Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 16 - Le fist, toujours le fist
Récit érotique écrit par Perruche77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 16 - Le fist, toujours le fist
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 16 – LE FIST, TOUJOURS LE FIST
Adepte depuis plus de vingt ans du fist en tant que receveur, j’ai vécu une expérience nouvelle et assez appréciable cette semaine.
En effet, ayant rencontré un mec gay via un site de rencontres, le courant est tout de suite passé entre nous et je suis allé chez lui mercredi. Je passe sur les diverses caresses, sucettes, lèches, feuilles de rose que nous nous sommes mutuellement administrées pour en venir au principal.
Lui ayant déclaré dès le début ma passion pour le fist, il m’a fait mettre à quatre pattes, position nouvelle pour moi qui pratique cette gâterie d’habitude allongé sur le dos, jambes en l’air, face à mon partenaire. Et il a entamé immédiatement la pénétration de mon anus, sans presque pas de lubrifiant, doigt après doigt, mais plus rapidement quand même que je le pratique.
Très vite, il a introduit sa main en moi, au prix d’une légère douleur, il avait de grandes mains le bougre, mais aussi d’un grand plaisir. Et puis, au lieu de faire des va-et-vient en moi, chose qui me rend généralement fou de plaisir, il s’est mis à me masser l’intérieur, à tourner sa main dans mon ventre et je dois dire que j’ai ressenti un plaisir très diffèrent de l’habitude.
Là il ne s’agissait pas d’une simple dilatation mais d’un envahissement, d’une possession. Et en effet il me possédait et c’était plus que bon. Et contrairement à ce qui se passe d’habitude, je ne me suis pas caressé, je me suis contenté de cet envahissement de mon anus et ce n’est que plus tard, chez moi, que je me suis soulagé avec un gode en pensant à ce que j’avais subi.
Mardi, j’ai revu mon mec, je pense que nous allons d’ailleurs nous revoir régulièrement car il semble très apprécier de me besogner….
Arrivé chez lui, donc, je me déshabille sitôt le seuil franchi et la porte fermée. Pour simplifier, et pour l’exciter, je porte uniquement un sweat, un pantalon et des chaussures, aucun sous-vêtement donc.
Il se met à poil aussi et nous allons dans la chambre.
Il s’allonge sur le dos sur le lit et je me dirige aussitôt vers l’objet du désir, sa queue. Il n’est pas circoncis mais le gland est déjà bien apparent au repos. Je l’engloutis entre mes lèvres et commence à la sucer. Je lui titille le bout du gland, l’urètre et il commence à ronronner.
Je passe aux couilles que je lèche et gobe tour à tour. J’ai autant de plaisir à le faire que lui semble avoir à se faire câliner.
Comme il relève les jambes, je devine avec ravissement qu’il souhaiterait que ma langue descende dans sa raie.
Je ne me fais pas prier et ma langue abandonne ses couilles pour rejoindre son petit trou que je lèche longuement. Vu ses gémissement, il aime cette caresse autant que moi et sa corolle s’entrouvre. Décidément, la feuille de rose est un plaisir qui se partage, donneur comme receveur.
Je repasse à sa queue qui est à présent bien ferme et me fais très envie. Pendant ce temps, il ne reste pas inactif et sa main commence à caresser ma chatte. Il rentre un doigt puis deux. Je lui demande de lubrifier mon petit trou, il me présente ses doigts devant mes lèvres, me les rentre dans la bouche et je les suce pour bien les mouiller.
Quand il recommence sa pénétration, ses doigts bien lubrifiés rentrent sans peine dans mes fesses et il commence à me préparer en faisant des va-et-vient qui me font craquer. Je gémis tellement c’est bon.
Le grand moment arrive, il me fait mettre à quatre pattes et m’enduit la raie avec du lubrifiant. Il me caresse le trou, je suis aux anges, puis il commence à rentrer un doigt, puis deux, puis trois…
Au début mon petit trou résiste un peu, mais très vite il me rentre sa main entièrement et entreprend de me masser l’intérieur du ventre.
C’est divin et très diffèrent comme sensation de celle qu’on ressent en se godant soi-même. Le fait de ne pas contrôler les mouvements et surtout les mouvements des doigts, rien à voir avec un objet inerte.
Je me caresse pendant qu’il me fiste, guidant ses mouvements de la voix :
« Plus vite, doucement »
Malheureusement, bien excité par le spectacle que je lui offre, il ne peut se retenir et éjacule sur mes fesses sans même se toucher la queue. J’en suis réduit à le consoler et à me branler devant lui pour jouir à mon tour.
Dommage, pas de sodo aujourd’hui, voilà ce que c’est d’être aussi bandant que moi !
Mais la prochaine fois, ce sera diffèrent !
Adepte depuis plus de vingt ans du fist en tant que receveur, j’ai vécu une expérience nouvelle et assez appréciable cette semaine.
En effet, ayant rencontré un mec gay via un site de rencontres, le courant est tout de suite passé entre nous et je suis allé chez lui mercredi. Je passe sur les diverses caresses, sucettes, lèches, feuilles de rose que nous nous sommes mutuellement administrées pour en venir au principal.
Lui ayant déclaré dès le début ma passion pour le fist, il m’a fait mettre à quatre pattes, position nouvelle pour moi qui pratique cette gâterie d’habitude allongé sur le dos, jambes en l’air, face à mon partenaire. Et il a entamé immédiatement la pénétration de mon anus, sans presque pas de lubrifiant, doigt après doigt, mais plus rapidement quand même que je le pratique.
Très vite, il a introduit sa main en moi, au prix d’une légère douleur, il avait de grandes mains le bougre, mais aussi d’un grand plaisir. Et puis, au lieu de faire des va-et-vient en moi, chose qui me rend généralement fou de plaisir, il s’est mis à me masser l’intérieur, à tourner sa main dans mon ventre et je dois dire que j’ai ressenti un plaisir très diffèrent de l’habitude.
Là il ne s’agissait pas d’une simple dilatation mais d’un envahissement, d’une possession. Et en effet il me possédait et c’était plus que bon. Et contrairement à ce qui se passe d’habitude, je ne me suis pas caressé, je me suis contenté de cet envahissement de mon anus et ce n’est que plus tard, chez moi, que je me suis soulagé avec un gode en pensant à ce que j’avais subi.
Mardi, j’ai revu mon mec, je pense que nous allons d’ailleurs nous revoir régulièrement car il semble très apprécier de me besogner….
Arrivé chez lui, donc, je me déshabille sitôt le seuil franchi et la porte fermée. Pour simplifier, et pour l’exciter, je porte uniquement un sweat, un pantalon et des chaussures, aucun sous-vêtement donc.
Il se met à poil aussi et nous allons dans la chambre.
Il s’allonge sur le dos sur le lit et je me dirige aussitôt vers l’objet du désir, sa queue. Il n’est pas circoncis mais le gland est déjà bien apparent au repos. Je l’engloutis entre mes lèvres et commence à la sucer. Je lui titille le bout du gland, l’urètre et il commence à ronronner.
Je passe aux couilles que je lèche et gobe tour à tour. J’ai autant de plaisir à le faire que lui semble avoir à se faire câliner.
Comme il relève les jambes, je devine avec ravissement qu’il souhaiterait que ma langue descende dans sa raie.
Je ne me fais pas prier et ma langue abandonne ses couilles pour rejoindre son petit trou que je lèche longuement. Vu ses gémissement, il aime cette caresse autant que moi et sa corolle s’entrouvre. Décidément, la feuille de rose est un plaisir qui se partage, donneur comme receveur.
Je repasse à sa queue qui est à présent bien ferme et me fais très envie. Pendant ce temps, il ne reste pas inactif et sa main commence à caresser ma chatte. Il rentre un doigt puis deux. Je lui demande de lubrifier mon petit trou, il me présente ses doigts devant mes lèvres, me les rentre dans la bouche et je les suce pour bien les mouiller.
Quand il recommence sa pénétration, ses doigts bien lubrifiés rentrent sans peine dans mes fesses et il commence à me préparer en faisant des va-et-vient qui me font craquer. Je gémis tellement c’est bon.
Le grand moment arrive, il me fait mettre à quatre pattes et m’enduit la raie avec du lubrifiant. Il me caresse le trou, je suis aux anges, puis il commence à rentrer un doigt, puis deux, puis trois…
Au début mon petit trou résiste un peu, mais très vite il me rentre sa main entièrement et entreprend de me masser l’intérieur du ventre.
C’est divin et très diffèrent comme sensation de celle qu’on ressent en se godant soi-même. Le fait de ne pas contrôler les mouvements et surtout les mouvements des doigts, rien à voir avec un objet inerte.
Je me caresse pendant qu’il me fiste, guidant ses mouvements de la voix :
« Plus vite, doucement »
Malheureusement, bien excité par le spectacle que je lui offre, il ne peut se retenir et éjacule sur mes fesses sans même se toucher la queue. J’en suis réduit à le consoler et à me branler devant lui pour jouir à mon tour.
Dommage, pas de sodo aujourd’hui, voilà ce que c’est d’être aussi bandant que moi !
Mais la prochaine fois, ce sera diffèrent !
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