Sophie suite
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 51 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Omarrrr ont reçu un total de 531 596 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2021 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 6 787 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Sophie suite
Et soudain une surprise nous électrocute. Un appel téléphonique d’Awa. À la fin de notre séjour en Afrique, des larmes plein les yeux, nous lui avions donné notre adresse et téléphone. Nous étions sûrs de n’avoir jamais aucune nouvelle. Et là il nous annonce qu’il est en France, à Nantes, pour voir un cousin et qu’il serait heureux de nous voir. Je pense surtout qu’il serait heureux de revoir Sophie. Celle-ci est tout excitée par cette soudaine annonce. Un immense trouble envahit notre foyer.
Bien sûr nous l’avons invité à venir nous voir sur la côte vendéenne. En cette fin mai, le beau temps est déjà bien présent et nous sommes très heureux de lui faire découvrir notre région. Je me demande aussi comment vont se produire les retrouvailles avec ma femme.
Deux jours plus tard, il arrive en gare et nous sommes là, tous les deux à l’attendre sur le quai avec un peu de nervosité et d’excitation. Sophie a mis une jolie petite robe bleue assez courte, mais relativement sage. Nous le voyons sauter souplement sur le quai avec son sac et se diriger vers nous avec un magnifique sourire et des yeux pétillants. Arrivé à notre hauteur, sans aucune hésitation, il se colle à Sophie, l’entourant de ses bras et l’embrassant sur la bouche. Puis il me fait une accolade très amicale et en riant. Il semble très content de nous retrouver et nous l’accueillons avec bonheur et un peu de gêne devant ce comportement si démonstratif. Sophie regarde tout autour d’elle en espérant que personne de nos connaissances ne soit témoin de cette scène. Rapidement nous nous dirigeons vers la sortie de la gare pour rejoindre la voiture. Awa passe son bras gauche sur les épaules de Sophie et sa main vient presque cueillir son sein. Nous nous engouffrons dans la voiture et nous prenons la direction de la maison, à quelques kilomètres de là. Sophie est montée derrière et Awa est à côté de moi. Il est extrêmement volubile et de très bonne humeur.
Arrivés à la maison, nous installons Awa dans notre chambre d’ami et nous nous retrouvons dans le salon ou nous échangeons sur les événements passés depuis notre dernière rencontre. Awa nous demande si nous avons toujours la sculpture que son père avait réalisée. Il nous explique que beaucoup de copies ont été réalisées, car la statue a eu beaucoup de succès. Il en a même déposé à Nantes pour être vendu sur les trottoirs. Nous étions sidérés.
Le lendemain, après avoir déposé notre fils à l’école, nous avons décidé de partir faire une virée en voiture pour découvrir notre campagne et nos plages. C’est ainsi que nous avons retrouvé une plage sauvage que nous apprécions beaucoup et qui a été le théâtre de nos premiers débordements amoureux il y a déjà plusieurs années. Sophie a revêtu une très jolie robe de plage jaune soleil à bretelles. Un petit string blanc et une paire de tennis blancs complètent la tenue. Pour ma part, j’ai choisi un pantalon blanc en toile et une chemisette bleu ciel. Awa a son bermuda beige et un tee-shirt noir et des tongs. Nous retrouvons notre plage, proche d’un blockhaus que des grapheurs ont décoré.
Dès que le soleil chauffe, Sophie enlève sa robe et propose à notre invité de faire une promenade le long de la grève. Je les vois partir en discutant, les pieds dans l’eau. Le corps blanc de Sophie et surtout ses fesses sont un régal à voir à côté du dos musclé et noir d’Awa. Pour ma part je me plonge dans le dernier Stephen King. L’intrigue et la complexité des différents personnages m’entraînent dans un autre monde bercé par le souffle de la brise et illuminé par des reflets sur les vagues. Sans en avoir conscience le temps passe et après une heure je me rends compte que mes deux promeneurs ne sont plus a portés de regard. Je me lève donc pour avoir une meilleure vue de cette magnifique plage. Mais ils restent invisibles.
Je pose mon livre et après un regard circulaire, je pars dans la direction qu’ils avaient prise. Une super promenade les pieds dans l’eau fraîche commence, tantôt explorant la plage tantôt le regard tourné vers la mer. L’odeur d’iode est très agréable, les cris des mouettes traversent l’espace et leurs ballets aériens sont une joie pour le regard. Je progresse tranquillement le long de l’eau et je perçois un peu plus loin un petit groupe de personne en retrait sur la dune. Par curiosité je me dirige vers ces quelques personnes en grimpant sur la dune. Là, je découvre Sophie allongée sur le dos avec Awa entre les jambes en train de la perforer de sa lance devant cinq ou six hommes. Ils sont répartis, plus ou moins proche, tout autour de la scène. Sophie est couverte de sueur, ses mains sont posées sur les fesses du jeune homme, le caressant et donnant le rythme. Son souffle est court et entrecoupé de petits cris d’encouragement.
Les commentaires des voyeurs couvrent parfois les soupirs d’aise du couple. Certains se masturbent ouvertement et cherchent un bon angle pour assouvir leur plaisir visuel. Cette lance de chair est très impressionnante à voir en action. Les voyeurs sont en admiration devant la gourmandise de mon épouse et l’encouragent à accueillir pleinement ce membre démesuré. Sophie a les yeux fermés, concentrée sur son plaisir. Son souffle s’accélère, ses cris résonnent sur la dune et les efforts d’Awa s’accentuent. Il prend les cuisses de Sophie, les écarte encore plus et les remonte sur le ventre de Sophie. Un homme s’approche et caresse un sein de ma femme. Elle ne réagit pas, donnant un accord tacite aux autres voyeurs. Peu à peu des mains exploratrices recouvrent le corps de mon épouse.
Awa pilonne, bourre, astique… c’est une machine au rythme implacable. Il perfore Sophie, semblant vouloir la clouer sur le sable comme un insecte. Sophie accompagne chaque mouvement du Massaï avec ses hanches, cherchant à le happer davantage. Les grognements des deux acteurs de ce jeu vibrent aux oreilles des voyeurs qui semblent pris de frénésie ou de sidération. J’ai peur que tout ce bruit et cet attroupement n’attirent plus de monde, voire les autorités. Je me redresse et jette un regard circulaire sur la plage. Rien sauf des promeneurs. Awa jouit brutalement, figé dans le ventre de Sophie, tous les muscles contractés. Il donne encore quelques coups de reins réflexes qui déclenchent de petits cris aigus de Sophie. Puis il roule sur le côté, le visage irradiant le bonheur. Sophie reste sur le dos, jambes écartées, sexe offert, ruisselant de jouissance. Elle paraît dans une autre dimension, les sens saturés. Tout le monde reprend son souffle et les odeurs de la végétation du début d’été portées par une brise légère, nous enivrent.
Awa se décale vers la tête de Sophie et la dépose sur son ventre, lui attrape la cuisse droite et la lève en l’écartant. Cela expose sa petite chatte désertée aux regards des voyeurs présents. Il dit d’une voie forte « elle est à vous maintenant ». Sophie, dans un état second, ne fait aucun mouvement pour se couvrir. Un homme s’agenouille entre les cuisses de ma femme, après avoir enfilé un préservatif. Après avoir promené son sexe sur la fente ouverte de Sophie, il semble aspiré dans cette grotte chaude et humide.
Sophie émet un souffle rauque sous la pénétration, ouvre les yeux, découvre ses admirateurs et ma présence. Elle regarde les hommes autour d’elle puis pose une main caressante sur le crâne de son baiseur. Ses hanches accompagnent les mouvements de son amant l’amenant sur les rives du plaisir. Des bruits humides de succion rythment les coups de reins du fornicateur. Dans un grognement, celui-ci se répand dans le préservatif et se retire laissant la place à un autre homme beaucoup plus âgé. Il n’a pas de protection et fait le tour de l’assistance en quête du Graal qui lui permettra de goûter aux charmes humides de Sophie. Le premier homme lui donne un préservatif. Pendant qu’il se chausse du petit chapeau en latex, Sophie l’attend, cuisses ouvertes, sa petite chatte offerte aux vents marins.
Papy s’agenouille et d’une main gourmande se guide vers le sexe de mon épouse. Il pousse doucement, presque amoureusement, et son sexe disparaît dans les replis soyeux de Sophie. Elle émet un feulement de satisfaction. L’homme d’un certain âge s’agite, heureux, sur le ventre de mon épouse. Elle l’encourage de mots susurrés à son oreille et en lui passant une main sur le dos et les fesses. C’est étonnant et tous les spectateurs retiennent leur souffle. Ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux et cela m’inquiète, car il n’est pas question de se faire déborder. Papy, le souffle court, se fait plaisir en prenant son temps. Il marque des pauses et regarde les voyeurs avec un sourire béat, puis reprend ses mouvements de va-et-vient. L’homme prend son temps avec des mouvements longs et appuyés, doux et profonds.
Soudain, Sophie explose, la tête en arrière, le corps arqué, les jambes tremblantes et les lèvres pincées. Magnifique ! Son cavalier est tellement surpris qu’il jouit également dans un mouvement de contraction de tout son être. Un « hummmmm » guttural, surgit de sa bouche. Je l’aide à se relever. Il est rouge et chancelant, mais visiblement heureux.
Bien sûr nous l’avons invité à venir nous voir sur la côte vendéenne. En cette fin mai, le beau temps est déjà bien présent et nous sommes très heureux de lui faire découvrir notre région. Je me demande aussi comment vont se produire les retrouvailles avec ma femme.
Deux jours plus tard, il arrive en gare et nous sommes là, tous les deux à l’attendre sur le quai avec un peu de nervosité et d’excitation. Sophie a mis une jolie petite robe bleue assez courte, mais relativement sage. Nous le voyons sauter souplement sur le quai avec son sac et se diriger vers nous avec un magnifique sourire et des yeux pétillants. Arrivé à notre hauteur, sans aucune hésitation, il se colle à Sophie, l’entourant de ses bras et l’embrassant sur la bouche. Puis il me fait une accolade très amicale et en riant. Il semble très content de nous retrouver et nous l’accueillons avec bonheur et un peu de gêne devant ce comportement si démonstratif. Sophie regarde tout autour d’elle en espérant que personne de nos connaissances ne soit témoin de cette scène. Rapidement nous nous dirigeons vers la sortie de la gare pour rejoindre la voiture. Awa passe son bras gauche sur les épaules de Sophie et sa main vient presque cueillir son sein. Nous nous engouffrons dans la voiture et nous prenons la direction de la maison, à quelques kilomètres de là. Sophie est montée derrière et Awa est à côté de moi. Il est extrêmement volubile et de très bonne humeur.
Arrivés à la maison, nous installons Awa dans notre chambre d’ami et nous nous retrouvons dans le salon ou nous échangeons sur les événements passés depuis notre dernière rencontre. Awa nous demande si nous avons toujours la sculpture que son père avait réalisée. Il nous explique que beaucoup de copies ont été réalisées, car la statue a eu beaucoup de succès. Il en a même déposé à Nantes pour être vendu sur les trottoirs. Nous étions sidérés.
Le lendemain, après avoir déposé notre fils à l’école, nous avons décidé de partir faire une virée en voiture pour découvrir notre campagne et nos plages. C’est ainsi que nous avons retrouvé une plage sauvage que nous apprécions beaucoup et qui a été le théâtre de nos premiers débordements amoureux il y a déjà plusieurs années. Sophie a revêtu une très jolie robe de plage jaune soleil à bretelles. Un petit string blanc et une paire de tennis blancs complètent la tenue. Pour ma part, j’ai choisi un pantalon blanc en toile et une chemisette bleu ciel. Awa a son bermuda beige et un tee-shirt noir et des tongs. Nous retrouvons notre plage, proche d’un blockhaus que des grapheurs ont décoré.
Dès que le soleil chauffe, Sophie enlève sa robe et propose à notre invité de faire une promenade le long de la grève. Je les vois partir en discutant, les pieds dans l’eau. Le corps blanc de Sophie et surtout ses fesses sont un régal à voir à côté du dos musclé et noir d’Awa. Pour ma part je me plonge dans le dernier Stephen King. L’intrigue et la complexité des différents personnages m’entraînent dans un autre monde bercé par le souffle de la brise et illuminé par des reflets sur les vagues. Sans en avoir conscience le temps passe et après une heure je me rends compte que mes deux promeneurs ne sont plus a portés de regard. Je me lève donc pour avoir une meilleure vue de cette magnifique plage. Mais ils restent invisibles.
Je pose mon livre et après un regard circulaire, je pars dans la direction qu’ils avaient prise. Une super promenade les pieds dans l’eau fraîche commence, tantôt explorant la plage tantôt le regard tourné vers la mer. L’odeur d’iode est très agréable, les cris des mouettes traversent l’espace et leurs ballets aériens sont une joie pour le regard. Je progresse tranquillement le long de l’eau et je perçois un peu plus loin un petit groupe de personne en retrait sur la dune. Par curiosité je me dirige vers ces quelques personnes en grimpant sur la dune. Là, je découvre Sophie allongée sur le dos avec Awa entre les jambes en train de la perforer de sa lance devant cinq ou six hommes. Ils sont répartis, plus ou moins proche, tout autour de la scène. Sophie est couverte de sueur, ses mains sont posées sur les fesses du jeune homme, le caressant et donnant le rythme. Son souffle est court et entrecoupé de petits cris d’encouragement.
Les commentaires des voyeurs couvrent parfois les soupirs d’aise du couple. Certains se masturbent ouvertement et cherchent un bon angle pour assouvir leur plaisir visuel. Cette lance de chair est très impressionnante à voir en action. Les voyeurs sont en admiration devant la gourmandise de mon épouse et l’encouragent à accueillir pleinement ce membre démesuré. Sophie a les yeux fermés, concentrée sur son plaisir. Son souffle s’accélère, ses cris résonnent sur la dune et les efforts d’Awa s’accentuent. Il prend les cuisses de Sophie, les écarte encore plus et les remonte sur le ventre de Sophie. Un homme s’approche et caresse un sein de ma femme. Elle ne réagit pas, donnant un accord tacite aux autres voyeurs. Peu à peu des mains exploratrices recouvrent le corps de mon épouse.
Awa pilonne, bourre, astique… c’est une machine au rythme implacable. Il perfore Sophie, semblant vouloir la clouer sur le sable comme un insecte. Sophie accompagne chaque mouvement du Massaï avec ses hanches, cherchant à le happer davantage. Les grognements des deux acteurs de ce jeu vibrent aux oreilles des voyeurs qui semblent pris de frénésie ou de sidération. J’ai peur que tout ce bruit et cet attroupement n’attirent plus de monde, voire les autorités. Je me redresse et jette un regard circulaire sur la plage. Rien sauf des promeneurs. Awa jouit brutalement, figé dans le ventre de Sophie, tous les muscles contractés. Il donne encore quelques coups de reins réflexes qui déclenchent de petits cris aigus de Sophie. Puis il roule sur le côté, le visage irradiant le bonheur. Sophie reste sur le dos, jambes écartées, sexe offert, ruisselant de jouissance. Elle paraît dans une autre dimension, les sens saturés. Tout le monde reprend son souffle et les odeurs de la végétation du début d’été portées par une brise légère, nous enivrent.
Awa se décale vers la tête de Sophie et la dépose sur son ventre, lui attrape la cuisse droite et la lève en l’écartant. Cela expose sa petite chatte désertée aux regards des voyeurs présents. Il dit d’une voie forte « elle est à vous maintenant ». Sophie, dans un état second, ne fait aucun mouvement pour se couvrir. Un homme s’agenouille entre les cuisses de ma femme, après avoir enfilé un préservatif. Après avoir promené son sexe sur la fente ouverte de Sophie, il semble aspiré dans cette grotte chaude et humide.
Sophie émet un souffle rauque sous la pénétration, ouvre les yeux, découvre ses admirateurs et ma présence. Elle regarde les hommes autour d’elle puis pose une main caressante sur le crâne de son baiseur. Ses hanches accompagnent les mouvements de son amant l’amenant sur les rives du plaisir. Des bruits humides de succion rythment les coups de reins du fornicateur. Dans un grognement, celui-ci se répand dans le préservatif et se retire laissant la place à un autre homme beaucoup plus âgé. Il n’a pas de protection et fait le tour de l’assistance en quête du Graal qui lui permettra de goûter aux charmes humides de Sophie. Le premier homme lui donne un préservatif. Pendant qu’il se chausse du petit chapeau en latex, Sophie l’attend, cuisses ouvertes, sa petite chatte offerte aux vents marins.
Papy s’agenouille et d’une main gourmande se guide vers le sexe de mon épouse. Il pousse doucement, presque amoureusement, et son sexe disparaît dans les replis soyeux de Sophie. Elle émet un feulement de satisfaction. L’homme d’un certain âge s’agite, heureux, sur le ventre de mon épouse. Elle l’encourage de mots susurrés à son oreille et en lui passant une main sur le dos et les fesses. C’est étonnant et tous les spectateurs retiennent leur souffle. Ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux et cela m’inquiète, car il n’est pas question de se faire déborder. Papy, le souffle court, se fait plaisir en prenant son temps. Il marque des pauses et regarde les voyeurs avec un sourire béat, puis reprend ses mouvements de va-et-vient. L’homme prend son temps avec des mouvements longs et appuyés, doux et profonds.
Soudain, Sophie explose, la tête en arrière, le corps arqué, les jambes tremblantes et les lèvres pincées. Magnifique ! Son cavalier est tellement surpris qu’il jouit également dans un mouvement de contraction de tout son être. Un « hummmmm » guttural, surgit de sa bouche. Je l’aide à se relever. Il est rouge et chancelant, mais visiblement heureux.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Omarrrr
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et donc le mec tranquille propose de baiser 1 femme qu’il a baise à la base sans capotes à
d’autres mecs.
Le mari assez tare laisse faire normal quoi !!!!
d’autres mecs.
Le mari assez tare laisse faire normal quoi !!!!