avant. A chaque poussée elle emet un râle rauque. Encouragé ce partenaire, accélère son intromission, ses bourses venant taper bruyamment, sur le cul de la future mariée.
« En tout cas, le rodage sera déjà fait » commente Karine.
L’assistance est maintenant tournée vers ce couple, et bat des mains, à chaque coup de boutoir, et crie.
Les autres danseurs continuent invariablement à s’occuper de cette clientèle féminine. Oh, bien sur, il y a quelques jeunes filles qui se contentent de regarder en refusant toute approche, mais elles sont moquées par leurs congénères, qui huent chaque refus. En réalité, même si je ne comprends pas bien ce qu’elles font là, je compatis pour ces pauvres filles, fidèles, ou un peu prudes qui ne souscrivent pas à cette ambiance sexuelle débridée. Je me dis que , seule, et plus jeune, j’aurais été comme elle, tant l’amour était idéalisé dans ma tête. Aujourd’hui, avec plus de recul, je sais que le monde tourne souvent autour du sexe, et que toutes les femmes présentes, ne font rien de pire que ce que les hommes ont pratiqué, pendant des années dans les maisons closes. On doit être même bien en deça.
La libération des mœurs a apporté aux femmes plus d’égalité, même si c’est encore insuffisant, mais également a masculinisé leurs comportements, et nous sommes souvent à la recherche d’un plaisir sexuel, en mettant à part le sentiment amoureux.
Il suffit d’un coup d’œil sur l’assemblée pour se rendre compte que les temps ont changé. Les jeunes filles, qui, autrefois, étaient des rosières pudiques et réservées, attendant leur prince charmant, sont aujourd’hui, autour de moi bien dévergondées. Certaines s’adonnent au plaisir de la fellation. D’autres, dépoitraillées s’embrassent à pleine bouche et se caressent ostensiblement, et les plus aventureuses, ont réussi à s’attirer les attentions d’un Chippendale, qui après les avoir partiellement dévétues, les font crier de plaisir, en levrette, ou en missionnaire, quand elles ne se font pas sodomiser. Cette bacchanale déchainée s’achève dans les hurlements de la future promise qui jouit bruyamment sous les acclamations de ses consoeurs.
La musique techno est brutalement stoppée. Les lumières se tamisent, ne laissant qu’un projecteur qui envoie un halo de lumière sur le podium, ou l’on a installé une sorte de banquette sans dossier. La Musique redémarre. « Happy birthday. » Tout le monde se lève et tape dans les mains, alors que quatre Chippendales en smoking font leur entrée, et se dirigent… vers moi ?
Mes amies sont autour de moi et Karine me crie
« C’est la spéciale anniv, ma poulette ! »
Je suis bientôt entourée par les quatre danseurs baraqués. Duex d’entre eux, me tendent la main, et c’est, tenue par les deux mains qu’ils m’entrainent vers le podium, et me font asseoir sur la banquette. Je fais bonne figure mais je me demande quelle est la suite..
Maintenant assise sur la moleskine, j’assiste à l’effeuillage des chippendales, qui, tout en dansant, se retrouvent vite, en strings. Ils commencent à tourner autour de moi tout en dansant. Chacun d’entre eux faisant une halte face à moi, pour exhiber, sa musculature, ses fesses rebondies, ses pectoraux, ou ses biceps. Après quelques tours, l’un d’eux se débarasse de son string, et me présente ses attributs, un sexe long et volumineux, soigneusement épilé, au dessus d’une paire de bourses, bien rondes. Atour de rôle les autres l’imitent. Si j’ai bien compris, je dois en choisir un. Indépendamment des considérations de taille, ou de muscles, j’opte pour celui qui me semble le plus doux, que je choisis en lui prenant la main. La ronde des prétendants cesse alors et mon « chevalier servant » se rapproche de moi. Il commence à me caresser par dessus ma robe. D,abord les cheveux , puis mon visage. Il descend sur mon cou et mes épaules pour atteindre ma poitrine qu’il empaume de ses larges mains. Il est Blond, avec une gueule d’ange, et ne porte rien, à part un nœud papillon, et ses chaussures. Son corps est musclé sans excès,avec des abdos saillants façon tablette de chocolat. Son sexe est long et circoncis avec un gland violacé, mais il ne bande pas, attendant, sans doute que je m’en occupe. Comme je ne suis pas une adepte de la fellation, je saisis son membre et commence à le branler doucement. Sous mes doigt, je le sens grossir et se tendre. Je caresses ses testicules, et glisse un doigt entre ses cuisses jusqu’à son anus. Cette caresse semble lui faire de l’effet car son organe continue à enfler et à se raidir. En continuant mon travail manuel, dans le feu de l’action je lèche son gland à plusieurs reprises. Il est maintenant complètement érigé. Un sabre, courbe et fier qui se dresse vers le ciel. Ses mains glissent sur mes flancs pour atteindre mes cuisses. Il s’agenouille, et son engin m’échappe.Il embrasse mes cuisses en descendant jusqu’à mes genoux. Il les écarte et soulève ma robe pour glisser sa tête dessous. Je sens ses baiser sur l’intérieur de mes cuisses, et sa tête qui remonte m’obligeant à écarter les cuisses de plus en plus, jusqu’à ce qu’il atteigne mon pubis, juste orné d’un minimaliste ticket de métro. Il plante son nez dedans en humant mes odeurs, puis avance le menton, sa langue venant explorer mes lèvres intimes qu’il lèche en les ouvrant. Il fait courir sa langue sur ma vulve et remonte pour capter mon clitoris qu’il aspire en le captant entre ses lèvres avant de le relacher brusquement. La chaleur dans mon ventre s’intensifie, et je m’ouvre un peu plus à ses caresses. Heureusement, me dis-je, il masque ce qui se passe à la vue de l’assemblée, même si personne ne doit douter de ce qui se produit sous le fin tissu de ma robe. Sa langue pointue écarte mes chairs et s’enfonce dans la chatte, avant de ressortir et de venir titiller mon anus. Un doigt, vient s’insinuer dans mon antre, et compléter la caresse bucale, puis deux, puis trois. Je gémis de bonheur sous cette introduction, à la fois douce et impérieuse, qui ne rencontre aucun obstacle, tant le passage est lubrifié. Ses deux mains, qui poussaient sur mes cuisses pour les écarter, sont maintenant libres,, et après avoir joué dans ma chatte deux doigts sont enfoncés sans ménagement dans mon petit trou du cul. Je suis léchée, sucée, branlée par mes deux orifices, et je brûle de l’intérieur. Mes jambes sont relevées et passent sur les épaules de l’éphèbe. Je me tortille en gémissant sous sa tête. Comme c’est bon ! Comme c’est jouissif, et je réclame une bonne queue pour me remplir. Tant de plaisir ne serait pas parfait si une sexe d’homme ne venait pas parachever ces préliminaires torrides. Il s’extrait de ma robe, et me prenant par les mains, il me relève, et vient s’asseoir à la place que j’ai occupée, puis il m’attire à lui. Je suis obligée d’écarter les jambes pour me rapprocher sans buter sur ses genoux. Là, il appuie sur mes épaules et me fait descendre sur son membre dressé, qu’il dirige d’une main vers ma cavité. Je sens son gland qui appuie sur mon sexe avant d’y entrer, et de faire son chemin, petit à petit, par à coups, jusqu’à ce que je sois totalement investie par ce morceau de chair qui, comme un tison, me brûle au fur et à mesure de son introduction. Je me laisse manipuler par mon Chippendale qui, me tenant par la taille, arrive à engouffrer son mandrin tout au fond de moi, mon entrejambe venant prendre appui sur ses couilles à chaque mouvement.
Les jambes au sol je pousse sur elles, avant de relacher mon effort pour accentuer les mouvements de ses reins. Ses mains font glisser les lacets de ma robe et la rirent vers le bas pour dévoiler mes seins qui sont aussitôt pris en main.
Incroyable. Me voici, nue, en train de me faire défoncer par une énorme queue devant mes meilleures amies et un florilège de jeunes filles qui pourraient être mes enfants. Je suis tout à la fois honteuse, et heureuse de cet accouplement bestial qui me procure un plaisir que je n’ai pas ressenti depuis longtemps. A chaque fois que je crois que c’est fini, une nouvelle vague m’emporte et je jouis en criant, en hurlant mon plaisir.
Les meilleures choses ont une faim et mon Chippendale se désunit de moi . et m’assied se levant face à moi. Il met ma main sur son sexe bandé, et je le masturbe énergiquement jusqu’à ce qu’il envoie plusieurs salves de sperme sur mes seins et ma robe. Puis il m’embrasse sur les joues avant de disparaître derrière le rideau qui masque l’entrée.
Je rajuste, ma robe, tant bien que mal et tente de faire disparaître les traces de ce coit.
Autour de moi, les jeunes filles applaudissent. Enfin celles qui ne sont pas occupées à copuler. Karine, à quatre pattes, la jupe de son tailleurs relevée sur ses reins reçoit les hommages d’un black, fortement membré, et Martine, a sa robe relevée sur un porte jarretelle noir. Un Chippendale de type asiatique est en train de faire coulisser son sexe long dans son cul, ce qu’elle a l’air d’apprécier . Seule Axelle est restée sage parmi nous. Elle m’accueille avec un sourire.
« Ne t’inquiète pas, ce qui se passe ici, reste ici. »
« Quand même , j’ai honte de moi. »
« On a toutes un peu honte, c’est un reste de notre éducation judéo-chrétienne. Mais c’est si bon de se laisser aller de temps en temps. »
« Ma pauvre Axelle, je n’ose imaginer ce que tu penses de nous. »
« Rassure toi, j’ai commis bien pire. Tu verras, une bonne douche et tout ça sera juste un bon souvenir quand tu seras vieille. »
L’ambiance est en train de tomber, un peu et les Chippendales font leurs adieux.
Nous sortons sans mot dire, au milieu des gamines qui, toutes excitées s’interpèlent et parlent de boite de nuit.
Il est un peu plus de minuit quand nous regagnons la voiture.
Je dépose mes amies chez elles et rejoint le domicile conjugal. Je rentre sans faire de bruit et me rends directement dans la salle de bain. Après avoir mis ma robe au linge sale, je me jette sous la douche. Un quart d’heure plus tard, j’en sors, remise de mes émotions, malgré une douleur persistante, sans doute due au volume de mon amant d’un soir.
Dans la chambre, Fabien, mon mari bouquine. Il lève les yeux sur moi quand je viens le coucher.
« Alors cette soirée ? »
« Bof, tu sais, rien de bien nouveau, c’est un peu toujours pareil. »
« Tu as soufflé les bougies ? »
« Oui aussi » dis-je en repensant à une en particulier.
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