Soirée pyjama. 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2018 dans la catégorie Plus on est
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Soirée pyjama. 4
Soirée pyjama.4
Mes parents étant absents pour le weekend, j’ai obtenu leur autorisation pour inviter mes copines.
On se fera une soirée pyjama.
Suite.
- Depuis tout à l'heure je suis sur les charbons ardents de voir mes copines faire du rodéo sur ta pine, Tu a beau être mon frère, (même si ce n’est pas réellement vrai car comme beaucoup d’enfants, nous vivons dans une famille recomposée), que j'aime mais je ne peux pas passer à coté d’une telle teub. Je n’en reverrai peut-être jamais d’autres d’un tel calibre, je veux ta bite, je veux m’exploser la chatte sur ton manche de pioche !
-Mais je suis ton FRERE ! (Enfin presque). Tu n’as donc plus aucune morale ? Reprends-toi ! Me sermonne-t-il, tout en restant toujours aussi passif qu’avec les copines, il ne cherche pas à me repousser.
-Tu me dis ça mais pourtant tu rebandes pour moi, je lui rétorque, et pas qu’un peu !
Son sexe pointant toujours au garde-à-vous, j’enjambe son corps et descends avec précaution ma fente au contact du soc massif, le coinçant dans mon intimité.
Je me cambre, pose mes mains sur ses cuisses et me pénètre avec volupté sur sa queue, l’impression est très forte. Comme l’étrave d’un chasse-neige repoussant les congères devant lui, son gland trigonocéphale repousse mes chairs qui doivent s’adapter devant sa poussée.
Une fois la route ouverte, son rostre bute au fond comme dans une impasse. Je me défonce la chatte avec son outil, j’écrase ses couilles avec mes fesses, tapant tout au fond.
Sa bite très épaisse dilate au maximum ma matrice. Huuummm, quel pied !
Nos respirations s’accélèrent, mon cœur bat de plus en plus fort !
J’accélère mon rythme, m’aboutant encore et encore sur cet axe d’acier jusqu'à atteindre l’orgasme. Une formidable explosion de plaisir me vrille le corps, je crie et lâche les grandes eaux en m’éjectant de sa teub.
Reprenant doucement mes esprits, je trempe ma main dans ma chatte ruisselante de cyprine dû à l'abondance de mes sécrétions vaginales. Puis je porte mes doigts à ses lèvres afin de lui faire connaître les saveurs intimes et odorantes de sa « sœur ». Il a un instant d’hésitation avant de les lécher avec une gourmandise non feinte.
Il m’attire violemment à lui et m'embrasse passionnément. Je réponds à son baiser en enroulant ma langue avec la sienne.
On dirait que ce baiser fougueux vient de le faire sortir de sa torpeur. Ses mains, pour la première fois de la soirée, quittent le lit, l’une me pétrit les fesses pendant que l’autre explore ma poitrine.
Il me susurre à l’oreille :
-Ça fait des années que je fantasmais en pensant à toi, ça me travaillait tant que c’est pour ça que je voulais entrer dans les Ordres. J’avais trop peur ne pouvoir me contrôler et d’abuser de toi. Et là, c’est toi qui abuse de moi. Mais je ne peux plus me retenir.
Ses aveux décuplent ma libido, je le repousse mais il ne se laisse plus faire. Il se retrouve au dessus de moi et m’embroche comme un rôti.
Il me secoue dans tous les sens par des coups de bite surpuissants, me faisant crier à chaque pénétration.
- Oh oui c'est trop bon frérot ! Plus fort ! Encore ! Encore ! Je suis ta chienne !
Les filles sont ébahies de voir une telle métamorphose chez Thomas.
Il souffle comme un phoque et pousse des "han" de bucheron quand il s’enfonce en moi. Je ne peux plus résister à l’orgasme qui me tord les tripes, faisant contracter mes muqueuses vaginales.
Ma jouissance est si forte que mon vagin musclé semble vouloir broyer sa lance pour en extraire son suc.
Il donne des coups de queue puissants et de plus en plus rapides, faisant claquer ses couilles contre mes fesses. Je peux sentir la progression de son gland surdimensionné qui glisse le long des parois bien lubrifiées de mon vagin, tant il est serré.
Son pénis si épais me procure des sensations divines ! J'insinue un doigt dans son petit trou, lui arrachant un "oh" de surprise mais qui déclenche aussitôt sa jouissance.
Il s’arc-boute et envoie une décharge de foutre brûlante au fond de mon être. Je me dégage non sans difficulté de son étreinte, recevant les autres jets de sperme sur mon ventre. Je le regarde dans les yeux pour le remercier muettement!
Les autres filles, comme une nuée de mouches, viennent à la curée. Elles se précipitent sur sa queue, et sur mon ventre pour se délecter de son nectar.
Cinq langues nous nettoient avec soin ! Les copines me lèchent copieusement à grands coups de langues ainsi que la verge de Thomas qui mollit.
Elles se battent presque pour son pal et un dernier miracle réveille le goupillon du futur prêtre. Il faut dire qu’elles se sont employées comme des furies.
Thomas est transformé, il les repousse avec difficulté et m’attire dans ses bras. Il passe un bras sous mes fesses et l'autre dans mon dos, plie les genoux pour que son bélier se trouve à hauteur de ma foufoune rasée. Il écarte les jambes, un sourire diabolique aux lèvres, il va me baiser debout.
Son gland violet s’insinue entre mes grandes lèvres charnues, dévoilant mes petites lèvres.
Il se relève d'un coup, me soutenant de ses bras puis laisse la gravité faire son effet.
Je me retrouve empalée d'un seul coup jusqu’à la garde sur son formidable pénis.
J’enfonce mes ongles dans sa nuque en poussant un cri. Prisonnière de ses bras, je ne peux que me laisser travailler par son marteau-pilon.
Il titube jusqu’au mur et me plaque contre lui. Nos poitrines frottent l’une contre l’autre. Je le ceinture de mes jambes, les yeux fermés, la bouche grande-ouverte.
Il poursuit son va-et-vient profond et rapide. Nos corps se frottent. On gémit très fort tous les deux.
Il s’est trop retiré et sa verge s’égare entre mes fesses. Rachel en profite pour glisser sa main, elle prend sa pine et l’appuie sur mon sphincter.
Je ne veux pas qu’il m’encule. Il va me déchirer. Il me presse sur son torse, je sens son membre en érection pesé sur l’orifice. Son sexe bien droit a du mal à perforer mon anus.
Se rend-t-il compte qu’il a changé d’orifice ?
Il défonce la porte arrière, je subis le supplice du pal. Je me suis déjà faite sodomiser mais pas avec un tel calibre !
C’est en même temps horrible de souffrance et du pur bonheur. Je me fais ramoner le fion par Thomas !
Je sens le défonce-cul dans mon ventre, mon cul est plein de cette bite qui monte et descend précautionneusement dans mes boyaux. Il est impressionnant de puissance, il ne prend plus de précautions maintenant et m’explose les boyaux !
La douleur s’estompe enfin, dominé par le plaisir. Son sexe entre de mieux en mieux, ma rondelle s’est dilatée autour de la barre de chair de mon frère.
Il me dit à l’oreille qu’il va m’inonder le fondement. C’est l’apothéose quand il me bloque sur lui et me remplit de sa semence dans un feulement de félin!
Je l’enlace très fort quand je sens son sperme gicler dans mon ventre. Il se vide littéralement et j’hurle de bonheur en tournant la tête dans tous les sens. On reste ainsi un certain temps l’un dans l’autre, savourant chacun notre plaisir.
Il me repose et retire son manche noueux tout gluant de nos ébats.
Quand je pense qu’il vient, en un soir, de se dépuceler, de baiser cinq filles plus belles l’une que l’autre, de faire l’amour à sa presque sœur et de l’enculer. Beaucoup d’hommes ne connaîtront jamais de telles situations dans toutes leur vie sexuelle ! Cette folle nuit se termine enfin. Nous regagnons ma chambre et le laissons seul avec des questions qui doivent tourner dans sa tête. Séminaire ou baise ? Soutane ou string ? Confession ou pas de ce qu’il vient de vivre ?
J’attends que les copines s’assoupissent et rejoins mon petit-frère adoré dans sa chambre. Je me glisse nue dans ses draps.
Il dort déjà, repu de fatigue. Je me love contre lui, bercée par son souffle régulier et par la chaleur de son corps.
Je glisse ma main dans son pyjama et me saisis de son sexe. Même au repos, c’est un sacré morceau ! Et je m’endors à ses cotés.
Que nous réserve l’avenir ? Le paradis sur terre et l’enfer plus tard ? Ou alors le contraire ?
Fin.
Mes parents étant absents pour le weekend, j’ai obtenu leur autorisation pour inviter mes copines.
On se fera une soirée pyjama.
Suite.
- Depuis tout à l'heure je suis sur les charbons ardents de voir mes copines faire du rodéo sur ta pine, Tu a beau être mon frère, (même si ce n’est pas réellement vrai car comme beaucoup d’enfants, nous vivons dans une famille recomposée), que j'aime mais je ne peux pas passer à coté d’une telle teub. Je n’en reverrai peut-être jamais d’autres d’un tel calibre, je veux ta bite, je veux m’exploser la chatte sur ton manche de pioche !
-Mais je suis ton FRERE ! (Enfin presque). Tu n’as donc plus aucune morale ? Reprends-toi ! Me sermonne-t-il, tout en restant toujours aussi passif qu’avec les copines, il ne cherche pas à me repousser.
-Tu me dis ça mais pourtant tu rebandes pour moi, je lui rétorque, et pas qu’un peu !
Son sexe pointant toujours au garde-à-vous, j’enjambe son corps et descends avec précaution ma fente au contact du soc massif, le coinçant dans mon intimité.
Je me cambre, pose mes mains sur ses cuisses et me pénètre avec volupté sur sa queue, l’impression est très forte. Comme l’étrave d’un chasse-neige repoussant les congères devant lui, son gland trigonocéphale repousse mes chairs qui doivent s’adapter devant sa poussée.
Une fois la route ouverte, son rostre bute au fond comme dans une impasse. Je me défonce la chatte avec son outil, j’écrase ses couilles avec mes fesses, tapant tout au fond.
Sa bite très épaisse dilate au maximum ma matrice. Huuummm, quel pied !
Nos respirations s’accélèrent, mon cœur bat de plus en plus fort !
J’accélère mon rythme, m’aboutant encore et encore sur cet axe d’acier jusqu'à atteindre l’orgasme. Une formidable explosion de plaisir me vrille le corps, je crie et lâche les grandes eaux en m’éjectant de sa teub.
Reprenant doucement mes esprits, je trempe ma main dans ma chatte ruisselante de cyprine dû à l'abondance de mes sécrétions vaginales. Puis je porte mes doigts à ses lèvres afin de lui faire connaître les saveurs intimes et odorantes de sa « sœur ». Il a un instant d’hésitation avant de les lécher avec une gourmandise non feinte.
Il m’attire violemment à lui et m'embrasse passionnément. Je réponds à son baiser en enroulant ma langue avec la sienne.
On dirait que ce baiser fougueux vient de le faire sortir de sa torpeur. Ses mains, pour la première fois de la soirée, quittent le lit, l’une me pétrit les fesses pendant que l’autre explore ma poitrine.
Il me susurre à l’oreille :
-Ça fait des années que je fantasmais en pensant à toi, ça me travaillait tant que c’est pour ça que je voulais entrer dans les Ordres. J’avais trop peur ne pouvoir me contrôler et d’abuser de toi. Et là, c’est toi qui abuse de moi. Mais je ne peux plus me retenir.
Ses aveux décuplent ma libido, je le repousse mais il ne se laisse plus faire. Il se retrouve au dessus de moi et m’embroche comme un rôti.
Il me secoue dans tous les sens par des coups de bite surpuissants, me faisant crier à chaque pénétration.
- Oh oui c'est trop bon frérot ! Plus fort ! Encore ! Encore ! Je suis ta chienne !
Les filles sont ébahies de voir une telle métamorphose chez Thomas.
Il souffle comme un phoque et pousse des "han" de bucheron quand il s’enfonce en moi. Je ne peux plus résister à l’orgasme qui me tord les tripes, faisant contracter mes muqueuses vaginales.
Ma jouissance est si forte que mon vagin musclé semble vouloir broyer sa lance pour en extraire son suc.
Il donne des coups de queue puissants et de plus en plus rapides, faisant claquer ses couilles contre mes fesses. Je peux sentir la progression de son gland surdimensionné qui glisse le long des parois bien lubrifiées de mon vagin, tant il est serré.
Son pénis si épais me procure des sensations divines ! J'insinue un doigt dans son petit trou, lui arrachant un "oh" de surprise mais qui déclenche aussitôt sa jouissance.
Il s’arc-boute et envoie une décharge de foutre brûlante au fond de mon être. Je me dégage non sans difficulté de son étreinte, recevant les autres jets de sperme sur mon ventre. Je le regarde dans les yeux pour le remercier muettement!
Les autres filles, comme une nuée de mouches, viennent à la curée. Elles se précipitent sur sa queue, et sur mon ventre pour se délecter de son nectar.
Cinq langues nous nettoient avec soin ! Les copines me lèchent copieusement à grands coups de langues ainsi que la verge de Thomas qui mollit.
Elles se battent presque pour son pal et un dernier miracle réveille le goupillon du futur prêtre. Il faut dire qu’elles se sont employées comme des furies.
Thomas est transformé, il les repousse avec difficulté et m’attire dans ses bras. Il passe un bras sous mes fesses et l'autre dans mon dos, plie les genoux pour que son bélier se trouve à hauteur de ma foufoune rasée. Il écarte les jambes, un sourire diabolique aux lèvres, il va me baiser debout.
Son gland violet s’insinue entre mes grandes lèvres charnues, dévoilant mes petites lèvres.
Il se relève d'un coup, me soutenant de ses bras puis laisse la gravité faire son effet.
Je me retrouve empalée d'un seul coup jusqu’à la garde sur son formidable pénis.
J’enfonce mes ongles dans sa nuque en poussant un cri. Prisonnière de ses bras, je ne peux que me laisser travailler par son marteau-pilon.
Il titube jusqu’au mur et me plaque contre lui. Nos poitrines frottent l’une contre l’autre. Je le ceinture de mes jambes, les yeux fermés, la bouche grande-ouverte.
Il poursuit son va-et-vient profond et rapide. Nos corps se frottent. On gémit très fort tous les deux.
Il s’est trop retiré et sa verge s’égare entre mes fesses. Rachel en profite pour glisser sa main, elle prend sa pine et l’appuie sur mon sphincter.
Je ne veux pas qu’il m’encule. Il va me déchirer. Il me presse sur son torse, je sens son membre en érection pesé sur l’orifice. Son sexe bien droit a du mal à perforer mon anus.
Se rend-t-il compte qu’il a changé d’orifice ?
Il défonce la porte arrière, je subis le supplice du pal. Je me suis déjà faite sodomiser mais pas avec un tel calibre !
C’est en même temps horrible de souffrance et du pur bonheur. Je me fais ramoner le fion par Thomas !
Je sens le défonce-cul dans mon ventre, mon cul est plein de cette bite qui monte et descend précautionneusement dans mes boyaux. Il est impressionnant de puissance, il ne prend plus de précautions maintenant et m’explose les boyaux !
La douleur s’estompe enfin, dominé par le plaisir. Son sexe entre de mieux en mieux, ma rondelle s’est dilatée autour de la barre de chair de mon frère.
Il me dit à l’oreille qu’il va m’inonder le fondement. C’est l’apothéose quand il me bloque sur lui et me remplit de sa semence dans un feulement de félin!
Je l’enlace très fort quand je sens son sperme gicler dans mon ventre. Il se vide littéralement et j’hurle de bonheur en tournant la tête dans tous les sens. On reste ainsi un certain temps l’un dans l’autre, savourant chacun notre plaisir.
Il me repose et retire son manche noueux tout gluant de nos ébats.
Quand je pense qu’il vient, en un soir, de se dépuceler, de baiser cinq filles plus belles l’une que l’autre, de faire l’amour à sa presque sœur et de l’enculer. Beaucoup d’hommes ne connaîtront jamais de telles situations dans toutes leur vie sexuelle ! Cette folle nuit se termine enfin. Nous regagnons ma chambre et le laissons seul avec des questions qui doivent tourner dans sa tête. Séminaire ou baise ? Soutane ou string ? Confession ou pas de ce qu’il vient de vivre ?
J’attends que les copines s’assoupissent et rejoins mon petit-frère adoré dans sa chambre. Je me glisse nue dans ses draps.
Il dort déjà, repu de fatigue. Je me love contre lui, bercée par son souffle régulier et par la chaleur de son corps.
Je glisse ma main dans son pyjama et me saisis de son sexe. Même au repos, c’est un sacré morceau ! Et je m’endors à ses cotés.
Que nous réserve l’avenir ? Le paradis sur terre et l’enfer plus tard ? Ou alors le contraire ?
Fin.
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Les avis des lecteurs
Ses futures ouailles ?
Dieu ou le diable ?
Une innocence qui s'envole
Il faut que j'essaie avec mon frère
J'espère une suite un jour
Séminaire ou luxure? Le choix sera difficile. Ou alors les deux? C'est arrivé plus souvent qu'on ne le croit