Soumis heureux, partie 3
Récit érotique écrit par Pierre Brosta [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumis heureux, partie 3
Je le regarde, peine à trouver mes mots. Je déglutis, et lui dis « oui, on essaye de rester en contact mais c’est dur… ». Jeu de mots bien trouvé, c’est en effet très « dur » !
Je tends la main vers mon téléphone, et ouvre le message en m’arrangeant pour que mon ami ne voit pas le contenu.
C’est une photo avec un texte. Sur la photo, je vois Fanny à 4 pattes sur un lit, attachée, avec une très belle vue sur elle et son amant qui s’active derrière elle, la tenant par la laisse comme une chienne, avec des pinces sur les seins.
« C’est si bon de se faire prendre le cul pendant des heures ! Tu ne me mérites pas ! ».
Ce n’est pas possible ! Chaque fois que je pense arrêter de penser à elle, elle trouve l’exact bon moment pour me faire replonger. Cette audace, ce caractère, cette sexualité qui se dégage d’elle, cette volonté de m’humilier, alors même que je l’aime et que je ferais tout pour elle… Je n’ai plus honte de le dire alors, je suis dur en lisant son message et regardant sa photo, même si c’est un autre homme qui en profite, celui la même avec lequel elle m’a trompée.
Je prétexte de me sentir un peu mal pour rentrer. En arrivant devant ma porte d’entrée, je découvre une petite boite avec mon nom dessus.
Intrigué, mais sans trop avoir de doutes quant au lien entre le message et la présence de cette boite, je la prends et rentre chez moi.
Intrigué et très excité, je l’ouvre et y découvre une cage de chasteté. J’avais déjà vu de tels dispositifs sans trop m’y attarder, mais en voir une en vrai m’intrigue, et je sens mon sexe gonfler. Pourtant j’étais plutôt dominant dans mes relations, celle-ci est forcément pour un soumis… Je deviens soumis… Et ça m’excite.
Je prends la cage en main et trouve un mot au fond de la boite. C’est Fanny, sans surprise…
« Si tu veux avoir une chance de me revoir un jour, filme toi en gros plan en train de mettre la cage, et assure toi que j’entende bien le clic du cadenas. Envoie moi la vidéo, et plusieurs photos ».
Le ton était donné… Si je voulais la revoir, je devais mettre cet engin de torture excitant sur moi… Mais si je le faisais, je laisserais ma virilité entre les mains de ma tortionnaire, celle qui me torture psychologiquement, en m’excitant et en m’humiliant…
Une rengaine revenait sans cesse dans ma tête : « Tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir », et j’en suis persuadé… Je le mérite… Je mérite de lui obéir… Je mérite d’être soumis… Ca m’excite encore… Je me vois déjà en train de mettre la cage, ça m’excite encore plus. Mais comment la mettre avec mon sexe hyper dur !
Je laisse la cage sur le côté, préférant remettre cette décision à plus tard. Je crains de ce qu’elle pourrait en faire. Et si elle ne me libère jamais ? Cette pensée m’envahit, et mon sexe durcit encore plus. Je m’imagine soumis à ses moindres désirs, quémandant pour la moindre petite caresse sur mon sexe… Je me caresse… Je me masturbe… Je jouis très vite !
Je sais que le froid fait baisser les ardeurs, et vais donc prendre une douche glacée au niveau des jambes. Effet immédiat, mon sexe se baisse.
Je me sèche très rapidement et, avant de redurcir, j’entreprends de mettre la cage. De toutes façons, je pourrai trouver le moyen de la retirer si je n’en peux plus. (Comme je pouvais être naïf…)
Mon téléphone filme toute la scène en gros plan. Je rentre mon sexe dans le tube, qui veut gonfler tout de suite, mais se retrouve coincé dedans. C’est très agréable et hyper excitant… Je rapproche le téléphone et place le cadenas. « clic ». Le bruit a été suffisamment fort pour être capté par le téléphone. J’arrête l’enregistrement, et prends des photos en gros plan.
Je prends un peu le temps de me regarder dans la glace… Quel bon soumis je fais avec cette cage…
Que faire maintenant… Lui envoie-je les photos et la vidéo ? Je ne sais plus…
J’apprécie cette cage. Mon sexe rentre très bien dedans, épouse bien les parois, ne peut pas gonfler… C’est très confortable.
Je me décide, et lui envoie la vidéo et les photos. Juste ça, sans un mot. Il est alors 23h30.
Je suis dur en envoyant le message, et finis par m’endormir, excité.
Ma nuit est ponctuée de nombreux réveils, où mon sexe veut absolument grandir et qui me fait un peu mal. A 3h30, je regarde mon téléphone, aucun message, comme je m’y attendais. Mais je suis trop excité. J’essaye de retirer la cage… J’y passe plus de 20 minutes… Mais c’est peine perdue. Me vient l’idée de découper le cadenas avec une scie à métaux, mais alors je fermerai à tout jamais la porte vers Fanny.
Elle me rend fou…
Je vais passer mon sexe sous l’eau froide et retourne me coucher.
La fin de la nuit est agréable et très excitante, je me fais une raison.
En me réveillant, je regarde mon téléphone, il est déjà 7h30, je dois aller au travail. Mon sexe est dur et veut grandir, mais impossible.
Je m’habille, la cage se voit à peine, mais j’ai l’impression que tout le monde saura que je l’ai…
La journée est longue et très dure, surtout dans mon caleçon. Je passe mon temps à regarder mon téléphone, mais rien… C’est horrible, mais je m’y attendais. Je ne fais qu’espérer !
Le soir arrive, je rentre avec le sexe coincé dans sa cage et voulant grandir à chaque instant. Je me surprends à aimer la sensation et cette perte de pouvoir sur mon propre sexe, ce qui fait de moi un homme. Je perds ce contrôle, le laissant entre les mains d’une femme qui m’humilie…
En arrivant chez moi, je vois une voiture garée devant. En passant devant, la porte s’ouvre, Fanny descend.
Je reste hébété à la voir, mon cœur bat la chamade, je ne bouge plus, n’osant détourner mon regard. Qu’elle est belle… Non, elle est plus que ça, elle est merveilleuse ! Mon sexe veut tout de suite grandir mais impossible. Elle me dédaigne du regard, je sens toute sa colère sur moi, et en même temps une satisfaction de me savoir dominé…
La porte passager s’ouvre, son amant descend. Je fais un pas en arrière mais Fanny m’interpelle tout de suite « Ne bouge pas ! Si tu veux que je te libère un jour tu as intérêt à obéir ! ».
Je reste tétanisé. Elle a raison, si je désobéis, je risque de rester en cage un long moment.
Son amant passe derrière moi, prend mes mains, les passe dans mon dos, et y fixe une paire de menottes. Je voudrais bander plus dur que jamais mais avec cette cage, je ne peux pas, c’et terriblement excitant !
L’amant me passe un bâillon qu’il serre fort, très efficace, je ne peux plus parler, juste émettre des sons.
L’homme me dit :
« Regarde bien. Fanny, montre lui ! »
Fanny se déshabille devant moi, comme ça dans la rue. Nous sommes dans une rue de campagne, il n’y a personne mais quand même. Sa robe tombe très vite, elle apparaît nue devant moi. Sur ses seins, les pinces à têtons qu’elle affectionne tant, une ceinture autour de sa taille qui tient une sangle qui passe entre ses jambes, et un collier de chien à son cou. Elle s’appuie contre la voiture et se penche en avant, écartant bien ses fesses. Je vois, maintenu par la sangle, un gode dans la chatte et un autre dans l’anus. Ils ont l’air d’être de taille raisonnable. Je suis hyper excité !
L’homme me laisse, passe devant moi, et fixe une laisse au collier de chien de Fanny.
« Vas lui cracher dessus, il va adorer ».
Fanny obéit, elle se rapproche de moi, et me crache trois fois au visage. Elle étale sa salive sur tout mon visage, et insiste bien sur mes narines. Elle sait que j’adore ça, mais c’est en même temps tellement humiliant. Elle me permet de sentir sa délicieuse odeur, j’adore ça !!!
Elle me sourit en s’éloignant vers son maître… Je ne pensais pas qu’elle était aussi soumise !!
Son amant attache la laisse au rétroviseur de la voiture, et s’approche de moi.
« Si tu veux continuer, monte dans la voiture, sinon, tu t’en vas et tu n’entendras plus jamais parler de nous. », dit il en ouvrant la porte arrière de la voiture.
Je réfléchis un court instant, et monte dans la voiture.
Il m’attache la ceinture, me mets un bandeau sur les yeux, referme la porte de la voiture. Il fait noir, je ne vois plus rien, je suis hyper excité…
Je l’entends qui ordonne à Fanny de remonter dans la voiture, et de les conduire chez elle. Elle répond « Oui mon Maître ».
La voiture se met en route…
Une dizaine de minutes plus tard, la voiture s’arrête. Les portières claquent, je reste là, seul, sur la banquette arrière, les mains attachées dans le dos, les yeux bandés, et avec mon bâillon.
Ça y est, on me retire mon bandeau, la lumière des lampadaires éclaire la voiture, et me laisse voir l’extérieur. C’est l’amant de Fanny qui m’accueille, grand sourire.
Il me passe le même collier de chien que j’ai vu sur Fanny, et le verrouille avec un cadenas. Il y attache une laisse et me dit de sortir. Tant bien que mal je me glisse hors de la voiture, et le suis alors qu’il entre dans la maison.
En y entrant, je vois Fanny, nue et harnachée de ses pinces à seins, sa sangle qui maintient un gode dans son anus et un dans sa chatte, et son collier de chienne, qui attend à genoux sur le sol, regardant son amant avec un air suppliant.
La voir comme ça, même si je sais que je ne pourrai pas en profiter, et comme je suis fou amoureux d’elle, me gonfle le pénis qui, bloqué dans sa cage, est extrêmement frustré… Comme elle est belle !
L’amant prend la laisse de Fanny et nous tire tous les deux dans l’escalier pour monter. Fanny y va à 4 pattes et passe devant moi dans l’escalier. J’ai une vue parfaite sur ces godes qui bougent au rythme de ses hanches… L’odeur est excellente, elle m’excite encore plus…
Nous arrivons dans la chambre. Fanny monte sur le lit tout de suite. Je vois la chaise de la dernière fois dans le coin, avec tout ce qui avait servi à m’attacher. J’en deviens encore tout excité…
« Toi le cocu, à poils !».
Il me détache les mains, je me déshabille. Lorsque mon sexe apparaît, encagé, Fanny le regarde avec beaucoup d’attention et avec un petit sourire en coin, tandis que son amant se moque de moi.
« Non mais sérieux, tu es un vrai soumis. Une salope ! Tu ne t’en servais déjà pas beaucoup, tu ne risques plus de t’en servir ! Regarde bien maintenant ! »
L’homme dont j’ignore toujours le nom se rapproche de Fanny et monte sur le lit. Il la pousse brutalement en avant, elle tombe à 4 pattes sur le lit, la chaine reliant ses pinces à seins se balançant lui procurant certainement de merveilleuses sensations sur les tétons.
Il retire le cadenas maintenant la sangle entre ses jambes attachée à la ceinture, dans le dos, et retire la sangle. Je vois les godes fichés au fond de sa chatte et de son petit trou.
Il joue un peu avec celui dans la chatte, le faisant entrer et sortir doucement, puis très rapidement, soutirant des soupirs de plaisir à Fanny. Puis il l’enfonce bien à fond. « AAAHHHHHH OUIIIIII !!!! » dit Fanny en le sentant heurter son col. Je bande comme un fou dans ma cage… L’homme prend le gode dans son cul, et le fait sortir tout doucement, avant de le rentrer tout doucement. Fanny soupire de plaisir. Il recommence un peu plus vite, puis fait des allers retours réguliers dans le cul de Fanny, qui se trémousse et va à la rencontre de ce gode. Enfin, il le sort, pour le remplacer tout de suite par un plug en acier, assez gros apparemment. Fanny pousse pour bien le faire rentrer, et soupire une fois à l’intérieur.
Il se dirige vers moi, va vers la chaise dans le coin de la chambre, et y ventouse le gode.
« Aller maintenant, tu vas te mettre à genoux devant cette chaise sur laquelle tu as passé du temps la dernière fois »
J’obéis. Je me tourne dos au lit, m’agenouille devant cette chaise.
Je sens des mains puissantes venir prendre mes mains, me les passer dans le dos, et je sens le contact froid de menottes qu’on me passe autour des poignets. Je suis excité… L’odeur du gode ayant passé un moment dans le cul de Fanny me vient aux narines et m’excite encore plus…
« Tu vois ce gode, tu sais ce qu’il te reste à faire. Tu vas le sucer bien au fond et à fond ! »
Je ne me fais pas prier, hyper excité comme je suis, et cette odeur hyper érotique m’excitant encore plus… Je commence à lécher timidement, mais Fanny me voit faire « ON T’A DIT DE SUCER ESPECE DE SALOPE !!! TU VAS SUCER CE GODE QUI SORT DE MON CUL ET TU VAS AIMER !! »
Ce ton très cru et cet énervement m’excitent encore plus… Je deviens de plus en plus soumis.
J’ouvre la bouche, et entreprends de sucer à fond. Je me délecte du gout du cul de mon ex, que j’aime…
Le gode était propre, mais je sens bien le goût du cul de Fanny, qui a énormément mouillé de l’anus. Je me surprends à adorer ce goût et à en vouloir plus…
L’amant me relève la tête, tandis que Fanny prend place juste en face de moi, sur le siège. Elle retire le plug en acier de son cul, et s’empale le gode que je viens de sucer dans l’anus. Elle y fait quelques allers et retours alors que le gode fiché dans son vagin se balance au rythme de ses allers et retours, et elle se relève brutalement, en remettant tout de suite son plug en acier.
« Maintenant tu vas t’assoir sur la chaise comme la dernière fois salope » me dit Fanny. Je comprends que je vais faire rentrer dans mon cul ce gode qu’elle vient d’utiliser pour se ramoner le cul, et j’avoue que cette perspective m’excite énormément.
Je m’assois donc, sentant le gode rentrer bien au fond de mon cul, tandis que l’amant m’attache les cuisses en les serrant bien fort à la chaise. Cela plaque mon cul sur l’assise, rentrant bien à fond le gode dans mon cul, c’est si bon !.
Il entreprend d’attacher les menottes retenant mes mains à la chaise, mes pieds aux pieds de la chaise, met des pinces à seins sur mes seins, et me remet un bâillon présentant un petit sexe, percé d’un trou, dans ma bouche. Il remet ensuite le même collier que la dernière fois, me forçant à garder la tête droite, et plaque mon buste contre la chaise.
Ca y est, je suis attaché comme la dernière fois, mais avec en plus un gode dans le cul et une cage de chasteté sur le sexe. Avoir dans le cul le gode qui vient de sortir du cul de Fanny, sur lequel sont présentes ses sécrétions anales, et qui a glissé tout seul dans mon propre anus… J’avoue que ça m’excite à mort ! Je pousse de petits gémissements de plaisir dans mon bâillon en gigotant le peu que je peux gigoter. Les sensations sont très minimes, mais hyper excitantes…
L’amant de Fanny me regarde. « Regarde Fanny, ton ex aime avoir ton gode dans le cul on dirait ! »
« Hummmmmmmmmmm » dis-je en guise de réponse.
Fanny me fixait du regard, je la fixais aussi, et je cru voir une esquisse de sourire, avant qu’elle se retourne et, à 4 pattes sur le lit, me montre ses parties génitales, le gode dans son vagin toujours bien en place, et son anus rempli du plug en acier.
« Encule moi, je veux ta bite dans mon cul ! » dit-elle, sans spécifier à qui elle parlait, ce qui me rendit encore plus fou de désir. S’adressait-elle à moi après le sourire furtif ?
L’amant ne se fit pas prier, et se positionna derrière elle, de manière à ce que je voie bien la scène. Il retira le plug, humidifia légèrement son sexe, puis la pénétra, lentement mais profondément, pour profiter de chaque cm de pénétration. Fanny gémissait de plaisir tandis que l’amant commençait à lui labourer le cul, d’abord doucement puis de plus en plus vite.
Toujours à 4 pattes, Fanny se saisit du gode entre ses jambes et le fit aller et venir en rythme avec son amant qui lui ramonait le rectum. Je la connaissais, elle n’avait jamais été aussi longue à jouir. Quelques instants plus tard : « Continue je vais jouir, oui !!! Oui !!!! OUIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!! »
Son amant continua quelques allers et retours, aidé par les contractions de l’anus et du vagin de Fanny, il s’enfonça bien au fond de ses entrailles, et jouit à son tour.
Je pouvais voir les contractions de son pubis tandis que son sperme heurtait le fond du rectum de mon ex, de mon Amour…
J’étais excité comme jamais… Mais ma cage empêchait toute érection…
Il appuya sur les épaules de Fanny afin de bien cambrer son fessier et le maintenir en l’air, puis entreprit de se retirer. L’amant remplaça tout de suite son sexe par le plug en métal préféré de Fanny, qui agissait comme un bouchon « Je veux que tu gardes mon sperme en toi, tu ne l’évacueras que quand je te le dirai »
« Oui mon Maître » répondit Fanny. Elle fit coulisser lentement le gode de son vagin en dehors, et se releva. Elle vint vers moi, ses pinces à sein se balançant au rythme de ses pas, et sans un mot, fit glisser le gode qui sortait de son vagin sur mes lèvres et sous mon nez. « Tiens, inspire bien profondément ! Tu aimes mon odeur hein ! Tu m’as fait horriblement mal mais je te permets quand même d’avoir mon odeur, je sais que tu adores. D’ailleurs en parlant de choses que tu adores, tu te souviens quand tu m’avais demandé de pisser dans un verre juste avant que je m’en aille ? »
Je gémis une fois pour lui indiquer que je m’en souvenais. Je lui avais en effet fait cette demande, et, dès son départ, avais bu l’entièreté du verre, en savourant chaque gorgée…
« Bien. Regarde bien ».
Elle sortit un saladier de sous son lit et s’accroupit. Très vite, elle se lâcha, vidant sa vessie dans le saladier. Elle devait avoir très envie car une bonne quantité remplissait désormais le saladier.
Elle le posa sur un tabouret, juste à côté de moi, et entreprit d’attacher au trou de mon bâillon un tuyau, qu’elle plongea dans le saladier et fixa avec une pince.
« Tu vas boire tout le saladier, et ensuite tu auras une surprise salope ! »
Pour mon plus grand bonheur, j’allais boire toute l’urine de Fanny, mon Amour, en étant totalement soumis, en cage, attaché très serré à une chaise et avec un gode dans le cul.
J’aspirais. Rapidement, les premières gorgées, chaudes, arrivèrent dans ma bouche. J’avalais avec grand plaisir, me délectant de ce goût délicieux. Depuis longtemps les jeux uros m’attiraient, enfin je les vivais, et je n’étais pas déçu… Quelle expérience ! Quelle excitation !
Fanny et son amant me regardaient, pendant que l’amant pétrissait les seins de Fanny et titillait les pinces à seins. Je la regardais dans les yeux, concentrant mon esprit sur « je t’aime Fanny, je t’aime Fanny, le vois-tu que je t’aime ?? ».
Elle restait impassible, ce petit sourire très discret attaché à ses lèvres
J’arrivais à la fin du saladier, et continuais à aspirer les quelques dernières gouttes qui avaient du mal à monter dans le tuyau.
« Tu es vraiment une salope ! Mon urine est aussi bonne que ça ? » me dit Fanny.
« Hummmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm ! » répondis-je en me dandinant autant que les liens me le permettaient.
« Salope ! Maintenant tu vas avoir ta surprise, comme promis ».
L’amant me détacha les cuisses, les chevilles et le buste, me libérant de la chaise, mais laissa le collier autour de mon cou. Il retira le bâillon de ma bouche, laissant s’écouler un filet de bave mélangée à de la pisse, que je me fis un plaisir de ravaler.
« Allonge toi sur le dos ! » me dit-il.
Je me levais doucement, sentant sortir ce merveilleux gode de mon cul, puis m’allongea comme demandé, par terre.
« Fanny, vas-y ! ».
Fanny se mit à croupi au-dessus de ma tête, l’anus juste au-dessus de ma bouche. Elle enleva le plug doucement, puis me le mit dans la bouche pour que je le suce un peu, tout en serrant son anus. Elle le fit aller et venir, puis m’ordonna d’ouvrir la bouche.
Je comprenais ce qui m’attendait, et obéis. La bouche grand ouverte, langue pleinement sortie.
Restant à quelques centimètres au-dessus de ma bouche, je la vis pousser un peu, jusqu’à ce que du sperme sorte de son cul, et tombe directement dans ma bouche. J’exultais. Un fantasme de longue date qui s’accomplissait enfin !
Je gardais la semence dans ma bouche et sur ma langue, sans bouger, en attente des directives.
Fanny poussa un peu plus fort. Une goutte de plus, et elle se releva, regardant avec un plaisir non dissimulé le tableau de son ex allongé avec le sperme de son amant en bouche.
« Avale salope ! » m’ordonna-t-elle.
J’avalais alors, en me délectant de cette gorgée supplémentaire, mêlant le goût de son cul avec le goût du sperme de son amant et il faut bien le reconnaître… J’adorais !
« Bien, maintenant casse-toi ».
Je me relevais tant bien que mal, l’amant me retira le collier spécial et les menottes dans le dos, et me poussa manu militari dans la rue, nu avec mes affaires sous le bras, et en cage de chasteté.
Je m’habillais rapidement, et compris ma situation : j’étais seul, de nuit, dans la rue, sans voiture.
Une longue marche m’attend…
Je suis encore hyper excité, avec ce goût merveilleux dans la bouche, et les sensations encore présentes dans mon anus à chaque pas que je fais. Mon sexe reste gros un moment dans sa cage, puis finit par se calmer au gré de la marche.
Une voiture passe, je tente bien sûr de lever le pouce, mais bien sûr, elle ne s’arrête pas.
Je suis en pleine forêt, puis en plein milieu des champs… La route doit faire 8 à 10km. Heureusement il fait bon et la lune éclaire bien, mais mon esprit est totalement concentré à la soirée que je viens de passer. Je la repasse en boucle dans ma tête… Eprouvante pour le moral, je vois mon Amour se faire prendre par un autre, elle me domine, avec lui et… J’aime ça. Je peux même dire que j’adore ça… Elle s’offre à lui sans pudeur, bien plus cochonne qu’elle ne l’a jamais été avec moi, le tout devant moi… Elle me fait boire sa pisse (j’adore), elle me force à nettoyer le sperme de son amant avec ma langue… Et j’ai adoré ça. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais je me sens bien, à la place qui est la mienne…
J’arrive enfin. Il est 4h du matin. Hyper excité, mais crevé, je vais me coucher, et m’endors bien vite, les rêves remplis de mon ex qui se fait prendre, et mon sexe, encagé, qui me réveille à de très nombreuses reprises…
Le lendemain matin, j’ouvre difficilement les yeux, mais suis vite ramené à la raison par mon sexe qui, encore une fois, a bien grossit dans sa cage, et veut sortir. Qu’est-ce que j’aimerais me faire jouir !!! Un seul aller-retour suffirait sûrement à me faire venir tant je suis au bord de l’explosion. Mais je ne peux pas.
Seule échappatoire, je vais dans mon sac à malices, et y prend mon gode préféré, afin de me le mettre dans l’anus, comme à mon habitude, car oui, j’aime me défoncer l’anus. Mon ex m’a pris une seule fois avec un gode ceinture, j’avais adoré, mais elle ne l’a plus jamais refait, me forçant à le faire seul…
Je l’humidifie, le ventouse au sol et m’accroupie dessus. Il rentre tout seul jusqu’au fond. C’est tellement bon ! Je monte et descends en rythme, m’inclinant bien pour le sentir sur ma prostate, ce qui ne manque pas de faire couler mon sperme, sans que je ne jouisse pour autant. Je le regarde s’écouler encore encore et encore, avec beaucoup d’intérêt et d’excitation. Le souvenir du sperme de l’amant de mon ex me revient vite, et je m’en retrouve excité… Je me relève, et me penche sur le sol pour laper ce sperme, MON sperme, qui est sorti. J’en apprécie le goût, plus doux que celui de l’amant de mon ex.
8h30, je dois partir au travail. Pas le temps de prendre mon petit déjeuner ni de me laver les dents, je m’habille à toute vitesse et file au boulot.
La journée est bien longue, avec ces images qui me reviennent en mémoire à chaque fois que je sens ma cage sur mon sexe, c’est-à-dire tout le temps… Autant dire qu’il est difficile de me concentrer. Et avec le traitement de mon anus de ce matin, je sens qu’il a faim et veut que je recommence. Ajouté à cela mon excitation de fou, j’ai très envie de m’empaler sur mon gode ventousé à une chaise, et de m’y attacher.
A l’heure du déjeuner, Noémie vient à table avec moi. « Ohlaaaa tu as encore une tête de déterré toi ! Qu’est-ce qui se passe ? Faut que tu me parles Pierre ! C’est pas possible ! »
Elle attaque à nouveau. C’est très gentil de sa part bien sûr, mais je ne peux pas lui dire… En même temps lui mentir m’est assez insupportable.
« Noémie, je suis en pleine période d’interrogations sur moi et je t’avoue que c’est très difficile de savoir quoi faire. Je t’expliquerai pourquoi un jour, mais pas aujourd’hui… »
« Mais tu sais que tu peux tout me dire, je ne te jugerai pas, et je peux peut-être même t’aider ! »
C’est vraiment gentil de sa part, mais j’ai du écourter la conversation, la faute à (ou grâce à ?) mon téléphone qui sonne, un appel que je dois prendre. Je salue Noémie, m’excusant rapidement, et prends l’appel en ramenant mon plateau.
L’après midi se passe comme la matinée, avec quelques images de Noémie qui me viennent de temps en temps. Enfin le soir, je rentre. Secrètement, j’espérais trouver quelque chose devant la maison en rapport avec Fanny, mais rien, et pas de message de toute la journée. Elle va encore me snober pendant des semaines… Mais je porte sa cage de chasteté, je ne vais pas pouvoir la garder pendant des semaines !!! Elle a été très claire, pas le droit de l’appeler… Je vais être obligé de me défoncer l’anus tout seul pour me vider un peu, quoique je doute que ça fasse redescendre l’excitation…
Je tends la main vers mon téléphone, et ouvre le message en m’arrangeant pour que mon ami ne voit pas le contenu.
C’est une photo avec un texte. Sur la photo, je vois Fanny à 4 pattes sur un lit, attachée, avec une très belle vue sur elle et son amant qui s’active derrière elle, la tenant par la laisse comme une chienne, avec des pinces sur les seins.
« C’est si bon de se faire prendre le cul pendant des heures ! Tu ne me mérites pas ! ».
Ce n’est pas possible ! Chaque fois que je pense arrêter de penser à elle, elle trouve l’exact bon moment pour me faire replonger. Cette audace, ce caractère, cette sexualité qui se dégage d’elle, cette volonté de m’humilier, alors même que je l’aime et que je ferais tout pour elle… Je n’ai plus honte de le dire alors, je suis dur en lisant son message et regardant sa photo, même si c’est un autre homme qui en profite, celui la même avec lequel elle m’a trompée.
Je prétexte de me sentir un peu mal pour rentrer. En arrivant devant ma porte d’entrée, je découvre une petite boite avec mon nom dessus.
Intrigué, mais sans trop avoir de doutes quant au lien entre le message et la présence de cette boite, je la prends et rentre chez moi.
Intrigué et très excité, je l’ouvre et y découvre une cage de chasteté. J’avais déjà vu de tels dispositifs sans trop m’y attarder, mais en voir une en vrai m’intrigue, et je sens mon sexe gonfler. Pourtant j’étais plutôt dominant dans mes relations, celle-ci est forcément pour un soumis… Je deviens soumis… Et ça m’excite.
Je prends la cage en main et trouve un mot au fond de la boite. C’est Fanny, sans surprise…
« Si tu veux avoir une chance de me revoir un jour, filme toi en gros plan en train de mettre la cage, et assure toi que j’entende bien le clic du cadenas. Envoie moi la vidéo, et plusieurs photos ».
Le ton était donné… Si je voulais la revoir, je devais mettre cet engin de torture excitant sur moi… Mais si je le faisais, je laisserais ma virilité entre les mains de ma tortionnaire, celle qui me torture psychologiquement, en m’excitant et en m’humiliant…
Une rengaine revenait sans cesse dans ma tête : « Tu m’as mal traitée, tu m’as fait énormément de mal, tu es une chienne, tu es une soumise, tu vas obéir », et j’en suis persuadé… Je le mérite… Je mérite de lui obéir… Je mérite d’être soumis… Ca m’excite encore… Je me vois déjà en train de mettre la cage, ça m’excite encore plus. Mais comment la mettre avec mon sexe hyper dur !
Je laisse la cage sur le côté, préférant remettre cette décision à plus tard. Je crains de ce qu’elle pourrait en faire. Et si elle ne me libère jamais ? Cette pensée m’envahit, et mon sexe durcit encore plus. Je m’imagine soumis à ses moindres désirs, quémandant pour la moindre petite caresse sur mon sexe… Je me caresse… Je me masturbe… Je jouis très vite !
Je sais que le froid fait baisser les ardeurs, et vais donc prendre une douche glacée au niveau des jambes. Effet immédiat, mon sexe se baisse.
Je me sèche très rapidement et, avant de redurcir, j’entreprends de mettre la cage. De toutes façons, je pourrai trouver le moyen de la retirer si je n’en peux plus. (Comme je pouvais être naïf…)
Mon téléphone filme toute la scène en gros plan. Je rentre mon sexe dans le tube, qui veut gonfler tout de suite, mais se retrouve coincé dedans. C’est très agréable et hyper excitant… Je rapproche le téléphone et place le cadenas. « clic ». Le bruit a été suffisamment fort pour être capté par le téléphone. J’arrête l’enregistrement, et prends des photos en gros plan.
Je prends un peu le temps de me regarder dans la glace… Quel bon soumis je fais avec cette cage…
Que faire maintenant… Lui envoie-je les photos et la vidéo ? Je ne sais plus…
J’apprécie cette cage. Mon sexe rentre très bien dedans, épouse bien les parois, ne peut pas gonfler… C’est très confortable.
Je me décide, et lui envoie la vidéo et les photos. Juste ça, sans un mot. Il est alors 23h30.
Je suis dur en envoyant le message, et finis par m’endormir, excité.
Ma nuit est ponctuée de nombreux réveils, où mon sexe veut absolument grandir et qui me fait un peu mal. A 3h30, je regarde mon téléphone, aucun message, comme je m’y attendais. Mais je suis trop excité. J’essaye de retirer la cage… J’y passe plus de 20 minutes… Mais c’est peine perdue. Me vient l’idée de découper le cadenas avec une scie à métaux, mais alors je fermerai à tout jamais la porte vers Fanny.
Elle me rend fou…
Je vais passer mon sexe sous l’eau froide et retourne me coucher.
La fin de la nuit est agréable et très excitante, je me fais une raison.
En me réveillant, je regarde mon téléphone, il est déjà 7h30, je dois aller au travail. Mon sexe est dur et veut grandir, mais impossible.
Je m’habille, la cage se voit à peine, mais j’ai l’impression que tout le monde saura que je l’ai…
La journée est longue et très dure, surtout dans mon caleçon. Je passe mon temps à regarder mon téléphone, mais rien… C’est horrible, mais je m’y attendais. Je ne fais qu’espérer !
Le soir arrive, je rentre avec le sexe coincé dans sa cage et voulant grandir à chaque instant. Je me surprends à aimer la sensation et cette perte de pouvoir sur mon propre sexe, ce qui fait de moi un homme. Je perds ce contrôle, le laissant entre les mains d’une femme qui m’humilie…
En arrivant chez moi, je vois une voiture garée devant. En passant devant, la porte s’ouvre, Fanny descend.
Je reste hébété à la voir, mon cœur bat la chamade, je ne bouge plus, n’osant détourner mon regard. Qu’elle est belle… Non, elle est plus que ça, elle est merveilleuse ! Mon sexe veut tout de suite grandir mais impossible. Elle me dédaigne du regard, je sens toute sa colère sur moi, et en même temps une satisfaction de me savoir dominé…
La porte passager s’ouvre, son amant descend. Je fais un pas en arrière mais Fanny m’interpelle tout de suite « Ne bouge pas ! Si tu veux que je te libère un jour tu as intérêt à obéir ! ».
Je reste tétanisé. Elle a raison, si je désobéis, je risque de rester en cage un long moment.
Son amant passe derrière moi, prend mes mains, les passe dans mon dos, et y fixe une paire de menottes. Je voudrais bander plus dur que jamais mais avec cette cage, je ne peux pas, c’et terriblement excitant !
L’amant me passe un bâillon qu’il serre fort, très efficace, je ne peux plus parler, juste émettre des sons.
L’homme me dit :
« Regarde bien. Fanny, montre lui ! »
Fanny se déshabille devant moi, comme ça dans la rue. Nous sommes dans une rue de campagne, il n’y a personne mais quand même. Sa robe tombe très vite, elle apparaît nue devant moi. Sur ses seins, les pinces à têtons qu’elle affectionne tant, une ceinture autour de sa taille qui tient une sangle qui passe entre ses jambes, et un collier de chien à son cou. Elle s’appuie contre la voiture et se penche en avant, écartant bien ses fesses. Je vois, maintenu par la sangle, un gode dans la chatte et un autre dans l’anus. Ils ont l’air d’être de taille raisonnable. Je suis hyper excité !
L’homme me laisse, passe devant moi, et fixe une laisse au collier de chien de Fanny.
« Vas lui cracher dessus, il va adorer ».
Fanny obéit, elle se rapproche de moi, et me crache trois fois au visage. Elle étale sa salive sur tout mon visage, et insiste bien sur mes narines. Elle sait que j’adore ça, mais c’est en même temps tellement humiliant. Elle me permet de sentir sa délicieuse odeur, j’adore ça !!!
Elle me sourit en s’éloignant vers son maître… Je ne pensais pas qu’elle était aussi soumise !!
Son amant attache la laisse au rétroviseur de la voiture, et s’approche de moi.
« Si tu veux continuer, monte dans la voiture, sinon, tu t’en vas et tu n’entendras plus jamais parler de nous. », dit il en ouvrant la porte arrière de la voiture.
Je réfléchis un court instant, et monte dans la voiture.
Il m’attache la ceinture, me mets un bandeau sur les yeux, referme la porte de la voiture. Il fait noir, je ne vois plus rien, je suis hyper excité…
Je l’entends qui ordonne à Fanny de remonter dans la voiture, et de les conduire chez elle. Elle répond « Oui mon Maître ».
La voiture se met en route…
Une dizaine de minutes plus tard, la voiture s’arrête. Les portières claquent, je reste là, seul, sur la banquette arrière, les mains attachées dans le dos, les yeux bandés, et avec mon bâillon.
Ça y est, on me retire mon bandeau, la lumière des lampadaires éclaire la voiture, et me laisse voir l’extérieur. C’est l’amant de Fanny qui m’accueille, grand sourire.
Il me passe le même collier de chien que j’ai vu sur Fanny, et le verrouille avec un cadenas. Il y attache une laisse et me dit de sortir. Tant bien que mal je me glisse hors de la voiture, et le suis alors qu’il entre dans la maison.
En y entrant, je vois Fanny, nue et harnachée de ses pinces à seins, sa sangle qui maintient un gode dans son anus et un dans sa chatte, et son collier de chienne, qui attend à genoux sur le sol, regardant son amant avec un air suppliant.
La voir comme ça, même si je sais que je ne pourrai pas en profiter, et comme je suis fou amoureux d’elle, me gonfle le pénis qui, bloqué dans sa cage, est extrêmement frustré… Comme elle est belle !
L’amant prend la laisse de Fanny et nous tire tous les deux dans l’escalier pour monter. Fanny y va à 4 pattes et passe devant moi dans l’escalier. J’ai une vue parfaite sur ces godes qui bougent au rythme de ses hanches… L’odeur est excellente, elle m’excite encore plus…
Nous arrivons dans la chambre. Fanny monte sur le lit tout de suite. Je vois la chaise de la dernière fois dans le coin, avec tout ce qui avait servi à m’attacher. J’en deviens encore tout excité…
« Toi le cocu, à poils !».
Il me détache les mains, je me déshabille. Lorsque mon sexe apparaît, encagé, Fanny le regarde avec beaucoup d’attention et avec un petit sourire en coin, tandis que son amant se moque de moi.
« Non mais sérieux, tu es un vrai soumis. Une salope ! Tu ne t’en servais déjà pas beaucoup, tu ne risques plus de t’en servir ! Regarde bien maintenant ! »
L’homme dont j’ignore toujours le nom se rapproche de Fanny et monte sur le lit. Il la pousse brutalement en avant, elle tombe à 4 pattes sur le lit, la chaine reliant ses pinces à seins se balançant lui procurant certainement de merveilleuses sensations sur les tétons.
Il retire le cadenas maintenant la sangle entre ses jambes attachée à la ceinture, dans le dos, et retire la sangle. Je vois les godes fichés au fond de sa chatte et de son petit trou.
Il joue un peu avec celui dans la chatte, le faisant entrer et sortir doucement, puis très rapidement, soutirant des soupirs de plaisir à Fanny. Puis il l’enfonce bien à fond. « AAAHHHHHH OUIIIIII !!!! » dit Fanny en le sentant heurter son col. Je bande comme un fou dans ma cage… L’homme prend le gode dans son cul, et le fait sortir tout doucement, avant de le rentrer tout doucement. Fanny soupire de plaisir. Il recommence un peu plus vite, puis fait des allers retours réguliers dans le cul de Fanny, qui se trémousse et va à la rencontre de ce gode. Enfin, il le sort, pour le remplacer tout de suite par un plug en acier, assez gros apparemment. Fanny pousse pour bien le faire rentrer, et soupire une fois à l’intérieur.
Il se dirige vers moi, va vers la chaise dans le coin de la chambre, et y ventouse le gode.
« Aller maintenant, tu vas te mettre à genoux devant cette chaise sur laquelle tu as passé du temps la dernière fois »
J’obéis. Je me tourne dos au lit, m’agenouille devant cette chaise.
Je sens des mains puissantes venir prendre mes mains, me les passer dans le dos, et je sens le contact froid de menottes qu’on me passe autour des poignets. Je suis excité… L’odeur du gode ayant passé un moment dans le cul de Fanny me vient aux narines et m’excite encore plus…
« Tu vois ce gode, tu sais ce qu’il te reste à faire. Tu vas le sucer bien au fond et à fond ! »
Je ne me fais pas prier, hyper excité comme je suis, et cette odeur hyper érotique m’excitant encore plus… Je commence à lécher timidement, mais Fanny me voit faire « ON T’A DIT DE SUCER ESPECE DE SALOPE !!! TU VAS SUCER CE GODE QUI SORT DE MON CUL ET TU VAS AIMER !! »
Ce ton très cru et cet énervement m’excitent encore plus… Je deviens de plus en plus soumis.
J’ouvre la bouche, et entreprends de sucer à fond. Je me délecte du gout du cul de mon ex, que j’aime…
Le gode était propre, mais je sens bien le goût du cul de Fanny, qui a énormément mouillé de l’anus. Je me surprends à adorer ce goût et à en vouloir plus…
L’amant me relève la tête, tandis que Fanny prend place juste en face de moi, sur le siège. Elle retire le plug en acier de son cul, et s’empale le gode que je viens de sucer dans l’anus. Elle y fait quelques allers et retours alors que le gode fiché dans son vagin se balance au rythme de ses allers et retours, et elle se relève brutalement, en remettant tout de suite son plug en acier.
« Maintenant tu vas t’assoir sur la chaise comme la dernière fois salope » me dit Fanny. Je comprends que je vais faire rentrer dans mon cul ce gode qu’elle vient d’utiliser pour se ramoner le cul, et j’avoue que cette perspective m’excite énormément.
Je m’assois donc, sentant le gode rentrer bien au fond de mon cul, tandis que l’amant m’attache les cuisses en les serrant bien fort à la chaise. Cela plaque mon cul sur l’assise, rentrant bien à fond le gode dans mon cul, c’est si bon !.
Il entreprend d’attacher les menottes retenant mes mains à la chaise, mes pieds aux pieds de la chaise, met des pinces à seins sur mes seins, et me remet un bâillon présentant un petit sexe, percé d’un trou, dans ma bouche. Il remet ensuite le même collier que la dernière fois, me forçant à garder la tête droite, et plaque mon buste contre la chaise.
Ca y est, je suis attaché comme la dernière fois, mais avec en plus un gode dans le cul et une cage de chasteté sur le sexe. Avoir dans le cul le gode qui vient de sortir du cul de Fanny, sur lequel sont présentes ses sécrétions anales, et qui a glissé tout seul dans mon propre anus… J’avoue que ça m’excite à mort ! Je pousse de petits gémissements de plaisir dans mon bâillon en gigotant le peu que je peux gigoter. Les sensations sont très minimes, mais hyper excitantes…
L’amant de Fanny me regarde. « Regarde Fanny, ton ex aime avoir ton gode dans le cul on dirait ! »
« Hummmmmmmmmmm » dis-je en guise de réponse.
Fanny me fixait du regard, je la fixais aussi, et je cru voir une esquisse de sourire, avant qu’elle se retourne et, à 4 pattes sur le lit, me montre ses parties génitales, le gode dans son vagin toujours bien en place, et son anus rempli du plug en acier.
« Encule moi, je veux ta bite dans mon cul ! » dit-elle, sans spécifier à qui elle parlait, ce qui me rendit encore plus fou de désir. S’adressait-elle à moi après le sourire furtif ?
L’amant ne se fit pas prier, et se positionna derrière elle, de manière à ce que je voie bien la scène. Il retira le plug, humidifia légèrement son sexe, puis la pénétra, lentement mais profondément, pour profiter de chaque cm de pénétration. Fanny gémissait de plaisir tandis que l’amant commençait à lui labourer le cul, d’abord doucement puis de plus en plus vite.
Toujours à 4 pattes, Fanny se saisit du gode entre ses jambes et le fit aller et venir en rythme avec son amant qui lui ramonait le rectum. Je la connaissais, elle n’avait jamais été aussi longue à jouir. Quelques instants plus tard : « Continue je vais jouir, oui !!! Oui !!!! OUIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!! »
Son amant continua quelques allers et retours, aidé par les contractions de l’anus et du vagin de Fanny, il s’enfonça bien au fond de ses entrailles, et jouit à son tour.
Je pouvais voir les contractions de son pubis tandis que son sperme heurtait le fond du rectum de mon ex, de mon Amour…
J’étais excité comme jamais… Mais ma cage empêchait toute érection…
Il appuya sur les épaules de Fanny afin de bien cambrer son fessier et le maintenir en l’air, puis entreprit de se retirer. L’amant remplaça tout de suite son sexe par le plug en métal préféré de Fanny, qui agissait comme un bouchon « Je veux que tu gardes mon sperme en toi, tu ne l’évacueras que quand je te le dirai »
« Oui mon Maître » répondit Fanny. Elle fit coulisser lentement le gode de son vagin en dehors, et se releva. Elle vint vers moi, ses pinces à sein se balançant au rythme de ses pas, et sans un mot, fit glisser le gode qui sortait de son vagin sur mes lèvres et sous mon nez. « Tiens, inspire bien profondément ! Tu aimes mon odeur hein ! Tu m’as fait horriblement mal mais je te permets quand même d’avoir mon odeur, je sais que tu adores. D’ailleurs en parlant de choses que tu adores, tu te souviens quand tu m’avais demandé de pisser dans un verre juste avant que je m’en aille ? »
Je gémis une fois pour lui indiquer que je m’en souvenais. Je lui avais en effet fait cette demande, et, dès son départ, avais bu l’entièreté du verre, en savourant chaque gorgée…
« Bien. Regarde bien ».
Elle sortit un saladier de sous son lit et s’accroupit. Très vite, elle se lâcha, vidant sa vessie dans le saladier. Elle devait avoir très envie car une bonne quantité remplissait désormais le saladier.
Elle le posa sur un tabouret, juste à côté de moi, et entreprit d’attacher au trou de mon bâillon un tuyau, qu’elle plongea dans le saladier et fixa avec une pince.
« Tu vas boire tout le saladier, et ensuite tu auras une surprise salope ! »
Pour mon plus grand bonheur, j’allais boire toute l’urine de Fanny, mon Amour, en étant totalement soumis, en cage, attaché très serré à une chaise et avec un gode dans le cul.
J’aspirais. Rapidement, les premières gorgées, chaudes, arrivèrent dans ma bouche. J’avalais avec grand plaisir, me délectant de ce goût délicieux. Depuis longtemps les jeux uros m’attiraient, enfin je les vivais, et je n’étais pas déçu… Quelle expérience ! Quelle excitation !
Fanny et son amant me regardaient, pendant que l’amant pétrissait les seins de Fanny et titillait les pinces à seins. Je la regardais dans les yeux, concentrant mon esprit sur « je t’aime Fanny, je t’aime Fanny, le vois-tu que je t’aime ?? ».
Elle restait impassible, ce petit sourire très discret attaché à ses lèvres
J’arrivais à la fin du saladier, et continuais à aspirer les quelques dernières gouttes qui avaient du mal à monter dans le tuyau.
« Tu es vraiment une salope ! Mon urine est aussi bonne que ça ? » me dit Fanny.
« Hummmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm ! » répondis-je en me dandinant autant que les liens me le permettaient.
« Salope ! Maintenant tu vas avoir ta surprise, comme promis ».
L’amant me détacha les cuisses, les chevilles et le buste, me libérant de la chaise, mais laissa le collier autour de mon cou. Il retira le bâillon de ma bouche, laissant s’écouler un filet de bave mélangée à de la pisse, que je me fis un plaisir de ravaler.
« Allonge toi sur le dos ! » me dit-il.
Je me levais doucement, sentant sortir ce merveilleux gode de mon cul, puis m’allongea comme demandé, par terre.
« Fanny, vas-y ! ».
Fanny se mit à croupi au-dessus de ma tête, l’anus juste au-dessus de ma bouche. Elle enleva le plug doucement, puis me le mit dans la bouche pour que je le suce un peu, tout en serrant son anus. Elle le fit aller et venir, puis m’ordonna d’ouvrir la bouche.
Je comprenais ce qui m’attendait, et obéis. La bouche grand ouverte, langue pleinement sortie.
Restant à quelques centimètres au-dessus de ma bouche, je la vis pousser un peu, jusqu’à ce que du sperme sorte de son cul, et tombe directement dans ma bouche. J’exultais. Un fantasme de longue date qui s’accomplissait enfin !
Je gardais la semence dans ma bouche et sur ma langue, sans bouger, en attente des directives.
Fanny poussa un peu plus fort. Une goutte de plus, et elle se releva, regardant avec un plaisir non dissimulé le tableau de son ex allongé avec le sperme de son amant en bouche.
« Avale salope ! » m’ordonna-t-elle.
J’avalais alors, en me délectant de cette gorgée supplémentaire, mêlant le goût de son cul avec le goût du sperme de son amant et il faut bien le reconnaître… J’adorais !
« Bien, maintenant casse-toi ».
Je me relevais tant bien que mal, l’amant me retira le collier spécial et les menottes dans le dos, et me poussa manu militari dans la rue, nu avec mes affaires sous le bras, et en cage de chasteté.
Je m’habillais rapidement, et compris ma situation : j’étais seul, de nuit, dans la rue, sans voiture.
Une longue marche m’attend…
Je suis encore hyper excité, avec ce goût merveilleux dans la bouche, et les sensations encore présentes dans mon anus à chaque pas que je fais. Mon sexe reste gros un moment dans sa cage, puis finit par se calmer au gré de la marche.
Une voiture passe, je tente bien sûr de lever le pouce, mais bien sûr, elle ne s’arrête pas.
Je suis en pleine forêt, puis en plein milieu des champs… La route doit faire 8 à 10km. Heureusement il fait bon et la lune éclaire bien, mais mon esprit est totalement concentré à la soirée que je viens de passer. Je la repasse en boucle dans ma tête… Eprouvante pour le moral, je vois mon Amour se faire prendre par un autre, elle me domine, avec lui et… J’aime ça. Je peux même dire que j’adore ça… Elle s’offre à lui sans pudeur, bien plus cochonne qu’elle ne l’a jamais été avec moi, le tout devant moi… Elle me fait boire sa pisse (j’adore), elle me force à nettoyer le sperme de son amant avec ma langue… Et j’ai adoré ça. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais je me sens bien, à la place qui est la mienne…
J’arrive enfin. Il est 4h du matin. Hyper excité, mais crevé, je vais me coucher, et m’endors bien vite, les rêves remplis de mon ex qui se fait prendre, et mon sexe, encagé, qui me réveille à de très nombreuses reprises…
Le lendemain matin, j’ouvre difficilement les yeux, mais suis vite ramené à la raison par mon sexe qui, encore une fois, a bien grossit dans sa cage, et veut sortir. Qu’est-ce que j’aimerais me faire jouir !!! Un seul aller-retour suffirait sûrement à me faire venir tant je suis au bord de l’explosion. Mais je ne peux pas.
Seule échappatoire, je vais dans mon sac à malices, et y prend mon gode préféré, afin de me le mettre dans l’anus, comme à mon habitude, car oui, j’aime me défoncer l’anus. Mon ex m’a pris une seule fois avec un gode ceinture, j’avais adoré, mais elle ne l’a plus jamais refait, me forçant à le faire seul…
Je l’humidifie, le ventouse au sol et m’accroupie dessus. Il rentre tout seul jusqu’au fond. C’est tellement bon ! Je monte et descends en rythme, m’inclinant bien pour le sentir sur ma prostate, ce qui ne manque pas de faire couler mon sperme, sans que je ne jouisse pour autant. Je le regarde s’écouler encore encore et encore, avec beaucoup d’intérêt et d’excitation. Le souvenir du sperme de l’amant de mon ex me revient vite, et je m’en retrouve excité… Je me relève, et me penche sur le sol pour laper ce sperme, MON sperme, qui est sorti. J’en apprécie le goût, plus doux que celui de l’amant de mon ex.
8h30, je dois partir au travail. Pas le temps de prendre mon petit déjeuner ni de me laver les dents, je m’habille à toute vitesse et file au boulot.
La journée est bien longue, avec ces images qui me reviennent en mémoire à chaque fois que je sens ma cage sur mon sexe, c’est-à-dire tout le temps… Autant dire qu’il est difficile de me concentrer. Et avec le traitement de mon anus de ce matin, je sens qu’il a faim et veut que je recommence. Ajouté à cela mon excitation de fou, j’ai très envie de m’empaler sur mon gode ventousé à une chaise, et de m’y attacher.
A l’heure du déjeuner, Noémie vient à table avec moi. « Ohlaaaa tu as encore une tête de déterré toi ! Qu’est-ce qui se passe ? Faut que tu me parles Pierre ! C’est pas possible ! »
Elle attaque à nouveau. C’est très gentil de sa part bien sûr, mais je ne peux pas lui dire… En même temps lui mentir m’est assez insupportable.
« Noémie, je suis en pleine période d’interrogations sur moi et je t’avoue que c’est très difficile de savoir quoi faire. Je t’expliquerai pourquoi un jour, mais pas aujourd’hui… »
« Mais tu sais que tu peux tout me dire, je ne te jugerai pas, et je peux peut-être même t’aider ! »
C’est vraiment gentil de sa part, mais j’ai du écourter la conversation, la faute à (ou grâce à ?) mon téléphone qui sonne, un appel que je dois prendre. Je salue Noémie, m’excusant rapidement, et prends l’appel en ramenant mon plateau.
L’après midi se passe comme la matinée, avec quelques images de Noémie qui me viennent de temps en temps. Enfin le soir, je rentre. Secrètement, j’espérais trouver quelque chose devant la maison en rapport avec Fanny, mais rien, et pas de message de toute la journée. Elle va encore me snober pendant des semaines… Mais je porte sa cage de chasteté, je ne vais pas pouvoir la garder pendant des semaines !!! Elle a été très claire, pas le droit de l’appeler… Je vais être obligé de me défoncer l’anus tout seul pour me vider un peu, quoique je doute que ça fasse redescendre l’excitation…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant, félicitations!
Alors la suite arrive quand ?
Sinon il discute avec Noemie et vire Fanny.
Prenez exemple sur Bob 65 qui est aussi 1 auteur de HDS
Sa femme partage son mari avec amour.
Prenez exemple sur Bob 65 qui est aussi 1 auteur de HDS
Sa femme partage son mari avec amour.