Titre de l'histoire érotique : Un après-midi à 2, puis 4, à l'hôtel
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Un après-midi à 2, puis 4, à l'hôtel
Seul à la maison et d’humeur coquine, je me connecte à un site de rencontres
homosexuelles pour trouver un interlocuteur avec qui je pourrais avoir une
conversation plus qu’incorrecte entre des inconnus. Bref, une séance de sexe par
internet me suffirait pour calmer mes petites ardeurs.
Une fois en ligne, je suis abordé par beaucoup d’inconnus dont un qui m’intéresse
d’entrée de jeu car il indique avoir la quarantaine. J’apprécie particulièrement les
hommes d’un certain âge. Nous nous présentons (il s’appelle François, il est
fonctionnaire…), nous discutons brièvement de choses et d’autres, histoire de ne pas
oublier que nous sommes quand même civilisés puis il rentre dans le vif du sujet et me
demande pourquoi je suis là. Je luis raconte qu’in fine je cherche de l’excitation sur
internet. Malheureusement tout ce qu’il me propose est de venir chez lui. Je lui dis
non mais il persévère et me propose d’aller dans un café. La chose étant innocente,
j’accepte.
J’arrive au café, voit l’homme (quarantaine, un peu bedonnant ce qui m’a toujours
plu), le salue et m’assoit à côté de lui, dans un coin isolé du café. On discute sexe
directement, il me demande de parler de mes expériences et je me fais un plaisir de
rentrer dans les détails : fellation, léchage, pénétration, fantasmes inassouvis,
sperme, bisexualité. Bref tout y passe et je sens mon excitation monter, ainsi que la
sienne à travers ses yeux. Il me demande ensuite ce que je ferais avec sa bite.
- Ça dépend, comment est votre bite ?
- Longue, courbée avec un gland proéminent.
- Les meilleures. Je pourrais commencer par m’agenouiller, la masturber un peu.
D’abord lentement puis en accélérant. Puis je pourrais gober vos boules une par une et
les faire rouler sur ma langue.
Sans que je ne m’en rende compte, il avait mis sa main sur mon pubis et il prenait la
mienne pour la mettre sur le sien. Je laisse faire et continue.
- Ensuite je donnerais quelques coups de langue sur le gland et le frotterait
sur mon visage pour y étaler le liquide séminal. Ainsi je sentirais le sexe toute la
journée.
Je ne sais pas ce que j’ai avec le sperme de mes partenaires, mais c’est quelque chose
qui m’excite au plus haut point. La couleur, la texture, la chaleur. C’est
véritablement un aphrodisiaque pour moi. Que mon amant éjacule dans ma bouche et
j’avale, sur mon visage ou mon torse et je l’étale, dans mon cul et le plaisir est
décuplé. J’adore. Fermons la parenthèse.
Il me dit alors :
- Tu m’excites beaucoup et j’ai envie que tu me suces maintenant.
Ce n’est pas ce pourquoi je suis venu mais entre temps, l’envie est montée.
- D’accord mais où ?
- Dans les toilettes du café ou dans le petit Formule 1 du coin.
D’un côté les toilettes avec le risque de se faire pincer à tout moment, de l’autre
l’hôtel où je risque de passer à la casserole. L’excitation prenant le dessus sur mes
dispositions initiales, je choisis l’hôtel, sachant qu’il ne va pas se contenter d’une
simple fellation.
On arrive à l’hôtel puis au comptoir. François réserve une chambre pour 2 heures et le
concierge me regarde d’un air (je sais ce que vous allez faire et je juge les gars qui
le font avec des gros bien plus âgés qu’eux). On arrive dans la chambre, il ferme la
porte et là tout s’enchaine : il me plaque contre le mur et m’embrasse comme un fou
avec la langue et tout. Je ne reste pas immobile et je défait son jean.
- Maintenant suce moi !
J’entame donc une fellation comme j’ai dit que je le ferais. Je gobe le gland avec la
bouche et passe ma langue autour. Je lèche la hampe recourbée. Sa bite ressemble
vraiment à un pénis d’acteur porno et je me plais à faire comme dans ces films. Alors
je pompe et je lèche, il me prend la tête et module lui-même la vitesse des va-et-
vient de ma tête sur sa queue.
Puis il m’écarte.
- Fous-toi à poil et mets toi à quatre pattes les jambes bien écartées sur le
bord du lit.
C’est clair, net et sans fioriture. Je m’exécute.
Je le sens s’approcher de moi, faire couler de la salive sur ma raie, viser et placer
son gland à l’orée de mon anus et me pénétrer jusqu’à la garde plus rapidement que je
ne l’aurais voulu. Je respire bruyamment jusqu’à ce que le plaisir arrive, décuplé par
la sensation de son gros ventre sur mes fesses. Il reprend la mouvement et me baise de
plus en plus fort. Ses coups de reins sont puissants et je crie de plus en plus fort,
laissant libre cours à mes sensations. C’est quand je me laisse aller au plaisir, sans
tenir compte des gens ou du lieu, que les sensations sont décuplées. Alors je peux
partir très loin.
Des fois il sort complètement de moi pour y renter à nouveau encore plus loin. Je
crie, je m’abandonne.
- Aaaaah c’est bon ! Je la sens en moi ! Je sens sa chaleur en moi ! Oooooh que
c’est bon de se faire remplir le cul par une bonne queue !
Je sens le plaisir m’envahir quand on entend un cri de femme dans la chambre d’à côté
qui visiblement vit une expérience similaire à la mienne. François reprend sa baise et
fait coïncider ses coups de butoir avec ceux de l’autre homme pour que mes cris
surpassent ceux de l’autre femme. Être mis en compétition avec une femme est troublant
; le parallèle est excitant, surtout qu’il peut s’agir d’une pute payée pour se faire
baiser.
On continue ce petit jeu excitant quand ça s’arrête chez eux. Puis quelques instants
plus tard, on frappe à la porte.
- Reste dans cette position !
La position étant à quatre pattes, en sueur, l’anus bien ouvert, et pantelant sur le
lit, à poil, je n’en mènerais pas large si quelqu’un rentrait. Ce quelqu’un c’était
l’homme et sa pute. Un grand baraqué et une femme, plus petite mais grande quand même,
attachée à une laisse. La conversation est brève : au lien de faire la compétition,
pourquoi ne pas échanger pour cette fois. La femme avance comme une chatte vers moi et
de positionne à mes côtés, à quatre pattes, sa forte poitrine pendant lourdement sous
elle. Elle me roule un patin digne de ces mêmes films dont je parlais ce tantôt.
François la fourre et le grand malabar se place derrière moi avec un pénis plus fin
mais très long. Et sans préliminaire, il me pénètre, allant beaucoup plus loin que
l’autre, ou que quiconque auparavant. La sensation est nouvelle et après quelques va-
et-vient je jouis. Il s’allonge sur le lit et je me mets à califourchon sur lui. Je
saisis la bite, la place à la verticale (et quelle verticale !) et m’assieds dessus
puis je saute sur lui pris dans le feu du plaisir. Je saute pour faire coulisser sa
bite en moi, et je saute comme un pantin ou un zombi, ivre de plaisir. Je me sens
transpercé de part en part, planté sur une chaude lance de chair.
Finalement les 2 hommes actifs jouissent dans les 2 salopes passives. Un flot de
sperme conséquent qui me fait grimper au 7ème ciel car l’idée que son sperme atteigne
des endroits qu’aucune autre semence n’a connus me rend dingue.
Je disais comme une salope car, à peine fini, mon malabar s’en va sans rien dire,
sans demander son reste ; il laisse même sa pute avec nous. Tandis que François gît
sur le lit, je pars prendre une douche. La pute me suis et entre avec moi dans la
cabine, sans rien me demander. On se lave mutuellement ce qui a pour effet de me faire
durcir à nouveau. On discute : elle s’étonne de mon érection, je lui dit être bi, elle
me dit n’être pas une pute mais nymphomane et qu’il s’agissait d’un coup régulier pour
se calmer. Au moment où elle dit ça mon excitation est très forte, elle le voit mais
François rentre.
- J’avais dit que je me viderais en toi, salope.
J’imagine qu’il parle à moi. Il entre dans la cabine, la femme sort et regarde l’homme
me plaquer contre la vitre et me sodomiser debout. Je ferme les yeux de plaisir et
gémit de plaisir, encore. La fenêtre s’ouvre et la femme commence à me sucer en même
temps. Une pro. Finalement François jouit en moi et je me déverse dans la bouche de la
femme qui avale tout. Pour finir il nous a fallu à la femme et moi le sucer à 2 ; nos
lèvres à tous les 2 sur le gland de François, mais elle et moi fixions notre regard
l’un sur l’autre, imaginant déjà les folies que nous pourrions vivre à deux.
homosexuelles pour trouver un interlocuteur avec qui je pourrais avoir une
conversation plus qu’incorrecte entre des inconnus. Bref, une séance de sexe par
internet me suffirait pour calmer mes petites ardeurs.
Une fois en ligne, je suis abordé par beaucoup d’inconnus dont un qui m’intéresse
d’entrée de jeu car il indique avoir la quarantaine. J’apprécie particulièrement les
hommes d’un certain âge. Nous nous présentons (il s’appelle François, il est
fonctionnaire…), nous discutons brièvement de choses et d’autres, histoire de ne pas
oublier que nous sommes quand même civilisés puis il rentre dans le vif du sujet et me
demande pourquoi je suis là. Je luis raconte qu’in fine je cherche de l’excitation sur
internet. Malheureusement tout ce qu’il me propose est de venir chez lui. Je lui dis
non mais il persévère et me propose d’aller dans un café. La chose étant innocente,
j’accepte.
J’arrive au café, voit l’homme (quarantaine, un peu bedonnant ce qui m’a toujours
plu), le salue et m’assoit à côté de lui, dans un coin isolé du café. On discute sexe
directement, il me demande de parler de mes expériences et je me fais un plaisir de
rentrer dans les détails : fellation, léchage, pénétration, fantasmes inassouvis,
sperme, bisexualité. Bref tout y passe et je sens mon excitation monter, ainsi que la
sienne à travers ses yeux. Il me demande ensuite ce que je ferais avec sa bite.
- Ça dépend, comment est votre bite ?
- Longue, courbée avec un gland proéminent.
- Les meilleures. Je pourrais commencer par m’agenouiller, la masturber un peu.
D’abord lentement puis en accélérant. Puis je pourrais gober vos boules une par une et
les faire rouler sur ma langue.
Sans que je ne m’en rende compte, il avait mis sa main sur mon pubis et il prenait la
mienne pour la mettre sur le sien. Je laisse faire et continue.
- Ensuite je donnerais quelques coups de langue sur le gland et le frotterait
sur mon visage pour y étaler le liquide séminal. Ainsi je sentirais le sexe toute la
journée.
Je ne sais pas ce que j’ai avec le sperme de mes partenaires, mais c’est quelque chose
qui m’excite au plus haut point. La couleur, la texture, la chaleur. C’est
véritablement un aphrodisiaque pour moi. Que mon amant éjacule dans ma bouche et
j’avale, sur mon visage ou mon torse et je l’étale, dans mon cul et le plaisir est
décuplé. J’adore. Fermons la parenthèse.
Il me dit alors :
- Tu m’excites beaucoup et j’ai envie que tu me suces maintenant.
Ce n’est pas ce pourquoi je suis venu mais entre temps, l’envie est montée.
- D’accord mais où ?
- Dans les toilettes du café ou dans le petit Formule 1 du coin.
D’un côté les toilettes avec le risque de se faire pincer à tout moment, de l’autre
l’hôtel où je risque de passer à la casserole. L’excitation prenant le dessus sur mes
dispositions initiales, je choisis l’hôtel, sachant qu’il ne va pas se contenter d’une
simple fellation.
On arrive à l’hôtel puis au comptoir. François réserve une chambre pour 2 heures et le
concierge me regarde d’un air (je sais ce que vous allez faire et je juge les gars qui
le font avec des gros bien plus âgés qu’eux). On arrive dans la chambre, il ferme la
porte et là tout s’enchaine : il me plaque contre le mur et m’embrasse comme un fou
avec la langue et tout. Je ne reste pas immobile et je défait son jean.
- Maintenant suce moi !
J’entame donc une fellation comme j’ai dit que je le ferais. Je gobe le gland avec la
bouche et passe ma langue autour. Je lèche la hampe recourbée. Sa bite ressemble
vraiment à un pénis d’acteur porno et je me plais à faire comme dans ces films. Alors
je pompe et je lèche, il me prend la tête et module lui-même la vitesse des va-et-
vient de ma tête sur sa queue.
Puis il m’écarte.
- Fous-toi à poil et mets toi à quatre pattes les jambes bien écartées sur le
bord du lit.
C’est clair, net et sans fioriture. Je m’exécute.
Je le sens s’approcher de moi, faire couler de la salive sur ma raie, viser et placer
son gland à l’orée de mon anus et me pénétrer jusqu’à la garde plus rapidement que je
ne l’aurais voulu. Je respire bruyamment jusqu’à ce que le plaisir arrive, décuplé par
la sensation de son gros ventre sur mes fesses. Il reprend la mouvement et me baise de
plus en plus fort. Ses coups de reins sont puissants et je crie de plus en plus fort,
laissant libre cours à mes sensations. C’est quand je me laisse aller au plaisir, sans
tenir compte des gens ou du lieu, que les sensations sont décuplées. Alors je peux
partir très loin.
Des fois il sort complètement de moi pour y renter à nouveau encore plus loin. Je
crie, je m’abandonne.
- Aaaaah c’est bon ! Je la sens en moi ! Je sens sa chaleur en moi ! Oooooh que
c’est bon de se faire remplir le cul par une bonne queue !
Je sens le plaisir m’envahir quand on entend un cri de femme dans la chambre d’à côté
qui visiblement vit une expérience similaire à la mienne. François reprend sa baise et
fait coïncider ses coups de butoir avec ceux de l’autre homme pour que mes cris
surpassent ceux de l’autre femme. Être mis en compétition avec une femme est troublant
; le parallèle est excitant, surtout qu’il peut s’agir d’une pute payée pour se faire
baiser.
On continue ce petit jeu excitant quand ça s’arrête chez eux. Puis quelques instants
plus tard, on frappe à la porte.
- Reste dans cette position !
La position étant à quatre pattes, en sueur, l’anus bien ouvert, et pantelant sur le
lit, à poil, je n’en mènerais pas large si quelqu’un rentrait. Ce quelqu’un c’était
l’homme et sa pute. Un grand baraqué et une femme, plus petite mais grande quand même,
attachée à une laisse. La conversation est brève : au lien de faire la compétition,
pourquoi ne pas échanger pour cette fois. La femme avance comme une chatte vers moi et
de positionne à mes côtés, à quatre pattes, sa forte poitrine pendant lourdement sous
elle. Elle me roule un patin digne de ces mêmes films dont je parlais ce tantôt.
François la fourre et le grand malabar se place derrière moi avec un pénis plus fin
mais très long. Et sans préliminaire, il me pénètre, allant beaucoup plus loin que
l’autre, ou que quiconque auparavant. La sensation est nouvelle et après quelques va-
et-vient je jouis. Il s’allonge sur le lit et je me mets à califourchon sur lui. Je
saisis la bite, la place à la verticale (et quelle verticale !) et m’assieds dessus
puis je saute sur lui pris dans le feu du plaisir. Je saute pour faire coulisser sa
bite en moi, et je saute comme un pantin ou un zombi, ivre de plaisir. Je me sens
transpercé de part en part, planté sur une chaude lance de chair.
Finalement les 2 hommes actifs jouissent dans les 2 salopes passives. Un flot de
sperme conséquent qui me fait grimper au 7ème ciel car l’idée que son sperme atteigne
des endroits qu’aucune autre semence n’a connus me rend dingue.
Je disais comme une salope car, à peine fini, mon malabar s’en va sans rien dire,
sans demander son reste ; il laisse même sa pute avec nous. Tandis que François gît
sur le lit, je pars prendre une douche. La pute me suis et entre avec moi dans la
cabine, sans rien me demander. On se lave mutuellement ce qui a pour effet de me faire
durcir à nouveau. On discute : elle s’étonne de mon érection, je lui dit être bi, elle
me dit n’être pas une pute mais nymphomane et qu’il s’agissait d’un coup régulier pour
se calmer. Au moment où elle dit ça mon excitation est très forte, elle le voit mais
François rentre.
- J’avais dit que je me viderais en toi, salope.
J’imagine qu’il parle à moi. Il entre dans la cabine, la femme sort et regarde l’homme
me plaquer contre la vitre et me sodomiser debout. Je ferme les yeux de plaisir et
gémit de plaisir, encore. La fenêtre s’ouvre et la femme commence à me sucer en même
temps. Une pro. Finalement François jouit en moi et je me déverse dans la bouche de la
femme qui avale tout. Pour finir il nous a fallu à la femme et moi le sucer à 2 ; nos
lèvres à tous les 2 sur le gland de François, mais elle et moi fixions notre regard
l’un sur l’autre, imaginant déjà les folies que nous pourrions vivre à deux.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tes histoires sont vraiment super excitantes merci beaucoup! J aimerais trouver le courage de me soumettre a des hommes comme tu le fais
Super bandant.... Merci à Toi...Je suis bi aussi et ai vécu presque pareil...Tu aurais
du décrire ta bite...
du décrire ta bite...
tu peut te venter de m'avoir fais jouir, j'ais decharger dans une capote que j'ai
ensuite retirer de ma bite et j'ai lecher tout mon foutre ce qui fais que je suis
remis a bander et j'ai encore fais une bonne branlette. aujourd'hui je vais aller dans
un sex shop, trouver un gars et je vais le sucer a fond et ca j'aime le faire dans le
magazin afin qu'on me vois car j'aime ca qu'on me regarde ca fais bander ceux qui sont
la et en general ils se mette autour de nous et finissent par decharger sur ma figure
j'aime beaucoup.je termine et te dis encore merci pour ton recit.
ensuite retirer de ma bite et j'ai lecher tout mon foutre ce qui fais que je suis
remis a bander et j'ai encore fais une bonne branlette. aujourd'hui je vais aller dans
un sex shop, trouver un gars et je vais le sucer a fond et ca j'aime le faire dans le
magazin afin qu'on me vois car j'aime ca qu'on me regarde ca fais bander ceux qui sont
la et en general ils se mette autour de nous et finissent par decharger sur ma figure
j'aime beaucoup.je termine et te dis encore merci pour ton recit.
Je bande et crois moi cela fait bien longtemps que cela ne m'etais pas arrivé suite à
opération. D'autres histoires?
opération. D'autres histoires?
bravo tres excitant !!!!
Humm une suite je me verrai bien a ta place