Soumis heureux, partie 9 - histoire érotique

J’arrive enfin chez moi, éreinté mais tellement heureux de ce week-end incroyable !
Et paradoxalement, bien que ce week-end m’aura apporté une immense satisfaction, je ne me sens pas encore repu de plaisir… Cette cage… Cette maudite cage sur mon sexe, comme je la haïs ! Mais comme je l’aime à la fois !!! Chaque jour qui passe avec mon sexe emprisonné, je me sens prêt à repousser encore plus mes limites.

Et maintenant quoi ? Je vais contacter Noémie, et lui dire que je suis rentré. Elle voudra à coup sûr avoir un débriefing complet. Mais elle me trouvera encore en cage, j’espère que ça ne la repoussera pas…

« Chère Noémie, j’espère que tu te portes bien. Je suis sincèrement désolé de n’avoir pas pu t’envoyer de message du week-end, mais Fanny m’avait confisqué mon téléphone,. Je viens de rentrer, et n’ai même pas encore regardé les photos, mais elle en a fait de nombreuses. Il s’est passé tant de choses… J’espère vraiment avoir été à la hauteur de tes exigences Noémie. Je ferai ce que tu désires pour ton plaisir… « .
Message envoyé. Il va falloir que je prenne une douche, je pense bien sentir fort le sexe. Et pas que le sexe, l’urine aussi, la mouille, le sperme… Et je le sais car je me sens très bien. Je sens terriblement bon… Ca m’excite… Et voilà que je gonfle de nouveau dans ma cage !
Mon téléphone vibre. C’est Noémie « Bon retour chez toi mon soumis ! Je serai à ton domicile dans 10 minutes. Je ne veux pas que tu fasses quoi que ce soit en m’attendant. Ne te lave pas, ne regarde pas les photos, nous ferons une projection privée pendant laquelle tu m’expliqueras comment tout se sera passé. Je te veux à genoux, nu, devant la porte quand j’entrerai. »
Elle m’excite à mort c’est incroyable ! Je n’ai aucune envie de lui désobéir, bien au contraire !
10 minutes, ça me laisse le temps de lui répondre : « Oui Noémie, merci Noémie. Je t’obéis ! »
Je me déshabille, retrouvant ma tenue de ces quelques jours, à savoir uniquement ma cage.
Je vais devant la porte d’entrée, sans toucher à mon téléphone, comme elle me l’a ordonné, et me mets en position à genoux, mains dans le dos, tête penchée en arrière, la bouche grande ouverte et langue tirée. J’ai pris l’habitude chez Fanny !
Oh mince, Fanny ! Je vais lui écrire pour la remercier. Je prends rapidement mon téléphone : « Merci Fanny pour cet incroyable week-end. Je te suis totalement soumis, merci de m’avoir utilisé, et d’en avoir fait profité tes amis. Je suis votre soubrette, votre soumise… »
Je reprends la pose devant la porte et attends.
Il ne me faut pas attendre longtemps que Noémie pousse la porte d’entrée, et tombe sur moi. Comme elle est belle ! Pas maquillée, habillée d’un simple pantalon et d’un t-shirt, on lui donnerait le bon dieu sans confession. Et pourtant… Elle est ma maîtresse, puissante, implacable, et je crois que je suis aussi amoureux d’elle…
Me voyant ainsi, elle me sourit, ce merveilleux sourire qui me fait fondre. « On dirait que tu n’en n’as pas eu assez ce week-end ! ». Elle s’avance vers moi, se penche sur moi, et laisse couler un long filet de salive dans ma bouche. Je n’ose bouger, ni rentrer ma langue, ni déglutir. J’attends juste son ordre. « Tu peux avaler ma soumise. Sens mon goût… » Je déglutis, puis rouvre grand a bouche pour lui montrer mon obéissance. « Tu es vraiment docile… Je n’en n’attendais pas tant en te rencontrant ! »
Aller viens, me dit-elle en entrant dans le salon et en s’asseyant sur le canapé, posant un sac de voyage sur le sol. Je la rejoins, et m’assois à côté d’elle. Elle passe sa main sur ma cuisse et sur mon sexe, me regardant dans les yeux, et sentant mon sexe déjà dur dans sa cage. « On dirait qu’elle ne t’a pas retiré ta cage finalement… Tu n’as pas été assez sage ? »
« Si Noémie, elle me l’a retirée, et m’a autorisé à lui faire l’amour ainsi qu’à une de ses amies, mais… Elle avait appliqué de la crème anesthésiante sur mon sexe avant, puis mis un préservatif dessus… Elles ont profité de moi pendant que j’étais attaché sur le dos pour me faire l’amour, mais je ne sentais rien. C’était une sensation horrible, et pourtant hyper excitante… »
« Donc tu n’as pas joui du week-end ??? » s’exclama-t-elle. « Non Noémie… Pas une goutte, je suis juste hyper frustré, hyper excité… »
Elle se pencha alors vers moi, langue sortie, et entreprit de me rouler une pelle incroyable : amoureuse, profonde, sauvage, comme je les aime, et comme elle sait si bien les faire. Je la serre dans mes bras pendant ce long baiser, tandis qu’elle me prend les têtons dans les mains et les pince assez fort, suffisamment pour m’exciter.
Quelques minutes de ce baiser incroyable, elle me repousse gentiment, puis me demande de lui passer mon téléphone. Elle l’ouvre sur les photos, et nous en découvrons, ensemble, une quantité incroyable ! Je ne saurais dire combien il y en a : des centaines…
« Pierre, pendant que nous regardons les photos, tu risques d’être pris de certaines envies. Je veux que tu les réprimes d’accord ? »
« Oui Noémie… »
« Bien, mais n’était pas totalement certaine de pouvoir compter sur toi, lève toi et tourne moi le dos. Je m’exécute, et l’entends fouiller dans son sac. Je sens alors des menottes sur mes poignets, puis le petit cliquetis régulier, jusqu’à ce qu’elles soient parfaitement ajustées. Elle met également une ceinture au niveau de mes coudes dans mon dos, afin de les rapprocher et empêcher tout mouvement de mes bras. Je ne dis rien. Elle met ensuite des menottes à mes chevilles, qu’elle ajuste correctement, puis vient mettre une sangle au-dessus de mes genoux, bien serrée. Elle ajoute un collier en cuir, auquel elle fixe une laisse.
« Rassieds toi maintenant mon soumis ».
Je me rassois doucement sur le canapé. Elle me pousse en arrière, bien appuyé contre le dossier du canapé. « Bien, mets-toi à l’aise !, mais d’abord… ». Elle se penche sur moi et me roule de nouveau une pelle magistrale. Ses doigts triturent mes têtons, les étirent légèrement, puis je sens qu’elle y place des pinces, fortes.
« J’adore triturer les têtons Pierre… Et tu vas faire les frais de mon expertise en la matière. Je t’ai fixé des pinces japonaises. Plus on tire dessus, plus elles serrent. Peut-être y fixerai je des poids, ou les étirerai-je… Ca te plait ? »
« Oui Noémie, j’aime beaucoup le travail des têtons… ».
Elle sourit, et reprend mon téléphone. Elle descend pour retrouver le vendredi soir et nous entreprenons de passer les différentes photos en revue. Je lui explique chaque situation, tout ce que Fanny, son amant, Chloé et son ami m’ont fait subir. Elle se montre particulièrement intéressée à me voir à genoux, quémander un baiser, ou un sexe masculin. . Les photos, très nombreuses, où on m’urine dessus ont également son attention.
« Tu as avalé à chaque fois ? » me demande-t-elle.
« Oui Noémie, et je crois vraiment adorer ça… »
Sur quelques photos, on voit Fanny en train de me sodomiser au gode ceinture, ainsi que Chloé. Ces photos génèrent le plus de réponse de sa part. Elle se montre très intéressée et curieuse « As-tu aimé te prendre ces godes ceinture ? »
« Oh oui Noémie, j’ai adoré !! J’ai l’habitude de me dilater l’anus, seul, mais me faire prendre c’était encore plus incroyable… »
Sans crier gare, elle se jette sur moi, bouche grande ouverte, langue sortie, et me roule une pelle sauvage, tout en étirant les pinces à têtons, ce ne manque pas de me faire réagir, et durcir mon sexe dans sa cage. Sans quitter ma bouche, elle me dit « tu aimes ça cochon ! » « Oh oui Noémie, j’adore, continue !! »
Elle continue pendant quelques instants, puis lâche ma bouche. Elle prend toutefois deux petits poids dans son sac qu’elle accroche à mes pinces à seins. Elle se rapproche de mon oreille, la mordille et la lèche, puis me murmure « je suis une experte du gode ceinture, et c’est ce qui m’excite le plus de faire sur un homme… »
A nouveau mon sexe grossit encore dans sa cage, et je ne peux que lui sourire, amoureusement, comme un ado l’aurait fait à sa première copine. Elle est experte et ça l’excite… Je ne l’aurais jamais cru !!! Je suis aux anges !
Elle se rassoit, nous continuons le visionnage des photos. Elle semble intriguée par le sperme que j’avale. « Tu aimes vraiment ça ? On dirait que tu en es demandeur sur les photos ? »
« Oui Noémie, je crois que j’ai appris à beaucoup aimer le sperme, le sperme d’hommes qui font l’amour aux femmes, et dans ma position de soumis… Je me suis même surpris à rêver de sentir un sexe palpiter dans ma bouche, m’envoyant toute sa semence directement dans la gorge, pendant que j’avalerais tout, et que je le nettoyerais jusqu’à la dernière goutte… »
« Incroyable… Je n’aurais jamais cru ça de toi Pierre. Mais ce que tu me dis m’intéresse vraiment beaucoup ! Tu es un excellent soumis on dirait », me précise-telle en m’adressant un clin d’œil malicieux.
Je lui souris, puis nous continuons les photos. Nous en arrivons au moment où je suis-je suis attaché, bâilloné, les yeux bandés et des écouteurs sur les oreilles, et que Fanny me sodomise, ainsi que Chloé. Ils en ont même fait une vidéo, que nous regardons. Les deux femmes s’en donnent à cœur joie, marmonant des « chut », et pouffant de rire toutes les deux. Noémie me caresse la cuisse, et va à la rencontre de mon sexe, déjà dur de voir la scène d’un œil extérieur.
« Tu as aimé ? » me demande -t-elle. « Oh oui Noémie !! Et encore plus quand j’ai compris qu’il y avaient deux femmes qui se sont relayées pour me sodomiser. C’était ce matin, j’en suis encore tout excité… »
Une autre vidéo suit, montrant les deux femmes en train de m’uriner dans la bouche, et moi de tout avaler.
Chose que je n’avais pas vu, c’est que pendant que Chloé me sodomisait avec son gode ceinture, Fanny s’était mise à genoux et suçait le sexe de l’amant de Chloé, puis celui-ci l’a prise sauvagement mais très rapidement, et sans éjaculer. Juste histoire de la prendre. Tellement excitant !
Les photos et vidéos de la journée suivent, nous continuons à les regarder, puis arrivons à la fin.
Noémie, le sourire aux lèvres, me regarde avec curiosité.
Le temps s’écoule., nous ne disons rien.
« Bien. Es-tu toujours d’accord pour devenir mon soumis, mais pas que : je suis amoureuse de toi, vraiment. Et depuis longtemps. Et je suis sûre que toi et moi formerons un couple parfait ! En plus tu es soumis, je suis dominatrice. Ca va forcément le faire. Mais je dois te prévenir, si tu es d’accord, nous aurons une relation remplie d’amour, mais je serai aussi ta Maîtresse très exigeante. Tu n’auras que du plaisir, mais ce ne sera pas toujours facile. Alors, qu’en dis-tu ? »
Si je pouvais, je la prendrais dans mes bras, mais saucissoné comme je le suis, je ne peux que la regarder dans les yeux, et lui dire « Oui Noémie. Je suis aussi amoureux de toi, et veux donner une chance à notre relation. En tant que soumis, je ferai tout ce que tu souhaites de moi, avec grand plaisir, pour ton plaisir ».
Elle se penche alors sur moi, m’embrasse, me roule une pelle, et me dit « alors la soirée ne fait que commencer mon cochon… »
« Avant que nous commencions, et bien que j’adorerais me servir de toi tout de suite, tu vas aller te laver, car tu sens fort. Tu sens très bon, mais tu sens fort le sexe d’autres personnes, et ce soir, je veux t’imprégner uniquement de mes odeurs, que tu garderas sur toi. Ensuite tu reviendras, et je te remettrais dans la même position, pour profiter de toi, pour te soumettre, pour t’aimer mon soumis ! »
« Oui Noémie !! J’ai hâte de t’obéir, et que tu m’imprègnes de tes odeurs !!! »
Noémie me détache, me dépose un petit bisou sur les lèvres, je me lève, et vais à la douche.
J’insiste bien sur chaque partie de mon corps, me lave bien les dents, me sèche, et retourne dans le salon, où Noémie m’attend, en soutien-gorge et string rouge, et avec un gode ceinture à la taille.
Je me met à genoux devant elle, bras dans le dos, bouche grand ouverte et langue sortie, comme je l’ai appris avec Fanny.
Elle me sourit, et vient m’attacher les mains dans le dos avec les mêmes menottes, la même sangle autour de mes coudes, et ne met qu’une paire de menottes à mes chevilles, qu’elle verrouille aussi avec les menottes autour de mes poignets, me forçant à garder la position. Elle me remet le collier et la laisse, puis reste debout devant moi. Le gode ceinture s’agite à quelques centimètres de ma bouche, j’essaye de le prendre en bouche. Noémie s’en amuse »Tu aimes avoir quelque chose dans la bouche on dirait non ? »
« Oh oui Maîtresse, j’adore… »
« Bien ! tu vas l’avoir en bouche ne t’en fais pas, mais pas que… »
Elle me le glisse dans la bouche, et commence à me laisser sucer ce gode. Il a une texture très agréable, assez proche de celle d’un sexe d’homme. Il est percé au milieu, je joue avec ma langue sur ce gland factice.
« Vois tu mon soumis, ce gode est très spécial, je l’ai acheté au cours d’un voyage. Il dispose de capteurs sur son pourtour, qui captent les mouvements faits à l’intérieur d’un trou, comme ta bouche par exemple, ou un petit cul, ou une petite chatte, et une autre partie est à l’intérieur de mon vagin, m’envoyant des stimulations sous forme de vibrations, et de gonflements, de plus en plus importantes à mesure que les mouvements sont rapides. Ca suffit à me faire jouir si je me déchaîne ! Figure toi que je me suis déjà branlé le gode ceinture comme si j’avais un phallus, et que ça a suffit à me faire venir ! Mais ce n’est pas tout… Il est très bien plaqué sur mon vagin, aucun liquide ne peut s’en échapper. Donc je peux faire pipi, tout sortira par le petit trou. Et quand je jouis, car je jouis très fort et beaucoup, c’est comme une énorme éjaculation… Comprends-tu ce que je vais en faire de ce superbe gode ceinture ? »
A mesure que Noémie parle, je suis énormément excité !!! Je vais pouvoir boire Noémie, son urine, sa jouissance, elle va pouvoir me sodomiser comme s’il s’agissait d’un vrai sexe, et y prendre un immense plaisir, jouir dans mes entrailles ou dans ma bouche !! Ca m’excite !!!
En seule guise de réponse, j’accélère mes mouvements de vas et viens et de succion, afin de lui procurer du plaisir. Elle le sent immédiatement, ce jouet est incroyable.
« Ohhh arrête mon soumis, j’en ai très envie aussi, mais pour une première fois, je veux jouir en te sodomisant. Alors excite moi juste ce qu’il faut, doucement ! »
Je m’exécute, lui prodiguant une magnifique pipe, lente, sensuelle, la regardant bien dans les yeux pour lui montrer à quel point j’aime cette situation.
Cette séance dure une dizaine de minutes. Mes genoux commencent à me faire mal, mais je tiens bon, et continue à lui prodiguer ma fellation.
Elle se retire à un moment, alors qu’elle gémissait de plus en plus. Je la regarde, elle me sourit, met sa tête au-dessus de la mienne. Je comprends ce qu’il va se passer, et ouvre grand la bouche. Elle m’y crache une grosse quantité de sa salive, délicieuse. Je ferme ma bouche, la fait passer dans chaque recoin pour en imprégner chaque cm² de ma bouche, mes dents, ma langue, mon palet, puis déglutis. Elle me sourit, et tire la laisse vers elle. J’avance petit pas par petits pas, autant que me le permettent les menottes.
Elle passe derrière moi, détache la chaine reliant les menottes de mes chevilles à celles de mes poignets, puis me penche en avant sur le lit. J’écarte mes jambes, laissant mes chevilles attachées avec les menottes, et jubile déjà de ce qu’il va se passer.
« Maintenant mon soumis, je vais te faire l’amour, pas comme tu espérais, mais je vais te faire l’amour… »
« Oui Maîtresse, je t’appartiens Maîtresse… »
Elle me donne une petite tape sur les fesses, puis crache sur mon anus. Elle y entre un doigt, puis deux, qui entrent tout seuls tant mon anus est habitué et déjà humide. Elle y présente son gode ceinture à l’entrée, puis sans forcer, le fait rentrer jusqu’à la garde d’une seule traite.
« J’active le retour de plaisir. Je ne veux pas entendre autre chose que tes gémissements soumis ! Montre moi combien tu aimes ce que je vais te faire !! Je vais te sodomiser jusqu’à ce que j’éjacule en toi, jusqu’à ce que je te féconde !! »
« Humm humm hummmmm oui !!!! »
Elle commence ses vas et viens, doucement, m’agrippant par les hanches. Ses mouvements ne sont pas que des allers retours, mais aussi de droite à gauche et de haut en bas, ce qui me stimule incroyablement la prostate. J’adore !! Je commence à bouger mon bassin d’avant en arrière pour aller à sa rencontre. Elle me procure un plaisir immense à me sodomiser, c’est dingue !! En effet, c’est une experte du gode ceinture !!
« Oh oui Maîtresse, plus fort oui !! oui !! ouiiiiiii !!! j’adore !!! Han han hannn ouiiii !!!! Encore !!! »
« Tu en veux encore soumise ?? »
« Oh oui Maîtresse, encore !! J’en veux plus s’il vous plait, pus fort !! Je suis votre soumise, sodomisez moi !!! »
« Tu m’excites trop ma soumise !!! Je n’ai jamais été excitée comme ça !! Je ne vais pas tarder à jouir, prépare toi à être remplie !!! »
A ce moment, elle y met tout son cœur. Noémie se déchaîne. Ses vas et viens sont d’une rapidité incroyable, elle me défonce littéralement, s’empalant à chaque fois jusqu’à la garde, faisant heurter son pubis contre mes fesses. Je n’arrive même pas à aller à sa rencontre tant elle est rapide ! Le plaisir monte en moi comme une flèche, et je jouis très rapidement du cul, criant mon plaisir à tue tête.
« Oh OUI MAIRESSE ? JE JOUIS OUIIIII !!!! ENCORE MAITRESSE ENCORE !! PLUS FORT OH OUIII OH OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »
Pendant que j’ai mon orgasme anal, qui m’a fait uriner sur le sol tant il est puissant, Noémie crie de plus en plus aussi « Oh oui Pierre, je vais jouir en toi, je vais jouir, oui oui ouiiiiiiiiii !!!! »
En même temps, et alors que j’arrose le sol de mon urine, mélangée à mon sperme, je sens un flot de liquide chaud arriver dans le fond de mes entrailles. Le flot est énorme, j’ai l’impression qu’on me remplit de plusieurs litres. Noémie a joui dans mon cul, et j’ai adoré !!
A peine fini, elle se retire tout de suite, et me tire par la laisse me forçant à me remettre à genoux. Elle se place devant moi, et me force à sucer ce gode qui sort à peine de mon anus. Il a encore le goût de ma mouille anale, mais surtout, il reste encore de son précieux nectar à l’intérieur, . Je fais mon possible pour l’aspirer, et pour continuer la fellation afin de prolonger son plaisir. Elle me prend la tête entre les mains et guide les vas et viens jusqu’à jouir de nouveau, un orgasme plus petit, mais qui m’envoie plusieurs giclées de cyprine au fond de la bouche, que j’avale directement et goulument, pour son plus grand plaisir, et le mien.
« Oufff, c’était trop bon !!! continue à me sucer mon soumis, mais garde bien ce qui est dans ton cul, tu ne l’évacueras que dans un saladier, et le boiras, il ne faut pas gâcher ! »
« Humm hummm ».
Je continue ma fellation, jouant avec ma langue autour du gland qui possède apparemment beaucoup de capteurs. Elle me regarde, rigole et me dit « cochon, tu as bien compris comment fonctionne mon gode ceinture… Tu en veux encore on dirait… »
Je retire ma bouche du gode. « Oui Maîtresse, je n’en serai jamais rassasié, je ne vis que pour ton plaisir… »
Elle retire alors son gode ceinture, me laissant en apprécier l’ingéniosité, et me place la partie ayant pris place à l’intérieur d’elle dans la bouche, pour la nettoyer. Puis elle s’assoit sur le canapé, écarte grand les jambes, me laissant voir son string rouge fendu.
« Nettoie moi ! »
Je ne me fais pas prier. Je m’approche doucement de son minou, et le nettoie délicatement, d’abord le contour, puis l’intérieur que je voie perler. Elle semble y prendre beaucoup de plaisir. . Je m’applique à a nettoyer proprement, appréciant énormément la situation, de moi, attaché aux pieds de ma Maîtresse et amoureuse, à lui nettoyer le minou après qu’elle ait joui en moi… Je l’amène rapidement vers un petit orgasme, puis elle me repousse, me laissant à genoux.
« Reste dans la position et serre bien les fesses ».
Elle va dans la cuisine et y prend un saladier, qu’elle place sous mes fesses.
« Maintenant vide le jus de mon orgasme. »
Je pousse à peine, et c’st un immense flot de cyprine qui sort de mon anus, remplissant le saladier. Rapidement, la source se tarit, et je me sens mieux, vidé..
« C’est très propre, tu vas pouvoir le boire mon soumis, et tu auras ensuite une dernière épreuve pour me montrer que tu m’appartiens ! »

Elle sort de son sac un bâillon avec un entonnoir fixé dessus, qui me rappelle un peu celui utilisé par Fanny, me le fixe, et y verse le contenu du saladier, pour mon plus grand plaisir.
Ca arrive dans ma bouche, j’aspire autant que possible, et en savoure le goût, légèrement différent de celui de l’urine, mais prodigieusement bon ! Le saladier est bientôt vide, je la regarde dans les yeux elle me sourit.
Une fois vide, Noémie se place à la place du saladier, le vagin juste au-dessus de l’entonnoir, se concentre un peu, et laisse échapper son urine, qui m’arrive directement dans la bouche. L’exercice m’est connu, et j’adore de plus en plus le goût de l’urine, encore plus celui de ma Maîtresse. J’avale, gorgée après gorgée, tandis que Noémie continue de se vider dans l’entonnoir, sans faire de pause. On se regarde, elle me sourit encore, puis elle s’arête d’uriner. J’avale ce qu’il reste dans l‘entonnoir.
« Tu es un excellent soumis Pierre… Tu as passé les épreuves de ce soir avec brio, et tu m’appartiens maintenant, je t’ai imprégné dans l’anus, et dans la bouche… Tu es à moi, et tu feras ce que je t’ordonne, c’est bien compris ? «

« Oui Maîtresse ,je t’appartiens et ferai ce que tu m’ordonnes ! »
« Bien, il est tard maintenant… Je vais te détacher, et cette nuit, tu pourras dormir sans entrave, mais interdiction, ce soir, de te laver les dents, je veux que tu gardes mon odeur et mon goût en toi.
Je me relève après qu’elle m’ait détaché. Elle me prend dans ses bras, me roule une pelle furieuse, et m’emmène dans la chambre. Nous nous allongeons sur le lit, mettons la couette sur nous, puis nous prenons dans nos bras. Je la caresse, elle me caresse… Je lui dis au creux de l’oreille « je t’aime Noémie ». Elle me serre plus fort, et me répond « moi aussi je t’aime, mon soumis… »
« Demain, on verra comment faire pour récupérer les clés de ta cage… »