Titre de l'histoire érotique : A la rentrée, dans le train
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : A la rentrée, dans le train
Il y a peu c’était la rentrée, les trains redevenaient bondés le matin pour aller au travail. J’étais debout, près de la porte opposée à celle qui donne sur les quais. J’étais pénard avec mon bouquin. Quand le train est arrivé à une station, les personnes se sont encore tassées et nous étions collés les uns aux autres. Il y avait maintenant un homme dernière moi à qui je n’avais pas fait attention. Après quelques lignes de lecture, je sentais qu’il était très proche. Mais ensuite j’ai senti autre chose. Son bassin s’était collé au mien, alors qu’on n’étaient pas si serrés que ça. Pourquoi pas. Puis c’est sa main qui est venu contre mes fesses. Ok. Enfin, c’est une érection bien avancée que je sentais. Il se serrait contre moi et surtout me serrait contre lui avec sa main sur mon ventre.
N’étant plus d’humeur à lire, je lui ai fait comprendre d’un mouvement de bassin que son manège ne m’était pas indifférent. C’était une bonne rentrée. Ca a continué jusqu’à ce qu’il me glisse très doucement à l’oreille
- Tu as l’air d’aimer
Pour toute réponse, je lui ai pris la main et l’ai mise sur ma bite, et à travers le pantalon il devait sentir mon érection. Il a massé mon pénis suffisamment doucement pour que ça me frustre qu’il ne continue pas. Puis il a murmuré
- Actif ou passif ? Vicieux, romantique ?
Encore une fois, j’ai pris sa main et l’ai placée sur mes fesses puis j’ai mis ma main dans son pantalon à la recherche de sa bite. Aussi, il comprenait que c’était surtout par là par là que j’aimais, et que je n’étais pas farouche. Il a alors pris mon livre, sorti un stylo de sa veste et a écrit son numéro. Au cours de la journée, je lui ai écrit et il m’a invité chez lui pour le soir même. J’ai du avoir une érection quasi continue toute la journée, en pensant à cet homme qui m’excitait.
Une fois chez lui, il s’est approché de moi. Il avait un regard très perçant, lubrique. Il savait ce qu’il voulait et ses gestes pour me déshabiller, de la cravate au caleçon, étaient précis. Sans préliminaire, il m’a fait m’agenouiller. J’ai alors appréhendé sa queue à travers le costume. J’ai ouvert la fermeture éclaire et sa queue m’est apparue, il ne portait pas de caleçon. Sa queue était rasée, longue, fine. Le gland était assez large. J’ai senti sa queue, je l’ai léchée avec ma langue comme une glace puis je l’ai prise dans ma bouche. Elle avait très bon goût : l’odeur forte d’une journée de travail, virile. C’était donc très agréable de le sucer. Ca devait l’être pour lui aussi car il commentait (tu suces bien, passe ta langue sur mon gland, suceur de 1ère). Il imprimait un rythme soutenu et je devais lui tirer les bourses pour qu’il ralentisse. J’étais très excité par cette bite et un petit filet de liquide séminal perlait déjà de ma queue en érection.
Après, il m’a mis à 4 pates. Cambré, le cul en l’air et les fesses écartées, prêt à me faire sodomiser à même le sol. Pas de préparation mais il s’est inséré en moi très lentement. Trop lentement. Je voulais qu’il accélère mais il me tenait fermement. C’était frustrant mais une fois au fond de mon cul, il m’a besogné. Toujours lentement mais à fond, puis de plus en plus vite. Au fur et à mesure, je gémissais puis je criais, l’exhortant à toujours aller plus vite. Je sentais toute sa longueur coulisser en moi. C’est le plaisir de la pénétration, on ne sent pas seulement quelque chose au niveau de l’anus ; c’est toute la bite et sa chaleur que l’on sent car elle est à l‘étroit. On sent tous les mouvements de va et vient, les frottements, tout le corps qui épouse la forme du pénis pour maximiser le plaisir .
A la fin, il allait très vite et le plaisir me submergeait, je jouissais en continue sur le parquet et ma queue en érection ballotait entre mes jambes au rythme de ses coups de reins. Je gémissais à chaque pénétration et mon visage était crispé par le plaisir de sentir sa bite me défoncer. Ses mouvements devinrent nettement plus brefs et rapides, il allait enfin jouir. Il a alors saisi ma tête et à éjaculé de grosses giclées de sperme sur mon visage. J’avais cette bite devant moi et je voyais le sperme expulsé par l’urètre. Couvert de sperme, je lui ai nettoyé la queue avec ma bouche. C’était une bonne rentrée, et maintenant, chaque matin, on se retrouve dans le train et je le masturbe discrètement au milieu de la foule de voyageurs.
N’étant plus d’humeur à lire, je lui ai fait comprendre d’un mouvement de bassin que son manège ne m’était pas indifférent. C’était une bonne rentrée. Ca a continué jusqu’à ce qu’il me glisse très doucement à l’oreille
- Tu as l’air d’aimer
Pour toute réponse, je lui ai pris la main et l’ai mise sur ma bite, et à travers le pantalon il devait sentir mon érection. Il a massé mon pénis suffisamment doucement pour que ça me frustre qu’il ne continue pas. Puis il a murmuré
- Actif ou passif ? Vicieux, romantique ?
Encore une fois, j’ai pris sa main et l’ai placée sur mes fesses puis j’ai mis ma main dans son pantalon à la recherche de sa bite. Aussi, il comprenait que c’était surtout par là par là que j’aimais, et que je n’étais pas farouche. Il a alors pris mon livre, sorti un stylo de sa veste et a écrit son numéro. Au cours de la journée, je lui ai écrit et il m’a invité chez lui pour le soir même. J’ai du avoir une érection quasi continue toute la journée, en pensant à cet homme qui m’excitait.
Une fois chez lui, il s’est approché de moi. Il avait un regard très perçant, lubrique. Il savait ce qu’il voulait et ses gestes pour me déshabiller, de la cravate au caleçon, étaient précis. Sans préliminaire, il m’a fait m’agenouiller. J’ai alors appréhendé sa queue à travers le costume. J’ai ouvert la fermeture éclaire et sa queue m’est apparue, il ne portait pas de caleçon. Sa queue était rasée, longue, fine. Le gland était assez large. J’ai senti sa queue, je l’ai léchée avec ma langue comme une glace puis je l’ai prise dans ma bouche. Elle avait très bon goût : l’odeur forte d’une journée de travail, virile. C’était donc très agréable de le sucer. Ca devait l’être pour lui aussi car il commentait (tu suces bien, passe ta langue sur mon gland, suceur de 1ère). Il imprimait un rythme soutenu et je devais lui tirer les bourses pour qu’il ralentisse. J’étais très excité par cette bite et un petit filet de liquide séminal perlait déjà de ma queue en érection.
Après, il m’a mis à 4 pates. Cambré, le cul en l’air et les fesses écartées, prêt à me faire sodomiser à même le sol. Pas de préparation mais il s’est inséré en moi très lentement. Trop lentement. Je voulais qu’il accélère mais il me tenait fermement. C’était frustrant mais une fois au fond de mon cul, il m’a besogné. Toujours lentement mais à fond, puis de plus en plus vite. Au fur et à mesure, je gémissais puis je criais, l’exhortant à toujours aller plus vite. Je sentais toute sa longueur coulisser en moi. C’est le plaisir de la pénétration, on ne sent pas seulement quelque chose au niveau de l’anus ; c’est toute la bite et sa chaleur que l’on sent car elle est à l‘étroit. On sent tous les mouvements de va et vient, les frottements, tout le corps qui épouse la forme du pénis pour maximiser le plaisir .
A la fin, il allait très vite et le plaisir me submergeait, je jouissais en continue sur le parquet et ma queue en érection ballotait entre mes jambes au rythme de ses coups de reins. Je gémissais à chaque pénétration et mon visage était crispé par le plaisir de sentir sa bite me défoncer. Ses mouvements devinrent nettement plus brefs et rapides, il allait enfin jouir. Il a alors saisi ma tête et à éjaculé de grosses giclées de sperme sur mon visage. J’avais cette bite devant moi et je voyais le sperme expulsé par l’urètre. Couvert de sperme, je lui ai nettoyé la queue avec ma bouche. C’était une bonne rentrée, et maintenant, chaque matin, on se retrouve dans le train et je le masturbe discrètement au milieu de la foule de voyageurs.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ça a existé il y a quelques années dans le métro
La deuxième voiture du train était privilégiée pour
ce genre de contact
La deuxième voiture du train était privilégiée pour
ce genre de contact
J'adorerais... Mais je n'y crois pas beaucoup
j'ai adoré