Soumission en vacances 9 - La cave 2 : le retour
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumission en vacances 9 - La cave 2 : le retour
Chapitre 9 : la cave 2 – le retour
Dans le fond, je m’étais vraiment piégé tout seul. On était parti pour une après-midi agréable, peut-être une reprise tranquille mais rien de bien pire… Massage, un peu de sexe, j’aurais peut-être même pris les rênes avec son approbation.
Peut-être, peut-être, peut-être.
Je ressassais tout ça à nouveau, pour la énième fois depuis maintenant plus d’une heure. Peut-être deux. C’est pas comme si je pouvais savoir. J’avais mal à la mâchoire, mal au cul, aux articulations, j’étais au bord du point de rupture, et j’avais la même bande son qui tournait en boucle au fond de ma cervelle en bouillie : tu l’as bien cherché, la prochaine fois que tu as une bonne idée, abstiens-toi. Ou fais des nœuds, des nœuds bien solides…
J’étais perdu dans ces considérations quand une lumière m’aveugla. J’entendis les pas de ma maitresse résonner et fut assailli pas une vague de reconnaissance : enfin elle venait me sauver…
2 heures plus tôt :
Disparu, le Fabrice sûr de lui. Là, il avait tendu les manettes à une version bien moins courageuse, qui couinait comme elle pouvait à travers son bâillon, dans un mélange complexe d’excuses, de justification et de supplications. J’avais quand même trouvé le temps de me relever sur les genoux dans ma position de soumission, histoire d’essayer de sauver les meubles comme je pouvais.
Léa était imperturbable. Elle avait remis son masque de déesse, sa tenue sexy de cuir, elle tenait la cravache dans une main et le sac de sport dans l’autre.
- « Lèves-toi et tais-toi. Tu n’es pas en train d’améliorer ta situation en m’exaspérant comme ça ».
Je m’en doutais, mais j’avais du mal à m’arrêter, panique oblige. Mais elle avait déjà switché parfaitement dans son rôle de dominante. Elle s’installa à genou devant moi, me caressa les couilles en levant les yeux pour plonger son regard dans le mien et, d’une voie tendre, entreprit de me rassurer. Ce qui eut surtout pour effet de me perturber complètement, ne sachant plus du tout où j’en étais.
- « Écoutes moi bien mon petit chien : je ne t’en veux pas. Tu as vu une opportunité, tu l’as saisi, tu as profité… C’est très bien, ce serait hypocrite pour moi de t’en vouloir tu comprends ? »
Elle ponctuait son explication de petit coup de langues divin sur mon sexe maintenant dressé. Je hochais de la tête, rassuré. Mais elle n’avait pas fini.
Elle s’arrêta brutalement de me caresser, son petit sourire rassurant laissa place à une expression froide et elle me serra les bourses sans une once de délicatesse.
- « Seulement voilà : c’est pas parce que je ne t’en veux pas d’avoir tenté ta chance au jeu que je vais t’épargner les conséquences de la défaite. Ma conception de ces phases de jeux est simple : toute nouvelle partie se joue en faisant abstraction des précédentes. Si on avait repris, on serait reparti à zéro. Si tu avais mené la tienne jusqu’au bout, je ne t’aurais pas puni la fois suivante pour avoir profité de moi. Mais voilà : tu n’as pas su mener ta barque jusqu’au bout. Et maintenant, ton compte de bonnes actions est sérieusement à découvert et il faut passer à la caisse. »
Tiens, je flippe à nouveau. Ça aura été rapide…
- « Suis-moi, à genoux »
Et elle partit sans même me regarder. Je me tortillais comme je pouvais pour ne pas perdre de terrain… pas facile de garder le rythme. Je compris vite où elle m’amenait : la cave.
Elle s’arrêta devant la porte en bois, se retourna et m’attendit avec un air excédé. J’avançais comme je pouvais dans les graviers sur les derniers mètres, ignorant la douleur sur mes genoux.
Quand j’arrivais devant elle, elle se pencha et me tritura les bourses et le sexe pour le faire rentrer dans une nouvelle cage de chasteté qu’elle verrouilla avec un cadenas. Elle était constituée d’une série d’anneaux reliés entre eux dont les premiers enfermaient les testicules séparément et dont le dernier était composé d’une tige en arc de cercle qui passait sur le bout du gland avec un petit trou au niveau de l’urètre. Lorsqu’elle sorti une petite tige métallique, je pris peur…
Non pas ça. Pitié pas ça.
Mais je n’osais même pas couiner. Dans le fond, ça servait à rien, autant garder ça pour plus tard.
Elle fléchit ses jambes, en position squat face à moi, me fit un petit bisou sur la tempe et commença à s’affairer avec un air guilleret et joueur sur le visage.
- « Tu regrettes un peu… »
Elle commença à doucement faire rentrer la tige. Je commençais à gémir.
- « Beaucoup… »
Elle continua sa lente progression.
- « Passionnément… »
Dans le fond, la tige n’était pas bien longue mais elle me semblait glisser en mois jusqu’au fond de mon anatomie.
- « A la folie… »
Elle était au bout. Elle fit tourner la petite boule au bout de la tige qui se vissa dans la cage de chasteté. Elle se releva et baissa son regard pour capter le mien. Son sourire avait disparu, laissant place à une expression froide et dure.
- « Pas du tout. »
Elle me saisit subitement par les cheveux et me projeta en avant. Avec mes mains attachées dans le dos, c’était uniquement sa poigne dans ma tignasse qui m’empêchait de m’écraser au sol et qui me maintenait à l’horizontal. Et dans cette position, une averse de fessées commença à me tomber sur le derrière.
Je couinais, mais dans le fond je ne pouvais rien faire. Je ne pouvais même pas me débattre sans tirer sur mes cheveux et prendre le risque de m’écraser au sol.
Après une bonne minute de ce traitement, elle s’arrêta.
D’une seule main, me tenant toujours par les cheveux en position, elle sorti un gode attaché à un harnais qu’elle lubrifia, puis elle me l’enfonça dans le cul sans aucune délicatesse ou considération pour mon bien être. Je mordis le bâillon, mais finalement après ma séance de fessés et les utilisations répétées de mon derrière sur ces derniers jours, l’effet ne fut pas si terrible que ça.
Elle me fit remettre debout, me détacha les mains et m’enleva le bâillon. Je me sentais ridicule avec les lanières du gode ceinture qui pendouillaient derrière moi.
- « Si tu essayes à nouveau de prendre le dessus, la clé du cadenas de ta cage risque de disparaitre donc fait très attention… »
Je croisai les bras dans le dos et baissa la tête en signe de soumission.
- « Attends-moi ici. »
Elle prit le sac et descendit à la cave. J’attendis patiemment environ 5 minutes qui semblèrent durer une éternité. Lorsque la pression commença à redescendre, je l’entendis m’appeler et descendit les escaliers.
Une fois en bas, je n’eu pas le temps de m’habituer à la pénombre que j’entendis claquer un « dans le coin, là-bas ! ».
J’avançais dans la direction indiquée et découvrit avec étonnement un godemichet planté à l’horizontal dans le mur. En m’approchant, je vis qu’elle avait utilisé un trou entre 2 pierres du mur pour glisser un long gode, mis en équilibre précaire avec quelques chiffons.
- « Prends-le en bouche ».
J’avoue clairement, j’étais pas fan de l’idée. Je ne tire aucun plaisir à ça, à la limite si c’était un gode-ceinture de ma maîtresse pourquoi pas, mais planté dans un mur comme ça c’était moyen. Je me mis à couiner pour essayer d’esquiver, mais elle me fit claquer la cravache sur le cul, sans aucune retenue, me rappelant que je n’étais clairement pas en position de demander quoique ce soit.
Je me décidais donc à y aller. Vu la hauteur du membre qui dépassait, je devais me mettre à 4 pattes face à lui pour y accéder. Je le pris timidement en bouche, mais elle me poussa l’arrière du crâne pour que j’y aille vraiment. Elle ne me mit pas en véritable position d’inconfort, mais l’enfonça quand même à la limite.
J’attendais patiemment de savoir quand je pourrais le lâcher et quand je l’entendis s’agiter derrière moi. Incapable de me retourner dans cette position, j’attendais…
Je sentis qu’elle collait un objet contre mon cul. Tâtonnant du pied (avant qu’il se prenne un coup de cravache pour qu’il se tienne tranquille) je découvris qu’elle avait collé derrière moi le container en plastique que j’avais remarqué le matin dans un coin de la pièce. Elle continua à faire je ne sais quoi, puis je l’entendis à nouveau s’éloigner et 30 sec plus tard j’entendis un bruit d’eau qui s’écoulait… ça commençait à puer cette histoire. Seulement, je ne pouvais rien faire.
Pendant que l’eau s’écoulait, je la senti prendre ma cage de chasteté et la tirer vers l’arrière. Mon sexe était replié sur lui-même, tiré en arrière et mon gland touchait presque le gode planté dans mon cul.
Après 5 minutes, elle coupa l’eau et s’approcha de moi. Elle se baissa et se colla contre le mur pour que je puisse voir son visage.
- « Voilà ce qui va se passer Fab. Tu es libre. Voilà. »
… hein ??
- « Je ne ni t’attacher, ni te torturer. Tu es libre de partir si tu le veux. Si tu choisis de rester, je passerais te chercher plus tard et je reprendrais les choses-là ou nous les avons laissés. Si tu décides de partir, notre partie s’arrête là. Et pour la suivante, ce sera toi qui décidera qui est le dominant et qui est le dominé. »
Alors là, le choix allait être vite fait. Elle s’éloigna un petit peu mais resta dans la pièce. Après environ 15 secondes, jugeant que j’avais assez donné l’impression d’hésiter, je me mis à faire marche arrière pour libérer ma bouche.
Seulement, j’ai dû vite déchanter. En essayant de reculer, je me rendis compte que j’enfonçais encore plus le gode ceinture qui me restait dans le cul. Je m’arrêtai immédiatement. J’essayais alors d’avancer pour libérer mon cul. A nouveau, j’étais bloqué par celui dans ma bouche.
Non.
Elle n’a pas fait ça.
Évidemment que si.
Elle n’avait jamais eu l’intention de me libérer. Elle avait attaché son gode ceinture au container avant de le remplir d’eau pour que je ne puisse pas le bouger. Si je reculais, j’enfonçais le gode dans mon cul à la limite du supportable. Si j’avançais, j’enfonçais le gode dans ma bouche à la limite du supportable.
Je pouvais utiliser mes mains, mes bras, mes jambes : j’étais libre. Mais j’étais encore plus immobilisé que si j’avais 10m de corde qui m’enserraient le corps.
J’essayais d’enlever le gode du mur, mais impossible de le sortir sans l’enfoncer dans ma bouche. J’essayais de donner des coups de pieds dans le container mais, rempli d’eau, il ne bougeait pas d’un pouce. Je me débattais, je gémissais en continu, j’essayais de supplier ma maîtresse, mais elle restait de marbre. Puis, elle prit la parole :
- « Bon, si tu décides de me rejoindre je serais en haut. Sinon, reposes toi bien parce que la suite risque d’être fatigante… »
Et sur ces mots, elle éteignit la lumière et partit, me plongeant seul dans le noir total.
A suivre…
Dans le fond, je m’étais vraiment piégé tout seul. On était parti pour une après-midi agréable, peut-être une reprise tranquille mais rien de bien pire… Massage, un peu de sexe, j’aurais peut-être même pris les rênes avec son approbation.
Peut-être, peut-être, peut-être.
Je ressassais tout ça à nouveau, pour la énième fois depuis maintenant plus d’une heure. Peut-être deux. C’est pas comme si je pouvais savoir. J’avais mal à la mâchoire, mal au cul, aux articulations, j’étais au bord du point de rupture, et j’avais la même bande son qui tournait en boucle au fond de ma cervelle en bouillie : tu l’as bien cherché, la prochaine fois que tu as une bonne idée, abstiens-toi. Ou fais des nœuds, des nœuds bien solides…
J’étais perdu dans ces considérations quand une lumière m’aveugla. J’entendis les pas de ma maitresse résonner et fut assailli pas une vague de reconnaissance : enfin elle venait me sauver…
2 heures plus tôt :
Disparu, le Fabrice sûr de lui. Là, il avait tendu les manettes à une version bien moins courageuse, qui couinait comme elle pouvait à travers son bâillon, dans un mélange complexe d’excuses, de justification et de supplications. J’avais quand même trouvé le temps de me relever sur les genoux dans ma position de soumission, histoire d’essayer de sauver les meubles comme je pouvais.
Léa était imperturbable. Elle avait remis son masque de déesse, sa tenue sexy de cuir, elle tenait la cravache dans une main et le sac de sport dans l’autre.
- « Lèves-toi et tais-toi. Tu n’es pas en train d’améliorer ta situation en m’exaspérant comme ça ».
Je m’en doutais, mais j’avais du mal à m’arrêter, panique oblige. Mais elle avait déjà switché parfaitement dans son rôle de dominante. Elle s’installa à genou devant moi, me caressa les couilles en levant les yeux pour plonger son regard dans le mien et, d’une voie tendre, entreprit de me rassurer. Ce qui eut surtout pour effet de me perturber complètement, ne sachant plus du tout où j’en étais.
- « Écoutes moi bien mon petit chien : je ne t’en veux pas. Tu as vu une opportunité, tu l’as saisi, tu as profité… C’est très bien, ce serait hypocrite pour moi de t’en vouloir tu comprends ? »
Elle ponctuait son explication de petit coup de langues divin sur mon sexe maintenant dressé. Je hochais de la tête, rassuré. Mais elle n’avait pas fini.
Elle s’arrêta brutalement de me caresser, son petit sourire rassurant laissa place à une expression froide et elle me serra les bourses sans une once de délicatesse.
- « Seulement voilà : c’est pas parce que je ne t’en veux pas d’avoir tenté ta chance au jeu que je vais t’épargner les conséquences de la défaite. Ma conception de ces phases de jeux est simple : toute nouvelle partie se joue en faisant abstraction des précédentes. Si on avait repris, on serait reparti à zéro. Si tu avais mené la tienne jusqu’au bout, je ne t’aurais pas puni la fois suivante pour avoir profité de moi. Mais voilà : tu n’as pas su mener ta barque jusqu’au bout. Et maintenant, ton compte de bonnes actions est sérieusement à découvert et il faut passer à la caisse. »
Tiens, je flippe à nouveau. Ça aura été rapide…
- « Suis-moi, à genoux »
Et elle partit sans même me regarder. Je me tortillais comme je pouvais pour ne pas perdre de terrain… pas facile de garder le rythme. Je compris vite où elle m’amenait : la cave.
Elle s’arrêta devant la porte en bois, se retourna et m’attendit avec un air excédé. J’avançais comme je pouvais dans les graviers sur les derniers mètres, ignorant la douleur sur mes genoux.
Quand j’arrivais devant elle, elle se pencha et me tritura les bourses et le sexe pour le faire rentrer dans une nouvelle cage de chasteté qu’elle verrouilla avec un cadenas. Elle était constituée d’une série d’anneaux reliés entre eux dont les premiers enfermaient les testicules séparément et dont le dernier était composé d’une tige en arc de cercle qui passait sur le bout du gland avec un petit trou au niveau de l’urètre. Lorsqu’elle sorti une petite tige métallique, je pris peur…
Non pas ça. Pitié pas ça.
Mais je n’osais même pas couiner. Dans le fond, ça servait à rien, autant garder ça pour plus tard.
Elle fléchit ses jambes, en position squat face à moi, me fit un petit bisou sur la tempe et commença à s’affairer avec un air guilleret et joueur sur le visage.
- « Tu regrettes un peu… »
Elle commença à doucement faire rentrer la tige. Je commençais à gémir.
- « Beaucoup… »
Elle continua sa lente progression.
- « Passionnément… »
Dans le fond, la tige n’était pas bien longue mais elle me semblait glisser en mois jusqu’au fond de mon anatomie.
- « A la folie… »
Elle était au bout. Elle fit tourner la petite boule au bout de la tige qui se vissa dans la cage de chasteté. Elle se releva et baissa son regard pour capter le mien. Son sourire avait disparu, laissant place à une expression froide et dure.
- « Pas du tout. »
Elle me saisit subitement par les cheveux et me projeta en avant. Avec mes mains attachées dans le dos, c’était uniquement sa poigne dans ma tignasse qui m’empêchait de m’écraser au sol et qui me maintenait à l’horizontal. Et dans cette position, une averse de fessées commença à me tomber sur le derrière.
Je couinais, mais dans le fond je ne pouvais rien faire. Je ne pouvais même pas me débattre sans tirer sur mes cheveux et prendre le risque de m’écraser au sol.
Après une bonne minute de ce traitement, elle s’arrêta.
D’une seule main, me tenant toujours par les cheveux en position, elle sorti un gode attaché à un harnais qu’elle lubrifia, puis elle me l’enfonça dans le cul sans aucune délicatesse ou considération pour mon bien être. Je mordis le bâillon, mais finalement après ma séance de fessés et les utilisations répétées de mon derrière sur ces derniers jours, l’effet ne fut pas si terrible que ça.
Elle me fit remettre debout, me détacha les mains et m’enleva le bâillon. Je me sentais ridicule avec les lanières du gode ceinture qui pendouillaient derrière moi.
- « Si tu essayes à nouveau de prendre le dessus, la clé du cadenas de ta cage risque de disparaitre donc fait très attention… »
Je croisai les bras dans le dos et baissa la tête en signe de soumission.
- « Attends-moi ici. »
Elle prit le sac et descendit à la cave. J’attendis patiemment environ 5 minutes qui semblèrent durer une éternité. Lorsque la pression commença à redescendre, je l’entendis m’appeler et descendit les escaliers.
Une fois en bas, je n’eu pas le temps de m’habituer à la pénombre que j’entendis claquer un « dans le coin, là-bas ! ».
J’avançais dans la direction indiquée et découvrit avec étonnement un godemichet planté à l’horizontal dans le mur. En m’approchant, je vis qu’elle avait utilisé un trou entre 2 pierres du mur pour glisser un long gode, mis en équilibre précaire avec quelques chiffons.
- « Prends-le en bouche ».
J’avoue clairement, j’étais pas fan de l’idée. Je ne tire aucun plaisir à ça, à la limite si c’était un gode-ceinture de ma maîtresse pourquoi pas, mais planté dans un mur comme ça c’était moyen. Je me mis à couiner pour essayer d’esquiver, mais elle me fit claquer la cravache sur le cul, sans aucune retenue, me rappelant que je n’étais clairement pas en position de demander quoique ce soit.
Je me décidais donc à y aller. Vu la hauteur du membre qui dépassait, je devais me mettre à 4 pattes face à lui pour y accéder. Je le pris timidement en bouche, mais elle me poussa l’arrière du crâne pour que j’y aille vraiment. Elle ne me mit pas en véritable position d’inconfort, mais l’enfonça quand même à la limite.
J’attendais patiemment de savoir quand je pourrais le lâcher et quand je l’entendis s’agiter derrière moi. Incapable de me retourner dans cette position, j’attendais…
Je sentis qu’elle collait un objet contre mon cul. Tâtonnant du pied (avant qu’il se prenne un coup de cravache pour qu’il se tienne tranquille) je découvris qu’elle avait collé derrière moi le container en plastique que j’avais remarqué le matin dans un coin de la pièce. Elle continua à faire je ne sais quoi, puis je l’entendis à nouveau s’éloigner et 30 sec plus tard j’entendis un bruit d’eau qui s’écoulait… ça commençait à puer cette histoire. Seulement, je ne pouvais rien faire.
Pendant que l’eau s’écoulait, je la senti prendre ma cage de chasteté et la tirer vers l’arrière. Mon sexe était replié sur lui-même, tiré en arrière et mon gland touchait presque le gode planté dans mon cul.
Après 5 minutes, elle coupa l’eau et s’approcha de moi. Elle se baissa et se colla contre le mur pour que je puisse voir son visage.
- « Voilà ce qui va se passer Fab. Tu es libre. Voilà. »
… hein ??
- « Je ne ni t’attacher, ni te torturer. Tu es libre de partir si tu le veux. Si tu choisis de rester, je passerais te chercher plus tard et je reprendrais les choses-là ou nous les avons laissés. Si tu décides de partir, notre partie s’arrête là. Et pour la suivante, ce sera toi qui décidera qui est le dominant et qui est le dominé. »
Alors là, le choix allait être vite fait. Elle s’éloigna un petit peu mais resta dans la pièce. Après environ 15 secondes, jugeant que j’avais assez donné l’impression d’hésiter, je me mis à faire marche arrière pour libérer ma bouche.
Seulement, j’ai dû vite déchanter. En essayant de reculer, je me rendis compte que j’enfonçais encore plus le gode ceinture qui me restait dans le cul. Je m’arrêtai immédiatement. J’essayais alors d’avancer pour libérer mon cul. A nouveau, j’étais bloqué par celui dans ma bouche.
Non.
Elle n’a pas fait ça.
Évidemment que si.
Elle n’avait jamais eu l’intention de me libérer. Elle avait attaché son gode ceinture au container avant de le remplir d’eau pour que je ne puisse pas le bouger. Si je reculais, j’enfonçais le gode dans mon cul à la limite du supportable. Si j’avançais, j’enfonçais le gode dans ma bouche à la limite du supportable.
Je pouvais utiliser mes mains, mes bras, mes jambes : j’étais libre. Mais j’étais encore plus immobilisé que si j’avais 10m de corde qui m’enserraient le corps.
J’essayais d’enlever le gode du mur, mais impossible de le sortir sans l’enfoncer dans ma bouche. J’essayais de donner des coups de pieds dans le container mais, rempli d’eau, il ne bougeait pas d’un pouce. Je me débattais, je gémissais en continu, j’essayais de supplier ma maîtresse, mais elle restait de marbre. Puis, elle prit la parole :
- « Bon, si tu décides de me rejoindre je serais en haut. Sinon, reposes toi bien parce que la suite risque d’être fatigante… »
Et sur ces mots, elle éteignit la lumière et partit, me plongeant seul dans le noir total.
A suivre…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai hâte ...... pour la suite.....
Qu’artive-t’il avec les conjoints?
Ils ne s’appercoive De rien?!
Chaque couple prend ses vacances avec le conjoint de l’autre séparément, sans se parler et se voir seulement le soir quand tout le monde est fatiguée. Personne ne pose de questions.
L’a réalité est absente!
Jacques du Canada
Ils ne s’appercoive De rien?!
Chaque couple prend ses vacances avec le conjoint de l’autre séparément, sans se parler et se voir seulement le soir quand tout le monde est fatiguée. Personne ne pose de questions.
L’a réalité est absente!
Jacques du Canada
C'est horriblement excitant !
Excellente suite! j'adore ton imagination!
vivement la suite!
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