Soumis heureux, partie 5 - histoire érotique

Elle aussi embrasse divinement bien… Mais son message m’excite encore plus ! Impossible d’enlever ma cage ou de me masturber, j’ai pourtant tant envie de jouir ! Elle compte utiliser ma langue à d’autres desseins que de l’embrasser ? Elle m’excite c’est incroyable !!!
Noémie a toujours révé d’avoir un soumis à disposition… Elle me demande de continuer à aller voir Fanny et à lui obéir, mais de tout lui raconter… Pour quoi faire ?
Je deviens fou !!! Deux femmes veulent me soumettre, l’une dont je suis fou amoureux, l’autre dont je crois commencer à tomber amoureux…
Tellement excité de cette situation et de ce message que je lis en boucle, je retourne m’empaler d’un coup bien au fond sur le gode. Assis, le gode au fond de mon anus, je reste bien tranquillement à profiter de cette pression sur ma prostate, et lis encore ce message.
Avant de me relever, je réponds à Noémie : « Noémie, merci infiniment pour ce merveilleux moment. Tu rêves d’avoir un soumis à ta disposition, je serai ravi d’accomplir ton rêve… Je t’obéis et t’obéirai Noémie… Tu m’ordonnes de continuer à obéir à mon ex, et tout te raconter et te montrer, je t’obéirai, et te remercie de ta gentillesse. J’ai aussi adoré tes baisers, profonds et passionnés, exactement ce que j’aime, à croire que tu peux lire dans mon esprit. Ma langue, mon corps t’appartiennent… Merci Noémie ».
J’espère qu’elle appréciera ce message. Rien que de l’écrire, mon sexe durcit encore tant qu’il peut. Je suis pris à nouveau d’une frénésie sexuelle, monte et descends sur le gode qui s’empale chaque fois mieux dans mon anus. Il glisse tout seul tant je mouille du cul. J’aime tellement cette sensation !
Combien de temps je reste là à me défoncer l’anus ? Des dizaines de minutes, des heures ? Je ne saurais dire, mais je suis épuisé.
Je ne veux pas perdre le goût délicieux de Noémie dans ma bouche, alors je vais me coucher plus tard, sans aucun message de qui que ce soit, sans me laver les dents, et m’endors bien difficilement, avec mon sexe dur dans sa cage…
Mes rêves sont, comme tous les jours ces temps-ci, peuplés d’images et de situations où je me retrouve nu face à une femme, mais une fois n’est pas coutume, mes visions alternent entre Fanny et Noémie. Je crois être en train de tomber amoureux de Noémie… Qu’envisage-t-elle avec moi ?
Je me réveille plusieurs fois, tout excité, et peine à m’endormir.
Le lendemain, je vais au travail, en pensant à la relation avec Noémie. Que va-t-il se passer ? J’espère qu’elle gardera ce secret pour elle…
Je vais à mon bureau, la vois passer de temps en temps et m’envoyer un regard tendre… Elle est belle !
Le déjeuner se passe, mon sexe est vraiment serré dans sa cage, difficile de cacher sous mon pantalon, mais après tout, personne ne regarde ici.
Dans l’après midi, Noémie vient me voir. Elle entre dans mon bureau, et ferme la porte derrière elle. Je la regarde avec attention… Elle s’approche de moi, mais les vitres ne sont pas floutées, j’espère qu’elle ne tentera rien !
Elle s’assied devant moi dans un fauteuil, et me transperçant du regard :
« Pierre, la soirée d’hier a été magnifique ! Je n’ai pas arrêté de me caresser toute la nuit… J’étais trempée… Et tu n’étais même pas là pour me soulager… J’ai utilisé des godes… Ils rentraient tout seuls ! Dans ma petite chatte bien sûr, mais aussi dans mon petit cul… C’était très bon tu sais… De les sentir coulisser en moi dans de petits bruits… Je fermais les yeux et imaginais que c’était ton sexe… Mais il est en cage n’est-ce pas ? Tu ne peux pas faire grand-chose dans ton état… En plus, les clés sont en possession de ton ex… »
Mais pourquoi me raconte-t-elle tout ça !!! Je suis hyper dur dans ma cage !!! L’imaginer se caresser en pensant à moi, imaginer sa chatte trempée d’excitation, et des godes y entrer ! Imaginer son anus rempli aussi !! Ahhhh elle me rend fou !!
« Noémie… Tu m’excites tellement… »
« Je sais bien Pierre, mais tu es en cage… Ton sexe ne peut pas grandir comme il le voudrait… Si seulement il pouvait, je fermerais les rideaux et tu me prendrais là, tout de suite, sur ton bureau… Mais tu es prisonnier d’une autre femme… Alors tu sais quoi ? J’ai beaucoup réfléchi, et le seul moyen que tu as d’être libéré, c’est bien d’obéir à ton ex n’est-ce pas ? »
« Oui Noémie… Excuse moi Noémie… »
« Comment s’appelle ton ex ? J’en ai marre de l’appeler "ton ex" »
« Fanny »
« Bien. Alors tu vas profiter de ce week-end pour aller la voir chez elle. Elle t’a dit de ne pas lui écrire, mais pas d’aller la voir n’est-ce pas ? Tu vas aller la voir, et te soumettre à elle pour tout le week-end. Et je veux que tu sois un bon soumis ! Tu lui obéiras, ainsi qu’à son amant, en tout. Tu seras une bonne soubrette. C’est bien compris ? Avec un peu de chance, elle te rendra ta clé… »
Sur ces paroles, et avant que je ne puisse répondre, elle se lève et sort de mon bureau, en ondulant bien des fesses afin que je me régale visuellement, et que j’en sois encore plus excité.
Je crois rêver : Noémie, dont je suis en train de tomber amoureux, m’envoie chez mon ex afin que je lui sois soumis en tout. Mais Fanny n’acceptera jamais de me rendre la clé ! Et lui être soumis tout un week-end… Comment vais-je faire ??
On est jeudi, ça me laisse une journée et demi pour trouver une solution.
La journée se termine, je n’ai pensé qu’à cette perspective, mais pas d’idée en tête… J’espérais un retour de Noémie dans mon bureau, mais rien, et pas un message non plus. Devrais-je lui écrire ? Vu le chemin que ça prend, je ne pense pas qu’un soumis soit en droit d’écrire à celle qui le domine…
Je rentre donc chez moi, et me dépêche d’aller vider ma frustration avec mon gode, toujours ventousé sur sa chaise. Il rentre tout seul… Je suis tellement excité que j’en mouille du cul. Je me défonce, et pensant à Noémie et à sa proposition, mon sexe hyper dur dans sa cage, et j’ai trouvé !
Je vais aller chez Fanny, toquer à sa porte, demain soir (vendredi), et la tête baissée, lui tendre une lettre, sur laquelle j’aurai noté que je m’en remets à son bon vouloir pendant toute la durée du week-end, et qu’elle peut m’ordonner toutes les tâches qu’elle souhaite chez elle.
Heureux de mon idée, je me défonce encore plus vite, jusqu’à n’en plus pouvoir.
Ereinté mais heureux, je mange rapidement, me lave, et vais me coucher, la cage toujours trop serrée.

Le lendemain matin, au travail, j’essaye de trouver Noémie, et la trouve rapidement. On s’isole, prétextant un dossier à travailler, et j’en profite pour lui dire que j’ai trouvé une solution pour ce qu’elle m’a demandé.
Noémie sourit, et fait légèrement sortir de sa bouche un filet de salive, qu’elle récupère dans le creux de sa main, puis en dépose une bonne quantité dans sa main.
« Tu veux ? »
Mon sexe grossit tout de suite, limité qu’il est par la cage. Elle m’excite comme un fou, et oui, j’avoue que je rêve de pouvoir lécher sa main… Je lui dis un très faible « oui », alors elle tend sa main sur le bureau, juste devant moi, et dépose le contenu, en s’essuyant la main sur le rebord.
« Et bien… lèche ! » me dit-elle à voix basse.
Je regarde rapidement autour, personne ne regarde, alors je me penche, et lèche sa salive étalée sur mon bureau. Je frotte un peu mon nez dedans pour en profiter des bonnes odeurs, et le garde en bouche. La quantité est assez grande, ma bouche peut bien en apprécier le goût. Tout en regardant Noémie, je fais passer sa salive dans chaque recoin de ma bouche, puis garde ce délicieux nectar sur ma langue.
« Avale… » chuchotte-t-elle.
J’obéis à ses ordres, et avale doucement, sentant sa salive couler le long de mon cou. J’inspire fortement, pour me régaler de son odeur, et lui souris.
« Merci Noémie… J’adore… »
« Je le sais. Alors, tu as trouvé comment faire ? »
« Oui, je vais me présenter, ce soir, chez elle, avec une lettre sur laquelle il sera noté que… » Un coup d’œil à droite, à gauche, je chuchotte « que je suis là pour son bonheur ce week-end, et que je m’engage à faire toutes les tâches qu’elle m’ordonnera ».
« Très bien ! Je voudrai que tu me racontes, en détail, tout ce que tu auras fait du week-end. Il est peu probable que tu puisses m’écrire, mais arrange toi pour bien tout mémoriser, et me raconter. Je voudrai TOUT savoir ! Donne lui ton téléphone, et dis lui de faire des photos ».
« Oui Noémie… J’obéirai à tes volontés ».
Elle se lève, et s’en va, me laissant seul à la table.
A mon tour, je me lève, me remplissant à chaque inspiration les poumons de sa délicieuse haleine… J’adore ! J’ai tellement hâte d’être à ce soir ! Et en même temps, quelle appréhension…
La fin de la journée se passe, je rentre chez moi, avec la ferme intention de bien me nettoyer les intestins, car je risque d’être très utilisé…
Je me prodigue un lavement, en pensant autant à Noémie qu’à Fanny et son amant… J’écris sur une feuille blanche le texte, bien écrit, et m’habille uniquement d’un pantalon et d’un polo. A 19h, je monte dans ma voiture, direction chez Fanny.