Soumis heureux partie 2 - histoire érotique

Il se passe quelque chose ! Je sens une main derrière mon visage, qui manipule mon bandeau. Le bandeau se détache, elle me le retire. La lumière me force à plisser les yeux, je vois flou.
Plus je fais la mise au point, plus je vois ce qu’il se passe : je suis effectivement dans la chambre de Fanny. Devant moi son lit, je ne peux pas m’en détourner. Physiquement je ne peux pas tourner la tête, et même si je pouvais, je ne pourrais mentalement pas…
Devant mes yeux, je vois Fanny, nue, remonter sur le lit, se mettre à 4 pattes, un homme derrière elle qui s’insère rapidement et facilement en elle, sans préservatif, et la prend en levrette.
« Hmmm hmmm hmmmmmmmmmmmmm !!!! » J’essaye de crier, mais le baîllon est très efficace et étouffe tout son provenant de ma bouche. « Tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, … ». La routine continue dans ma tête, Fanny se fait prendre par cet homme… Elle me regarde de temps en temps en me souriant de façon très sarcastique et en continuant à me lancer des éclairs. Je n’en reviens pas ! Elle fait l’amour devant moi avec un autre homme !! Elle semble aimer ça !
Malgré la scène, je ne bouge pas, je l’accepte, j’ai été horrible avec elle, je l’ai vraiment fait souffrir, je suis humilié, je suis soumise…
Je sens que mon sexe est dur dans mon caleçon. Je suis hyper excité de cette scène, c’est incroyable !! Est-ce car j’ai tellement envie d’elle ? Est-ce car malgré tout je suis toujours amoureux ? Est-ce car je suis bien à ma place, de soumis ?
L’homme la pilonne de plus en plus. Il prend un plug en acier, et sans sortir sa bite du minou de Fanny, insère le plug dans son anus. Fanny se courbe encore plus, je la vois relever la tête, et je suis sûr qu’elle a poussé un cri de joie…
L’homme la tire vers elle, elle se redresse toujours empalée sur la bite de l’homme. Elle a des pinces sur les têtons reliées par une chaînette. Je sais qu’elle adore ça…
Elle sautille sur la bite de l’homme qui lui malaxe les seins et lui caresse le clito. Elle a toujours joui très vite, elle va venir je le sais. L’homme dit quelque chose, et il pousse un gros coup de rein, qui fait ouvrir grand la bouche à Fanny. Il a joui, elle aussi. Ils ont joui ensemble, et il s’est déversé en elle !!! Je le vois sous mes yeux !!!
Mais je n’ai que ce que je mérite… « Tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, … ». Oui, elle a raison, je ne suis bon qu’à être soumis… Je ne suis bon qu’à lui obéir, j’ai été vraiment horrible avec elle…
Elle se penche, se remet à 4 pattes. L’homme sort de son minou, il est encore un peu dur. Il me regarde, me sourit, et passe devant moi, en allant probablement aux toilettes. Fanny s’étale sur le lit, la tête tournée à l’opposé de moi…
J’attends, j’entends toujours la routine… Je lui ai vraiment fait du mal…
Elle tourne la tête vers moi, elle est ouvertement heureuse. En me voyant, elle fronce les sourcils et me relance des éclairs.
Elle se met assise sur le bord du lit, jambes grandes écartées, sa chatte béante dégoulinante de mouille et de sperme. Elle se caresse, s’insère deux doigts, les ressort pleins de sperme et de sa mouille, qu’elle étale sur son ventre et sur ses seins. Je ne la savais pas cochonne à ce point, elle ne l’a jamais fait avec moi…

Elle reste là, jambes grandes ouvertes en face de moi, à me lancer des éclairs, puis elle se lève.
Elle se rapproche de moi, nue, je peux sentir le sperme et la mouille… Elle retire le casque.
« Tu as compris ?!?! Tu ne m’auras plus jamais !! Maintenant c’est lui, mon amant avec qui je t’avais trompé, qui va me remplir, et ça dès que j’en aurai envie !! Toi, tu ne seras bon qu’à regarder ! Et ça t’a excité en plus, t’es vraiment une salope !!! C’est ça, une vraie salope de soumise. Et pour tout le mal que tu m’as fait, tu vas m’obéir ! Si je dis tu rappliques, tu viens dans la seconde, si je dis tais toi, tu te tais, peu importe ce que je dirai, tu obéiras, c’est clair ? Cligne des yeux si tu as compris ! »
Je suis soumis… Je lui obéis… Et je l’aime… Oui, je vais obéir !
Je cligne une fois des yeux.
Sans rien dire, elle me détache le torse, les jambes, me retire le tour de cou, et décroche les menottes du cadenas qui les retenaient. Elle m’ordonne de me lever, j’obéis. Elle me tire hors de la chambre, toujours menotté dans le dos et un baillon dans la bouche. Nous descendons les escaliers, je passe devant son amant qui me regarde passer en rigolant. Sur le pas de la porte, elle ouvre la porte, me pousse dehors, et une fois à l’extérieur, elle m’enlève le baillon et défait mes menottes. Elle me pousse très fort sans rien dire, je manque de tomber, et en me retournant, la porte se referme…

Il fait nuit. Mais quelle heure est-il ? Je suis hyper excité par ce que j’ai vécu, troublé également, je ne sais plus quoi faire. Je retourne machinalement à ma voiture, mets le contact, et regarde l’heure : il est 4h27 du matin… J’ai passé plus de 10 heures attaché sur cette chaise, avec cette comptine dans les oreilles… « Tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir, … ».
Oui Fanny, tu as raison…
Je rentre chez moi, fatigué et convaincu que je ne suis qu’une salope…
Tout le trajet, mes pensées sont hantées par ce que je viens de vivre. Attaché, j’ai été forcé de regarder mon ex se faire prendre par son amant, et elle m’a jeté dehors.
Je me rends compte que mon sexe est hyper dur, et que je suis hyper excité. Je me caresse machinalement en conduisant. Il ne faut pas plus de 5 allers retours sur mon sexe pour que je commence à venir. « Arrête toi sérieux !! ». Je ne peux pas jouir comme ça. Quitte à jouir en repensant à cette folie que je viens de vivre, autant bien en profiter.
Je me hâte de rentrer, ayant toujours cette rengaine dans la tête.
En arrivant, je me déshabille tout de suite, et vais chercher des attaches que j’ai chez moi.
Je m’attache les pieds à une chaise, le torse aussi serré que possible, une main dans le dos, et me mets un baillon. Je veux recréer les conditions…
Je me caresse, en repensant à la scène, aux sensations… C’est si bon, je viens… C’est trop puissant, impossible de retenir !!! Je jouis, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!! Oh bon sang !!! J’ai jamais vécu un orgasme aussi puissant !! Mais j’en veux encore. Je continu de me masturber en pensant à Fanny en train de se faire prendre, à sa magnifique chatte remplie… C’est si excitant !! Ca y est je reviens, oh oui, oh oui, oh ouiiiiiiiiiiiiii !!!!
Je reprends mon souffle, mes esprits. J’ai toujours devant les yeux cette image, la scène… J’ai du sperme partout sur moi, et pas la force de me laver. Je vais me coucher, comme ça, dégoulinant de mon propre sperme. Le sommeil arrive très vite, les pensées remplies de ce que j’ai vécu.



La nuit est agitée de rêves en tous sens, où je vois mon ex se faire prendre par des inconnus, où je la vois me toiser, mais je ne peux jamais ni dire quoi que ce soit, ni bouger. Le matin au réveil, je suis encore hyper excité. Mais que faire… En plus il est temps d’aller au travail, je n’ai pas le temps de profiter. Je suis rincé ! Je regarde sans cesse mon téléphone. J’espère un message de Fanny… Je ne fais que repenser à ce qu’il s’est passé, et à cette rengaine qui ne me quitte plus.
Oui je vais lui obéir. Ce qu’elle m’a fait hier est horrible, elle m’a humilié plus bas que terre, mais pourtant… Je me surprends à ne l’aimer que plus… Que m’arrive-t-il ? Quelques mois auparavant, je n’aurais jamais accepté une telle situation et pourtant maintenant, je me retrouve complètement fou d’amour pour cette femme qui me nargue en faisant l’amour devant moi et qui ne va que m’interdire de lui refaire un jour l’amour. Le cœur… C’est vraiment étrange !
Chaque fois que je pense à cette nuit, à Fanny, je sens mon sexe durcir tout de suite, c’est très gênant. Une de mes collègues de longue date passe la journée à me charrier, en me disant que j’ai des cernes de 3 mètres de long. En même temps, si elle savait la nuit que j’ai passée…
« Mais pourquoi tu regardes sans cesse ton téléphone Pierre ? », me dit-elle. Que répondre ? Je bafouille, disant que j’attends un colis.
« Mouais, t’es pas crédible ! ». Noémie ne me connaît que trop bien.
La fin de la journée arrive, toujours aucune nouvelle. Je m’y attendais, mais gardais l’espoir.
Je rentre chez moi, regarde une série sur Netflix, et essaye de m’investir dedans. Ca marche à peu près.
Mon téléphone sonne, la sonnerie des messages. Je regarde tout de suite, comme si ma vie ne dépendait que de ça.
Noémie.
Mince ! J’ai tellement espéré !
« Tu n’avais pas l’air bien aujourd’hui, tu veux qu’on en parle ? »
Sérieux Noémie ! Tu m’as donné un faux espoir ! Elle est bien mignonne et j’avoue que j’aimerais être avec elle, mais je ne crois pas l’intéresser, et surtout, je suis déséspérément amoureux de Fanny.
Je lui répond donc « non c’est bon c’est gentil, j’ai très peu dormi et étais HS aujourd’hui. »
Mon téléphone vibre à nouveau. Encore Noémie…
« Tu ne sais vraiment pas mentir ! Pas grave, je réussirai à te faire parler ! »
Mouais, elle peut toujours essayer. Je m’imagine mal lui dire « Non mais en fait tu sais, c’est mon ex, elle m’humilie, elle m’attache sur une chaise et je dois la regarder baiser avec son amant avec lequel elle m’a trompé. Ah et je t’ai pas dit, j’ai adoré. Je suis fou d’elle ! ». A coup sûr, elle me ferait interner ! Cette image me fait rire tout seul.
Le premier épisode se termine, je suis trop crevé, direction le lit.
Le lendemain, la journée passe, morne, terne. Noémie essaye de me tendre la main, mais vraiment impossible de lui dire quoi que ce soit sur ce qu’il s’est passé. Je ne pense qu’à Fanny… Ah Fanny… Comme je t’aime… S’il te plait, dis moi ce que tu veux de moi !!!
La semaine se termine, toujours aucune nouvelle. Chaque jour je voudrais lui écrire, lui dire combien je l’aime et combien je suis prêt à tout faire pour la récupérer… Mais « Tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir ». Je le sais. Je lui ai fait énormément de mal, je dois lui obéir, et donc ne pas lui écrire…
Une semaine supplémentaire, sans nouvelle… Je commence tout doucement à réussir à dormir sans que mes rêves ne soient trop humiliants. Je parviens aussi à apprécier de plus en plus ma série, et à pouvoir me concentrer au moins 5 minutes sans regarder mon téléphone. C’est incroyable l’emprise qu’elle a sur moi !
Aller, ce week-end, je m’autorise une revanche contre mon ami !
Je vais chez lui le samedi, et nous commençons la bataille. C’est très dur, comme d’habitude, j’essaye une nouvelle idée. Ca a l’air de marcher. Mes troupes le prennent à revers. Il ne s’attendait pas à ce coup-là. Je l’encercle sur le plateau, avec des troupes assez faibles mais des deux côtés, il va avoir du mal.
Et là, le désastre, il lance les dés, résultat parfait. Il anéanti sans le moindre mal mon armée principale, je me retrouve sur un seul front. C’est hyper mal engagé. Je fais une tentative d’utiliser mon atout ultime, mais il me faut un triple 6. Je lance les dés… 1, 1, 5. C’est cuit. Mon tour passe, à lui de jouer, il m’achève. Bon… Super agaçant, mais au moins, j’ai passé 4h sans penser à Fanny. Ahhhhh je viens d’y repenser !!!! Mais c’est pas possible !
Nous rangeons le jeu, mon téléphone vibre. Le temps s’arrête. Qui est-ce ? Je reste planté là, sans même oser regarder mon téléphone. C’est mon ami qui me dit « Eh Pierre, ton téléphone a vibré, c’est Fanny. C’est pas ton ex ? ».